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Killing Floor 3 sortira finalement le 24 juillet. Ah bon, déjà ?
Il y a quelques jours, Tripwire Interactive a annoncé laconiquement sur les réseaux sociaux que Killing Floor 3 arrivera le 24 juillet, soit seulement cinq mois après la bêta très mitigée. Comme beaucoup de joueurs, on avait remonté un manque de maîtrise de la lumière, une direction artistique osef, une absence d’âme, un feeling des armes à revoir, et plus globalement, un manque d’intérêt par rapport au précédent titre.
Get ready.Killing Floor 3 launches July 24, 2025.
— Killing Floor 3 (@killingfloor3.com) 2025-05-09T16:14:14.463Z
Néanmoins, les développeurs se sont mis au travail, et on imaginait plutôt avoir des nouvelles pour la fin de l’année. Avec une sortie si tôt, on peine à s’enthousiasmer, même s’ils ont pu partager quelques améliorations sur lesquelles ils ont travaillé. On citera, par exemple, le combat contre les zombies de base, ou contre les Bloats. On doit vous avouer qu’on n’a pas vu de différence flagrante, mais peut-être que l’assemblage de plein de petits détails va augmenter la qualité globale. D’autre part, ils ont également partagé quelques images de deux niveaux, qui semblent proposer une direction artistique enfin un peu moins lisse.
En attendant le 24 juillet, si Killing Floor 3 vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.
Un nouveau jeu en production pour l’équipe d’Outer Wilds
Voilà maintenant près de 4 ans que le DLC Echoes of the Eye de l’excellent Outer Wilds est disponible sur Steam. Pourtant, le jeu continuait de recevoir régulièrement des mises à jour plus ou moins ambitieuses, permettant de peaufiner l’expérience acclamée par la critique de diverses manières.
Seulement voilà, cette époque touche à sa fin, puisque Mobius Digital a brièvement annoncé au terme de leur dernier ticket de blog Steam dédié à Outer Wilds que le patch n°16 mis en ligne il y a quelques jours serait probablement le dernier.
Et pour cause ! Au détour du paragraphe dédié à cette nouvelle, on apprend que le studio à succès planche à présent sur un tout nouveau projet, et que tout le monde au sein de l’équipe est mobilisé sur ce dernier. Une petite annonce discrète qui s’accompagne d’ailleurs d’une campagne de recrutement récemment menée sur les réseaux du studio.
De quoi mettre l’eau à la bouche, même si on a, à vrai dire, aucune information supplémentaire concernant le titre en question. En attendant, ce patch final d’Outer Wilds qui corrige quelques petits bugs est dès à présent disponible !
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Le nouveau jeu d’Amy Hennig, Marvel 1943: Rise of Hydra, est décalé à 2026
Prévu initialement pour 2025, Marvel 1943: Rise of Hydra voit sa sortie repoussée au début de l’année 2026. Skydance Games justifie ce report par la volonté de peaufiner davantage le jeu pour offrir une expérience à la hauteur des attentes.
Dévoilé en mars 2024 lors d’un showcase Unreal Engine à la Game Developers Conference, Marvel 1943: Rise of Hydra s’annonce comme un jeu d’action narratif centré sur une alliance inédite entre Captain America et le Black Panther des années 1940. Imaginé par Amy Hennig, célèbre pour son travail sur Uncharted, le jeu entend combiner la richesse narrative à une ambiance inspirée des films de guerre classiques.
Se déroulant en pleine Seconde Guerre mondiale, le jeu mise sur un cadre peu exploré dans l’univers Marvel vidéoludique. Le joueur y incarne un jeune Steve Rogers encore en quête de repères, ainsi qu’Azzuri, le grand-père de T’Challa, incarnant alors la Panthère Noire. Cette dualité de héros permet d’explorer des dynamiques inédites, sur fond d’intrigues d’espionnage et de conflits idéologiques.
Important update regarding MARVEL 1943: Rise of Hydra. pic.twitter.com/cIACq7dqtz
— Skydance Games (@SkydanceGames) May 13, 2025
Le synopsis officiel promet une aventure où les héros, malgré leurs différences culturelles et stratégiques, devront collaborer face à une menace commune : l’ascension d’Hydra. Aidés par Gabriel Jones, membre des Howling Commandos, et Nanali, espionne wakandaise à Paris, ils tenteront d’empêcher un complot susceptible de faire basculer le cours de la guerre. Malheureusement, il faudra s’armer de patience, le titre ayant été décalé à l’année prochaine. Skydance Games justifie ce décalage à 2026 par une volonté de perfection.
Ce temps supplémentaire nous permettra d’ajouter plus de finition et de nous assurer de vous offrir la meilleure expérience possible.
Les promesses sont grandes, tout comme l’attente des joueurs, curieux de découvrir cette relecture audacieuse de l’univers Marvel. Marvel 1943: Rise of Hydra sera disponible sur PC, PS5 et Xbox Series X|S.
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RUMEUR Hogwarts Legacy : une mise à niveau serait proposée pour Nintendo Switch 2
Annoncé lors du dernier Nintendo Direct dédié à la Nintendo Switch 2, Hogwarts Legacy : L’héritage de Poudlard sera disponible dès la sortie de la console. On se posait la question sur une éventuelle proposition de mise à niveau pour les possesseurs de la version Nintendo Switch, et il semblerait que Warner Bros. Games ait bien écouté les joueurs.
Vous avez déjà investi dans Hogwarts Legacy sur Nintendo Switch ? Cette nouvelle vous ravira certainement puisque l’on apprend par le biais d’un possesseur de la version numérique Nintendo Switch qu’une mise à niveau devrait être proposée. En effet, comme vous pouvez le voir ci-dessous, il semblerait que le prix de la version Nintendo Switch 2 soit de 10€ pour ce dernier alors qu’il est proposé aux autres joueurs à 59,99€.
Actuellement en promotion sur le Nintendo eShop avec un prix affiché de 17,99€, l’occasion serait donc idéale pour acheter le titre si jamais la mouture Nintendo Switch 2 vous intéresse. Vous devriez donc avoir accès à cette nouvelle version pour 27,99€, mise à niveau comprise. Quoi qu’il arrive, il faudra attendre la confirmation de Warner Bros. Games concernant cette possibilité. Rappelons que d’autres titres proposeront une mise à niveau payante comme Civilization VII.
Looks like Hogwarts Legacy has a Upgrade pack for the Nintendo Switch 2 you can Purchase if you own the Nintendo Switch version.#NintendoSwitch2 pic.twitter.com/I47AXVzVil
— Chito (@ChitoGamingLive) May 12, 2025
En attendant, Hogwarts Legacy est toujours disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PS4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.
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The Sinking City Remastered disponible dès maintenant et même gratuitement pour certains joueurs
Annoncé il y a maintenant quelques semaines sur consoles et PC, The Sinking City Remastered est finalement disponible dès maintenant, et ce, à la surprise générale sur les consoles de dernière génération et PC. Et si vous possédez déjà le jeu de base, vous pouvez même en profiter sans coût supplémentaire avec des améliorations graphiques attendues.
Sorti en 2019 sur la génération PS4 et Xbox One, The Sinking City avait eu droit deux années plus tard à un portage sur PS5 et Xbox Series X|S. Aujourd’hui, c’est une version remastérisée qui ressort sur ces mêmes consoles et PC via Steam avec des améliorations visuelles assez évidentes. Le titre s’appuie désormais sur le moteur Unreal Engine 5 avec également la prise en charge du DLSS, du SDR ainsi que du TSR concernant les technologies d’upscaling utilisées.
Si vous appréciez prendre des clichés, sachez qu’un mode Photo arrive également pour immortaliser vos plus belles actions. Sachez que le jeu est disponible gratuitement si vous possédez déjà le jeu de base, l’occasion idéale de relancer le jeu avant The Sinking City 2. Une nouvelle bande-annonce a été diffusée pour l’occasion, illustrant parfaitement les modifications entre les deux versions :
The Sinking City est donc disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PS4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.
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Test : The Precinct est-il bien plus qu'un simple "anti-GTA" ?
TEST The Precinct : un GTA like ambitieux qui tourne rapidement en boucle
Lorsque l’on pense à un GTA-like, on imagine immédiatement un titre bac à sable où le joueur devra faire régner la terreur et ne pas suivre les règles dictées par la loi. Dans The Precinct, c’est tout l’inverse, puisque cette fois-ci, vous incarnerez un jeune policier débutant dans la fonction avec comme objectif de stopper les malfrats, mais également d’en apprendre plus sur le décès de son père. Développé par le studio Fallen Tree Games, ce premier jeu est ambitieux et avait su attirer l’œil de nombreux joueurs, notamment grâce à sa démo gratuite sur PC. Mais qu’en est-il une fois le jeu complet en mains ? Réponse dans notre test rédigé entre deux interpellations musclées.
Testé sur PS5 Pro grâce à une copie numérique envoyée par l’éditeur
Tel père, tel fils : une soif de justice
Une vue de dessus, des flics et des voleurs, des flingues à tout va : il en fallait peu pour que les joueurs aient l’œil attiré vers The Precinct, la première production de Fallen Tree Games. Édité par Kwalee, ce titre s’offre même le luxe de disposer d’une sortie physique simultanée. En effet, c’est Microids qui a été chargé de la distribution de la version physique. Comme d’habitude, l’éditeur français sort le grand jeu avec une édition limitée qui comportera un steelbook, la BO à télécharger ainsi que la carte de la ville. Déjà en réduction chez certains revendeurs, c’est donc l’occasion idéale pour jouer à un titre ambitieux qui devrait vous combler plus d’une dizaine d’heures. Parce que oui, The Precinct était un titre que nous avions coché dans notre calendrier. Non seulement parce que la démo présente sur Steam nous avait intrigué, mais également parce que l’ensemble nous rappelait les premiers GTA, ou encore le sous-côté Grand Theft Auto: Chinatown Wars.
Vous y incarnerez l’agent Nick Cordell Jr, un nouveau dans la brigade dont le père est décédé mystérieusement il y a quelques années. Vous serez accompagné dans votre aventure de Kelly, non pas d’une belle blonde scintillante, mais d’un flic dont la passion de rendre service à la population s’est dissipée. Il sera chargé de vous former, de vous accompagner, mais également de vous aider dans toutes vos tâches. Car oui, Averno City est une ville dangereuse, rongée par la corruption et tous types d’irrégularités. À noter l’excellente qualité de la formation proposée, avec un tutoriel durant une heure et qui est dorénavant retrouvable ci-dessous par le biais du début du jeu.
Au cours de votre mission, vous démantèlerez des cartels qui pourraient bien être associés à la mort de votre père, et c’est là que le scénario tire son épingle du jeu. N’espérez pas avoir droit à des cinématiques, les phases narratives se déroulent sous la forme d’un visual novel où les personnages échangeront à tour de rôle dans la langue de Shakespeare via des planches en 2D. Si les doublages anglais sont excellents, il est tout de même dommage que le français ne soit pas proposé d’emblée. Heureusement, les sous-titres sont, eux, bien traduits, bien que disposant de quelques coquilles qui ne changent toutefois pas le sens des propos tenus.
Un sentiment de liberté, mais des consignes à respecter
Bien que vous soyez libre de circuler où vous voulez dans Averno City, il faudra tout de même respecter les règles fixées lors de chaque quart. En effet, au début de la journée, vous êtes affecté à un rôle précis qui, bien que ne vous empêchant pas de réaliser d’autres tâches, vous fera gagner moins de points. Parce que l’objectif, c’est bien entendu de prouver que vous êtes la meilleure doublette du commissariat. Il faudra donc choisir entre la patrouille à pied, des missions consistant à dresser des contraventions pour les véhicules mal garés ou encore surveiller la vitesse des automobilistes. Chaque quart vous imposera de surveiller une zone bien précise et une fois le quota atteint, une autre zone se déverrouillera et ainsi de suite. Si vous ne souhaitez pas suivre les ordres, le jeu vous proposera un peu plus tard la possibilité de personnaliser votre quart. Et bien entendu, pas d’heure supplémentaire puisqu’une fois l’heure limite atteinte, il faudra vous rendre au commissariat pour officialiser la fin de votre prise de poste. Si Averno City et ses multiples délits nous ont plu, la structure globale nous a quelque peu surprise, nous obligeant à farmer des missions à des endroits précis pour avancer. En 2025, nous aurions pu espérer une gestion plus souple de nos déplacements et de nos missions.

Toutefois, si jamais une urgence arrivait, faisant notamment avancer le scénario principal, vous pourrez, bien entendu, prendre du recul sur vos tâches actuelles pour prioriser un nouveau délit. Que ce soit pour les délits routiers qu’à pied, il suffira de se rendre près du véhicule ou de la personne et de lui dresser une contravention selon le bon motif. Pour les personnes, en fonction de la gravité du motif, une amende peut suffire ou alors, il faudra embarquer ce dernier et l’emmener au commissariat. Il est possible de déléguer cette tâche, mais vous remporterez moins de points d’XP. Si vous avez un doute, pas de panique puisque le guide du policier est accessible à tout moment et vous permettra de prendre la bonne décision. Attention néanmoins, si vous verbalisez des personnes pour des infractions qu’elles n’ont pas commises, votre score sera directement impacté et même son de cloche pour la qualité de votre conduite. En tant que policier, il faut bien entendu rouler sans écraser de pauvres humains innocents, ou encore éviter les dégâts matériels. Plus facile à dire qu’à faire quand on sait que certaines courses-poursuites vous obligeront à prendre tous les risques.
Lors de vos tâches quotidiennes, vous aurez affaire à des règlements de compte entre gangs qui vous permettront de trouver des indices sur leurs responsables. Une fois le nombre d’indices nécessaires atteint, vous allez devoir interpeller le suspect, débloquant ainsi son supérieur et ainsi de suite. C’est par ce biais que la trame principale avancera et parfois, il faudra compter sur deux bonnes heures de jeu pour avancer d’un cran. Autant vous dire qu’il a fallu enchaîner les quarts de notre côté avant de pouvoir mettre la main sur les potentiels responsables de l’assassinat de notre père.
De l’action à tout bout de champ
Averno City est finalement une caricature de ce que proposent les films American Nightmare, à savoir le crime à chaque coin de rue et le chaos total qui règne sur la ville. Il nous est arrivé d’avoir affaire à un meurtre, en même temps à du vandalisme, sans oublier l’appel du commissariat pour demander du renfort sur une rixe entre clans. En d’autres mots, il y a toujours quelque chose à faire. Résoudre des problèmes vous donnera de l’XP vous permettant notamment d’améliorer votre personnage et ses aptitudes : des munitions supplémentaires, une jauge de sprint agrandie, des dégâts véhicules moindres… Cet arbre de compétences reste toutefois beaucoup trop sommaire et on aurait apprécié davantage de possibilités.

Avec son monde ouvert et sa multitude de PNJ à gérer, The Precinct tourne convenablement sur PS5 Pro avec la prise en charge de la 4K. Bien que nous ayons noté quelques ralentissements ici et là, ce sont plutôt les bugs qui nous ont dérangés : passage à travers la carte, voiture renversée qu’on ne peut remettre sur les roues, PNJ coincé dans une texture, etc. Néanmoins, aucun bug bloquant à signaler, mais on sent tout de même qu’il reste du peaufinage à faire ici et là, tout comme l’un des premiers dialogues avec un son étouffé peu agréable à écouter. Tournant sous Unity avec un léger ton cel shading, on ne peut pas dire que le titre soit une prouesse technique, mais au vu de la taille du projet, le plus important réside dans son ambiance générale bien retranscrite, notamment grâce aux bruitages.
Lors des différents gunfights, pas de vue en FPS : on reste sur la vue de dessus avec une cible que l’on peut déplacer sur nos ennemis. Attention à bien se ranger derrière des abris pour ne pas prendre les balles et récupérer de la santé. N’oublions pas que vous êtes un policier, donc l’arme sera de sortie en cas de légitime défense seulement. Arme que le joueur peut choisir parmi de nombreuses à débloquer au gré des niveaux. On retrouve un pistolet, une matraque ou encore des fusils d’assaut/pompe assez classiques. Restriction budgétaire oblige, attention à vos munitions qui ne sont pas illimitées. Le tout propose finalement un ensemble plutôt cohérent, bien que l’IA reste tout de même assez laxiste sur sa visée avec une difficulté au niveau recommandé. À la fin de l’assaut, n’oubliez pas de ranger les corps dans des sacs dédiés pour remporter de l’XP.

The Precinct dispose également d’activités annexes et il n’y a pas que faire régner l’ordre qui compte. En effet, il sera possible de faire des courses face à d’autres véhicules, de faire une portion de route le plus rapidement possible ou encore d’effectuer des sauts via des tremplins disséminés partout dans la ville. Pour le coup, ces activités sont bienvenues et apportent un vent de fraîcheur au jeu, bien que finalement les courses soient beaucoup trop déséquilibrées. La faute à une IA trop agressive et des capacités de vitesse que nous n’atteignons jamais avec le véhicule fourni, sans oublier notre voiture qui est une savonnette et qui perd le grip à chaque virage. Bien que le titre propose plusieurs modes de difficultés, nous avons joué dans la difficulté recommandée et nous n’avons jamais réussi à gagner une course malgré de très nombreux essais et aucune erreur de conduite : frustrant. Dans tous les cas, Averno City est une ville bien équilibrée, pas trop grande, avec une exploration à taille plus que raisonnable qui vous réconciliera avec les vastes open world proposés par de nombreux éditeurs. En revanche, nous aurions apprécié un mode multijoueur pour patrouiller avec des amis et abolir les crimes qui ne cesseront certainement jamais.
Verdict
The Precinct est un GTA like qui tourne finalement assez rapidement en boucle et ce, jusqu’à la fin de la quête principale. Dans une ville d’Averno City sens dessus dessous, vous aurez du travail, la faute à des citoyens quelque peu agités. Si nous avons apprécié la trame principale qui sert de fil rouge, il faut admettre que le gameplay du titre souffre tout de même de multiples défauts qui pourront interroger, voire énerver le joueur. Malgré la présence de quelques bugs encore, le tout est finalement agréable à jouer, et interroger les suspects ainsi que les fouiller est réellement plaisant, bien que redondant. Avec quelques activités annexes proposées dans un monde ouvert à taille humaine, le résultat proposé est finalement un peu décevant. Peut-être en attendions-nous trop de ce projet…
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Stellar Blade arrive sur PC avec un contenu enrichi
Le très populaire jeu d’action Stellar Blade, initialement exclusif à la PlayStation 5, s’apprête à faire son entrée sur PC le 11 juin prochain selon une bande-annonce divulguée par erreur sur la chaîne YouTube officielle de PlayStation.
Cette version PC proposera une expérience enrichie par rapport à la version console. Tout d’abord, les joueurs PC pourront profiter de 25 nouveaux costumes ainsi que d’un tout nouveau combat de boss. Ensuite et sur le plan technique, cette nouvelle version bénéficiera d’importantes améliorations graphiques avec des textures en haute résolution et la prise en charge des technologies d’upscaling DLSS 4 de NVIDIA et FSR 3 d’AMD. Les configurations ultra-larges seront également compatibles et les joueurs pourront profiter d’une fréquence d’images débloquée pour une meilleure fluidité selon la configuration technique de leur machine. Enfin, les manettes PS5 seront compatibles sur le portage PC.
Stellar Blade PC Trailer was posted early on the official PlayStation YouTube channel.
— KAMI (@Okami13_) May 12, 2025
• 25 new costumes
• New Boss Battle – Mann
• Higher resolution textures
• DLSS 4 and FSR 3
• Japanese and Chinese Voiceover
• Multi-frame generation
• Unlocked frame rate
• Ultrawide… pic.twitter.com/udiRkJsTG6
Lors d’une récente séance de questions réponses concernant ses résultats financiers, son développeur Shift Up s’est montré particulièrement optimiste concernant cette sortie PC, allant jusqu’à déclarer que les ventes sur cette plateforme pourraient dépasser celles réalisées sur PlayStation 5. Shift Up a également confirmé travailler sur la compatibilité avec les plateformes PC portables comme le Steam Deck ou l’Asus ROG Ally, afin de s’assurer que le jeu soit parfaitement jouable dessus.
Stellar Blade sera disponible sur PC sur les plateformes Steam et Epic Games Store le 11 juin prochain.
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Stellar Blade : la date de sortie de la version PC fuite
Les jeux Atlus et Sonic portent les résultats de Sega
RyseUp, le studio de Roboquest, se lance dans un nouveau projet
En milieu de semaine dernière, RyseUp, le studio derrière le développement du FPS roguelite nommé Roboquest, a publié une billet de blog Steam pour annoncer la fin des mises à jour sur leur jeu. L’équipe de devs estime en avoir fait le tour et annonce d’ores et déjà travailler sur un nouveau projet sans autre précision. Il est à noter qu’une mise à jour aurait pu voir le jour l’hiver prochain. Il n’en sera finalement rien, et il faudra donc vous contenter de la Super Update et la Endless, qui apportent leur lot de contenus. Egalement, le studio rappelle que Roboquest VR est toujours en développement sans date de sortie de annoncée, si vous êtes nostalgique de cette licence.
À la rédact, nos experts MathMoite et Stuka avaient bien apprécié l’expérience même si la partie coop ne nécessitait aucune synergie entre les joueurs. Si vous aimez le roguelite avec des robots dans un univers postapocalyptique, vous pouvez vous procurer Roboquest plein pot sur Steam et l’Epic Games Store ou profiter d’une réduction à -40 % sur GoG jusqu’au 16 mai. Concernant Roboquest VR, vous pouvez toujours l’ajouter à votre de souhaits Steam, Meta Quest ou PS VR, en attendant l’annonce d’une date de sortie.
Chambers, le FPS psychédélique avec des cowboys, est sorti en accès anticipé
Vous aimez les cowboys et les interfaces complètement déjantées ? Réjouissez-vous, car Chambers vient de sortir en accès anticipé, rien que pour vous. On vous en avait parlé lors du Steam Néo Fest d’octobre 2024, à l’occasion de la sortie de sa seconde démo. Il s’agit d’un rétro-FPS avec une direction artistique bien perchée et un gameplay bizarre. On se souvient d’un feeling plutôt correct et d’affrontements gores et nerveux, mais de menus atroces, et d’un univers un peu pesant.
Le jeu est notamment développé sous Godot par JFJ, un YouTuber, et par Mr. Pink, le créateur du déjà très étrange et horrifique Golden Light. A priori, les joueurs ne sont pas spécialement enclins à se lancer dans l’aventure, car malgré les 22 000 spectateurs de la vidéo promo de lancement d’un de ses créateurs, seul un pic de 55 joueurs simultanés a été atteint après la sortie. Et compte tenu de notre expérience sur la démo, on peut vous dire que ce n’est pas étonnant. Non pas que ce soit nul, bien au contraire, mais il faut tout de même un peu s’investir pour rentrer dans le mood, vraiment très spécial.
Si contrairement au grand public, Chambers vous a convaincu, vous pouvez retrouver le jeu en promotion à –20 % sur Steam pour la sortie en accès anticipé, soit 16 € jusqu’au 26 mai.
PIGFACE, le rétro-FPS violent et malsain, se trouve un éditeur
Découvert l’année dernière, PIGFACE, développé par le dev solo tito, est un rétro-FPS dans lequel vous incarnerez une personne ensanglantée se réveillant dans un entrepôt abandonné. Soudainement, une voix mystérieuse vous sommera de tuer quiconque se dressera sur votre chemin et cerise sur le gâteau, une bombe implantée dans votre tête s’activera si vous n’obéissez pas. À la rédac, on avait bien apprécié la démo pour son gunplay et son ambiance. Cette dernière est d’ailleurs toujours disponible sur sa page itch.io.
Sans nouvelle depuis, ce n’est qu’en début de semaine dernière que l’éditeur Dread XP (The Mortuary Assistant, Red Tape, My Friendly Neighborhood ou encore Dread X Collection) a publié un trailer sur sa chaîne officielle YouTube pour annoncer que PIGFACE rejoint leur catalogue de jeux et dispose désormais d’une page Steam. On y apprend que le synopsis a quelque peu changé, à savoir que vous incarnerez un individu au passé horrible contraint de remplir des contrats d’assassinat pour ne pas voir sa tête exploser. Avec l’argent obtenu à la fin de chaque partie, vous pourrez acheter de nouvelles armes et débloquer des masques offrant des capacités spécifiques.
Pour le moment, PIGFACE n’a pas de date de sortie prévue. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
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[TEST] The Talos Principle: Reawakened : sympa à découvrir, mais presque impossible à finir
Sorti en 2014, The Talos Principle avait surpris les joueurs. En effet, c’était un puzzle game développé par Croteam, uniquement connu pour Serious Sam à cette époque. Étonnamment, les mécaniques de gameplay étaient vraiment chouettes, et le lore, basé sur des réflexions philosophiques, était assez bien mis en œuvre. Onze ans, un DLC et une suite plus tard, Croteam, qui a un peu perdu la main pour les fast-FPS, s’est dit qu’il était temps de sortir un remaster : The Talos Principle: Reawakened. En plus d’un changement de moteur, ils ont ajouté un « petit » chapitre inédit, ainsi que des commentaires de développeurs. Mais si c’est indéniablement un beau produit pour les nouveaux joueurs, il propose tout de même quelques défis pour les anciens – et pas des moindres.
Genre : Puzzle game | Développeur : Croteam | Éditeur : Devolver Digital | Plateforme : Steam | Prix : 39,99 € | Configuration recommandée : Ryzen 7 / Core i5 3 Ghz, 16 Go de RAM, RX 6800 / RTX 3070 | Langues : Français pour le contenu d’origine, anglais sous-titré français pour le reste | Date de sortie : 10/04/2025 | Durée de jeu : une bonne vingtaine d’heures minimum pour l’histoire de base et le DLC, et jusqu’à l’explosion du cerveau pour In The Beginning
Test effectué avec une version Steam fournie par l’éditeur.
Copié/collé, mais avec du ray tracing
The Talos Principle: Reawakened est un remaster plutôt sage : le scénario est un copié-collé du jeu d’origine. On incarne un androïde qui se réveille dans un monde bourré de puzzles et d’énigmes, avec une voix spectrale nous dictant nos actions. Mais très rapidement, on peut consulter des terminaux informatiques, qui nous permettent de découvrir qu’on consulte une base de données construite juste avant une sorte d’apocalypse, survenue une dizaine de milliers d’années auparavant. De nombreuses questions philosophiques sont soulevées, et c’est assez bien écrit pour être très intéressant. De même pour le gameplay et les puzzles : ils sont exactement les mêmes qu’en 2014. Si on veut du changement, il faut regarder du côté du moteur graphique, qui passe du Serious Engine 4 à l’Unreal Engine 5. Les textures ont évidemment été retravaillées, et le ray tracing ajouté. Si certains panoramas sont très réussis, notamment grâce aux rayons de soleil, on sent parfois que ce n’est pas à la hauteur, peut-être à cause d’un manque de détails, qui auraient ajouté un peu de crédibilité aux décors. Côté performances, pas de mystère, il faut une machine récente. Mais même avec un PC portable doté d’une RTX 4060, j’ai atteint les 100 FPS en 1080p, ray tracing complet, réglages en moyen, DLSS qualité et génération de frames x2. Enfin, des commentaires des développeurs sont disséminés un peu partout. Ils sont plutôt intéressants, mais deviennent rapidement agaçants si l’on souhaite se concentrer sur les puzzles. J’aurais donc préféré un gros fichier MP3 à côté, que j’aurais pu écouter quand je fais le ménage, ce qui demande, a priori, un peu moins de ressources cognitives.
Petit coup de polish
Je ne vais pas m’étendre sur les puzzles du jeu d’origine et du DLC, car encore une fois, rien n’a bougé depuis onze ans. J’ai beaucoup apprécié l’expérience, qui propose une difficulté progressive et quelques passages un peu plus tendus, notamment pour récupérer les étoiles. En revanche, il arrive que l’on rencontre des tetrominos, jeu que je déteste, donc je n’ai pas spécialement passé de bons moments lorsqu’il fallait les résoudre. Heureusement, il n’y en a pas tant que ça. De petites améliorations de la qualité de vie – notamment la possibilité de mettre des pauses dans l’enregistreur – font de ce The Talos Principle: Reawakened la meilleure manière de découvrir le titre pour les nouveaux joueurs, et sont tout aussi plaisantes pour les vétérans, qui auront sans doute oublié quelques passages.
Combustion des neurones
Le chapitre inédit, In The Beginning, est quant à lui d’une difficulté abyssale. Il propose 18 puzzles, dont 16 ont été construits en collaboration avec des membres de la communauté – a priori des autistes de haut niveau. Alors que la barre avait déjà été relevée pour le DLC Road to Gehenna, on arrive ici dans une autre catégorie. J’ai commencé par l’environnement égyptien, la fleur au fusil, inconscient de ce qui allait me tomber dessus. Mais dès le premier puzzle, je me suis retrouvé à regarder les différents éléments comme une poule devant un couteau, alors que j’avais une vingtaine d’heures du jeu d’origine dans les pattes. J’ai parcouru les autres énigmes, jusqu’à en trouver une qui me paraissait plus abordable. Il m’a fallu une petite heure pour la résoudre. De retour dans le hub, j’ai tenté l’univers médiéval, pour finalement trouver des configurations qui m’ont semblées un peu plus accessibles, mais nécessitant tout de même d’innombrables allers-retours et réinitialisations pour atteindre l’objectif. Je n’ai pas eu le courage de toutes les faire, mais les joueurs en recherche des défis les plus ardus devraient être contents. Comptez de 30 à 40 minutes pour les moins durs, et jusqu’à la rupture d’anévrisme pour les plus compliqués. Si se sentir démuni face à des énigmes peut s’avérer frustrant, la satisfaction d’avoir trouvé la solution avec cette si grande difficulté est particulièrement douce.
Un remaster qui réveille le cerveau
The Talos Principle: Reawakened est un très bon remaster. Le moteur Unreal Engine 5 est plutôt bien maîtrisé par Croteam, et produit un rendu parfois très joli, tout en conservant des performances acceptables si l’on possède une machine récente. Côté gameplay, le jeu d’origine et son DLC sont copiés à la lettre, avec toutefois de petites améliorations de qualité de vie appréciables. C’est donc toujours aussi bien, avec une difficulté progressive, très agréable. Les développeurs ont également ajouté des commentaires dans tous les coins, mais qui deviennent un peu chiants, surtout quand on est concentré sur une énigme. Enfin, l’ajout d’un chapitre inédit, principalement à destination des vétérans, franchit une sacrée marche en termes de difficulté. C’est extrêmement dur, mais très satisfaisant lorsque l’on parvient à résoudre les puzzles. De là à justifier l’achat du remaster pour 40 € uniquement pour ça, peut-être pas, mais c’est indéniablement une bonne pioche pour les nouveaux joueurs fans du genre.
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