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SIGNÉ BFM - Un drone kamikaze ukrainien détruit un sous-marin russe lors d'une attaque inédite en mer Noire

Une opération inédite. L'Ukraine a affirmé ce lundi 15 décembre avoir détruit un sous-marin russe à l'aide d'un drone naval, une première depuis le début de la guerre. Cette "opération spéciale unique en son genre" a été menée par le SBU, le service de sécurité ukrainien, et la marine ukrainienne dans le port russe de Novorossiisk en mer Noire.

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Au Cambodge, les travailleurs revenus de Thaïlande tombent dans les filets de la cybercriminalité

Depuis l’envenimement des relations entre les deux pays, plus de 900 000 Cambodgiens sont revenus chez eux, avec la promesse du gouvernement qu’ils retrouveraient un emploi. Las, pris à la gorge, beaucoup se retrouvent à travailler pour des centres de cyberfraude, dont parfois ils ne reviennent pas vivants.

© Anton L. Delgado / AP

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La force multinationale proposée par les Européens en Ukraine : de quoi s’agit-il concrètement ?

Les pions diplomatiques avancent sur l’échiquier européen. Volodymyr Zelensky s’est félicité, lundi 15 décembre, de "progrès" dans les négociations avec les Etats-Unis pour mettre fin à la guerre avec la Russie, les Européens avançant de leur côté la proposition d’une force multinationale pour garantir la paix en Ukraine. Donald Trump s’est lui montré très optimiste, après s’être entretenu avec son homologue ukrainien et plusieurs dirigeants européens. Dimanche et lundi, le président ukrainien a négocié à Berlin avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner, gendre de Donald Trump, pour tenter d’aboutir à un compromis sur un plan pouvant mettre fin aux combats.

Au cœur des discussions, la protection qu’obtiendra l’Ukraine des Américains après un éventuel cessez-le-feu. Kiev redoute qu’un cessez-le-feu sans protection solide n’ouvre la voie à une nouvelle offensive russe. Les Etats-Unis ont dit offrir des garanties de sécurité "très fortes" mais néanmoins acceptables, selon eux, pour la Russie. Un "engagement juridiquement contraignant" qui prévoit une assistance militaire des alliés, sur un modèle proche de l’article 5 du traité de l’Otan, sans pour autant intégrer l’Ukraine à l’Alliance, une ligne rouge pour le Kremlin.

Dans une déclaration commune, les dirigeants du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne et de huit autres pays européens ont donné leur aperçu le plus détaillé à ce jour des garanties de sécurité qu’ils sont prêts à fournir à l’Ukraine, avec l’aval des Etats-Unis. C’est dans ce cadre que s’inscrit la proposition européenne d’une "force multinationale pour l’Ukraine". Concrètement, cette force serait dirigée par les Européens, composée de contingents fournis par des pays volontaires et soutenue par les Etats-Unis.

Une force qui pourrait opérer sur le sol ukrainien

Inspirée de la "coalition des volontaires", portée par la France et le Royaume-Uni, elle pourrait soutenir de manière "durable" une armée ukrainienne de 800 000 hommes, selon une déclaration transmise par le gouvernement allemand. Cette force multinationale pourrait également opérer sur le sol ukrainien. "Elle contribuera à la régénération des forces ukrainiennes, à la sécurisation de l’espace aérien ukrainien et à la sécurisation des mers, notamment en opérant à l’intérieur de l’Ukraine", résume le texte rédigé par les Européens.

L’objectif affiché est clair : dissuader Moscou de toute nouvelle attaque après un cessez-le-feu. "Les Européens cherchent à bétonner des garanties de sécurité avant toute concession territoriale", résume le quotidien belge Le Soir. Berlin, Paris, Londres et plusieurs autres capitales estiment qu’un accord de paix serait voué à l’échec sans un dispositif crédible de protection à long terme. Le Premier ministre britannique Keir Starmer l’a rappelé : sans garanties "solides", aucun accord ne tiendrait.

"Vraie chance pour un processus de paix"

Les discussions de Berlin marquent aussi un tournant diplomatique. Le format Ukraine – Etats-Unis – Europe constitue une première depuis la présentation, en novembre, d’un plan américain jugé trop favorable à Moscou par plusieurs capitales européennes. Un mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu, dirigé par les Etats-Unis, est également évoqué. Le document souligne qu’il appartient "désormais à la Russie de montrer sa volonté d’œuvrer en faveur d’une paix durable". Les pourparlers de Berlin offrent une "vraie chance pour un processus de paix", a estimé Friedrich Merz, jugeant qu’un cessez-le-feu avant Noël ne dépendait "plus que de la Russie".

Des divergences majeures subsistent toutefois, notamment sur la question des territoires occupés par la Russie. Volodymyr Zelensky plaide pour un gel de la ligne de front plutôt qu’une cession territoriale, alors que Moscou réclame la reconnaissance de ses conquêtes, en particulier dans le Donbass, région hautement fortifiée où les combats restent intenses malgré les lourdes pertes russes. Pour les Européens comme pour Kiev, la balle est désormais "dans le camp de la Russie".

© afp.com/RALF HIRSCHBERGER

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EN DIRECT, attentat en Australie : les deux assaillants sont allés sur une île des Philippines qui abrite des combattants islamistes, selon les enquêteurs

Un père et son fils ont ouvert le feu dimanche sur une plage de Sydney au cours d’une fête juive, faisant quinze morts. L’attaque semble « motivée par l’idéologie de l’Etat islamique », a affirmé le premier ministre australien, Anthony Albanese.

© Mark Baker / AP

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Attentat à Sydney : l'enquête avance, le gouvernement évoque "l'idéologie de l'Etat islamique"

Le Premier ministre australien Anthony Albanese a indiqué mardi 16 décembre que les auteurs de l'attentat meurtrier sur une plage de Sydney étaient probablement "motivés par l'idéologie" du groupe "Etat islamique" alors que l'enquête apporte un faisceau d'indices croissant.

Dimanche soir, Sajid et Naveed Akram, un père et son fils, ont ouvert le feu à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes sur la foule rassemblée sur la plage de Bondi pour la fête juive de Hanouka, faisant au moins 15 morts et 42 blessés. Les autorités ont qualifié l'attentat d'antisémite mais n'avaient jusque-là donné que peu de détails sur les motivations des assaillants. Mardi, Anthony Albanese a évoqué une radicalisation des deux assaillants avant l'attentat. "Il semblerait que cela ait été motivé par l'idéologie de l'Etat islamique" (EI) a déclaré le chef du gouvernement à la chaîne nationale ABC.

Un voyage aux Philippines

Le véhicule retrouvé près de la plage de Bondi était immatriculé au nom du fils, contenait deux drapeaux de l'Etat islamique et des engins explosifs improvisés, a déclaré plus tard Mal Lanyon, responsable de la police de Nouvelle-Galles-du-Sud.

Mal Lanyon a précisé que la police enquêtait sur un récent voyage aux Philippines effectué par le père et le fils. Le Bureau de l'Immigration des Philippines a confirmé mardi que le père et le fils s'étaient rendus dans le pays entre le 1er et le 28 novembre, respectivement avec un passeport indien et australien, et que leur finale était la région de Davao, sur l'île méridionale de Mindanao. De petits groupes de combattants islamistes ayant prêté allégeance à l'Etat islamique (EI) subsistent sur l'île de Mindanao, en dépit de la signature d'un pacte de paix en 2014 entre le gouvernement et le Front islamique de libération Moro.

Selon Anthony Albanese, le plus jeune assaillant, Naveed Akram, 24 ans, avait fait l'objet de vérifications des renseignements australiens en 2019, sans paraître constituer à l'époque de menace immédiate. "Il a attiré leur attention en raison de ses relations avec d'autres", "deux des personnes avec lesquelles il était associé ont été inculpées et sont allées en prison, mais il n'a pas été considéré à l'époque comme un potentiel suspect", a rapporté M. Albanese.

Le jour de l'attaque, l'homme a dit à sa mère qu'il partait en ville pour pêcher, selon des médias. Les autorités pensent qu'il s'est en fait retranché dans un appartement de location avec son père pour préparer l’attaque. Armés de fusils, les deux hommes ont criblé la plage de balles pendant dix minutes avant que la police n'abatte Sajid, âgé de 50 ans. Arrêté par la police et grièvement blessé, Naveed se trouve lui, dans le coma à l'hôpital, sous la surveillance des forces de l'ordre.

"Nous sommes un pays courageux"

Le Premier ministre s'est rendu mardi au chevet d'Ahmed Al Ahmed, qui a réussi à arracher le fusil d'un des assaillants. "Nous sommes un pays courageux. Ahmed al Ahmed incarne ce que notre pays a de meilleur", a souligné Anthony Albanese. Grièvement blessé, et cloué au lit, Ahmed Al Ahmed a brièvement remercié en arabe les personnes qui lui souhaitent du bien dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux mardi matin.

Nombre de dirigeants mondiaux ont condamné avec force cet attentat qui a tué 15 personnes âgées de 10 ans à 87 ans, dont un Français de 27 ans, Dan Elkayam, un rabbin de 41 ans, Eli Schlanger et Alex Kleytman, un survivant de la Shoah né en Ukraine.

Pour le dirigeant israélien Benyamin Netanyahou, la décision australienne de reconnaitre la Palestine plus tôt cette année a mis de "l'huile sur le feu de l'antisémitisme". Le gouvernement a "échoué à prendre des mesures adéquates pour protéger la communauté juive" a déclaré à l'AFP le président de l'Australian jewish association.

Les chefs des Etats et territoires d'Australie se sont réunis lundi pour convenir du renforcement de la "législation sur les armes à feu", qui a permis au père Sajid Akram de posséder six armes. Le pays n'avait pas été frappé par une telle tuerie depuis le massacre de Port Arthur en 1996, qui avait fait 35 victimes en Tasmanie, au sud de l'Australie. L'attentat avait été suivi d'un programme de rachat d'armes et de nouvelles restrictions sur les armes semi-automatiques.

© afp.com/Handout

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Terrorisme antisémite : Sydney ne sera pas la dernière cible

A Gaza, les armes se taisent depuis deux mois. Ailleurs dans le monde, la haine antisémite n’a pas hurlé aussi fort depuis des décennies. En Occident, les manifestations propalestiniennes rassemblent chaque week-end des foules plus compactes et plus radicalisées contre Israël, avec un slogan entêtant : "mondialiser l’intifada". Soit répandre sur le globe cette "guerre des pierres" qui a opposé, par deux fois, Israéliens et Palestiniens.

A Sydney, ce 14 décembre, ce slogan a pris vie. Ou plutôt, il a semé la mort. Deux terroristes, un père et son fils, ont massacré quinze personnes sur la plage de Bondi, en pleine cérémonie de Hanoukka. Si le motif antisémite ne fait aucun doute, les errements des autorités interrogent : alors que le fils était proche de l’Etat islamique et sous surveillance, son père possédait un permis de port d’armes et six armes à feu. Comment un tel relâchement a-t-il été possible ? Une partie des médias australiens pointe les hésitations du gouvernement travailliste à s’attaquer de front à l’antisémitisme, inquiet de braquer la communauté musulmane du pays.

Les autorités étaient pourtant informées de la menace : les renseignements israéliens avaient fourni de nombreuses alertes à Canberra, notamment sur des réseaux iraniens prêts à frapper la communauté juive. Des menaces sérieuses, qui ont convaincu l’Australie d’expulser l’ambassadeur iranien en août. Insuffisant pour arrêter cette machine mortifère.

31 % des 18-24 ans jugent légitime de s’en prendre aux Français juifs

L’attentat de Sydney nous le rappelle : nous sommes entrés dans une nouvelle ère de la haine des juifs. "Deux ans après le massacre du 7-Octobre, il devrait être clair que l’antisémitisme ne reste pas confiné à la rhétorique, souligne Moshe Kantorn, président du Congrès juif européen, dans une récente tribune pour Euronews. Il se métastase en violence, déstabilise les communautés et empoisonne le tissu même de la vie démocratique." Aux Etats-Unis, le venin antisémite se répand ouvertement, de l’extrême gauche des campus aux influenceurs Maga les plus célèbres, comme Candace Owens et le néonazi Nick Fuentes, avec un accès direct à la Maison-Blanche.

La France n’est pas à l’abri, même si les autorités ont retenu les leçons des tragédies de l’école Ozar Hatorah de Toulouse en 2012 ou de l’Hyper Cacher en 2015. Les synagogues, les lieux de vie de la communauté juive et leurs fêtes, comme la célébration de Hanoukka sur les Champs-Elysées ce dimanche, restent sous forte protection policière. Ce qui n’empêche pas l’antisémitisme de prospérer : en septembre, un sondage de l’Ifop révélait que 31 % des 18-24 ans jugent légitime de s’en prendre aux Français juifs en raison de la guerre à Gaza. Nous sommes, nous aussi, dans une nouvelle ère.

© afp.com/Saeed KHAN

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Pourparlers sur l'Ukraine : la descente aux enfers de l’Europe donne le tournis

"Il n’y a que deux types d’États en Europe : les petits et ceux qui ne savent pas encore qu’ils le sont". L’aphorisme attribué à l’homme d’Etat belge Paul-Henri Spaak, l’un des pères de la construction européenne dans les années 1950, n’a jamais été si proche de la réalité. Donald Trump, Vladimir Poutine et Xi Jinping l’ont bien compris, qui tiennent les Etats européens pour quantité négligeable et les voient comme un espace ouvert à leurs ingérences.

Les Européens ? "Ils parlent mais ils ne produisent pas", a argué le président américain dans une interview le 9 décembre au média Politico. La nouvelle Stratégie nationale de sécurité qu’il vient de promulguer affiche l’intention d’affaiblir, voire de détruire, les institutions communautaires. Même l’Otan est en sursis. Côté russe, le maître du Kremlin n’est pas en reste : "Les Européens sont vexés d’avoir été écartés des négociations […] ils n’ont pas de programme de paix, ils sont du côté de la guerre", a-t-il lancé le 2 décembre.

Une descente aux enfers de l'Europe

Sur le plan stratégique, la descente aux enfers de l’Europe donne le tournis. Elle n’est associée que marginalement aux discussions alors que c’est sa propre sécurité, au-delà de celle de l’Ukraine, qui est en jeu dans les steppes du Donbass. Beaucoup de citoyens européens ont éprouvé un profond sentiment d’humiliation en voyant leurs dirigeants contraints de quémander auprès de Washington un strapontin aux pourparlers de paix.

Trump a raison sur un point : pris individuellement, les Etats européens sont tous des poids plumes. Côté français, Emmanuel Macron en a fait la douloureuse expérience lors de son voyage le mois dernier à Pékin. Xi a rejeté avec dédain sa demande que la Chine se désolidarise de la Russie. L’Allemagne, poids lourd du continent, n’est pas traitée avec plus d’égards que les autres par Washington qui apporte son appui au parti d’extrême droite AfD. Et le Royaume-Uni, fidèle parmi les fidèles de la relation transatlantique, est vilipendé par Trump à chaque occasion qui s’offre à lui. Les grands d’antan découvrent leur nouvelle insignifiance.

Les dirigeants européens ne doivent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Ils se sont voilé la face devant les intentions hostiles de Poutine, même après l’annexion de la Crimée et l’occupation du Donbass en 2014. Ils ont cru que la Chine communiste allait devenir, comme par magie, pro occidentale. Ils ont prié en vain pour que Joe Biden soit réélu à Washington, puis ils ont courtisé son successeur avec flagornerie, sans rien obtenir en échange. "Les Européens ont tendu tellement de joues à Trump qu’on se demande s’il leur en reste", observe avec ironie Nathalie Tocci, la directrice de l’Institut italien des Affaires internationales, dans la revue Foreign Policy.

Le fractionnement du continent

Des raisons structurelles jouent leur rôle pour affaiblir l’Europe : le fractionnement du continent, la complexité des institutions européennes, le décrochage économique et la désindustrialisation accélérée, la dépendance énergétique, l’illusion qu’il serait possible de réarmer sans faire maigrir l’État providence : les États-Unis consacrent seulement 20 % de leur PIB aux dépenses sociales, selon l’OCDE, alors que le taux atteint plus de 30 % en France et près de 28 % en Allemagne ou en Italie.

Le rapport Draghi soulignait l’an dernier "la lente agonie" de l’Union. Ses propositions ont été en majorité ignorées, surtout celles qui prônaient plus d’intégration et qui auraient justement permis à l’UE d’être prise au sérieux et de compter parmi les grands. La guerre d’Ukraine agit comme un cruel révélateur des manquements européens. Pour peser face aux puissances prédatrices, il faudrait se souvenir que l’union fait la force, mais aussi définir une vraie stratégie européenne, renouer avec la croissance économique et avec l’innovation, se doter d’une force militaire cohérente et apte à dissuader, être capable de prendre des décisions rapides et efficaces.

Il existe quelques raisons d’espérer. Le réveil stratégique, bien que tardif, est en cours. Berlin, Londres et Paris ont compris l’intérêt de se serrer les coudes et de créer autour d’eux une sorte de conseil de sécurité européen. En outre, la Coalition des volontaires qu’ils veulent mettre sur pied pour garantir un éventuel cessez-le-feu en Ukraine est prometteuse. Mais tout cela est fragile et manque d’ambition. Le risque ne peut pas être écarté que le grand mouvement tectonique des plaques auquel nous assistons disloque l’Europe. Dans ce cas, Paul-Henri Spaak aura définitivement eu raison.

© afp.com/Adrian DENNIS

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Au lendemain de la fusillade de Sydney, la police s’oriente vers la piste d’une action « inspirée par l’Etat islamique »

La police australienne a retrouvé des drapeaux de l’organisation djihadiste dans le véhicule de Sajid et Naveed Akram, le père et le fils à l’origine de l’attaque antisémite qui a fait 15 morts dimanche. Les enquêteurs s’intéressent au voyage qu’ils ont réalisé en novembre sur l’île de Mindanao aux Philippines, où subsistent des groupes affiliés à l’EI.

© DAVID GRAY/AFP

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Washington frappe trois navires liés au "narcotrafic", faisant au moins huit morts

Les États-Unis ont attaqué, lundi, trois navires qui "transitaient le long de routes connues du narcotrafic dans l'est du Pacifique et étaient impliqués dans le narcotrafic", selon l'armée américaine qui indique la mort de huit "narco-terroristes" dans ces opérations. Les frappes de ce type ont fait plus de 95 morts depuis septembre.

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Face au gouvernement Trump, Hollywood fait de la figuration

Longtemps ouvertement critique à l’égard de Donald Trump, le cinéma américain fait profil bas depuis son second mandat présidentiel. Alors qu’une ancienne génération de stars militantes continue néanmoins de monter au créneau, les jeunes vedettes se gardent d’exprimer la moindre opinion politique.

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Au Danemark, une université cible d’une cabale anti-immigration

L’université de Roskilde s’est retrouvée au centre d’une polémique en raison de ses programmes, accusés par l’extrême droite et la première ministre sociale-démocrate, Mette Frederiksen, d’être une voie détournée d’immigration pour des étudiants étrangers.

© Anders Holst pour « LE MONDE »

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