↩ Accueil

Vue lecture

Au Brésil, le placement en détention provisoire de l’ex-président Bolsonaro suscite la colère de ses partisans

RÉCIT - De crainte qu’il ne se réfugie dans une ambassade amie, après avoir endommagé son bracelet électronique avec un fer à souder, un juge de la Cour suprême a ordonné la détention provisoire de l’ancien président, condamné à 27 ans de prison pour tentative de coup d’État.

© Mateus Bonomi / REUTERS

  •  

Bolsonaro dit avoir utilisé un fer à souder contre son bracelet électronique

L'ancien président brésilien Jair Bolsonaro reconnaît avoir utilisé un fer à souder pour ouvrir son bracelet électronique, disant l'avoir fait par "curiosité", dans une vidéo rendue publique par la Cour suprême. Condamné à 27 ans de prison pour tentative de coup d'Etat, l'ex-chef d'Etat a été placé en détention provisoire samedi après avoir tenté de casser le bracelet qu'il devait porter depuis août tout en étant assigné à résidence, selon un juge qui a estimé qu'il nourrissait des projets d'évasion.

  •  

Curiosité ou évasion planifiée ? Bolsonaro tente d’ouvrir son bracelet électronique au fer à souder

Jair Bolsonaro a admis, samedi, avoir tenté d’ouvrir son bracelet électronique à l’aide d’un fer à souder, par “curiosité”, selon une vidéo dévoilée par la Cour suprême. Les images montrent le dispositif toujours attaché à la cheville de l'ancien président brésilien mais endommagé et brûlé. La défense a 24 heures pour fournir des explications.

  •  

EN DIRECT, guerre en Ukraine : le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, est arrivé à Genève pour discuter du plan de Donald Trump

Des responsables ukrainiens, américains et européens se retrouvent dimanche en Suisse pour discuter du plan de Donald Trump pour l’Ukraine, qui fait craindre à Kiev une capitulation forcée mais ne constitue pas, selon Washington, une offre finale.

© Pierre Albouy / REUTERS

  •  

Russie: des personnalités appellent à la libération du Français Laurent Vinatier

Une cinquantaine de personnalités françaises comme la prix Nobel de littérature Annie Ernaux ou l'écrivain Emmanuel Carrère ont signé, samedi 22 novembre, une tribune dans le journal Le Monde en soutien à Laurent Vinatier. Ils appellent la France à faire tout ce qui est en son pouvoir pour obtenir la libération du chercheur français, qui travaillait pour une ONG suisse avant d'être arrêté et emprisonné en Russie en juin 2024.

  •