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Ukraine : des concessions territoriales ne peuvent être "négociées que par Volodymyr Zelensky", dit Emmanuel Macron
Après leur rencontre en Alaska en août, qui n'avait débouché sur rien de concret, Donald Trump et Vladimir Poutine doivent se rencontrer prochainement pour parler de la guerre en Ukraine. Leur sommet, qui serait le deuxième destiné à trouver une issue au conflit déclenché par Moscou, devrait avoir lieu avant le mois de novembre, d'après le président américain. Mais la perspective semble désormais s'éloigner, alors qu'aucune date n'a encore été fixée. "Aucun délai précis" n'a été déterminé, a rappelé ce mardi 21 octobre la Russie, insistant sur la nécessité de "préparatifs sérieux". Alors que les dirigeants européens redoutent un accord qui se ferait au détriment de l'Ukraine et des intérêts de sécurité en Europe, plusieurs d'entre eux ont affirmé mardi avec Volodymyr Zelensky que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie.
Les infos à retenir
⇒ Des concessions territoriales ne peuvent être "négociées que par le président Zelensky", selon Emmanuel Macron
⇒ Sommet Poutine-Trump : la Russie éloigne la perspective d'une concrétisation rapide
⇒ Pologne : une cinquantaine de suspects accusés d'agir pour Moscou arrêtés depuis 2022
Des concessions territoriales ne peuvent être "négociées que par le président Zelensky", selon Emmanuel Macron
Des concessions territoriales en Ukraine "ne peuvent être négociées" que par son président Volodymyr Zelensky, a affirmé ce mardi le chef de l'Etat français Emmanuel Macron à Ljubljana en Slovénie. "Nul autre ne saurait le faire et donc c'est à l'Ukraine de décider pour elle-même et son territoire et aux Européens de décider pour eux-mêmes et leur sécurité", a-t-il ajouté en référence à une rencontre envisagée à Budapest entre le président russe Vladimir Poutine et son homologue américain Donald Trump.
Parallèlement à ces déclarations, les dirigeants européens ont affirmé aujourd'hui avec Volodymyr Zelensky que la ligne de front actuelle devait servir de "base" aux discussions avec la Russie. "Nous soutenons fermement la position du président Trump selon laquelle les combats doivent cesser immédiatement, et que la ligne de contact actuelle doit servir de base pour les négociations", plaide un communiqué signé par la France, la Grande-Bretagne ou encore l'Allemagne. "Nous restons attachés au principe selon lequel les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force", ajoute toutefois le texte, les dirigeants s'engageant également à maintenir leur soutien pour que l'Ukraine reste "dans la position la plus forte possible".
Sommet Poutine-Trump : la Russie éloigne la perspective d'une concrétisation rapide
La Russie a minimisé ce mardi les chances qu'un sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump intervienne rapidement, en soulignant qu'"aucun délai précis" n'a été fixé pour cette rencontre qui doit être précédée d'un travail préparatoire entre Moscou et Washington. "Ni le président (russe Vladimir) Poutine, ni le président (américain Donald) Trump n'ont annoncé de délai précis", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors d'un briefing auquel participe l'AFP. "La partie américaine, comme la partie russe ont déclaré que cela pourrait demander du temps", a-t-il rappelé, en insistant sur la nécessité des "préparatifs sérieux".
Moscou a également jugé mardi "prématuré" d'envisager un calendrier pour la rencontre entre les chefs de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et américain Marco Rubio, censée ouvrir la voie au prochain sommet Poutine-Trump envisagé à Budapest sur la guerre en Ukraine. Pour l'heure, "nous nous sommes mis d'accord pour poursuivre les contacts téléphoniques", a annoncé mardi Sergueï Lavrov, lors d'une conférence de presse.
Pologne : une cinquantaine de suspects accusés d'agir pour Moscou arrêtés depuis 2022
Cinquante-cinq personnes soupçonnées d'agir pour le compte de Moscou ont été interpellées en Pologne depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, a déclaré ce mardi à l'AFP le porte-parole des services spéciaux polonais. "Ces personnes qui agissaient au détriment de la Pologne ont toutes été accusées en vertu de l'article 130 du code pénal qui parle d'espionnage et de sabotage", a dit ce porte-parole, Jacek Dobrzynski.
Le Premier ministre polonais Donald Tusk a évoqué plus tôt dans la journée sur X huit interpellations récentes de personnes "soupçonnées de préparer des actes de sabotages". Selon Jacek Dobrzynski, parmi ces huit interpellés figurent trois ressortissants ukrainiens ayant "créé une sorte de filière pour acheminer des explosifs à travers la Pologne et la Roumanie vers l'Ukraine".
Depuis le début de l'invasion russe en février 2022, la Pologne a accusé la Russie d'être derrière plusieurs actes et tentatives de sabotage, dont plusieurs incendies à travers le pays y compris à Varsovie, des accusations régulièrement rejetées par Moscou. En représailles, la Pologne a imposé des restrictions aux déplacements de diplomates russes sur son sol et ordonné la fermeture de deux consulats russes, à Poznan (ouest) et à Cracovie (sud).
© Yoan VALAT / POOL / AFP
Takaichi Sanae, Première ministre du Japon : un fragile espoir pour les femmes
La dernière femme qui avait dirigé le Japon s’appelait Go-Sakuramachi. C'était en 1762. Autant dire que la nomination de Sanae Takaichi, ce 21 octobre, constitue un choc dans ce pays conservateur, où les femmes occupent rarement des postes à responsabilités. Le Japon n’arrive qu’à la 141e place (sur 183) en proportion de femmes élues au sein du Parlement, selon l’organisation IPU. Dans le business, ce n'est pas mieux. Seul un conseil d'administration sur dix compte une femme dans ses rangs. Et plus d’une entreprise sur deux n'a aucune femme dans son équipe de direction.
Traditionaliste, Sanae Takaichi va-t-elle s'attaquer à ce plafond de verre ? Certains, à Tokyo, en doutent, arguant qu’elle s’est, par le passé, opposée à la révision d’une loi centenaire qui contraint la plupart des épouses à abandonner leur nom de famille. Elle a également refusé de changer une loi de 1947 qui interdit aux femmes d’hériter du trône impérial. A peine nommée, cette admiratrice de Margaret Thatcher a déjà douché certains espoirs en ne nommant que deux femmes ministres, loin de ses promesses de former un gouvernement "à la scandinave", proche de la parité. Un signal qui aurait pourtant pu faire bouger une société japonaise très corsetée, où les jeunes mères sont souvent cantonnées à des rôles domestiques.
Pour les aider à faire carrière, la nouvelle cheffe du parti conservateur (PLD) devra s’attaquer au problème des garderies, peu nombreuses. Et lutter ainsi contre le déclin démographique. Une mesure d'autant plus urgente que cette nationaliste s'oppose à toute politique d'immigration.
© afp.com/Kazuhiro NOGI
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