↩ Accueil

Vue lecture

En direct, Gaza : le point sur la situation

L’armée israélienne, qui contrôle aujourd’hui environ 75 % de la bande de Gaza, dit préparer une offensive pour s’emparer de la ville de Gaza, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien.

© EYAD BABA / AFP

  •  

Réunion de la "coalition des volontaires": les Ukrainiens fatalistes

Une réunion de la "coalition des volontaires" se tiendra ce jeudi 4 septembre avec comme objet les garanties de sécurité pour l'Ukraine. Cette "coalition des volontaires" réunit une trentaine de pays, principalement européens, dont certains sont prêts à déployer des soldats en Ukraine lorsqu'un cessez-le-feu avec la Russie sera signé afin de dissuader la Russie d'une nouvelle agression.

  •  

Bataille acharnée dans le Donbass, crainte d'une nouvelle offensive russe... Où en est la situation sur le front ukrainien?

Volodymyr Zelensky se rend ce jeudi à Paris pour assister à la réunion des États européens prêts à offrir à son pays des "garanties de sécurité" dans l'hypothèse d'un cessez-le-feu avec la Russie. Mais alors que les Occidentaux multiplie les initiatives en vue d'une paix en Ukraine, la Russie poursuit plus que jamais sa guerre d'invasion.

  •  

« Le partenariat, même inégal, qu’était l’Alliance atlantique devient une affaire où les Etats-Unis marchandent leur protection »

Les Européens, soucieux d’éviter que les Etats-Unis se désengagent de l’Ukraine, balancent entre soumission raisonnée et émancipation. Mais, pour le président américain, indifférent à l’argument politico-moral, l’OTAN doit avant tout « rapporter », analyse, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».

© SERVICE DE PRESSE PRÉSIDENTIEL UKRAINIEN/via REUTERS

  •  

Dans la bataille judiciaire face à Donald Trump, l'université Harvard marque un point

Une juge américaine a annulé mercredi le gel des financements de l'université Harvard décidé par l'administration Trump, qui constituait selon elle une "violation du premier amendement" de la Constitution. Alors que le président américain accuse l'université de ne pas avoir suffisamment agi contre l'antisémitisme, la juge estime qu'"il existe peu de lien entre les domaines de recherches affectés par les gels de subventions et l'antisémitisme". La Maison Blanche va faire appel.

  •