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Casse au Louvre : aurait-on pu l'éviter ?

Trois jours après le cambriolage, le Louvre a rouvert ses portes. Les voleurs de huit joyaux de la couronne de France courent toujours. L’enquête se poursuit et aucune piste n’est écartée. C’est une course contre-la-montre puisque ces bijoux, estimés à 88 millions d’euros, risquent d’être dépecés. La procureure de Paris Laure Beccuau a dénoncé un préjudice économique et historique majeur pour le Louvre. Laurence des Cars, la présidente du musée du Louvre, a elle été auditionnée au Sénat. "C'est une blessure immense", a-t-elle déclaré, affirmant également que les alarmes avaient fonctionné. Est-ce le casse du siècle ? Que faut-il faire pour mieux protéger les collections ?

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« Une réelle avancée » : comment le contrôle des antécédents a conduit à écarter 1733 personnes des métiers de l’enfance

1 733 personnes déjà écartées et ce n’est qu’un début : le nouveau dispositif de contrôle des professionnels et bénévoles de l’accueil et de la protection de l’enfance est vu comme un réel progrès, même s’il a ses limites.

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Couronne « écrasée », surveillance vidéo « très insuffisante » : les explications de la directrice du Louvre après le casse

Interrogée devant la commission de la culture au Sénat sur le casse du Louvre dimanche, la présidente-directrice du musée, Laurence des Cars, a reconnu que le système extérieur de vidéosurveillance était « très insuffisant ». Elle a proposé plusieurs pistes d’amélioration.

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Cambriolage au Louvre : ce qu'il faut retenir de l'audition de la directrice Laurence des Cars

Lors de son audition face aux sénateurs mercredi, la directrice du Louvre, Laurence des Cars, a admis que le système vidéo de l'extérieur du Louvre était "très insuffisant" tout en assurant qu'il n'y avait "pas de retard" dans la mise en place du plan de sécurisation du musée. La patronne du musée le plus visité au monde a confirmé avoir présenté sa démission.

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"Décalage" de la réforme des retraites : Emmanuel Macron sème le trouble

Emmanuel Macron, en visite en Slovénie, a évoqué un simple "décalage" de la réforme des retraites, jetant le trouble sur les intentions du gouvernement. Une déclaration qui contredit la promesse de suspension faite par Sébastien Lecornu au PS pour éviter la censure. Le Premier ministre a dû rassurer les socialistes en leur donnant de nouvelles garanties. À quoi joue Emmanuel Macron ? Roselyne Febvre pose la question à Pablo Pillaud-Vivien, rédacteur en chef de la revue Regards et Dominique de Montvalon, éditorialiste politique.

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