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Comment sublimer ses photos et optimiser son workflow avec Luminar 2.2

Avec sa version 2.2, Luminar Mobile intègre deux fonctionnalités particulièrement attendues par les utilisateurs. Désormais, l’application prend en charge l’édition complète des fichiers RAW, permettant un contrôle avancé sur la qualité des images. De plus, la synchronisation via iCloud facilite le transfert et l’accès aux projets entre appareils, offrant une expérience fluide et connectée pour le

L’Epic Games Store s’enrichit d’une vingtaine de jeux et va en offrir un chaque semaine

Epic est bien décidé à démocratiser son Games Store sur mobile. L’entreprise a annoncé qu’elle venait d’ajouter une vingtaine de jeux sur sa boutique, payants comme gratuits. Elle a également lancé un programme de cadeau offrant un titre pendant une certaine durée, à la manière de ce qu’elle propose depuis longtemps sur PC. Le mélange de rogue-like et de dungeon-defense Dungeon of the Endless: Apogee est le premier à ouvrir le bal : habituellement facturé 7,19 €, il sera gratuit jusqu’au 20 février. Epic promet que la cadence accélérera par la suite pour passer sur un rythme de cadeaux hebdomadaire.

Le Games Store sur iPhone.

Il est possible d’acheter plusieurs titres intéressants après avoir mis à jour l'Epic Games Store (n'hésitez pas à la réinstaller complètement depuis le site d'Epic si la procédure coince). On y trouve par exemple Out There, Samorost 2, Hidden Folks ou Pilgrims. D’autres jeux comme Cultist Simulator ou Bloons TD 6 arriveront par la suite. Epic a également mis en place une fonction d’autoconnexion évitant d’avoir à ré-entrer son compte sur chaque jeu, et a aussi amélioré le système de mise à jour automatique de l’app de sa boutique.

Si c’est un bon début, Epic se rend bien compte du fait que proposer son jeu en dehors de l’App Store peut engendrer des frais supplémentaires aux développeurs. Apple impose en effet la Core Technology Fee (CTF), qui taxe 50 centimes sur chaque installation à partir d’un million de téléchargement annuel. Pour faire passer la pilule, l’entreprise de Tim Sweeney s’est engagée à payer cette taxe pendant un an pour les jeux rendus temporairement gratuits sur sa boutique.

Dans un billet de blog, le patron d’Epic déclare avoir conscience que cette combine « n'est pas financièrement viable pour tous les magasins d'applications tiers ou pour Epic à long terme ». Il estime cependant devoir le faire « le temps que la Commission européenne enquête sur la non-conformité d'Apple avec la loi ». Tim Sweeney espère en effet que l’Union européenne va sévir auprès d’Apple et de son plan d’ouverture qui, selon lui, ne respecte pas le DMA.

La version mobile de l’Epic Games Store ne décolle pas particulièrement, avec 29 millions de téléchargements à la fin 2024 sur les 100 millions visés. L’entreprise blâme la difficulté d’installer la boutique tierce sur iOS et Android, la démarche n’étant pas aisée pour un néophyte. Le patron a partagé une image montrant les différentes étapes : il faut quinze clics sur iOS, 12 sur Android.

Image : Epic.

Tim Sweeney affirme que de nombreux développeurs sont découragés par le système d’Apple, et cite au passage quelques témoignages anonymes. Certains expliquent qu’ils ne veulent pas s’embêter avec les accords à signer avec Cupertino, là où d’autres déclarent craindre la CTF. En attendant, Epic redouble d’efforts pour attirer les développeurs, et in fine les joueurs grâce à des programmes revoyant ses commissions à la baisse.

Europe : Donald Trump dénonce un harcèlement "fiscal" contre Apple

Le président Donald Trump s’est exprimé au Forum économique mondial de Davos, où il a vivement critiqué les actions de l’Union européenne envers les géants technologiques américains tels qu’Apple, Google et Facebook. Ces déclarations, marquées par une défense énergique des intérêts des entreprises américaines, soulignent les tensions croissantes entre les États-Unis et l’UE sur les questions écono

Apple assure que le nouveau CarPlay n’est pas abandonné, sans donner de preuve de vie

Apple a discrètement retiré toute notion de date sur la page dédiée à CarPlay. Pendant longtemps, le CarPlay de nouvelle génération, celui qui doit prendre le contrôle de tous les écrans du tableau de bord et offrir une intégration renforcée entre le système d’Apple et celui de la voiture, était annoncé pour fin 2024. Désormais, la page américaine du site ne fait plus aucune promesse, ce qui a été noté par MacRumors, avec cette question évidente : le projet était-il abandonné ?

Capture d’écran du site américain d’Apple, sans notion de date. Le site français annonce les premiers modèles « cette année », sans préciser laquelle, malin. Image MacGeneration.

Peu de temps après, Apple a envoyé un communiqué à MacRumors pour tordre le cou à la rumeur : l’entreprise californienne tient à faire savoir que son travail sur le CarPlay de nouvelle génération se poursuit et qu’elle travaille avec plusieurs constructeurs automobiles. Néanmoins, Apple ne donne aucun détail supplémentaire, ni des noms de marque, encore moins des dates, puisque le bref communiqué précise que chaque constructeur automobile se chargera d’annoncer lui-même l’arrivée de la fonctionnalité.

Voici le communiqué au complet :

La prochaine génération de CarPlay se construit sur des années de succès et les enseignements apportés par CarPlay et doit offrir le meilleur d’Apple et des constructeurs automobiles au sein d’une expérience profondément intégrée et personnalisable. Nous continuons à collaborer étroitement avec plusieurs constructeurs, pour leur permettre de mettre en avant leur marque et leur design dans la prochaine génération de CarPlay. Chaque marque partagera davantage de détails quand ils seront prêts à annoncer les modèles qui prendront en charge la nouvelle génération de CarPlay.

En marge, Apple dit aussi qu’elle reste impliquée dans le développement du CarPlay actuel, une fonctionnalité qui est disponible dans plus de 98 % des voitures vendues aux États-Unis, comme l’entreprise de Tim Cook aime régulièrement le rappeler. La part de marché du nouveau CarPlay devrait être bien plus faible, surtout au lancement : pour l’heure, seuls Aston Martin et Porsche ont levé le voile sur leur implémentation de la fonctionnalité. C’était en décembre 2023 et depuis, pas un mot, on n’a pas la moindre idée quant à un calendrier de sortie, voire si le nouveau CarPlay est toujours bel et bien prévu.

Le nouveau CarPlay prendra la route avec Porsche et Aston Martin

Le nouveau CarPlay prendra la route avec Porsche et Aston Martin

Apple a beau essayer de rassurer avec ce communiqué, le CarPlay de nouvelle génération entre dans une ère où on croira en son arrivée quand on le verra. L’industrie automobile n’a jamais fait preuve d’enthousiasme face à ce projet et peut-être qu’il aboutira techniquement dans une ou deux voitures hors de prix, mais il semble bien que la Pomme soit la seule encore réellement intéressée par le projet.

Apple n’a pas oublié le nouveau CarPlay… contrairement aux constructeurs automobiles ?

Apple n’a pas oublié le nouveau CarPlay… contrairement aux constructeurs automobiles ?

Apple face à la justice : 12 000 femmes dénoncent l'inégalité salariale

Apple fait face à un recours collectif intenté au nom de 12 000 femmes, qui sont actuellement employées ou l’ont été en Californie. Elle est en effet accusée de pratiques salariales discriminatoires à leur encontre. Cette affaire pourrait avoir des conséquences majeures pour la marque, mais aussi, plus largement, pour les pratiques salariales dans le secteur technologique.

Promo : jusqu'à -340 € sur des iPad Pro M4

Plusieurs iPad Pro de la dernière génération M4 sont en promotion chez Amazon France. Les réductions peuvent être substantielles, mais il y a un mais. Ce sont des modèles assez costauds et donc chers de base qui ont les réductions les plus importantes, la note baisse mais elle reste conséquente.

L'iPad Pro 13" 2024 (au-dessus) fait 5,1 mm d'épaisseur, tandis que le modèle 2020 (en dessous) fait 5,9 mm. Les iPad M1/M2 avaient légèrement grossi, grimpant à 6,4 mm. Image iGeneration.
  • iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 256 Go à 1 650 € (-339 €)
  • iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To à 1 970 € (-329 €)
  • iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To et verre nano-texturé à 2 090 € (-339 €)
  • iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To et verre nano-texturé à 2 660 € (-499 €)
  • iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 2 To et verre nano-texturé à 2 720 € (-189 €)
  • iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To à 2 750 € (-279 €)

Néanmoins, si l'on visait d'un de ces gros iPad, c'est une bonne opération. Il y a des promos sur des modèles avec les deux tailles d'écran, en Wi-Fi seulement ou en cellulaire et même l'option du verre nano-texturé qui réduit les reflets sur ces grandes dalles.

Quant au processeur M4, il assurera une excellente longévité à ces tablettes qui, de génération en génération, sont presque toujours plus puissantes que nécessaire. Si vous voulez ajouter le Pencil Pro, il est à 141,70 €

Test de l’iPad Pro 13" M4 : l’heure de changer de formule ?

Test de l’iPad Pro 13" M4 : l’heure de changer de formule ?

Marre des musiques générées par l'IA ? Ce nouvel outil de Deezer les détecte !

Face à l’essor des contenus musicaux créés par l'IA, la plateforme de streaming française Deezer prend les devants en lançant une nouvelle fonctionnalité visant à identifier et gérer ces morceaux. Développé pour renforcer la transparence et protéger les droits des artistes, cet outil marque une étape importante dans une adoption responsable de l’IA au sein de l’industrie musicale.

Tesla commercialise la nouvelle Model Y en Europe dans une coûteuse édition de lancement

Tesla annonce la commercialisation de la nouvelle Model Y en Europe et notamment en France (ainsi qu’aux États-Unis), deux semaines après la Chine et quelques autres pays. Pour rappel, il s’agit d’un modèle retravaillé, avec un nouveau design à l’avant et l’arrière, un intérieur revu et quelques changements sous le capot, essentiellement pour améliorer le confort et l’efficience. Le lancement dans nos contrées se fait en parallèle de l’ancien modèle, qui reste en vente à un prix inférieur. En effet, pour le moment du moins, Tesla ne propose qu’une seule Model Y revue, un modèle de lancement facturé à partir de 60 990 €.

La seule configuration proposée pour le moment est une Model Y haut de gamme, mais plus chère encore que l’ancienne Performance. Image MacGeneration.

Pour ce prix élevé, c’est 7 000 € de plus que l’ancienne Model Y Performance et même 13 000 € que l’ancien modèle comparable, vous aurez une voiture à transmission intégrale équipée de la grosse batterie (environ 79 kWh) qui doit permettre d’effectuer 568 km selon les normes WLTP. Si l’édition de lancement est obligatoirement équipée de jantes de 20 pouces moins efficientes, on peut tout de même noter que c’est 35 km de plus que l’ancienne transmission intégrale avec les mêmes jantes. Reste que c’est très cher, même si Tesla est généreux sur l’équipement, avec de série l’attelage et la couleur gratuite… à condition de choisir entre noir et gris pour le moment. Pas d’intérieur blanc non plus pour ce lancement.

La version limitée a droit à quelques badges spécifiques à l’extérieur et à l’intérieur, des tapis de meilleure qualité ou encore quelques touches de « daim vegan » dans l’habitable. Tesla promet des livraisons dès le mois de mars, tandis que la Model Y classique débute à 42 990 € pour une autonomie similaire (565 km WLTP) et des livraisons immédiates. Si vous cherchez une voiture dans un format quasiment identique, tout aussi connectée et sans lien avec la politique américaine actuelle, la G6 de Xpeng est une option intéressante, avec un prix de départ identique, une autonomie réduite (435 km WLTP) compensée par une charge plus rapide (système 800V).

Apple Store : un support sécurisé Kensington pour le Mac mini M4

Encore plus petit et donc encore plus facile à dérober, le Mac mini M4 a droit à son support de fixation sécurisé signé Kensington. L'Apple Store référence ce nouvel accessoire pour le petit Mac. Le Mac mini est enfermé dans un châssis métallique que l'on pourra fixer dans différentes positions et tenir attaché avec le câble de 1,83 m. Un verrou à 4 chiffres complète le dispositif. Ce support est vendu 79,95 €.

Image Apple.

Epic Games a trouvé un moyen pour attirer les développeurs sur son App Store 

Les résultats financiers d’Epic Games ont été décevants, l’éditeur manquant notamment d’atteindre son objectif ambitieux de 100 millions d’utilisateurs pour son App Store alternatif. Mais cela ne l’arrête pas et il multiplie les initiatives pour renforcer sa présence sur le marché des magasins d’applications tiers et entend grossir son catalogue de jeux.

Donald Trump défend Apple et les entreprises de la tech face à l’UE à Davos

Par : Greg Onizuka

Alors que se tient le forum économique de Davos, Donald Trump s’est lancé dans la défense des entreprises américaines de la tech face à l’Union européenne, avec la verve qu’on lui connait.

Donald Trump, lors d’une conférence de 2013. Image Wikipedia/Gage Skidmore, CC BY-SA 2.0.

Si la question de la présence d’autant de personnalités de la Silicon Valley à son investiture pouvait a priori paraître étonnante, l’idée de chercher la protection du nouveau président des États-Unis d’Amérique face à l’Union européenne semblait l’une des réponses les plus probables à cette interrogation. Et il n’a pas fallu longtemps pour que le locataire du Bureau ovale vienne à la rescousse de ses camarades de soirée, comme le rapporte Bloomberg.

Il faut dire que l’Union européenne porte des coups de plus en plus répétés et toujours plus grands dans le porte-feuille des GAFAM, entre les arriérés d'impôts de 13 milliards d’euros d'Apple concernant son optimisation fiscale avec l’Irlande ou les 2,4 milliards d’euros d'amende contre Google. Et les choses ne font à priori que commencer, le DSA et le DMA étant taillés pour mettre des bâtons dans les roues des grandes entreprises de la tech.

Vous savez, ils ont mené une action en justice contre Apple, et ils ont gagné alors que la plupart pensaient que ça n’était pas si grave. Ils ont gagné 15 ou 16 milliards sur le dos d’Apple. Ils ont gagné des milliards sur le dos de Google. Et je crois qu’ils veulent gagner des milliards et des milliards sur le dos de Facebook.

Que vous le vouliez ou non, ce sont des entreprises américaines [...] Ils (l’Union européenne, NDLR) ne devraient pas faire ça. C’est, autant que je le sache, une forme de taxation. Nous avons beaucoup de griefs envers l’Union européenne.

Ces paroles vite arrivées ne sont, à n’en pas douter, que les premières d’une passe d’armes qui s’annonce longue et complexe entre le pouvoir américain et les instances européennes, tant les entreprises du secteur se sont arrangées pour avoir toute l’attention du président américain, à commencer par son conseiller à l’efficacité gouvernementale en la personne d’Elon Musk, patron de X. À l’Union européenne de répondre.

La LaserWriter fête ses 40 ans

Par : Greg Onizuka

Il y a quarante ans aujourd’hui Apple sortait la LaserWriter, une des toutes premières imprimantes laser grand public, qui plus est contenant la technologie Adobe PostScript, permettant des rendus de texte plus précis que les impressions standard de l’époque.

Une LaserWriter avec un Macintosh Plus. Image Mactracker.

Voilà de quoi donner un coup de vieux à tous les routards de la PAO (Publication Assistée par Ordinateur), avec cet anniversaire ! Alors que l’impression laser est entrée dans les mœurs, et remplace de plus en plus les imprimantes jet d’encre pour le quotidien (quand l’imprimante n’est pas purement et simplement supprimée...), ce périphérique était un OVNI à l’époque : comme nous le rappelle MacRumors, l’engin était vendu pour la modique somme de 6 995 dollars en 1985, soit l’équivalent de 24 000 dollars actuels !

Il faut dire que non seulement cette technologie était très récente, avec la première imprimante laser grand public vendue par HP en 1983, mais Apple avait mis le paquet sur la LaserWriter : elle intégrait tout ce qui se faisait de mieux et de plus avancé, avec l’une des premières utilisations d’AppleTalk, qui permettait la mise en réseau de l’imprimante avec plusieurs Mac, l’intégration de PostScript, une résolution incroyable pour l’époque de 300 points par pouce, le tout contrôlé par un processeur Motorola 68000 (si si, le même que dans le Macintosh d’origine) et une quantité incroyable de 1,5 Mo de RAM au maximum. Pour remettre les choses en place, le Macintosh 128 sorti un an plus tôt comportait le même processeur (à 8 MHz, quand l’imprimante s’envolait à 11 MHz), et ne pouvait accueillir plus de 1 Mo de RAM... ou quand l’imprimante est plus puissante qu’un ordinateur !

Si Apple a ensuite continué à proposer des imprimantes dans sa gamme de produits pendant plusieurs années, Steve Jobs à son retour considérant que ces accessoires étaient plus inutiles qu'autre chose dans la gamme, il mit fin à ce pan de l'histoire de la marque. C’est en 1999 que la production s’arrêtera avec la LaserWriter 8500, laissant ainsi la place aux constructeurs traditionnels.

OpenAI lance Operator, un bot qui navigue sur Internet pour vous

Par : Greg Onizuka

OpenAI a dévoilé une nouvelle facette de son intelligence artificielle, censée cette fois-ci aider dans les tâches quotidiennes sur un navigateur web : Operator.

Si la fonction est pour le moment uniquement disponible pour les abonnés américains à la version Pro à 200 dollars, l’idée paraît à la fois prometteuse et risquée : le bot devrait pouvoir interagir avec les sites web de votre navigateur, comme si c’était vous qui preniez la main, afin de réaliser automatiquement des opérations telles que réserver un billet d’avion, réserver un Uber, répondre à des e-mails, etc.

Le bot est doté de limitations bienvenues, comme le fait de rendre la main s’il se retrouve bloqué, ou d’apprendre de ses erreurs, mais les autres sont encore plus importantes : il est supposé vous demander l’autorisation avant d'entrer des données sensibles comme des identifiants et mots de passe, mais aussi et surtout des données bancaires, ou encore attendre votre permission avant d’envoyer définitivement un e-mail.

Ce nouvel ajout semble donc prometteur et est amené à s’étendre comme les autres fonctions aux versions les plus accessibles de ChatGPT, mais son usage est tout de même à double tranchant : autant s’il fonctionne parfaitement le bot pourra rendre des services bien agréables, autant s’il a le moindre bug, il faudra espérer qu’il n’arrive pas au moment le plus dérangeant...

iPhone : quelques astuces si votre réveil ne sonne pas

Par : Greg Onizuka

S’il y a bien un running gag bien lourd qui traîne avec Apple et les iPhone, c’est bien celui des fonctions d’horloge qui déraillent... Autant quand c’est le passage à l’heure d’hiver qui rate le coche, c’est déjà embêtant mais n’arrive qu’une fois, autant quand c’est le réveil qui ne fonctionne pas, les conséquences peuvent être plus que lourdes. Et il semble que ce souci est revenu de plus belle avec iOS 18.2, comme le rapporte AppleInsider.

Le réglage de volume des notifications est particulièrement important. Oui, le rédacteur a le sommeil lourd... Image MacGeneration.

Si cela devait vous arriver, quelques solutions existent pour pallier le réveil silencieux. La plupart du temps, ces alarmes silencieuses sont dues au volume des notifications qui est réglé au plus bas. Allez donc dans Réglages => Sons et vibrations, et vérifiez que la barre de réglage Sonneries et alertes est à un volume correct. Profitez-en pour désactiver la fonction Utiliser les boutons qui se trouve juste en-dessous, ça évitera les changements de volume non voulus.

Au cas où, il sera aussi plus prudent de supprimer et de recréer tous vos réveils, histoire d’éliminer toutes les possibilités. En dernier recours, pensez aussi à désactiver les Fonctions fondées sur l’attention de Face ID, dans Face ID et code, qui sont certes bien pratiques mais peuvent diminuer le volume des notifications et donc de vos réveils au moindre mouvement reconnu comme étant votre visage tourné vers l’appareil.

Il ne reste plus qu’à souhaiter que ce souci soit réglé dans la prochaine mise à jour, mais n’espérez pas trop... s’il venait à être résolu, il y en aura bien un autre qui prendra sa place !

Le gouvernement indien veut préinstaller ses apps sur les téléphones d'Apple et de Google

Le gouvernement indien cherche à donner une place de choix à ses apps sur iOS et Android, au grand dam d'Apple et de Google. Le mois dernier, le ministère indien des Technologies et de l'information a demandé à Apple et Google que ses apps soient mieux mises en évidence sur leurs plateformes respectives rapporte Bloomberg.

Le gouvernement a créé plusieurs dizaines d'apps pour ses différents services et son administration. Elles sont disponibles séparément dans les boutiques d'Apple et de Google, mais le ministère cherche à les rendre plus facilement accessibles et visibles. Il s'agirait, d'une part, de créer une sorte d'app store dans l'App Store où toutes ces apps seraient réunies en un seul pack.

D'autre part, il a été suggéré qu'elles soient préinstallées sur les téléphones avant leur mise en vente. Ou encore, que leur téléchargement depuis d'autres sources ne soit précédé d'aucune mise en garde, comme Apple le fait en Europe lorsqu'on s'aventure en dehors de son store.

Apple n'a pas répondu aux questions de Bloomberg tandis que Google n'a pas abordé directement la problématique, mais confirme qu'il est en discussion avec le gouvernement indien.

Ces demandes vont totalement à l'encontre des politiques des deux groupes américains, à ceci près qu'il y a eu le précédent russe. Depuis le printemps 2021, Apple s'est pliée à une règlementation qui oblige les plateformes à proposer des apps locales, et ce pour concurrencer les solutions et plateformes étrangères. Apple a pu éviter qu'elles ne soient préinstallées, mais une liste d'apps agréées par le gouvernement russe est proposée à l'utilisateur lorsqu'il configure son nouvel iPhone.

Après les étapes habituelles de configuration de son iPhone, et juste avant de laisser l'utilisateur s'en servir, iOS ouvre une page dédiée dans l'App Store dans laquelle sont réunies les apps sélectionnées. Libre ensuite à l'utilisateur d'en installer certaines ou de les ignorer toutes.

Vidéo publiée par @KhaosT.

Lors de cet échange, les représentants du ministère indien ont mis sur la table la possibilité d'obliger Apple et Google à s'exécuter d'une manière ou d'une autre, en l'absence d'une autre solution.

Inde : l

Inde : l'iPhone entre pour la première fois dans le top 5

Sony abandonne les Blu-ray enregistrables, les MiniDisc Data et les cassettes MiniDV (oui, ils étaient encore produits)

Sony vient de l'annoncer au Japon, la société va arrêter la production des Blu-ray enregistrables, des MiniDisc et MiniDisc Data et des cassettes MiniDV. Ce qui est étonnant, c'est que ces médias étaient encore produits en 2025... mais la date butoir est proche : février 2025.

Un spindle de BD-RE Sony.

L'annonce de l'arrêt de la gamme de Blu-ray enregistrables de Sony n'est pas nouvelle : elle avait été anticipée en juillet. Pour rappel, Sony n'arrête pas les Blu-ray en général (les films vont continuer à être proposés sur ce média) mais bien les disques enregistrables. Sony propose une gamme assez large, du BD-R de 25 Go (enregistrable une seule fois) au BD-RE XL, d'une capacité de 100 Go et réinscriptible. Les disques optiques ont perdu de l'attrait avec le temps, et les Blu-ray n'ont jamais atteint les parts de marché des CD-R et DVD-R. En effet, les clés USB, cartes mémoire et autres SSD sont passés par là, et ils offrent une capacité bien supérieure avec un côté pratique évident. Certains regretteront les disques de type -R, qui ne peuvent pas être modifiés une fois écrit, mais il existe des solutions de remplacement à base de mémoire flash.

Et il faut surtout prendre en compte une chose : si les CD et DVD étaient plus ou moins universels et les lecteurs présents dans la majorité des ordinateurs, les lecteurs de Blu-ray sont toujours restés rares dans les PC (et encore plus dans les Mac).

Sony va abandonner peu à peu les Blu-ray enregistrables

Sony va abandonner peu à peu les Blu-ray enregistrables

MiniDisc, MiniDisc Data et cassettes MiniDV

Le point le plus étonnant de l'annonce vient de l'abandon des MiniDisc, MiniDisc Data et cassettes MiniDV. Les MiniDisc datent du début des années 90 et permettaient de stocker 74 minutes à 80 minutes d'audio compressé, avec un codec propriétaire de Sony. Ils ont fait les beaux jours des amateurs de baladeurs dans les années 90, mais ont souffert de la concurrence des appareils à base de mémoire flash ou de disque dur (comme les premiers iPod) dans les années 2000. Sony produisait donc encore visiblement des médias, même si les lecteurs (et enregistreurs), eux, sont abandonnés depuis une grosse dizaine d'années.

le dernier des enregistreurs de MiniDisc. Image MacGeneration.

Les MiniDisc Data sont encore plus particuliers : c'est un pendant informatique des premiers, capable de stocker 140 Mo de données. C'est un format plutôt rare, cantonné à quelques enregistreurs professionnels et à une petite gamme de produits grand public. Sony a proposé quelques enregistreurs internes et externes en SCSI dans les années 90, mais ils n'ont jamais eu beaucoup de succès.

Un MiniDisc Data. Image MacGeneration.

Enfin, les cassettes MiniDV sont aussi abandonnées. Elles ont fait les beaux jours des amateurs de caméscopes au début des années 2000 et Apple avait même choisi le nom de la technologie pour mettre en avant la présence du FireWire dans ses iMac DV. Le DV caractérise un format de cassettes vidéo, mais aussi le codec employé pour stocker numériquement les données sur ces dernières. Les cassettes MiniDV sont une version miniaturisée de la cassette DV standard. Elles étaient courantes dans les caméscopes et permettaient de stocker 15 à 20 Go de vidéo compressée.

Si vous utilisez encore ces différents médias, c'est donc probablement le moment de faire des stocks, même si d'autres constructeurs que Sony existent encore pour certains, comme les BD-R.

Pas d'Oscar pour Apple, mais...

Ces dernières années, Apple TV+ a connu une montée en puissance impressionnante avec ses séries télévisées, mais son incursion dans le cinéma semble stagner. Alors que les nominations pour la 97ᵉ cérémonie des Oscars viennent de tomber, force est de constater que Cupertino n'aura rien à espérer pour 2024.

L’iPad 11 pourrait-il être privé d'Apple Intelligence ?

Normalement, Apple devrait commercialiser un iPad 11 en 2025, mais cette sortie suscite désormais quelques interrogations, notamment concernant sa compatibilité avec Apple Intelligence. Alors que Mark Gurman de Bloomberg avait récemment affirmé que cet iPad bénéficierait de cette compatibilité, un leader en semble nettement moins convaincu.

Microsoft va vous laisser connecté automatiquement, et ça craint

Microsoft va bientôt changer la façon dont on se connecte à ses comptes, et c’est un choix très surprenant. À partir de février 2025, vous resterez automatiquement connecté à votre compte après chaque session, sauf si vous vous déconnectez manuellement ou utilisez une navigation privée. Sur le papier ça semble pratique, mais ça peut très vite devenir un souci si vous utilisez un ordinateur public
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