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La fragile trêve à Gaza n’est qu’une première étape vers un espoir de paix

Vous êtes en terminale ou en première spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ? La Lettre de l’éduc est pour vous. Chaque semaine, Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, vous conseille la lecture d’un article d’actualité qui résonne avec votre programme. Cette semaine, retour sur les négociations au Caire entre Israël et le Hamas qui ont abouti à un accord de cessez-le-feu, et les défis qui restent à relever.

© “Courrier international”

La Lettre de l’éduc, révisez les programmes d’histoire-géographie avec “Courrier international”, par Benjamin Daubeuf.
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"Zelensky représente aujourd’hui l’anti-Munich" : le spectre de la lâcheté européenne sur l’Ukraine

L’Ukraine devra-t-elle céder un cinquième de son territoire à Vladimir Poutine, comme Donald Trump le préconise pour stopper le carnage et la dévastation perpétrés par les armées russes ? Au contraire, un tel renoncement ne risquerait-il pas d’inciter l’autocrate du Kremlin à préparer de futures agressions ? Journaliste du Figaro spécialiste de géopolitique, Isabelle Lasserre explore ce dilemme dans son dernier livre, Les Fantômes de Munich (Éditions de l’Observatoire, 224 pages, 22 €). La réponse apportée à cette grave question déterminera le destin du continent pour les décennies à venir.

Penser naïvement qu’on peut rétablir la paix en cédant à un agresseur dictatorial, c’est le faux pas tragique que commirent les dirigeants britanniques et français à la conférence de Munich, en septembre 1938. En laissant Adolf Hitler s’emparer de régions de Tchécoslovaquie peuplées d’Allemands de souche, Chamberlain et Daladier cherchaient à apaiser le tyran nazi. Ils n’ont fait qu’attiser sa soif de conquête, ouvrant la voie à la Seconde Guerre mondiale. Ils choisirent le déshonneur dans l’espoir d’éviter le conflit : ils eurent et l’un, et l’autre, constata Churchill.

Céder le Donbass

Quatre-vingt-sept ans plus tard, le président américain vient d’exiger de Volodymyr Zelensky qu’il accepte de céder à Poutine la plus grande partie du Donbass - y compris certaines zones de l’oblast de Donetsk encore sous contrôle ukrainien - ainsi que la Crimée. Tel un nouveau Chamberlain, Trump tente de forcer un "deal" à ce sujet avec Poutine par-dessus la tête des Ukrainiens. Zelensky n’a pas été convié à leur dernier sommet le 15 août en Alaska, de même que Benes, le président de la Tchécoslovaquie, ne fut pas invité à participer aux pourparlers de Munich en 1938.

Cependant, l’histoire ne se répète pas. "Volodymyr Zelensky représente aujourd’hui l’anti-Munich, écrit Isabelle Lasserre. Alors que les Tchèques n’avaient pas résisté à Hitler, lui a fait le pari de la résistance armée. Il a cassé la logique selon laquelle un petit pays, surtout s’il n’est pas soutenu par ses amis, doit forcément s’écraser devant le grand. Il a réhabilité la légende de David contre Goliath et prouvé que les faibles pouvaient être forts. C’est ce courage et cette énorme prise de risques qui ont forcé les Occidentaux à se positionner différemment et à venir en soutien de l’Ukraine."

Les Européens ont pourtant longtemps parié sur l’apaisement face à Poutine. Ce fut le cas en 2008, sur la Géorgie. Ce fut encore le cas avec les accords de Minsk sur l’Ukraine, en 2014 et en 2015, qui furent un jeu de dupes. Ce fut toujours le cas après l’invasion russe de 2022, lorsque Emmanuel Macron plaidait pour "ne pas humilier la Russie" et projetait de construire une "architecture de sécurité" européenne incluant l’agresseur. "La principale erreur des démocraties libérales européennes est de ne pas avoir saisi le basculement du monde, son glissement vers une nouvelle organisation dominée par la force", observe Isabelle Lasserre.

Trop longtemps les Européens se sont laissés bercer par l’illusion des "dividendes de la paix" post-guerre froide, par le confort de leur État-providence et le refus de voir leur mode de vie remis en cause. Le retour du fracas des armes sur le continent en 2022 aurait bien pu passer inaperçu, nonobstant la résistance acharnée des Ukrainiens. Il a fallu que Vladimir Poutine lance une série d’agressions hybrides contre les démocraties du continent pour que les Européens émergent de leur torpeur et commencent à se réarmer, quoique toujours trop peu, trop tard. L’esprit de Munich, ce mélange de lâcheté et d’aveuglement face à la tyrannie, est toujours bien présent.

En s’en prenant de manière répétée aux intérêts des démocraties européennes depuis qu’il est revenu à la Maison-Blanche en janvier 2025, Donald Trump parviendra-t-il, enfin, à les réveiller vraiment, à les pousser à prendre enfin leur destin en mains ? Isabelle Lasserre résume l’objectif : "Assumer le réarmement industriel et militaire du continent, mais aussi son réarmement moral". A ce jour, ce n’est pas gagné.

© afp.com/Ludovic MARIN

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le président français Emmanuel Macron, à l'Elysée, à Paris, le 3 septembre 2025
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EN DIRECT, Gaza : Israël a identifié les corps des deux otages rendus mardi par le Hamas

Tamir Adar, 38 ans, est mort lors de l’attaque en Israël le 7 octobre 2023. Aryeh Zalmanovich, 85 ans au moment de sa mort selon l’armée israélienne, était l’un des fondateurs du kibboutz Nir Oz. Il était apparu en 2023 dans une vidéo du mouvement palestinien, qui annonçait qu’il avait fait une crise cardiaque.

© Abdel Kareem Hana / AP

Un véhicule de la Croix-Rouge arrive sur un site où des membres du Hamas recherchent les corps d’otages à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 octobre 2025.
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Ukraine-Russie: la guerre

Après des années de tension, le président russe Vladimir Poutine a relancé le conflit entre son pays et l'Ukraine - dirigée par Volodymyr Zelensky - en annonçant, le 21 février 2022, "reconnaître l'indépendance de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Lougansk", deux régions séparatistes prorusses du Donbass. Dans la foulée, le leader du Kremlin a enclenché, le 24 février, une opération militaire de grande envergure en Ukraine pour officiellement défendre ces séparatistes. "Nous nous efforcerons d'arriver à une démilitarisation et une dénazification de l'Ukraine", a-t-il dit. Le Kremlin a précisé que cette opération ayant pour objectif l'imposition d'un "statut neutre" à l'Ukraine, durerait le temps nécessaire, en fonction de ses "résultats" et sa "pertinence". Cette offensive russe intervient huit ans après que Moscou a annexé la Crimée et parrainé la prise de contrôle de régions du Donbass par des séparatistes prorusses, déclenchant un conflit régional qui a fait plus de 14.000 morts. L'Ukraine a de son côté dénoncé le début d'une "invasion de grande ampleur de la Russie". Cette opération vise à "détruire l'État ukrainien, s'emparer de son territoire par la force et établir une occupation", a notamment réagi le ministère des Affaires étrangères ukrainiens. Juste après le discours de Vladimir Poutine, des explosions ont retenti à Kiev, à Kramatorsk, ville de l'est servant de quartier général à l'armée ukrainienne, à Kharkiv (nord-est), deuxième ville d'Ukraine, à Odessa, sur la mer Noire, et à Marioupol, principal port de l'est. La centrale de Tchernobyl, théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire en 1986, est tombée plus tard aux mains des soldats russes. Dès les premières heures de la journée, des habitants de Kiev se sont pressés dans le métro pour s'y abriter ou tenter de quitter la ville, cependant que des voitures remplies de familles fuyant la capitale créaient de vastes embouteillages. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a ordonné dans un décret la mobilisation générale des personnes soumises "à la conscription militaire et des réservistes", sous 90 jours dans toutes les régions du pays. Le dirigeant a regretté que l'Ukraine soit "laissée seule" face à l'armée russe alors que l'Alliance atlantique (Otan) a indiqué qu'elle n'enverrait pas de troupes pour la soutenir. De nombreux pays ont malgré tout condamné l'invasion russe. Le président américain Joe Biden, pour qui le maître du Kremlin va devenir "un paria sur la scène internationale", a imposé des restrictions aux exportations de produits technologiques vers la Russie. Le numéro deux de l'ambassade russe à Washington a été expulsé. Les dirigeants des 27 pays de l'UE ont parallèlement pris des sanctions "massives" contre la Russie dans les secteurs de l'énergie, de la finance et des transports mais sans l'exclure dans l'immédiat du réseau bancaire Swift, qui permet de recevoir ou d'émettre des paiements dans le monde entier. Des sanctions qui auront des conséquences sur l''économie européenne. Emmanuel Macron a lui annoncé que la France allait accélérer le déploiement de soldats en Roumanie dans le cadre de l'Otan. "La France continuera à jouer pleinement son rôle de réassurance des alliés de l'Otan en envoyant en Estonie un nouveau contingent au sein de la présence avancée renforcée, en anticipant sa participation à la police du ciel balte dès le mois de mars, et en accélérant aussi son déploiement en Roumanie", a déclaré le président français à l'issue d'un sommet exceptionnel de l'UE à Bruxelles.

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Le sommet Trump-Poutine sur la guerre en Ukraine reporté sine die

La Maison Blanche a annoncé mardi qu’à la suite d’une conversation entre le secrétaire d’État américain Marco Rubio et son homologue russe, Sergueï Lavrov, il n’y avait plus “aucun projet” de sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Budapest dans les prochaines semaines.

© OLESYA KURPYAYEVA / AFP

Des poupées russes traditionnelles en bois, les Matriochkas, représentant les présidents russe Vladimir Poutine et américain Donald Trump, exposées dans une boutique de souvenirs à Moscou, le 21 octobre 2025 (Photo by Olesya KURPYAYEVA / AFP).
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Les purges dans l’armée chinoise, un aveu de faiblesse de Xi Jinping ?

Jamais, depuis la mort de Mao Zedong en 1976, la Chine n’avait connu de purges aussi massives à la tête de son Armée populaire de libération (APL). Quelques jours avant un plénum du comité central du Parti communiste chinois devant officialiser (du 20 au 23 octobre) les grandes orientations économiques du pays pour 2026-2030 ainsi que des remaniements politiques, neuf responsables militaires ont été expulsés du parti pour de "sérieuses violations" de sa discipline. Ils sont "soupçonnés d’avoir commis des crimes graves dans l’exercice de leurs fonctions, impliquant des sommes d’argent exceptionnellement importantes" - en clair, de corruption.

Le président Xi Jinping, adepte de la "stratégie de la décapitation", n’a pas hésité à frapper très haut. Parmi les déchus, He Weidong, qui siégeait au Politburo (24 personnes), était l’un des deux vice-présidents de la très puissante Commission militaire centrale (CMC, dirigée aussi par le n°1 chinois), qui supervise l’ensemble des forces armées chinoises. Trois membres de cet organe stratégique sur sept ont été débarqués ces dernières années. Le second est l’ex-amiral Miao Hua, ancien directeur du Département du travail politique, dont la mission - cruciale - consiste à s’assurer de la loyauté des militaires envers le parti.

Etre prêt à envahir Taïwan en 2027

La purge s’est accélérée en 2023, lorsque plusieurs responsables de la Force des missiles ont été licenciés pour corruption - mais aussi sans doute pour des problèmes de qualité des engins (la presse étrangère avait révélé que certains missiles avaient été remplis avec de l’eau plutôt qu’avec du carburant). Depuis, un ministre de la Défense, Li Shangfu, lui aussi membre de la CMC, et son prédécesseur ont également été écartés.

Alors que "l’empereur rouge" a demandé à son armée d’être prête à envahir Taïwan en 2027, les experts s’interrogent sur ce coup de balai. Pour une partie d’entre eux, Xi perdait le contrôle sur l’APL et craindrait même d’être renversé. Autre constat critique : ce grand ménage prouverait son manque de discernement dans le choix de ses collaborateurs.

Selon d’autres spécialistes, et cela semble plus fondamental, ce mouvement illustrerait surtout le mécontentement du leader chinois, qui jugerait que son armée n’est pas encore suffisamment en ordre de bataille pour se mesurer aux Etats-Unis. La séquence démontre aussi, et surtout, sa domination sur les hauts gradés, y compris ceux qu’il nomme. "Xi peut les élever et les détruire. Cela renforce son autorité plutôt que la diminuer", argumente dans le podcast China Talk l’ancien analyste de la CIA Jon Czin, aujourd’hui chercheur à la Brookings Institution, qui estime que, depuis l’arrivée au pouvoir du dirigeant chinois, "la moitié des membres en uniforme de l’APL ont été démis de leurs fonctions ou sont portés disparus". De quoi, plus généralement, ôter l’envie à tout candidat à la succession de l’autocrate (72 ans) de le défier.

© Xinhua via AFP

Le président chinois Xi Jinping, également secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois et président de la Commission militaire centrale, passe en revue les troupes lors de son inspection de la garnison de l'Armée populaire de libération de la Chine stationnée dans la Région administrative spéciale de Macao, dans le sud de la Chine, le 20 décembre 2024. (Xinhua/Li Gang)
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À quoi joue Trump au Venezuela ?

Après des frappes américaines contre des bateaux accusés de prendre part au narcotrafic dans les Caraïbes, Donald Trump a reconnu qu’il avait autorisé la CIA à mener des opérations clandestines au Venezuela. Faut-il y voir les prémices d’une intervention militaire visant à renverser Nicolás Maduro ? Éléments de réponse avec le journal colombien “El Espectador”.

© Dessin de Bart van Leeuwen, Pays-Bas/Cagle Cartoons

“Pirates des Caraïbes”.
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“Comme après une bombe nucléaire” : le choc des Gazaouis de retour chez eux

Ce qu’ont découvert les habitants de l’enclave palestinienne qui avaient fui vers le sud, lorsqu’ils sont retournés à Gaza ou à Jabaliya après le retrait de l’armée israélienne, “n’était que désolation”, raconte “The Guardian” dans ce reportage.

© PHOTO SAHER ALGHORRA/NYT

Des Palestiniens de retour dans les ruines de la ville de Gaza, le 11 octobre 2025.
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Les réseaux russes de Patrice Hubert, nouveau directeur général du Rassemblement national

Le nouveau bras droit du président du RN, Jordan Bardella, fut l’un des poissons-pilotes du parti d’extrême droite en Russie. Il a notamment cherché à se rapprocher de Konstantin Malofeïev, un oligarque ultraconservateur qui finance des opérations d’ingérence pour le compte du Kremlin.

© Mikhail Klimentyev, Sputnik, Kremlin Pool Photo via AP

Marine Le Pen et Vladimir Poutine au Kremlin, à Moscou, le 24 mars 2017.
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Au Pérou, l’état d’urgence est décrété à Lima et Callao

Le gouvernement péruvien compte sur l’armée et des mesures exceptionnelles pour endiguer la vague de violence et d’extorsions attribuée au crime organisé. Dans ce cadre, il peut envoyer l’armée patrouiller dans les rues et restreindre certains droits comme la liberté de réunion.

© Présidence Péruvienne via AFP

Dans une photographie mise à disposition par la présidence péruvienne, le président par intérim du Pérou, José Jeri, au centre, annonce la mise en place de l’état d’urgence alors qu’il s’adresse à la nation, à Lima, le 21 octobre 2025.
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Les Ukrainiens enrôlés de force dans l’armée russe sont contraints de combattre contre leur pays

Moscou mène une politique de russification et de militarisation forcées dans les territoires occupés, afin d’en transformer les habitants en soldats. Ces Ukrainiens d’origine, déployés en nombre sur le front, représentent déjà un quart des prisonniers de guerre aux mains de Kiev, révèle « Le Monde ».

© GUILLAUME HERBAUT POUR «LE MONDE»

Dans la cour d’un centre de détention pour prisonniers de guerre russes, dans la région de Lviv (Ukraine), le 23 février 2023.
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Giorgia Meloni tombe le masque, trois ans après son arrivée au pouvoir en Italie

Nommée en octobre 2022, la présidente du conseil italien a rassuré Bruxelles et les marchés financiers, notamment en réduisant le déficit public. Mais derrière cette image conciliante se cache une dirigeante d’extrême droite qui ne cesse de se rapprocher de Donald Trump, utilisant les mêmes méthodes sur la scène intérieure.

© Evan Vucci / AP

Giorgia Meloni et Donald Trump lors du sommet sur Gaza, après un accord de cessez-le-feu, à Charm El-Cheikh, en Egypte, le 13 octobre 2025.
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Climat : semaine à haut risque pour le pacte vert européen

Un conseil européen est censé aboutir, jeudi, à l’adoption d’un objectif de baisse des émissions de CO2 pour 2040. Mais cet ensemble de mesures environnementales pourrait ne pas résister aux demandes de flexibilité de plusieurs Etats, dont la France.

© Ida Marie Odgaard/Ritzau Scanpix/via REUTERS

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, Antonio Costa, à Copenhague (Danemark), le 1ᵉʳ octobre 2025.
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Guerre en Ukraine : la valse-hésitation de Donald Trump met les Européens sous pression

Les Vingt-Sept se réunissent jeudi en présence de Volodymyr Zelensky avec l’objectif de prolonger leur aide à Kiev. Un impératif alors que le président américain semble de nouveau se rapprocher de Moscou, même si sa rencontre avec Vladimir Poutine a été reportée sine die.

© HANDOUT / AFP PHOTO / UKRAINIAN PRESIDENTIAL PRESS SERVICE

Donald Trump s’entretient avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche, à Washington, le 17 octobre 2025.
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Elections législatives en Argentine : Javier Milei toujours en manque de cadres pour son parti

La Libertad Avanza (« la liberté avance »), le parti présidentiel, a dû faire appel à des personnalités sans expérience politique ou s’allier à la droite en vue du scrutin du 26 octobre.

© Agustin Marcarian / REUTERS

Le président argentin, Javier Milei, lors d’un rassemblement du parti La Libertad Avanza en compagnie de la secrétaire générale de la présidence argentine, Karina Milei, et du député désormais en retrait José Luis Espert, à Lomas de Zamora, en Argentine, le 27 août 2025.
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Comment les patrons de la tech imposent leur idéologie (3/5)

Que pensent Jeff Bezos, Elon Musk ou encore Mark Zuckerberg ? Explorez l’idéologie fluctuante des grands patrons de la tech dans ce hors-série de « L’Heure du Monde » enregistré en public avec Raphaëlle Bacqué, Damien Leloup et Alexandre Piquard. Dans ce troisième épisode : le libertarianisme des patrons de la tech.

© Chip Somodevilla / POOL / AFP

Elon Musk, avant la cérémonie d’investiture de Donald Trump, au Capitole, à Washington, le 20 janvier 2025.
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La Fédération internationale de ski prive les athlètes russes et biélorusses des JO d’hiver 2026

Le Comité international olympique avait choisi de laisser les fédérations décider si elles ouvriraient ou non leur processus de qualification aux sportifs des deux pays impliqués dans l’invasion de l’Ukraine, ce que la FIS a refusé, mardi.

© Alessandro Trovati / AP

Vue du site de descente de Tofane, où se dérouleront les épreuves de ski alpin des Jeux olympiques d’hiver 2026, le 17 janvier 2025 à Cortina d’Ampezzo, en Italie.
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La Corée du Nord effectue des tirs de missiles balistiques après plusieurs mois d’accalmie

Alors même que le président sud-coréen, Lee Jae-myung, tente un rapprochement avec son voisin du Nord, Pyongyang effectue des lancements à une semaine du sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), auquel Donald Trump doit participer.

© Ahn Young-joon/AP

Un écran diffuse les images de lancement d’un missile nord-coréen dans une gare, à Séoul, le 22 octobre 2025.
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