Les délégations russe et ukrainienne ont entamé mercredi soir une troisième session de négociations directes en Turquie, que le Kremlin a qualifiées de « très compliquées », éloignant à nouveau la possibilité d’avancées diplomatiques rapides.
Emmanuel Macron était en direct de Berlin, avec son homologue allemand Friedrich Merz ils ont tenu une conférence de presse pour revenir sur les projets communs entre Berlin et Paris.
Pas de mea culpa pour Israël. Lors du Conseil de sécurité de l'ONU qui s'est tenu ce mercredi à New York, le représentant de l'État hébreux a dénoncé "l'hypocrisie" dont font preuve nombre de pays, selon lui, sur la situation au Moyen-Orient : "Israël fait le travail que l'ONU devrait faire", a-t-il affimé.
"Le génocide à Gaza va redéfinir le Moyen-Orient et le monde pour les génération à venir", a déclaré, lors du Conseil de sécurité de l'ONU, le représentant de la Palestine, qui appelle à "une autre voie" et estime que "la solution à deux États" est la seule résolution possible au conflit.
Alors qu'une réunion du Conseil de sécurité s'est tenue ce mercredi à New York pour aborder la question palestinienne, notamment, le représentant de la Palestine a estimé que la communauté internationale n'avait rien fait pour empêcher la mort de milliers de ses compatriotes.
En Ukraine, l’adoption d’une loi qui supprime l’indépendance des agences anticorruption et sa promulgation par le président Volodymyr Zelensky provoque de vives réactions. Phénomène rare depuis le début de l’invasion russe : des centaines de personnes manifestent leur désapprobation à travers le pays. Les critiques fusent également au sein de l’Union européenne.
L’accord prévoit la livraison de 40 de ces avions de combat fabriqués par un consortium regroupant l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne. Le revirement de Berlin est motivé par la volonté d’armer Ankara afin de défendre le flanc sud-est de l’OTAN.
John Healey (à gauche), secrétaire à la défense britannique, et Yasar Güler, son homologue turc, lors d’une cérémonie de signature en marge du Salon international de l’industrie de la défense, à Istanbul, mercredi 23 juillet 2025.
Ces journalistes gazaouis qui travaillent pour l’AFP, seuls à pouvoir couvrir la guerre en raison du blocus mis en place par l’armée israélienne, racontent un quotidien marqué par les bombardements et une faim extrême.
Attaques violentes contre les magistrats, menaces récurrentes contre les journalistes, mensonges avérés sur des heures de grandes écoutes : dès qu’elle est mise en cause, Rachida Dati utilise des méthodes dignes du trumpisme.
Le monde se fracture et l’idée même d’humanité commune se délite. Et alors que la Cour internationale de Justice examine les accusations de génocide contre Israël, une constatation s’impose : le « plus jamais ça » n’est pas un principe, c’est un slogan creux.
DÉCRYPTAGE - Faute de pouvoir tenir sa promesse de faire toute la vérité sur la mort du financier accusé de trafics sexuels, le président américain ne sait plus comment expliquer à ses électeurs que Jeffrey Epstein, qu’il avait fréquenté naguère, s’est bien suicidé.
De gauche à droite : le promoteur immobilier Donald Trump, sa future épouse, Melania Knauss, le financier Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell posent au club Mar-a-Lago, à Palm Beach, en Floride, en février 2000.
Faute de majorité stable, le gouvernement de gauche mené par le socialiste Pedro Sanchez n’a pas approuvé une seule loi de finances depuis 2023 et doit mettre sur pause ses grands projets de réforme dans une ambiance de plus en plus crispée, sur fond de scandales de corruption.
Multiplication des différends commerciaux, bras de fer technologique, divergences sur le soutien à la Russie et les sanctions… Européens et Chinois peinent à masquer leurs désaccords, augurant très peu d’avancées à l’issue de la rencontre du 24 juillet.
Kaja Kallas, haut représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, et le ministre des affaires étrangères chinois, Wang Yi, à Bruxelles, le 2 juillet 2025.
Mi-juin, en pleine attaque d’Israël contre l’Iran, l’auteur de « l’Adversaire » a suivi Emmanuel Macron dans les coulisses du G7, ce sommet des Etats les plus riches, qui se tenait au Canada. Il livre le portrait d’un président toujours volubile, hypermnésique, qui ne cache plus ses ambitions européennes. Et décrit Donald Trump en maître d’un jeu cynique, dont les grands de ce monde sont prisonniers.
Selon le président israélien Isaac Herzog le pays agit bien en accord avec le droit international, c'est la première fois depuis le début de la guerre que le chef d'État se rend à Gaza.