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Vigilance orange canicule, mise en garde du PS, coup dur pour « Questions pour un champion » : le point à la mi-journée

La vigilance orange pour le risque de canicule qui est en vigueur dans 73 départements ; le PS qui « n’aura plus aucune indulgence » à l’égard de François Bayrou ; la diffusion en semaine de « Questions pour un champion » qui va s’arrêter… Ce qu’il faut retenir de cette matinée du dimanche 29 juin est à découvrir ici.

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Glastonbury : une prestation pleine de défi des rappeurs de Kneecap

Le trio de rappeurs nord-irlandais du groupe Kneecap, dont l'un des membres fait l'objet de poursuites judiciaires après avoir été accusé d'avoir arboré en concert un drapeau du Hezbollah, a livré samedi une prestation pleine de défi sur la scène du festival britannique de Glastonbury.

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Drones : la nouvelle facette du conflit armé en Colombie

En Colombie, les attaques avec des drones se multiplient depuis 2024. Elles sont commises par des groupes armés, qui utilisent ces appareils pour larguer des projectiles au-dessus des forces de sécurité ou de groupes rivaux. Mais les civils sont aussi touchés par ces attaques, et les experts déplorent une réaction tardive des autorités face à la menace.

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Pour le chef de l'AIEA, l'Iran pourrait recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois"

Près d'une semaine après les bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan, le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, affirme dans une interview qui doit être diffusée dimanche sur CBS que l'Iran dispose des capacités techniques pour reprendre l'enrichissement d'uranium d'ici "quelques mois".

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L'ICE : les dessous technologiques de la politique anti-immigration de Donald Trump

Mobile Fortify, ImmigrationOS, Palantir : autant de noms qui représentent la tuyauterie technologique de l’opération “d’expulsion massive” menée par l'ICE sur ordre de Donald Trump. Et ce n’est que l'un des aspects d’une administration qui mise de plus en plus sur la tech pour sa politique et de magnat de la Silicon Valley qui en profitent.

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Serbie : environ 140 000 manifestants pour réclamer des élections

Des dizaines de milliers d'étudiants et de manifestants anti-corruption se sont rassemblés à Belgrade samedi, réclamant des élections anticipées après 12 années de présidence d'Aleksandar Vucic. La manifestation s'est achevée par des heurts opposant les forces de l'ordre à des manifestants.

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L’appel de 40 anciens chefs d’Etat et de gouvernement : « Du climat à la fiscalité, la résolution des défis mondiaux dépend de la coopération entre Etats »

La quatrième Conférence internationale sur le financement du développement doit se tenir à Séville du lundi 30 juin au jeudi 3 juillet. A cette occasion, d’anciens dirigeants, dont le Britannique Gordon Brown et l’Espagnol José Luis Rodriguez Zapatero, appellent leurs successeurs, dans une tribune au « Monde », à ne pas surenchérir dans l’unilatéralisme brutal du moment.

© « Le Monde »

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Ukraine-Russie: la guerre

Après des années de tension, le président russe Vladimir Poutine a relancé le conflit entre son pays et l'Ukraine - dirigée par Volodymyr Zelensky - en annonçant, le 21 février 2022, "reconnaître l'indépendance de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Lougansk", deux régions séparatistes prorusses du Donbass. Dans la foulée, le leader du Kremlin a enclenché, le 24 février, une opération militaire de grande envergure en Ukraine pour officiellement défendre ces séparatistes. "Nous nous efforcerons d'arriver à une démilitarisation et une dénazification de l'Ukraine", a-t-il dit. Le Kremlin a précisé que cette opération ayant pour objectif l'imposition d'un "statut neutre" à l'Ukraine, durerait le temps nécessaire, en fonction de ses "résultats" et sa "pertinence". Cette offensive russe intervient huit ans après que Moscou a annexé la Crimée et parrainé la prise de contrôle de régions du Donbass par des séparatistes prorusses, déclenchant un conflit régional qui a fait plus de 14.000 morts. L'Ukraine a de son côté dénoncé le début d'une "invasion de grande ampleur de la Russie". Cette opération vise à "détruire l'État ukrainien, s'emparer de son territoire par la force et établir une occupation", a notamment réagi le ministère des Affaires étrangères ukrainiens. Juste après le discours de Vladimir Poutine, des explosions ont retenti à Kiev, à Kramatorsk, ville de l'est servant de quartier général à l'armée ukrainienne, à Kharkiv (nord-est), deuxième ville d'Ukraine, à Odessa, sur la mer Noire, et à Marioupol, principal port de l'est. La centrale de Tchernobyl, théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire en 1986, est tombée plus tard aux mains des soldats russes. Dès les premières heures de la journée, des habitants de Kiev se sont pressés dans le métro pour s'y abriter ou tenter de quitter la ville, cependant que des voitures remplies de familles fuyant la capitale créaient de vastes embouteillages. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a ordonné dans un décret la mobilisation générale des personnes soumises "à la conscription militaire et des réservistes", sous 90 jours dans toutes les régions du pays. Le dirigeant a regretté que l'Ukraine soit "laissée seule" face à l'armée russe alors que l'Alliance atlantique (Otan) a indiqué qu'elle n'enverrait pas de troupes pour la soutenir. De nombreux pays ont malgré tout condamné l'invasion russe. Le président américain Joe Biden, pour qui le maître du Kremlin va devenir "un paria sur la scène internationale", a imposé des restrictions aux exportations de produits technologiques vers la Russie. Le numéro deux de l'ambassade russe à Washington a été expulsé. Les dirigeants des 27 pays de l'UE ont parallèlement pris des sanctions "massives" contre la Russie dans les secteurs de l'énergie, de la finance et des transports mais sans l'exclure dans l'immédiat du réseau bancaire Swift, qui permet de recevoir ou d'émettre des paiements dans le monde entier. Des sanctions qui auront des conséquences sur l''économie européenne. Emmanuel Macron a lui annoncé que la France allait accélérer le déploiement de soldats en Roumanie dans le cadre de l'Otan. "La France continuera à jouer pleinement son rôle de réassurance des alliés de l'Otan en envoyant en Estonie un nouveau contingent au sein de la présence avancée renforcée, en anticipant sa participation à la police du ciel balte dès le mois de mars, et en accélérant aussi son déploiement en Roumanie", a déclaré le président français à l'issue d'un sommet exceptionnel de l'UE à Bruxelles.

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