Le Cambodge suspend l’importation de produits thaïlandais et boycotte la culture pop de son voisin, accentuant la crise diplomatique entre Phnom Penh et Bangkok.
Lors de la manifestation en soutien au gouvernement cambodgien, engagé dans un nouveau bras de fer avec le voisin thaïlandais, à Phnom Penh, le 18 juin 2025.
Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique, était l'invité d'Apolline de Malherbe, dans le "Face à Face", sur BFMTV et RMC.
Une femme a donné naissance à des triplés dans un hôpital israélien à Haïfa, où les patients ont été transférés au sous-sol de l'établissement. "Elle va bien", malgré les conditions de l'accouchement.
Mahmoud Moradkhani, neveu de l'ayatollah Khamenei exilé en France, était l'invité de Première édition ce mercredi 18 juin. Il évoque le conflit entre Israël et l'Iran.
Mahmoud Moradkhani, neveu de l'ayatollah Khamenei exilé en France, était l'invité de Première édition ce mercredi 18 juin. Il évoque le conflit entre Israël et l'Iran.
La vente de TikTok, imposée par le Congrès américain, tarde à se matérialiser, au point que Donald Trump va, une nouvelle fois, renvoyer la date butoir, fixée jeudi, faute de feu vert de la Chine.
Alors qu’Israël continue de pilonner les infrastructures militaires iraniennes, la question d’un effondrement du régime agite les observateurs. Si une partie de la population rejette le pouvoir, la structure du...
Le G7 a de nouveau apporté mardi son soutien à l’Ukraine mais sans durcir le ton face à la Russie lors d’un sommet au Canada chamboulé par le départ anticipé du président américain en raison du conflit entre l’Iran et Israël.
Mardi soir, l'armée iranienne a appelé les habitants des grandes villes israéliennes Haïfa et Tel-Aviv à évacuer, avertissant d'attaques "punitives" imminentes. De son côté, Donald Trump a exigé une "capitulation sans conditions" de l'Iran, et a annoncé la fermeture de son ambassade à Jérusalem.
PORTRAIT - Nommé depuis tout juste trois mois, le nouveau chef d’état-major de Tsahal est un proche du premier ministre israélien et un militaire expérimenté qui doit affronter un nouveau front, après l’attaque sur l’Iran.
Thierry Coville, chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) et spécialiste de l’Iran, revient sur l’ambiguïté de la position de Donald Trump dans le conflit israélo-iranien. Il dénonce...
La lune de miel transatlantique semble bel et bien terminée. Alors que Donald Trump quittait abruptement le sommet du G7 au Canada, Emmanuel Macron a attribué ce départ à une tentative américaine de médiation entre...
Après le déclenchement par Israël d’une opération sans précédent sur l’Iran, dans la nuit du 13 au 14 juin 2025, les détails du stratagème mis sur pied par Tsahal et le Mossad commencent à filtrer.
Personne ne sait comment le conflit qui s’est ouvert entre Israël et l’Iran, avec les frappes massives et historiques du premier sur le second le 13 juin denier, se terminera. Personne ne sait pour l’heure quelles...
Face à une guerre d’usure et au ralentissement de l’aide occidentale, l’Ukraine mise sur son industrie militaire nationale pour combler les retards. Dernier né de cette stratégie : le missile balistique Sapsan. Ultra...
La nouvelle version de l'intelligence artificielle d’Elon Musk, Grok 3, est capable de représenter toutes les personnalités publiques dans n’importe quel contexte, et certains utilisateurs s’en servent pour...
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé de tuer le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, le plus haut dirigeant du pays au pouvoir depuis 36 ans. Un plan qui conduirait à l'écroulement de la République islamique d'Iran.
Le club des grandes démocraties industrialisées, réuni au Canada, n’a pas publié de déclaration commune dénonçant l’« agression russe », contrairement aux années précédentes. Dans la journée, une source gouvernementale canadienne avait affirmé que Washington s’était opposé à la publication d’un communiqué séparé au ton plus fort, avant de finalement retirer ses déclarations.
Le premier ministre canadien, Mark Carney, le président de la République, Emmanuel Macron, et le président ukrainien, Volodymyr Zelensky au sommet du G7, à Kananaskis, au Canada, le 17 juin 2025.
Mardi soir, l'armée iranienne a appelé les habitants des grandes villes israéliennes Haïfa et Tel-Aviv à évacuer, avertissant d'attaques "punitives" imminentes. De son côté, Donald Trump a exigé une "capitulation sans conditions" de l'Iran, et a annoncé la fermeture de son ambassade à Jérusalem.
L'ambassade américaine à Jérusalem sera fermée jusqu'à ce vendredi 20 juin "en raison de la situation sécuritaire actuelle". Les employés du gouvernement américains peuvent tout de même continuer à s'abriter dans le batiment, indique l'ambassade.
« La bataille commence », a aussi déclaré sur X le leader iranien, auquel Donald Trump a demandé mardi une « capitulation sans conditions ». Les gardiens de la révolution ont annoncé dans la nuit de mardi à mercredi avoir tiré plusieurs missiles hypersoniques sur l’Etat hébreu, tandis que l’armée israélienne poursuivait ses bombardements sur Téhéran. Aucun des deux belligérants n’a communiqué sur les dégâts causés par les frappes de la nuit.
Le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, lors des célébrations de l’anniversaire de la mort de l’ayatollah Khomeini, dans le sud de Téhéran, le 4 juin 2025.
Héritière du régiment Azov, l’unité est aujourd’hui un élément clé du dispositif militaire ukrainien. Mais derrière une communication soignée, abondamment relayée sur les réseaux sociaux, certains de ses soldats continuent d’afficher une symbolique et des références nazies.
Sur l’Iran, l’Ukraine ou la guerre commerciale, les points de friction se multiplient entre le président américain et ses partenaires au sein du groupe des sept puissances. Le président français « ne comprend jamais rien » et est « en quête de publicité », a jugé son homologue américain, mardi.
Les États-Unis ont réitéré leur volonté de détruire intégralement les installations nucléaires iraniennes suspectes, notamment celles qui se trouvent en profondeur. Pour cela, il faudrait utiliser la bombe GBU-57, une bombe de 13 tonnes, que seul un bombardier américain peut transporter.
Le président américain a appelé l'Iran à la reddition ce mardi sur sa plateforme Truth Social, affirmant aussi que les États-Unis "savent exactement où se cache" l'ayatollah Khamenei, guide suprême de l'Iran.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a menacé de tuer le Guide suprême iranien, Ali Khamenei, le plus haut dirigeant du pays au pouvoir depuis 36 ans. Un plan qui conduirait à l'écroulement de la République islamique d'Iran.
Tout était écrit. La guerre commerciale, le démantèlement des agences fédérales, la chasse aux immigrés… Depuis le début de son mandat, Donald Trump déroule à la lettre le Projet 2025, une bible de 922 pages rédigée par le think tank conservateur. Aujourd’hui, son président, Kevin Roberts, regarde vers le Vieux Continent. En France, il vient de rencontrer plusieurs dirigeants d’extrême droite.
Les deux puissances, qui se sont longtemps livrées à une guerre indirecte au Moyen-Orient, s’affrontent désormais frontalement depuis le 13 juin 2025. Un conflit qui laisse planer la menace d’un embrasement dans la région.
La République islamique devrait être renversée par le peuple iranien, qui est seul maître de son destin, affirme le philosophe iranien Anoush Ganjipour, dans une tribune au « Monde ».
« Divorce transatlantique » (3/5). Le 31 août 2013, alors que les avions français sont prêts à décoller pour la Syrie, où ils doivent mener une opération avec les Etats-Unis contre le régime de Bachar Al-Assad, Barack Obama décide de temporiser, laissant la France seule face à son impuissance.
Mardi soir, l'armée iranienne a appelé les habitants des grandes villes israéliennes Haïfa et Tel-Aviv à évacuer, avertissant d'attaques "punitives" imminentes. De son côté, Donald Trump a exigé une "capitulation sans conditions" de l'Iran, et a annoncé la fermeture de son ambassade à Jérusalem.
Des figures de la base trumpiste s’opposent à toute implication des Etats-Unis dans l’affrontement, allant jusqu’à évoquer un « schisme », alors que des membres de l’entourage présidentiel encouragent un changement de régime à Téhéran.
Foncièrement attachés au droit international, les Européens ont de plus en plus de mal à surmonter les contradictions que leur imposent les Etats-Unis dans un monde où la force prend le dessus, estime dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».