Je viens de tomber sur une pépite qui va faire chavirer le cœur des nostalgiques du Commodore 64 !
Le site
Games That Weren’t
a déniché un prototype jouable d’Indiana Jones and the Last Crusade ! Mais attention, ce n’est pas un prototype officiel de l’époque. Il s’agit d’une conversion fan-made de la version aventure point-and-click propulsée par le moteur SCUMM que les adeptes du C64 n’ont jamais eu la chance d’essayer à l’époque.
Mais avant de vous en dire plus, je vous emmène avec moi en 1989. Lucasfilm Games sort 2 jeux Indiana Jones. D’un côté, il y a le jeu d’action / plateforme qui a bel et bien débarqué sur C64. Et de l’autre, le jeu d’aventure graphique qui tourne grâce au fameux moteur SCUMM (oui, celui de Monkey Island, pour les connaisseurs). Mais voilà, coup dur pour les fans du C64 c’est que cette version aventure ne s’est jamais frayé un chemin jusqu’à leur machine chérie. Elle est malheureusement restée l’exclusivité des ordinateurs 16 bits.
Et en 2012, un certain Thorsten Harth, alias “Brick Bambi”, développeur allemand audacieux de son état, se dit : “Et si je portais ce jeu SCUMM sur Commodore 64 ?” Un défi de taille quand on mesure les limitations techniques de la bécane 8 bits face à ses homologues 16 bits. Le bonhomme s’est acharné pendant plusieurs années sur cette conversion homebrew, jonglant entre graphiques bitmap et caractères pour optimiser la mémoire. Il avait même réservé 4K de RAM juste pour le son (de $A000 à $AFFF pour les experts).
D’ailleurs, côté musique, Joachim Wijnhoven avait été recruté en 2016 pour s’occuper de la bande-son. Thorsten lui avait commandé la “Raiders March” pour l’écran titre et de fin, mais aussi toute une série de thèmes spécifiques : la musique de la carte, de Venise, des catacombes, du château Brunwald, la marche d’Hitler, le piano d’Henry, la salle du Graal… Un travail de titan ! Roland Hermans, une autre recrure devait même s’occuper des effets sonores comme les coups frappés dans la bibliothèque, la cascade ou les étagères qui tombent. Le jeu devait alors alterner entre musique et effets sonores… Hé oui, pas les deux en même temps, question de limitations techniques.
Mais voilà, malgré l’aide apportée par d’autres personnes, la réalité a fini par rattraper notre développeur. Entre trois jeunes enfants à élever et un job à assurer, Thorsten se retrouve à court de temps. En 2017, une sortie cartouche avait même été discutée, mais Thorsten avait répondu que la complexité du jeu demanderait encore plusieurs années… le problème n’était pas les limitations de la RAM ou le CPU, mais bien les limites de temps. Du coup, en 2018, le projet est annoncé comme abandonné…
Snif…
A l’époque, son objectif initial c’était de boucler au moins le premier chapitre complet : Barnet College, la maison d’Henry, Venise, la bibliothèque et les catacombes. Tout ce qui précède le château Brunwald en fait. Et bonne nouvelle : c’est exactement ce que contient le prototype de Thorsten qui vient d’être retrouvé ! Joachim Wijnhoven, qui avait reçu une preview en décembre 2018, l’a généreusement partagée avec Games That Weren’t. C’est d’ailleurs une démo impressionnante avec beaucoup de contenu et d’interactions possibles.
Pour les fans de l’époque, l’absence de la version SCUMM d’Indy III sur C64 sonnait comme le glas et beaucoup ont commencé à lorgner du côté de l’Amiga ou du PC après cette déception. Alors voir aujourd’hui ce prototype homebrew refaire surface, même s’il date de 2012-2018 et non de 1989, c’est comme déterrer un trésor perdu digne du Dr. Jones lui-même.
J’sais pas vous, mais moi quand je vois Claude Code ou Cursor pondre du code avec des injections SQL grosses comme des maisons, j’ai envie de pleurer. Le pire, c’est que ces assistants IA sont incapables de vérifier si leur code est bien sécurisé. La plupart du temps ils pissent de la ligne, mais ils ne voient rien en. ce qui concerne d’éventuelles failles.
Du coup la bonne nouvelle, c’est l’arrivée de cet outil génial pour résoudre ce problème : TheAuditor. En gros, c’est une plateforme SAST (Static Application Security Testing) pensée dès le départ pour fonctionner avec les assistants IA.
L’idée c’est qu’au lieu d’avoir une IA qui code dans le vide, TheAuditor lui donne des yeux pour voir ce qu’elle fait vraiment. L’outil analyse le code, trouve les failles de sécurité (il détecte le Top 10 de l’OWASP, les injections, les problèmes d’authentifications…etc), et génère des rapports optimisés pour que l’IA puisse ensuite les comprendre et corriger ses erreurs toute seule.
Et surtout, ça fonctionne avec N’IMPORTE QUEL assistant IA. Pas besoin d’intégration spéciale, pas de SDK, rien. Vous demandez juste à votre IA de lancer aud full (ou vous le lancez vous-même) et elle lit les résultats dans .pf/readthis/. Que vous utilisiez Claude, Cursor, Codex, Windsurf ou Copilot, ça marche pareil.
L’installation est super simple. Vous clonez le repo dans ton dossier d’outils (pas dans votre projet !), vous faites un
pip install -e .
et c’est parti.
Ensuite dans votre projet, vous lancez :
aud setup-claude --target .
puis vous l’initialisez avec :
aud init
et enfin :
aud full
pour avoir votre audit complet.
TheAuditor fait tourner 14 phases d’analyse en parallèle. Ça va de la détection des frameworks (Django, Flask, React…) à l’analyse des dépendances, en passant par le suivi du flux de données pour identifier les points d’injection. Il génère même des graphiques de dépendances avec Graphviz pour visualiser l’architecture de ton code.
Un truc “marrant” que le créateur mentionne dans son projet, c’est que son outil déclenche les antivirus ! Donc c’est pas la peine de m’écrire pour me dire que votre antivirus random à la période d’essai expirée a détecté un grave danger et que vous êtes vachement déçu parce que Korben.info c’est devenu de la merde, et que vous allez portez plainte parce qu’à cause de moi, y’a un virus dans votre imprimante maintenant et ce genre de conneries ^^. C’est normal en fait parce que l’outil doit détailler les vulnérabilités qu’il trouve dans la documentation. Et pour l’antivirus, écrire des patterns de vulnérabilités détectées, c’est suspect. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un vrai scanner de sécurité.
Le workflow maintenant avec ce truc, ça consiste donc à demander une fonctionnalité à votre assistant IA. Lui, en bonne victime, il la code, puis lance TheAuditor automatiquement, lit ensuite le rapport, corrige les problèmes de sécurité, relance TheAuditor pour vérifier que tout est OK, et ainsi de suite jusqu’à ce que ce soit clean. Comme ça plus besoin de toucher au terminal, l’IA gère tout.
Pour les refactorings, c’est également du bonheur puisque l’outil détecte automatiquement les migrations incomplètes, les incompatibilités d’API entre frontend et backend, les changements de modèles de données mal propagés. Vous pouvez même définir vos propres règles de corrélation dans /correlations/rules/.
Voilà, si vous en avez marre que vos assistants IA génèrent du code troué et que vous voulez dormir tranquille,
TheAuditor
pourrait bien devenir votre meilleur pote.
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ASUS est bien connu pour sa gamme de produits gaming ROG qui s’engage à offrir des expériences de jeu hors du commun aux joueurs et aux passionnées de tous horizons. Mais la marque dispose également d’une ligne plus professionnelle : la gamme ProArt. Cette série est pensée pour répondre aux besoins des créateurs de contenu, des monteurs vidéo, des photographes ou encore des professionnels de la 3D. L’objectif est simple : proposer des outils fiables, performants et adaptés à une utilisation intensive.
Dans cette logique, ASUS a conçu le ProArt PA401 Wood Edition, un boîtier PC dévoilé fin 2024 qui privilégie la fonctionnalité et la sobriété. Loin des modèles orientés gaming, il ne cherche pas à se faire remarquer par des éclairages tape à l’œil ni par un design ostentatoire. Il se concentre sur l’essentiel: un espace interne généreux, une circulation de l’air efficace et une organisation facilitée.
Côté caractéristiques, le ProArt PA401 Wood Edition se veut polyvalent. Il peut accueillir des cartes mères allant jusqu’au format ATX et il intègre un système de gestion de la ventilation capable de refroidir des composants exigeants (le boîtier est livré avec trois ventilateurs préinstallés dont deux de 160 mm). Il propose suffisamment de place pour les solutions de stockage volumineuses, également des filtres anti-poussière accessibles, une connectique supérieure complète et un montage pensé pour simplifier l’installation.
Côté tarif, le ProArt PA401 Wood Edition s’affiche à 142 € sur Amazon France, mais on le trouve à un prix plus accessible chez Alternate, autour de 114 euros. Il se situe dans la gamme moyenne des boîtiers présents sur le marché. Il s’adresse à ceux qui considèrent leur PC comme un outil de travail quotidien et qui recherchent un boîtier durable, fiable et conçu pour accompagner des charges de travail importantes. Découvrons ce boîtier élégant pensé par les créateurs et pour les créateurs.
Emballage de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
La face principale de l’emballage du ProArt PA401 est à l’image du produit. C’est sobre et élégant grâce à un graphisme géométrique discret, fidèle à la gamme ProArt et à un encadré noir nous donnant quelques caractéristiques des ventilateurs installés (160 x 32 mm, airflow à 138 CFM, nuisances sonores à 30 dB(A) et pâles en anneau). L’autre face de l’emballage nous donne d’autres points forts que nous évoquerons tout au long de ce test.
Les petits côtés nous donnent les spécifications complètes du ProArt PA401 sous forme de tableau ainsi que la version livrée (métal ou verre trempé) grâce à une gommette. Nous avons également les logos et étiquettes habituelles. Un QR code renvoie vers la page d’enregistrement du produit.
Unboxing et accessoires
Le ProArt PA401 Wood Edition est encadré par deux blocs de polystyrène garants de son immobilité lors du transport. Un sac plastique protège en plus le boîtier des éventuels accrocs et rayures lors des premières manipulations. Une boîte d’accessoires est intégrée aux blocs de polystyrène.
Cette boîte cartonnée contient :
Une pièce métallique permettant le passage de la carte graphique à la verticale,
Un manuel d’utilisation et une carte de garantie,
Dix serre-câbles plastique,
Un ensemble de vis permettant l’installation des composants à l’intérieur du boîtier.
Caractéristiques techniques de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Modèle
ProArt PA401 Wood Edition – Panneau en verre trempé (90DC00M0-B39000)
Format de cartes mères supporté
ATX
Baies de stockage
2 x baies 2,5 pouces 2 x baies 2,5/3,5 pouces
Slots d’extension
7
Ports E/S
1 x Casque / Microphone 2 x USB 3.2 Gen1 1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type C
Emplacement radiateur haut
120 mm 140 mm 240 mm
Emplacement ventilateur façade
2 x 140 mm 2 x 160 mm (deux préinstallés)
Emplacement ventilateur arrière
1 x 120 mm (un préinstallé)
Hauteur maximum ventirad
160 mm
Longueur maximum carte graphique
315
Longueur maximum alimentation
170 mm
Dimensions
412 x 225 x 503 mm (D*W *H)
Poids
8.61 Kg
Accessoires
HUB préinstallé pour 5 ventilateurs PWM
Design extérieur de l’ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Voici le ProArtPA401 Wood Edition ! Avec ce boîtier, la marque mise sur l’élégance avec une façade particulière en bois de frêne certifié FSC qui serait plus résistant et plus durable que le noyer ordinaire. Un revêtement en deux étapes vient compléter la conception. Ce revêtement rehausse le grain unique du frêne avec une finition brillante. Le reste du boîtier est visuellement ordinaire avec, pour notre version, une paroi latérale en verre trempé de 4 mm (une version est disponible avec une paroi en acier).
En arrière, nous avons une disposition classique :
Emplacement des E/S de la carte mère,
Emplacement pour un ventilateur/radiateur de 120 mm réglable verticalement,
Sept emplacements d’extension,
Emplacement de l’alimentation.
Le reste de la paroi est agrémenté d’ouvertures rondes permettant une meilleure circulation de l’air. La paroi latérale droite est pleine, en acier.
Le ProArtPA401 Wood Edition est livré avec une plaque permettant l’installation de la carte graphique à la verticale (le Riser n’est pas fourni). La manœuvre de remplacement est simple : enlever les sept équerres PCIe, placer le support et visser.
La marque mise aussi sur la sécurité. En haut de cette paroi arrière, nous remarquons un loquet pour débloquer chaque paroi latérale, un système de fixation pour la paroi supérieure et un autre loquet pour sécuriser la fixation de la paroi en verre trempé.
En plus, pour un rendu visuel impeccable, l’utilisateur pourra profiter de quatre pinces à câbles estampillés ProArt.
De côté, le ProArtPA401 Wood Edition nous montre une paroi latérale droite en acier et une paroi latérale gauche en verre trempé. Cette dernière profite d’un cadre intérieur noir sur quatre côtés.
Cette paroi profite aussi de la typographie particulière vue précédemment en lettres d’or ainsi qu’un « Power Up Your Imagination » mettant en avant les possibilités offertes avec ce boîtier sur l’installation d’un système selon les souhaits de l’utilisateur.
Au-dessus du boîtier
Au-dessus du ProArt PA401, nous avons une paroi intégralement en maille fine. Elle va permettre la circulation de l’air tout en protégeant les composants de la poussière. Cette paroi est amovible grâce au système de fixation vu précédemment. Une fois enlevée, elle libère un emplacement pour ventilateur (deux de 120 ou 140 mm) ou radiateur (240 mm maximum). Ce support, en acier, est amovible pour faciliter l’installation des composants.
C’est sur cette paroi supérieure que se situent les E/S. Nous avons :
Un bouton de gestion de la vitesse des ventilateurs (Auto selon les réglages dans le bios ou intensif),
Deux USB type A 3.0,
Une prise combo micro/casque,
Un port USB type C,
Un bouton Reset,
Un loquet de verrouillage des boutons Reset et Power pour éviter tout appui involontaire lors des sessions de travail (ou de jeu),
Un bouton Power.
En dessous du ProArt PA401, nous avons quatre petits pieds ronds pourvus de patins antidérapants. Leur petite taille assure tout de même une bonne accroche sur le support. Nous avons également un filtre qui va protéger l’alimentation de la poussière. Ce filtre profite d’un cadre plastifié rigide et il peut s’enlever pour faciliter son nettoyage.
Intérieur de l’ASUS ProArt PA401
Pour dévoiler l’intérieur du ProArt PA401, nous pouvons commencer par enlever la façade. Mais attardons-nous quelques instants, car, là encore, ASUS a ajouté quelques détails qui subliment ce PA401. Nous avons en bas à gauche, une pastille aux éléments typographiques dorés et le nom de la gamme gravé tout en haut de la façade.
Nous avons volontairement forcé l’exposition de la photo suivante afin de vous montrer les différentes nuances visibles dans les lattes en frêne de la façade. Globalement foncées, celles-ci pourront dégager des nuances plus claires de couleur bordeaux, voire même si la lumière est bien présente, des tons ocre. C’est élégant et apporte une vraie plus-value à ce PA401.
La façade se déclipse facilement en tirant vers soi par le bas. Elle est pourvue de maille fine permettant la filtration de la poussière. Selon la marque, cette grille frontale présente une porosité de 33 % afin de maximiser le flux d’air et la ventilation. Une fois enlevée, elle nous laisse apercevoir deux ventilateurs de 160 mm préinstallés. Ceux-ci pourront être remplacés par deux ventilateurs de 140 mm. Nous le verrons par la suite, mais il sera impossible d’installer un radiateur à ce niveau.
35 mm de profondeur dans la chambre secondaire
Passons sur le côté droit du ProArt PA401. La paroi latérale en acier repose sur le bas du châssis et elle est fixée en haut par plusieurs crochets rétractables grâce au loquet arrière. Ici, nous avons une profondeur de 35 mm pour la gestion des câbles.
Et un HUB inclus !
Tout en haut, le ProArt PA401 est équipé d’un HUB permettant la gestion de cinq ventilateurs PWM. Vous l’aurez remarqué, il n’y a pas de place pour le RGB dans ce boîtier. Ce HUB s’alimente en SATA et dispose d’une prise 4 pins PWM à relier à la carte mère. Un branchement supplémentaire permet de le relier au bouton de gestion de vitesse des ventilateurs présent sur le haut du boîtier.
En dessous, nous avons trois serre-câbles velcro estampillés ProArt en lettres dorés. Leur placement stratégique va permettre de gérer les câbles descendants du panneau supérieur de E/S mais également les câbles s’acheminant vers le côté de la carte mère.
En dessous de l’emplacement réservé au dos de la carte mère, le ProArt PA401 profite d’un support à disques durs en acier. Ce support est amovible grâce à un loquet présent dans le châssis (pas besoin de tournevis pour l’extraire). Ce support peut accueillir un HDD 3,5″ ou deux SSD 2,5″. Les disques se fixent à l’aide de simples vis.
Voici les branchements issus du panneau supérieur des E/S :
Une prise Front Panel,
Une prise pour ports USB-A,
Une prise pour ports USB-C,
Une prise audio.
Enfin, tout en bas de le PA401 Wood Edition, nous avons, à gauche, une cage à disques durs en acier. Celle-ci est amovible et intègre deux tiroirs en plastique. Ces supports pourront recevoir aussi bien des disques durs 3,5″ (pas de vis de fixation nécessaire) et des disques 2,5″ (fixation par vis).
À droite, nous avons l’emplacement pour l’alimentation. ASUS conseille une alimentation d’une longueur maximale de 170 mm. En pratique, nous avons un espace de 230 mm jusqu’à la cage à disques durs pour la gestion des câbles. L’alimentation reposera sur quatre patins antivibrations et sera guidée et assurée par deux renforts métalliques latéraux.
Une chambre principale un peu limitée
Passons dans la chambre principale. Le ProArt PA401 est un boîtier moyen tour mesurant 412 x 225 x 503 mm. Il pourra recevoir des cartes mères au format ATX (pas d’E-ATX ni de carte mère à connecteurs arrière type ASUS BTF), des ventirads de 160 mm de hauteur maximum et des cartes graphiques de 315 mm de long maximum 105 mm d’épaisseur max).
En arrière de cette chambre principale, nous avons un premier ventilateur préinstallé de 120 mm. Celui-ci est placé à gauche de l’emplacement du panneau E/S de la carte mère et au-dessus de sept emplacements d’extension. De nombreuses ouvertures assureront la circulation de l’air sur l’intégralité de la paroi.
À droite, nous avons deux ventilateurs de 160 mm préinstallés. Ils pourront être remplacés par deux ventilateurs de 140 mm.
Ces deux ventilateurs en façade ne pourront pas être remplacés par un radiateur de 360 mm car ils viennent au ras du bord du cache alimentation qui, de plus, plonge vers le bas du boîtier. Ce cache alimentation est plein, excepté trois ouvertures pour le passage des câbles vers le bas de la carte mère ainsi que vers les ports d’alimentation de la carte graphique. Deux pas de vis sont présents pour l’installation d’un Riser pour installation du GPU à la verticale.
Enfin, en haut, nous retrouvons le support à ventilateurs (deux de 120 ou 140 mm) ou d’un radiateur de 240 mm maximum.
Ventilateurs
Le ASUS ProArt PA401 est livré avec trois ventilateurs : deux en aspiration en façade de 160 mm (32 mm d’épaisseur) et un en extraction arrière de 120 mm (28 mm d’épaisseur). Entièrement noirs, ils profitent de sept pales pour le 160 mm et de neuf pales pour le 120 mm. Des patins antivibrations ornent les quatre coins de chaque ventilateur. Ils s’alimentent grâce à une prise 4 pins PWM et la version 160 mm délivre efficacement jusqu’à 138 cm3 de flux d’air pour 30 dB(A) de nuisances sonores. Nous n’avons pas d’informations techniques supplémentaires les concernant.
‘Clearance checking’ Dégagement des composants
Le ProArt PA401 offre un dégagement optimal pour l’installation des différents composants :
Longueur maximale de la carte graphique : 315 mm,
Hauteur maximale du ventirad CPU : 160 mm,
Longueur maximale de l’alimentation : 170 mm.
En ce qui concerne l’installation de radiateurs, voici les possibilités et les limitations :
Radiateur en haut : 240 mm maximum et avec une épaisseur maximale de 60 mm avant de toucher la carte mère.
Pas en façade (proximité des passe câbles à droite de la carte mère et pente du cache alimentation qui va gêner)
Montage dans le ASUS ProArt PA401 Wood Edition
Le montage de notre configuration de test n’a pas posé de souci particulier dans la chambre secondaire. Les 35 mm disponibles pour l’organisation des câbles sont suffisants. Les serre-câbles velcro sont idéalement placés et les nombreux points d’ancrage faits dans la paroi permettent de fixer certains autres câbles.
Dans la chambre principale, nous n’avons pas éprouvé de difficulté particulière. Attention tout de même à la limitation de la longueur de la carte graphique à 315 mm. Nous avons du utiliser une RX 6750 XT (ancienne config de test) à la place de notre récente ASUS TUF GAMING RX 9070 OC qui ne logeait pas. Selon ASUS, le PA401 est « RTX 50 ready » mais nous nous interrogeons sur cette place limitée avec les plus gros modèles de Nvidia.
La paroi en verre trempé est légèrement teintée, mais elle laisse voir un maximum de détails de notre système. Là encore, nous aurions aimé avoir une compatibilité avec les cartes mères à connecteurs cachés type ASUS BTF pour un aspect visuel des plus épurés s’harmonisant parfaitement avec l’élégance naturelle du boîtier.
Méthodologie de Test et Résultats pour le ASUS ProArt PA401 (2025)
En 2025, nous modifions la configuration de test. Cette actualisation permet de s’assurer que le système testé s’aligne avec les exigences actuelles et qu’il reflète les dernières mises à jour matérielles et logicielles. Elle est essentielle pour garantir la fiabilité, la performance et la conformité des boîtiers face aux évolutions technologiques et aux besoins des utilisateurs.
Nous avons testé notre configuration hors boîtier. Cette manœuvre permet de tester les composants en environnement contrôlé avant de les soumettre aux contraintes thermiques et mécaniques du boîtier. Nous obtenons ainsi des valeurs réelles sans interférence avec la circulation de l’air liée au fonctionnement de ventilateurs préinstallés. À une température de 19° dans la pièce et en charge, le CPU est monté à 81,6° (41,5° au repos), le GPU à 72° (38° au repos) et le SSD à 53° (38° au repos).
Pour faire notre test, nous avons donc équipé le ProArt PA401 de la configuration suivante :
AMD RX 6750 XT (à la place de notre ASUS TUF GAMING RX 9070 OC)
Fractal Design ion+ 860P
be quiet! Dark Rock 4
SSD Samsung 970 EVO NVMe M.2 250 Go
Protocole de Test
Nous avons ensuite mis en place ce protocole, à savoir :
La configuration citée ci-avant (boîtier fermé),
Burn CPU : OCCT sur l’ensemble des threads sous Cpu Linpak 2019 pendant 30 min,
Burn GPU : Fire Strike Stress Test (3DMark) avec 20 passes pour chauffer la carte graphique,
CrystalDiskMark 8.0.0 pour mesurer la température du SSD en charge,
Rise of the Tomb Raider : 30 minutes de jeu,
La carte graphique toujours en mode auto,
Meterk MK09 placé à 50 cm du boîtier pour mesurer le niveau sonore,
Les mesures sont réalisées en 2 situations : au repos et en charge.
Températures dans le ASUS ProArt PA401
Suite aux différents tests réalisés, les résultats obtenus sont donc les suivants :
Au niveau des températures, avec la vitesse de ventilation réglée en auto et une température ambiante de 21°C, le CPU reste aux alentours de 44°C au repos. Une fois sollicité sous OCCT, le processeur affiche une température maximale de 87°C. En jeu, le monte à 54°C.
Au repos, la AMD RX 6750 XT, avec son mode semi-passif, tourne à 34°C. Après 20 passes de stress test Firestrike, la température de celle-ci atteint les 76°C. En jeu, la carte ne dépasse pas 61°C après 30 minutes dans Rise of the Tomb Raider.
Le SSD affiche 39°C au repos, et 57°C après un test CrystalDiskMark.
Avec une température ambiante de 21 °C, le ProArt PA401 montre qu’il sait tenir une configuration de travail habituelle dans des valeurs rassurantes. Le processeur reste à 44 °C au repos et grimpe à 54 °C en jeu, ce qui est très correct pour un tel usage. Attention cependant, le stress test OCCT l’amène jusqu’à 87 °C. Cette température (quoique non extrême) pourra freiner les créateurs/professionnels habitués à des charges de travail plus intenses. Les deux ventilateurs en façade assurent un airflow efficace. Nous nous interrogeons sur la capacité du ventilateur arrière à assurer une évacuation appropriée. L’ajout de deux ventilateurs en extraction dans le haut du boîtier pourrait pallier à ce petit souci de gestion thermique.
La carte graphique AMD RX 6750 XT reste au frais : 34 °C au repos grâce à son mode semi-passif, 61 °C en jeu, et un maximum de 76 °C après de longues passes de Firestrike, des chiffres parfaitement maîtrisés pour une carte de ce gabarit. Le SSD, enfin, reste à 39 °C au repos et ne dépasse pas 57 °C en charge sous CrystalDiskMark, preuve que le flux d’air profite aussi aux périphériques de stockage.
Niveaux sonores du ProArt PA401
PS : Ces résultats peuvent varier selon la configuration.
Côté nuisances sonores, le ProArt PA401 se montre discret dans un usage quotidien. Avec notre sonomètre Meterk MK09 placé à 50 cm, nous relevons 35,6 dB(A) au repos dans une pièce à vivre classique, un niveau à peine perceptible dans l’environnement ambiant. En jeu, la ventilation s’exprime davantage, mais reste mesurée avec 42,2 dB(A), tandis qu’à pleine charge, ventilateurs à 100 %, le boîtier atteint 47,5 dB(A).
Ces chiffres traduisent un comportement équilibré : le ProArt PA401 privilégie avant tout la sobriété acoustique, ce qui correspond parfaitement aux attentes des créateurs et professionnels. Même lors de rendus lourds ou de longues sessions de montage, le système reste présent mais jamais envahissant, garantissant un confort d’utilisation au quotidien.
Conclusion : Notre avis sur le ASUS ProArt PA401
[Test] ASUS ProArt PA401 Wood Edition : un boîtier pensé par et pour les créateurs
Conclusion
Le ASUS ProArt PA401 illustre parfaitement la volonté de la marque de proposer une alternative professionnelle et élégante à sa gamme Republic of Gamers. Ici, pas de panneaux RGB ni de design agressif : le constructeur mise sur la sobriété, la praticité et une finition originale avec sa façade en frêne certifié FSC. Ce choix esthétique s’accorde parfaitement avec l’esprit ProArt, pensé pour séduire avant tout les créateurs de contenu et les professionnels à la recherche d’un outil de travail fiable.
À l’usage, le châssis se montre bien conçu. L’espace interne est suffisant pour accueillir une configuration moderne, l’organisation des câbles est facilitée par 35 mm de dégagement et des attaches velcro bien placées, et la connectique supérieure se révèle complète avec notamment un port USB-C et un bouton de contrôle de la ventilation. L’installation ne pose pas de difficulté particulière, même si la compatibilité reste limitée à des cartes graphiques de 315 mm et des cartes mères ATX, ce qui pourra freiner les utilisateurs de composants plus imposants.
Sur le plan thermique, les résultats sont globalement satisfaisants. Le CPU se maintient autour de 44 °C au repos et 54 °C en jeu, tandis que le GPU RX 6750 XT reste contenu avec 61 °C en charge ludique. Le SSD bénéficie lui aussi d’un flux d’air efficace avec un maximum de 57 °C. Seul le stress test CPU révèle une limite, avec une pointe à 87 °C, signe que le boîtier n’est pas taillé pour l’overclocking intensif. Un renfort de l’extraction via deux ventilateurs supplémentaires en partie haute permettrait sans doute d’améliorer encore la dissipation ou encore une dimension globale plus importante permettant d'installer un AIO en 360 mm.
Côté nuisances sonores, le ProArt PA401 confirme son orientation professionnelle : discret au repos avec 35,6 dB(A), mesuré en jeu avec 42,2 dB(A), et encore acceptable en charge maximale avec 47,5 dB(A). Ces valeurs témoignent d’un bon compromis entre refroidissement et confort acoustique. Pour des créateurs qui passent des heures devant leur station de travail, ce niveau sonore contenu constitue un vrai atout.
Au final, le ProArt PA401 tient son pari. Il s’impose comme un boîtier élégant, pratique et cohérent pour les professionnels et les passionnés de création. Certes, il n’a pas vocation à séduire les amateurs d’overclocking ou les joueurs en quête d’un design extravagant, mais il offre un environnement stable, bien ventilé et silencieux, à un tarif compétitif autour de 114 €. En ce sens, il s’inscrit parfaitement dans l’ADN ProArt : un outil conçu par et pour les créateurs, qui allie esthétique raffinée et efficacité au quotidien.
Design
9.1
Qualité/finitions
9
Agencement interne
8.4
Flux d'air
8.5
Câble management
8.9
Capacité watercooling
7
Prix
8.8
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Un boîtier élégant grâce à la façade en frêne
Une chambre secondaire bien pensée
Trois ventilateurs préinstallés dont deux de 160 mm
Un HUB de gestion de 5 ventilateurs PWM
Un tarif attractif
Points faibles
Incompatibilité avec les cartes mères type ASUS BTF
Bonne nouvelle pour les nostalgiques du boîtier en plastique : la PlayStation 6 devrait encore accepter les jeux physiques. Selon un rapport d’Insider Gaming, Sony prévoit de proposer une version numérique de la PS6, mais aussi des packs incluant un lecteur de disques amovible, comme c’était déjà le cas avec la PS5 Digital Edition.
Les joueurs craignaient que Sony abandonne totalement le support des disques Blu-ray, au profit d’un futur 100 % dématérialisé. Finalement, l’éditeur continuerait de jouer la carte du choix : une console compacte pensée pour le digital, et un accessoire optionnel pour les collectionneurs de boîtes.
Un modèle inspiré du succès PS5
L’analyste Tom Henderson précise que les bonnes ventes du lecteur de la PS5 Pro Digital Edition ont conforté Sony dans cette approche. L’autre enjeu, plus pragmatique : réduire la taille et le poids de la machine. Avec la flambée des coûts logistiques et les hausses de prix liées aux taxes d’importation, chaque centimètre gagné représente des économies à grande échelle.
Cette stratégie expliquerait aussi certains compromis récents, comme le passage du SSD de la PS5 Digital Edition à 825 Go au lieu de 1 To. Détail insignifiant à première vue, mais qui fait la différence quand on parle de millions d’unités produites.
Et l’avenir des jeux physiques dans tout ça ?
Si la PlayStation 6, dont les caractéristiques techniques font déjà l’objet de nombreuses rumeurs, intègre bien un lecteur détachable, une question demeure : les éditeurs suivront-ils ? Sur PS5 et Xbox Series, les titres uniquement disponibles en version digitale se multiplient, et la compatibilité matérielle ne suffit pas à garantir la pérennité du support physique.
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PS5 Slim Chassis E (CFI-2100) is dropping soon… But there's a catch
Sony pourrait plutôt miser sur la rétrocompatibilité : avec une architecture x86 similaire aux générations précédentes, la PS6 devrait pouvoir lancer les jeux PS4 et PS5. De quoi séduire les joueurs avec de larges bibliothèques de Blu-ray, et aussi répondre à la problématique de certains marchés où la connexion Internet reste limitée. Une réflexion déjà partagée par Shawn Layden, ancien cadre de PlayStation, en février dernier.
Conclusion : un pied dans le futur, un autre dans le passé
La PlayStation 6 s’annonce comme une console plus compacte, modulable et tournée vers l’avenir digital, tout en laissant une porte ouverte aux disques. Sony semble vouloir ménager la chèvre et le chou : proposer un modèle moderne, économique à produire et distribuer, sans froisser les fans de jeux physiques.
Reste à savoir si, d’ici la sortie officielle, l’industrie ne poussera pas définitivement vers le tout-dématérialisé.
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À l’IFA 2025, AMD n’a pas sorti de nouvelle carte graphique ni de processeur tape-à-l’œil. À la place, le constructeur a préféré partager sa vision de l’avenir de l’IA et du PC. Message central : avant de parler de cloud ou de buzzword marketing, il faut d’abord construire le “parfait PC”, capable de faire tourner l’intelligence artificielle directement en local.
Jack Huynh, vice-président senior et directeur général de la division Computing & Graphics chez AMD, a ainsi expliqué que la “vraie révolution IA” n’avait pas encore eu lieu. Oui, les générateurs d’images et de texte ont explosé en popularité l’an dernier, mais selon lui, ce n’est que la surface : l’avenir réside dans des usages bien plus profonds, comparables aux débuts de l’Internet. Une transformation de fond, qui prendra des années pour s’imposer.
CPU, GPU et NPU : chacun son rôle
Contrairement à certaines idées reçues, AMD ne voit pas les NPU comme des remplaçants des CPU et GPU. Leur mission : permettre aux applications IA de tourner localement, en toute sécurité et sans dépendance au cloud. AMD préfère une approche pragmatique et évolutive, plutôt qu’une course aux specs extrêmes destinées à faire le buzz.
Huynh a même balayé l’idée d’un service type “Radeon Now” en réponse au GeForce Now de NVIDIA. Pas question pour AMD de se lancer dans le streaming de jeux, mais la société n’exclut pas de fournir des puces pour d’autres. Exemple concret : le service GeForce Now de NVIDIA s’appuie déjà sur des processeurs AMD Threadripper.
Radeon, marché et perspectives
Quand vient la question sensible de la part de marché, AMD botte en touche : avec seulement 6 % du marché du GPU dédié au deuxième trimestre 2025, difficile de bomber le torse. Pourtant, l’entreprise insiste : la demande pour les cartes Radeon reste solide.
Et côté gaming, AMD confirme que la technologie FSR Redstone est toujours prévue pour le second semestre 2025. De quoi relancer un peu la confiance des joueurs, en attendant une vraie montée en puissance sur le marché des GPU.
Conclusion : pragmatisme avant tout
Pas d’effets d’annonce spectaculaires chez AMD cette année à l’IFA, mais une vision claire : avant de rêver d’un futur 100 % IA, il faut d’abord construire un PC solide, capable de tout faire tourner localement. Une approche qui tranche avec le discours souvent plus flamboyant de la concurrence, et qui pourrait séduire ceux qui préfèrent la fiabilité aux promesses trop belles pour être vraies.
Intel semble prêt à dégainer son nouveau GPU phare, le Battlemage BMG-G31, qui devrait donner naissance à l’Arc B770. Après des mois de rumeurs et de confirmations à demi-mots, une nouvelle fuite vient renforcer l’idée que la carte est sur le point de voir le jour : un shipping manifest listant le mystérieux GPU et même son packaging.
Jusqu’ici, la carte la plus musclée de la gamme Battlemage restait l’Arc B580. Une solution correcte mais cantonnée au segment entrée de gamme. Avec le B770, Intel semble enfin vouloir monter en puissance et offrir une alternative sérieuse dans le milieu/haut de gamme.
Selon les infos glanées dans le document d’expédition :
Die size proche du G21, avec des dimensions légèrement différentes (390 x 189 x 83 mm contre 381 x 192 x 89 mm pour le G21).
32 Xe2 Cores attendus, soit un gros gain de puissance par rapport au B580.
16 Go de mémoire GDDR6, accompagnés d’un bus mémoire 256 bits.
En clair : Intel veut muscler son jeu et offrir une carte bien plus compétitive. Un contraste intéressant avec les premières rumeurs autour du BMG-G21 que nous avions déjà analysées, et que nous avions décortiquées dans un papier plus technique sur l’architecture Battlemage BMG-G21 et Xe2.
Des indices concordants
Ce n’est pas la première fois que le BMG-G31 apparaît : il avait déjà été repéré dans le Compute Runtime avec plusieurs Device IDs distincts. Le shipping manifest, daté du 11 juin 2025, confirme que les échantillons circulent déjà depuis plusieurs mois.
Le parallèle avec le B580 est intéressant : à l’époque, nous avions vu la carte listée dans un manifest, avant qu’elle ne soit disponible environ deux mois et demi plus tard. De quoi imaginer une sortie rapide pour ce B770, même si Intel pourrait aussi attendre la fin d’année.
Avec l’Arc B770, Intel semble prêt à franchir un vrai cap dans le GPU gaming. Reste à voir si le prix et les performances suivront, surtout après les rumeurs d’une version 24 Go qui avaient beaucoup fait jaser.
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