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Test de la Razer Kishi V3 Pro : l’expérience console sur mobile
Razer n’en est pas à son coup d’essai sur le terrain du mobile gaming, et avec cette Kishi V3 Pro, la marque affine encore sa formule. Fini les gadgets limités à quelques jeux ou plateformes : ici, on parle d’une vraie manette, pensée pour ceux qui veulent retrouver leurs sensations console sur un téléphone, une tablette ou même un PC. Et autant le dire tout de suite : le pari est ambitieux, mais les arguments sont là.
Sous le plastique, la Kishi V3 Pro aligne du matos qui parle aux joueurs pointilleux. Joysticks TMR haute précision avec capuchons interchangeables, retours haptiques nouvelle génération via Sensa HD, boutons arrière qui cliquent comme une souris gaming… Rien de gadget ici : chaque détail vise à maximiser la réactivité et le confort. Le design, plus massif, est assumé : on n’est plus dans le tout-compact, mais dans l’ergonomique assumé, avec une vraie prise en main.
Côté compatibilité, c’est open bar : Android, PC, mini-tablettes jusqu’à 8 pouces, le tout en mode plug-and-play ou via des apps comme Razer Nexus pour customiser les contrôles. Et pour ceux qui streament depuis leur console ou depuis le cloud (GeForce Now, Xbox Cloud Gaming, PS Remote Play…), tout est prévu. La manette ne fait pas que suivre : elle s’intègre dans un écosystème de jeu nomade complet.
Quelques bonus viennent arrondir les angles comme les 3 mois d’Apple Arcade offerts histoire de découvrir ou redécouvrir un catalogue bien fourni. Rien d’essentiel, mais ça montre que Razer soigne aussi les à-côtés.
Proposée à 164,99 €, la Kishi V3 Pro vise clairement les joueurs exigeants. Reste à voir si cette promesse de performance mobile tient sur la durée et face à la concurrence. Spoiler : on l’a testée sous toutes les coutures.
Unboxing
L’emballage de la Razer Kishi V3 Pro reprend le style habituel de la marque : un fond blanc épuré en façade, dominé par une large photo du produit fixé à une tablette et accompagné des logos Android, iPhone et iPad pour marquer la compatibilité. Les éléments clés, tels que la connectique USB-C et l’intégration au launcher Razer Nexus, sont mis en avant directement sur la boîte.


À l’arrière, le ton se veut plus explicatif : visuels techniques, liste de caractéristiques phares (sticks TMR avec capuchons interchangeables, boutons arrière à clic mécanique, compatibilité avec des téléphones jusqu’à 8″, connexion directe en USB-C). On retrouve aussi une traduction multilingue des fonctions, confirmant une distribution pensée pour un marché global.

À l’intérieur, on trouve la manette, deux capuchons de sticks interchangeables (un concave et un convexe), deux jeux de patins en caoutchouc pour adapter la taille aux différents smartphones, ainsi que la documentation. Pas d’étui fourni, un manque notable pour un produit orienté mobilité.


Spécifications techniques
Compatibilité | Android 14+, iOS 18+, smartphones et tablettes USB-C (jusqu’à 8″ pour Pro, 13″ pour XL) |
Connexion | USB-C avec charge passthrough et prise casque 3,5 mm |
Sticks | Analogiques TMR avec capuchons interchangeables |
Boutons | Boutons mecha-tactiles, D-Pad 8 directions, gâchettes Hall Effect, 2 bumpers supplémentaires, 2 boutons arrière |
Haptique | Razer Sensa HD Haptics (Android uniquement) |
Logiciel | Razer Nexus (gratuit) : remapping, Virtual Controller, Remote Play PC, enregistrement |
Poids | 268 g |
Prix | 164,99 € (Pro), 229,99 € (Pro XL) |
Design et prise en main de la Kishi V3 Pro

Cette troisième génération abandonne le format compact de la première Kishi au profit d’un gabarit proche des manettes Xbox.

Les poignées sont épaisses et ergonomiques, avec une surface arrière texturée. Le RGB présent sur le Kishi Ultra disparaît, laissant place à un design plus sobre. La construction inspire confiance avec un plastique mat de qualité.

La Kishi V3 Pro offre la recharge via USB-C passthrough et une prise jack 3,5 mm, toujours bienvenue quand on joue sérieusement.
En revanche, cette taille imposante réduit la portabilité. La manette ne se replie pas et son transport nécessite un sac ou un étui tiers.

Côté compatibilité, la V3 Pro accueille sans problème les smartphones avec coque, jusqu’à 16 mm d’épaisseur, un vrai progrès par rapport aux modèles précédents. Pour y parvenir, Razer fournit trois paires de coussinets en caoutchouc interchangeables. Les coussinets A, préinstallés, sont conçus pour les iPhone. Les coussinets B conviennent aux tablettes. Les coussinets C sont destinés aux appareils Android.

Sticks et boutons de la Kishi V3 Pro : précision et contrôle total
La Kishi V3 Pro mise sur des sticks TMR de grande taille, conçus pour offrir une précision supérieure aux modèles à effet Hall classiques. Leur particularité : une technologie anti-dérive pour une durabilité accrue et une visée toujours nette, même après de longues sessions de jeu. Pour adapter l’expérience à chaque style, deux capuchons interchangeables permettent d’opter soit pour plus de vitesse, soit pour une meilleure précision.


Mais Razer ne s’arrête pas là. La manette intègre également quatre boutons supplémentaires qui changent la donne : deux boutons arrière à clic mécanique, directement inspirés des meilleures souris gaming de la marque, et deux boutons-poussoirs pensés pour une prise en main en griffe.

Résultat : une réactivité immédiate et un contrôle accru, idéal pour les joueurs compétitifs qui cherchent à surpasser leurs adversaires sur mobile ou en cloud gaming.

Fonctionnalités et logiciel
Les nouveautés majeures résident dans l’intégration des sticks TMR, plus précis que les capteurs Hall traditionnels et résistants au drift. Leurs capuchons interchangeables permettent une personnalisation basique.

Les boutons mécaniques mecha-tactiles offrent un clic franc, tandis que les gâchettes Hall Effect sont fluides et réactives. Deux bumpers supplémentaires et deux boutons arrière viennent enrichir la configuration.

La manette bénéficie aussi des vibrations Razer Sensa HD Haptics, efficaces mais limitées pour l’instant à Android. Le logiciel Razer Nexus, gratuit et simple d’utilisation, complète l’expérience : il permet de configurer les boutons, d’activer le mode “Virtual Controller” pour les jeux tactiles, ou encore de lancer du streaming depuis un PC.
Expérience de jeu
En pratique, la Kishi V3 Pro se rapproche plus que jamais d’une manette console. Les sticks TMR se distinguent particulièrement dans les FPS ou les jeux compétitifs, avec une précision et une réactivité supérieures à la moyenne. Les boutons mécaniques apportent une sensation proche des manettes Wolverine de la marque.

Le confort global est excellent, notamment grâce aux poignées élargies. Les boutons arrière se révèlent pratiques pour éviter des mouvements de pouce fatigants. Toutefois, la disposition verticale des sticks et boutons reste perfectible : elle peut causer une gêne sur les longues sessions, un reproche déjà fait aux modèles précédents.

Branchée en USB-C, la manette se montre aussi utilisable sur PC, même si cela reste un usage secondaire. En cloud gaming, l’ensemble convainc : Xcloud, Geforce Now, Remote Play et Steam Link fonctionnent sans accroc, à condition d’avoir une connexion stable.
Conclusion
La Razer Kishi V3 Pro s’impose comme une manette mobile haut de gamme, solide et performante. Elle combine sticks de précision, boutons mécaniques et retour haptique immersif pour offrir une expérience console sur smartphone et tablette. Elle représente une avancée nette face aux premiers modèles Kishi, mais reste proche du Kishi Ultra.
Son principal frein est son prix élevé : 164,99 € pour la Pro et 229,99 € pour la XL, quand des alternatives comme le GameSir G8 Galileo ou le Backbone One proposent une expérience convaincante pour nettement moins cher. Si vous cherchez le meilleur confort et les fonctionnalités les plus avancées, la Kishi V3 Pro est un excellent choix. Pour les autres, attendre une baisse de prix ou se tourner vers la version standard à 99,99 € est sans doute plus raisonnable.
Test exclusif du Ryzen 5 9500F avant l’annonce officielle : 6 cœurs Zen 5 plus rapides qu’un i5-14600K
AMD prépare l’annonce officielle de son Ryzen 5 9500F le 16 septembre (selon Wccftech). Mais avant l’heure, le site chinois Expreview a déjà publié le tout premier test complet de cette puce attendue. Positionné comme successeur indirect du 7500F, le Ryzen 5 9500F reprend l’essentiel du Ryzen 5 9600X : 6 cœurs Zen 5 Granite Ridge, 32 Mo de cache L3, mais sans iGPU et avec une fréquence plafonnée à 5,0 GHz.
Le Ryzen 5 9500F sera officiellement lancé le 16 septembre en Chine, où AMD le positionne à 1299 yuans (~187 €). Présenté comme une exclusivité pour ce marché, aucune disponibilité internationale n’est annoncée, mais rien ne semble justifier une telle restriction.
Le précédent Ryzen 5 7500F, d’abord annoncé comme limité à la Chine, avait bien fini par être commercialisé en Europe. Beaucoup d’exclus AMD ou Intel présentées pour l’Asie franchissent finalement nos frontières, et il y a donc fort à parier que le 9500F suivra le même chemin. Pour les plus impatients, les revendeurs asiatiques comme Aliexpress offriront sans doute une porte d’entrée avant une distribution officielle sur nos marchés.
Reste maintenant à voir ce que vaut réellement ce processeur face à ses concurrents directs : c’est tout l’objet du test d’Expreview que nous relayons ici.
Spécifications et positionnement

Le 9500F est en pratique un 9600X sans RDNA2 et un peu bridé côté fréquence. La base reste la même : 6 cœurs / 12 threads, 65 W de TDP et 88 W de consommation effective par défaut. Il est livré avec un ventirad Wraith, suffisant pour un usage quotidien, mais vite limité en stress test. Face à Intel, il se place contre le i5-14600K/KF, vendu plus cher et nettement plus gourmand.

Spécifications Techniques

Architecture | Zen 5 (Granite Ridge) |
Processus de fabrication | 4nm TSMC |
Socket | AM5 (LGA 1718) |
Cœurs / Threads | 6 / 12 |
Fréquence de base | 3,8 GHz |
Fréquence boost max | 5,0 GHz |
Cache L2 total | 6 MB |
Cache L3 partagé | 32 MB |
TDP | 65W |
Consommation maximale | 88W |
USB 3.2 Gen 2 natif (10Gbps) | 4 |
USB 2.0 natif (480Mbps) | 1 |
Version PCI Express® | PCIe® 5.0 |
Lignes PCIe® natives (total/disponibles) | 28 / 24 |
Support NVMe | Boot, RAID0, RAID1, RAID5, RAID10 |
Type de mémoire | DDR5 | ||||||||
Nombre de canaux mémoire | 2 | ||||||||
Mémoire maximale | 192 GB | ||||||||
Sous-type mémoire système | UDIMM | ||||||||
Vitesse mémoire maximale |
|
||||||||
Support ECC | Oui (nécessite le support de la carte mère) |
Modèle graphique | Carte graphique dédiée requise |
ID Produit Tray | 100-000001406 |
Technologies AMD |
AMD EXPO![]() ![]() |
Méthodologie de test
Expreview a opposé le 9500F au 14600K en gaming et au 9600x en applicatif, sur des plateformes équivalentes :

- Cartes mères : ASUS TUF GAMING B850M-PLUS WIFI7 (AM5) vs ASUS TX GAMING B760M WIFI (LGA1700)
- GPU : GeForce RTX 5080 Founders Edition
- Mémoire : DDR5-6000 CL36 (2×16 Go)
- Refroidissement : AIO 360 mm, puis ventirad Wraith d’origine
- OS & pilotes : Windows 11 24H2, GeForce 580.88
Les jeux ont été testés en 1080p, détails max sans ray tracing, pour maximiser l’influence CPU.
Performances en jeu
Sur dix titres testés, le Ryzen 5 9500F prend régulièrement l’avantage :
- Rainbow Six Siege : +28 % de FPS par rapport au i5-14600K (318 vs 283 FPS, 363 FPS avec PBO)
- War Thunder : +21 % (382 vs 339 FPS)
- DOTA 2, FFXIV : net avantage AMD
- Cyberpunk 2077, CS2 : quasi égalité

En activant le PBO, le CPU monte à 5,25 GHz en charge et gagne en moyenne +4,2 % de FPS. L’écart se creuse : +9,3 % en moyenne face au 14600K, preuve qu’AMD reprend la main sur le milieu de gamme 1080p.
Marvel’s Avengers Très Haute
DOTA 2 Maximum
PUBG Très Haute
Cyberpunk 2077 Ultra
Forza Horizon 5 Extrême
Final Fantasy XIV Maximum
Shadow of the Tomb Raider Maximum
Rainbow Six Siege Très Haute
War Thunder Cinématique
Counter-Strike 2 Très Haute
Benchmarks applicatifs
Comparé au Ryzen 5 9600X, l’écart reflète surtout la différence de boost:
- Mono coeur: 9500F à environ 94 pour cent du 9600X par défaut
- Multicoeur: 9500F à environ 98,8 pour cent du 9600X par défaut
- Avec PBO: gains de l’ordre de 3,4 pour cent en mono et 4,7 pour cent en multi, de quoi dépasser un 9600X stock en multicoeur
Conclusion intermédiaire: le 9500F perd peu face au 9600X en applicatif, tout en gardant l’essentiel en jeu.
Single Thread Cinebench R23
Multi Thread Cinebench R23
Classroom Benchmark
Junkshop Benchmark
Monster Benchmark
Consommation et températures
Avec AIO 360 mm
- Package par défaut: environ 88 W, température autour de 61 C en charge FPU
- Avec PBO: environ 112 W, température autour de 75 C
- Fréquences de charge: environ 4,71 GHz stock, 4,92 GHz avec PBO
Le Core i5 14600K grimpe nettement plus haut en charge lourde avec près de 193 W pour environ 86 C, ce qui explique des exigences plus strictes en refroidissement et en alimentation.
Avec le ventirad Wraith d’origine

- Charge lourde: la température atteint 95 C et la fréquence tombe autour de 4,53 GHz
- Recommandation: jouable au quotidien, mais préférez un bon ventirad tour milieu de gamme pour garder les fréquences hautes et le bruit bas
Consommation CPU (Package) Stress Test
Consommation CPU (Moyenne) Stress Test
Consommation CPU (Pic) Stress Test
Température Stress Test
Compatibilité, cartes mères et évolutivité
Le 9500F est compatible avec toutes les cartes mères AM5, des nouvelles B850 et B840 aux B650 et A620 plus abordables, sans oublier les X870 pour les configurations haut de gamme. Côté longévité, l’AM5 a vocation à durer, avec une perspective d’upgrade vers Zen 6 quand il arrivera. Pour qui veut une plateforme stable DDR5 et PCIe 5.0, AM5 est un choix cohérent.
Consulter notre article sur les différents chipsets AM5 pour plus d’informations !
Verdict
Le Ryzen 5 9500F coche toutes les cases du CPU gaming abordable en 2025. Très proche d’un 9600X en applicatif, souvent supérieur à un Core i5-14600K en jeu, nettement plus économe et basé sur une plateforme AM5 appelée à durer, il s’impose comme le nouveau champion du rapport performances/prix. Il ne reste plus qu’à espérer qu’AMD confirme rapidement une commercialisation au-delà du marché chinois, afin que les joueurs européens puissent eux aussi en profiter.
Points forts

Points à surveiller
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