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Alzheimer : Et si ce n'était pas une maladie du cerveau... mais du système immunitaire ?

Alzheimer 01

Et si tout ce que nous pensions savoir sur la maladie d'Alzheimer était en train d'être remis en question ? Une théorie audacieuse, développée par le professeur Donald Weaver du Krembil Brain Institute, suggère que cette maladie dévastatrice ne serait pas une affection cérébrale à proprement parler, mais plutôt un dysfonctionnement du système immunitaire… Une idée qui, si elle se confirme, pourrait bien changer la donne pour des millions de patients à travers le monde.

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Premier véritable test de la GeForce RTX 5050. Parvient-elle à justifier son existence ?

Dans le bazar du lancement de la NVIDIA GeForce RTX 5050, nous avons finalement un premier test à nous mettre sous la dent grâce au site coréen Quasar Zone. Bien que la carte succède officiellement à la RTX 3050 dans la gamme NVIDIA, nos confrères n'ont pas poussé le vice jusqu'à réaliser cette comp...

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Apple MacBook Pro : l'une des rumeurs les plus tenaces concernant l'écran serait en passe de se concrétiser

Apple serait-il (enfin) prêt à nous délivrer un MacBook Pro OLED ? Une nouvelle prédiction du cabinet d'analyse Omdia, suggère que la marque pourrait entamer cette transition dès l'année prochaine, notamment grâce à l'entrée d'un certain Samsung Display dans la chaîne d'approvisionnement vouée à ses futurs MacBook haut de gamme.

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Google lance Veo 3 en France : l’IA qui crée des vidéos avec le son

Google Veo 3 Ia

Quelques semaines après avoir fait sensation aux États-Unis, Veo 3, le modèle de génération de vidéos par intelligence artificielle de Google, est enfin disponible en France ce 3 juillet 2025. En plus de créer des vidéos visuellement très réalistes, il donne une âme sonore en intégrant des dialogues, bruitages ou de la musique.
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Les jeunes américains passeraient le 5ème de leur temps au volant… à regarder leur smartphone

Une nouvelle étude – aux conclusions très inquiétantes – révèle qu’en moyenne, les jeunes américains passeraient jusqu’à 21,1 % de leur temps de conduite à regarder leur smartphone, ce qui augmente évidemment fortement les risques d’accidents liés à cette distraction. Plus de 5 % de ce temps inclut …

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La Nintendo Switch 2 part en vrille - Surchauffe, docks bloqués et Joy-Con qui se barrent

Bon, je sais que certains d’entre vous ont déjà craqué pour la Switch 2, et franchement je vous comprends. Mais j’ai de mauvaises nouvelles : la nouvelle console de Nintendo accumule déjà les galères techniques à peine quelques semaines après son lancement.

Alors oui, Nintendo a vendu des millions d’exemplaires en un temps record, mais visiblement, ils ont peut-être été un peu trop pressés de sortir leur bébé. Les forums et Reddit explosent de témoignages de joueurs qui galèrent avec leur console toute neuve, et croyez-moi, c’est pas joli joli.

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Stuxnet - La cyber-arme qui a détruit 1000 centrifugeuses iranienes

Cet article fait partie de ma série de l’été spécial hackers. Bonne lecture !

Aujourd’hui, je vais vous raconter une bonne blague. C’est l’histoire d’un virus informatique tellement balèze qu’il arrive à faire exploser des centrifugeuses à l’autre bout du monde. Non, c’est pas de la science-fiction, c’est Stuxnet, la première cyber-arme de l’Histoire qui a littéralement mis hors service 1000 machines iraniennes depuis un bureau confortable de la NSA. Une histoire de fou qui commence par des techniciens qui se grattent la tête dans une usine ultra-secrète et finit par redéfinir complètement les règles de la guerre moderne. Accrochez-vous, ça va secouer.

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Mammotion lance le LUBA mini AWD LiDAR

Et un nouveau venu dans la gamme de Mammotion avec le LUBA mini AWD LiDAR

Et un de plus dans la gamme de chez Mammotion. Pour rappel, nous avons déjà eu l’opportunité de passer en revue les robots tondeuses le LUBA 2 AWD 1000, le YUKA mini 800 et dernièrement, le YUKA 1000 avec balayeuse. C’est donc aujourd’hui que débarque le LUBA mini AWD LiDAR qui, comme son nom l’indique, bénéficie du LiDAR, un système qui utilise les faisceaux laser pour analyser les distances. Ce modèle peut se révéler être un excellent choix pour ceux qui rencontre des soucis de réception GPS et qui ne bénéficie pas d’une connexion WiFi à l’extérieur. Le LiDAR dispose de 144 faisceaux qui sont capables de générer jusqu’à 200 000 points par seconde pour construire en temps réel une carte 3D du jardin, avec une précision au centimètre près, même sous les arbres.

La spécification « AWD » signifie que ce modèle dispose d’une transmission intégrale, ce qui est un réel plus pour les zones accidentées et pour les zones pentues. Attention de ne pas confondre avec les autres modèles de la gamme, les modèles 800 et 1500 qui ne bénéficie pas de ce nouveau LiDAR. Ce nouveau LUBA mini AWD LiDAR peut tondre une surface allant jusque 1 500 m² et est disponible au tarif de 2299 euros.

Mammotion lance le LUBA mini AWD LiDAR a lire sur Vonguru.

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Canicule : L'astuce "homme des cavernes" pour une maison fraîche sans clim, ça marche vraiment ?

homme caverne

Quand le mercure s'affole, la tentation est grande de se jeter sur la télécommande de la clim ou d'ouvrir grand toutes les fenêtres. Mais tenez-vous bien : une astuce d'une simplicité désarmante, surnommée la "méthode de l'homme des cavernes", pourrait bien changer la donne pour garder votre intérieur frais et dormir paisiblement, tout ça sans un euro de dépense énergétique.

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Let’s Encrypt teste un certificat gratuit pour les adresses IP

Vous prendrez bien un petit café avec cette actualité ?
Let’s Encrypt teste un certificat gratuit pour les adresses IP

Let’s Encrypt teste auprès de ses clients un nouveau service : la délivrance de certificats TLS/SSL attribués non pas à un nom de domaine, mais à une adresse IP. Plusieurs autorités de certification la proposaient déjà, mais le service de Let’s Encrypt, qui devrait être déployé plus largement d’ici à la fin de l’année, présente l’intérêt d’être gratuit…

Let’s Encrypt a annoncé mardi l’émission de son premier certificat associé à une adresse IP. Une page de test permet de confirmer l’efficacité du dispositif : le navigateur accède directement à une adresse IPv6 et pourtant, la connexion se fait bien en HTTPS, ce qui confirme la détection d’un certificat valide.

En plus de l’adresse IP, on remarque dans les détails du certificat qu’il est aussi valable les noms de domaine, ici abad.cafe. Let’s Encrypt ne parle que d’IPv6 dans ses exemples, mais rien ne devrait empêcher les certificats de fonctionner avec des IPv4, à confirmer lorsque la fonctionnalité sera disponible.

L’autorité, placée pour mémoire sous le contrôle de l’Internet Security Research Group (ISRG), indique que cette nouvelle fonctionnalité est pour l’instant proposée à une sélection de clients dans son environnement de simulation (staging).

Pourquoi certifier une adresse IP ?

Dans les usages du quotidien, l’internaute lambda réalise sa navigation courante au moyen d’URL, qui reposent sur des noms de domaine, puis sur des résolveurs DNS chargés de faire le pont entre ces derniers et l’adresse réseau de la machine que l’on souhaite contacter. Dit autrement : pour lire Next, j’entre le domaine next.ink dans mon navigateur, et non l’adresse IP du serveur qui héberge le site.

L’utilisation des noms de domaine présentent de multiples avantages, à commencer par celui de constituer un référentiel permanent, là où l’adresse IP d’une machine peut changer. Si le serveur qui héberge Next migre vers une nouvelle infrastructure, son adresse IP changera, mais le site restera accessible via l’adresse next.ink.

« Étant donné que les adresses IP peuvent changer si facilement, le sentiment de « propriété » que l’on peut avoir à leur égard – ou qu’une autorité de certification peut être en mesure d’attester – a tendance à être plus faible que pour un nom de domaine », estime de ce fait Let’s Encrypt. Dans la pratique, la plupart des certifications TLS/SSL, qui servent pour mémoire à garantir le chiffrement des échanges entre le client (votre navigateur) et le serveur, portent donc sur des noms de domaine.

Il existe toutefois plusieurs cas de figure dans lesquels l’internaute peut avoir besoin d’utiliser directement une adresse IP… le plus évident d’entre eux étant d’offrir la possibilité de se connecter à un serveur Web de façon sécurisée sans avoir à acheter un nom de domaine.

Entre autres scénarios, Let’s Encrypt évoque l’accès distant à des appareils domestiques de type NAS ou domotique – qui soulève la problématique de l’adresse IP dynamique chez certains fournisseurs d’accès à Internet, ou l’établissement d’une session éphémère à une infrastructure distante, à des fins d’administration de serveur par exemple.

Bien que ces usages puissent être considérés comme relevant d’une niche, la demande d’une certification des adresses IP est formulée auprès de Let’s Encrypt depuis au moins 2017, remarque The Register. Et la question se pose depuis nettement plus longtemps, comme en témoignent ces échanges de 2010

Plusieurs autorités de certification se sont d’ailleurs déjà positionnées sur le sujet, mais leurs offres sont payantes, là où Let’s Encrypt propose un service gratuit.

Adaptations techniques

Pour profiter de ces certificats d’adresses IP, il faudra toutefois patienter, puisque Let’s Encrypt évoque une disponibilité en production « courant 2025 ». « Avant cette disponibilité générale, nous pourrions autoriser l’émission de listes pour un nombre limité de partenaires susceptibles de nous faire part de leurs retours », précise l’autorité.

Let’s Encrypt justifie notamment ce délai par la nécessité de laisser le temps nécessaire aux éditeurs de logiciels pour adapter leurs clients à cette évolution, mais souhaite également faire d’une pierre deux coups. La disponibilité générale des certificats pour adresses IP devrait ainsi intervenir en même temps qu’un autre changement majeur, préparé de longue date : le passage à des certificats « courts », dont la durée de vie sera limitée à six jours.

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[Bon plan] SSD 1To KIOXIA PCIe 4.0 et avec DRAM Cache à 53,43€ livré !

Vous êtes à la recherche d'un SSD PCIe 4.0 d'une capacité de 1 To le moins cher possible, mais avez du mal à vous résoudre à acheter l'un des modèles que l'on arrive généralement à trouver en promotion aux alentours de 50 ou 55 € et qui sont quasiment tout le temps équipés de NAND 3D QLC à l'enduran...

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CC signals : Creative Commons propose un cadre pour l’utilisation des contenus par les IA

Creative Commons 2.0
CC signals : Creative Commons propose un cadre pour l’utilisation des contenus par les IA

L’association derrière les licences Creative Commons se lance dans les débats sur l’utilisation des contenus par les IA. Elle propose ce qu’elle appelle rien de moins qu’un « nouveau contrat social à l’ère de l’IA » : les CC Signals.

Creative Commons a récemment lancé un cadre pour permettre aux auteurs et autrices de contenus, que ça soit des images, des vidéos ou du texte, de spécifier comment ceux-ci peuvent être réutilisés par des machines, par exemple lors de l’entrainement de modèles d’IA générative.

Les licences Creative Commons sont devenues, au cours des années, une institution dans le paysage de l’internet. Les artistes comme les chercheurs ou les entreprises les ont adoptées. Mais elles ont été conçues dans un monde dans lequel les modèles de langage n’existaient pas.

Certaines entreprises d’IA générative n’ont pas hésité à entrainer leurs modèles en utilisant notamment des contenus sous la licence Creative Commons by-sa comme ceux de Wikipédia. Celle-ci pose pourtant des conditions pour la réutilisation des œuvres : l’attribution et le partage dans les mêmes conditions, même lorsqu’il s’agit d’une transformation.

Mais Creative Commons s’est bien rendu compte que les licences n’étaient pas l’outil approprié pour indiquer aux éventuels réutilisateurs ce que les auteurs les autorisent ou pas à faire de leurs contenus.

Quatre signaux pour affirmer les conditions de réutilisation par les machines

L’association a donc lancé un nouveau chantier : les CC Signals. La semaine dernière, elle y consacrait un billet de blog, qui explique notamment que « fondés sur les mêmes principes que ceux qui ont donné naissance aux licences CC et aux dizaines de milliards d’œuvres sous licence ouverte en ligne, les CC signals permettront aux détenteurs d’ensembles de données d’indiquer leurs préférences quant à la manière dont leur contenu peut être réutilisé par des machines, sur la base d’un ensemble d’options limitées mais significatives, façonnées dans l’intérêt du public ».

Elle affirme que ce cadre est destiné à être à la fois un outil technique mais aussi légal, et une proposition sociale : « un appel à un nouveau pacte entre ceux qui partagent les données et ceux qui les utilisent pour entrainer des modèles d’IA ».

Pour l’instant, ce « nouveau pacte social » n’en est qu’à ses débuts. Dans son TL;DR, l’association admet que « c’est un défi extrêmement complexe et les enjeux sont énormes ». Dans son rapport [PDF] sur le sujet, elle détaille quatre ce qu’elle appelle des « signal elements » qu’elle a « conçus pour refléter les éléments essentiels du thème général de la réciprocité ». Ces éléments sont l’équivalent des conditions des licences Creative Commons :

Crédit : vous devez donner le crédit approprié en fonction de la méthode, des moyens et du contexte de votre utilisation.

Contribution directe : vous devez apporter un soutien financier ou en nature à la partie déclarante pour le développement et l’entretien des contenus, sur la base d’une évaluation de bonne foi tenant compte de votre utilisation des contenus et de vos moyens financiers.

Contribution à l’écosystème : vous devez apporter une aide financière ou en nature à l’écosystème dont vous bénéficiez, sur la base d’une évaluation de bonne foi tenant compte de l’utilisation que vous faites des contenus et de vos moyens financiers.

Ouverture : le système d’IA utilisé doit être ouvert. Par exemple, les systèmes d’IA doivent satisfaire à la classe II du cadre d’ouverture des modèles (MOF), à la classe I du MOF ou à la définition de l’IA à source ouverte (OSAID).

Implémentation dans les fichiers robots.txt et les headers HTTP

L’association indique que tout cela reste encore au stade de brouillon et n’est donc pas gravé dans le marbre. Concernant la contribution directe, elle précise que l’idée des CC signals ne doit pas être vue comme un outil sur lequel faire reposer un modèle économique « ni même comme un moyen de récupérer les coûts de manière fiable ».

Sur la contribution à l’écosystème, elle souligne que, « bien que la formulation initiale soit très ouverte, [elle espère et attend] que des normes, des bonnes pratiques et même de nouvelles structures collectives se développent autour de cette notion dans différents secteurs et pour différents types de réutilisations ».

Comme pour les licences, les signaux CC peuvent être combinés. Pour l’instant, l’association a imaginé quatre combinaisons possibles :

  • Crédit
  • Crédit + contribution directe
  • Crédit + contribution à l’écosystème
  • Crédit + ouverture

Pour l’implémentation, Creative Commons a partagé ses réflexions sur GitHub. Pour l’instant, l’idée serait d’insérer les signaux dans le fichier robots.txt et dans l’en-tête HTTP Content-Usage.

Dans le robots.txt, on pourrait avoir une déclaration du genre :

User-Agent: *
Content-Usage: ai=n;exceptions=cc-cr
Allow: /

Et le header HTTP pourrait ressembler à :

200 OK
Date: Mon, 09 Jun 2025 12:42:03 UTC
Content-Type: text/plain
Content-Usage: genai=n;exceptions=cc-cr-ec

Pas besoin de signal Creative Commons si on ne veut pas du tout partager avec les IA

Dans son billet, l’association se disait ouverte aux critiques. Une semaine après, celles-ci semblent avoir été massives, puisqu’elle a publié un billet de mise à jour pour faire le point. Les griefs porteraient notamment sur le fait que Creative Commons mette le pied dans la gestion de l’utilisation des contenus par les entreprises d’IA.

Dans son nouveau billet, l’association s’est sentie obligée de préciser qu’elle pense « que les pratiques actuelles des entreprises d’IA constituent une menace pour l’avenir des biens communs ». « Ce sentiment ne nous surprend pas » affirme l’association, « nous le ressentons également. En fait, c’est la raison pour laquelle nous réalisons ce projet ».

Elle ajoute que « de nombreux créateurs et communautés de la connaissance se sentent trahis par la manière dont l’IA est développée et déployée. Le résultat est que les gens se tournent, à juste titre, vers la fermeture ». Et commente : « à terme, nous craignons que les gens ne veuillent plus du tout partager publiquement ».

Elle précise donc que « les créateurs qui souhaitent sortir totalement de la réutilisation par les machines n’ont pas besoin d’utiliser un signal CC. Les signaux CC sont destinés à ceux qui veulent continuer à partager, mais avec certaines conditions ».

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Meta fait appel de l’amende de 200 millions d’euros en Europe

Meta, maison mère de Facebook et Instagram, a annoncé faire appel de l’amende de 200 millions d’euros infligée par la Commission européenne en avril pour non-respect des règles sur l’utilisation des données personnelles. Cette décision s’inscrit dans un contexte de tensions et de contrôle accru des géants de …

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Q-Dir 12.25

Utilitaire gratuit, en français, portable, qui remplace l'Explorateur Windows et qui va révolutionner la gestion de vos fichiers sur votre ordinateur...
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Test Bambas! (PS5) - Jouez avec vos pieds

Bambas ! est un titre qui joue avec vos pieds (oui, littéralement) et avec eux nous devons parcourir une petite ville dans laquelle différentes chaussures nous parleront et nous ordonneront d'effectuer différentes tâches. L'une des premières que nous avons pu apprécier, par exemple, est d'essayer de couvrir un arroseur avec nos semelles, quelque chose qui, si vous voulez notre avis, aurait pu nous arriver dans la vraie vie. Lorsque nous avons commencé le jeu, nous devons avouer que nous nous sommes sentis un peu étourdis. Les contrôles recommandent fortement l'utilisation de la manette. Avec chacune des gâchettes, vous soulèverez un pied et le poserez en le relâchant, tout en les déplaçant à l'aide des joysticks. Ce système peut être un peu inconfortable au début, mais la vérité est qu'il a fait des merveilles pour nous au fur et à mesure que nous nous y sommes adaptés. Bambas ! est basé précisément sur tout ce que vous avez voulu faire mais que vous n'avez pas osé faire à l'époque (ou que vous aimeriez refaire mais que vous ne pouvez pas). Cela va des crottes de chien aux balançoires, en passant par les coups de pied dans la voiture de quelqu'un que vous n'aimez pas. Tout cela est également récompensé, car pour chaque action, vous verrez une case qui vous indiquera combien d'actions supplémentaires vous pouvez effectuer sur la carte. Toutes les actions que vous effectuerez dans Bambas ! vous permettront de recevoir quelques pièces. Avec ces pièces, vous pourrez continuer à personnaliser vos chaussures et en obtenir d'autres. Cependant, ce n'est pas l'objectif principal du jeu, mais plutôt l'expérimentation du joueur avec l'environnement. (Lire la suite)
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Android TV ne meurt jamais : il se met à jour par surprise

Google a lancé une nouvelle mise à jour pour Android TV , une plateforme toujours présente sur de nombreux appareils, malgré le recentrage de l'entreprise sur Google TV. Ceux qui pensaient qu'Android TV avait été abandonné se trompaient : de temps à autre, une nouvelle fonctionnalité, modeste mais intéressante, fait son apparition. Cette fois, c'est au tour de l' écran d'accueil , enrichi de nouvelles catégories promotionnelles dans la section « Play Next ». Un changement discret, mais évident pour ceux qui utilisent régulièrement la plateforme, et qui rappelle l'interface de Google TV. Avec la mise à jour en cours, Android TV introduit trois nouvelles entrées dans la section « Lire ensuite », juste en dessous de vos applications préférées. Il s'agit de contenus recommandés visant à accroître la visibilité des films et séries TV : - Top Selling Movies : les films les plus achetés du moment - Films et émissions populaires : titres les plus regardés par les utilisateurs - Tendance sur Google : Contenu tendance selon les recherches Google Il ne s’agit pas d’un changement de système d’exploitation, mais d’une mise à jour gérée côté serveur ou via l’application Android TV Home, dont la dernière mise à jour remonte à mai. Pour cette raison, les nouvelles catégories sont également apparues sur les téléviseurs fonctionnant encore sous Android 9.0 , signe que la compatibilité est large. Ces innovations s'inscrivent dans une stratégie spécifique : pousser plus directement les contenus sponsorisés ou populaires, afin de proposer aux utilisateurs des suggestions actualisées sans avoir à passer par des applications de streaming individuelles. Ceux qui utilisent déjà Google TV auront une impression de déjà-vu : les nouvelles sections d'Android TV sont pratiquement identiques à celles de la page d'accueil de la dernière version de l'interface Google. L'entreprise cherche donc à uniformiser l'expérience visuelle entre les deux systèmes, du moins en ce qui concerne la sélection des contenus. C'est une façon de ne pas laisser de côté ceux qui possèdent un appareil plus ancien. Android TV est d'ailleurs toujours présent sur de nombreux téléviseurs et box qui ne bénéficieront jamais de l'interface Google TV. C'est pourquoi Google continue d'apporter de petites modifications pour maintenir la plateforme en vie, même sans mises à jour système. On ignore encore quels appareils recevront la mise à jour, ni quand. Les nouvelles rumeurs concernant Android 9.0 étant également apparues, on peut affirmer que le déploiement sera assez important , même s'il sera progressif. (Lire la suite)
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NVIDIA DLSS : La Switch 2 surpasse-t-elle l’Xbox Series S ?

Nintendo Switch 2 Une Revelation Qui A Seduit Les.jpg
Une utilisation adéquate du NVIDIA DLSS permet à la Nintendo Switch 2 d’offrir une qualité d’image impressionnante, pouvant même dépasser celle de la Xbox Series S. Cela a été souligné grâce au remarquable travail de CAPCOM sur le port de Street Fighter 6. Les experts de Digital Foundry ont récemment analysé cette version, la dernière […]
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Grand ménage chez Microsoft : Le prochain MMO de ZeniMax Online s'arrête, le patron s'en va

Zenimax Microsoft

L'onde de choc continue de se propager chez Microsoft. Un MMO secret, un projet ambitieux développé par ZeniMax Online Studios – ces mêmes artistes derrière le colossal The Elder Scrolls Online – vient d'être brutalement annulé. Conséquence directe : Matt Firor, le dirigeant historique du studio, quitte le navire après 18 ans de bons et loyaux services. Une triste nouvelle qui s'inscrit dans la longue série de décisions douloureuses prises par le géant de Redmond et plus globalement dans le secteur du jeu vidéo.

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