WhatsApp va afficher des publicités, mais vous serez encore épargné en 2025

WhatsApp a récemment annoncé l’arrivée des publicités sur son application. Cependant, si vous vivez dans l’UE, vous n’en verrez pas encore cette année.
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La Commission européenne serait entrée en négociations avec le français OVHcloud, en vue de faire migrer ses services cloud, actuellement hébergés chez Microsoft, vers une solution souveraine.
Le geste aurait une portée aussi stratégique que symbolique : d’après Euractiv, la Commission européenne a décidé d’abandonner Microsoft pour l’hébergement de ses services cloud. Le projet serait suffisamment avancé pour que Bruxelles ait commencé à sonder le marché. En l’occurrence, l’exécutif européen serait même entré en « négociations avancées » avec OVHcloud.
Selon Euractiv, qui affirme tenir ses informations de trois sources impliquées dans le dossier, la décision de la Commission européenne découlerait notamment de l’initiative de lobbying Eurostack, qui a réuni de nombreux industriels européens (du cloud ou des télécoms, mais aussi d’autres secteurs) autour d’un message de mobilisation en faveur d’une véritable souveraineté numérique européenne.
D’après l’une des sources citées par Euractiv, la Commission européenne considèrerait qu’elle peut jouer un rôle de modèle vis-à-vis des États membres et des différentes administrations qui lui sont rattachées. Elle aurait donc, conformément à l’appel porté par les représentants d’Eurostack, décidé de donner l’exemple.
L’incident relatif à la suppression du compte de messagerie d’un membre européen de la Cour pénale internationale, à la demande de l’administration Trump, aurait enfin joué un rôle dans la mise en branle de ce chantier, estime Euractiv. Microsoft a pour mémoire nié avoir coupé l’accès à la messagerie en question.
« Oui, c’est vrai. On bosse sur le sujet avec CE », a publiquement admis Octave Klaba, cofondateur et président d’OVHcloud.
« Des discussions sont effectivement en cours, avec la Commission comme avec d’autres institutions & organisations publiques et privées qui évaluent des projets de migration vers un cloud souverain. Ces échanges, de plus en plus nombreux avec les clients d’OVHcloud et les organisations traduisent une dynamique de fond, et nous positionnent comme l’une des alternatives pour un cloud souverain en Europe », commente de façon plus circonstanciée un porte-parole de l’entreprise, contacté par Next.
Des négociations avancées ne signifient toutefois pas qu’un accord soit trouvé. En l’occurrence, OVHcloud serait en pôle-position, mais Bruxelles entretiendrait aussi des discussions avec d’autres grands noms européens du secteur, parmi lesquels le français Scaleway (groupe iliad), l’allemand IONOS ou l’italien Aruba.
Nos confrères ne l’évoquent pas, mais Commission européenne pourrait aussi choisir de ménager la chèvre et le chou en se tournant vers des initiatives Bleu (Orange et Capgemini, avec Microsoft) et S3ns (Thales, avec Google), tous les deux en phase de qualification SecNumCloud. Elle pourrait ainsi « rester chez Microsoft » avec du « cloud de confiance ».
Quelle que soit l’issue des discussions et la décision finale de la Commission européenne, cette indiscrétion éclaire d’un jour nouveau les grandes promesses formulées ces dernières semaines par les géants américains du cloud en direction de l’Europe.
Amazon Web Services a par exemple formulé début juin de nouveaux engagements en matière de cloud public, tandis que Microsoft a été encore un cran plus loin, avec le lancement d’un programme Sovereign Private Cloud, censé garantir « que les données des clients restent en Europe, sous la loi européenne, avec des opérations et un accès contrôlés par le personnel européen, et que le chiffrement est sous le contrôle total des clients ».
À l’Assemblée nationale, Clara Chappaz a de nouveau défendu l’interdiction des réseaux sociaux pour les plus jeunes, sujet régulièrement porté par Emmanuel Macron.
Comme prévu, Clara Chappaz a défendu la vérification de l’âge à l’entrée des réseaux sociaux face à la Commission d’enquête parlementaire sur les effets psychologiques de TikTok sur les mineurs.
La ministre déléguée chargée du numérique et de l’intelligence artificielle a porté régulièrement le sujet au fil des derniers mois, notamment au cours de la semaine de sensibilisation 10 jours sans écran ou en reprenant la possibilité de classer le réseau social X aux côtés des plateformes pornographiques, dans la mesure où il permet depuis 2024 de diffuser des contenus interdits aux mineurs.
Devant les députés, de même que plusieurs experts et associations auditionnés dans les jours précédents, elle a rappelé la tendance des réseaux sociaux à accroître l’anxiété des plus jeunes et à participer au développement de troubles alimentaires ou du sommeil. Avant d’avancer que l’impact de ces plateformes sur le développement cognitif et émotionnel des adolescents pourrait coûter « 1 à 2 points de PIB ».
Évoquant sa saisine de l’Arcom et de la Commission européenne, pour lutter contre la tendance SkinnyTok en avril dernier, Clara Chappaz relève que la mobilisation de membre du gouvernement au cas par cas n’est pas une solution viable. L’Union européenne compte 450 millions d’européens, ce qui rend ce niveau supranational le mieux à même de faire pression sur les plateformes pour que celles-ci « prennent leurs responsabilités », indique-t-elle aux députés, avant de préciser qu’elle est désormais suivie par 13 pays sur la question de la vérification d’âge.
Déjà poussée du côté des sites pornographiques – la justice a suspendu l’arrêté ce 16 juin, la ministre indique que l’État se pourvoira en cassation –, la vérification d’âge est une préoccupation majeure d’Emmanuel Macron. « Pour le président, il n’y aucun problème dans la société, tout est exacerbé par les réseaux sociaux », tacle même une représentante de plateforme auprès de Politico.
À l’Assemblée nationale, Clara Chappaz indique, elle, que « la commission connaît très bien notre position » : pousser les réseaux sociaux à développer les technologies de vérification d’âge de l’utilisateur qui permettront de bloquer l’accès aux plus jeunes dans le respect du règlement européen sur les services numériques (DSA), ou se tourner vers des tiers de confiance. « Les solutions techniques existent », insiste-t-elle, citant aussi bien France Identité, sur suggestion d’un député, que Docaposte ou la « quinzaine d’acteurs français » venus la solliciter pour proposer leurs services à Viva Tech et au fil des mois.
Surtout, selon un document de travail obtenu par Euractiv, la France participe à pousser la solution d’un « Kids Wallet » dédié à vérifier l’âge des mineurs à l’entrée des plateformes. « Nous nous sommes portés volontaires pour être pays pilote de cette solution, qui sera open source et protégera l’anonymat », indique Clara Chappaz aux députés.
Comparant à l’interdiction de consommer de l’alcool avant 18 ans, elle précise : « l’objet n’est pas d’interdire pour interdire, mais de protéger ». « Le numérique n’est pas un truc de geek », déclare-t-elle encore. Autrement dit, le sujet ici débattu est politique, sujet à débat, et en cela « compliqué ». Or, pour le gouvernement, « ce n’est plus entendable de se cacher derrière un argument technique, surtout quand on est une entreprise du numérique ».
Quelle responsabilité des producteurs de contenu ? Sur ce sujet, la ministre rappelle qu’un enfant sur cinq pense que les pyramides ont été construites par des extraterrestres pour souligner les enjeux de lutte contre la désinformation.
Les députés s’y sont aussi frottés lors des auditions mouvementées de cinq influenceurs controversés, le 11 juin dernier. D’une manière ou d’une autre, tous avaient rejeté la responsabilité de l’accès à leurs contenus sur la plateforme qu’ils utilisent (parmi d’autres). « Si des élèves de CE2 (…) accèdent à cette plateforme, c’est un problème de contrôle parental et de responsabilité de TikTok, pas de la mienne » avait ainsi lancé l’acteur porno Adrien Laurent, mieux sous le nom d’AD Laurent, aux députés.
L’influenceur masculiniste Alex Hitchens, de son vrai nom Isac Mayembo, a de son côté appelé à l’interdiction de TikTok qu’il a qualifié de « néfaste », et où « ce qui fonctionne le mieux, c’est le contenu qui choque ». Agacé par des questions sur ses propos sexistes, il a ensuite raccroché brutalement au nez des parlementaires.
Le président de la Commission Arthur Delaporte (Socialistes) a regretté auprès du Figaro avoir affaire à « des gens qui sont arrivés ici en pensant qu’ils étaient dans un match », sans considération pour la « légitimité institutionnelle liée à [l’]élection » des députés. Dans La Croix, le sociologue Vincenzo Susca décrivait carrément la fuite d’Alex Hitchens comme une « déclaration de souveraineté (…) d’un pouvoir qui ne reconnaît plus les règles de l’ancien monde » — au contraire, depuis une semaine, l’influenceur tire un maximum de son coup d’éclat, multipliant les contenus le remettant en scène.
À l’Assemblée nationale, Clara Chappaz a de son côté appelé à « sortir de ce ping-pong dans lequel les acteurs se renvoient la balle ». Elle a rappelé au passage que la liberté d’expression n’était pas définie de la même manière dans les pays de fabrication des plus grandes plateformes numériques et en Europe. Évoquant les discours de haine, elle a souligné l’esprit des textes européens : « Les propos qui ne sont pas autorisés hors ligne ne le sont pas non plus en ligne. »
Le Département d’État des États-Unis, chargé des affaires étrangères, a annoncé mercredi 18 juin une nouvelle politique le contrôle et la vérification des demandes de visa qui inclut maintenant officiellement la présence en ligne de certains visiteurs temporaires catégorisés comme « non-immigrants ».
Cela concerne les catégories F, M et J, ce qui correspond aux étudiants et aux visiteurs en échange dont notamment les enseignants, professeurs et chercheurs, mais aussi les personnes faisant partie de programmes « au pair ».
S’ils veulent obtenir leur visa, ceux-ci devront régler les paramètres de confidentialité de tous leurs profils de médias sociaux sur « public », « afin de faciliter le contrôle » selon l’autorité étasunienne.
En avril dernier, on apprenait qu’une équipe spéciale du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) utilise un outil pour analyser les messages postés par les étudiants étrangers qui étudient aux États-Unis afin de trouver des motifs potentiels de révocation de leur visa.
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