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Test de Ninja Gaiden 4 | C’est Gore, Jouissif, et Rasoir à la fois !

Quel plaisir de toujours voir des noms légendaires de jeux vidéo être encore actifs en 2025 ! Après DOOM qui a fait son retour cette année, c’est au tour de Ninja Gaiden de nous servir sa cuvée moderne. 13 ans après NG3, à quoi s’attendre avec Team Ninja et PlatinumGames aux commandes ? Verdict dans notre test de Ninja Gaiden 4 !

Test de Ninja Gaiden 4 | Ce qu’il faut savoir

  • Jeu d’action très sanglant dans lequel vous incarnez Yakumo, membre du clan rival de Ryu Hayabusa
  • Beat’em All très nerveux à la difficulté relevée
  • Disponible dès maintenant sur PC, PS5 et Xbox Series X|S
  • Prix de lancement : 70€ sur Amazon.fr
  • Durée de vie approximative : 15 heures
  • Testé sur PC via une clé offerte par Xbox France
  • Configuration de test : i9-9900KF, 32 GO de RAM, Nvidia RTX 4070, SSD

Les points forts du jeu

  • Le gameplay est dingue ! C’est ultra rapide, hyper gore, réactif et comporte un système de parades / blocages / contre-attaque très complet
  • Un arbre de compétences très vastes pour améliorer les combos et le mode « fury »
  • Des décors très variés, d’un Tokyo cyberpunk à des paysages naturels magnifiques
  • Zéro ralentissement pendant toute l’aventure en très élevé à 60 FPS minimum
  • Un Ninja Gaiden avec un autre personnage, ça fait du bien
  • Des combats de boss intéressants
  • Une durée de vie solide pour un jeu de ce genre
  • Des phases de wallrun et autres acrobaties réussies
  • C’est une vraie suite, avec beaucoup de références aux anciens épisodes

Les points faibles de Ninja Gaiden 4

  • Quelle répétitivité…
  • Des ennemis « sacs à PV » partout, tout le temps
  • Un level design d’un autre temps : NG4 est un couloir interminable, très étroit, rempli d’ennemis à tuer avec des boss de temps en temps et quelques phases sur rails pas vraiment réussies
  • Yakumo, le héros du jeu, n’est pas du tout charismatique
  • Le scénario est très rasoir, avec des cinématiques aux dialogues interminables pour un jeu du genre
  • Des problèmes de caméra avec des ennemis partout : on a du mal à suivre
  • Les ennemis qui vous tirent dessus, de loin, sont une plaie à éliminer et ralentissent inutilement les combats
  • Les animations d’exécution sont sympas, mais freinent aussi le rythme
  • Des phases allongées artificiellement qui se voient
  • Trois modes de difficulté pour un premier run. Le mode normal est plutôt bien dosé (correspond à un mode difficile d’autres jeux du genre, en gros), mais le mode facile est beaucoup trop facile. On peut activer et désactiver des aides de jeu, mais il aurait été bon de créer un mode de difficulté intermédiaire entre les deux
  • Techniquement, le jeu est toujours fluide, mais peut afficher des environnements datés. Même réflexion pour les animations rigides et les visages des personnages trop lisses

Test de Ninja Gaiden 4 | Verdict : 12/20

Ninja Gaiden 4 aurait été un très bon jeu il y a une quinzaine d’années. En 2025, le constat est forcément moins bon. Si son gameplay est introllable, et clairement LA force du jeu, tous les autres aspects m’ont irrité fortement. Les points qui m’ont le plus frustré sont indéniablement son level design archaïque, mais surtout sa répétitivité beaucoup trop grande. Et c’est un fan de Musou qui vous dit ça. En somme, je ne conseille pas l’achat de NG4 au prix fort, et vous conseille de l’essayer avant de craquer. C’est clairement un jeu qui va diviser les joueurs…

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L'Anbernic RG DS devrait être capable de faire tourner des jeux 3DS

En cette fin d'année, Anbernic revient à la charge avec ce qui pourrait bien être son modèle le plus attrayant de 2025, du moins au niveau du prix : la RG DS. Sauf qu'avec un tarif fixé en dessous de 100 dollars, on ne s'attendait pas nécessairement à des miracles côté performances, notamment pour l'émulation de jeux 3DS. Or, dans une vidéo promotionnelle, le constructeur entend rassurer : si, il sera bel et bien possible d'y intégrer des jeux 3DS.

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TEST Battlefield 6 : le retour aux sources tant attendu ?

Après un Battlefield 2042 décevant et plusieurs opus retraçant les deux premières guerres mondiales, les fans attendaient depuis plus de dix ans un véritable retour aux sources de la série Battlefield. À savoir : des guerres modernes, un multijoueur équilibré reposant sur les classes et une campagne sans artifices ni paillettes. Promis comme un renouveau fidèle aux attentes des joueurs, Battlefield 6 vient de sortir et, sans surprise, bat déjà tous les records. Mais cela signifie-t-il qu’il est exempt de défauts ? C’est ce que nous allons décortiquer.

Testé sur Xbox Series X grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Une aventure visuellement impressionnante, gâchée par une narration maladroite

Le contexte de Battlefield 6 se déroule dans un futur très proche. En 2028, le secrétaire général de l’OTAN est assassiné, provoquant le retrait de plusieurs pays de l’alliance, dont la France. La confiance envers l’organisation est ébranlée et nombre d’États se tournent vers une milice privée fraîchement créée pour assurer leur sécurité : la PAX Armata. Celle-ci grossit à vue d’œil, financée par des nations et des acteurs privés pour assurer leurs propres intérêts. Rapidement, elle s’équipe en fantassins, en armes lourdes et en matériel de pointe. La situation dégénère, et des conflits éclatent partout en Europe, en Afrique et sur le continent américain.

Après un Battlefield 2042 dépourvu de campagne, EA et DICE ont retenu la leçon et Battlefield 6 débarque avec une campagne d’une dizaine d’heures, nous faisant voyager autour de la Méditerranée, en Europe et au-delà. Alors que la PAX Armata a délibérément engagé les hostilités envers l’OTAN, on rejoint une escouade aguerrie des forces spéciales, chargée de la combattre sur tous les fronts. À la manière de supersoldats, cette unité d’élite accomplit l’impossible et, malheureusement, c’est sur cette sensation d’importance que ça coince dans l’intrigue. En effet, cette campagne tranche fortement avec celles des précédents opus : ici, malgré la diversité des théâtres de guerre, on incarne presque toujours la même escouade. Présentée comme un groupe d’élite, elle est chargée de défendre les intérêts de l’OTAN et de faire tomber la PAX Armata. Comme si l’issue de la guerre reposait uniquement sur quelques soldats. Alors que les anciens Battlefield mettaient en avant des héros ordinaires dont les actions changeaient le cours de l’histoire, cet épisode nous place dans la peau d’une équipe suréquipée, invincible et sans limites. Ce qui est tout bonnement irréaliste.

Capture d'écran Battlefield 6
Des environnements immersifs
Capture d'écran Battlefield 6
Ils n’ont pas lésiné sur les VFX

Cette nouvelle approche aurait pu fonctionner si elle avait bénéficié d’une narration plus cohérente. Malheureusement, le récit souffre d’un rythme précipité, d’enjeux mal définis et de rebondissements prévisibles. Pire encore, malgré un contexte évoquant une possible Troisième Guerre Mondiale, l’antagoniste principal manque de profondeur. Ses motivations relèvent plus de la querelle que de la tragédie géopolitique. Tout s’enchaîne trop vite, les personnages sont survolés, empêchant toute forme d’attachement. On note toutefois une attention bienvenue portée aux dialogues entre les membres de l’escouade durant les missions qui parviennent, tant bien que mal, à renforcer le contexte et la cohérence globale du récit. Le discours du jeu propose également une double lecture intéressante, volontaire ou involontaire, en écho à notre époque marquée par la montée des extrêmes et les tensions internationales.

La campagne propose plusieurs niveaux de difficulté. Nous avons opté pour le mode normal, qui s’est révélé plus simple que prévu. La faute à une IA souvent aux fraises : les ennemis n’hésitent pas à foncer dans la ligne de mire, à se découvrir inutilement ou à se réfugier… juste à côté de vous. Bien que la campagne ne permette pas le jeu en coopération ni en écran partagé, elle intègre un système d’ordres tactiques permettant de donner des instructions à son unité : lancer des fumigènes, attaquer une position ou réanimer un allié. Une bonne idée, certes, mais peu utile en mode normal tant la difficulté reste faible. En revanche, cette mécanique prend sans doute tout son sens dans les modes plus exigeants.

Capture d'écran Battlefield 6
Quelques véhicules dans la campagne
Capture d'écran Battlefield 6
Des IA aux fraises qui nous foncent dessus

Fort heureusement, la déception narrative est rapidement oubliée si on se concentre sur le spectacle visuel, qui lui en met plein la vue, aussi bien sur les effets spéciaux que dans les environnements visités. La campagne de Battlefield 6 nous fait voyager à travers de nombreux pays et décors : du palais égyptien au métro new-yorkais, chaque lieu regorge de détails convaincants. Le sound design est, lui aussi, exemplaire et renforce l’immersion : entre les tirs nourris, les déflagrations et les dialogues sous tension, la cacophonie du champ de bataille est parfaitement retranscrite.

Le retour de la formule multijoueur tant attendue

Après plusieurs épisodes centrés sur le XXᵉ siècle et un Battlefield 2042 à la fois en avance et en retard sur son temps, Battlefield 6 signe le grand retour des combats modernes. Le jeu apporte le retour des mécaniques qui ont fait le succès de la licence : des affrontements terrestres intenses, des bâtiments destructibles, des véhicules blindés et aériens, et surtout le retour du système de classes. De quoi ravir les vétérans de Battlefield 3 et Battlefield 4.

Outre une interface un peu trop chargée qui nuit à la lisibilité et à la compréhension globale, on retrouve très vite les quatre classes emblématiques de la série, avec quelques ajustements dans leurs rôles. Le soutien peut réanimer, l’assaut dispose désormais d’une échelle, la reconnaissance profite encore une fois du C4 et l’ingénieur reste fidèle à ses fonctions habituelles. Sauf pour certains modes spécifiques, toutes les classes ont accès à la majorité des armes, même si certains équipements demeurent exclusifs. Ainsi, la répartition de l’arsenal tend à uniformiser les classes, ce qui en rend certaines moins attrayantes comme l’assaut, par exemple, dont l’intérêt nous semble plus limité. Certains éléments supplémentaires (comme le lance-grenades) doivent être débloqués, mais la progression est assez longue. Cela peut sembler frustrant au premier abord, mais encourage finalement les joueurs à s’investir dans le développement de leurs classes et la réalisation de défis pour débloquer armes et accessoires.

Un level design cohérent
Des décors destructibles

Côté modes de jeu, on retrouve les classiques Ruée, Conquête, Percée, ainsi que Roi de la Colline, Domination et bien d’autres. Le mode portal signe aussi son grand retour pour des parties plus personnalisées. Les cartes sont vastes et variées, même si certaines limitations se font sentir, comme l’absence de map dédiée aux véhicules amphibies et nautiques ou les batailles aériennes encore de faible envergure. Ces ajouts devraient arriver avec les futures mises à jour, notamment le lancement de la saison 1, qui introduira également le très attendu mode Battle Royale. D’autres corrections devraient aussi survenir avec cette première mise à jour puisque le jeu n’est cependant pas exempt de bugs : pertes de son, déconnexions, menus figés… Rien de dramatique, mais des correctifs sont encore nécessaires.

Verdict

Battlefield 6 signe un véritable retour aux fondamentaux de la licence : le titre renoue avec les guerres modernes, les affrontements spectaculaires et surtout le système de classes qui avait fait la renommée de la série et supprimé au début de Battlefield 2042 avant d’être réintégré. Porté par une réalisation visuelle impressionnante et un sound design percutant, le jeu offre des batailles d’une grande intensité, capables de rappeler les plus belles heures de Battlefield 3 et 4. Cependant, tout n’est pas parfait : la campagne, bien que visuellement bluffante, souffre d’une écriture maladroite et d’une IA défaillante. En multijoueur, quelques bugs persistent et certaines classes manquent encore de caractère. Malgré ces écueils, Battlefield 6 marque un renouveau convaincant, à la fois spectaculaire, nerveux et fidèle à l’esprit originel de la saga. Après un Battlefield 2042 décevant, la rédemption est bien amorcée et nous avons hâte de découvrir le contenu des prochaines mises à jour.

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Test de Ninja Gaiden 4 - Maître en son domaine

Après une dizaine d'années dans l'ombre, la série des Ninja Gaiden aura fait parler d'elle en 2025. D'abord par son remaster Ninja Gaiden 2 Black, puis avec le très sympathique spin-off en 2D, Ninja Gaiden: Ragebound développé par The Game Kitchen, et, en cette fin d'année, pour le jeu qui nous intéresse, le quatrième épisode canonique de la série : Ninja Gaiden 4. Orphelin du concepteur des deux premiers épisodes, Tomonobu Itagaki, décédé tragiquement le 16 octobre dernier, ce nouveau titre a été co-développé par Team Ninja et PlatinumGames, qui rendent un bel hommage à la saga tout en lui apportant une modernité nécessaire.

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TEST de FINAL FANTASY TACTICS The Ivalice Chronicle…

Les remastered sont toujours tendance dans l’industrie du jeu vidéo et chaque année certains sortent du lot. Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles en fait partie et nous avons eu l’opportunité de le tester sur PS5. Cette nouvelle version présente plusieurs avantages par rapport à celle d’origine sortie sur PSP. Ce remaster vous propose de jouer au jeu original ou à la version modernisée, un ajout très sympa pour tous les amateurs de rétro ou fans de FF. 

Une histoire captivante ! 

Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles vous permet de vivre une aventure incroyable dans un univers heroïc fantasy. Personnellement j’ai opté pour la version plus moderne et les ajouts sont impressionnants. La version PSP du jeu ne proposait pas de traduction en français, ce qui a pu en rebuter certains. Les dialogues n’étaient pas doublés et la difficulté était assez élevée. 

La nouvelle version de FF Tactics propose le français pour les dialogues, un doublage en anglais ou en japonais et vous avez accès à la difficulté : mode histoire, ce qui rend le jeu plus accessible mais le challenge est toujours présent car le gameplay reste d’époque. Pour ce titre, on ne peut pas parler de remake car les graphismes n’ont pas énormément changé. Fort heureusement car le pixel art de cet épisode Final Fantasy est vraiment sublime. 

Au sujet de l’histoire, Final Fantasy Tactics propose un univers plus sombre et l’ajout du doublage permet de s’attacher aux personnages et à prendre part à cette aventure. Tout comme Game of Thrones ou Triangle Strategy vous allez prendre part à une guerre politique. Vous allez devoir faire face à des complots, des drames,des trahisons pour comprendre la révolte du peuple face aux inégalités sociales. Vous incarnez un jeune homme né dans une grande maison au titre de noble. Votre personne au nom de Ramza va devoir se battre pour comprendre le monde qui l’entoure. Il va devoir se lier d’amitié avec certaines personnes et monter une armée pour vaincre ces adversaires. Il vous faudra environ 40 heures de jeu pour venir à bout de l’histoire principale. Si vous êtes en quête du platine sur PS5, il vous en faudra beaucoup plus pour venir à bout de toutes les quêtes annexes disponibles dans les différentes tavernes. 

Côté gameplay, Final Fantasy Tactics est un pur tactical RPG et il vous faudra une bonne maîtrise des menus pour obtenir les meilleurs équipements pour vos hommes, gérer leurs classes et recruter les bonnes personnes. Le jeu est assez dur et propose quelques tutoriels pour vous aider mais personnellement je vous recommande de regarder quelques tutoriels en vidéo pour optimiser votre partie. Vous allez pouvoir vous déplacer sur une mappemonde et réaliser les différentes quêtes disponibles. Les zones de combat sont assez réduites mais proposent des moments intenses. Il faudra faire les bons choix pendant les combats pour éviter de mourir car les ennemis font très mal. Autre point positif, la bande-son est incroyable et je comprends aujourd’hui pourquoi ce jeu est un classique pour les fans du genre. 

Final Fantasy Tactics The Ivalice Chronicles est un excellent tactical RPG et c’est un régal de pouvoir le découvrir aujourd’hui dans de bonnes conditions. L’ajout du français et le doublage pour le scénario permet à ce titre d’être découvert par plus de joueurs. La difficulté a été corrigée mais son gameplay demande de l’investissement pour comprendre toutes les mécaniques de jeu.  Son scénario plus mature et son univers plus sombre lui permettent de se distinguer des autres titres de la licence. Personnellement j’ai été happé par l’histoire et je vous recommande chaudement d’y jouer.  

Test réalisé par Pierre

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Si vous trouvez l'ASUS ROG Xbox Ally X trop chère, c'est la faute d'ASUS et pas de Microsoft selon Sarah Bond

Tout juste lancées, les ROG Xbox Ally et ROG Xbox Ally X ont bénéficié d'une couverture médiatique étendue. Ici même, nous avons loué les performances techniques de la console, tout en concédant que Windows 11 sur une console portable, c'est toujours autant une tannée. Mais l'argument qui fera (ou non) que le public l'adoptera, c'est évidemment le prix. Et 899€ par chez nous, 1000 dollars outre-Atlantique, c'est un tarif loin d'être doux. Sauf que selon Sarah Bond, présidente de Xbox, vous pouvez remercier ASUS pour ce prix.

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Dragon Quest VII Reimagined offrira une mélancolie adaptée au public moderne selon le producteur du jeu

Square Enix poursuit son voyage dans la mémoire de la série de Yuji Horii avec Dragon Quest VII Reimagined, un remake intégral en 3D qui troque les pixels contre des dioramas miniaturisés. Et pourtant, derrière cette direction artistique douce et lumineuse se cache pourtant l’un des épisodes les plus sombres de la série : un miroir parfait de nos sensibilités modernes selon le producteur Takeshi Ichikawa.

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L’annonce de Starfield sur PS5, c’est (encore) pas pour tout de suite

Le portage de Starfield sur PlayStation 5 continue de faire couler beaucoup d’encre, mais les fans devront manifestement s’armer de patience. D’après un insider reconnu, l’annonce officielle ne devrait pas intervenir avant 2026.

Les rumeurs autour de l’arrivée du RPG spatial de Bethesda sur les consoles de Sony circulent depuis plusieurs mois maintenant. Initialement exclusif à Xbox et PC, le titre avait déjà été évoqué comme un futur candidat au portage multiplateforme, dans la lignée de la nouvelle stratégie de Microsoft. Des sources avaient affirmé dès 2024 que le jeu arriverait sur PS5, mais NateTheHate précise désormais que son annonce, d’abord prévue pour 2025, a été décalée d’un an.

Believe the announcement will be in 2026 unless plans change.

— NateTheHate2 (@NateTheHate2) October 20, 2025

Ce calendrier correspond à un rapport publié plus tôt dans l’année, évoquant une sortie sur PS5 au printemps 2026, accompagnée d’une grande extension. Ces mêmes sources évoquent même un portage sur la future Nintendo Switch 2, signe que Microsoft et Bethesda pourraient vouloir étendre leur univers bien au-delà de l’écosystème Xbox.

Si rien n’est encore officiel, tout indique que Starfield finira par atteindre la PS5. Reste à savoir si l’alunissage se fera en 2026 ou plus tardivement.

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Final Fantasy IX : le remake tant attendu serait en suspens

Le rêve d’un remake de Final Fantasy IX semble s’éloigner de plus en plus. D’après de nouvelles informations rapportées par Insider Gaming, le projet serait désormais en pause, voire abandonné, après plusieurs mois d’incertitude autour de son développement.

C’est l’insider NateTheHate, reconnu pour la fiabilité de ses fuites dans l’industrie, qui a relancé les inquiétudes après avoir été interrogé par InsiderGaming. Il suppose que le projet est à l’arrêt et ignore si Square Enix compte le relancer. Ces propos confirment des rumeurs persistantes selon lesquelles le remake aurait rencontré de obstacles techniques et un manque de direction claire, au point de compromettre sa poursuite ce qui contraste fortement avec le développement puis le succès critique et commercial du Final Fantasy VII Remake.

Pourtant, tout laissait croire que le projet avançait. Au début de l’année, Square Enix avait célébré le 25ᵉ anniversaire du jeu original, avec un site commémoratif, de nouveaux visuels et même un vinyle collector. Ces initiatives avaient nourri l’espoir d’une annonce officielle, mais depuis, le silence radio règne.

Le projet figurait pourtant dans le célèbre leak Nvidia de 2021, dont la plupart des jeux listés se sont avérés réels, renforçant la crédibilité d’un remake de FFIX. Aujourd’hui, cependant, son avenir paraît plus incertain que jamais.

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"Football Manager 25 ne nous rendait pas fiers” : comment l’annulation du précédent jeu a sauvé Football Manager 26

Dans une interview accordée à Football Gaming Zone, Ant Farley, Design Manager chez Sports Interactive, revient sur la décision d'annuler Football Manager 2025 (FM 25), en indiquant que cette dernière fut finalement salvatrice pour la qualité du nouvel opus, Football Manager 26.

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Qu'on se le dise : Microsoft prépare bel et bien une nouvelle génération de consoles Xbox

Alors que diverses rumeurs infondées laissaient entendre que Microsoft pourrait se détourner du marché des consoles, Sarah Bond, présidente de la division Xbox, entend confirmer que la firme de Redmond travaille bel et bien sur une nouvelle génération côté hardware. La prophétie du "Xbox éditeur" et non plus constructeur va donc devoir attendre.

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