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Une version Switch 2 de Stellar Blade en préparation selon un rapport
Nintendo continue de vouloir proposer de gros titres sur sa nouvelle console de salon portable, la Nintendo Switch 2. Alors que nous avions déjà Cyberpunk 2077 ou encore Final Fantasy 7 Remake comme exemple de titre imposant, il se pourrait que Stellar Blade rejoigne le line-up pour la console. De quoi se poser la question quant à la qualité graphique du titre ou encore de sa disponibilité.
Après une sortie en fanfare sur PC, recevant des retours mitigés côté optimisation, Stellar Blade risque fort d’arriver sur la Nintendo Switch 2. C’est ce qu’un nouveau rapport affirme : le développeur Shift Up serait actuellement en développement d’une version pour la console portable pour faire suite à la sortie PC. Selon le magazine PlayForum, média coréen spécialisé, les employés du studio auraient reçu des Switch 2 ainsi qu’un kit de développement pour concevoir le portage dans de meilleures conditions. Ce dernier contiendrait des API non publiées, des logiciels de test ainsi que des outils de débogage. Toutefois, la conception de la Switch 2 étant très différente des consoles de salon, l’architecture de faible puissance de la console ainsi que l’interface portable propriétaire risquent fort de freiner le studio.
Stellar Blade, publié l’année dernière sur PlayStation 5, a reçu pas mal d’éloges à son sujet avant d’arriver récemment sur PC. Cette dernière monture se vit proposer le DLSS 4 ou encore le FSR 3, introduisant une mise à jour technologique sur le titre.
Toutefois, le studio a déclaré au magazine que rien n’est officiellement confirmé concernant un potentiel développement d’une version Switch 2, mais que les développeurs envisagent diverses possibilités en interne.
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TEST Crown Gambit : un deck-builder narratif et sombre qui joue ses cartes avec brio
Il y a des jeux qui, dès les premières minutes, parviennent à nous happer par leur atmosphère ou leur narration. C’est le cas de Crown Gambit, le tout premier jeu du studio rennais Wild Wits Games, un jeu mélangeant habilement deck-building, stratégie au tour par tour et décisions aux lourdes conséquences. C’est dans cet univers de dark fantasy à la direction artistique affirmée que nous avons plongé avec plaisir. À la croisée de Voice of Cards ou de Foretales dans son ton, le titre entend marier narration profonde et mécaniques exigeantes. Un pari réussi pour ce premier essai.
Test réalisé sur PC à l’aide d’une version numérique envoyée par l’éditeur
Un récit sombre porté par des personnages marquants
Crown Gambit nous plonge dans une dark fantasy où les choix narratifs ont autant de poids que la stratégie sur le champ de bataille. Dans ce jeu tactique en tour par tour, le joueur incarne un trio de paladins : Aliza Targesang une noble épéiste, Rollo un marin reconverti et Hael un clerc orphelin. Les paladins sont les seuls à avoir le droit de porter des reliques, des armes possédant des pouvoirs impressionnants comme la manipulation du sang pour Aliza ou une masse d’armes aveuglante pour Hael. Ces trois protagonistes sont chargés de protéger le roi ainsi que son jeune fils, dont les vies sont menacées par une grave crise politique, cherchant à bouleverser la succession du trône.
Dès les premières minutes, l’ambiance se veut pesante, portée par une direction artistique léchée, où les couleurs froides participent à cette atmosphère sinistre. Le récit s’épaissit rapidement à travers des dialogues finement écrits, où chaque décision influence autant la perception entre les personnages, que les relations avec les différentes familles et la population du royaume de Meodred. Et si certains protagonistes peuvent sembler stéréotypés au départ, la suite de l’aventure laisse entrevoir des nuances, qui promettent une complexité concernant les enjeux du royaume, mais aussi des relations entre protagonistes.

Concernant le gameplay, le système de combat allie jeu de cartes et placement tactique sur une grille, demandant réflexion et adaptation. Chaque paladin possède son propre deck et ses points d’action, avec des compétences uniques à combiner intelligemment. Comme tout bon jeu de deckbuilding, les combats sont exigeants, mais justes. Plusieurs niveaux de difficulté, allant du plus simple au plus complexe, sont présents dans le jeu et il ne sera pas possible de changer en cours de route.
N’étant pas de fins stratèges, nous avons opté pour le mode facile qui nous a parfaitement convenu. Les affrontements demandent un effort d’analyse, que ce soit concernant les synergies entre alliés ou l’anticipation des mouvements ennemis. Un arbre de compétences est présent et peut être amélioré en fin de chapitre. Il permet d’améliorer ses cartes, d’en acquérir de nouvelles ou de modifier leur coût en action, incitant à une progression personnalisée en fonction du style de jeu. On apprécie particulièrement l’équilibre entre le hasard (lié au tirage des cartes) et le contrôle (via les builds), qui donne une bonne sensation de montée en puissance au fil des affrontements.
Grâce ancestrale et conséquences imprévues
Le rythme des batailles est soutenu, avec des effets visuels clairs et percutants qui rendent chaque action lisible. Les actions sont simples : utiliser une carte, changer de position sur une tuile adjacente (la diagonale n’étant pas possible), attaquer ou encourager un allié adjacent pour qu’il fasse plus de dégâts. Bien évidemment, il est possible de finir le tour sans effectuer aucune de ces actions. À la fin du tour, toutes les cartes seront remises dans la défausse, sauf les cartes dites Réserve qui se conservent d’un tour à l’autre. Ce sera ensuite au tour de l’ennemi de riposter.
L’un des éléments clé de Crown Gambit réside dans la grâce ancestrale. Cette mécanique permet d’activer un pouvoir spécial pour chaque paladin, développant un pouvoir dévastateur, mais en contrepartie, cela augmente la jauge d’influence astrale de chaque héros. Cette dernière affecte non seulement les combats, mais aussi les dialogues et les réactions de nos personnages, pouvant aller jusqu’à déclencher des actions inattendues. Des batailles non prévues, des insultes sorties de nulle part, une notion de chaos qui influence l’histoire sans que nous ayons véritablement notre mot à dire.
Cela alimente l’importance de chaque décision dans l’évolution de l’histoire, que ce soit pendant l’aspect tactique ou dans l’aspect narratif du jeu. Elle s’ajoute ainsi aux nombreux embranchements narratifs, où l’on ressent que nos choix ont de véritables conséquences sur l’univers et la manière dont il nous perçoit, notamment lors de la deuxième partie du jeu. Une première run peut prendre une dizaine d’heures pour être terminée, sachant que de nombreux choix sont possibles. Le nombre d’héritiers possibles au trône pouvant aller jusqu’à 4 personnages, les possibilités sont multiples.

Des boss marquants, une difficulté bien dosée
La difficulté du jeu monte progressivement en puissance, avec des pics bien dosés qui forcent à revoir ses habitudes de combat. Si les premières heures servent de mise en bouche, les heures suivantes introduisent des ennemis plus complexes, mais surtout des boss aux mécaniques originales et visuellement marquants. Chaque boss possède son propre univers – bulle de savon dévastatrice, tornades déplaçant nos héros, prières en tout genre ou gel du champ de bataille – qui oblige le joueur à revoir sa stratégie. Ces affrontements constituent autant de moments mémorables, mêlant le stress de réussir à la beauté du combat engagé. Chacun d’entre eux est accompagné d’une illustration attrayante dans laquelle on se plaît à se perdre en observant les différents détails, avant de vivre avec difficulté l’affrontement proposé.

En parallèle, les récompenses obtenues à la fin de ces combats ne sont pas à négliger : un peu de vie, un peu de défense. Ces choix sont aléatoires, mais appréciables quand on sait que la vie et la défense sont inchangées entre les oppositions. De plus, à la fin de chaque chapitre, trois récompenses sont proposées entre augmenter la vie, la défense ou apporter une compétence particulière pendant la prochaine bataille (une esquive, des dégâts supplémentaires…). Cette courbe de progression, tant en combat qu’au niveau narratif, donne au titre un sentiment de montée en tension très appréciable.

L’une des forces majeures du titre reste l’impact réel de nos choix tout au long de l’aventure. Ce n’est qu’une fois arrivé dans la seconde moitié du jeu qu’on réalise à quel point nos décisions passées conditionnent les événements à venir. Les rapports entre personnages changent, certaines options narratives se ferment tandis que d’autres s’ouvrent, et nos anciennes actions reviennent souvent nous hanter. Qui semble le mieux placé pour occuper le trône, qui va vraiment prendre en main la population de Meodred, quelles décisions devons-nous prendre, qui devons-nous tuer ou épargner ?
La tension dramatique s’accentue et les enjeux moraux prennent le dessus : faut-il faire preuve de clémence envers les nobles responsables de tant d’injustices, ou au contraire incarner une figure de vengeance, quitte à faire souffrir le peuple à son tour ? Doit-on détruire les reliques ou les garder précieusement ? Ce sont ces questions qui construisent le véritable cœur de Crown Gambit, avec plusieurs fins possibles à la clé, toutes teintées des traces laissées par notre parcours. Cette richesse narrative confère au jeu une véritable rejouabilité, tant pour explorer les autres chemins que pour affiner ses choix dans une deuxième run.
Crown Gambit surprend aussi par la richesse de son lore. On sent que l’univers a été longuement mûri; avec des conflits politiques, religieux et sociaux entremêlés, qui donnent de la profondeur à chaque faction. Tous les personnages, même ceux moins mis en avant, bénéficient d’un traitement soigné. Il n’est pas rare de se surprendre à comprendre le point de vue de chacun, alternant entre notre cœur et notre esprit. On aurait néanmoins apprécié des dialogues doublés pour accentuer encore l’émotion de certains moments-clés, bien que cela reste un détail. De la même manière, la musique d’ambiance est envoûtante dans les menus, mais plutôt absente lors de la phase de combat. On se trouve face à une ambiance médiévale qui colle à merveille avec l’univers proposé.


Verdict
Crown Gambit nous laisse une impression plus que positive. Avec son univers sombre, ses personnages troublés et uniques, son système de combat mêlant stratégie et hasard maîtrisé, et sa direction artistique absolument somptueuse, le titre de Wild Wits Games pose les bases d’un univers riche, au potentiel narratif évident. L’ambition du studio réussit à nous plonger dans une profondeur qui se maintient tout au long du jeu, qu’il s’agisse des choix, des musiques ou des mécaniques. Le pari de mêler narration forte et deck-building est audacieux, mais tient la route. Si vous aimez les jeux narratifs, avec un peu de challenge, vous pourriez bien tomber amoureux de cette œuvre de dark fantasy française.

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Un lancement compliqué pour FBC: Firebreak à cause des joueurs débiles
Comme prévu, FBC: Firebreak est arrivé le 17 juin sur Steam et sur le Xbox Game Pass. Mais sur la plateforme de Gaben, seulement quelques heures après la sortie, les retours n’affichaient que 25 % d’avis positifs. En cause ? Des joueurs se plaignant d’un contenu absolument rachitique : cinq missions terminables en cinq minutes chacune. D’autres en profitaient pour décrire une expérience chiante comme la mort et un gunfeel proche d’un pistolet à billes. Comme à la rédac’, on avait été plutôt hypés par les présentations, on a décidé de se lancer dans l’aventure pour voir ce qu’il en était réellement.
Déjà, ce qu’on peut dire, c’est que Remedy Entertainment sait y faire pour la direction artistique : les environnements sont très jolis, et niveau performances, c’est plutôt correct. Ça devient tout de même un peu juste en 4K, tout à fond avec le Ray Tracing, même avec le DLSS qualité, la frame gen x2 et une 4090. Du côté du feeling, c’est une bonne surprise : les armes ont de la patate, notamment le revolver et le fusil à canon scié, qui procurent un sacré feedback. Les avis qui disent le contraire sont tout simplement faux. Par contre, on peut déplorer un manque de variété dans les ennemis, puisqu’il n’y en a qu’une poignée. Mais venons-en au fait : oui, il y a cinq « missions » différentes, mais chacune propose trois niveaux « d’accréditation », proposant chacun une expérience plus longue que le précédent. Enfin, c’est un jeu à grind : il faut donc faire et refaire les missions pour gagner en expérience et trouver certaines ressources afin de débloquer de l’équipement et des capacités. Hier soir, on a joué deux bonnes heures, et on sent qu’on en est qu’au début avec nos personnages, et on s’est beaucoup amusés. Certes, ce n’est pas un genre de jeu qui plaira à tout le monde, mais il faut être sacrément con pour écrire que le titre de Remedy peut se terminer en 25 minutes.
En résumé, FBC: Firebreak est une bonne surprise vu les premiers commentaires, qui commencent d’ailleurs à se diluer dans les avis plus raisonnables, puisqu’on est maintenant plus proche des 60 % de retours positifs. La presse n’a pas l’air tout à fait conquise non plus, car le score Metacritic est de 65. De notre côté, on a prévu un test détaillé lorsqu’on aura pu avancer, mais ce ne sera, à vue de nez, pas avant quelques semaines.
En attendant, si vous êtes tout de même convaincu et que vous avez deux amis, vous pouvez retrouver FBC: Firebreak sur Steam pour 40 €, ou dans le Xbox Game Pass.
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