Chaque sortie de console est accompagnée par un ou plusieurs jeux phares. À l’instar de la génération PS5/Xbox Series X|S ainsi que la Nintendo Switch, le line-up sera constitué d’une exclusivité majeure, ainsi que de plusieurs portages qui tenteront d’exploiter du mieux possible les capacités techniques de la console. Voici les titres indispensables au lancement de la Nintendo Switch 2.
Lors de la sortie de la Nintendo Switch dans nos rayons, un mastodonte du nom de The Legend of Zelda: Breath of the Wild avait accompagné cette dernière. Véritable best-seller de la console, le titre est dans le Top 5 des jeux les plus vendus de la console, bien que nettement derrière l’incontournable Mario Kart 8 Deluxe. Pour la sortie de la Nintendo Switch 2, ce titre sera également au rendez-vous, mais sera accompagné d’une exclusivité majeure. Retour sur les titres les plus attendus au lancement de la console.
Sans aucun doute le jeu le plus attendu lors de la sortie de la console. Disponible dès le lancement de la console, Nintendo semble vouloir capitaliser sur la réussite insolente de Mario Kart 8 Deluxe. Seul jeu disponible en pack avec la console (en version numérique), le titre réunira 24 joueurs sur la grille pour des parties endiablées. Avec un monde ouvert explorable ainsi que des courses uniques grâce à des modifications en temps réel de la route, ce Mario Kart World s’annonce déjà comme un incontournable pour tout achat de la console. En revanche, le jeu sera vendu en boîte contre 89,99€ et 79,99€ en version numérique : il s’agit donc du premier jeu en version physique à franchir la barre des 79,99€.
Après un lancement catastrophique sur PS4 et Xbox One, le titre s’est peaufiné au fil des mises à jour et est devenu une œuvre incontournable du paysage vidéoludique sur PC, mais également sur les consoles de dernière génération avec des versions PS5 et Xbox Series X|S de qualité. Véritable fenêtre technologique, il nous tarde de voir ce que la Nintendo Switch 2 a dans le ventre avec cette production développée par CD PROJEKT RED. Coup de chapeau aux développeurs qui ont souhaité proposer le titre dans une version cartouche traditionnelle malgré le coût de production plus important. Avec le DLC Phantom Liberty inclus, il s’agit d’une excellente opportunité pour vous lancer (ou relancer) dans Night City, aussi bien sur votre TV qu’en version portable.
Plutôt méconnue en France, la franchise Yakuza a gagné en popularité ces dernières années, notamment grâce aux deux épisodes de la série Judgment. Disposant désormais d’une traduction française officielle lors de chaque sortie, ce n’était pas encore le cas de Yakuza 0 et ce, bien qu’il soit sorti dans nos vertes contrées sur PS4 en 2017. Initialement paru sur PS3 et PS4 au Japon en mars 2015, le titre sera disponible au lancement de la Nintendo Switch 2. La grande nouveauté de ce portage réside ainsi dans la présence de sous-titres français qui permettront enfin aux allergiques de la langue de Shakespeare de se lancer dans la série en commençant par l’un des meilleurs opus de la franchise. De nouvelles cinématiques seront également présentes ainsi que la présence d’un doublage anglais. Le titre sera vendu en carte clé de jeu.
Véritable chef d’oeuvre du premier trimestre 2025, Split Fiction est le jeu coopératif de ce début d’année sur consoles et PC. Après avoir boudé la Nintendo Switch à son lancement, le titre sera disponible dès la sortie de la Nintendo Switch 2 en version numérique ou avec un code présent dans la boîte. Josef Fares n’a pas plaisanté avec cette version qui exploitera les fonctionnalités de la machine : GameChat avec l’incrustation de notre bouille ou encore GameShare qui permettra de jouer en local avec un possesseur d’une Nintendo Switch (oui, vous avez bien lu). Bien évidemment, le cross-play sera également de la partie et vous pourrez jouer avec un seul exemplaire du jeu. Cette fonctionnalité était déjà présente sur It Takes Two ainsi que A Way Out, les précédents jeux de Hazelight Studios.
Après un lancement réussi sur les consoles de dernière génération et PC, Hogwarts Legacy : L’Héritage de Poudlard a fait le chemin inverse avec des portages sur PS4, Xbox One… mais également sur Nintendo Switch. Bien que techniquement plusieurs crans en-dessous des autres versions, Warner Bros. Games avait quand même réussi à rentrer tout le contenu du titre sur la précédente console de Nintendo. Cette nouvelle version sera donc l’occasion de jouer au titre dans sa meilleure version portable possible avec notamment des temps de chargement raccourcis. Vendu sous forme de carte clé de jeu, il sera possible d’acheter la mise à niveau Nintendo Switch 2 contre 10€ si vous possédez déjà la version Nintendo Switch : un excellent moyen de se replonger dans Pouldard.
La bagarre et seulement la bagarre. L’excellent Street Fighter 6 va également avoir le droit à une sortie sur Nintendo Switch 2 au lancement de la console. Cette version complète contiendra le jeu de base, ainsi que les personnages et stages du Year 1 et Year 2. Le jeu sera vendu sous forme de carte clé de jeu contre 59,99€, mais il sera trouvable à moindre prix dans certaines enseignes. Si vous recherchez un jeu de combat dynamique avec des effets visuels qui explosent de partout, il s’agit sans aucun doute du titre vers lequel se tourner pour la sortie de la console.
Deux titres iconiques de la Nintendo Switch vont avoir le droit à un sacré lifting sur Nintendo Switch 2. En effet, TThe Legend of Zelda: Breath of the Wild et The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom auront le droit à des boîtes rouges en rayon lors de la sortie de la console. Proposant notamment du 60 FPS constant, une meilleure distance d’affichage ainsi que le support du HDR, ces nouvelles versions sont incontournables pour les fans de la série. Le titre sera proposé en cartouche (compatible Nintendo Switch) avec la mise à niveau incluse, mais le DLC de Breath of the Wild ne sera pas inclus… Si vous possédez un abonnement Nintendo Switch Online + Pack additionnel, cette mise à niveau est gratuite. Sinon, il faudra débourser la somme de 10€ pour chaque titre si vous disposez déjà de la version Nintendo Switch.
Vous êtes fan de Wipeout mais également de F-Zero ? FAST Fusion est sans aucun doute l’une des exclusivités Nintendo Switch 2 à suivre. Disponible uniquement en version numérique, ce titre vendu contre la modique somme de 14,99€ vous proposera des sensations de vitesse assez folles avec notamment le support du 4K et du 60 FPS. Rappelons tout de même que le précédent titre, Fast RMX avait séduit de nombreux joueurs sur Nintendo Switch, alors nous vous recommandons de lui laisser sa chance. Comme son nom l’indique, il sera possible de fusionner deux véhicules pour créer des machines uniques. Le jeu sera compatible avec le jeu en écran partagé jusqu’à 4 joueurs et il pèsera seulement 3,7 Go.
Version remastérisée d’un titre disponible sur Nintendo 3DS en 2024, Bravely Default Flying Fairy HD Remaster est édité et développé par Square Enix. Il s’agit de l’un des jeux les moins chers au lancement : 39,99€ en boîte (carte clé de jeu) ou numérique, et encore moins cher chez certaines enseignes. Le titre proposera une remastérisation des textures des modèles des personnages ainsi qu’une possibilité d’avance rapide des combats et des dialogues. Si vous recherchez un JRPG au lancement de la console, c’est certainement vers ce titre qu’il faudra se diriger.
Pour rappel, la Nintendo Switch 2 sera disponible le jeudi 5 juin 2025, même si des petits malins ont déjà reçu la console (sans pouvoir y jouer toutefois).
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La Nintendo Switch 2 sera de sortie ce jeudi 5 juin 2025 dans le monde entier. Contrairement à la première console, la Nintendo Switch 2 disposera de jeux vendus sous plusieurs formats différents, ce qui peut finalement perdre le consommateur. Retour sur les boîtes que vous trouverez dans le commerce et sur ce qu’elles contiennent.
Sur la Nintendo Switch, il existait finalement deux types de boîtes qui étaient vendues dans le commerce. Une boîte qui contenait une cartouche avec les données du jeu sans besoin d’installation des données, mais également des boîtes contenant un code à usage unique pour récupérer la version dématérialisée sur le Nintendo eShop.
Pour la Nintendo Switch 2, tout sera un petit peu plus complexe puisqu’il y aura pas moins de quatre boîtes différentes avec pour chacune un contenu différent. Retour en détail sur ce qu’elles proposent ainsi que les consoles qui seront compatibles.
Il s’agit des cartouches préférées des collectionneurs. Vendue dans une boîte sans mention spécifique apparente, cette cartouche contiendra le jeu dans son intégralité et sera lue directement par la console (pas besoin d’installation sur la mémoire interne de la console). Toutefois, il faudra comme toujours télécharger les éventuelles mises à jour proposées lors de l’insertion de la cartouche. Uniquement compatible avec la Nintendo Switch 2, les jeux first-party (Mario Kart World et Donkey Kong Bananza notamment) exclusifs à la machine seront vendus sous cette forme. Les éditeurs tiers pourront également utiliser cette solution jugée plus coûteuse que les autres : seul Cyberpunk 2077 avec son extension utilisera ce format au lancement de la console.
Les éditeurs tiers se tourneront majoritairement vers ce type de cartouche. Moins coûteuse que le modèle mentionné précédemment, elle contient uniquement une licence qui vous permettra ensuite de télécharger le jeu sur le Nintendo eShop au format dématérialisé. Les boîtes indiqueront clairement sur le recto la mention « Carte clé de jeu » avec un symbole clé en haut à droite de la cartouche. Il sera nécessaire ensuite d’insérer la cartouche dans la console pour jouer au jeu. Cette cartouche sera uniquement compatible avec la Nintendo Switch 2. Bien entendu, la licence reste à vie sur la cartouche, donc il sera possible de revendre/prêter son jeu sans aucune limitation.
Les jeux Nintendo Switch 2 Edition existeront également en cartouche rouge, mais cette dernière a une particularité. Elle contiendra le titre en version Nintendo Switch avec la mise à niveau Nintendo Switch 2 incluse. Cette dernière pourra être utilisée sur Nintendo Switch 2 avec les améliorations promises, mais également sur Nintendo Switch. Les titres fonctionnant avec ce principe auront un message en bas de la boîte au recto indiquant la combinaison du logiciel Nintendo Switch avec la mise à niveau Nintendo Switch 2.
A l’instar de ce que proposait la Nintendo Switch première du nom, les éditeurs pourront sortir des titres en boîte avec un code à usage unique à l’intérieur avec une mention apparente en bas à droite. Ce sera notamment le cas de Split Fiction au lancement de la console. Il ne sera donc pas possible de prêter/revendre son jeu et le titre devrait être uniquement compatible avec la Nintendo Switch 2.
Et de votre côté, quel est votre avis par rapport à cette nouvelle proposition de la part de Nintendo ? La mise en place des cartouches LP seront-elles un frein à l’achat de certains titres ?
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Il est enfin là. Le cauchemar de Familles de France. Le jeu maudit. Il est de retour, plus brutal que jamais, 5 ans après la turbo claque qu’était Eternal. Voici Doom The Dark Ages…
Mais entrons plutôt dans le vif du sujet. Cette suite (préquel?) ne fait absolument pas dans la dentelle et se permet quelques entorses à la formule instaurée depuis 2016.
Alors révolution ou stagnation ? La réponse dans ce test.
Ce cru 2025 est dans la continuité directe de son prédécesseur. Les graphismes sont magnifiques, même si la claque est moins impressionnante que pour Eternal. C’est cependant la direction artistique qui fait ici toute la différence. Si on reste évidemment dans le registre de la science-fiction, elle incorpore quelques touches de Dark Fantasy. Comprenez par là qu’on visitera des châteaux et des champs de bataille aux airs médiévaux et que les ennemis seront parfois en armures complètes. On passera aussi par une forêt maudite, une cité assiégée, tout en faisant un détour par une dimension quasi-Lovecraftienne. Sans oublier quelques niveaux en enfer, passage obligatoire pour n’importe quel Doomguy qui se respecte. Le level design est toujours de qualité, avec des zones secrètes disséminées un peu partout.
On retrouve les ennemis emblématiques de la licence : Revenants, Arachnotron et Mancubus répondent une fois de plus présents ! Quelques nouveaux venus viendront s’ajouter à ce hideux cheptel, tel que le Pinky Rider, dont il faudra dessouder la monture.
Comme à l’accoutumé, le scénario est ici prétexte à un déluge de violence. Le joueur est prisonnier des Makyr, qui l’utilisent pour défendre Argent D’Nur d’une invasion démoniaque menée par le prince démon Ahzrak. Si le tout est hyper classique, on apprécie néanmoins les efforts de mise en scène et la cohérence de l’ensemble.
Côté musique, nous sommes face à la première itération moderne de Doom sans la musique de Mick Gordon. Si la nouvelle avait de quoi inquiéter, force est de constater que Finish Move Inc. a fait du très bon travail. On alterne entre rythmiques saccadées, riffs Metal plus classiques et mélodies d’ambiances menaçantes. Loin d’être le rouleau compresseur nucléaire d’Eternal, on a ici une bande son de très bonne facture.
Parlons peu, parlons bien. Doom 2016 faisait tout son possible pour nous envoyer au corps à corps. Doom : Eternal nous poussait à rester constamment en mouvement sous peine de crever. Doom : The Dark Ages, lui, attend des parades. Oui, vous avez bien lu. Il va falloir parer. Comme dans Sekiro et Jedi : Fallen Order.
La grosse nouveauté provient donc du bouclier. Une « darksoulisation » du gameplay qui permet au joueur d’encaisser et de dévier les attaques ennemis indiquées par des flammes vertes. Chaque parade réussie appliquera un petit effet sympa en fonction de la rune choisie. On peut électrocuter les ennemis, déployer une tourelle automatique sur son épaule, déclencher des jets de dagues…
Il est également possible de lancer ledit bouclier. Ce dernier fonctionne aussi comme une tronçonneuse circulaire. C’est absurde, mais ça permet d’immobiliser ses adversaires les plus coriaces et de pulvériser les mobs. On a presque de la peine pour eux.
Les guns ne sont pas en reste. Chacune possède une variante, et il est possible de switcher en un clin d’œil. Le Ravager et le Pulverizer ont par exemple un design similaire, et utilisent les mêmes munitions. Les deux armes vont broyer des crânes de démons et projeter des petits éclats d’os en direction des ennemis ! C’est génial, et aussi gore que crétin. Mais il va falloir aussi penser stratégique. Le Ravager propose une puissance de feu concentrée, alors que le Pulverizer est particulièrement efficace contre les hordes d’ennemis. Il font donc régulièrement jongler entre les joujoux et s’adapter à la menace.
Car cette fois le jeu n’hésite pas à mettre plusieurs dizaines d’ennemis à l’écran, ce qui oblige à repenser son approche. On délaisse donc les glory kills au profit de finishers brefs qui peuvent savater plusieurs démons à fois. Les armes de mêlée sont dorénavant au nombre de 3. Comme l’épée d’Eternal, il faudra les charger avant de lâcher des coups dévastateurs qui permettront de récupérer des munitions.
Chaque arme est améliorable et il faudra bien choisir les effets à appliquer. Est-ce que je prends les munitions incendiaires ? Ou alors celles avec une meilleure pénétration d’armure ? Et quid de ce fusil à plasma dont la cadence de tir augmente progressivement ? On vous l’a dit, il y a quand même un peu tactique dans tout ce bourinage écervelé. Finalement Doom reste Doom, et The Dark Ages se veut tout aussi nerveux et brutal que ses aînés. Pour notre plus grand plaisir.
Une fois n’est pas coutume, The Dark Ages a décidé de varier le gameplay. C’est pourquoi il y aura quelques phases à dos de cyber-dragon-démoniaque. On survole les environnements, on détruit des vaisseaux infernaux, et on peut explorer un peu pour trouver des zones secrètes. Mais accrochez vous à votre slip, car ce n’est pas tout ! Le studio Texan a également choisi d’incorporer des phases en mécha. Non, vous ne rêvez pas. Doom devient alors un jeu de boxe où on colle des patates tout en esquivant les coups des titans sataniques. Si ça ne révolutionne rien, ces moments ont le mérite de faire respirer le jeu et ne s’éternisent jamais.
Je ne suis absolument pas objectif car j’adore Doom. Ce nouvel opus, avec ses massacres sans fin, m’a empli d’une joie sauvage le long de ses 22 niveaux. Le titre d’id Software est solide, beau, et toujours incroyablement fun. J’ai de plus littéralement fondu sur place en découvrant qu’il était possible de paramétrer chaque aspect du jeu ! Des dégâts des ennemis à la vitesse des projectiles, tout est réglable afin de s’offrir une expérience sur mesure.
Alors oui, on peut lui reprocher une certaine répétitivité, mais si ça vous dérange je ne peux que vous déconseiller cette licence ! On peut pester sur son prix astronomique, ou sur ses versions physiques ne contenant qu’un disque à moitié vide. Mais ça c’est la faute du vilain Bethesda. Les gars d’Id Software, eux, ont bien bossé. Et si Doom est toujours aussi bon qu’en 2020, c’est juste qu’il a toujours eu une longueur d’avance.
Test réalisé et écrit par Florian
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Alors que la période des annonces commence gentiment à pointer le bout de son nez, de mon côté, je continue de vous présenter les personnages de GTA 6. Aujourd’hui je vous proposer de découvrir le très mystérieux Brian Heder. En analysant la seconde bande-annonce de GTA 6, on peut s’apercevoir qu’à 0:17 secondes, Brian indique à Jason qu’il a des baraques avec des locataires qui paient. Il lui indique aussi d’aller chercher ces chèques. On peut déjà supposer que Jason [...]
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Il y a quelques jours, le développeur solo de Partizan a publié un nouveau devlog. On vous en avait déjà parlé plusieurs fois, notamment l’été dernier, lorsqu’il travaillait encore sur les mouvements et les combats. Son ambition est de proposer un immersive sim, inspiré, selon lui, d’Half-Life et de Deus Ex. Mais côté gameplay, on est beaucoup plus proche d’un fast-FPS avec des acrobaties : sauts, course sur les murs et grappin, promettent un rythme plutôt nerveux. Jusqu’à présent, il n’y avait pas encore de véritable jeu. Tsitski, le développeur, se concentrait sur les fondamentaux pour avoir un bon feeling – ce qu’il semble avoir atteint. Mais il partage enfin les prémisses d’un vrai niveau, montrant qu’il maîtrise un peu le level design.
Certes, il n’y a pas du tout de textures, mais il nous explique sa démarche pour proposer plusieurs chemins et surtout, une expérience intéressante. Même si on est encore très loin d’un jeu en version finale, son concept est très enthousiasmant. Il précise qu’il devrait pouvoir proposer une démo dans les prochains mois. On a hâte de tester ça.
En attendant d’en voir un peu plus, si Partizan vous intéresse, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Cela fait un petit moment que j’envisage d’acquérir un nouveau casque, par chance, j’ai eu l’opportunité de croiser la route du nouveau Sony WH-1000XM6. Heureux possesseur d’un WH-1000XM4 et des WF-1000XM5, la qualité de l’isolation active est pour moi un critère primordial. J’ai donc eu la chance de tester ce nouveau modèle pendant plus d’une semaine. J’ai pu utiliser ce dernier dans plein d’environnement. Que ce soit dans les transports en commun, au travail, dans la rue, en faisant du [...]
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Construit autour d’une sublime direction artistique qui mélange lumière et ténèbres, Light Odyssey est un boss rush qui se veut aussi nerveux que poétique. Ici vous allez incarner Bandi. Une entité lumineuse aux portes de l’extinction. Tiré des ténèbres par un faible éclat, vous entamez un voyage vers les confins du monde. Avec pour mission d’y découvrir des ruines silencieuses et les échos d’une civilisation oubliée. Le cœur de l’expérience réside dans les combats qui s’annoncent épiques. Vous allez vous [...]
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Non vous ne rêvez pas ! Army Moves Overdrive vient d’être annoncé et il s’inspire fortement du célèbre Army Moves qui a connu son heure de gloire dans les années 80. Il s’agit ici d’une relecture moderne du mythique sorti en 1985 sur Amstrad, ZX Spectrum et Commodore 64. Ce nouvel opus reprend l’ADN arcade de l’original tout en l’injectant d’une bonne dose d’adrénaline. À l’époque, Army Moves proposait déjà un mélange ambitieux de phases en véhicules et de shoot’n’run [...]
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