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Sonic Racing: CrossWorlds a une date de sortie sur Nintendo Switch 2

Après un lancement bien accueilli par la presse le mois dernier, Sonic Racing: CrossWorlds est disponible sur tous les supports, à l’exception de la mouture Nintendo Switch 2. Les joueurs doivent donc insérer une version Nintendo Switch au rabais pour en profiter. Mais dans quelques semaines, une version adaptée à la récente console de Nintendo fera son apparition et SEGA a communiqué à ce sujet une bonne nouvelle.

Elle était attendue pour cette fin d’année et SEGA a bien tenu sa parole. La version numérique de Sonic Racing: CrossWorlds arrivera le 4 décembre 2025 sur Nintendo Switch 2 contre 69,99 €. Si vous avez déjà craqué sur la version Nintendo Switch, une mise à niveau sera proposée contre 10€ mais si vous êtes vraiment impatients, sachez que cette dernière sera vendue contre 5€ du 4 au 11 décembre 2025.

Pour les collectionneurs, une version physique est prévue pour début 2026. Selon toue vraiscemblance, sachez que cette nouvelle version s’appelle Sonic Racing: CrossWorlds Nintendo Switch 2 Edition. Ainsi, la version cartouche devrait disposer de la mouture Nintendo Switch avec la mise à niveau Switch 2, comme pour Légendes Pokémon Z-A notamment. Affaire à suivre donc…

Une nouvelle bande-annonce avec les premières images de la version native Nintendo Switch 2 est disponible ci-dessous :

En attendant, Sonic Racing: CrossWorlds est toujours disponible sur PS5, Xbox Series X|S, PS4, Xbox One, Nintendo Switch et PC.

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Quelques heures avant sa sortie, le jeu de rythme Unbeatable est repoussé

Intrigué par la proposition de l’exubérant jeu de rythme qu’est Unbeatable, vous l’avez peut-être ajouté dans votre liste de souhaits. Si tel est votre cas, normalement, vous auriez donc dû recevoir une petite notification de sortie hier. Unbeatable était en effet annoncé pour une sortie le 6 novembre. Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu.

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TEST Wreckreation : Un takedown qui met fin à la récréation

Annoncé en marge du récent THQ Nordic Digital Showcase 2025, qui s’est tenu cet été, Wreckreation est le nouveau jeu de course développé par les créateurs de Burnout. Désormais disponible sur consoles et PC, nous avons exploré le vaste monde ouvert proposé par ce titre, qui ne manque pas d’ambition sur le papier – même s’il aurait mérité davantage de finition.

Test réalisé sur PS5 Pro grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Un monde ouvert de 400km² pas vraiment mis en valeur

Si Wreckfest et Wreckreation sont deux productions éditées par THQ Nordic, les deux titres n’ont pourtant rien en commun, si ce n’est la première partie de leur nom. Et pour cause : c’est le studio Three Fields Entertainment qui est à l’origine du jeu qui nous intéresse aujourd’hui. Depuis 2019, les développeurs américains n’avaient plus sorti de nouvelle production. Tout commence par une course sans réelle opposition, sur un circuit suspendu dans les airs : dérapages, loopings, collisions avec des éléments fantaisistes laissent présager une itération arcade, comme le sous-entendaient les précédentes bandes-annonces. À l’issue de cette séquence, on découvre le monde ouvert promis… mais décevant.

Attention tremplin en vue ! Votre voiture restera maniable même en l’air

Notre premier contact avec le terrain de jeu de Wreckreation, lors de l’atterrissage sur le bitume, laissait espérer un vaste monde ouvert agréable à parcourir. Pourtant, l’expérience s’est révélée bien moins plaisante, en grande partie à cause d’une réalisation technique défaillante. Aliasing, clipping, ralentissements et textures peu engageantes sont les maîtres-mots d’une expérience visuelle peu glorieuse. Certes, le titre ne prétend pas rivaliser avec des références comme The Crew Motorfest ou Forza Horizon 5, mais un minimum de finition reste attendu – ce qui n’est pas le cas ici. De plus, le monde ouvert manque cruellement de vie. Malgré un trafic routier réglé sur Dense, la population est peu présente, les décors manquent de détails, et l’exploration s’avère rapidement plate et sans réel intérêt.

Cela dit, le terrain de jeu propose une certaine variété : routes, chemins de fer, zones boueuses ou encore haute montagne offrent une diversité bienvenue pour dynamiser l’expérience. Toutes ces routes doivent être découvertes manuellement, car la carte ne se dévoile qu’au fur et à mesure de votre exploration. Il est possible de placer des points d’intérêt pour faciliter la navigation, tandis que les événements rencontrés s’ajoutent automatiquement à la carte. Les voyages rapides, eux, ne sont accessibles qu’à partir des parkings.

La personnalisation est plutôt poussée

Quelques options de personnalisation sont également proposées : choix du moment de la journée, de la station de radio ou du véhicule utilisé. En parlant de véhicules, on regrettera l’absence de licences officielles. Les voitures proposées sont toutes originales, mais leur nombre reste appréciable.

Un gameplay à la Burnout qui contentera les fans

Sans surprise, Wreckreation propose une approche résolument arcade, et les fans de Burnout seront ravis de retrouver des sensations proches du troisième épisode. Néanmoins, l’ensemble reste assez approximatif, notamment en ce qui concerne les collisions, souvent étranges. Pour un jeu du genre, il est regrettable que le moteur physique ne soit pas à la hauteur de l’événement. Il nous est arrivé à plusieurs reprises de traverser un autre véhicule ou de subir une secousse disproportionnée sans véritable contact.

Le jeu propose de bonnes sensations de vitesse grâce à l’utilisation d’un boost

Quand on sait que le gameplay de Wreckreation repose sur les collisions et les fameux takedowns, il est dommage que ce point ne soit pas irréprochable. Toutefois, on ressent bien une différence de maniabilité entre un véhicule léger et un modèle plus lourd. Côté caméra, les options sont limitées : seule une vue de dessus et une vue capot sont disponibles. Si vous espériez une vue cockpit, vous serez probablement déçu.

Techniquement imparfait, le jeu souffre également sur le plan de l’intelligence artificielle. Celle-ci est malheureusement très limitée et semble conçue pour vous attendre. Il nous est arrivé de nous crasher plusieurs fois pendant une course, et le comportement des adversaires s’est révélé incohérent. Lorsque nous sommes en tête, l’IA revient très rapidement grâce à des respawns approximatifs ; à l’inverse, quand nous sommes derrière, elle ralentit inexplicablement. Aucun mode de difficulté n’est disponible pour ajuster l’IA : il faudra donc se contenter du niveau par défaut.

Les stations essences permettent de restaurer ou de changer votre véhicule

L’une des rares réussites du jeu réside dans ses modes de jeu. Le joueur peut s’amuser sur des courses classiques, allant d’un point A à un point B, mais aussi sur des variantes plus originales. On retrouve notamment des défis où il faut éliminer un maximum de véhicules dans un temps imparti.

La véritable force du projet repose sur la créativité des joueurs : Wreckreation se veut être un bac à sable où l’imagination est mise à l’honneur. Il est possible à tout moment d’ajouter des rampes, des loopings, et de partager ses créations avec les autres. Chaque joueur dispose de son propre monde ouvert, qu’il peut personnaliser et ouvrir à ses amis. Attention toutefois : aucun cross-play n’est proposé, ce qui empêche de jouer avec des amis sur d’autres plateformes, un vrai manque pour un jeu de ce type.

Il faudra envoyer les voitures dans le décor pour remplir l’objectif !

Pour conclure, évoquons les doublages et la musique. Aucun doublage français n’est prévu, ce qui n’est pas forcément problématique. En revanche, l’absence totale de sous-titres en français est plus gênante pour les joueurs non anglophones. Côté musique, les morceaux sont diffusés via plusieurs radios. Les titres semblent libres de droits, et aucun mode streameur n’est proposé. Si les compositions sont plutôt agréables et mémorables, leur faible nombre entraîne une certaine répétitivité. Enfin, sur PS5, les fonctionnalités de la DualSense ne sont pas prises en charge : les gâchettes adaptatives sont absentes, ce qui est regrettable pour un jeu de course où ce type de retour haptique aurait été pertinent.

Verdict

Bien que porté par de bonnes intentions, Wreckreation ne nous a pas convaincus – principalement en raison d’une réalisation technique datée et d’un gameplay qui aurait mérité un sérieux peaufinage. Certes, le monde ouvert propose des épreuves variées et le mode création multiplie les possibilités, mais cela ne suffit pas à compenser les nombreuses lacunes. Dans son état actuel, il est difficile de recommander cette nouvelle production, qui souffre de défauts dans trop de domaines pour s’imposer comme une référence, malgré une concurrence relativement absente sur ce créneau.

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Test de Dream Garden - Plus zen que tailler un bonsaï

J’avais découvert Dream Garden lors du dernier Steam Néo Fest, et j’avais été aussitôt conquis par la simplicité du principe. Dream Garden est l’un de ces jeux de construction/bac à sable sans objectifs particuliers autre que créer des décors inspirés cette fois par les jardins japonais. Voyons ça ensemble.

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Overcooked aussi va avoir droit à son adaptation sur Netflix

Alors que les adaptations de jeux vidéo en séries et autres films ont pendant longtemps été vues d’un très mauvais œil, elles ont aujourd’hui le vent en poupe. On ne compte plus le nombre d’adaptations annoncées ces dernières années. Et si certaines coulent presque de source, il y en a d’autres qu’on a un peu de mal à imaginer, comme cette adaptation fraîchement annoncée d’Overcooked. Forcément, c’est une adaptation pas comme les autres qui nous attend avec cette production signée A24 et Netflix.

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Test de It Takes a War - C'était pas ma guerre

À l'occasion du Steam Next Fest d'octobre 2025, la chaîne Noclip, connue pour ses documentaires, avait publié quelques recommandations. Parmi elles était citée la démo de It Takes a War. Intrigué par l'expérience, je décidais donc de m'intéresser au produit complet. Grossière erreur.

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