↩ Accueil

Vue lecture

Le studio de Giles Goddard (Star Fox) annonce Wild Blue

Le studio japonais Chuhai Labs était au programme de l'Humble Games Showcase 2025 pour annoncer Wild Blue, un jeu de combat aérien sur rails en forme d'hommage aux classiques du genre des années 90. Une description qui évoque tout particulièrement Star Fox, ce qui n'a rien d'un hasard vu que Chuhai Labs est le studio du vétéran Giles Goddard.

  •  

AVIS – Wizardry, un pilier du jeu vidéo qui fait peau neuve

Sortie le 23 mai 2024 (date indiquée sur Steam) sur PC et consoles, ce remake est développé par Digital Eclipse. Un studio habitué aux remakes et aux portages de vieux jeux, comme celui-ci. Car oui, si vous ne connaissez pas Wizardry, laissez-moi vous parler de l’un des piliers du jeu vidéo et du RPG. Un peu d’histoire Développé par Andrew C. Greenberg et Robert Woodhead, Wizardry trouve son origine à l’université. Là où ses créateurs en ont écrit l’histoire alors [...]

L’article AVIS – Wizardry, un pilier du jeu vidéo qui fait peau neuve est apparu en premier sur JVMag.

  •  

Test Split Fiction : la nouvelle pépite des créateurs de It Takes Two

En 2021, It Takes Two de Josef Fares et du studio Hazelight devenait le jeu de l’année de par son histoire et son gameplay axé sur la coopération. Quatre ans plus tard, et avec un budget doublé, le papa de Brothers : A Tale of Two Sons et A Way Out nous propose une nouvelle aventure palpitante à vivre en duo : Split Fiction. Est-ce le digne successeur du jeu de l’année 2021 ou une suite peu originale ? Il est temps de découvrir les scénarios farfelus de nos deux nouveaux protagonistes avec une petite touche d’humilité.

Plutôt Fantasy ou Science-fiction ?

À la sortie de It Takes Two, les joueurs et joueuses ont eu l’occasion de plonger dans l’histoire d’un couple en crise avant que celui-ci ne soit transporté dans une aventure épique de réconciliation amoureuse. Suivant alors le charismatique Docteur Hakim, l’histoire marquera les esprits avec son gameplay forçant la coopération entre les joueurs. Souhaitant renouveler cette expérience, le studio Hazelight revient avec Split Fiction. Au revoir le couple, place à deux écrivaines aux styles et aux caractères bien différents. Split Fiction prend ainsi place dans un monde dans lequel une société dirigée par un inventeur du nom de Raders propose à des écrivains en difficulté de les éditer. Petite subtilité tout de même, cette même société possède une machine permettant aux écrivains de se plonger en stase dans un monde virtuel à l’image de leurs histoires. C’est alors que nous découvrons nos deux protagonistes : Mio Hudson et Zoé Foster. Là où la première s’intéresse fortement à la science-fiction bien mature, la seconde écrit de la fantasy un peu plus enfantine. Cherchant toutes deux un éditeur pour se faire un peu d’argent avec leurs aventures, elles acceptent le contrat avec Raders. Sauf que le moment venu, lors de la mise en stase dans la machine virtuelle, tout ne se passe pas comme prévu. Se retrouvant coincées ensemble dans la même simulation, Mio et Zoé croisent leurs histoires et leurs idées. Devant coopérer pour sortir de cette simulation détraquée, nos deux héroïnes parcourront les aventures de l’une et de l’autre à la recherche d’anomalies.

Les débuts des problèmes…

C’est ainsi que se déroule l’histoire de Split Fiction, alternant entre un monde de science-fiction et de fantasy. Bien évidemment, nos deux héroïnes devront apprendre à se faire confiance ainsi qu’à mieux comprendre les histoires de chacune, malgré les réticences de style. Et comme toute bonne histoire, celle-ci puise dans les bonnes idées de chacune, révélant des clins d’œil au cyberpunk pour l’une et des sensations de vivre dans l’univers de Tolkien pour l’autre. Hazelight dépeint ainsi les histoires de ses protagonistes de manière très archétypale, où l’une est plutôt froide et pragmatique avec son monde de science-fiction, tandis que l’autre est rêveuse et empreinte de naïveté avec sa fantasy. Peu original dans un premier temps, avec un scénario global relativement simple, c’est dans l’écriture de ses personnages et d’une double lecture que le titre brillera un peu plus. De plus, proposer une histoire simple avec des événements prévisibles n’est pas non plus une mauvaise chose, tant le gameplay de Split Fiction est ce que les joueurs cherchent auprès du studio. En changeant d’univers, cela offre plus d’opportunités de gameplay comme le fait de se transformer en marine de Halo ou encore de chevaucher des dragons. C’est sur ce point-là qu’il sera agréable de suivre une histoire simple, tant les découvertes de gameplay seront nombreuses, même si quelque peu redondantes. Ajoutez à cela des quêtes annexes proposant une boucle de gameplay spécifique tout en donnant la possibilité de développer le passif de nos héroïnes. Sur ces dernières, on en viendrait même à dire qu’il en manque deux ou trois tellement elles sont marquantes.

Bienvenu dans Total Recall !
Un petit citron, ça vous tente ?

Finalement, on retrouve ce qui faisait la force de It Takes Two à l’époque, une écriture pouvant parler à n’importe qui. Avec un sujet assez similaire se basant sur deux personnalités que rien ne rapproche pouvant, in fine, trouver un terrain d’entente. Hazelight tend ainsi à montrer qu’avec un but commun, mais aussi un peu de compassion, nous pouvons passer outre nos différences pour apprendre à s’entendre, voire à s’apprécier. Une ode à l’ouverture de soi qui fonctionne plutôt bien malgré quelques maladresses en cours de route. Au-delà d’une bonne morale, les moments que procureront les aventures proposées, mais aussi les nombreux Easter Eggs marqueront à coup sûr vos soirées. En effet, Split Fiction regorge de références cinématographiques mais aussi d’hommages vidéoludiques. Il est plaisant de découvrir des références à Tron, Blade Runner ou encore Dune pour les films. Et côté jeu vidéo, nous pouvons citer Assassin’s Creed, Zelda et même Halo ou encore Shadow of the Colossus. Ainsi, là où Split Fiction traite d’une fiction scindée, le titre nous rassemble à travers une passion commune : la culture. À l’image de Mio et Zoé, ces nombreuses références nous invitent au dialogue, à communiquer pour mieux apprendre à se connaître et avancer dans ses nombreux niveaux de manière plus sereine.

À deux, la vie n’est plus que plus drôle

Spécialisé dans le genre du jeu forçant la coopération, Split Fiction ne déroge pas à la règle et nous propose une aventure axée sur l’entraide. Toutefois, là où It Takes Two pouvait se jouer avec quelqu’un n’ayant pas vraiment l’habitude des jeux vidéo, Split Fiction s’adresse un peu plus aux amateurs du genre. En effet, avec des énigmes moins complexes, le titre se focalise avant tout sur de la plateforme au timing quelque peu rapide. Un novice du genre aura alors des difficultés à suivre la cadence d’un partenaire plus à l’aise avec ce type de niveau. Mais c’est aussi ce qui fait la force de Split Fiction. Proposant un gameplay au service de la narration, chaque monde de nos personnages sera adapté à leur imaginaire. Là où la science-fiction proposera des moments de tension et d’action, la fantasy proposera plus de réflexion et de contemplation. Plus qu’un simple jeu de plateforme, l’aventure de Split Fiction nous offre des phases allant de la course-poursuite endiablée à celle d’un jeu de tir à la troisième personne. Toutefois, le studio n’en oublie pas son inspiration principale et offre ainsi la possibilité d’effectuer des doubles sauts ou encore des dashs pour atteindre des plateformes éloignées. Ajoutez à cela la créativité des développeurs qui mettront à rude épreuve votre adaptation avec des niveaux transformant la gravité de votre personnage ou encore sa forme physique. Et vous obtenez ainsi un jeu unique aux nombreuses possibilités qui arrivera à toujours vous surprendre.

Des niveaux aérien avec une prise en main un peu complexe.

Comme précisé juste au-dessus, le studio arrive à trouver les bons moments pour nous mettre sous tension et d’autres pour nous procurer un sentiment d’apaisement. Alternant des phases tendues où nous devons empêcher un soleil d’imploser ou encore faire face à une mafia avec celle de devoir sauver des petits chats magiques. Autre point intéressant à noter, Hazelight semble s’être fortement amusé à explorer les styles. Pouvant transformer la perspective du monde pour nous forcer à jouer avec une vue isométrique ou alors sur un plateformer à l’horizontale. Ou encore, pouvant altérer l’esthétique même du monde en nous offrant un passage entièrement réalisé au crayon de bois. Tout est fait pour que vous ne lâchiez pas la manette avant d’avoir fini le titre. Pour clôturer chaque chapitre, combat de boss oblige. Même si ces derniers seront un peu inégaux dans leur move set, pouvant passer d’un combat très facile à très complexe, ils marqueront tous les esprits d’une manière ou d’une autre. Que ce soit dans leurs designs ou encore dans leurs interactions, nous avons apprécié les dialogues parfaitement écrits, le tout composé avec une VF de très bonne facture. Malheureusement, et malgré ses nombreuses qualités, un petit défaut subsiste.

Des décors de fantasy vraiment magnifiques
Un cran au dessus de la science fiction

Ayant adoré l’obligation de cohésion dans It Takes Two, Split Fiction se concentre avant tout sur la découverte. En effet, nous avons trouvé que peu de niveaux offraient réellement de difficulté de réflexion, malgré les compétences intéressantes offertes à nos héroïnes. Nous nous sommes ainsi retrouvés à terminer des niveaux assez rapidement, sans même avoir dû réfléchir plus que de mesure pour clôturer notre aventure. Même si l’ensemble du jeu traite de cela et qu’il faudra toujours user des compétences de l’une pour faire avancer l’autre, la réflexion n’a pas été extrêmement poussée et nous nous sommes rarement posés pour réellement outrepasser une difficulté. Ce qui est un peu dommage pour un jeu de cette trempe. Toutefois, les quelques moments où cela a été le cas nous ont marqués, à l’exemple d’une phase ressemblant à un flipper ou encore à l’approche de la fin du titre. Cette simplification des énigmes se traduit aussi par la difficulté générale du titre. Split Fiction ne se veut absolument pas punitif. Lorsque vous ratez quelque chose, il sera toujours facile d’y revenir dans l’immédiat sans devoir recommencer le niveau. De même, il arrivera parfois que le jeu place directement votre personnage à l’endroit souhaité pour ne pas vous frustrer davantage. Couplé à cela, la possibilité d’accessibilité poussée et de réglage pour chacun des personnages, Hazelight propose une aventure adaptable aux besoins de chacun. L’objectif étant d’offrir un bon moment avec votre partenaire, plus que des moments de dispute sur un passage compliqué.

Mettre en image l’imaginaire

Tournant sous l’Unreal Engine 5, devenant doucement une norme dans la sphère vidéoludique, Split Fiction nous a époustouflés par ses magnifiques décors. Que ce soit du côté de la science-fiction avec des jeux de lumières vraiment intéressants à la végétation des mondes de la fantasy parfois pharaoniques. Couplé à cela une excellente optimisation sur console, faisant tourner le jeu à 60 fps et sans aucun bug à déplorer hors ceux que nous avons provoqués intentionnellement, Split Fiction brille par sa technique. Certains diront tout de même que les personnages sont un peu plats, manquent de détails et de réalisme, mais cela colle parfaitement au style graphique du studio. Cette fluidité sur console, étonnante par moment, est possible aussi de par la construction de ses niveaux. Alors qu’It Takes Two offrait des niveaux semi-ouverts, Split Fiction fait le choix de niveaux plus linéaires permettant de ne pas avoir à charger trop d’éléments. Ainsi, l’ensemble des niveaux sont soigneusement travaillés, avec des jeux de lumières excellents ou encore un travail de texture dessiné à la main des plus satisfaisantes. De plus, en optant pour ce type de gameplay, Hazelight se permet de jouer sur des effets de grandeur et de profondeur dans certains niveaux spécifiques. Cela permet ainsi aux joueurs de s’immerger complètement dans l’univers proposé tout en le rendant crédible aux yeux de tous.

Les décors sont magnifiques ! Et les développeurs le savent très bien.

En plus de décors époustouflants nous ayant décroché la mâchoire par moment, la bande-son qui accompagne notre aventure n’est pas à oublier. Celle-ci s’adapte à merveille aux différents univers proposés. On pourra toutefois regretter le manque de thème marquant et véritablement impactant. Malgré cela, le titre s’en sort à merveille d’un point de vue sonore avec un sound design aux petits oignons et un travail de doublage parfaitement réussi aussi bien en VO qu’en VF. Nos personnages auront ainsi des interactions plutôt naturelles que nous avons apprécié de suivre tout au long de leur aventure. Une aventure bien dosée, proposant une durée de vie de 10h environ pour les joueurs adeptes du genre. Comptez néanmoins un peu plus si vous avez des difficultés sur les plateformers ou alors que vous souhaitez découvrir l’ensemble des quelques trophées disponibles.

Au-delà de la fiction

Au-delà de nous proposer une histoire sympathique sous couvert de critique sur l’utilisation de machines pour copier des artistes talentueux, Split Fiction se permet d’inclure deux histoires touchantes à travers les personnages de Mio et Zoé. En effet, le studio Hazelight ne s’est pas contenté d’une seule histoire mais bien de trois bien distinctes. Celle des scénaristes cherchant à contrer un éditeur corrompu, celle de Mio et ses difficultés financières et celle de Zoé avec son traumatisme d’enfance. Le fait d’avoir choisi cette voie permet d’amener une certaine compassion, mais aussi une morale à un titre qui, de base, n’en proposait pas forcément. Là où le titre précédent prônait l’importance de la communication dans un couple, où nous découvrons les histoires de nos deux protagonistes, Split Fiction prône l’acceptation de ses démons pour mieux avancer, tout en se faisant aider par une personne extérieure.

Parfois, il suffit d’un plaisir simple pour être heureux.

Véritable thérapie, Split Fiction se destine aussi aux personnes cherchant un peu de réconfort dans des moments difficiles. Celles-ci se reconnaîtront dans les caractères de nos deux personnages où l’une est renfermée car souhaitant garder ses problèmes, tandis que l’autre est extravertie pour se mentir à elle-même. Sans vouloir spoiler, la fin propose aussi une sous-lecture avec un véritable moment d’humilité de la part des développeurs. Espérant que les joueurs ayant tenu jusqu’au bout auront apprécié le titre autant qu’ils ont apprécié le faire. Tout en gardant cette peur de ne pas réitérer l’exploit de 2021. Hazelight a réussi à nous captiver et nous offre une nouvelle fois une merveilleuse aventure.

Verdict

Après un succès avec It Takes Two, Hazelight nous propose sa toute nouvelle aventure avec Split Fiction et réitère cette magie de la coopération tout en améliorant sa technique. Split Fiction est donc la petite pépite de ce mois de mars que nous vous conseillons absolument de tester avec un compagnon de voyage. Entre une histoire à plusieurs lectures, des décors magnifiques et un gameplay intelligent, le titre du studio suédois marquera à coup sûr les esprits des joueurs ayant terminé cette magnifique aventure. On regrettera toutefois quelques maladresses d’écriture, des niveaux de difficulté peu équilibrés ou encore le manque d’originalité sur certaines mécaniques de gameplay reprises de son prédécesseur. Mais ces quelques défauts n’entachent en rien la qualité globale du titre tant l’ensemble fonctionne à merveille et saura ravir les joueurs du dimanche.

Cet article Test Split Fiction : la nouvelle pépite des créateurs de It Takes Two est apparu en premier sur JVFrance.

  •  

La franchise Ys débarque dans l'abonnement Crunchyroll

Lancé en novembre 2023 pour renforcer et diversifier son offre, le Crunchyroll Game Vault continue son petit bonhomme de chemin et compte désormais une cinquantaine de jeux iOS et Android à la libre disposition des abonnés à la plateforme d'animation japonaise. Le dernier ajout en date est un aventurier bien connu de nos services.

  •  

Dino Crisis Remake | Faut-il y croire en 2025 ?

Du côté de chez Capcom, il n’y en a que pour Resident Evil lorsque l’on parle de remakes ? Dino Crisis Remake pourrait-il enfin être la prochaine licence à faire un revival après l’annonce de Onimusha et Okami ? Depuis quelques jours, un indice assez optimiste nous parvient. Explications, ci-dessous.

Dino Crisis Remake | Le retour de la série ?

  • Le 4 mars 2025, Capcom a déposé la marque DINO CRISIS au Japon
  • Vous allez nous dire que c’est une manœuvre classique pour protéger les licences mêmes inexploitées d’un éditeur / développeur. Mais c’est un peu différent pour cette fois
  • En effet, Capcom n’a pas simplement renouvelé les droits au Japon, mais a réellement déposé la marque, comme si c’était la première fois
  • En règle générale, lorsqu’un éditeur dépose une marque au Japon pour un jeu vidéo, c’est pour l’exploiter commercialement
  • On pourrait donc espérer l’annonce d’un Dino Crisis Remake prochainement, ou tout du moins le retour de la saga de Capcom
  • L’éditeur avait opérer le même dépôt avant l’annonce des jeux Onimusha

L’article Dino Crisis Remake | Faut-il y croire en 2025 ? est apparu en premier sur PLAYERONE.TV.

  •  

Zenless Zone Zero : des acteurs grévistes remplacés à leur insu

Aux États-Unis, les comédiens de doublage du jeu vidéo sont encore en grève pour défendre leurs droits face à l'IA générative. Une situation qui ralentit certains développements... mais n'affecte pas trop certaines productions, comme Zenless Zone Zero, où l'entreprise préfère simplement contourner les acteurs mobilisés pour les remplacer.

  •  

Avowed : pourquoi Obsidian a choisi de ne pas inclure de romances dans son RPG

Avowed peine à convaincre. Si le RPG bénéficie de l'expertise des maîtres d’Obsidian Entertainment pour la conception de son univers, la platitude de son approche du jeu de rôle et certains choix de conception atypiques ont fait grincer des dents. Parmi eux, l’absence totale de romances, un parti pris assumé par les développeurs. Carrie Patel, réalisatrice du jeu, s’en est expliquée (plus ou moins), et a détaillé les raisons de cette approche et les limites des romances systématisées dans les RPG modernes.

  •  

Spectre Divide ferme ses portes après seulement 6 mois, le studio ferme ses portes

Encore un coup dur dans l’industrie. En effet, Spectre Divide, le FPS free-to-play en 3v3, fermera ses serveurs dans les 30 prochains jours. Ce n’est pas tout, son studio de développement Mountaintop cessera ses activités dès la fin de cette semaine. Cette annonce brutale marque la fin d’un projet ambitieux, dont le lancement sur PC en septembre 2024, suivi d’une sortie sur PlayStation 5 et Xbox Series en février 2025, n’a pas suffi à assurer la pérennité du studio. Malgré [...]

L’article Spectre Divide ferme ses portes après seulement 6 mois, le studio ferme ses portes est apparu en premier sur JVMag.

  •  

TWO POINT MUSEUM – Test PS5

Après l’hôpital et l’université, Two Point Studios nous propose cette année de faire un tour au musée avec Two Point Museum sorti dernièrement. On retrouve avec plaisir de système de gestion fun et accessible…

C’est même plusieurs musées que nous auront l’occasion de gérer au fil de notre évolution dans la campagne de ce nouveau jeu. Comme tout jeu de gestion qui se respecte, il est nécessaire d’évoluer petit à petit et ici en particulier garnir son musée, faire venir les visiteurs et acquérir une bonne réputation.

Il est important de prendre part en premier au mode Campagne qui permet donc d’évoluer avec des objectifs successifs. On apprend comment fonctionne le jeu et on construit pas à pas notre premier musée d’histoire naturelle à base de fossiles et autres squelettes de dinosaures…

On apprend vite à recruter des assistants d’accueil, des agents d’entretien et surtout des explorateurs qu’on va pouvoir envoyer par le monde afin de dénicher des fossiles et autres reliques afin d’agrémenter toujours plus notre musée. L’argent reste le nerf de la guerre et il faut bien sûr que les visiteurs (avec des profils très différents à prendre en compte) soient au rendez-vous. Pour cela, il faut penser à l’ergonomie de votre musée, à la décoration mais aussi aux différents services (toilettes, restauration, boutique, bans, etc..).

Le mode Bac à Sable n’apporte finalement pas grand chose car il n’y a finalement pas assez de différences avec le mode Campagne. Bien sûr, dans tous les cas, le but est d’évoluer et de pouvoir acquérir de nouveaux musées qui présentent des thématiques propres : botanique, aquatique, préhistorique, surnaturel, spatial…

Alors que le choix des expéditions est toujours important et se fait avec des explorateurs qu’il va falloir former à différents capacités pour ainsi développer la zone géographique des explorations possibles. Il en est de même des autres personnels afin de proposer un service accru sans jamais négliger l’entretien du site et notamment des pièces exposées.

On pourra aussi évoluer en créant des laboratoires permettant de mettre en place de nouvelles attractions comme des jeux pour enfants par exemple. L’évolution du musée se fait donc de diverses manières, externes et internes. Ne pas négliger non plus la sécurité du site avec des agents recrutés pour palier aux éventuels cambriolages…

Sans oublier la gestion du musée dans sa dimension économique, il faudra acheter mais aussi savoir revendre. Il n’est pas impossible de rendre inutile une exposition comme par exemple une abeille préhistorique figée dans la glace qui pourra fondre si elle n’est pas installée dans une zone climatisée…

Agréable visuellement, Two Point Muséum est coloré et plein de vie. Son gameplay est souple et intuitif, on zoom sur notre musée, on tourne autour, on s’amuse à le décorer à ajuster les éléments et à regarder le public entrer et prendre plaisir à découvrir les lieux. Si le concept pourra paraitre un peu simpliste et redondant pour les puristes, le jeu réserve toujours de la surprise par les nouvelles acquisition des musées et les différentes thématiques abordées. Le jeu propose de bons moments chil avec une approche du jeu de gestion qui sort une nouvelle fois du lot par la thématique abordée.

Cet article TWO POINT MUSEUM – Test PS5 est apparu en premier sur Insert Coin.

  •  

Lilo & Stitch, enfin une vraie bande-annonce !

Disney dévoile la toute première vraie bande-annonce de Lilo & Stitch, le remake du film d’animation du même nom. « L’histoire touchante et drôle d’une petite fille hawaïenne solitaire et d’un extra-terrestre fugitif qui l’aide à renouer le lien avec sa famille. » C’est le moment ! Disney nous offre enfin de vraies images pour le remake de Lilo & Stitch. Même si la petite créature extraterrestre nous semble vraiment réussie et que l’humour sera identique au métrage d’animation, un soucis subsiste. [...]

L’article Lilo & Stitch, enfin une vraie bande-annonce ! est apparu en premier sur JVMag.

  •  

Netflix Games perd ses têtes

Les choses semblent relativement bordéliques chez Netflix Games. En janvier, Leanne Loombe a mis les voiles. Elle a bossé 4 ans chez Netflix en tant que Vice President of External Games. Elle a rejoint la nouvelle version d'Annapurna Interactive en tant Head of Games. Elle supervisera toutes les productions Annapurna, interne et externes. Il y a quelques mois, Mike Verdu était devenu le Vice President of GenAI for Games. Il avait rejoint Netflix en tant...

  •  

[VR Games Showcase 2025] Running With Scissors joue la carte de la nostalgie avec Postal 2: VR

Durant le VR Games Showcase 2025, Running With Scissors, en collaboration avec FlatVR2 et Team Beef, ont eu la brillante idée de déterrer Postal 2 pour un projet en VR. Pour le meilleur et surtout pour le pire, le Postal Dude est de retour pour semer le chaos et répandre le sang dans la ville fictive de Paradise en Arizona. On peut supposer que cette licence irrévérencieuse trouvera probablement son public à l’instar du très « qualitatif » Postal 4: No Regerts.

Vu que Running With Scissors n’est pas seul à la barre pour le développement, le résultat ne devrait pas être si catastrophique que d’habitude. Mais il faudrait peut-être penser sérieusement à arrêter les frais avec cette licence.

Pour le moment, Postal 2: VR n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant de nouvelles news, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, Meta Quest ou PS VR, si vous y trouvez un quelconque intérêt.

  •  

[VR Games Showcase 2025] Conflit à grande échelle avec Forefront, le battlefield-like VR du studio Triangle Factory

À l’occasion du VR Games Showcase 2025, le studio Triangle Factory (Breachers et Hyper Dash) a annoncé son nouveau jeu multi en VR, Forefront. Ce battlefield-like permettra jusqu’à 32 joueurs de s’affronter sur un carte immense où les environnements seront partiellement destructibles. Il sera possible de sélectionner différentes classes et de conduire des véhicules terrestres, aériens ou marins.

Pour le contexte, une ressource très rare est à l’origine d’un conflit entre la corporation O.R.E. et la résistance locale. Libre à vous de rejoindre l’un des deux camps pour obtenir le contrôle total des territoires. Au visionnage de la bande-annonce, le jeu semble plutôt sympa avec paysages variés et un gunplay qui a l’air solide.

Le studio n’a pas communiqué de date de sortie pour leur jeu. En attendant, vous pouvez ajouter Forefront à votre liste de souhaits Steam ou Meta Quest, si vous êtes intéressé.

  •  

Streum On Solo

On avait raté l'info mais durant l'annonce des résultats financiers du premier semestre fiscal 2024, Pullup (le nouveau nom de Focus) a annoncé que les fondateurs de Streum On Studio sont redevenus propriétaires de leur studio. En clair, Streum On redevient indépendant 4 ans après avoir été racheté par Focus. Par contre Space Hulk Deathwing et Necromunda: Hired Gun seront toujours publiés par Focus Entertainment Publishing, le label AA/AAA de l'éditeur. Cela veut dire...

  •  

Wild Blue, un bel hommage à Star Fox et les shooters des années 90

Amoureuses et amoureux de jeux de combat aérien qui ont la nostalgie d’antan, c’est le moment de sauter de joie. En effet, un certain Wild Blue vient d’être annoncé pour PC par Humble Games et Chuhai Labs, le studio fondé par Giles Goddard, développeur du légendaire Star Fox. Ce jeu propose une réinterprétation moderne du genre on-rails shooter, avec une aventure pleine d’action, de dogfights intenses et de panoramas plutôt jolis. Dans Wild Blue, les joueuses et joueurs incarnent Bowie [...]

L’article Wild Blue, un bel hommage à Star Fox et les shooters des années 90 est apparu en premier sur JVMag.

  •  

Preview vidéo – Songs of Rats, survivrez-vous au labyrinthe aussi bien qu’un rat ?

Un titre indépendant, minimaliste, mais capable de vous mettre sous tension ? Si c’est ce que vous cherchez en ce moment, alors voici Songs Of Rats ! Un roguelike-RPG textuel avec un aspect de survie. Voici mon avis en vidéo, avec la transcription en dessous si vous ne pouvez visionner la séquence. Notez que le jeu est uniquement prévu sur PC et qu’il dispose désormais d’une démo. Départ et progression Dans Songs of Rats, on incarne un survivant s’aventurant dans [...]

L’article Preview vidéo – Songs of Rats, survivrez-vous au labyrinthe aussi bien qu’un rat ? est apparu en premier sur JVMag.

  •