L’opération est passée quasiment inaperçue car elle concerne un domaine très éloigné du grand public : Apple a fait l’acquisition de certains actifs de Styra et a recruté plusieurs de ses cadres cet été. Mais que fait Styra au juste ?
Cette société a créé Open Policy Agent (OPA), un outil permettant de définir et d’appliquer des règles de sécurité et de contrôle d’accès dans des environnements cloud. Très populaire dans le milieu, OPA aide les entreprises à gérer de manière centralisée qui peut faire quoi, à vérifier la conformité de leurs systèmes et à sécuriser leur infrastructure.
Image Styra
Dans un billet de blog publié en août (oui, l’opération est vraiment passée sous le radar), Tim Hinrichs, l’un des cofondateurs de Styra, se veut rassurant : « Apple est un utilisateur enthousiaste d’OPA, qu’elle utilise comme composant clé de son infrastructure d’autorisation pour gérer un vaste portefeuille de services cloud à l’échelle mondiale. L’annonce d’aujourd’hui démontre l’engagement d’Apple envers le projet OPA en réalisant un investissement plus important dans cette technologie et dans sa communauté. »
Le code étant sous l’égide de la Cloud Native Computing Foundation, le projet open source ne changera pas : le code restera libre et continuera d'être géré par la CNCF comme auparavant. Ce qui change, c’est que d’autres produits du portefeuille de Styra deviendront eux aussi open source.
Au vu de la spécificité du domaine, il ne faut pas s’attendre à ce que cette acquisition ait un effet pour les clients lambda. Elle permet essentiellement à Apple de mieux gérer ses propres outils et infrastructures internes. La Pomme a tout de même signalé cette opération à la Commission européenne, comme le DMA l'y oblige.
L’année 2026 s’annonce particulièrement chargée pour Apple. Selon les dernières rumeurs concordantes, la firme de Cupertino pourrait lancer plus de 20 nouveaux produits, voire jusqu’à 25 appareils, répartis sur toute l’année. Une feuille de route ambitieuse, mêlant renouvellements classiques, nouvelles catégories de produits et premières briques vers l’Apple du futur.
Si vous êtes tenté par les MacBook Pro dotés des puces M4 Pro et M4 Max, c'est peut-être le moment de craquer grâce à une promotion permettant d'économiser au minimum une centaine d'euros et bien plus sur certaines configurations après la sortie de la version M5 (dont vous pouvez retrouver notre test complet).
AirDrop, sur le papier, est une fonction géniale : elle permet de transmettre des données facilement entre deux appareils, de façon presque magique. Mais dans la pratique, avec le temps, Apple limite de plus en plus cette solution entre deux personnes qui ne se connaissent pas nécessairement, probablement pour limiter les images indésirables ( ). Avec iOS 16.2, Apple avait modifié le comportement sur iPhone : si vous voulez recevoir des données, vous n'avez qu'une fenêtre de dix minutes avant que la technologie ne se limite aux contacts. Avec les versions 26.2 des systèmes d'exploitation, il faut ajouter un code à usage unique.
Apple limite depuis longtemps la possibilité de recevoir des fichiers de n'importe quoi sur iPhone.
Si vous utilisez AirDrop pour échanger des fichiers avec vos propres appareils, des amis ou de la famille, vous ne verrez aucune différence : l'ensemble est globalement fluide et efficace (sauf quand ça ne fonctionne pas, ce qui peut arriver un peu trop régulièrement avec AirDrop). Le changement n'intervient que si vous activez la possibilité de recevoir des messages de n'importe quelle personne aux alentours (Réglages Système > Général > AirDrop en Handoff sur Mac, Réglages > Général > AirDrop sous iOS). Dans les deux cas, vous pouvez choisir Tout le monde, avec une désactivation automatique de l'option après dix minutes sur les iPhone.
Un code à usage unique pour 30 jours
Dans ce cas précis, si une personne vous envoie un fichier, le système d'exploitation va générer un code unique de six chiffres du côté du récepteur. L'émetteur, lui, va devoir entrer ce code pour vous envoyer le fichier. C'est une solution évidente pour éviter les messages indésirables, mais elle ajoute une friction importante dans le processus de partage si vous ne connaissez pas la personne : il va falloir partager le code.
L'émetteur envoie un fichier à une personne qui n'est pas dans ses contacts : le système demande un code.Du côté du récepteur, une notification apparaît et propose de générer un code unique.Le code généré doit être tapé par l'émetteur pour valider le transfert.
Une fois que l'émetteur a tapé le code, le fichier est transmis et il n'est plus nécessaire pendant 30 jours. Apple a ajouté un mécanisme qui ajoute automatiquement la personne dans les contacts de façon temporaire du côté de l'émetteur. Il est possible de gérer ce cas précis dans Réglages Système > Général > AirDrop en Handoff (sur Mac, Réglages > Général > AirDrop). L'option Contact AirDrop connus liste les personnes qui ont partagé un code unique, avec la possibilité de supprimer le contact temporaire en question.
La nouvelle option Contacts AirDrop connus liste les contacts temporaires.Le contact temporaire est là pour 30 jours et peut être supprimé.
D'un côté, Apple complexifie largement les choses : si vous acceptez les fichiers de n'importe qui, il y a une étape supplémentaire pour envoyer et recevoir des fichiers. De l'autre, c'est une protection qui est probablement efficace pour limiter les envois de fichiers indésirables. Et il faut le rappeler, cette étape supplémentaire ne va embêter que ceux qui laissent ouvert AirDrop aux quatre vents, ce qui n'est pas réellement une bonne idée. Notons pour terminer que cette fonction nécessite des systèmes à jour des deux côtés (c'est-à-dire les variantes 26.2 des systèmes d'Apple) et que c'est juste une protection supplémentaire dans le cas des iPhone étant donné qu'il n'est pas possible de recevoir en permanence les demandes issues d'inconnus.
Après l’Europe, le Japon ou encore la Corée du Sud, voilà qu’Apple va proposer les App Store tiers sur iPhone au Brésil. Le fabricant ne le fait pas pour faire plaisir aux Brésiliens, mais parce que CADE, le régulateur local, l’oblige à se soumettre aux nouvelles règles. Bientôt les App Store alternatifs sur iPhone au […]
Depuis le passage à iOS 26, vous avez sans doute remarqué dans l’application Photos la présence d’un nouveau bouton quand vous consultez vos clichés. Si vous n’avez pas encore eu la curiosité d’appuyer dessus, faites-le, le résultat pourrait vous surprendre.
Ce petit bouton sert à convertir vos photos en « scènes spatiales », c’est-à-dire en contenus 3D. La fonction n’est pas totalement inédite : les utilisateurs de Vision Pro peuvent s’amuser avec depuis déjà quelque temps, mais en étant intégrée à iOS 26, elle devient accessible à beaucoup, beaucoup plus de monde.
Vidéo iGeneration
Après un bref calcul effectué par l’iPhone ou l’iPad, la photo en 2D se voit dotée d’un effet de profondeur et de volume. En faisant pivoter son appareil, on peut observer la scène sous un angle légèrement différent, avec l’impression de voir ce qui se trouve derrière ou à côté du sujet. L’effet est particulièrement convaincant sur les images comportant plusieurs plans bien distincts, comme une foule lors d’un concert, un portrait, ou encore des scènes avec de fortes lignes de perspective. Au-delà de l’app Photos, ces scènes spatiales sont également mises à profit pour créer les nouveaux écrans verrouillés animés, ceux avec un effet 3D appliqué aux photos.
Il faut bien distinguer les « scènes spatiales » des « photos spatiales ». Depuis l’iPhone 15 Pro, certains iPhone peuvent capturer des photos spatiales, c’est-à-dire des images enrichies de nombreuses données de profondeur grâce à l’utilisation simultanée de deux objectifs — c’est la raison pour laquelle l’iPhone 16e et l’iPhone Air ne peuvent pas prendre ce type de clichés. Ces photos spatiales peuvent être visualisées directement en 3D dans le Vision Pro.
Le bouton dans Photos pour convertir une photo en scène spatiale. Image iGeneration.
SHARP, une technologie pointue
Les scènes spatiales concernent, elles, les photos classiques en 2D. Comme il n’y a pas (ou peu1) de données de profondeur, il faut une technique pour les convertir en 3D. Cette technologie, baptisée SHARP, vient justement d’être publiée en open source par Apple.
Pour recréer une scène en trois dimensions, le système ne construit pas un modèle 3D classique fait de polygones, mais une collection de « gaussiennes », c’est-à-dire de petits volumes flous assimilables à des nuages de matière, chacun ayant une position, une taille, une orientation, une couleur et une transparence. Un réseau de neurones analyse l’image et prédit presque instantanément l’ensemble de ces paramètres. Une fois la scène ainsi décrite, elle peut être rendue en temps réel pour produire des images photoréalistes depuis des points de vue proches, avec une échelle réelle qui autorise des mouvements de caméra précis. Apple ne précise pas explicitement que SHARP est à la base des scènes spatiales d’iOS 26, mais tout porte à le penser.
Depuis la publication de cette technologie sur GitHub il y a deux semaines, plusieurs développeurs ont commencé à expérimenter avec. Vous pouvez tester facilement SHARP sur le prototype sharp-ml.vercel.app qui se charge de convertir vos images en nuages de points, puis propose une visionneuse pour explorer le rendu.
Le site sharp-ml.vercel.app pour tester facilement SHARP. Image iGeneration.
Le site permet également de télécharger ces nuages de points dans un fichier au format .ply, qui peut s’ouvrir ensuite dans une application de 3D, comme Blender. Il ne serait pas étonnant que cette technologie open source donne rapidement naissance à de véritables applications tierces, si ce n’est pas déjà le cas.
Le nuage de points vu dans Coup d’œil sur macOS. Image iGeneration.
Les photos prises en mode Portrait comprennent en fait des données de profondeur. ↩︎
La traduction en direct est disponible en Europe avec les AirPods depuis iOS 26.2. On a ainsi la traduction audio quand quelqu’un parle une autre langue. Mais sur FaceTime, la traduction passe par des sous-titres. Pourquoi ce choix ? Des sous-titres pour la traduction en direct sur FaceTime Areeba Kamal, une responsable produit de l’intelligence […]
Bien sûr sans bug ça serait moins amusant, Johnny Mnemonic?!?
C'est la première fois que j'utilise cet outil, ou plutôt ces différents outils.
C'est très pratique si on pense à cliquer sur les "i" cerclés : là où je me serais attendu à un message explicatif, c'est à chaque fois un outil spécialisé permettant de trouver ce qui consomme le plus d'espace de stockage et de s'en débarrasser si on le souhaite !
Le "i" cerclé n'est vraiment pas le bon "call to action" dans ce cas, c'est ce qu'on appelle un "anti-pattern", il n'est pas conçu pour inciter à l'action comme le bouton "Stocker dans iCloud..." et c'est pour cette raison que je n'avais jamais essayé ces très bons outils.
Aucun rapport avec le fait que "Stocker dans iCloud..." rapporte à Apple via l'abonnement afférent au-delà de seulement 5 Go, tandis que nettoyer localement ne rapporte rien...
Dans mon cas quelques logiciels, les échantillons GarageBand (que je n'ai jamais utilisé), ma gigantesque bibliothèque perso d'ouvertures aux échecs et ses multiples copies (5 Go chacune), une série télé, la sauvegarde d'un ancien iPhone 12, etc. Plus de 40 Go récupérés d'un coup...
Pensez à sauvegarder avant bien sûr, et nettoyez un grand coup.
Si les stabilisateurs DockKit — une technologie de suivi qui permet à un iPhone de contrôler mécaniquement un support — sont devenus assez courants, il existe une autre catégorie de produit : les supports de bureau. Comitok, qui propose un stabilisateur DockKit à 50 € dont nous vous avons proposé un test, a un produit de ce type, que nous avions raté : le Mota.
Un support simple, mais visiblement efficace. Image Comitok.
Le Mota n'est pas un stabilisateur, mais bien un support de bureau : il se place sur une surface plane et est parfait pour effectuer un suivi si vous aimez bouger pendant vos conversations FaceTime, par exemple. Il a un gros avantage par rapport aux autres produits DockKit, son prix : 20 € seulement.
Le Mota se place sur un bureau. Image Comitok.
C'est un support assez classique, proche du modèle de Belkin qui était vendu presque dix fois plus cher (et a été rappelé à cause de risques d'incendie). Il propose donc des mouvements sur deux axes, un aimant pour fixer un iPhone compatible (tous les modèles depuis l'iPhone 12 sauf les iPhone SE et 16e) et la compatibilité DockKit. Et c'est tout. Il n'est pas capable de charger un iPhone (contrairement au modèle de Belkin) et ne fait qu'une chose : déplacer l'iPhone pour vous garder dans le cadre quand vous bougez. Comitok propose le strict minimum sur le support lui-même, mais une télécommande permet de contrôler les quelques fonctions.
Dans tous les cas, au vu du prix, c'est un accessoire intéressant pour ceux qui utilisent un iPhone comme webcam (par exemple avec l'Apple TV) ou aiment bouger en parlant. Nous n'avons pas encore essayé ce modèle, mais le Mogo de la même marque offre une implémentation solide de DockKit, donc le Mota est a priori dans le même cas.
Cette fin décembre annonce quelques jours de repos bien mérités pour la plupart d’entre vous, ainsi qu’à la rédaction de Compétence Mac. C’est l’occasion de profiter de nos proches et de refaire l...
iOS 26.3 devrait généraliser la fonctionnalité d'appairage par proximité aujourd'hui réservée aux produits d'Apple à l'ensemble des accessoires tiers le souhaitant, tout du moins au sein de l'Union européenne, d'après MacRumors. C'est une évolution imposée par le DMA dont la Commission...
Maintenant que Free Mobile prend à son tour en charge l'Apple Watch cellulaire depuis la semaine dernière, il ne manque plus en France que Bouygues Telecom qui n'a jamais communiqué sur la question... jusqu'à cette semaine, avec une déclaration à nos confrères de WatchGeneration : « Bouygues...
L'Union Française de l'Électricité propose la création d'un permis spécifique aux véhicules électriques. L'objectif : réduire le coût de la formation en profitant des économies liées à l'électrique, tout en accélérant la transition énergétique.
Les mécanismes de protection de macOS viennent d’être mis à rude épreuve. Des chercheurs en cybersécurité ont identifié une nouvelle variante du malware MacSync Stealer capable de contourner Gatekeeper, le système de défense intégré d’Apple, en exploitant directement le processus de notarisation officiel d’Apple. Gatekeeper est conçu pour empêcher l’exécution de logiciels malveillants en bloquant […]
Le mini onduleur Eaton 3S Mini, lancé à 70 €, est en promotion à seulement 38 € sur Amazon. C'est un produit parfait pour protéger une box Internet et garder une connexion en cas de coupure de courant. Si vous êtes en télétravail, c'est un accessoire utile et pas très encombrant pour ne pas vous retrouver sans connexion.
Comme nous l'avons expliqué dans notre test, ce n'est pas un onduleur classique, mais plus l'équivalent d'une batterie externe pour une box ou n'importe quel appareil qui consomme peu. Techniquement, il intègre une batterie lithium-ion (les onduleurs se basent généralement sur des batteries à l'acide) et ne propose pas de prise électrique femelle. Le mini onduleur fonctionne en réalité en remplaçant l'adaptateur secteur d'une box ou de n'importe quel appareil qui consomme moins de 36 W, à la manière d'une alimentation universelle. Il est fourni avec de nombreux embouts circulaires, et peut fournir une tension de 9, 12, 15 ou 19 V (et 36 W au maximum).
C'est donc une solution parfaite pour les box Internet, qui passent généralement par une prise de ce type et consomment assez peu. Il faudra juste l'éviter si vous avez un des rares modèles qui s'alimente en USB-C. Si la marque met en avant les box Internet, tous les appareils qui nécessitent une des quatre tensions proposées sont compatibles, tant que la puissance maximale reste sous la limite.
Si vous utilisez Backblaze pour sauvegarder votre Mac, attention à une chose. Plusieurs utilisateurs ont constaté que le service de sauvegarde en ligne ne prenait plus en compte le dossier de Dropbox ni celui d’autres solutions de stockage dans le cloud.
Image MacGeneration
Le changement semble remonter à la version 9.2.2.878 du client Mac. Dans les notes de version, Backblaze indique ceci :
Les versions récentes de macOS peuvent monter des espaces de stockage cloud (par exemple, Google Drive, OneDrive et Dropbox) dans des répertoires locaux, ce qui peut entraîner leur sauvegarde par erreur par le client de sauvegarde. Ces dossiers montés dans le cloud sont désormais détectés et exclus afin d'éviter les problèmes de performance, la consommation excessive de données et les complications lors de la restauration.
Sur son blog, le développeur Michael Tsai fait également état d’absences de sauvegarde concernant iCloud Drive et OneDrive. On pourrait penser que ce comportement est lié au framework File Provider Extension, qui intègre ces services d’une nouvelle façon dans le Finder, mais cela ne semble pas être le cas. Apparemment, Backblaze exclut ces services de manière explicite, sans proposer d’option pour modifier ce choix. En revanche, lorsque Dropbox est utilisé via le client tiers Maestral, les fichiers sont bien sauvegardés, comme nous avons pu le vérifier.
La prudence est donc de mise si vous utilisez Backblaze. Il convient également de rester vigilant avec les sauvegardes locales : les fichiers stockés sur iCloud Drive, Dropbox ou Google Drive ne sont pas toujours réellement présents sur le Mac, ce qui peut les faire passer à travers certaines sauvegardes. C’est pourquoi certains logiciels, comme Carbon Copy Cloner, proposent de télécharger temporairement les fichiers non présents localement afin de les inclure sur un disque dur ou un SSD externe.
Backblaze est facturé 99 $ HT par an pour la sauvegarde complète d’un Mac, avec un historique des fichiers sur un an. Nous avions comparé cette offre il y a quelques mois à plusieurs alternatives, dont Arq Premium et CrashPlan.
Les mécanismes de protection de macOS, Gatekeeper en tête, sont mis à rude épreuve par une version évoluée du logiciel malveillant MacSync Stealer. Selon les chercheurs de Jamf Threat Labs, cette nouvelle variante abandonne les ruses complexes utilisées jusqu’à présent pour une approche plus directe et redoutable : l’utilisation d’une application Swift légalement signée et […]
Selon les renseignements de deux pays de l'OTAN, Moscou travaille sur une arme antisatellite capable de cribler l'orbite de Starlink avec des nuages de débris. L'objectif : neutraliser d'un coup des dizaines de satellites utilisés par l'Ukraine sur le champ de bataille.
Le fabricant DockCase, un habitué de Kickstarter, va bientôt proposer un produit intéressant pour les amateurs de selfie : la coque Selfix. Destinée aux iPhone 17 Pro et Pro Max, elle intègre une fonction inédite pour prendre des selfies : un écran AMOLED. Contrairement aux coques qui emploient simplement un miroir, la coque reproduit en réalité ce qu'affiche l'écran principal de votre iPhone, ce qui explique qu'elle est réservée aux iPhone 17 Pro.
La coque en action. Image Selfix.
L'écran ne nécessite pas d'applications pour fonctionner, car il repose sur la sortie vidéo en USB-C de l'iPhone, qui n'est pas proposée sur les iPhone Air. Compte tenu des images, la dalle AMOLED en 480 x 480 doit probablement exposer un moniteur externe plus grand à l'iPhone, tout en n'affichant que la partie centrale. Cette solution astucieuse transforme le petit écran externe en viseur pour les photos, en ne montrant que la partie importante.
L'écran est une copie de l'écran principal. Image Selfix.
L'intérêt principal est évident : il est possible d'utiliser les capteurs placés à l'arrière de l'iPhone (48 mégapixels) au lieu du capteur frontal de 18 mégapixels. Ils sont plus efficaces que ce dernier dans certains cas, comme quand la lumière est faible, et la coque donne accès aux boutons de l'iPhone pour déclencher facilement.
Du stockage optionnel
La coque, qui sera proposée en trois couleurs (beige, rose et noir) intègre aussi un petit accessoire pratique : un lecteur de cartes microSD. Il n'est pas assez rapide1 pour enregistrer des vidéos en ProRes, qui nécessitent des SSD capables d'atteindre 220 ou 440 Mo/s en écriture, mais c'est une solution pratique pour stocker certaines informations. Attention, ce n'est pas une solution qui étend la capacité de stockage de l'iPhone au sens strict du terme, les applications doivent accepter un périphérique externe.
Image Selfix.
Toute la question vient évidemment d'un seul point : le prix. DockCase annonce qu'un financement participatif va être lancé, sans donner de tarifs pour sa coque. Compte tenu de la présence d'un écran et d'un peu d'électronique, elle devrait être a minima aux alentours de 100 €, même si les premiers participants payeront probablement moins que les autres, comme dans tous les bons financements de ce type.
L'UHS-1 permet 104 Mo/s au mieux, et les résultats dépendent des cartes. ↩︎
Après une longue attente, Disney+ se dote enfin d’une application native sur les casques Meta Quest. Disponible dès maintenant sur le Horizon Store, l’application est compatible avec les Quest 2, Quest 3 et Quest 3S L’application Disney+ sur Quest permet d’accéder à l’intégralité du catalogue 2D du service, avec la possibilité de télécharger des contenus […]
Après un coup d’arrêt inédit en 2024, le marché mondial des smartwatchs amorce un net rebond en 2025. Si l’on en croit les dernières prévisions du cabinet Counterpoint Research, les expéditions mondiales devraient progresser de 7 % sur un an d’ici la fin de 2025. Une reprise portée par une montée en gamme des produits, […]
Jamais deux sans trois. En plus des Galaxy Z Flip8 et Z Fold8, Samsung pourrait lancer un troisième smartphone à écran pliable en 2026. D’après etnews, il s’agira d’une déclinaison du Z Fold8 dont le format se rapprocherait de celui de l’hypothétique iPhone Fold.
Galaxy Z Fold7. Image Samsung.
Ce modèle surnommé « Wide Fold » s’ouvrirait toujours comme un livre, mais se distinguerait par un format plus large que haut une fois déplié. Il adopterait ainsi un ratio proche du 4:3 des iPad. Selon le média coréen, l’appareil sera doté d’un écran externe plus petit et moins allongé que celui des Z Fold actuels : 5,4", contre 6,5" pour le Z Fold7. L’écran interne mesurerait quant à lui 7,6" au lieu de 8", avec une surface donc plus large que haute.
Ces caractéristiques sont très proches de celles prêtées à l’iPhone Fold. La semaine dernière, The Information indiquait que le futur smartphone pliable d’Apple pourrait embarquer un écran externe de 5,3" et un écran interne de 7,7", avec un ratio « similaire à celui des plus grands iPad en mode paysage » et un format « plus large que haut une fois déplié ».
Le ratio 4:3 est bien adapté à la lecture de documents, à la consultation de photos ou encore à différents usages créatifs et productifs, comme la retouche d’images. En revanche, il se prête moins bien au visionnage de films, avec l’apparition de larges bandes noires en haut et en bas de l’image.
Samsung renouvelle habituellement sa gamme de smartphones pliables durant l’été. Le « Wide Fold » pourrait toutefois être lancé à l’automne, à une période qui coïnciderait avec celle évoquée pour l’iPhone Fold.
Je voudrais d'abord dire que je suis effaré et effrayé par ces attaques multiples contre la France. À ce point, il ne s'agit plus de hasard, mais de volonté de faire du mal, organisée.
Cette fois-ci c'est la Banque Postale attaquée via du DDoS, le DDoS consistant à utiliser un grand nombre d'objets connectés (IoT) comme par exemple des caméras de surveillance publique ou des routeurs Internet, pour saturer les capacités techniques de la proie. Le but étant de rendre la victime incapable de communiquer effectivement au travers d'Internet, ses serveurs saturés par des millions de requêtes.
Par exemple, au moment où j'écris ces lignes labanquepostale.com ne répond toujours plus!
La Caisse d'épargne et la Banque Populaire pourraient aussi être visées, mais semblent moins affectées.
Pendant ces fêtes de Noël et malgré l'euphorie des derniers achats, que ça soit de beaux cadeaux, de la nourriture festive ou tout ce qui se boit, je recommanderais d'avoir une excellente hygiène numérique, et de se souvenir que l'argent liquide n'a pas besoin d'Internet ou de cloud...
Si les nouveautés des AirPods Pro 3 ne vous ont pas convaincu et que vous souhaitez vous offrir l'excellente version précédente au meilleur prix, c'est certainement le moment de craquer grâce à cette promotion