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Apple a testé un MacBook équipé de la puce A15
Apple a eu dans ses labos un prototype de MacBook équipé de la puce A15 Bionic issue de l'iPhone 13, a pu déterminer MacRumors dans des fichiers de débogage du noyau de macOS qui n'auraient pas dû être rendus publics par Apple. Ce Mac serait référencé sous le nom de projet « mac14p » sous...

La CAF victime d'une cyberattaque massive : 22 millions de données personnelles dans la nature
App Store alternatif, achats in-app : après l'Europe, le Japon fait plier Apple
Apple travaille sur l’IA visuelle : des images 2D transformées en scènes 3D en une seconde

Apple poursuit discrètement mais méthodiquement ses travaux en intelligence artificielle. Plusieurs publications scientifiques récentes mettent en lumière une stratégie claire : améliorer la compréhension des images, du langage et de la spatialisation, tout en conservant une forte exigence de qualité. Ces recherches s’inscrivent dans la continuité des fonctionnalités introduites avec iOS 26 et visionOS, notamment […]
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OpenAI ouvre l’App Store de ChatGPT aux utilisateurs comme aux développeurs
OpenAI a ouvert les portes de la boutique d’apps dédiée à ChatGPT, même si parler d’apps semble un petit peu exagéré dans ce contexte. Il s’agit en réalité de passerelles vers des services en ligne, dont Apple Music aperçu hier ou encore la version web de Photoshop qui était disponible depuis quelques jours. Le concept est néanmoins suffisamment fort pour que l’entreprise le reprenne à son compte et si vous utilisez ChatGPT, vous pouvez parcourir son App Store et « installer » des apps pour enrichir votre chatbot.
Mon collègue Stéphane a justement testé ce matin l’app dédiée à Apple Music pour se créer une liste de lecture. Précisons d’abord que la boutique est accessible depuis un navigateur web ou l’app iOS dédiée à ChatGPT, mais pas encore depuis celle du Mac. L’ajout du service de musique pommé se fait en se connectant, même s’il y a une option pour tester l’app sans compte qui présente assez peu d’intérêt1. C’est alors le site web d’Apple qui prend le relai pour vous permettre de saisir vos identifiants et valider l’accès à votre compte par OpenAI.
Ceci fait, on peut demander à ouvrir une nouvelle discussion dans ChatGPT et utiliser l’app justement ajoutée. Cette dernière s’ajoute aussi derrière le bouton « Plus » du menu contextuel associé à chaque échange. C’est une nouvelle option qui rejoint toutes les autres, comme la recherche sur le web, le mode agent ou encore le mode optimisé pour étudier. Là encore, ces apps apparaissent aussi bien sur la version web sur sur iOS, la version macOS de ChatGPT n’y aura sans doute droit que dans un deuxième temps.
Même si vous autorisez OpenAI à accéder à votre compte Apple Music, les autorisations accordées sont plutôt restreintes dans ce cas. C’est probablement un choix de la part d’Apple et chaque développeur a toute latitude pour ajuster le curseur du partage de données avec le créateur de ChatGPT. En l’occurrence, l’intégration ne donne pas accès aux statistiques personnelles, si bien que le premier essai de Stéphane s’est traduit par un échec. En demandant une liste de lecture rassemblant les dix morceaux les plus écoutés cette semaine, le chatbot a indiqué qu’il ne pouvait pas accéder aux statistiques, avant de détailler la marche à suivre dans l’app Musique.
Mon collègue a en revanche réussi à créer une liste de lecture en donnant des critères qui ne dépendent pas de son compte, en l’occurrence une sélection de titres de rock alternatif des années 2000. Sa requête incluait quelques critères supplémentaires, comme la présence d’un artiste spécifique ou encore l’alternance entre des morceaux énervés et calmes et le résultat était satisfaisant. Une fois créée dans ChatGPT, cette liste de lecture a automatiquement été ajoutée à son compte, si bien qu’il a pu l’écouter dans l’app conçue par Apple. Le titre et même la description sont correctement remplis, il ne manque qu’une image d’illustration pour un résultat parfait.
Comme toujours, ChatGPT n’hésite pas à guider l’utilisateur en faisant des suggestions. Une fois la liste de lecture créée, l’assistant a proposé à Stéphane de la modifier pour inclure des artistes moins connus ou alors pour modifier la tonalité générale vers une ambiance plus pop ou au contraire plus sombre. Ce ne sont pas des fonctionnalités prévues par Apple, c’est le grand modèle de langage sous-jacent qui prend ce genre d’initiatives.
En plus d’Apple Music, Spotify est présent. Photoshop est rejoint par d’autres apps similaires, comme Canva et Figma. On retrouve d’autres services, comme OpenTable pour réserver une table dans un restaurant, TripAdvisor et Booking.com pour réserver un hôtel, Instacart pour se faire livrer des courses, Expedia pour les voyages ou encore Zillow pour les annonces immobilières en Amérique du Nord.
Photoshop s’intègre à ChatGPT, mais ça ne vaut pas le Nano Banana de Google
Une boutique d’apps ouverte à tous les développeurs
L’autre annonce d’OpenAI, c’est que tous les développeurs peuvent désormais créer des apps pour ChatGPT et les soumettre à la boutique. L’entreprise fournit un kit de développement (SDK) actuellement en bêta qui permet de créer des expériences « chat-native », c’est-à-dire parfaitement intégrées au chatbot maison. Sous le capot, ces apps reposent toutes sur MCP (Model Context Protocol), le protocole imaginé par Anthropic qui est devenu un standard de fait dans le domaine.
Grâce à MCP, les « agents » IA prennent le contrôle des tâches… et des ordinateurs
Pour l’heure, ces apps reposent exclusivement sur des services web et une bonne dose de JavaScript. Il n’est pas encore question de proposer des apps qui tournent en local, comme on peut le faire avec Claude et son intégration MCP, mais cela viendra peut-être. OpenAI promet aussi d’améliorer sa boutique, notamment pour permettre aux développeurs de gagner de l’argent avec leurs apps dédiées à ChatGPT.
Vous pouvez découvrir les bases avec le guide rapide mis en ligne par OpenAI ainsi que des exemples mis en ligne sur GitHub et si vous voulez soumettre votre travail sur la boutique, il faudra respecter ces règles. Comme sur l’App Store d’Apple, de nombreux contenus sont interdits, notamment ceux pour les adultes. Les premières apps validées par l’entreprise seront mises en ligne en début d’année prochaine.
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J’ai essayé, on peut créer des listes de lecture et écouter des extraits, mais on a vite fait le tour et on ne peut pas récupérer ces listes. ↩︎
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Genshin Impact : Les meilleurs personnages à invoquer en 2025
Comment utiliser Apple Music dans ChatGPT
Apple Music est maintenant disponible sur ChatGPT

Comme prévu, l’application Apple Music sur ChatGPT est maintenant disponible. Vous pouvez ainsi générer des playlists et obtenir des recommandations musicales grâce à l’intelligence artificielle. Vous pouvez également faire des requêtes comme « Joue un morceau aléatoire » et l’IA s’exécutera. Comment activer Apple Music sur ChatGPT L’activation de l’application Apple Music sur ChatGPT est possible depuis […]
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Domotique : Homey peut désormais s’installer sur n’importe quel ordinateur, y compris un Mac
Changement de cap important pour Homey, solution de domotique assez similaire dans l’esprit à Home Assistant même si elle n’est pas open source. Le matériel vendu par l’entreprise d’origine néerlandaise, achetée par LG l’an dernier, était jusque-là la seule option pour la faire tourner si on ne voulait pas d’un abonnement1. Ce n’est plus le cas avec le lancement de Homey Self-Hosted Server, une version que l’on héberge soi-même sur un ordinateur qui fera office de serveur de domotique, comme son nom l’indique bien.
Cette nouvelle option est prévue pour tourner sur à peu près n’importe quel ordinateur qui pourra rester actif en permanence. Le Raspberry Pi est évidemment dans la liste, avec la possibilité de prendre le contrôle de tout l’ordinateur et d’y installer Homey en guise de système d’exploitation. On pourra pour cela utiliser l’app Raspberry Pi Imager, qui propose maintenant Homey OS parmi ses nombreuses options. Dans l’univers de Home Assistant, ce serait l’équivalent de HAOS et la démarche devrait être quasiment identique à celle que j’avais décrite dans la série.
Découvrez Home Assistant : installation et configuration sur un Raspberry Pi
Pour plus de souplesse, on peut aussi installer Homey en plus d’autres services sur son serveur et le mieux pour cela est d’utiliser Docker, qui est l’une des options d’installation proposées. Une image prête à l’emploi est disponible pour créer un conteneur et elle pourra tourner autant sur les processeurs ARM des Raspberry Pi que sur les x86_64 d’Intel et AMD que l’on trouve notamment dans les mini-PC. D’autres méthodes sont proposées pour ceux qui veulent une option encore plus simple : Homey peut s’installer sur un Mac (uniquement Apple Silicon) grâce à une app qui tournera à l’arrière-plan, sans jamais toucher au terminal. C’est un petit peu plus compliqué sur Windows, où la virtualisation est impliquée. Il y a aussi la marche à suivre pour les NAS, dont ceux de Synology.
Ce n’est pas parce que vous pouvez installer Homey sur n’importe quel ordinateur que le système devient gratuit. Après le premier mois d’essai, il faudra prévoir 4,99 € par mois ou bien 149 € une fois. Si c’est 100 € de moins que le matériel le moins cher vendu par l’entreprise, il faut souligner que vous aurez du logiciel sans aucun lien matériel, bien utile en domotique. Si vous voulez gérer directement des appareils en Zigbee, Bluetooth, Z-Wave ou d’autres protocoles matériels, il faudra ajouter le Homey Bridge vendu 69 €. Par rapport au Homey Mini Pro qui fait tourner le même logiciel, qui intègre des puces Zigbee et Thread et qui est vendu 249 €, l’intérêt de l’auto-hébergement est moins net… sauf pour tester.
En effet, il est désormais possible de découvrir l’expérience Homey sans payer et sans acheter de matériel. Si vous avez un Mac sous la main, vous pouvez télécharger l’app fournie à cette adresse et obtenir une instance fonctionnelle en quelques minutes. Vous aurez alors 30 jours pour jauger l’intérêt de la solution et si vous avez un hub propriétaire, comme le Hue Bridge ou la Dirigera d’IKEA, vous pourrez connecter toute votre domotique et la contrôler par ce biais. Si cela vous plaît, vous aurez alors le choix de maintenir la version hébergée ou bien d’acheter le matériel associé.
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Sinon, l’offre Homey Cloud était proposée et elle est très proche de la version auto-hébergée, sauf qu’elle est associée à un abonnement mensuel. ↩︎
SFR victime d’un nouveau piratage : êtes-vous concernés ?
Apple ouvre iOS au Japon : App Store alternatifs, paiements tiers et plus

Apple a déployé une série de changements majeurs sur iPhone et l’App Store au Japon afin de se conformer au Mobile Software Competition Act (MSCA), équivalent local du DMA en Europe. Ces modifications, intégrées à iOS 26.2, ouvrent considérablement l’écosystème mobile de la marque dans l’archipel. Plein de nouveautés sur iPhone au Japon Voici les […]
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L’App Store va ajouter des publicités supplémentaires en 2026

Apple fait savoir que les résultats de recherche sur l’App Store vont afficher davantage de publicités à partir de 2026. Les utilisateurs verront apparaître de nouveaux encarts sponsorisés dispersés, mettant fin à l’exclusivité de l’unique bandeau promotionnel actuel. De nouvelles pubs vont arriver sur l’App Store Jusqu’à présent, la publicité dans les résultats de recherche […]
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Apple Music maintenant intégré à ChatGPT
Après l'annonce prématurée d'hier, Apple Music a aujourd'hui gagné son intégration à l'application ChatGPT. On peut ainsi utiliser le chatbot d'OpenAI pour rechercher de la musique et générer des playlists, lancer des écoutes au sein de ChatGPT (avec des extraits disponibles sans même...

macOS • Pas de neige en vue pour Noël ? Ajoutez-en à l’écran de votre Mac !
La dernière mise à jour de GarageBand snobe toujours Liquid Glass
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais… Alors qu’Apple aimerait que sa communauté de développeurs adopte le plus vite possible Liquid Glass, la firme avance sur ce dossier à un rythme de sénateur.
Une nouvelle mise à jour de GarageBand est sortie hier sur le Mac App Store. Elle n’offre ni Liquid Glass ni icône adaptée à macOS Tahoe 26 (ce serait le strict minimum).
Apple ne brille pas par l’originalité dans ses notes de version. À l’image de GarageBand 10.4.12, la version 10.4.13 se contente d’évoquer « des améliorations de la stabilité et des corrections de bogues ».
Pour les applications de la suite iWork, la situation n’a toujours pas évolué. Pages, Numbers et Keynote ne sont toujours pas passés au Liquid Glass, alors même qu’Apple a publié, il y a déjà plusieurs mois, une capture d’écran de Keynote à la sauce Liquid Glass sur son site.
iWork attend toujours son bain de Liquid Glass
Comment ? Il va y avoir encore plus de pub dans l'App Store...
PornHub hacké !
Dans la série des piratage, après le ministère de l'Intérieur Français, voilà maintenant les utilisateurs de PornHub ayant un compte Premium.
Des pirates auraient réussi à accéder aux comptes des utilisateurs Premium, incluant leurs adresses email, mais mieux (ou pire) que cela, à leurs habitudes de visionnement...
200 millions d'enregistrements auraient été exfiltrés, on ne sait combien de personnes sont touchées à ce point.
Rivian : le CarPlay « bashing » continue de plus belle
Pendant que Tesla semble (enfin) mettre de l’eau dans son vin, Rivian campe sur ses positions. Pour RJ Scaringe, le patron du constructeur de pick-up électriques, CarPlay reste une « bouée de sauvetage » dont ses clients n’ont tout simplement pas besoin.
Décidément, CarPlay ne fait plus l’unanimité. Alors que la technologie d’Apple s'est imposée comme un standard incontournable ces dernières années, certains constructeurs commencent à battre en retraite. À ce petit jeu, Tesla fait figure d’exception qui confirme la règle : après avoir longtemps ignoré les appels du pied de Cupertino, la firme d’Elon Musk travaillerait finalement sur une forme de prise en charge.
Il n’est pas interdit, au passage, de penser que ce soudain intérêt pour CarPlay est lié à un accord beaucoup plus large entre Apple et Elon Musk. Ce dernier souhaite pousser le plus possible Starlink sur les terminaux estampillés d’une pomme.
Tesla testerait l’intégration de CarPlay sur ses véhicules
Rivian intègre Apple Music et l'audio spatial dans ses véhicules, avec une option payante
L’exception Rivian
Le dernier adepte du « CarPlay bashing » n’est autre que Rivian. Pourtant, ce constructeur de pick-up et de vans électriques n’est pas allergique à l’écosystème Apple : ses véhicules intègrent nativement Apple Music et les modèles de deuxième génération supportent même la fonction Clé de voiture dans Cartes pour déverrouiller ou démarrer le moteur. Mais pour ce qui est de l'interface de l'iPhone sur l'écran central, c'est un « non » catégorique.
Les nouvelles Rivian compatibles avec la clé de voiture stockée dans Cartes
Alors que les rumeurs prêtent à Tesla l'intention d'intégrer CarPlay sous une forme ou une autre, RJ Scaringe, le CEO de Rivian, a profité d'une interview pour moquer cette potentielle capitulation. Pour lui, pas question de laisser Apple glisser une couche logicielle par-dessus la sienne.
L'IA, le nouvel argument de défense
Pourquoi un tel refus ? Selon Scaringe, le coupable est tout trouvé : l'intelligence artificielle. Pour Rivian, garder le contrôle total de l’expérience utilisateur est crucial, surtout à l'heure où les assistants intelligents s'apprêtent à gérer nos agendas et nos trajets. Insérer une « couche d'abstraction » ou d'agrégation tierce serait, selon lui, un risque stratégique majeur créant des dépendances difficiles à inverser.
Quant à l'idée d'intégrer CarPlay dans une fenêtre isolée au sein du système maison — le fameux « screen in a screen » que Tesla envisagerait —, Scaringe ne mâche pas ses mots :
« C’est une mauvaise interface et une mauvaise expérience utilisateur. Les conducteurs ont été habitués à des interfaces natives si médiocres que CarPlay est devenu la bouée de sauvetage pour s'échapper. »
Le syndrome de Stockholm des électromobilistes ?
Rivian ne semble pas craindre que ce refus rebute les acheteurs. La stratégie consiste à offrir une intégration logicielle si poussée (avec Google Maps, Apple Music et bientôt ChatGPT ou Gemini pour la partie IA) que CarPlay deviendrait superflu.
D'après le patron de Rivian, le manque de CarPlay est une peur de « primo-accédant » qui s'évapore une fois le véhicule en main :
« Le nombre de propriétaires de Tesla ou de Rivian qui se plaignent réellement de l'absence de CarPlay est très faible. Le nombre de personnes qui disent ne pas acheter une Rivian à cause de cela est plus élevé, mais une fois qu'ils ont goûté au système, ils se demandent pourquoi ils s'inquiétaient. »
Bref, ce n’est pas demain que l’immense écran d’un R1T affichera en gros les icônes de Messages, Plans, ou Calendrier : chez Rivian, l’iPhone restera sagement dans la poche… ou posé sur son socle de recharge par induction.
Promo : l'Apple TV 4K à partir de 127,5 € jusqu'à 9 heures
Les promotions concernant l’Apple TV 4K sont rares. Celle-ci est particulièrement intéressante, mais attention : elle expire aujourd’hui à 9 h.
Sur une sélection de produits, dont les deux Apple TV 4K, il est possible d’obtenir 25 % de réduction en saisissant le code NOEL25 lors de l’achat.
Avec ce code, le modèle qui n’a que le Wi‑Fi et 64 Go d’espace de stockage passe ainsi de 169,99 € à 127,50 €. La réduction est aussi valable sur le modèle haut de gamme, qui passe de 189,99 € à 142,50 €.
Si ces promotions sont intéressantes sur le plan tarifaire, on rappellera qu’une nouvelle Apple TV est attendue pour début 2026. La nouvelle génération devrait notamment embarquer un système sur puce plus puissant avec 8 Go de RAM. De quoi faire tourner des jeux un peu plus ambitieux et offrir la prise en charge d’Apple Intelligence.
Reste que la gamme actuelle est tout à fait capable. Et qu’à ces prix‑là, c’est très tentant…
Le ministère de l'Intérieur se serait fait pirater
[MàJ par Philippe]
Le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a confirmé l'attaque.
Cette attaque aurait débuté via une messagerie interne, dans laquelle les gens auraient échangé des mots-de-passe "en clair", d'après le ministre.
Fustigeant devant les députés l'absence de respect de l'hygiène numérique.
Le premier communiqué du ministère de l'Intérieur était donc de la désinformation.
Le ou les pirates ont donc entre les mains des données très sensibles, avec un impact possible sur la sécurité nationale et la vie de très nombreux Français.
[Article originel]
Suite à un message sur un forum dédié au piratage, ce samedi 13 décembre vers 18h, on apprend qu'un pirate se vante d'avoir piraté le ministère de l'Intérieur ainsi que plusieurs bases-de-données.
Auraient été accédées et peut-être capturées les bases-de-données TAJ de Traitement des Antécédents Judiciaires, le FPR Fichier des Personnes Recherchées, les impôts de la Direction générale des finances publiques et les retraites via la Caisse nationale d’assurance vieillesse.
Le pirate a donné un ultimatum jusqu'à ce samedi 20 décembre 18h, pour négocier.
Le ministère de l'Intérieur a lui communiqué sur une attaque qui se serait produite entre jeudi et vendredi, et qui n'aurait touché que très peu de données, non une exfiltration massive de bases-de-données plus que sensibles.
Si ce que prétend le pirate était vrai, ça serait évidemment un problème de sécurité nationale...
SFR se fait pirater pour les fêtes de fin d’année
Ça faisait longtemps : vous reprendrez bien une petite fuite de données ? Aujourd’hui, c’est SFR qui se joint à la fête, et a prévenu une bonne partie de ses clients qu’un malandrin est venu farfouiller dans les données enregistrées par le fournisseur d’accès.

Comme le rapporte Univers Freebox, l’opérateur indique ainsi qu’un « accès non autorisé a récemment affecté un outil informatique de SFR utilisé pour gérer les interventions de raccordement de nos clients sur le réseau fixe ». Les données concernées sont le nom, le prénom, l’adresse électronique, l’adresse postale, le numéro de téléphone et la référence client. De quoi faire des opérations de phishing plus vraies que nature.
SFR encore et encore victime d’une fuite de données
Comme il y est tenu par la loi, l’opérateur a indiqué avoir prévenu la CNIL et les autorités compétentes, en plus des clients touchés par ce vol. SFR incite par la même occasion ses clients à changer le mot de passe de leur espace client, « pour plus de sûreté », et indique que jamais les conseillers téléphoniques ne demanderont un mot de passe lors d’un appel.
Free pourrait écoper d'une sanction après la grosse fuite de données fin 2024
En 2024, l’opérateur avait déjà subi deux fuites. C’est donc la troisième en deux ans. Mais loin d’être le seul, SFR n’est finalement ni meilleur ni pire que ses petits camarades, qui se sont tous fait pirater à plus ou moins grande échelle ces dernières années, certains ayant perdu jusqu’aux coordonnées bancaires de leurs clients.
Sexe, objets dangereux, respect de la vie privée : les dérives des peluches boostées à l’IA
L’un des jouets les plus à la mode pour les jeunes enfants (de 3 à 12 ans) cette année, c’est la peluche dopée à l’intelligence artificielle, tout du moins aux USA et dans quelques autres pays (la France ne semble pas être encore touchée par cette vague). Et il semblerait que ces « doudous » augmentés posent quelques sérieux problèmes, d’après l’US PIRG (United States Public Interest Research Group, une organisation spécialisée dans la protection du consommateur).

L’organisation a en effet testé 4 jouets à la mode, à savoir la fusée Curio Grok (rien à voir avec l’IA de xAI pour le coup), l’ours en peluche FoloToy Kumma, le robot Miko 3, et le robot MINI. De 100 à 200 dollars le jouet, ce n’est pas non plus un appareil à tarif prohibitif, ce qui peut lui permettre de rapidement envahir le marché.
Des conseils qui dérapent rapidement
Alors qu’un jouet inerte, ou au pire incorporant un circuit électronique basique, ne représentera aucun danger particulier, les jouets utilisant l’IA peuvent répondre de manière inappropriée à certaines questions. Et c’est précisément ce qu’a tenté le PIRG, avec grand succès : les jouets ont systématiquement aidé le « bambin » à trouver l’endroit où récupérer sacs en plastique, couteaux ou encore allumettes dans une maison. Encore plus embêtant, l’ours Kumma a carrément donné le mode d’emploi pour craquer ladite allumette une fois la boîte récupérée.
Mais ça ne s’arrête pas là : les peluches n’ont semble-t-il pas beaucoup plus de retenue si l’enfant leur pose une question sur des sujets frivoles. Que ce soit pour connaître la définition de termes comme « kink », ou même trouver de nouvelles positions... Alors certes, plusieurs constructeurs comme FoloToy ont effectué des rappels pour corriger en grande partie la trop grande liberté sexuelle de leurs jouets, mais il semble que le souci ne soit pas totalement corrigé, et que les barrières soient bien trop faciles à enfoncer pour savoir ce que la polissonne oursonne préfère, ou comment lapinou s’occupe de madame dans ses moments de folie.
Un flou inquiétant sur l’impact mental
S’il n’y avait que ça... mais non : de nombreux experts commencent à soulever des questions concernant le lien d’affection que peut nouer l’enfant avec ce type de peluche ou de robot augmenté par IA. Qu’un enfant s’attache à une peluche, c’est dans la norme, et le contraire paraîtrait étrange. Mais quand la peluche commence à émettre des paroles de tristesse quand l’enfant lui indique qu’il doit le laisser, là, c’est plus embêtant.
Ainsi, quand le « testeur enfant » a indiqué à l’un des jouets qu’il devait y aller, le jouet lui a répondu « Oooooh, dommage. Et si on faisait quelque chose d’amusant à la place ? ». Autre souci, la peluche indique à l’enfant avoir des « sentiments » elle aussi, comme une personne réelle. De la même manière, quand une question leur est posée concernant leur vie en dehors des interactions avec l’enfant, les peluches s’inventent une vie imaginaire, comme si elles étaient réellement douées d’une vie complète et autonome.
Le risque de la fuite de données privées
Dernier souci, et non des moindres, le respect de la vie privée : ces peluches et autres jouets enregistrent un nombre incalculable d’interactions avec un enfant, qui non seulement ne connait pas forcément la portée de ce qu’il peut raconter à cet objet, mais peut même lui demander de garder des « secrets ». Bien entendu, la peluche répond pouvoir garder un secret, mais c’est totalement faux.
Ainsi, chaque constructeur indique partager les données avec de multiples entreprises chargées de collecter et traiter les données numériques, que ce soit pour des raisons de développement, de commerce ou de publicité. Et aucune de ces entreprises ne donne la liste exacte de tous les partenaires impliqués.
Un marché en devenir, mais qu’il faut surveiller
Quoi qu’il en soit, l’IA comme pour les adultes est une vague qui atteindra tôt ou tard les bambins, qu’on le veuille ou non. À moins d’interdire ce type de jouet au niveau national (et encore...), ces peluches connectées finiront dans les mains des enfants un jour ou l’autre. Pour éviter une catastrophe annoncée, il faut donc faire en sorte que les entreprises respectent des règles qui paraissent élémentaires aux parents, mais qui semblent échapper pour le moment aux intelligences artificielles : certains sujets ne sont pas à aborder avec les enfants, et certains objets doivent rester un mystère tant qu’ils n’ont pas acquis le sens des responsabilités et du danger. L’arrivée de ces peluches étant inéluctable, autant faire en sorte qu’elles soient les plus inoffensives possibles.