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Apple veut mettre fin à la plainte de Fintiv pour Apple Pay

Accusé de racket par la société Fintiv pour un prétendu vol de technologie en lien avec Apple Pay, Apple a demandé à un juge fédéral de rejeter l’affaire. La société de Tim Cook soutient que cette nouvelle plainte n’est qu’une manœuvre pour contourner une précédente décision de justice défavorable et demande, à défaut, son transfert […]
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Une Apple Watch Ultra 2 à moins de 600 € sur Amazon.it
L’Apple Watch Ultra est en promotion à seulement 599 € sur Amazon Italie en ce moment. C’est le prix le plus bas à ce jour pour cette montre. Le tarif passe même à 594,30 € lors de la commande du fait des différences de taxe et des frais de livraison vers la France. Vous pouvez passer commande avec votre compte Amazon français.
La seule contrainte de cette très bonne offre, c’est que vous n’avez pas le choix du modèle : seul le boîtier en Titane naturel avec un bracelet Boucle Alpine dans le coloris Sahara, taille S, est disponible à ce prix record. Attention, il ne reste plus que quelques exemplaires, donc il faut commander vite si vous êtes intéressé.

L’Apple Watch Ultra 2 a le grand avantage d’avoir une bonne autonomie, enfin une autonomie meilleure que les autres Apple Watch en tout cas. Elle bénéficie aussi d’un boîtier résistant, d’un grand écran, de la prise en charge des réseaux cellulaires et de plusieurs fonctions avancées qui parleront aux aventuriers en herbe (compatibilité avec la plongée, GPS double fréquence, sirène…). En comparaison, la montre est vendue 789 € minimum sur Amazon France.
Deux ans après sa sortie, que vaut l'Apple Watch Ultra 2 par rapport à la concurrence ?
La capitalisation boursière d'Apple atteint 4 000 milliards de dollars
L'action AAPL s'approche de 270 dollars ce soir et la capitalisation boursière d'Apple vient pour la première fois de dépasser la barre des 4 billions de dollars (soit 4 000 milliards). Le troisième billion avait été atteint le 3 janvier 2022, le deuxième le 19 août 2020, le premier le 2...

Ces escroqueries d’Halloween font des ravages en ligne
Sound Blaster Re:Imagine : Creative revient avec un hub audio modulaire
Tim Cook présent à Tokyo pour rencontrer Donald Trump et des dirigeants

Le patron d’Apple, Tim Cook, a rejoint le président américain Donald Trump et d’autres figures majeures de la tech pour un dîner privé à Tokyo. L’objectif de cette rencontre au sommet était de promouvoir les investissements japonais aux États-Unis dans le cadre d’un vaste accord économique. Tim Cook et Donald Trump à nouveau ensemble Le […]
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Adobe MAX 2025 : une avalanche de nouveautés pour faire avaler la hausse du Creative Cloud
Vous vous demandez pourquoi votre abonnement au Creative Cloud coûte plus cher qu’il y a un an ? Adobe tente de justifier la douloureuse en sortant un feu d’artifice de nouveautés pour ses logiciels. Comme d’habitude, les technologies d’IA génératives occupent une place majeure lors de la conférence Adobe MAX 2025 qui vient de débuter.

Firefly, tout feu tout flamme
Firefly, le studio de création d’images et de vidéos, sait désormais tout faire, ou presque. On peut générer des bandes-son (utilisables à des fins commerciales si besoin) et des voix off, histoire de produire des vidéos complètes, et plus seulement des films muets. Dans la même veine, Adobe y ajoute un outil de montage maison, encore en bêta privée.


Firefly, c’est aussi le nom d’un modèle d’IA. Sa cinquième version, qui est au stade de la preview, est capable de générer des images photoréalistes de 4 mégapixels. À l’instar du modèle Nano Banana de Google, Firefly Image Model 5 est aussi capable de réaliser des montages précis. Concrètement, on peut lui demander de retoucher un élément particulièrement d’une image, et il le fera sans toucher au reste. C’est une compétence que les modèles d’IA n’ont pas encore tous.
En parlant de modèles, Firefly (le studio) accueille des technologies supplémentaires venant de Google, OpenAI, Luma AI ou encore Runway. Certains modèles sont gratuits, d’autres payants. Adobe propose plusieurs formules Firefly à partir de 11 €/mois pour lever des limites. Jusqu’au 1er décembre, les clients Creative Cloud Pro et à l’offre Firefly peuvent profiter d’un nombre illimité de générations d’images avec tous les modèles Firefly et partenaires.
Photoshop : l’assistant s’installe
Même si Firefly étend ses capacités d’année en année, Photoshop n’a pas dit son dernier mot. Le logiciel phare d’Adobe se dote d’un… Assistant IA. On peut demander à ce robot conversationnel d’effectuer des tâches de création, de donner des conseils des conseils ou encore de fournir des tutoriels. Il est pour l’instant réservé à la version web de Photoshop — oui, il y a une web app depuis quelques années.

Outre cet agent, Photoshop autorise maintenant des remplissages génératifs précis grâce à de nouveaux modèles d’IA (Gemini 2.5 Flash Image, Black Forest Labs FLUX.1 Kontext…). L’application accueille aussi la technologie renommée de Topaz Labs pour faire des agrandissement génératifs, c’est-à-dire pour transformer des images basse résolution en versions haute définition de bonne qualité. À cela s’ajoute la fonction Harmoniser, un outil de compositing qui intègre des éléments dans les scènes de manière réaliste en réglant automatiquement l’éclairage, les couleurs et la tonalité.
Lightroom ne prend pas la poussière
Grosse mise à jour aussi pour Lightroom. L’application professionnelle de photographie gagne un outil de tri assisté, qui permet d’identifier rapidement les meilleures images dans de vastes collections de photos. Il comprend des options de filtrage en fonction de l’angle, de la mise au point et du degré de netteté. Toujours en matière de tri, l’application gagne une fonction d’empilage automatique de clichés qui rappellera des souvenirs aux utilisateurs d’Aperture.

Comme à chaque fois, on a droit à des améliorations de performances, en l’occurrence concernant les d’aperçus d’images en survolant les Paramètres prédéfinis, l’Historique et les Instantanés. Mais ce qui va vraiment faire gagner du temps, c’est l’outil de détection et de suppression automatique de la poussière. On ne parle pas de la poussière présente sur les objets pris en photo, mais de celle qui se pose parfois parfois sur le capteur ou l’objectif. Plus besoin de multiplier les coups de gomme pour effacer les impuretés. Nous n’avons pas encore pu tester cette nouveauté, car l’application Creative Cloud pédale dans la semoule actuellement et empêche de mettre à jour Lightroom.
Et plein d’autres nouveautés
Les autres logiciels du Creative Cloud profitent aussi de leur lot d’améliorations : InDesign dispose d’une conversion automatisée de PDF, Illustrator gère mieux les couleurs et les flux de travail complexes sur les plans de travail multiples, etc. Au total, Adobe annonce plus de 100 nouveautés.
L’abonnement « Tout Creative Cloud », qui regroupe plus de 20 logiciels, est passé dernièrement de 67,01 €/mois à 78,65 €/mois avec engagement d’un an. Pour faire passer la pilule, Adobe l’a rebaptisé « Creative Cloud Pro ». Pas sûr que ça console grand monde. Sinon, l’éditeur propose toujours plusieurs formules plus ciblées, avec des packs d’apps ou des applications à l’unité.
Insta360 X4 Air : la 8K 360 devient plus légère et (un peu) moins chère
Apple rejoint le clan des entreprises valorisées à 4 billions de dollars, notamment grâce aux services
Apple a brièvement franchi la barre des 4 billions de dollars de valorisation boursière lors de l’ouverture des marchés financiers américains il y a quelques heures. Le cours d’AAPL est redescendu depuis, si bien que la firme de Tim Cook est repassée sous cette barrière hautement symbolique, tout en restant dans le club hyper sélect des entreprises qui valent au moins 4 000 milliards de dollars. Elle a rejoint Nvidia, qui a ouvert le club au cours de l’été et Microsoft qui l’a rejoint peu après, même si le créateur de Clippy s’est ensuite stabilisé autour des 3,9 billions (avant de remonter ce matin au-dessus des 4) alors que celui des cartes graphiques est en bonne voie pour franchir le seuil des 5.
On s’attendait à ce qu’Apple atteigne les quatre billions de dollars de valorisation boursière. L’entreprise a dépassé les trois au début de l’année 2022, la barrière des deux remontait à l’été 2020 et le premier mille milliards de dollars avait été atteint en août 2018. La croissance se poursuivant, on pouvait imaginer que l’étape suivante soit franchie en début de cette année et le fait qu’on ait attendu quasiment Halloween est presque inquiétant (du moins si on est actionnaire, ce qui n’est hélas pas le cas de l’auteur de ces lignes).
Apple devrait atteindre une valorisation de 4 billions de dollars début 2025
Le décalage pourrait être lié à l’intelligence artificielle générative, un domaine qu’Apple n’a pas très bien géré jusque-là, alors qu’il fait la fortune de Microsoft et plus encore de Nvidia. Le vendeur de pelles de cette nouvelle ruée vers l’or est gagnant quoi qu’il arrive grâce à ses cartes graphiques que tout le monde s’arrache depuis des années et pour l’heure, sa croissance semble inexorable. En tout cas, sa valorisation boursière dépasse les 4,7 billions de dollars en ce moment et on s’attend à ce qu’elle batte le record suivant dès 2026.
Alors qu’Apple avait battu les trois premiers records, elle semble quoi qu’il en soit bel et bien avoir cédé sa place au profit de Nvidia. La Pomme doit principalement sa place sur le podium grâce à l’iPhone, qui reste son plus gros moteur. Les bons résultats des iPhone 17, surtout sur le haut de gamme, ont donné des ailes à l’action et c’est largement ce qui justifie le seuil qu’AAPL vient de franchir.
Quand l’iPhone va, tout va : Apple retrouve des sommets en bourse
Comme le relève MacRumors, aucune autre entreprise n’est proche des quatre mille milliards de dollars de valorisation boursière pour le moment. Google (enfin, Alphabet), qui cartonne pourtant dans le monde des IA, est loin derrière avec 3,25 billions, Amazon n’est même pas dans le rétroviseur avec ses 2,42 billions et ne parlons pas de Meta qui se traine sous la barre des deux.
Les services pourraient dépasser les 100 milliards en 2025
Même si l’iPhone reste le moteur principal d’Apple, la croissance vient aussi en grande partie des services, une tendance ancienne qui se confirme au fil des années. La preuve, cette division pourrait dépasser les 100 milliards de chiffre d’affaires sur l’année 2025, d’après le Financial Times. Nos confrères citent les chiffres d’un cabinet d’analyse qui estime que les revenus liés aux services pourraient monter à 108,6 milliards de dollars à la fin de l’année, une hausse de 13 % par rapport à 2024.
Ce serait la première fois que les services surpassent cet autre seuil symbolique. Comme le site le souligne, les revenus de cette seule division d’Apple seraient alors plus gros que ceux d’entreprises entières comme Disney, Tesla ou le chinois Tencent. Voilà qui donne une bonne idée de l’importance des services pour le concepteur de l’iPhone. Si les estimations sont justes, les services pourraient représenter un quart du chiffre d’affaires total d’Apple, mais quasiment la moitié de ses bénéfices.
Un essor incroyable, même si cette croissance pourrait être menacée dans les prochaines années. Non pas à cause des services vraiment gérés par Apple, que ce soit du côté du streaming, du stockage en ligne avec iCloud ou encore des jeux vidéo ou du sport, qui sont tous assez insignifiants en réalité. Cette branche s’enrichit surtout grâce aux revenus liés à l’App Store et ceux-là sont attaqués par le DMA européen et d’autres mouvements juridiques similaires ailleurs dans le monde. Son accord avec Google pour le moteur de recherche par défaut est un autre apport majeur, et si les derniers rebondissements judiciaires vont en faveur de son maintien, cela reste une dépendance potentiellement problématique.
Apple préserve sa manne : le pacte Safari–Google à 20 milliards de dollars est maintenu
Apple présentera cette semaine ses résultats financiers pour le quatrième trimestre fiscal 2025. Ce sera le jeudi 30 octobre et vous pouvez naturellement compter sur nous pour les analyser. On suivra en particulier de près l’évolution de la division des services.
La Melt Mouse veut prendre la relève de la Magic Mouse grâce à sa surface tactile ultra-personnalisable
Cela fait de nombreuses années qu’Apple n’a pas mis à jour sa Magic Mouse, qui n’a pas gagné de nouvelles fonctionnalités depuis sa première génération en 2009. Un groupe d’ingénieurs japonais s’est mis en tête de corriger le tir avec la Melt Mouse, un mulot reprenant l’esthétique épurée d’Apple en y ajoutant de nombreux éléments personnalisables. Le projet est actuellement en phase de financement sur Kickstarter.

L’idée reste de proposer une souris à la surface principale en verre et au corps en aluminium. La partie basse pourra accueillir des « MagSole » permettant de la personnaliser, à savoir des parties en plastique translucide qui ne sont pas sans rappeler l’iMac G3. Deux boutons sont situés sur la tranche afin par exemple d’avancer ou de reculer d’une page dans un PDF.
L’intérêt principal vient de sa surface en verre, multi-touch et pouvant afficher 12 points lumineux. On pourra ainsi y effectuer tout un tas de gestes, sachant que l’accessoire peut reconnaître la position des doigts pour des raccourcis personnalisés. Les boutons ne sont pas physiques mais haptiques. On nous promet quelque chose d’ultra-ajustable, que ce soit dans le défilement de la molette comme de la profondeur du clic.

L’accessoire se connecte en Bluetooth comme en filaire grâce à un port USB-C inclus qui n’empêche pas de s’en servir. La batterie devrait durer entre 2 semaines et 1 mois selon l'utilisation. À la manière de produits Logitech, un bouton pour rapidement alterner entre 3 appareils est prévu sous l’accessoire.
Quelques particularités sont à noter. On pourra alterner entre plusieurs modes, par exemple pour transformer sa souris en pavé numérique ou en trackpad d’appoint. Un logiciel est inclus pour personnaliser tout cela, et on pourra créer des profils pour ses différentes apps. L’utilitaire sera disponible sur Windows et macOS. Le produit semble déjà bien avancé, les créateurs ayant publié des vidéos montrant comment utiliser différents raccourcis (clic de la molette, défilement…).
La page Kickstarter est en ligne, avec un planning annonçant une expédition pour le troisième trimestre 2026. Le tarif n’est pas donné : 36 000 ¥, soit un peu plus de 200 € avec l’offre Early Bird. S’ajoute une vingtaine d’euros de frais de livraison vers la France. L’objectif initial de 32 824 $ a largement été atteint, le compteur ayant dépassé les 145 000 $ alors qu’il reste 18 jours avant la fin de la campagne.
Tim Cook et Donald Trump : que cache ce dîner privilégié à Tokyo ?
Bon anniversaire à Bill Gates, l’homme qui a sauvé et combattu Apple !
Samsung ajoute de la publicité sur l'écran de ses frigos connectés
Mise à jour le 28 octobre à 17 h : Samsung a commencé à afficher des pubs sur certains frigos. Les réclames n’apparaissent pour le moment qu’aux États-Unis et prennent la forme d’un nouveau widget sur les modèles 21 et 32". Un quart de l’espace est dédié à de la publicité… ce qui passe mal auprès des clients ayant déboursé dans les 2 000 $ pour un frigo.

Samsung se contente pour l’instant de promouvoir ses propres produits comme des filtres à eau ou des services, mais l’entreprise vise à s’ouvrir à d’autres marques sur le long terme. Les réclames peuvent être désactivées, ce qui supprime au passage le widget et ses différentes informations (calendrier, météo…).
Article original : Dans la longue liste des objets connectés raillés par les personnes qui trouvent ça ridicule, les réfrigérateurs sont en bonne place. Et Samsung vient d'avoir une idée qui ne va pas améliorer la perception de ces derniers : la dernière mise à jour en date, au moins aux États-Unis, ajoute de la publicité sur l'écran.

Le loup a été levé sur Reddit, et une vidéo sur Instagram montre la liste des nouveautés de cette mise à jour Smart Forward. Elle indique ceci « To enhance our service and offer additional content to users, advertisements will be displayed on the Cover Screen for the Weather, Color, and Daily Board themes. The Cover Screen for the Art and Gallery themes will not display advertisements. », soit « Pour améliorer notre service et offrir du contenu supplémentaire aux utilisateurs, des publicités seront affichées (…) ». En clair, Samsung, la petite entreprise dans le besoin, doit afficher des publicités sur des appareils vendus plusieurs milliers d'euros pour continuer à les prendre en charge. C'est un peu sarcastique, évidemment, mais le mouvement semble passer assez mal auprès des utilisateurs.
Ce changement n'est pas totalement une surprise : en mai 2025, des rumeurs indiquaient déjà que Samsung travaillait sur ce sujet. Enfin, la liste des nouveautés de la mise à jour indique que Google Photo ne sera plus disponible, que le flux d'actualité « Morning Brief » ne sera plus mis à jour et que la reconnaissance automatisée des aliments présents dans le réfrigérateur va être arrêtée. Heureusement, la possibilité de voir l'intérieur de l'appareil via la caméra intégrée sur l'écran d'accueil reste possible.
Apple fait appel après sa condamnation face aux opérateurs français et les contrats d’iPhone

Apple a réagi à sa condamnation de 48 millions d’euros concernant l’iPhone et les contrats avec les opérateurs français. Le fabricant annonce fait appel. Apple fait appel après une décision d’un tribunal français Dans une déclaration envoyée à plusieurs médias, un porte-parole d’Apple a indiqué : Nous contestons cette décision, qui concerne une affaire remontant à […]
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Toyota affiche les arrêts recharge de ses voitures électriques dans Plans, au moins en Amérique du Nord
Toyota s’est ajouté au cercle très fermé de constructeurs automobiles qui gèrent l’une des fonctionnalité peu connue de Plans d’Apple : la gestion des arrêts recharge. Toutes les voitures entièrement électriques du constructeur japonais qui sont sorties à partir de 2023 pourront désormais s’intégrer à Plans via CarPlay et insérer les arrêts nécessaires pour charger la batterie lors du calcul d’un itinéraire. Cela concerne uniquement la bz4X, premier véhicule exclusivement électrique du géant de l’automobile, même si on peut imaginer que les modèles suivants en bénéficieront eux aussi.
Plans peut tenir compte des arrêts pour la charge des voitures électriques depuis… 2020. Cinq ans après, il n’y a qu’une poignée de véhicules qui gèrent la fonctionnalité et seulement chez trois constructeurs : Ford a été un pionnier avec la Mustang Mach-e puis le camion F-150 Lightning, tandis que Porsche avait suivi en 2023 pour sa Taycan. Apple avait annoncé à l’origine un autre partenariat avec BMW, sauf que le constructeur bavarois ne l’a jamais mis en œuvre, sauf erreur de notre part.
Apple Plans : la Porsche Taycan profite des itinéraires optimisés pour les voitures électriques
Un troisième véhicule électrique va bénéficier des itinéraires avec les recharges dans Plans
Les fabricants ne se précipitent pas sur cette fonctionnalité, qui est pourtant bien pratique quand on conduit une voiture électrique. Grâce à elle, on peut utiliser Plans et bénéficier d’un planificateur d’itinéraire qui tient compte de la charge, alors qu’il faut normalement exploiter le GPS du véhicule pour savoir quand et où s’arrêter sur un trajet. Pour que cela fonctionne, la voiture communique en temps réel son état à Plans, à savoir son niveau de batterie et l’autonomie estimée restante. L’app de cartographie d’Apple connaît également le type de connecteur présent dans la voiture pour la charge et peut ainsi filtrer les bornes en fonction de ce critère.
Cette possibilité est encore très rare, la bz4X n’étant que la quatrième voiture à la proposer et les autres constructeurs ne semblant pas particulièrement motivés pour la proposer à leurs clients. Pour ne rien arranger, l’annonce concerne le marché nord-américain et on ne sait pas si les voitures électriques vendues par Toyota en Europe sont concernées. J’ai posé la question au constructeur et je mettrai à jour cet article si j’ai une réponse. D’ici là, si vous roulez en bz4X, n’hésitez pas à tester et à nous dire ce qu’il en est dans les commentaires.
Retirer la batterie gonflée d'un Magic Keyboard, pour continuer à l'utiliser avec un câble
Il y a quelques jours, nous vous parlions d'un Magic Keyboard de la rédaction, dont la batterie avait gonflé, au point de déformer la coque du clavier. Après avoir vu les images de mes collègues, j'ai eu l'idée de vérifier l'état de mon clavier, lui aussi branché dans un coin à un Mac mini. Et bien m'en a pris : la batterie avait aussi gonflé et déformé le clavier, de façon moins spectaculaire.

Les batteries qui gonflent, cela n’arrive pas qu’aux autres
Étant donné que le clavier était branché en permanence au Mac, je me suis demandé s'il serait capable de fonctionner sans sa batterie, et j'ai donc décidé de débrancher cette dernière pour le vérifier. Avant les quelques photos, commençons par un avertissement : prenez des précautions. Nous vous conseillons de préparer un seau rempli de sable ou un récipient en métal assez grand pour recevoir la batterie en cas de combustion. Pour démonter le clavier, nous avons suivi le démontage d'iFixit, publié à la sortie du clavier en 2015, mais sans utiliser d'outils pour chauffer le clavier, ni de lames. Deux précautions importantes dans le cas d'une batterie gonflée : si vous percez l'enveloppe de la batterie, les risques d'emballement thermique sont bien réels. C'est la raison pour laquelle nous vous conseillons un récipient en métal dans lequel vous pourrez placer la batterie le cas échéant, pour éviter un incendie. Dans tous les cas, nous vous déconseillons de vous lancer si vous n'êtes pas équipés pour éviter les problèmes, et nous déclinons toutes responsabilités : le démontage de ce clavier est à vos risques et périls.



À ce stade, j'ai pu répondre à la question initiale : le clavier fonctionne sans sa batterie. Une fois relié à un Mac (ou un iPad) avec un câble Lightning, il est parfaitement fonctionnel, même sans sa batterie. Il est même possible techniquement de le faire fonctionner sans fil dans une certaine mesure, s'il est alimenté en Lightning à travers un adaptateur secteur USB.


Une fois la batterie décollée et recyclée, nous avons simplement remis la plaque collée en place et (re)branché le clavier au Mac mini.
Les Services d'Apple rapportent plus que Tesla ou Walt Disney !
iPhone 18 : Apple simplifierait le bouton de commande de la caméra

Apple va revoir le design du bouton de commande de la caméra de l’iPhone 18 afin de réduire ses coûts de production, selon des informations du leaker Instant Digital sur Weibo. Ce changement n’implique pas de perte de fonctionnalités, mais marque une évolution technique visant à rationaliser la fabrication avant une refonte plus large de […]
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Moonlock, le nouvel anti-virus pour le Mac conçu par MacPaw
Faut-il un antivirus sur Mac ? La question revient régulièrement. Ce qui est certain, c’est que le succès croissant du Mac — notamment dans le monde de l’entreprise — pousse les éditeurs de sécurité à s’intéresser davantage à notre plateforme.
Faut-il vraiment installer un antivirus sur Mac ?
Dernier venu sur le marché : MacPaw, connu pour CleanMyMac, présente une nouvelle solution baptisée Moonlock. Pour ceux qui associent encore antivirus à interface triste et datée, surprise : l'app dispose d'une apparence qui ne passe pas inaperçue.
Une installation sans accroc
L’installation ne pose aucun problème particulier. L’application demande simplement les autorisations nécessaires à son bon fonctionnement : installation d’une extension de sécurité et accès complet au disque. Rien d’anormal pour un outil de ce type.
Quitte à débarquer en 2025 sur ce marché, autant ne pas se contenter d’un simple antivirus : Moonlock se divise en six sections principales. Outre un anti-virus, Moonlock embarque notamment un VPN et un inspecteur réseau.
Moonlock, c'est un anti-virus, un inspecteur réseau et un VPN
La première section, qui correspond à l'écran d'accueil du logiciel, est un tableau de bord géant qui affiche les principales informations pour savoir si son Mac est bien protégé, de quand datent les dernières définitions de l'antivirus… L'un des points intéressants de Moonlock, c'est que l'application donne beaucoup de conseils pour aider les utilisateurs à mieux protéger leur Mac et surtout adopter de bons réflexes.
La deuxième partie, c'est l'anti-virus en lui-même avec un gros bouton scan. Vous avez le droit à trois types de vérifications : rapide, intermédiaire et profond. Manque de bol, il n'y avait aucun virus sur mon Mac.
Outre le fait d'offrir une protection contre les virus déjà installés, Moonlock se propose également de surveiller les scripts qui s'exécutent en temps réel sur votre Mac.
La troisième fonctionnalité de Moonlock, c'est le fameux VPN destiné à renforcer la sécurité de votre Mac. Ce service-là est assuré par ClearVPN, qui appartient à MacPaw. Vous pouvez choisir la localisation optimale du serveur pour des performances accrues du VPN ou le pays de votre choix. Un inspecteur réseau permet également de bloquer les apps et sites se connectant à certains pays.
Moonlock dispose également d'une fonctionnalité System Protection qui va étudier les réglages de votre système et vous indiquer les paramètres que vous devriez améliorer pour une sécurité maximale. L'application m’a recommandé pendant mes essais de ne pas utiliser mon Mac comme récepteur AirPlay. C'est effectivement un angle d'attaque en moins pour une personne malintentionnée.
Enfin, Security Advisor est un peu le prolongement de System Protection. Il s'agit de fiches qui vous donnent des conseils pour améliorer votre sécurité numérique. Il y a de tout, comme utiliser un mot de passe différent pour chaque service, éviter les hotspots Wi-Fi ou encore mettre en place autant que possible la 2FA.
Le problème des antivirus dédiés à macOS est toujours le même… On parle malgré tout d'une menace qui reste assez théorique sur notre plate-forme. Les problèmes de sécurité sont souvent ailleurs. Reste que la démarche didactique de Moonlock est assez intéressante.
Malheureusement, le logiciel est disponible uniquement en anglais pour le moment. Son interface, qui fait un peu jouet, ne sera pas au goût de tous.
Si vous êtes intéressé, vous pouvez tester l’app gratuitement pendant une semaine. Au-delà, il faudra payer un abonnement à 13,5 € par mois ou 54 € par an pour un seul ordinateur, ou bien acheter une licence finale facturée 150 € par Mac. macOS 13 ou supérieur est nécessaire.
L’iPhone des 20 ans troquerait ses boutons physiques pour des touches haptiques
Apple aurait prévu de grands changements pour les 20 ans de l’iPhone, et devrait notamment passer son téléphone aux boutons haptiques. C’est tout du moins ce qu’affirme le fuiteur chinois Instant Digital, qui a eu de bons tuyaux par le passé. La théorie n’est pas saugrenue étant donné que l’on sait qu’Apple a déjà planché sur un tel concept.

Apple aurait envisagé l’idée dès l’iPhone 15 Pro. Son ambition serait de remplacer les boutons physiques par d’autres répondant par des vibrations, un peu à la manière du bouton d’accueil des derniers iPhone sans Face ID. Les deux touches de volume fusionneraient, ce qui ne manquerait pas de rappeler les premiers iPhone (ils ont été séparés sur l’iPhone 4). Le bouton d’alimentation/verrouillage passerait également à ce nouveau système.
Baptisé « Projet Bongo » en interne, ces nouveaux boutons disposeraient de leur propre firmware logiciel et d’un mode veille profonde. L’idée serait d’améliorer la résistance du téléphone et son étanchéité grâce à des boutons fixes. Les ingénieurs de Cupertino avançaient bon train sur ce projet en 2023, mais selon des fuites, il n’a pas passé la phase de développement EVT, correspondant aux tests de validation technique. Le concept aurait été remis à plus tard suite à un taux élevé de défaillance matérielle.
Projet Bongo : le concept de boutons haptiques pour iPhone 15 Pro qu'Apple a finalement mis au placard
Instant Digital croit dur comme fer au retour de ces boutons haptiques, avançant la théorie en avril puis en mai avant de prédire son arrivée sur toute la gamme de produits Apple comme l’iPad ou l’Apple Watch. Il voit maintenant la technologie arriver sur l’iPhone des 20 ans, attendu pour 2027 et qui devrait avoir droit à un gros redesign. Toutes les touches seraient haptiques, le bouton Action et celui de contrôle de l’appareil photo également. Un système de vibration avancée serait mis en place créant au passage du son, qui pourrait être appuyé par des algorithmes spécifiques.
Si les rumeurs disent vrai, Apple préparerait un sacré changement pour l’iPhone 20. L’ambition serait de proposer un écran dépourvu de bordures dont les 4 côtés s'étendraient jusqu'au cadre du châssis. Le rendu serait celui d’une plaque de verre complète, et on peut imaginer que les boutons se mélangeraient donc avec la dalle. Apple pourrait se montrer créative avec ce concept, par exemple avec des boutons changeant d’apparence selon le contexte.
MacWhisper 13 adopte une touche de Liquid Glass et la transcription d’Apple incluse avec macOS 26
MacWhisper est un outil bien pratique pour transcrire du contenu audio sur son Mac. Si l’app est née il y a quelques années comme une interface pour exploiter localement les modèles Whisper fournis par OpenAI, d’où son nom, elle a considérablement évolué depuis, au point de devenir un outil qui peut répondre à tous les besoins de transcription, y compris en direct pendant une réunion. La version 13 qui vient de sortir est une mise à jour majeure qui propose une interface à la sauce Liquid Glass et surtout qui exploite les modèles locaux fournis par Apple sous macOS 26.
Côté interface, le développeur parle d’un design entièrement réinventé, ce qui est peut-être un peu exagéré, même s’il y a en effet de nombreux petits changements. L’écran principal permet comme avant de lancer rapidement une transcription ou un nouvel enregistrement. Il gagne aussi un historique des transcriptions, ce qui permet de retrouver facilement un ancien projet. On peut ouvrir plusieurs transcriptions en parallèle et passer de l’une à l’autre via la barre latérale, une tâche qui était nettement plus complexe avec l’ancienne version. MacWhisper 13 est également capable d’ouvrir une transcription dans une deuxième fenêtre, cela peut être utile dans certains cas. Autre ajout intéressant, une file d’attente qui permet d’enchaîner plusieurs transcriptions.
Les utilisateurs de macOS 26 auront aussi une présentation nettement plus arrondie, synonyme d’utilisation de Liquid Glass. Au cœur de l’app, la transcription à proprement parler devrait être plus rapide grâce à Tahoe, avec des gains de 10 % à attendre sur tous les modèles. Si vous êtes pressé, l’app gère aussi le modèle de transcription vocale fourni par Apple, dont le principal avantage, outre son intégration qui évite d’avoir à télécharger un gros modèle, est la rapidité. Si vous disposez de macOS 26, vous pouvez l’activer dans les réglages, sachant qu’il faut choisir les langues et télécharger un petit fichier à chaque fois.
macOS 26 concurrence Whisper avec un modèle de transcription local et très rapide
Je l’ai testé sur le dernier épisode de Sortie de veille et de fait, c’est un modèle extrêmement rapide. Sur mon Mac Studio de première génération, 14 secondes ont suffi à transcrire ce podcast de 22 minutes et 48 secondes, c’est environ 94 fois plus rapide que la transcription en temps réel. J’ai utilisé en guise de comparaison Parakeet, un modèle de transcription conçu par Nvidia qui présente l’avantage d’être nettement plus rapide que Whisper tout en étant aussi bon, voire meilleur, dans ce rôle. Sur le même Mac et avec le même fichier, l’analyse s’est terminée en 42 secondes, ce qui reste rapide, même si le modèle d’Apple est loin devant sur le chapitre des performances.
Parakeet garde de solides arguments : il gère de nombreuses langues sans avoir besoin de le guider, là où la transcription d’Apple nécessite d’indiquer la langue à utiliser. Il sait aussi distinguer les interlocuteurs, ce qui est très intéressant dans de nombreux domaines (podcasts, interviews), là où le modèle fourni avec macOS se contente d’un long paragraphe de texte. MacWhisper propose toutes ces options et bien d’autres encore, c’est là tout son intérêt et on pourra choisir le modèle adapté à ses besoins et à son Mac. D’ailleurs, les modèles de transcription d’Apple sont réservés aux Mac Apple Silicon, alors que l’app est compatible avec ceux de l’ère Intel.
Autre modèle d’Apple utilisé avec cette mise à jour, cette fois le modèle Foundation, celui qui sert de base à Apple Intelligence. Il peut servir à résumer une transcription, une tâche qu’il fera en local sur les Mac Apple Silicon sous macOS 26. L’utilisateur peut pointer vers un modèle local via Ollama ou vers des modèles en ligne, comme ceux d’OpenAI, Anthropic ou Google. Parmi les nouveautés de la version 13, MacWhisper peut aussi exploiter ce modèle pour titrer chaque transcription en fonction de ce contenu et l’interface affiche des boutons dédiés à ces différentes tâches.
MacWhisper est une app que l’on peut utiliser sans payer, même s’il faut alors faire une croix sur une bonne partie des fonctionnalités. La transcription avec les modèles d’Apple est gratuite, l’utilisation des modèles Parakeet nécessite de payer pour la version Pro, par exemple. Comptez alors environ 71 € TTC pour une licence, avec un tarif dégressif si vous en achetez plusieurs. L’app nécessite macOS 15 au minimum et son interface est partiellement traduite en français.
WhatsApp va enfin permettre de gérer le stockage pour chaque conversation
Apple (AAPL) atteint les 4 000 milliards de dollars de valorisation à la Bourse

C’était attendu et c’est maintenant une réalité : Apple (AAPL) a atteint le cap des 4 000 milliards de dollars de capitalisions boursière. La société rejoint donc Nvidia, ainsi que Microsoft. 4 000 milliards de dollars de capitalisation pour Apple Ce succès à la Bourse pour Apple s’explique en partie par le succès des ventes pour […]
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