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Une app propose le streaming vidéo sur Apple CarPlay via un navigateur

Les utilisateurs de CarPlay réclament depuis longtemps des navigateurs Web et des applications vidéo, notamment pour une utilisation lorsque leur voiture est à l’arrêt. Mais Apple restreint les applications de CarPlay à quelques catégories bien précises. Certains adaptateurs permettent de « tricher » et d’afficher des applications Android via CarPlay, mais une nouvelle solution vient d’apparaître directement […]

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iPhone 17 Pro : des protections pour le bloc photo se dévoilent

L’une des nouveautés de l’iPhone 17 Pro sera son bloc photo bien plus gros à l’arrière, au point d’occuper toute la largeur. Des accessoiristes préparent déjà des protections qui viendront justement se placer sur le nouveau bloc photo. La photo des protections, partagée par le leaker Majin Bu, est raccord avec ce que les précédentes […]

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SFR Red augmente encore l’enveloppe data de son forfait à 10 € : 250 Go de 5G par mois

SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.

Capture site RED, image iGeneration.

Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.

Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.

Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.

Promo : SFR RED propose 100 Go de 5G pour 6,99 € par mois, un record

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Les ventes d’iPhone chutent drastiquement en Chine

Alors que la plupart des entreprises de la tech ont passé un premier trimestre très chahuté, Apple doit rajouter à ces « petits » soucis un autre problème : les ventes d’iPhone dans l’empire du milieu, pourtant l’un des plus gros marchés pour les fabricants de smartphones, chutent drastiquement, comme le rapporte 9to5Mac.

Si encore ses concurrents chutaient aussi... mais au contraire, les deux premiers du podium ont augmenté leur part de marché, et pas qu’un peu : Xiaomi passe de 13,8 % à 18,6 % par rapport à l’an dernier, et Huawei de 17 % à 18 %. Dans le même temps, Apple bon cinquième du classement perd 9 %, voyant ses chiffres de vente passer de 10,8 millions d’unités à 9,8 millions.

Quelles raisons peuvent expliquer un tel repli ? Si l’absence d’Apple Intelligence, quand les constructeurs locaux ont déjà intégré l’intelligence artificielle du pays dans leurs téléphones est un bon début, ce n’est pas pour autant la seule.

Même si c’est dans une moindre mesure qu’au Canada, la défiance envers les produits américains est présente en Chine, et joue en partie sur les ventes de la pomme. En effet, quel produit symbolise plus les USA que l’iPhone dans le monde, à part peut-être le Big Mac ou Coca-Cola ? D’autant plus que les autres géants de la tech tels Meta, Google ou encore Amazon n’étant pas présents dans le pays, Apple est de facto la plus belle cible pour montrer son mécontentement à propos de la politique US.

Cerise sur le gâteau, dernier caillou dans la chaussure, le gouvernement chinois propose à ses citoyens une prime d’aide à l’achat d’un smartphone. Prime qui a bien entendu un plafond tarifaire pour être délivrée, éliminant tous les iPhone à part les iPhone 16 et 16e. Or, les appareils les plus achetés généralement appartiennent à la gamme Pro, qui n’a pas le droit aux subsides, et se retrouve donc boudée.

Tous ces soucis mis bout à bout font s’effondrer la part de marché d’Apple en Chine, et la société redouble d’efforts pour revenir dans la course. L’arrivée d’Apple Intelligence dans le pays inversera-t-elle la tendance ? Rien n’est moins sûr...

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Incogni : la vie privée, enfin prise au sérieux (par quelqu’un d’autre que vous)

Il y a encore quelques années, la protection des données personnelles se résumait, au mieux, à une extension de navigateur pour bloquer les cookies. Puis le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est arrivé en Europe, suivi du CCPA californien, et la question a changé de ton. Elle s’est juridicisée. Soudain, nous avions des droits.... Mais entre le droit et son application concrète, un gouffre persiste. C’est dans cet interstice qu’Incogni s’est glissé.

Incogni, développé par Surfshark, n’a pas pour ambition de vous « protéger » de manière vague : sa mission est claire, précise et légalement fondée.

Il s’agit d’un agent automatisé qui agit en votre nom pour exercer votre droit à l’effacement auprès des courtiers de données (data brokers). Et là, on ne parle pas d’un coup d’éponge symbolique sur les cookies marketing : on vise les bases de données profondes, celles qui alimente les moteurs de scoring, les profils publicitaires avancés, les reventes croisées entre entreprises peu scrupuleuses.

Un fonctionnement sur mandat

Le service fonctionne sur mandat : une fois votre identité vérifiée, Incogni devient votre représentant officiel et envoie des demandes de suppression de données aux entreprises listées dans ses bases.

Ces demandes sont juridiquement contraignantes dans les pays couverts par le RGPD ou des lois équivalentes. En d’autres termes : elles ne relèvent pas d’un opt-out de confort, mais d’une obligation légale.

Une mécanique bien huilée… et plus intelligente qu’il n’y paraît

L’interface est dépouillée, volontairement. Mais derrière cette apparente simplicité se cache un moteur algorithmique qui cartographie en permanence l’écosystème mondial des courtiers de données. Incogni classe ces acteurs par juridiction, profil de risque, type de données collectées et réactivité historique face aux requêtes. Autrement dit, chaque demande est priorisée en fonction d’un indice d’impact potentiel.

En pratique, cela signifie que le service ne se contente pas d’une stratégie linéaire : il optimise vos chances de voir vos données supprimées là où elles posent le plus problème. Le suivi est granulaire : chaque entreprise contactée est affichée avec son statut (demande envoyée, en attente, acceptée, refusée, hors juridiction…), et les progrès sont consolidés dans un rapport de suppression.

Jusqu’où peut-on reprendre le contrôle ?

La question est cruciale : peut-on réellement purger sa présence numérique en utilisant un outil comme Incogni ? Réponse courte : non. Réponse longue : partiellement, mais de manière significative.

Pourquoi ? Parce que certains courtiers opèrent en dehors de toute juridiction protectrice. D’autres, plus pervers, masquent leur existence ou se déguisent sous des dizaines de marques. Et puis il y a les plateformes elles-mêmes (Google, Meta, Amazon…), dont les modèles économiques reposent sur la collecte — celles-là, Incogni ne les touche pas directement.

Mais là où l’outil excelle, c’est dans l’assainissement du marché gris : les courtiers semi-légaux, les revendeurs de listes marketing, les agrégateurs de profils socio-économiques utilisés par les assureurs ou les recruteurs. En quelques semaines, plusieurs dizaines de bases peuvent cesser de vous profiler. Et cela a un effet tangible : réduction des spams, fin de certaines publicités ultra ciblées, diminution des sollicitations commerciales obscures.

Une approche défensive, mais stratégique

Incogni s’inscrit dans une logique de défense active. Loin d’un gadget « privacy-friendly », c’est un outil pensé pour les individus lucides sur l’économie de la donnée. Celles et ceux qui savent que l’exposition numérique est un levier d’influence — commerciale, sociale, parfois politique — et qui choisissent de refermer les portes une à une.

Le modèle économique est transparent : abonnement mensuel ou annuel en illimité (7,29 € par mois ou 12,99 € par an), avec la possibilité d’annuler à tout moment. Pas de revente de données, pas de pistage parallèle : Surfshark joue ici la carte de la cohérence éthique, renforçant sa position sur le marché des services de protection numérique.

Essayez Incogni pour retirer vos informations personnelles du Web

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Un humanoïde boucle le semi-marathon de Pékin en 2h40

La pratique de la course à pied connaissant un succès grandissant, il est de plus en plus difficile de trouver un dossard pour participer à la course ou trail du coin. C’est d’autant plus vrai dans les grandes villes. Le week-end dernier, le Schneider Electric Marathon de Paris a ainsi attiré près de 57 000 coureurs.

Attention, les choses ne pourraient pas s’arranger avec l’arrivée d’un nouveau type de participant : les humanoïdes ! Ces derniers ont participé au semi-marathon de Pékin qui avait lieu hier. Les grandes entreprises de robotique étaient invitées à inscrire leurs champions pour une course qui se tenait en parallèle de ce rendez-vous prisé par les coureurs chinois.

La bonne nouvelle, c’est que nous, simples êtres humains, avons encore un peu de marge, sur ces bipèdes d’un nouveau genre. Tiangong Ultra de Beijing Humanoid Robot Innovation Centre a bouclé les 21,1 kilomètres en un peu plus de 2 heures et 40 minutes. Un temps qui reste à la portée de l’immense majorité des êtres humains.

Le robot en question a écopé d’une pénalité de dix minutes pour changement de batterie. Même au niveau du ravito, l’être humain a encore un peu de marge. Pour d’autres humanoïdes, la course s’est moins bien passé. L’un d’eux s’est écroulé sur la ligne de départ…

La question est de savoir si ce type d’événements va se multiplier et si, dans quelque temps, on aura des humanoïdes fabriqués par des entreprises du monde entier qui viendront faire la course. Avec une question derrière : seront-ils fair-play ? Les humains, hélas, ne le sont pas toujours…

@rmcsport

Plus gros craquage qu'on ait jamais vu dans une course de relais. On est sur un 4x200m féminin en Virginie. Inutile de vous préciser qu'elle a été disqulifiée.

♬ son original - rmcsport
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Promo : les AirPods Pro 2 à 220 € (-59 €)

Les AirPods Pro 2 sont en vente à 220 € chez Amazon Italie, soit 22 € de moins que le prix sur le site français et 59 € de moins aussi que l'Apple Store.

C'est une très bonne réduction que le site italien a l'air de faire sienne, elle s'inscrit dans le temps là où les autres vendeurs sont plus prompts à revenir se caler sur le prix d'Apple (la Fnac propose actuellement 279,99 €). Ce tarif comprend les frais de port et une livraison est possible pour mercredi prochain. Quant aux AirPods 4, les réductions en Italie sont au même niveau qu'en France (-10 %).

Le boitier des AirPods Pro 2 peut se charger sans fil, même au moyen du chargeur inclus avec les Apple Watch. Image Apple.

Les AirPods Pro 2 sont des écouteurs intra-auriculaires que l'on recommande sans hésitation1. En plus d’offrir une excellente qualité sonore et une très bonne réduction active du bruit, ils comprennent de multiples fonctionnalités avancées comme la détection des conversations, l’audio adaptatif, le volume person­nalisé, la possibilité de répondre par oui ou non à une notification par un mouvement de la tête.

Apple a encore élargi récemment la palette des fonctions de ces AirPods en activant en France il y a quelques mois le test d'audition et de réduction des sons forts.

AirPods Pro 2 : le test d’audition désormais disponible grâce à iOS 18.2

AirPods Pro 2 : le test d’audition désormais disponible grâce à iOS 18.2

AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale

AirPods Pro 2 : la petite sonnerie dans le boitier est normale


  1. Apple trouverait un moyen de les rendre mieux recyclables ce serait la cerise sur le gâteau.  ↩︎

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JOURNAL D’ORION : "Toy Story"

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, ce petit personnage a été imaginé par Fateh, un dessinateur de talent qui officie sur Mac4Ever depuis une dizaine d'années. Grand fan d'Apple, il ne manquerait une keynote pour rien au monde ! Pour autant, ce cher Orion ne manque pas de sarcasmes lorsqu'il s'agit de sa marque préférée...
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Samedi sécurité : les smartphone Android vont eux aussi redémarrer automatiquement

On avait vu que sans prévenir Apple avait introduit dans iOS 18.1 un redémarrage automatique après inactivité, estimée entre 24h et 72, et qui semblerait fixée à 48h.
Ce redémarrage réinitialise la mémoire et enlève de celle-ci les clés de déchiffrement fixées, qui ne seront alors réaccessibles qu'une fois l'usager s'étant identifié avec un NIP ou un passcode.

D'autres données ne sont plus en RAM après le redémarrage, comme celles des applications plus ou moins chiffrées, qui sont déchiffrées à la volée quand on les utilise, et protégeables par FaceID ou un code.

Google a introduit une fonction similaire dans son Play Service v25.14 afin d'augmenter ainsi le niveau de sécurité sur cette autre plateforme.
La mise-à-jours devrait arriver sous peu suivant les appareils.

Cela ne protègera en rien des régimes totalitaires, très (trop) efficaces et qui attaquent le smartphone dès qu'ils ont la main dessus, mais ça gênera très certainement les forces de police et la Justice de nombreux pays où tout est gangrené par la bureaucratie interdisant toute action rapide et efficace...

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Des robots humanoïdes bouclent le semi-marathon de Pékin

C’est une première mondiale qui en dit long sur les ambitions technologiques de la Chine. Ce samedi 19 avril, à Pékin, s’est tenu le tout premier semi-marathon de robots humanoïdes, organisé dans la zone de développement économique et technologique de Yizhuang. Sur la ligne de départ, 20 robots humanoïdes, issus de différentes équipes chinoises, ont pris place aux côtés de 12 000 coureurs humains.
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"28 Ans plus tard" de Dany Boyle, tourné à l'iPhone a un trailer : ne le regardez surtout pas !

Sony Pictures a dévoilé la nouvelle bande-annonce du film « 28 ans plus tard », troisième opus de la saga horrifique débutée en 2002, qui a la particularité d'être tourné en partie à l'iPhone, et réalisé par Danny Boyle et écrit par Alex Garland, le film sort en salles le 20 juin 2025 et marque clairement le début d’une nouvelle trilogie post-apocalyptique.
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Sortie de veille : le futur de l’iPad se trouve-t-il dans le Mac ?

Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.

Et si cette fois, c’était la bonne ? Après des années passées à se chercher, iPadOS pourrait finalement libérer tout le potentiel des iPad. Apple n’irait plus chercher midi à quatorze heures, le système des tablettes pourrait directement s’inspirer de macOS. Une bonne stratégie ? On en discute dans cette émission.

Dans le reste de l’actualité, Donald Trump accorde un répit à Apple dans la guerre commerciale, l’Apple Watch fête ses dix ans avec un pin’s et les Mac Intel n’ont pas dit leur dernier mot.

Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :

  • Vous êtes abonné au Club iGen ? Rendez-vous sur cette page pour accéder à nos podcasts complets et aux flux RSS qui vont bien.
  • Vous n'êtes pas membre du Club iGen ? C'est dommage, mais vous pouvez écouter Sortie de veille en vous y abonnant sur Apple Podcasts ou Spotify. Ou alors écoutez-la directement dans ce lecteur :

Bonne écoute et bon week-end !

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Quand Apple a sorti... une molaire

Le premier Mac à arborer des éléments plastiques transparents... l’iMac G3 ? Perdu. Le dernier à arborer le design beige... le PowerMac G3 Desktop ? Encore perdu. Quasiment oublié tant sa carrière fut courte et anonyme, un Mac unique étant donné son design et ses caractéristiques : le PowerMac G3 « All-In-One », affectueusement surnommé le « Molar Mac » (Mac molaire) par ses aficionados.

C’est le youtubeur Krazy Ken qui le rappelle à nos bons souvenirs, même si l’Europe ne l’a pas vraiment connu : et pour cause, il n’a été vendu que sur le sol US, et pendant seulement 9 mois. Sa carrière a démarré en avril 1998, en étant vendu uniquement sur le site Apple, et exclusivement réservé au marché de l’éducation. Face à la concurrence de l’iMac G3, il a disparu en janvier 1999, sans tambours ni trompettes.

Si son design criait à qui veut l’entendre qu’il était « le cul entre deux chaises », avec son écran 15 pouces, son teint beige adouci de formes arrondies et une légère transparence sur le dessus et le dos, ses caractéristiques étaient toutes aussi étranges : le PowerPC G3 à 233 MHz et le processeur graphique ATI Rage II ne choqueront personne pour l’époque, ni les 384 Mo de RAM maximum (pour 32 Mo en sortie d’usine). Mais les 3 extensions PCI, le disque dur et la prise SCSI, ou encore la présence de l’Apple Desktop Bus pour brancher le clavier et la souris sont les témoins d’une époque qui était sur le point de s’éteindre.

De la même manière, c’était le dernier Mac proposant à la fois un lecteur CD-ROM, un lecteur de disquette et un lecteur ZIP ! Il était aussi doté de deux prises casque en façade, permettant ainsi à deux élèves de suivre une vidéo en même temps sans gêner le reste de la classe.

Peut-être pas le plus beau, mais il a un côté attachant (le Mac, pas le youtubeur !). Capture MacGeneration.

Si la version de base était proposée en 233 MHz sans le lecteur ZIP à 1499 dollars, le haut de gamme à 1799 dollars proposait, en plus du lecteur ZIP et du processeur poussé à 266 MHz, une particularité rare : il intégrait une carte d’acquisition vidéo, avec entrées et sorties analogiques et S-Vidéo, permettant de faire du montage grâce au logiciel Avid Cinema fourni (Final Cut Pro n’était pas encore la propriété d’Apple à l’époque, mais de Macromedia).

Étrange, bizarre, ce petit bout d’histoire d’Apple un peu « Frankenstein » sur les bords témoigne d’une époque de révolutions : NeXT venait d’être rachetée, et Steve Jobs de reprendre les rênes de l’entreprise, s’apprêtant à modifier profondément la pomme et les produits qu’elle créera par la suite... époque de tous les dangers, dont les plus vieux se rappelleront tout de même avec une pointe de nostalgie.

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Une salle de sport en Bretagne assigne Apple en justice pour Fitness+

Apple Fitness+, le service d’activité physique en ligne d’Apple lancé en novembre 2021, fait l’objet d’un contentieux judiciaire avec la société brestoise Sport & Fitness Management France (SFM). Cette dernière exploite depuis 2011 une salle de sport sous la marque « Fitness Plus » et propose également des cours en ligne via son site Fitnessplus.fr. Le conflit […]

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Clap de fin pour Mythic Quest, qui voit son épisode final modifié pour mieux clore la série

L’une des plus vieilles séries créées par Apple TV+ n’est plus : Mythic Quest, qui suivait une petite entreprise de jeux-vidéos, n’aura pas droit à une nouvelle saison. Et Apple en a profité pour revoir discrètement le dernier épisode suite à cette décision.

Les têtes ne devaient pas être plus joyeuses au moment de l’annonce du clap final... Image Apple TV+.

La série a été lancée le 7 février 2020, soit à peine quatre mois après le lancement du service Apple TV+. Au fil du temps, elle a gardé sa base de fans, et était plutôt bien vue des critiques... mais il semblerait que le nombre de spectateurs soit resté trop faible pour laisser continuer la série plus longtemps.

La décision d’arrêter là n’a, semblerait-il, pas été immédiatement tranchée. En effet, si Apple a annoncé publiquement la fin de la série, le dernier épisode laissait jusque-là entrevoir une ouverture laissant espérer une suite. Aucun espoir n’est possible maintenant : la fin a été discrètement modifiée pour fermer définitivement le scénario, comme le rapporte 9to5Mac qui qualifie cette modification de « syndrome George Lucas », le réalisateur bien connu ayant tendance à revisiter de temps en temps ses films, supprimant par la même les anciennes versions du commerce. L’équipe de production, tout en parlant de leur ressenti sur la fin de l’aventure, considère que cette modification leur a permis de mieux dire au revoir à leurs fans :

Toutes les fins sont difficiles. Mais après quatre saisons incroyables, Mythic Quest a atteint son chapitre final. Nous sommes fiers de notre travail, et du monde que nous avons créé – et profondément reconnaissants envers les acteurs et toute l’équipe, qui ont mis tout leur cœur dedans. À tous les fans, merci d’avoir joué avec nous. À nos partenaires chez Apple, merci pour avoir cru en notre vision depuis le début. Parce que les fins sont toujours difficiles, Apple nous a laissé faire une dernière retouche sur l’épisode final – pour que nous puissions dire au revoir, plutôt que de rester sur un Game Over.

Si la série principale est terminée, les fans pourront se consoler un petit peu, un spin-off nommé « Side Quest » étant disponible depuis le 26 mars, pour prolonger le plaisir avec quatre épisodes « explorant la vie des employés, des joueurs et des fans qui sont touchés par le jeu ».

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Un support pour Mac mini M4 qui en bouche un coin(-coin)

Vous voulez un peu de joie dans votre bureau ? Et si en bonus cette petite touche de gaité permettait de résoudre le souci le plus casse-pieds du Mac mini M4 ? Un accessoire présent sur AliExpress pourrait bien faire votre bonheur.

Avec le bouton enfin accessible, vous ne resterez plus le bec dans l’eau pour allumer votre Mac. Capture MacGeneration.

Si certains ont déjà proposé une solution pour déplacer le bouton d’allumage à un endroit plus accessible, le moins qu’on puisse dire, c’est que ces idées ne cassaient pas trois pattes à un canard : un petit levier en plastique, une base toute tristounette, pas de quoi en boucher un coin.

Ici, fin de la tristesse, fin du bouton inaccessible : non seulement vous allez rendre le sourire à vos amis, mais une fois qu’ils auront vu que le museau dépassant du support permet d’allumer la machine, ils en auront à coup sûr le bec cloué ! Si les designers d’Apple avaient provoqué un couac avec ce bouton mal placé, ce sera de l’histoire ancienne avec ce support, disponible pour 12,59 € sur le site chinois. Ainsi, même avec son bouton mal placé, votre Mac mini M4 ne restera pas le vilain petit canard de la famille.

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Spotify augmente ses tarifs au Benelux : bientôt en France ?

Vous êtes abonnés à Netflix et à Spotify ? Il est bien possible que vous ayez tiré la mauvaise pioche cette semaine : après le service de SVOD qui augmente ses tarifs en France, celui de streaming musical annonce lui aussi une nouvelle grille tarifaire, comme le remarque Numerama. Si la France est épargnée pour le moment, rien ne dit qu’elle ne suivra pas dans peu de temps.

Les nouveaux tarifs de Spotify au Luxembourg... Capture MacGeneration.

Le Benelux (pour Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) a en effet eu la surprise de voir les tarifs de Spotify augmenter aujourd’hui : chaque abonnement a pris entre 1 et 4 euros de plus. Tous les pays ne sont pas à la même enseigne, la Belgique ayant subi une inflation moins élevée que ses deux camarades. La grille tarifaire est maintenant la suivante :

  • Premium Individuel : Belgique 10,99 € => 11,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 10,99 € => 12,99 €
  • Premium Duo : Belgique 14,99 € => 16,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 14,99 € => 17,99 €
  • Premium Famille : Belgique 17,99 € => 20,99 €, Pays-Bas/Luxembourg 17,99 € => 21,99 €
  • Premium Étudiants : Benelux complet 5,99 € => 6,99 €

Si les tarifs étudiants ont vu leurs prix monter de manière similaire, ce n’est donc pas le cas des autres, qui montrent un écart d’un euro entre la Belgique et ses deux pays limitrophes.

Et la France ? Même si elle est pour le moment épargnée, il est bien possible que ce ne soit que pour une courte durée : Deezer a déjà augmenté ses tarifs, et l’entreprise suédoise serait bien tentée de suivre la marche... reste que Spotify est le seul service de musique en ligne à ne pas proposer d’abonnement « qualité CD », positionnement plus qu’étrange bien que ce manque n’ait pas l’air de jouer sur son nombre d’abonnés.

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L’Europe reporte son amende visant Apple pour éviter un conflit avec Donald Trump

L’Union européenne a finalement choisi de retarder l’annonce de sanctions contre Apple et Meta, évitant ainsi une escalade avec l’administration Trump. Cette décision intervient alors que les négociations commerciales entre l’Europe et les États-Unis entrent dans une phase cruciale. Une attente pour l’amende européenne visant Apple Initialement, la Commission européenne prévoyait de publier mardi des […]

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L’Arcep démonte les idées reçues sur la consommation d’énergie des centres de données

Alors que le projet de loi dite "simplification" cherche à faciliter l’implantation de nouveaux centres de données sur le territoire, l’Arcep vient de publier de nouveaux chiffres qui viennent nuancer les critiques souvent véhiculées sur leur impact environnemental. Et pour l'Autorité, les data centers ne sont pas encore les gouffres énergétiques que certains imaginent.
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L’app Apple Sports ajoute le partage social avec les Game Cards

L’application Apple Sports renforce son attractivité avec une nouvelle fonctionnalité sociale : le partage de « Game Cards ». Plutôt que de simples statistiques, l’application génère désormais des cartes dynamiques pour les matchs en direct, à venir ou terminés. Les utilisateurs peuvent les partager via iMessage ou sur les réseaux sociaux. Image 9to5Mac Pour en profiter, une […]

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Choosy permet de choisir un navigateur web différent en fonction du lien à ouvrir

Choosy (8,8 €) est un utilitaire qui doit être défini comme navigateur web par défaut de votre Mac et qui se charge ensuite d’ouvrir les liens dans le navigateur de votre choix, en fonction de règles que vous définissez. C’est loin d’être le premier du genre et l’app existe depuis quelques années, mais l’idée reste intéressante si vous avez l’habitude d’utiliser plusieurs navigateurs en parallèle et que vous cherchez une solution pour systématiquement ouvrir des sites web d’un côté ou d’un autre.

Quelques paramètres de Choosy : sélection des navigateurs à gauche, liste des règles au centre, détail d’une règle à droite. Image MacGeneration.

Une fois Choosy installée, vérifiez que l’app est bien définie comme le navigateur par défaut dans les Réglages Système, puis dans « Bureau et Dock » (ne demandez pas pourquoi). Ceci fait, c’est l’utilitaire qui fera l’intermédiaire pour tous les liens ouverts sur l’ordinateur. Dès lors, les règles configurées dans l’app prennent le relai et décident du comportement. Vous pouvez choisir la liste de navigateurs à utiliser, en les triant par ordre de priorité pour sélectionner d’abord celui qui est en haut de la liste. Vous pouvez configurer l’app pour ouvrir les liens dans le navigateur ouvert s’il n’y en a qu’un seul, puis d’afficher l’interface de Choosy dès lors qu’il y en a plus d’un.

Les règles sont aussi traitées par priorité, ce qui permet d’indiquer à l’app d’ouvrir systématiquement un site web dans un navigateur, ce qui sera probablement l’usage le plus courant. Le développeur de Choosy a ajouté de multiples options pour créer des règles sophistiquées et faire varier le comportement selon l’app où se trouvait le lien, selon l’origine du lien (on peut gérer différemment ceux qui arrivent par Handoff ou AirDrop, par exemple) et bien d’autres paramètres encore. C’est le genre d’utilitaire qui demande de prendre un petit peu de temps au départ pour l’appréhender pleinement, mais qui est indéniablement très puissant en contrepartie.

Quand aucune règle n’est prise en compte, Choosy affiche alors une interface qui permet d’ouvrir le lien dans un navigateur à choisir d’un clic. Elle peut reprendre la présentation du multitâche de macOS avec une barre horizontale, ou bien opter pour une version arrondie plus originale. Un paramètre permet de ne garder que les navigateurs web actuellement ouverts ou tous les afficher. Pour compléter le tout, Choosy dispose aussi d’extensions web pour les principaux navigateurs, dont Safari, ce qui permet de transférer l’URL en cours vers une autre app. Et pour les utilisateurs avancés, une API permet d’automatiser encore plus le comportement de l’app.

Les deux présentations pour le sélecteur manuel du navigateur web à utiliser lors de l’ouverture d’un lien. Image MacGeneration.

Choosy peut être téléchargée gratuitement et testée sans payer pendant 45 jours. Au-delà, une licence facturée 10 $ (8,8 €) est nécessaire et elle sera valide sur tous les Mac utilisés par une même personne. macOS 14.6 (Sonoma) est nécessaire pour installer l’app, dont l’interface n’est pas traduite en français.

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Doom, Mario, Civilization : les IA génératives peuvent-elles terminer des jeux des années 90 ?

Cela fait plusieurs mois que des petits malins s’amusent à essayer de faire jouer les IA génératives à des jeux vidéo : la chaîne Twitch Claude Plays Pokemon montre par exemple le modèle d’Anthropic tentant de venir à bout de Pokémon Rouge grâce à ses capacités de vision par ordinateur. Le chercheur Alex Zhang va plus loin et a créé VideoGameBench, un benchmark qui cherche à voir si les modèles d’IA peuvent terminer une vingtaine de jeux vidéo tournant en temps réel. Le test repose sur des titres des années 90 aux genres variés.

4 modèles d’IA jouant à Doom

Alex Zhang note que, si les LLM peuvent effectuer certaines actions complexes, ils sont bien en peine de venir à bout de jeux vidéo demandant de raisonner à court et à long terme, en plus de faire preuve d’intuition et de compréhension de l'espace. Son benchmark fournit l’essentiel à l’IA, à savoir l’image du jeu, une « manette » virtuelle et une indication claire si un jeu est terminé. Les titres présentés sont principalement des jeux Game Boy ou MS-DOS pour la bonne raison que les repères visuels sont plus simples que ceux des jeux plus récents, et car ils requièrent de faire appel à une manette comme à une souris, ce qui pose des défis variés.

Les genres sont multiples, avec de la plateforme (Super Mario Land) ou des titres plus calmes comme Pokémon Crystal ou Civilization 1. Certains jeux nerveux tels Doom ou Quake sont au programme, pour lesquels Alex Zhang a dû ruser : ceux-là se mettent automatiquement en pause lorsque le LLM « réfléchit », ce qui lui évite de se faire tuer directement par un ennemi lui tirant dessus.

VideoGameBench en action

Quelle observation tirer de tout cela ? Eh bien que les modèles d’IA doués de vision sont bien loin de pouvoir terminer un jeu complet, et qu’ils peinent globalement à arriver au bout du premier niveau de chaque titre. Les IA prennent entre 3 et 5 secondes pour effectuer une action, ce qui est bien trop lent pour certains jeux comme Mario où les premiers ennemis arrivent déjà plutôt lentement.

L’expérience met en lumière certaines difficultés des modèles, ayant parfois du mal à interpréter ce qu’ils « voient ». La vidéo ci-dessous montre Claude en train de gaspiller ses balles sur un ennemi… déjà à terre, ce qui l’empêche d’aller bien loin. L’IA a aussi du mal à être précise avec un combo clavier/souris, ce qui est capital dans des jeux comme Civilization ou Warcraft. Enfin, les modèles ne comprennent pas certaines mécaniques des jeux peu intuitives, qu’ils sont incapables de deviner sur le tas (par exemple les techniques pour battre un boss).

Alex Zhang n’indique pas quel modèle commercial est le plus efficace, mais explique que GPT-4o, Claude Sonnet 3.7, Gemini 2.5 Pro et Gemini 2.0 Flash sont incapables de venir à bout du premier niveau de Doom. Le projet est disponible gratuitement sur GitHub si vous voulez l’essayer en local.

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Comment créer et partager des packs d’autocollants sur WhatsApp

WhatsApp continue de peaufiner son expérience utilisateur et publie cette semaine une mise à jour majeure, qui devrait ravir les amateurs de stickers. Désormais, les utilisateurs peuvent créer, organiser et partager des packs d’autocollants personnalisés directement depuis l’application, sans passer par un outil externe ou jongler entre différentes conversations.
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La Switch 2 sera en précommande aux États-Unis et Canada le 24 avril

En dépit d'une incertitude latente sur les droits de douane imposés par les États-Unis, Nintendo s'apprête à ouvrir les précommandes de Switch 2 en Amérique du Nord.

Image Nintendo.

Le 24 avril prochain, des Américains et Canadiens risquent d'interrompre leur activité pour quelque chose de plus sérieux : précommander leur Switch 2. Ils rejoindront les autres pays qui l'ont fait depuis le 8 avril. Devant les annonces de forte hausse des droits de douane américains sur des produits venant d'Asie, Nintendo avait temporisé pour les États-Unis et le Canada.

La Switch 2 est déjà disponible en précommande chez certains revendeurs, avec des promos

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Après la phase des précommandes, ces deux pays recevront la Switch 2 le 5 juin, en même temps que les autres marchés. Le prix américain de la console n'a pas été modifié, il reste à 449,99 $. Pas de mouvements d'étiquettes non plus sur les deux jeux de lancement, Mario Kart World et Donkey Kong Bananza.

Image Nintendo.

Des augmentations ont pourtant été décidées, mais Nintendo les appliquera aux accessoires de sa console, ils représentent 5 $ de plus. Nintendo précise qu'au vu de la volatilité de la situation économique il ne s'interdit pas de reconsidérer le prix de n'importe lequel de ses produits.

Trop chère, la Switch 2 ? Nintendo répond que non

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Netflix teste un moteur de recherche avec OpenAI et un nouvel écran d'accueil

Netflix a lancé le bêta-test d'un moteur de recherche fonctionnant avec les technologies d'OpenAI, le créateur de ChatGPT. Le service de streaming a confirmé une information de Bloomberg selon laquelle des utilisateurs en Australie et en Nouvelle-Zélande ont commencé à évaluer un moteur de recherche de films et de séries plus sophistiqué.

Image Netflix.

Ce test est pour l'instant limité à ces deux pays, mais Netflix prévoit de l'étendre à d'autres dans les semaines et mois à venir. C'est une option qui doit être activée, elle n'est pas imposée d'office à l'utilisateur. Autre particularité, elle n'est proposée que dans son app iOS. La porte-parole interrogée par The Verge a précisé qu'il n'était pas prévu d'aller sur d'autres plateformes dans l'immédiat.

Ce moteur accepte des requêtes en langage naturel, comme il est de rigueur pour les outils d'IA, et des critères plus larges comme l'humeur du spectateur. Il doit être possible d'obtenir des recommandations de films ou de séries en allant plus loin que les habituelles demandes sur un genre particulier de film ou le nom d'un acteur. Netflix n'en est qu'au tout début de l'évaluation de cette nouvelle approche, a précisé la porte-parole.

Ce moteur pourrait servir bien au-delà d'iOS puisque Netflix entend rendre son outil de recherche plus « interactif » grâce à l'IA générative. Gregory K. Peters, dans un échange hier avec les analystes, n'a pas donné plus de détails, mais on peut émettre l'hypothèse d'un moteur avec lequel on pourrait affiner sa recherche par des échanges successifs avec l'IA.

Dans le courant de l'année, Netflix prévoit aussi de déployer un nouvel écran d'accueil — il n'a pas évolué depuis une décennie — dans le but d'améliorer la découverte des contenus.

Une version de janvier 2024 du futur écran d'accueil. Image Netflix.

Cette refonte est en test depuis plus d'un an auprès d'un public restreint. Il devrait proposer par exemple une galerie d'affiches où la sélection d'un titre lance la lecture d'un extrait et affiche directement les informations principales, comme le font déjà d'autres services, tel Prime Video.

Netflix augmente ses prix en France sur fond de bons résultats

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