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Pour les retardataires : le magazine des 25 ans de MacG et son mug sont à nouveau en vente !
Suite à notre actualité du week-end dernier, vous avez été nombreux à nous demander s’il était encore possible de commander le magazine des 25 ans de MacGeneration. Nous avons décidé de le remettre en vente sur notre boutique. Alors, si vous voulez vous offrir un beau cadeau pour les fêtes de fin d’année — et nous soutenir en ces temps particulièrement difficiles — vous savez ce qu’il vous reste à faire.
Et maintenant, c’est à vous ! Partagez vos impressions sur le magazine des 25 ans
Dans ce magazine papier exceptionnel, vous découvrirez les coulisses de MacGeneration, de nos débuts en 1999 à notre position actuelle de média de référence sur l’univers Apple. Anecdotes inédites, moments forts, défis, réussites et révélations sur la vie d’une rédaction indépendante passionnée : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre site favori. Mais ce magazine ne se limite pas à notre propre histoire. Il revisite aussi 25 ans d’actualité Apple : le lancement de l’iPod en France, les premiers Apple Store, l’avènement de l’iPhone, les transitions majeures du Mac… Un vrai voyage dans le temps, entre souvenirs, analyses et clins d’œil aux grandes heures de la presse tech papier.
Nous avons préparé plusieurs formules : vous pouvez acheter le magazine seul ou accompagné de notre mug. Il est également possible d’acheter le mug séparément. Les prix indiqués incluent les frais de transport pour la France métropolitaine ; un surcoût s’applique pour les expéditions à l’étranger.
Nous ne prévoyions pas, initialement, de remettre ces produits en vente, mais la palette perdue par notre transporteur nous a contraints à revoir nos plans. Nous avions pourtant vu large et envisagé bien des scénarios — sauf celui-là. En dépit de ces soucis, la lecture de vos commentaires nous laisse penser que vous l’avez apprécié. Et c’est bien là le plus important !
Pour minimiser les risques, nous avons décidé de reprendre le contrôle sur les expéditions. Les nouveaux magazines doivent nous être livrés tout début décembre, et nous procéderons aux envois dans la foulée.
-> Mieux vaut tard que jamais, je commande le magazine des 25 ans de MacGeneration
Le Roborock Saros 10R en promo à -16% : le haut de gamme au meilleur prix !
Appel à témoins : êtes-vous satisfait de votre iPhone Air ?
L’iPhone Air vient à peine de décoller que des turbulences se font déjà sentir. À cause de ventes décevantes, Apple serait déjà en train de revoir sa stratégie pour sa succession. Il faut dire que ce modèle spécial est un pari risqué : s’il brille par sa finesse, cela se fait au détriment d’autres aspects, notamment l’appareil photo. Mais le vrai problème, c’est peut-être son prix : vendu plus cher que l’iPhone 17 qui est plus équilibré, l’iPhone Air se retrouve dans une position très inconfortable.

Mais qu’en pensent les premiers concernés, ceux qui l’ont acheté ? C’est l’objet de notre nouvel appel à témoins. Avez-vous craqué pour l’iPhone Air sur un coup de tête ou après mûre réflexion ? L’avez-vous conservé ou renvoyé ? Qu’en pensez-vous après plusieurs semaines d’usage ? Venez donner votre avis sur le sujet dédié de notre forum.
Nous ferons prochainement une synthèse de vos témoignages dans un article sur iGeneration.
Je réponds à l’appel à témoins : « êtes-vous satisfait de votre iPhone Air ? »
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ChatGPT perd une bataille, et doit payer pour les paroles de chansons
Le M1 pas assez musclé pour Apple Intelligence ?
Comme le rapporte Macrumors, Apple a modifié la page des produits compatibles avec Apple Intelligence.

Auparavant, tous les Mac ARM étaient compatibles. Dorénavant ceux dotés d'une puce M1 ne le sont plus, le processeur M2 étant le minimum.
Chose étrange, les iPad avec un M1 restent compatibles.
On pourra dire qu'Apple veut une expérience optimale pour ses utilisateurs.
Mon expérience me fait penser qu'il s'agit d'une limitation artificielle visant à pousser au renouvellement alors que le M1 est encore très largement assez puissant pour 99% des usages de particuliers. Je me doutais qu'un finirait à en arriver à cela. Pour Apple, Apple Intelligence est un nouveau moyen de programmer l'obsolescence de produits.
Apple Intelligence : petite confusion sur la compatibilité avec les Mac M1

Apple a tout récemment modifié une page de son site officiel indiquant désormais que la fonction Apple Intelligence nécessiterait un Mac équipé d’une puce M2 ou ultérieure. Cette mise à jour a immédiatement suscité l’inquiétude des utilisateurs possédant un Mac M1, jusque-là annoncé comme compatible avec cette nouvelle technologie d’intelligence artificielle intégrée à macOS Sequoia. […]
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Les smartphones Android trichent tellement dans les benchmarks que les développeurs en profitent pour accélérer les émulateurs
Quand un fabricant sort un smartphone Android qui a la même puce que tous ses concurrents, il essaye de trouver un moyen de se démarquer dans le domaine des performances. Et si certains mettent du refroidissement liquide et un ventilateur… d'autres trichent. La majorité des constructeurs s'est déjà fait prendre la main dans le pot de miel, car c'est assez simple à mettre en place et ça se remarque facilement. La méthode est basique : modifier le comportement du système sur puce quand un benchmark (Geekbench, Antutu, etc.) ou un jeu populaire (Genshin Impact, PUBG) est lancé.

Quand le programme est détecté — souvent via un simple identifiant —, le système sur puce peut fonctionner à une fréquence plus élevée, mettre une valeur de consommation maximale plus élevée, désactiver les mécanismes de throttling, etc. C'est une méthode qui ne va pas tromper les testeurs aguerris, qui possèdent parfois des versions modifiées des benchmarks pour éviter ce problème, mais elle permet à un utilisateur lambda de dire « Mon smartphone a le meilleur score sur AnTuTu1. »
Le Redmagic 11 Pro intègre un vrai refroidissement liquide et un ventilateur, pour les joueurs les plus acharnés
Les développeurs d'émulateurs en profitent
Nos confrères d'Android Autorithy montrent que cette triche parfois institutionnalisée (du côté de certains fabricants chinois) a donné des idées à des développeurs. GameHub Lite, un émulateur pour Android qui permet de lancer des jeux PC prévus pour Windows, a par exemple des versions qui contiennent AnTuTu, PUBG ou Ludashi (un autre programme de test) dans le nom de l'app.

Sur Reddit, une personne donne des détails. AnTuTu permet d'obtenir plus de performances dans l'absolu, mais avec un risque d'échauffement. Comme la solution est prévue pour un test de performances court, les mécaniques de protection matérielles pourraient s'activer. PUBG (un célèbre jeu) active des optimisations différentes, une sorte d'équivalent au mode jeu d'iOS ou macOS. Le but est de désactiver ce qui est inutile, de monter (un peu) les fréquences d'utilisation et de laisser le plus de puissance possible pour le système sur puce.
Apple ne triche pas (jusqu'à preuve du contraire)
Dans le cas d'Apple, iOS (et les autres) ne triche a priori pas, et la société n'a jamais été prise la main dans le sac. Il y a quelques optimisations pour les jeux, comme le mode jeu ou le mode Performance de certains Mac, mais tout est explicite et documenté. Notons que dans le monde PC, la triche existe aussi, mais elle est devenue assez rare. Quelques fabricants tendent à envoyer des cartes graphiques et autres processeurs sélectionnés pour leurs bonnes performances aux testeurs (il y a toujours une marge sur les fonctions liées aux fréquences variables) et quelques fabricants de cartes mères tentent encore parfois de modifier subtilement les fréquences pour paraître plus rapides2, mais c'est une méthode qui se détecte facilement.

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Tout en ayant une brûlure au premier degré sur la main parce que les mécanismes de protection sont désactivés. ↩︎
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Si la fréquence de base est de 100 MHz (par exemple), il suffit que la carte mère affiche 100 MHz, mais que les composants fonctionnent à 102 ou 103 MHz. Une petite différence qui va permettre d'être le premier dans les tests. ↩︎
macOS Tahoe : des problèmes de sauvegarde Time Machine sur des NAS
Avec l’abandon programmé des Time Capsule, le recours à un NAS s’impose comme une solution logique pour effectuer une sauvegarde Time Machine sans fil. Encore faut-il que cela fonctionne correctement, ce qui n’est pas toujours le cas. Depuis la sortie de macOS Tahoe 26, des utilisateurs rencontrent des difficultés pour sauvegarder leur Mac sur leur NAS.
La fin du protocole AFP va aussi frapper les NAS
Rappelons d’abord que les NAS sont eux aussi concernés par la dépréciation du protocole AFP. Si vous utilisez encore ce vieux protocole réseau pour votre sauvegarde Time Machine, un message d’avertissement vous informera qu’il ne sera plus pris en charge à partir de macOS 27.

Contrairement à Apple qui n’offre aucune solution de repli pour ses Time Capsule, les fabricants de NAS permettent généralement de basculer vers le protocole SMB plus récent afin de conserver la compatibilité avec Time Machine. Puisque l’option dépend du système d’exploitation du NAS, un modèle très ancien peut toutefois en être privé. Vous trouverez des explications ici pour Synology et là pour QNAP.
Des problèmes en SMB
Si, comme moi, vous pensez bien faire en remplaçant AFP par SMB dès maintenant, gare à vous : des utilisateurs font état de problèmes avec Time Machine en SMB sur macOS Tahoe. Les sauvegardes ne se terminent pas ou bien divers messages d’erreur apparaissent, comme « Disque de sauvegarde indisponible ». Les témoignages s’accumulent aussi bien sur les forums d’Apple que sur ceux des grands fabricants : 1, 2, 3, 4…
Une cause a été identifiée : comme l’explique QNAP, les sauvegardes peuvent échouer si le nom du Mac, le nom du fichier de sauvegarde ou le chemin du dossier partagé contient des caractères spéciaux ou non-ASCII, tels que des lettres accentuées (ä, ø, é) ou des caractères non latins (chinois, japonais, coréen).
La solution consiste alors à supprimer ces caractères des noms concernés. Cela a suffi à résoudre le problème pour certains utilisateurs, mais pas pour tous. Les causes restantes demeurent obscures et on espère simplement qu’Apple réglera ces bugs avant de tourner définitivement la page d’AFP. D’ici-là, si vous utilisez toujours AFP, ne vous précipitez pas sur SMB, car un retour à AFP est impossible en cas de problème.
Pourquoi utiliser un NAS ? Tout ce qu'il faut savoir sur les fonctions de sauvegarde, synchronisation, VPN…
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Palm Royale : la saison 2 démarre sur Apple TV (1 épisode disponible)

La série Palm Royale est de retour sur Apple TV. La saison 2 démarre aujourd’hui même avec un seul épisode disponible (les épisodes suivants seront diffusés chaque mercredi). Le pitch : « Palm Royale raconte l’histoire de Maxine Simmons (Kristen Wiig) qui essaie de se faire une place dans les hautes sphères de la société de […]
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Les robots aspirateur de Neato dépendaient de serveurs distants, ils vont perdre toute connexion sans recours
Voici encore une histoire malheureuse pour la domotique dépendante de serveurs tiers. Comme nous le signale un lecteur, les robots aspirateurs de Neato ont été déconnectés, comme leur fabricant l’a annoncé par mail à tous ses clients. Ces appareils dépendaient de serveurs mis en place par leur concepteur pour fonctionner normalement et l’arrêt de ces services en ligne va considérablement réduire leur intérêt. Leur propriétaire actuel a beau souligner que les robots pourront toujours aspirer, il faudra les contrôler en utilisant les boutons physiques sur l’appareil, ce qui n’est pas du tout l’objectif quand on achète un produit connecté.
Neato Robotics a été fondée en Californie il y a vingt ans et c’est l’un des pionniers des robots domestiques. Suite à son achat en 2017 par Vorwerk, firme allemande surtout connue pour le fameux robot de cuisine Thermomix, sa gamme de produits devait être vendue en Europe, mais la marque a finalement disparu en 2023. À l’époque, son propriétaire s’était engagé sur un maintien des services en ligne pour cinq ans, une promesse assez généreuse qui n’a pas été tenue malheureusement. Deux ans plus tard, Vorwerk ferme précipitamment les serveurs, ce qu’elle justifie en évoquant de nouvelles conditions.
« Les normes de cybersécurité, les obligations de conformité et les cadres réglementaires ont considérablement évolué » depuis la promesse initiale, voilà l’explication donnée par l’entreprise dans sa communication officielle. Plutôt que de mettre à jour l’infrastructure, Vorwerk préfère tout fermer sans préavis. Si on peut imaginer qu’une importante faille de sécurité a été découverte, on n’en saura pas plus à ce stade. Tout ce que l’on sait, c’est que les clients sont mis devant le fait accompli. Notre lecteur nous a d’ailleurs indiqué avoir reçu un deuxième mail dans la foulée, pour le prévenir de la suppression immédiate de son compte Neato, preuve sûrement de l’urgence de la situation.
C’est en tout cas un bon rappel de l’importance de la domotique qui fonctionne en local sans dépendre d’un serveur. Encore un, puisque les exemples se sont multipliés ces dernières années et continuent de s’accumuler. Plus récemment, les pannes successives de deux hébergeurs majeurs dont dépendent de nombreux fabricants de produits connectés ont servi de piqûre de rappel.
Ce fabricant de literie connectée rappelle pourquoi la domotique devrait toujours être locale
Pour les robots aspirateurs, la situation est un petit peu compliquée par l’absence de propositions réellement locales. Le standard Matter gère cette catégorie de produits et on peut ainsi les intégrer à Maison d’Apple, entre autres, avec un contrôle local. Néanmoins, il ne couvre pas toutes les fonctionnalités de ces appareils très sophistiqués, capables notamment de créer un plan de votre logement pour nettoyer différemment chaque pièce, voire chaque zone spécifique à l’intérieur des pièces. Tout ce travail en amont et le contrôle avancé de ces robots passe toujours par l’app fournie par le fabricant et repose sur des serveurs également gérés par le constructeur.
Comment les aspirateurs robots Matter prennent leurs quartiers dans la Maison d’Apple
Malgré tout, si les produits de Neato avaient une option en local comme Matter, l’arrêt des serveurs décidé par Vorwerk aurait été nettement moins gênant. La domotique aurait permis de maintenir le contrôle à distance et surtout les automatisations, clé de la domotique. À défaut, les clients qui ont encore un robot aspirateur conçu par Neato devront appuyer sur un bouton physique placé sur l’appareil à chaque fois qu’ils souhaitent nettoyer leur logement… ou changer d’équipement.
Minisforum lance son premier PC ARM, qui ne concurrence pas le Mac mini
Minisforum est une société spécialisée dans les PC compacts à bas prix, et elle a décidé de s'attaquer à un marché un peu particulier : celui des PC ARM. Et si le MS-R1 est intéressant sur le papier, ne serait-ce que parce qu'il a peu de concurrence, il fait tout de même pâle figure face à un Mac mini M4.

Le mini PC intègre une puce ARM peu connue, le CP8180 de chez Cix Technology. C'est un système sur puce assez limité, équipé de douze cœurs en 8+4. Huit des cœurs sont des Cortex A720, le milieu de gamme d'ARM de 2023 qui est employé généralement comme « cœur à tout faire » dans les smartphones, avec une fréquence de 2,6 GHz (ce qui est faible dans l'absolu). Les quatre autres cœurs sont des Cortex A520, l'entrée de gamme d'ARM dans les puces basse consommation, à 1,8 GHz et sans cache de niveau 2. C'est un système sur puce significativement moins puissant que la puce M4 d'Apple, avec dans le meilleur des cas environ 1/3 des performances sur un cœur et 1/4 sur plusieurs. Dans les faits, le processeur est du niveau des puces Intel N1xx, mais pour un prix nettement plus élevé.
Le GPU intégré est un Immortalis G720 doté de dix cœurs. Sur le papier, le GPU issu de chez ARM (gamme Mali) est au mieux au niveau du GPU d'une puce M1, mais l'accélération vidéo ne semble pas disponible ici. Le système sur puce intègre un NPU avec une puissance de 28 TOPS, ce qui n'est pas énorme mais suffisant pour de nombreux usages.

Les premiers essais montrent que le TDP de 28 W est respecté, malheureusement. C'est en effet une valeur élevée pour un système sur puce ARM, et l'alimentation de 180 W fournie le montre bien.
Un peu plus modulaire que le Mac mini, avec des limites
La machine est modulaire, tout du moins en partie. Elle intègre un emplacement M.2 PCI-Express 4.0 (x4) pour un SSD et un second pour une carte Wi-Fi, qui peut aussi être employé pour un SSD, mais en 2x (donc avec un débit maximal de 4 Go/s). L'ordinateur intègre un connecteur PCI-Express 16x, mais il est câblé en 8x. Le volume du mini PC empêche l'installation d'une carte graphique haut de gamme, tout comme la puissance de l'alimentation, et — surtout — les pilotes GNU/Linux pour les GPU restent rares sur les plateformes ARM. Mais si vous avez des cartes d'extension ou envie d'installer un troisième SSD, c'est une solution pratique.
Pour la RAM, c'est de la LPDDR5-5500 qui est de la partie. LPDDR oblige, elle est soudée, avec un choix au moment de l'achat (32 ou 64 Go). La largeur du bus n'est pas indiquée, mais la fréquence est assez faible : elle se situe entre les premiers Mac M1 et les modèles M2. La marque explique qu'il est possible d'activer la correction d'erreur (ECC) mais elle n'est pas prise en charge nativement : si elle est activée, une partie de mémoire vive est perdue (1/8).

La connectique est assez large : une prise jack 3,5 mm, une sortie vidéo HDMI 2.0, quatre prises USB-A (2.0, 480 Mb/s), trois prises USB-A (USB 3.2, 10 Gb/s) et deux prises USB-C compatible DisplayPort pour la vidéo. Point intéressant, les deux prises Ethernet sont compatibles 10 Gb/s.
Pas de Windows
Un point important va venir de l'OS : une distribution GNU/Linux (Debian 12). Windows 11 n'est visiblement pas de la partie, et les distributions compilées pour les puces ARM restent rares. Minisforum met en avant un point, la présence d'un UEFI, ce qui doit simplifier l'installation des distributions.
Le mini PC est vendu à partir de 530 €, avec 32 Go de RAM, mais sans stockage. Il faut compter 600 € avec un SSD de 1 To, 640 € avec 64 Go de RAM et 720 € avec 64 Go de RAM et 1 To de stockage. Pour le prix d'un Mac mini M4, vous aurez donc quatre fois plus de RAM et quatre fois plus de stockage, mais des performances sans commune mesure et de nombreuses limites liées au système d'exploitation.
En l'état, son existence est une bonne nouvelle pour ceux qui veulent s'essayer aux plateformes basées sur des puces ARM, mais il s'agit tout de même plutôt d'un ordinateur pour ceux qui veulent découvrir la plateforme ou qui ont un but précis qui se contente de performances limitées. Pour un usage grand public, trouver un des rares mini PC à base de Snapdragon X Elite ou un PC portable (même si les prix sont plus proches de 1 000 €) a plus de sens. Ou — si macOS ne vous gêne pas —, vous tourner vers un Mac mini M4.
Le gestionnaire de paquets Homebrew 5 prend officiellement en charge macOS 26
Homebrew 5 est disponible et cette mise à jour majeure du gestionnaire de paquets est aussi la première à prendre officiellement en charge macOS 26. L’outil en ligne de commande qu’on utilise par défaut dans le terminal fonctionnait en réalité déjà avec Tahoe et ce, dès la première bêta sortie en juin dernier comme j’ai pu le constater sur mon Mac. Néanmoins, des messages indiquaient que le nouveau système d’exploitation d’Apple n’était pas géré officiellement et des bugs pouvaient exister. Ce n’est plus le cas avec cette version, qui devrait s’installer automatiquement lors de votre prochaine utilisation du gestionnaire.
Pour rappel, Homebrew permet d’installer des programmes qu’on exploite également dans le terminal ou même des apps graphiques pour le Mac. Il s’installe dans une session de terminal et permet ensuite de télécharger un programme avec une commande brew install suivie de son nom. Par exemple brew install ffmpeg permet d’ajouter cet excellent couteau-suisse capable de convertir n’importe quel fichier multimédia sur son ordinateur. Pour mettre à jour tout ce que le gestionnaire de paquets a configuré dans macOS, il faudra deux commandes : brew update met à jour sa base de données, puis brew upgrade installe les nouveautés.
Avec la version 5, il y a deux changements notables de ce côté. D’une part, Homebrew va désormais télécharger les mises à jour en parallèle, en ouvrant plusieurs connexions, ce qui permet de gagner du temps. On peut désactiver ce fonctionnement avec une variable d’environnement, mais c’est une bonne manière de réaliser l’opération nettement plus rapidement, sans effet négatif a priori. D’autre part, le programme indique la progression du téléchargement avec un indicateur du poids total à charger et l’état actuel. Si les paquets sont en général petits, moins de 10 Mo pour la plupart, cela reste une information utile pour les connexions lentes.
Les développeurs de Homebrew ont formalisé leur gestion des versions majeures de macOS, on pourra retrouver le détail à cette adresse. Pour faire simple, macOS 10.15 ne sera plus pris en charge à partir de septembre 2026, tandis que les Mac Intel seront officiellement dépréciés. À partir de septembre 2027, Homebrew ne pourra plus fonctionner sur les Mac Intel, seuls les modèles Apple Silicon sous macOS 11 seront compatibles avec le programme. Puisque le code est ouvert, un fork (variante sur la même base) sera peut-être créé d’ici là pour les utilisateurs qui souhaitent conserver leur Mac Intel et continuer à utiliser le gestionnaire.
Homebrew est un outil gratuit et open-source, qui existe aussi sous Linux.
L’iPhone Pocket est-il la nouvelle chaussette à iPod ?
La charge rapide détruit-elle vraiment votre batterie ? On a enfin la réponse.
Le Mac Studio M4 Max, grand oublié

J'ai un Mac mini M4 32 Go/256 Go, une configuration surprenante qui a fait coulé de l'encre sur les forums, mais qui me convenait bien comme machine connectée 24h/24, pour mes usages.
Je n'ai pas besoin d'une CPU plus puissante, mais pour les modèles d'IA LLM génératifs j'aimerais qu'ils aillent bien plus vite, et je joue à Monte-Carlo (comprenne qui pourra) ce qui me nécessite une GPU plus rapide avec Metal. C'est la GPU qui lance les dés.
La première limite tient à la bande-passante mémoire, la seconde uniquement à la puissance pure de la GPU.
J'ai alors examiné les Mac mini M4 Pro puis par curiosité le Mac Studio M4 Max "de base". Je le sous-estimait. Trop haut-de-gamme pour moi.
Quoi de plus avec un Mac Studio M4 Max face au Mac mini M4 Pro
Par rapport au Mac mini M4 Pro, le Mac Studio M4 Max apporte énormément de choses, oublions un instant CPU, bande-passante mémoire ou GPU. Je vais y revenir.
D'abord pour les monteurs vidéos, 2 moteurs d'encodage vidéo au lieu d'un et aussi 2 moteurs de décodage et d'encodage ProRes au lieu d'un.
Ensuite le support de 4 écrans 6K au lieu de 3, mais je n'en vois pas l'utilité, en revanche le support d'un moniteur 6K en plus du moniteur 8K supporté par le M4 Pro.
1 port Thunderbolt 5 en sus, 2 ports USB type A, le 10Gb Ethernet d'office, et un lecteur SDXC.
Le Mac mini M4 Pro de base
La version de base est 24 Go / 512 Go. Très respectable. Dans un format tout rikiki!
Le Mac Studio coûte 35% plus cher (2299€ contre 1699€), et si le Mac mini M4 Pro de base vous suffit, pourquoi payer plus cher?
Le mac mini M4 Pro proche du Mac Studio M4 Max
Si en revanche on prend un Mac mini M4 Pro 24 Go / 512 Go, on upgrade la CPU à 14 cœurs et la GPU à 20 cœurs, on est seulement 10% moins cher que le Mac Studio M4 Max.
Il se trouve que si la CPU est à un niveau similaire, la bande-passante mémoire et la GPU se tapent un +50%, sans parler de toutes les IO, encodeurs ou décodeurs offerts.
Ah oui, le Mac Studio M4 Max a 36 Go de RAM pour ce prix là, 12 Go en plus!
Même si vous ne recherchez que les performances CPU sur un Mac mini M4 Pro, il est fort à parier que soit vous apprécierez les IO, encodeurs, décodeurs ou la RAM en sus, et fort probablement le prix de revente !
Moi moi moi
Oui car il s'agit de moi, de ma configuration de Mac mini M4 32 Go / 256 Go, et pas de vous, de vos propres besoins qui sont forcément différents et que je respecte.
Je pourrais prendre un Mac mini M4 Pro, mais 48 Go, plus cher en fait que le Mac Studio M4 Max dont les 36 Go de RAM me suffiraient (LLM génératifs 30b). Plus cher et plus lent!
En revanche, le Mac Studio M4 Max me parait parfait pour mon usage, 4 Go de RAM en plus, mais surtout 3 fois plus rapide que mon Mac mini M4 et 50% plus rapide qu'un Mac mini M4 Pro 14 cœurs CPU/20 cœurs GPU pour mes usages, pour un prix très proche !
Je pense que le Mac Studio M4 Max est largement sous-estimé !
Il n'est pas sur le Refurb Apple, je vais peut-être attendre le Mac Studio M5 Max ou me faire un cadeau de Noël....
Apple Vision Pro : une nouvelle expérience immersive à bord du porte-avions USS Nimitz

Apple enrichit de nouveau le catalogue de son casque Vision Pro avec une expérience immersive inédite baptisée Flight Ready. Ce court métrage de 14 minutes transporte les spectateurs sur le pont d’envol de l’USS Nimitz, aux côtés de pilotes de chasse F-18, pour une immersion totale dans les coulisses de l’aéronavale américaine. Lancée à l’occasion […]
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Apple se met à vendre les manettes PlayStation VR2 Sense

Comme prévu, Apple propose un nouveau produit à la vente, à savoir les manettes PlayStation VR2 Sense, ainsi que la station de charge. L’intérêt est de les utiliser avec l’Apple Vision Pro pour les jeux. Les manettes PlayStation VR2 Sense arrivent sur l’Apple Store Voici ce qu’indique Apple en description : Il est désormais facile […]
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iOS 26 • Comment revenir à un simple bouton lors de l’affichage de l’alarme
Vision Pro : les manettes de PS VR2 sont désormais en vente sur l’Apple Store américain
visionOS 26 a apporté la prise en charge des manettes de PS VR2, le casque de réalité virtuelle de Sony pensé pour la PS5. Si l’idée a de quoi intriguer, Cupertino et Sony ne commercialisaient jusqu’à présent pas de version indépendante de l’accessoire, limitant fortement son intérêt. C’est désormais chose faite : les manettes de PS VR2 peuvent être achetées sur l’Apple Store… aux États-Unis. On imagine qu’elles arriveront prochainement sur le versant français de la boutique.

Le duo de manettes est vendu pour 250 $ aux États-Unis, ce qui devrait se traduire par quelques dizaines d’euros de plus en France pour inclure les différentes taxes. Elles seront disponibles en boutique à partir du 17 novembre. Le coffret comprend les manettes, un socle de recharge, un câble d'alimentation, un adaptateur secteur et deux adaptateurs USB.
L’Apple Store devient donc le seul endroit où l’on peut se procurer ces manettes de manière indépendante, Sony ne les commercialisant pas à l’unité. Pas sûr que ce soit une bonne affaire : le casque complet passe souvent sous la barre des 400 € en périodes de promotion, qui sont assez régulières. Sony a plus ou moins arrêté de développer des exclusivités pour son casque suite à des ventes en deçà de ses attentes. Si vraiment vous êtes curieux, le PS VR2 est assez facilement trouvable d’occasion dans les 300 €.

Grâce à la prise en charge de ces manettes, Apple compte permettre de jouer un peu plus facilement sur le Vision Pro. Il faut dire que le casque reposait jusqu’à présent uniquement sur le suivi des mains, ce qui est assez limité. Faute de boutons et de suivi complètement adapté, la plupart des jeux restent très basiques.
Cependant, les jeux visionOS tirant parti de ces manettes devraient rester rares pour l’instant. Apple n’a malheureusement pas signé de contrat avec Sony pour porter certaines grosses exclusivités. Le seul titre présenté à la WWDC était Pickle Pro, un jeu à 9 € permettant de s’entraîner au pickleball dans son salon. L’app Ping Pong Club a été mise à jour pour profiter de la nouveauté.