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WebKit : le régulateur britannique accuse Apple de freiner l’innovation dans les navigateurs mobiles
Quatre mois n’y auront rien fait : la Competition and Markets Authority (CMA) confirme les résultats de son enquête sur le marché des navigateurs mobiles et accuse Apple de « limiter la concurrence » en imposant son moteur de rendu WebKit sur iOS. Même si la firme de Cupertino permet depuis quelques semaines de changer le navigateur par défaut, le régulateur britannique estime que cette concession « ne résout pas tous les problèmes » et empêche les utilisateurs de véritablement « choisir le navigateur qu’ils souhaitent utiliser ».

Cette conclusion n’est pas une surprise, puisque la CMA reprend l’essentiel du rapport prévisionnel qu’elle avait publié en novembre dernier. Le régulateur britannique s’inquiète encore et toujours du renfermement des écosystèmes mobiles : Safari est utilisé par 88 % des propriétaires d’iPhone et Chrome par 77 % des propriétaires d’appareils Android. Chrome (11 % sur iOS) et Samsung Internet (13 % sur Android) ne sont pas vraiment une alternative, puisque le premier utilise le moteur WebKit de Safari et le deuxième utilise le moteur Blink de Chrome.
Mais il y a une différence de taille : Google doit utiliser WebKit sur iOS, alors que Samsung pourrait utiliser un autre moteur de rendu sur Android, comme le prouve d’ailleurs Mozilla avec son navigateur Firefox basé sur Gecko (3 % sur Android). Peu importe le navigateur que vous utilisez sur votre iPhone, vous finissez par utiliser le moteur de rendu d’Apple. Or « Safari a ou a eu accès plus rapidement ou plus profondément à des fonctionnalités du système » que les autres navigateurs basés sur WebKit.
La CMA dénonce ainsi la gourmandise d’Apple, qui veut le beurre (imposer son moteur de rendu aux concurrents) et l’argent du beurre (castrer la version du moteur de rendu imposée aux concurrents). Seul Safari peut bénéficier du catalogue des extensions distribuées dans l’App Store, et les navigateurs tiers ont dû attendre deux ans avant de profiter des mesures de protection contre le pistage et quatre ans avant de pouvoir afficher des vidéos en plein écran.
Sous la pression du régulateur européen, Apple a certes dû accepter que les navigateurs tiers puissent utiliser leur propre moteur de rendu, mais cette possibilité n’a pas fait d’émules. Pour la CMA, il ne fait aucun doute que « l’accord de partage des revenus entre Apple et Google » sur le placement préférentiel du moteur de recherche dans Safari « diminue l’intérêt financier d’une compétition entre les deux navigateurs ». Cela changera peut-être si le régulateur américain finit par interdire cet accord.
Le constat posé, la CMA doit agir… mais ne peut pas encore le faire. Le régulateur britannique doit encore décider si Apple et Google peuvent être considérés comme des opérateurs ayant un « statut de marché stratégique ». Si tel était le cas, les deux entreprises pourraient être forcées de changer leurs pratiques ou risquer des amendes atteignait jusqu’à 10 % de leur chiffre d’affaires annuel.

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AAPL : les analystes sont un peu moins confiants (à cause de l’IA ?)

Les errements d’Apple sur l’IA commencent doucement à entamer la confiance des investisseurs : l’analyste de Morgan Stanley, Erik Woodring, a ainsi abaissé son objectif de cours de l’action Apple (AAPL) à 252 dollars au lieu de 275 dollars précédemment, invoquant des fortes inquiétudes concernant un ralentissement du taux de renouvellement des iPhone lié aux […]
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Les ventes d’iPhone SE et mini ont dégringolé ces 3 dernières années (l’iPhone 16e à la rescousse ?)

Un rapport du Consumer Intelligence Research Partners (CIRP) montre que les iPhone d’entrée de gamme, soit les modèles iPhone mini et SE désormais abandonnés par Apple, ne pesaient déjà plus grand chose dans la part globale des iPhone achetés chaque année. Ces deux modèles sont ainsi passés en trois ans de 20 % des ventes […]
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Les promotions sur les iPad Air M2 font de l'ombre aux nouveaux M3
Avec l'iPad Air M3, Apple a fait le service minimum puisque le remaniement de cette gamme s'est limité à ce changement de processeur. Dès lors, la précédente génération M2 conserve tout son intérêt et plus encore avec quelques promotions qui suivent la commercialisation, hier, de la nouvelle gamme.

On peut viser des capacités de stockage plus importantes, envisager une version cellulaire et, dans certains cas, de grosses capacités sont particulièrement soldées. Cdiscount et Amazon sont parfois alignés sur les prix, mais il arrive aussi que l'un fasse bien mieux que l'autre. Enfin, les stocks de part et d'autre sont assez variables.
Pour mémoire, l'iPad Air M3 de 11" Wi-Fi démarre à 719 € en 128 Go et 889 € en cellulaire ; le M3 de 13" Wi-Fi débute à 969 € en 128 Go et 1 139 € en cellulaire.
- iPad Air M2 11" Wi-Fi de 256 Go à 789 € chez Amazon (mauve) et à 799 € chez Cdiscount (lumière stellaire)
- iPad Air M2 11" Wi-Fi de 512 Go à 850 € chez Cdiscount (gris sidéral)
- iPad Air M2 11" Wi-Fi de 1 To à 950 € chez Cdiscount (lumière stellaire)
- iPad Air M2 11" Cellulaire de 128 Go à 830 € chez Cdiscount (lumière stellaire)
- iPad Air M2 11" Cellulaire de 256 Go à 959 € chez Amazon (mauve)
- iPad Air M2 11" Cellulaire de 512 Go à 980 € chez Amazon (mauve)

L’iPad A16, les iPad Air M3 et le nouveau Magic Keyboard pour iPad Air maintenant disponibles
- iPad Air M2 13" Wi-Fi de 128 Go à 870 € chez Amazon (bleu) et chez Cdiscount
- iPad Air M2 13" Wi-Fi de 256 Go à 1 039 € chez Amazon et chez Cdiscount
- iPad Air M2 13" Wi-Fi de 512 Go à 1 289 € chez Amazon (lumière stellaire)
- iPad Air M2 13" Cellulaire de 128 Go à 1 050 € chez Cdiscount (gris sidéral)
- iPad Air M2 13" Cellulaire de 512 Go à 1 100 € chez Cdiscount (gris sidéral)

Refurb : l'iPad 10 baisse à 289 € et l'iPad Air M1 à 449 €
Meta veut une puce IA maison pour s’affranchir de Nvidia dès 2026
Tusk présente des optiques et des filtres pour filmer avec l’iPhone comme à Hollywood
Tusk et ShiftCam se sont associés pour créer la CINEMA//Series, un système de bonnettes et de filtres « de qualité cinématographique » pour l’iPhone. Déjà utilisé pour tourner quelques clips de démonstration et quelques publicités, le kit complet compte sept optiques et huit filtres magnétiques, livrés dans une mallette fort élégante. Le prix du professionnalisme ? “Seulement” 1 800 € pendant la campagne de sociofinancement sur Kickstarter.

D’un côte, Tusk, un « collectif international de réalisateurs, de cinéastes, de producteurs et de créateurs de contenu ». De l’autre, ShiftCam, l’accessoiriste qui a notamment conçu la poignée ProGrip vendue par Apple. Entre les deux, la CINEMA//Series, un système modulaire qui tourne autour d’une coque possédant une monture à baïonnette pour mettre et retirer rapidement les bonnettes. Tusk propose sept modèles :
- un fisheye de 8 mm avec un champ de 200° ;
- un grand-angle de 16 mm ;
- un objectif anamorphique 1,55× de 15 mm ;
- un objectif anamorphique 1,33× de 18 mm ;
- un objectif macro 10× de 25 mm ;
- un téléobjectif de 60 mm ;
- et un téléobjectif macro de 75 mm.
Si cela vous dit quelque chose, c’est normal, ce n’est rien d’autre que le catalogue de bonnettes LensUltra de ShiftCam. Quel est l’intérêt de débourser 1 800 €, alors, autrement que pour la jolie mallette ? Pour la formulation optique améliorée, d’abord, mais aussi et surtout pour la forme des bonnettes, qui acceptent les filtres de 72 mm.

Tusk propose d’ailleurs huit modèles magnétiques : un polariseur circulaire, un filtre ND variable entre 1 et 5 stops et un autre entre 6 et 9 stops, quatre filtres ND (8, 64, 128 et 512) et un filtre black mist 1/2 pour ajouter un léger brouillard. Les différents éléments du système, fabriqués en aluminium, pèsent entre 29 et 320 grammes.

Vous pouvez (pré)commander les optiques pour 184 à 243 € chacune, une réduction de 33 % sur le prix final, ou bien l’ensemble du kit pour 1 796 €, une réduction de 43 % sur le prix final. La coque est déclinée pour l’iPhone 14 Pro, l’iPhone 14 Pro Max, l’iPhone 15 Pro, l’iPhone 15 Pro Max, l’iPhone 16 Pro et l’iPhone 16 Pro Max. Si vous n’avez pas d’ambitions cinématographiques ni le budget qui va avec, mais que vous voulez quand même transformer votre iPhone en appareil photo, regardez plutôt du côté de la drôle de coque de Fotorgear.
Intel s'est trouvé un nouveau CEO
Intel s'est choisi un nouveau CEO en la personne de Lip-Bu Tan, un vétéran de ce secteur qui avait claqué la porte du conseil d'administration du fondeur l'été dernier.
Début décembre, le conseil d'administration d'Intel poussait son CEO Pat Gelsinger vers la sortie. Cet ancien du groupe avait été rappelé quatre ans plus tôt pour remettre l'entreprise sur les rails face à une concurrence, TSMC en premier lieu, devenue beaucoup plus performante et innovante. Depuis, le groupe avait une direction intérimaire.

C'est la même mission qui échoit à Lip-Bu Tan. Nommé CEO, il va aussi retrouver le conseil d'administration qu'il avait quitté en août dernier sur fond de désaccord avec son prédécesseur. Lip-Bu Tan nage dans l'industrie des semi-conducteurs depuis plus de 20 ans. Il a dirigé Cadence, de 2009 à 2021, un vendeur de logiciels utilisés pour la conception de processeurs.

Intel, de tempêtes en naufrage
Dans le communiqué d'Intel, le nouveau patron fait part de la longue admiration et son respect pour le groupe et marque sa volonté de restaurer sa compétitivité pour ses clients sans oublier ses investisseurs. Sur ses projets, il s'en tient pour l'heure à des déclarations d'intention convenues : « Intel dispose d'une plate-forme puissante et singulière, d'une large clientèle et d'une solide implantation manufacturière qui se renforce de jour en jour à mesure que nous redéfinissons la feuille de route de nos processus technologiques ».

Le fondateur de TSMC explique pourquoi Apple a abandonné Intel
Son départ du conseil d'administration l'été dernier aurait été motivé par sa frustration devant une culture d'entreprise qu'il jugeait trop bureaucratique, trop peu portée sur la prise de risques, sur la manière dont Intel négociait ses contrats de fabrication et face à des employés beaucoup trop nombreux à son goût.
Cette nomination intervient alors que des rumeurs couraient cette semaine sur l'intérêt de Broadcom pour les activités de conception d'Intel tandis que TSMC avait étudié l'idée de prendre le contrôle de certaines sinon de toutes les usines d'Intel au travers d'un consortium ou d'une autre structure. L'arrivée du nouveau CEO semble fermer la porte à ces initiatives.

TSMC : retour sur l'histoire du fondeur taïwanais qui a conquis Apple
Un autre dossier qui attend Lip-Bu Tan est beaucoup plus politique, avec la volonté de Donald Trump de tirer un trait sur le CHIPS and Science Act lancé par Joe Biden et grâce auquel Intel avait obtenu plusieurs milliards de dollars pour ses investissements.
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L'Apple Watch Ultra 2 à 699€ : énorme promo, son prix le plus bas jamais constaté !
Des étudiants italiens remportent 43 000 € au Loto grâce à l'IA
Ubisoft dans la tourmente : même les actionnaires appellent à la manifestation
En Inde, Apple empêche certaines entités d’accéder à des informations commerciales sensibles

Reuters rapporte qu’en Inde, Apple a réussi à empêcher certaines entités, dont Match (propriétaire de Tinder) ainsi que le groupe de startups Alliance of Digital India Foundation (ADIF), d’accéder à des informations commerciales sensibles issues d’une enquête antitrust menée par la Competition Commission of India (CCI), le régulateur indien. L’enquête avait conclu qu’Apple abusait de […]
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Rumeurs • Une nouvelle interface pour macOS 16, iOS 19 et iPadOS 19 ?

John Gruber tombe à bras raccourcis sur Apple
John Gruber est connu pour être un commentateur avisé sur Apple et à ses heures perdues un pourvoyeur d'informations sur le futur de la société.
L'annonce d'Apple sur le retard des fonction d'Intelligence l'a autant surpris qu'agacé.
Dans une assez longue tribune il revient sur tout cela depuis la première annonce d'Apple Intelligence en passant par les démonstrations en petits comités.
Nous n'allons pas ici reprendre tous ces propos, plutôt ses conclusions mais nous vous invitons à aller en lire l'intégralité.
En résumé c'est une société prise au dépourvu qui a fait une série d'annonces commerciales ne reposant sur pas grand chose quand ces annonces ont été faites et qui maintenant court après ce qu'elle a fait passer pour des faits sans la moindre substance derrière.
La société a basé l'essentiel de la promotion commerciale de l'iPhone 16 sur des futures fonctions qu'elle ne pourra pas déployer avant longtemps. John Gruber parle à ces sujets de "promesses exagérées (voir de mensonges)".
Voici sa conclusion finale:
"Tim Cook aurait déjà dû organiser une réunion comme celle-là pour aborder et rectifier le problème de Siri et d'Apple Intelligence. Si une telle réunion n'a pas encore eu lieu ou n'a pas lieu prochainement, alors, je le crains, elle n'a rien à écrire de plus. Le chemin est long. Quand la médiocrité, les excuses et les conneries s'installent, elles prennent le dessus. Une culture d'excellence, de responsabilité et d'intégrité ne peut tolérer l'acceptation de ces trois éléments et s'effondrera rapidement avec l'acceptation des trois."
Tout et dit. Et maintenant ? Apple risque certainement assez rapidement une Class Action des acheteurs d'iPhone de la série 16 et probablement une enquête des autorités boursières. En effet, si les erreurs et les retournements de marché ne sont pas illégaux, mentir est une chose grave pour une société cotée en bourse.
Des têtes vont certainement tomber également, ce qui ne serait probablement à notre goût comme nous vous le disions il y a très peu de temps.
Après Pat Gelsinger, Intel désigne son nouveau patron ! Quelles sont ses priorités ?
Pas de backdoor pour le Royaume-Uni : Apple obtient une audience à huit clos
Sonos annule son boîtier multimédia concurrent de l’Apple TV

Sonos a décidé d’abandonner son projet de box multimédia qui avait pour nom de code Pinewood et qui était prévu pour cette année afin de concurrencer l’Apple TV, ainsi que d’autres produits. Pas de concurrent à l’Apple TV par Sonos The Verge révèle que l’annonce a été faite lors d’une réunion interne avec les employés, […]
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Microsoft enterre définitivement Remote Desktop
Le Mac Studio gagne le mode Économie d’énergie

Promo : l’adaptateur double USB-C 35 W d’Apple à 50 € au lieu de 65
L’adaptateur USB-C double d’Apple est de nouveau en promotion notamment chez Amazon, cette fois à 50 € au lieu de 65. C’est son meilleur prix pour le géant du commerce, même si on l’a croisé à plus bas encore pendant des soldes. C’est aussi un très bon prix pour cet accessoire capable de charger deux appareils en même temps, même s’il faut garder à l’esprit que sa puissance totale limite les possibilités.

Avec ses 35 W au maximum, il peut alimenter deux appareils à 17,5 W ou bien laisser plus de puissance à celui qui le demande. Apple le propose avec son MacBook Air, qui n’a pas besoin d’énormément d’énergie et qui peut ainsi occuper un port, tandis que l’autre pourra servir à charger un iPhone, par exemple. Néanmoins, n’espérez pas charger rapidement le smartphone d’Apple en même temps qu’un MacBook Air, la puissance totale est trop limitée pour cela.

Mini-test de l’adaptateur secteur 35 W d’Apple à double port USB-C
C’est peut-être trop contraignant au prix de base de 65 €, c’est déjà une meilleure option à 50 €. On le trouve à ce tarif chez Amazon ainsi que sur des boutiques en ligne françaises, comme chez Boulanger.
Du côté d’Amazon, on note aussi que l’adaptateur USB-C 20 W est en promotion également, à 18 € au lieu de 25. Celui-ci est surtout intéressant pour la charge rapide d’un iPhone, ou bien pour un iPad.
iRobot va mal : bientôt la fin des Roomba ?
Sonos abandonne son projet d'Apple TV
Le HomePod à écran entrerait toujours en production cet été
Le HomePod équipé d'un écran entrerait en production dans le courant du 3e trimestre, indique l'analyste Ming-Chi Kuo. Il réitère en cela une affirmation faite en décembre dernier selon laquelle ce produit a connu des retards successifs (Kuo s'attendait à une arrivée en 2024). Le lancement de sa fabrication aurait pu intervenir ce trimestre-ci, mais des impondérables l'auraient fait reculer à cet été, après la WWDC.
L'analyste citait en décembre des difficultés sur la partie logicielle, sans les détailler. Dans un tweet, il mentionne brièvement Apple Intelligence mais aussi la nécessité pour Apple d'aligner l'interface de ce produit sur les changements prévus à l'occasion d'iOS 19 qui deviendront le nouveau visage logiciel des produits de la fin 2025.

On peut aussi se poser la question de l'importance de l'impact qu'a eu la décision de renvoyer à plus tard certaines capacités de Siri. Fin janvier, Bloomberg affirmait que ce Siri dopé à Apple Intelligence serait un élément clef de l'interaction avec ce HomePod d'un nouveau genre. La semaine dernière, Apple a très officiellement repoussé à des jours meilleurs — courant 2026 — la mise en route de ce Siri plus puissant.
Cet accessoire d'Apple serait formé d'une enceinte, d'un écran de format carré de 6 à 7" et d'une puce A18, toujours selon les informations de Ming-Chi Kuo remontant à décembre.

Apple compte bien présenter son HomePod à écran en 2025
Chiffrement d’iCloud au Royaume-Uni : l’audience demandée par Apple se tiendra vendredi
Alors qu’Apple a modifié le comportement d’iCloud au Royaume-Uni pour se conformer autant que faire se peut à l’injonction reçue de laisser un accès aux données de toute personne passant sur le territoire britannique, elle n’a cependant pas dit son dernier mot et a déposé un recours. Sa demande d’audience a été confirmée et se tiendra vendredi, comme l’indique la BBC.

La demande venant d’un organisme très particulier du pays, lié aux services de renseignements, l’appel est tout aussi spécial : il se tient devant l’Investigatory Powers Tribunal, une cour indépendante seule à pouvoir juger les actions des services de renseignements britanniques. Bien entendu, tout comme l’injonction d’origine était censée être secrète et le rester, l’audience devant cette cour doit se tenir à huis clos, et même ses conclusions ne devraient pas sortir de l’enceinte.
Caroline Wilson Palow, directrice juridique à Privacy International, ne voit pas les choses sous le même angle, et demande que l’audience soit publique.
Cette audience ne doit pas être tenue secrète. Le public a le droit de savoir si oui ou non la sécurité d’un service utilisé par des millions, voire des milliards de personnes dans le monde est sapée.
Il faut dire que si Apple a déjà fait un pas pour satisfaire le législateur britannique, cela n’est pas suffisant au goût de celui-ci, l’injonction forçant la pomme à laisser la porte grande ouverte aux services du pays pour accéder à n’importe quelle information se trouvant sur les serveurs iCloud d’Apple, quel que soit l’utilisateur visé. La pomme ayant fait appel de la décision, l’injonction est suspendue pour le moment... en attendant le verdict.
Cette affaire, qui est remontée jusqu’aux États-Unis, a de quoi sérieusement inquiéter : la loi est faite de telle manière que l’entreprise recevant l’injonction n’a pas l’autorisation d’en faire état publiquement. Si Apple a fini par l’avouer suite à une fuite dans le Washington Post, rien ne dit pour autant que c’est la seule entreprise visée. Potentiellement, toute entreprise de la tech hébergeant des données client peut être touchée par la même injonction, la forçant à laisser libre accès à ses données, sans même pouvoir en tenir informés ses clients.
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Donald Trump vient à l’aide de Tesla, qui n’en finit plus de chuter
Alors que les cours de l’action Tesla n’en finissent plus de chuter il semble que son patron, Elon Musk, commence à voir un peu plus la réalité en face : alors qu’il paraissait bien moins vindicatif lors d’une récente interview sur Fox Business, il a en parallèle lancé une campagne de pub... avec Donald Trump et le parti Républicain comme porte-drapeau.

Depuis la fin de l’année 2024, Tesla ne fait que chuter en bourse : l’action du fabricant de voitures électriques a ainsi perdu plus de 800 milliards de dollars de capitalisation en trois mois. Comme rapporté par Zone Bourse, si jusqu’à présent Elon Musk semblait inébranlable, sa dernière interview montre des signes de retour au monde réel, le patron répondant dans un soupir qu’avec le poids du DOGE, il gère ses autres entreprises « avec beaucoup de difficultés ».
C’est le moins qu’on puisse dire, et il serait temps qu’Elon Musk se rende compte que sa proximité auprès du Président des États-Unis d’Amérique, ainsi que ses prises de position pour le moins polémiques, sont difficilement compatibles avec le fonctionnement serein d’une entreprise. Voyant aux USA son image associée aux agissements du DOGE, Tesla fait l’objet de boycotts de plus en plus sévères, de manifestations, voire même d’attaques de ses points de vente. En Europe, ce n’est pas mieux voire pire, le constructeur de voitures électriques se retrouvant avec des ventes quasiment divisées par deux en janvier sur le vieux continent, alors que les voitures électriques dans leur ensemble ont progressé de 37 %.

Aux Républicains, aux Conservateurs, et à tous les bons américains, Elon Musk se plie en quatre pour aider notre Nation, et il fait un BOULOT FANTASTIQUE ! Mais les fanatiques radicaux de gauche, comme à leur habitude, essayent illégalement de faire collusion pour boycotter Tesla, l’un des plus grands constructeurs automobiles du monde, et le « bébé » d’Elon, dans le but de l’attaquer et de le blesser, ainsi que tout ce à quoi il tient. Ils ont déjà tenté de me faire la même chose durant les présidentielles 2024, mais est-ce que ça a fonctionné ? Quoiqu’il en soit, je vais acheter une Tesla toute neuve demain matin, pour montrer ma confiance et mon support envers Elon Musk, un vrai grand américain. Pourquoi devrait-il être puni pour avoir mis ses grandes capacités dans l’idée de rendre sa grandeur à l’Amérique ???
Pour contrer cette mauvaise fortune, au moins dans son pays d’adoption, Elon Musk a choisi de faire appel à son ami Donald Trump et au pouvoir de communication de la Maison Blanche et du parti Républicain. Ainsi, Donald Trump a testé et revu sous toutes les coutures toute la gamme Tesla devant les caméras, pour au final choisir une Model S Plaid rouge dont il dit faire un chèque immédiat au patron de la marque. Ce n’est pas le seul à faire part de cet achat, le panel s’étendant de plusieurs sénateurs du parti à l’éléphant jusqu’à Sean Hannity, présentateur de Fox News.

Dans le même temps, Donald Trump en a profité pour appuyer son ami milliardaire, en attaquant directement les personnes incitant au boycott de la marque sur son réseau Truth Social. Aura-t-il la dent aussi dure face à Kia, qui a profité de l’état actuel de Tesla pour surfer sur la vague d’autocollants se multipliant à l’arrière des voitures d’Elon Musk ?
Toujours est-il que la chute du constructeur US ne semble pas devoir s’arrêter, alors que de plus en plus d’actionnaires se regroupent avec une seule demande : la tête du DG sur un plateau.
C’est officiel, Pokémon Go est vendu 3,5 milliards de dollars aux Saoudiens
Backdoor iCloud : le procès d’Apple contre le Royaume-Uni débute cette semaine

Apple se prépare à défendre vendredi ses positions devant la Haute Cour de justice du Royaume-Uni, suite à une demande du gouvernement britannique pour accéder aux données chiffrées des utilisateurs à l’aide d’une porte dérobée (backdoor). Cette requête fait partie d’une procédure judiciaire lancée par Apple en réponse à la demande du ministère de l’Intérieur […]
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Le Mac Studio 2025 supporte le mode Économie d’énergie, mais pas Performance

Le nouveau Mac Studio, qui est disponible aujourd’hui à l’achat avec les puces M4 Max et M3 Ultra, supporte le mode Économie d’énergie. En revanche, le mode Performance n’est pas au rendez-vous. Le mode Économie d’énergie est disponible sur le nouveau Mac Studio… Apple a mis à jour son site pour indiquer que le Mac […]
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La CPU du M3 Max aussi rapide que celle du M2 Ultra?
[MàJ par Philippe]
Mêmes causes mêmes effets entre M4 Max et M3 Ultra!
[Article initial]
Attention, on va encore reparler de résultats de GeekBench 6 non-officiels, non-validés et toujours non-reproductibles. Donc là aussi, il y aura du conditionnel, et plus que cela il faut éviter de comparer des pommes et des oranges au travers d'un outil inadapté.
On a vu fleurir des articles avec les résultats GeekBench 6 du M3 Max comparés à ceux du M2 Ultra, et concluant que le premier est maintenant l'égal du second, et je dois m'inscrire en faux. Je vais vous expliquer pourquoi!
Architecture des M Ultra
Les M1 Ultra et M2 Ultra sont composés de deux M1 Max ou M2 Max accolés via un bus interne, cela permet un doublement des cœurs et donc de leurs performances théoriques. Leurs caches L3 sont aussi séparés et communiquant via ce même bus.
C'est de là que vient le problème, comme pour les Xeon des Mac Pro Intel : pour en tirer la substantifique moelle, il faut absolument éviter que des données partagées ou pire mises à jour, ne soient nécessaires sur les différents caches L3 simultanément, sauf à provoquer des allers-retours de celles-ci entre ces caches au travers du bus et des ralentissement importants.
GeekBench 6 et ses résultats étranges
Sous GeekBench 6, on peut observer le phénomène de deux façons différentes, d'abord avec le manque de montée en puissance multithread des Mac Pro Intel, le 28 cœurs (10426) ne semblant délivrer que 46% de plus que le 8 cœurs (7118). C'est faux avec des logiciels pro.
Ensuite par la faible différence de performance multithread entre un M2 Max et un M2 Ultra, 44% de plus, ne correspondant en rien au doublement de performances théoriques. C'est tout aussi faux avec ces mêmes logiciels pros.
Le problème n'est pas les Xeon, ceux qui en ont pourront en témoigner, ou le M2 Ultra, mais bien GeekBench 6...
Logiciels non-professionnels
Ce que mesure GeekBench 6 est un mélange de logiciels plus ou moins bien multithreadés dont la plupart ne sont pas aptes à exploiter des architectures avancées, professionnelles. Je résumerais en disant qu'ils représentent des logiciels grand-publics multithreadés.
Pas des logiciels professionnels.
Logiciels professionnels
Avec ses 24 cœurs un peu plus lents, le M2 Ultra est toujours le plus rapide si la charge est parfaitement répartie, incluant la localité mémoire surtout au niveau des caches, pour éviter de l'éviction à répétition et le transfert de données réutilisées d'un cache à l'autre par le bus interne.
C'est le cas des logiciels professionnels, ceux qui savaient tirer le meilleur du Mac Pro Intel 28 cœurs, et dont beaucoup ont été portés sur les Mac ARM incluant les M1 Ultra et M2 ultra. Ces logiciels sont architecturés pour ce type de matériel et ne rencontreront pas les limites observées dans GeekBench 6, qui ne les représente pas correctement.
Le M3 Max est un gros progrès mais pas comparable au M2 Ultra
J'apprécie GeekBench 6, mais il n'est pas conçu pour mettre en avant tout le potentiel des architectures très multithreadés, avec des caches L2 séparés ou de la localité mémoire (NUMA). Pour cela GeekBench 5 fournissait un tableau bien plus réaliste dans le cadre d'usage de logiciels conçus et optimisés pour ces architectures, qu'on ne retrouve que dans le monde professionnel ou les serveurs.
Si le M3 Max sera aussi rapide que le M2 Ultra sur des logiciels grand public, ça ne sera pas le cas sur les meilleurs outils professionnels, qui depuis des années sont peaufinés pour exploiter à fond les Mac Pro Intel et maintenant les doubles SoC Ultra.
Il faut toujours remettre les résultats des benchmarks dans leur contexte et GeekBench 6 n'est pas fait pour ce type d'architecture ni d'usage. C'est pour cela que nous n'avons pas reproduit ces résultats, car ils n'ont pas de valeur dans ce cadre.
GeekBench 5 est plus indiqué pour cela même si plus âgé.
En revanche, face au M2 Max 12 cœurs, le M3 Max 16 cœurs amènerait un gain en performances CPU multithread de l'ordre de 50%, un bond en avant pour les MacBook Pro ainsi que le futur Mac Studio M3 Max.
Même si la micro-architecture n'a pas évoluée, en jouant avec les fréquences et le nombre de cœurs Performance, Apple a sorti un SoC doté d'une CPU de premier plan pour les ordinateurs portables, mais qui ne se compare pas au M2 Ultra du Mac Studio!
iOS 19, un ravalement de façade pour cacher les retards ?
Alors que la rumeur de l’arrivée d’une nouvelle interface pour iOS et iPadOS 19 bruisse de plus en plus fort, chaque fuiteur habituel y va de sa petite info, et Jon Prosser n’échappe pas à la règle.
Ce n’est pas la première fois que le youtubeur adepte des fuites fait part d’une possible refonte de l’interface pour la prochaine version du système, même si jusqu’alors il ne parlait que de l’appareil photo.
Poussé par la convergence avec ses collègues, il prévoit maintenant une mise à jour de l’interface complète pour mettre un peu de cohérence entre tous les produits de la marque, en reprenant les codes introduits dans visionOS.
Changer le design... pour cacher les retards ?
Même si l’affirmation peut paraître un peu prématurée (nous en aurons le cœur net avec la WWDC 2025), une telle convergence des gros bonnets de la fuite pommée paraît trop belle pour ne pas être un poil organisée.
Le dépoussiérage de l’interface d’iOS, s’il n’est pas inutile, semble typique d’une Apple qui n’a pas grand chose à présenter de nouveau niveau mécanique : on change quelques gros éléments de design, on refait la peinture, et on sort l’argument facile du « Nous avons fait avec iOS 19 un redesign de l’interface, pour mieux nous occuper de la chasse aux bugs dans le système. Ainsi, vous disposerez cet automne du meilleur iOS sorti, totalement optimisé, avec une toute nouvelle interface ».
L’idée n’est tellement pas nouvelle que même 9to5Mac y pense, trouvant qu’un « redesign profond de l’OS de l’iPhone sera un prétexte parfait pour faire oublier les délais à rallonge des fonctions promises d’Apple Intelligence ».
Si un OS de transition n’est pas dramatique en soi, permettant au passage de chasser les nombreux bugs qui traînent depuis des années dans le code, il faut aussi se rappeler que c’est pile ou face avec les utilisateurs : au moment du passage d’iOS 6 à iOS 7, si nombreuses étaient les louanges sur la nouvelle interface, d’autres regrettaient la disparition du skeuomorphisme cher à Scott Forstall.
Au final, tout dépendra de comment Apple présentera les choses... et du retard exact annoncé en juin pour les fonctions qui étaient prévues cette année au plus tard : si celles-ci ne sont pas trop repoussées, alors le ravalement de façade suffira probablement à contenter la majorité des clients.