Nous savons déjà qu’iOS 19 sur iPhone va avoir le droit à une nouvelle interface et ce sera la même chose pour iPadOS 19 sur iPad. Et si l’on en croit Mark Gurman de Bloomberg, la mise à jour sur iPad se rapprochera de l’expérience proposée sur macOS. iPadOS 19 serait une mise à jour […]
iPadOS 19 devrait offrir à l'iPad un comportement se rapprochant dans une certaine mesure de celui du Mac, rapporte Mark Gurman sur Bloomberg. En plus de la refonte de l'interface inspirée de visionOS qui serait partagée avec iOS 19, iPadOS 19 « se concentrerait sur la productivité, le...
À Memphis, le centre de données d’Elon Musk, xAI, fait face à des accusations de pollution massive. En cause : l’utilisation de 35 turbines à gaz, alors que seules 15 étaient déclarées. Des groupes locaux demandent l’arrêt immédiat des machines.
Sonos annonce l’arrivée de Hugo Barra, ancien cadre chez Google, Xiaomi et Meta, au sein de son conseil d’administration. Cette nomination arrive dans un contexte d’importantes réorganisations internes, marquées par plusieurs départs récents au sein de la direction de l’entreprise.
En janvier 2006, Apple amorçait une transition majeure en abandonnant les processeurs PowerPC au profit des puces Intel, avec l'introduction des premiers MacBook Pro et iMac équipés de processeurs Intel Core [1] Duo. Cette décision, motivée par des limitations techniques des PowerPC, notamment l'impossibilité d'intégrer le G5 dans des ordinateurs portables, visait à offrir de meilleures performances et une consommation énergétique réduite... Le Mac mini dans sa version de base héritant même du Core [1] Solo monocœur pour quelques mois, un progrès mais pas celui observé sur ses collègues!
Cependant, le choix initial du Core [1] s'est rapidement révélé être une erreur stratégique. Basé sur l'architecture Yonah en 65 nm, le Core [1] était limité au 32 bits, héritant de l'architecture vieillissante du Pentium M. Cette limitation entravait l'évolution vers des configurations plus puissantes, telles que le support de plus de 4 Go de RAM ou l'utilisation de processeurs multi-cœurs plus avancés.
Quelques mois plus tard, Intel lançait le Core 2 Duo, basé sur l'architecture Merom, également en 65 nm mais avec un design entièrement repensé. Ce processeur 64 bits offrait des performances supérieures, une meilleure efficacité énergétique et une évolutivité accrue, notamment avec l'introduction de processeurs quad-core et de versions Xeon pour les Mac Pro, y-compris multiprocesseurs! Et ce coup-ci, plus de Mac mini monocœur, tout le monde avec au moins deux cœurs!
La transition rapide d'Apple vers le Core 2 Duo, dès la fin 2006, témoigne de la reconnaissance de cette erreur initiale. Les MacBook Pro et iMac ont été mis à jour avec ces nouveaux processeurs, offrant aux utilisateurs des performances nettement améliorées et une meilleure pérennité.
En rétrospective, bien que la transition vers Intel ait été bénéfique pour Apple, le choix du Core Duo comme point de départ a représenté un faux pas. Une adoption directe du Core 2 Duo aurait permis une transition plus fluide et évité aux premiers utilisateurs des limitations techniques rapidement dépassées.
Le choix initial du Core [1] a eu une autre conséquence dommageable : il a directement influencé le développement d’OS X sur architecture x86. Lors de la transition, OS X Tiger (10.4) fut porté sur Intel en version 32 bits, en phase avec les limitations matérielles du Core [1]. Pourtant, quelques mois plus tard, l’arrivée des processeurs Core 2 Duo (ou Xeon), pleinement 64 bits, aurait pu marquer un tournant immédiat vers un OS X 64 bits natif sur les Mac Intel.
Mais Apple n'a pas su temporiser...
OS X n’a réellement commencé à exposer ses capacités 64 bits qu’avec Leopard (10.5) en 2007, et encore de manière partielle : si certaines bibliothèques système et frameworks prenaient en charge les applications 64 bits, le noyau, lui, continuait souvent de démarrer en 32 bits — notamment sur les machines portables. Ce n’est qu’avec Snow Leopard (10.6) en 2009 que l’OS bascula sérieusement vers le 64 bits, avec un noyau capable d’être chargé dans ce mode dépendant du Mac, et un environnement système beaucoup plus homogène.
Cette lenteur s’explique en partie par la volonté d’Apple de préserver la compatibilité avec les machines Core [1] déjà vendues — piégeant ainsi les utilisateurs dans une architecture rapidement obsolète. Ces Mac, cantonnés à 32 bits, ne purent jamais exécuter Snow Leopard dans sa version complète. Résultat : moins de trois ans après leur achat, ces premiers Mac Intel étaient déjà à la marge.
Avec le recul, un lancement directement basé sur les Core 2 et Xeon aurait permis non seulement un saut technologique plus cohérent, mais aussi une adoption bien plus rapide du 64 bits sur Mac. OS X aurait pu s'aligner dès 2006 sur les standards déjà en train de se dessiner dans le monde PC — où Windows Vista, lui aussi en préparation, proposait dès sa sortie une version 64 bits pleinement exploitable, et Windows NT4 le proposait une décennie avant pour les professionnels!
Ainsi, la transition vers Intel, bien qu’audacieuse et finalement réussie, aurait pu être encore plus élégante et tournée vers l’avenir... si Apple avait simplement attendu quelques mois de plus.
Voilà un produit rigolo. Toshiba lance l’Aurex AX-RP10, un tourne-disque compact destiné aux amateurs de vinyles qui souhaitent écouter leurs disques hors de chez eux. Il fonctionne sur batterie, et propose une connexion Bluetooth, avec et un format transportable. Il ne s’adresse clairement pas aux audiophiles, mais peut convenir à un usage ponctuel.
La guerre commerciale lancée par Donald Trump a eu de nombreux effets indirects. Le Figaro rapporte que les voyagistes enregistrent une baisse de 25 % des réservations cet été pour les Etats-Unis. La baisse est antérieure au début des hostilités, mais la politique du président américain est souvent citée pour expliquer ce reflux. Ce n’est pas la seule cause qui réfrène les touristes, l’inflation ainsi que l’euro rendent les voyages outre-Atlantique particulièrement chers pour les consommateurs européens.
Au moment où la guerre commerciale a éclaté, certains responsables n’ont pas hésité à encourager les consommateurs à boycotter les produits américains. Qu’en est-il dans les faits ? Le Parisien publie les résultats d’une enquête menée par Kantar, qui révèle que 20% des sondés affirment avoir réduit ou stoppé l’achat de produits made in USA.
Pour aller plus loin, Kantar a demandé à son panel quels sont les produits ou les marques dont ils déclarent ne pas pouvoir se passer. De toutes les marques citées, c’est Google qui arrive en tête avec 63%, devant Amazon (43%), Microsoft (41%), WhatsApp (39%) et YouTube (36%). Dans les profondeurs du classement, on retrouve Apple et l’iPhone avec 23%. Ce faible score s’explique sans doute par le fait que la masse d’utilisateurs d’iPhone est bien moindre que la masse d’utilisateurs de Google ou la clientèle d’Amazon. En queue de peloton, on retrouve McDonald’s (14%), Burger King (12%) et Nike (11%).
Après, comme souvent, il y a une différence entre les intentions et la réalité. Le Parisien a interrogé plusieurs commerçants du centre commercial Rosny 2. Jusqu’à maintenant, aucun n’a remarqué de baisse des ventes de produits américains.
Vous le savez, Free permet désormais à certains abonnés de migrer vers la Freebox Pop S. Cette offre sans télévision est proposée à 24,99€/mois aux nouveaux clients, mais les anciens doivent payer plus cher et s’acquitter de frais. Une politique commerciale punitive pour les clients fidèles.
Donald Trump vient de décider d’exempter les smartphones, les ordinateurs et plusieurs composants électroniques des surtaxes douanières imposées aux importations chinoises. Une première inflexion, et pas des moindres, dans la guerre commerciale relancée par Donald Trump depuis son retour au pouvoir. Tim Cook va pouvoir se remettre à respirer.
Une victoire pour le secteur de la tech, avec les smartphones (dont les iPhone) qui obtiennent une exception pour les droits de douane de Donald Trump. Il en va de même pour les ordinateurs portables, les stockages (comme les SSD et disques durs), les processeurs, les cartes mémoires ou encore les puces. Une exception pour […]
Tim Cook va sans doute pouvoir pousser un ouf de soulagement et l’action Apple devrait sans doute s’envoler lundi : Donald Trump a décidé d’exempter de surtaxes les smartphones et les ordinateurs en provenance de Chine.
Image MacGeneration.
Selon une notice du service des douanes, cette exemption, concerne les ordinateurs portables, smartphones, disques durs (et SSD), processeurs et puces de mémoire vive mais aussi du matériel audio comme le sont les AirPods et les HomePod.
Rappelons que Donald Trump avait fixé des droits de douane de 145 % à tout produit de Chine. Cette dernière avait répondu en portant à 125 % ses taxes sur les produits américains et fait preuve d’une grande fermeté, contrairement à de nombreux pays. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, Lin Jian, sur X a encore récemment déclaré « Pour le bien-être des Chinois et des peuples du monde, pour l’équité et la justice de l’ordre mondial, la Chine ne pliera jamais sous la pression maximale des États-Unis. Donnez un doigt à la brute, elle vous prendra le bras ».
Autre mesure américaine destinée à apaiser l’atmosphère, les semi-conducteurs sont quant à eux exemptés de la surtaxe de 10 % qui frappe la quasi-totalité des partenaires commerciaux des États-Unis. Si de nombreuses entreprises doivent être soulagées par cette décision, il ne faut cependant pas perdre de vue que cette guerre commerciale n’est pas finie pour autant. L’histoire n’est sans doute pas terminée !
De nouveaux rendus de la Pixel Watch 4 suggèrent que Google pourrait miser sur une batterie plus grande et une recharge sans contact. Le design resterait globalement identique, avec l’ajout de deux boutons et des bordures d’écran légèrement affinées.
Ce mercredi, Donald Trump avait ouvert la porte à une exemption de droits de douane pour certaines entreprises américaines, alors que les nouveaux droits de douanes annoncés la semaine dernière étaient portés à 125% pour les exportations chinoises. Cela n'a pas trainé : Bloomberg nous...
Microsoft a publié une entrée de blog passionnante (en anglais) sur les failles de sécurité et bugs trouvées dans le bootloader open-source GNU GRUB2 et la façon dont ils ont utilisé leurs IA pour les trouver. Je recommande la lecture de cette entrée de blog, très éducative.
Pour résumer, l'IA n'a pas agit seule, Microsoft a utilisé de l'analyse de code statique (tel CodeQL), du fuzzing via AFL++, de l'analyse de code par des humains, et enfin leur outil d'IA Microsoft Security Copilot. Il ne s'agit donc pas d'une recherche de failles ou de bugs par IA per-se, mais de l'adjonction d'outils IA dans le carquois des chercheurs en sécurité pour accélérer leurs recherches.
J'ai été stupéfait du nombre de bugs trouvées, dont de grosses failles de sécurité, dans du code qui a pourtant déjà été examiné à la loupe par de nombreux chercheurs et agences gouvernementales dont certaines nous veulent du bien. Ça valide l'usage des technologies d'IA pour la recherche de bug et la sécurisation de nos logiciels et appareils, dans un écosystème d'autres outils, dont l'analyse humaine!
Et je suis heureux de ces trouvailles: GNU GRUB2 sera demain bien plus sûr et solide qu'il l'était hier. Cette recherche sur un produit tiers est possible car GNU GRUB2 est open-source.
Mais les malveillants ne vont-ils aussi utiliser ces technologies d'IA pour trouver des failles? Et les failles identifiées, les logiciels patchés, seront-ils mis-à-jour par les utilisateurs rapidement, ou au contraire beaucoup de ceux-ci resteront alors avec des logiciels ayant des failles connues, exploitables et exploitées?
De premières apps permettent désormais de remplacer Traduire d'Apple en tant qu'application de traduction par défaut au sein de l'iPhone et de l'iPad, ont repéré nos confrères d'iGeneration : il s'agit de DeepL et de Reverso. Fini donc les copier-coller pour leur soumettre des portions de...
Au sommaire d’On refait le Mac cette semaine : On va parler cash ! Alors qu’Apple Intelligence est disponible en France, On refait le Mac reçoit Luc Julia. Le papa de Siri porte un regard sans concession sur la stratégie de la pomme en matière d’IA et sur les fonctionnalités d'Apple Intelligence.
Depuis la toute fin du mois de mars, les utilisateurs de produits compatibles avec Apple Intelligence peuvent exploiter ces fonctions d'IA : assistance à la rédaction de textes, génération d'images, classement de ses notifications… Il y en a un peu pour tout le monde. Pour l'essentiel, ces fonctions existaient déjà ailleurs chez OpenAI, Google, Anthropic, etc. Elles sont ici mieux intégrées dans les systèmes d'Apple et quelques-unes de ses applications.
Image Apple.
Pour ceux d'entre vous qui ont activé Apple Intelligence et chez ceux qui s'étaient fait la main avec les bêtas d'iOS 18.4 et de macOS 15.4, quel premier bilan tirez-vous de la présence de ces fonctions ?
L’Apple Pencil Pro vient de recevoir un relooking inattendu, mais plutôt réussi si vous rêviez d'une version colorée du stylet blanc. Evidement, l'audace ne vient pas de Cupertino mais de ColorWare, le spécialiste des accessoires Apple personnalisés.
Encore une cyberattaque. Fin mars, c’est Autosur, l’un des réseaux les plus connus de centres de contrôle technique en France, qui a vu ses serveurs se faire dépouiller. Quatre millions de dossiers clients exfiltrés : noms, prénoms, adresses postales, e-mails, numéros de téléphone, et cerise sur le capot, les plaques d’immatriculation. Une fuite massive, silencieuse et terriblement concrète.
Ce n’est pas juste une brèche informatique, c’est un coup de pied dans la porte d’entrée de la vie privée. Et dans cette histoire, le pire n’est pas ce qui est volé — c’est ce qui peut en être fait. Sauf qu’il existe une façon de reprendre la main, ou du moins de limiter les dégâts : Incogni.
Quand le pare-brise numérique vole en éclats
Une base client comme celle d’Autosur, c’est une petite mine d’or pour les cybercriminels. Vous avez le nom, le mail, la plaque d’immatriculation… de quoi lancer des campagnes de phishing ciblées plus crédibles qu’un courrier de la CAF. Voire usurper une identité pour une fraude à l’assurance, ou revendre le tout à un courtier de données qui ne posera pas trop de questions.
Et c’est là qu’on touche au cœur du problème : ces données ne s’évaporent pas. Elles circulent. Elles sont recroisées, revendues, utilisées pour alimenter des profils — parfois même sans que vous ayez jamais cliqué sur accepter.
Incogni, c’est quoi au juste ? Un agent de nettoyage… juridique
Incogni, développé par Surfshark, n’est pas un antivirus, ni une IA qui crypte vos photos de vacances. C’est un outil légalement armé. Vous lui donnez mandat, et lui se charge d’aller frapper aux portes des courtiers de données pour leur dire : « Ce profil, vous le supprimez. C’est la loi. »
C’est l’équivalent d’un avocat numérique qui agit dans l’ombre pour effacer vos traces des bases de données les plus douteuses. Et contrairement aux promesses creuses de certains services soi-disant “confidentiels”, Incogni s’appuie sur des textes juridiques solides — RGPD en Europe, CCPA aux États-Unis — pour contraindre les entreprises à coopérer.
Peut-il empêcher une cyberattaque ? Non. Peut-il en limiter les conséquences ? Clairement.
Dans le cas d’Autosur, soyons clairs : si vos données sont déjà parties dans la nature, Incogni ne pourra pas les rapatrier à coups de courriers recommandés. Mais là où le service devient précieux, c’est en amont… et en aval.
En amont, parce qu’Incogni contacte des dizaines (voire centaines) d’acteurs qui, de près ou de loin, collectent ou revendent vos données. Moins vous êtes exposé dans ces bases, moins les dégâts d’une fuite comme celle d’Autosur peuvent s’amplifier par effet domino.
En aval, parce que si vous prenez conscience de votre exposition après coup, Incogni peut lancer une opération de nettoyage préventif. Les fuites de données attirent toujours les parasites — autant les devancer.
La cybersécurité ne se résume pas aux entreprises
On l’oublie trop souvent : la protection des données n’est pas uniquement du ressort des entreprises. Bien sûr, Autosur aurait dû mieux sécuriser ses systèmes. Mais chaque individu a aussi un levier d’action : choisir ce qu’il expose, savoir où ses données se trouvent, et faire le ménage régulièrement.
Dans ce ménage, Incogni est l’équivalent d’une société de désinfection numérique. Elle ne promet pas une stérilité totale, mais elle agit avec méthode, sur les zones à risque, et avec une légitimité que peu de services peuvent revendiquer.
Car Incogni, c’est un peu le service qu’on aurait aimé connaître avant que nos données ne fassent le tour du web. Pas besoin d’être juriste ou geek : on s’inscrit, on donne mandat, et le service s’occupe de demander – légalement – la suppression de nos infos auprès des courtiers de données. Résultat ? Moins de spam, moins de profilage, et surtout moins cette impression d’être à poil sur Internet.
Le tout pour 7,29 € par mois ou 12,99 € à l'année, sans engagement. Est-ce que ça les vaut ? Quand on voit à quelle vitesse les fuites de données se multiplient, on dirait bien que oui. Incogni ne promet pas l’invisibilité, mais il redonne du contrôle, du concret, du soulagement. Et parfois, ça suffit à respirer un peu mieux en ligne.
Le printemps est l’occasion parfaite pour entreprendre un grand ménage, y compris sur votre Mac. Pour vous épauler, rien de mieux qu’un outil complet comme Mac Washing Machine X9, l’un des logiciels phares de la suite Intego.
Le créateur du Flipper Zero dévoile un nouvel appareil, la BUSY Bar. Ce petit écran connecté permet d’afficher un statut de concentration visible, histoire de limiter les interruptions pendant le travail. Un outil simple, physique, personnalisable… vendu 249 dollars.
Les arches arc-en-ciel de l'Apple Park sont de retour ! L’installation, composée de six arcs aux couleurs vives, avait mystérieusement disparu du campus circulaire depuis plusieurs mois (janvier 2025), suscitant interrogations et nostalgie sur les réseaux sociaux.
Le réseau social X est à nouveau dans la tourmente. Vendredi 11 avril, l’autorité irlandaise de protection des données a annoncé l’ouverture d’une enquête officielle sur l’utilisation de données personnelles par la plateforme pour entraîner ses modèles d’intelligence artificielle, dont Grok, son IA développée en interne.
Le Viture x 8BitDo Ultimate Mobile Controller propose une compatibilité native avec les lunettes XR grâce à un port USB-C intégré. Cette manette de jeu doit permettre de simplifier l’utilisation des lunettes XR avec un smartphone tout en offrant des commandes physiques pour le jeu mobile.
Apple TV+ a décidé de mettre un terme à sa série Mythic Quest après quatre saisons. La quatrième saison s’est terminée le 26 mars dernier. Mais il y a une particularité ici : un nouvel épisode va sortir avec une fin différente. Annulation de la série Mythic Quest Megan Ganz, David Hornsby et Rob McElhenney, les […]
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Tim Cook doit avoir le cœur bien accroché. Depuis que Donald Trump a déclaré une guerre commerciale au monde entier, Apple est embarquée dans des montagnes russes. Si le président américain a fait retomber la pression avec la plupart des pays, avec la Chine, à l’inverse, c’est l’escalade. Comment Apple peut-elle se sortir de ce bourbier ? On en discute dans cette émission.
Dans le reste de l’actualité, on en sait plus sur les déboires de Siri, Apple pousse à activer les mises à jour automatiques sur macOS et l’iPhone des 20 ans pourrait en mettre plein la vue.
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Vous trouvez la blancheur de votre Apple Pencil Pro d’une tristesse inacceptable ? Vous regrettez le temps béni où vous jouiez avec de jolis crayons de couleur ? Colorware a pensé à vous !
La société s’est spécialisée depuis plusieurs années dans la mise en couleur de nombreux produits, dont une majorité d’appareils pommés. Il est ainsi possible de trouver des AirPods, des AirTags ou même des Mac mini aux couleurs bariolées, à côté de produits d’autres constructeurs comme Logitech, Sennheiser ou bien d’autres.
Cette fois, c’est donc un Apple Pencil Pro aux couleurs de la fameuse marque Crayola que propose Colorware, faisant instantanément remonter les souvenirs, et retomber en enfance. Attendez-vous cependant à un surcoût non négligeable, cette version spéciale étant proposée à 215 dollars, sans compter les frais de port !
Apple TV+ a décidé de proposer gratuitement sur YouTube le premier épisode de sa nouvelle série Vrais voisins, faux amis. Celle-ci a débuté aujourd’hui sur la plateforme de streaming. Le premier épisode peut être regardé par tout le monde, et ce gratuitement. Nous l’avons inclus juste au-dessus. Sa durée est d’un peu plus de 56 […]
Discrètement, Elon Musk continue le travail de sape de l’administration américaine. Si le but peut s’entendre, la manière de l’atteindre est plus discutable. D’autant plus que parmi les agences touchées, certaines ont un lien particulier avec les affaires du milliardaire : que ce soit la FAA (Federal Aviation Administration), la FCC (Federal Communications Commission) ou la NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration), les trois ont été visées par la purge.
La tronçonneuse vise étonnamment bien... Image Wikipedia/Gage Skidmore, CC BY-SA 2.0.
La FAA première touchée
SpaceX étant primordiale pour Musk, la FAA a logiquement été la première à passer sur le grill. Comme le rappelle Next.ink, l’agence a étrangement décidé de s’en remettre entièrement à SpaceX, pourtant tournée vers le domaine des fusées plus que de l'aviation civile, pour réformer son système de contrôle du trafic aérien.
L’agence a ainsi viré plus de 400 personnes dans un premier temps, avant que les équipes du DOGE viennent mettre le nez dans les affaires de l’administration et que celle-ci décide de s’en remettre à l’entreprise d’Elon Musk. Si SpaceX promet de renforcer la sécurité des vols au-dessus du territoire américain, comment l’agence va-t-elle pouvoir continuer à contrôler cette firme qui a maintenant la main-mise sur tous ses domaines d’expertise ? Comment rester neutre et surveiller une entreprise qui vous contrôle ?
La FCC pour libérer Starlink
Il y a quelques mois, Starlink a effectué une demande pour bénéficier d’un programme d’aide gouvernementale, dédié à installer des lignes haut débit dans les campagnes reculées des USA. Une aide de près d’un milliard de dollars, que la FCC lui a refusée, indiquant que SpaceX ne remplissait même pas ne serait-ce que le début des conditions requises pour bénéficier de cette aide de l’État.
Les administrations reliées à Starlink se multiplient aussi vite que les satellites de la firme... Image Wikipedia/Starlink, CC0.
Début avril, le DOGE a investi l’administration américaine responsable du contrôle des communications, installant dans des postes de direction trois de ses plus fidèles lieutenants, leur rôle étant attaché au « OCH », pour Office of Chairman (autrement dit directement lié au directeur de l’agence). Encore une fois se pose le souci de l’indépendance de l’agence visée : comment poser des limites à une entreprise dont le patron a des employés à la tête de l’administration ?
On notera qu’étrangement, alors que le DOGE prenait de l’importance dans ces deux agences clés de la gestion des communications et de l’espace, Starlink a pris une place prépondérante dans les communications de toutes les autres agences du gouvernement, comme le rapporte NBC.
La NHTSA embête Tesla ? Réduisons-donc les effectifs !
Ce n’est pas un secret, Tesla est en mauvaise posture dans le monde entier, suite aux frasques de son patron. Mais aux USA en particulier, l’entreprise se voit aussi poursuivie pour de nombreux défauts de son autopilot ayant conduit à des blessures voire à la mort de plusieurs personnes. Au total, plus de 10 000 plaintes seraient en cours d’instruction à la NHTSA portant sur le système d’aide à la conduite du constructeur.
Étrangement, ars technica rapporte dans son article concernant la main-mise du DOGE sur l’agence responsable de la sécurité des véhicules que le personnel a certes été écrémé, mais qu’en plus la section la plus touchée est celle concernant... les véhicules autonomes. Comme le hasard fait bien les choses !
Cependant, cette purge pourrait avoir l’effet contraire de celui recherché par Elon Musk : en privant la NHTSA d’une bonne partie de ses experts en véhicules autonomes, elle se retrouve fortement ralentie pour distribuer les autorisations d’exploitation de tels véhicules. Mais Elon Musk ayant le joker Trump pour affaiblir les réglementations à respecter pour mettre un véhicule autonome en circulation, tout peut arriver...
Bien que respectant le patron de Tesla pour les avancées qu’il a permis dans le domaine, un ancien de la NHTSA n’est pas dupe, et s’inquiète de la méthode du constructeur :
Elon a réalisé beaucoup de choses intéressantes avec la technologie, que beaucoup pensaient impossibles. Ce qui m’inquiète avec Tesla, c’est qu’ils n’utilisent pas une approche lente et méthodique ; ils avancent très vite quitte à casser des choses, et les citoyens se trouvent ainsi mis en danger. Il y a eu de nombreux morts qui auraient pu être évités, et ça nous concerne directement.
Et ce n’est pas fini...
Pendant que Donald Trump s’assurait de couper l’autonomie de la SEC (le gendarme de la bourse américain) avant son bras de fer avec les taxes, le DOGE a continué d’étendre son emprise sur de nombreuses autres administrations, dont la FTC (Federal Trade Commission), le DOE (Department Of Energy) et bien d’autres... y compris la FDA (Food and Drug Administration), qui vient compléter le tableau des conflits d’intérêts de Musk, étant l’agence devant contrôler son entreprise Neuralink. S’il se fait plus discret tant l’actualité est écrasée par la guerre commerciale lancée par le président Trump, le DOGE n’a pas pour autant ralenti sa course...
L’Apple Park accueille une nouvelle fois l’arc-en-ciel, deux mois avant la WWDC 2025. Cette structure avait été démontée, mais il avait déjà été rapporté qu’une nouvelle était en préparation. C’est maintenant chose faite. Le mois dernier, des images satellites de Google Maps ont montré que la structure en arc-en-ciel avait disparu de l’Apple Park. Cette […]
Il avait disparu de l’Apple Park depuis plusieurs mois, et son absence avait inquiété les fans les plus hardcores d’Apple. Qui ? Mais l’arc-en-ciel au centre du donut bien sûr ! Bonne nouvelle : il est réapparu juste à temps pour la WWDC 2025, comme le rapporte 9to5Mac.
À l’origine, cette construction devait être temporaire, et être remplacée au bout de quelques mois. Mais cette arche multicolore, reprenant les couleurs fièrement arborées par le logo de l’Apple II en 1977 jusqu’à l’arrivée des iMac G3 en 1998 est devenue un symbole de l’entreprise, apparaissant à chaque keynote en fond derrière Tim Cook ou d’autres intervenants.
La structure a donc été enlevée début 2025, sans qu’Apple n’en dise mot sur son avenir. C’est donc une agréable surprise de voir que la firme a décidé de pérenniser ce symbole, qui à coup sûr apparaîtra encore dans la vidéo du keynote de cette année.
Les chinois ne pourront plus profiter de l’accélération démentielle de la berline américaine... Image Tesla Chine.
Et pourtant, la Chine a frappé très fort elle aussi : si Donald Trump a imposé des taxes de 145 % sur les produits chinois entrant aux États-Unis d’Amérique, la Chine a répliqué en installant un droit de douane de 125 % sur les produits de l’oncle Sam. Et la première marque à indiquer un repli est... Tesla, comme le rapporte Reuters.
Étant donné les liens étroits entre la Chine et le constructeur automobile (une bonne partie de la production de Model 3 et Model Y dédiée à l’Europe vient de Chine, sans compter bien entendu celles destinées à l’empire du milieu), il semble étonnant que Xi Jinping ait décidé de frapper Elon Musk. Mais le gouvernement chinois n’a fait aucun cadeau, et la production de Tesla venant des USA est donc frappée de 125 % de taxes d’importation.
En conséquence, la marque a fermé les commandes des Model S et Model X, toutes les deux produites à Fremont en Californie. La berline commençait à l’équivalent de 115 000 dollars, et le SUV à 128 000 dollars. Avec 125 % de taxes sur chaque modèle, le calcul est facile : à près de 260 000 dollars la Model S et quasiment 290 000 dollars le Model X, il n’y a plus aucun intérêt à les laisser disponibles.
Tesla n’en mourra pas : en 2024, seuls 1553 Model X et 311 Model S ont été importés en Chine, une poussière dans les 657 000 voitures de la marque vendues dans le pays à la même période. Cependant, pour l’image de l’entreprise et l’égo de son propriétaire, la pilule doit être dure à avaler...
Pendant que le monde entier a les yeux tournés vers Donald Trump et sa bataille de taxes douanières avec la Chine, les autres entités administratives n’ont pas pour autant cessé de fonctionner... et de chercher les fraudes et autres atteintes aux règles européennes. xAI, nouveau propriétaire de X, risque bien d’en faire les frais, une nouvelle enquête venant d’être ouverte pour infraction au RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données), comme rapporté par Numerama.
L’option pour empêcher Grok de farfouiller dans vos données... bien cachée dans le site.
C’est l’Irlande qui s’y colle, le pays étant la porte d’entrée privilégiée de la plupart des entreprises américaines de la tech. La DPC (Data Protection Commission) soupçonne en effet xAI d’avoir utilisé les données personnelles des Européens sans leur consentement afin d’entraîner Grok, l’intelligence artificielle de l’entreprise.
Alors que Grok a commencé à piocher allègrement dans les données utilisateurs, X n’a pas jugé nécessaire de proposer un bouton interdisant à l’IA de farfouiller dans les posts et autres éléments laissés par les citoyens européens. Une fois l’oubli réparé, c’est guère mieux : le bouton n’est pas explicite, et se retrouve caché au fin fond du site internet, sans accès possible depuis l’app... et la situation n’a pas changé depuis.
X has now enabled data sharing by default for every user, which means you consent to them using all your posts, interactions and data on here to train Grok and share this data with xAI.
Pour finir, cette autorisation d’utilisation des données est bien entendu activée par défaut, et aucune demande d’autorisation n’est effectuée à l’inscription sur le réseau social. L’Irlande va donc sérieusement se pencher sur ce cas... ce qui ne fera qu’une enquête ouverte de plus contre X, qui commence à les collectionner. Reste qu’avec l’acquisition de X, la valeur de xAI est montée à 80 milliards de dollars, et son chiffre d’affaires en a sûrement fait autant. De quoi augmenter d’autant la somme potentiellement demandée par l’Europe.
Xiaomi vient de lancer une station d’accueil USB-C 10-en-1 en Chine, à un prix plutôt agressif : environ 25 €. Charge rapide 100 W, HDMI 4K, Ethernet, USB 3.0… Le tout dans un format compact et compatible avec la majorité des systèmes. Problème, il n’est pas encore vendu en France.
De nouvelles possibilités sont offertes avec iOS 18.4, dont le fait de pouvoir choisir les applications par défaut sur iPhone. Il y a notamment le cas de la traduction et quelques applications sont maintenant supportées. Jusqu’à présent, iOS s’appuyait sur l’application Traduire d’Apple. Cela se met en place quand vous sélectionnez un mot ou un […]
En revoyant hier ses offres de fibre optique, Orange a fait franchir à la France un palier symbolique : tous les abonnements du marché comprennent désormais une connexion de 1 Gb/s minimum.
Comme souvent, l’opérateur historique a été le dernier à augmenter ses débits. Jusque-là, la boîte Sosh et la Série Spéciale Just Livebox étaient cantonnées à 400 Mb/s. Mais maintenant, que vous souscriviez l’abonnement le moins cher chez SFR, Bouygues, Free ou Orange, vous avez l’assurance d’avoir du gigabit (en débit descendant).
Avant même qu’Orange ne se décide à rattraper ses concurrents, la France faisait déjà figure de pays européen le mieux loti en matière de connexions ultra rapides. D’après les statistiques de la Commission européenne, la majorité des abonnements très haut débit en France (52 %) avaient déjà un débit égal ou supérieur à 1 Gb/s en 2024. Cela place l’Hexagone très largement au-dessus de la moyenne européenne, qui se situe à 19 %.
Part des abonnements haut débit fixe ayant une connexion d’au moins 1 Gb/s. Données Commission européenne.
D’après une étude publiée en février par Ookla, l’éditeur du service Speedtest, les pays qui ont les connexions fibre les plus rapides sont aussi ceux où les routeurs Wi-Fi sont les plus avancés. C’est logique : tandis qu’ils augmentent leurs débits, les fournisseurs d’accès à internet adaptent en conséquence leur matériel.
Après l’arrivée du Wi-Fi 6 autour de 2020 puis du Wi-Fi 6E peu de temps après, l’heure est au Wi-Fi 7. D’après Ookla, la France est le pays où les routeurs Wi-Fi 7 sont les plus répandus. En décembre 2024, ils étaient responsables de 1,5 % des connexions sur Speedtest (ces données sont tirées uniquement de la version Android du service). Cette part devrait rapidement augmenter grâce aux lancements récents de la Bbox et des Livebox Wi-Fi 7. Les routeurs Wi-Fi 6/6E comptaient, eux, pour 33 % des connexions, ceux Wi-Fi 5 pour 54,5 % et enfin les vieux Wi-Fi 4 pour 20 %.
Part de chaque génération de Wi-Fi par pays sur le service Speedtest. Graphique Ookla.
Selon les données collectées par Ookla, associé à une connexion fibre de 1 Gb/s ou plus, le Wi-Fi 7 augmente vraiment la vitesse de téléchargement. Fin 2024, les abonnés de Free ont enregistré des vitesses de téléchargement médianes de plus de 1,1 Gb/s en Wi-Fi 7, soit près du double des niveaux de performance observés en Wi-Fi 6. La latence s’en trouve aussi légèrement améliorée.
Vitesse de téléchargement médiane. Graphique Ookla.
Cela étant dit, le tableau doit être un peu nuancé, car l’appellation « Wi-Fi 7 » cache des choses différentes. Il y a du Wi-Fi 7 tribande (2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz), le plus rapide à courte portée grâce à la bande des 6 GHz. C’est celui de la Freebox Ultra et de la Bbox Wi-Fi 7. Et il y a du Wi-Fi 7 uniquement bibande (2,4 GHz, 5 GHz), celui employé par la Freebox Pop ainsi que la Livebox S et la Livebox 7 v2.
Orange a justifié l’absence de bande 6 GHz sur ses deux nouvelles box par sa faible utilisation sur ses routeurs précédents, sa très courte portée (qui explique en partie sa faible utilisation) et les interférences qu’elle cause. L’opérateur a fait ce choix pour privilégier les performances dans les 5 GHz.
Quoi qu’il en soit, si les offres 1 Gb/s sont maintenant généralisées, les opérateurs ne fournissent pas tous des routeurs capables d’en tirer pleinement parti. Bouygues a innové avec sa formule B&You Pure fibre comprenant un routeur et une connexion très rapides à un tarif abordable, une stratégie suivie très récemment par Free.
Mais la Livebox fournie par Sosh et Orange en entrée de gamme ne délivre pas 1 Gb/s sans fil aux smartphones et ordinateurs de la maison, même s’ils sont à proximité. On l’a constaté avec la Livebox 4 (qui est Wi-Fi 5 et qui a depuis été remplacée par la Livebox 5, aussi Wi-Fi 5) : autant elle savait débiter sans fil les 400 Mb/s compris dans l’offre jusque-là, autant elle ne dépasse pas les 600 Mb/s quand la connexion maximale de la ligne est maintenant de 1 Gb/s.
Ce n’est pas nécessairement un problème. En fait, ça passera même inaperçu pour la très grande majorité des utilisateurs. Mais quand vient le moment de télécharger une grosse mise à jour de macOS ou, pire, un jeu qui pèse des dizaines de gigaoctets, on aimerait bien pouvoir tirer parti de ce gigabit par seconde.
La Livebox 5 encore fournie par Orange en entrée de gamme. Image Orange.
Si vous êtes dans ce cas-là, pas la peine de mettre des mille et des cents dans un système Wi-Fi 7 maillé haut de gamme. En fonction de la taille de votre logement, un routeur Wi-Fi 6E, voire Wi-Fi 6, peut suffire pour irriguer vos pièces principales avec un débit maximal proche du gigabit. En Wi-Fi 6E, il y a par exemple le TP-Link Archer AXE75 à 140 € ou l’Asus RT-AXE7800 à 190 €. Pour les maisons ou les grands appartements, vous pouvez démarrer avec une borne Linksys Velop Pro 6E et voir s’il y a besoin d’ajouter des satellites.
Vous l’avez peut-être remarqué : c’est la saison des impôts. Si la déclaration de revenus peut être effectuée en ligne, la DGFIP dispose également d’une application qui a été entièrement retapée l’année dernière. Celle-ci est disponible pour iPhone et iPad via l’App Store. De nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées cette année, qu’ont décortiquées Les Échos.
L’app devrait afficher plus d’informations que l’année dernière, comme les éléments concernant les taux de prélèvements à la source issus de la déclaration. Les utilisateurs mariés ou pacsés pourront facilement choisir leur taux de prélèvement à la source au sein du foyer fiscal. Cette nouveauté a été ajoutée dans le cadre de la réforme du passage par défaut au taux individualisé.
La déclaration devrait pouvoir être remplie de manière plus complète depuis l’application. De nouvelles informations pourront être entrées sans avoir à se rabattre sur le site web, comme un changement d’adresse fiscale ou la location de résidences secondaires dont on n’est pas propriétaire. En cas d’erreur dans une déclaration remplie sur mobile, il sera possible de la corriger sur le web sans que tout ne soit perdu en route. Certaines infos ne pourront cependant pas être indiquées via l’app, comme un déménagement ayant eu lieu après le 2 janvier 2025.
Sur un autre registre, la double authentification ne devrait plus trop tarder d’arriver. Le service des impôts a prévu de l’ajouter dans l’été 2025. Elle prendra la forme d’un code à usage unique envoyé par mail après avoir entré son adresse et son mot de passe.
La série Severance, diffusée sur Apple TV+, se distingue par son esthétique visuelle très singulière, mêlant des éléments de design du siècle dernière à une atmosphère rétro-futuriste. Cette approche confère aux décors une ambiance à la fois familière et dérangeante, renforçant le caractère énigmatique de l’intrigue.
Rien ne semble freiner la restructuration en cours chez Google. Le géant de Mountain View vient de confirmer une nouvelle série de licenciements touchant des centaines de salariés de sa division "Platforms & Devices", en charge notamment du système d’exploitation Android, de la gamme Pixel, ainsi que du navigateur Chrome.