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Patient bizarre : on lui découvre une masse dans l’estomac, les médecins décident de la dissoudre avec du Coca-Cola

Une femme de 63 ans s’est présentée aux urgences à cause de nausées et de vomissements incessants depuis un mois, accompagnés d’une douleur intense dans le haut de l’abdomen. Les médecins ont découvert dans son estomac un amas compact d’aliments partiellement digérés ou non digérés.

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Trois Américains tués en Syrie par un "tireur de l'Etat islamique"

Deux soldats et un civil américains ont été tués samedi en Syrie à la suite d'une "embuscade par un tireur isolé" de l'organisation Etat islamique, a annoncé dans un communiqué le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient, Centcom. Trois autres soldats américains ont été blessés dans cette attaque, a déclaré le Centcom, précisant que le tireur avait été tué.

Plusieurs soldats américains et syriens, membres d'une délégation commune, ont été blessés samedi lors de tirs qui les ont visés dans la région désertique de Palmyre en Syrie, selon l'agence officielle syrienne Sana. C'est la première fois qu'un tel incident est rapporté depuis la prise du pouvoir en Syrie, il y a un an, par une coalition islamiste qui a effectué un rapprochement avec les Etats-Unis.

Un responsable militaire syrien qui a requis l'anonymat a indiqué que les tirs avaient éclaté alors que des officiers syriens et américains étaient réunis dans une permanence de la sécurité syrienne à Palmyre. Un témoin dans la ville, qui a également requis l'anonymat, a déclaré avoir entendu des coups de feu provenant de l'intérieur de la base. L'agence Sana a indiqué que des hélicoptères avaient évacué les blessés vers la base d'Al-Tanf, dans le sud du pays, où sont déployées des troupes américaines.

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), basé au Royaume-Uni mais qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays, la visite de la délégation américaine à Palmyre "s'inscrit dans le cadre d'une stratégie des Etats-Unis visant à élargir leur présence en Syrie", et notamment dans les zones désertiques.

Lors de la visite du président intérimaire syrien Ahmed al-Charaa à Washington le mois dernier, Damas avait rejoint la coalition internationale antijihadiste menée par les Etats-Unis. Les forces américaines en Syrie sont notamment déployées dans les zones sous contrôle kurde dans le nord, ainsi que dans la base d'Al-Tanf, près de la frontière jordanienne.

Le groupe jihadiste Etat islamique avait contrôlé la région de Palmyre avant d'être défait en Syrie par une coalition internationale en 2019. Malgré sa défaite, ses combattants repliés dans le vaste désert syrien continuent épisodiquement de mener des attaques.

© Hans Lucas via AFP

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Les combats entre la Thaïlande et le Cambodge continuent, des milliers de déplacés des deux côtés

Le Cambodge a suspendu tous les passages frontaliers avec la Thaïlande samedi, après que Bangkok a démenti la conclusion d'un cessez-le-feu mettant fin à plusieurs jours d'affrontements meurtriers, comme l'affirmait le président américain Donald Trump. Après un premier épisode de violences en juillet, des affrontements cette semaine entre ces deux pays membres de l'Asean (Association des Nations d'Asie du Sud-Est) ont fait au moins 25 morts et forcé des centaines de milliers de personnes à fuir de part et d'autre de la frontière, longue d'environ 800 km.

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"Je suis démasqué" : il y a 21 ans, Colin Farrell a très mal vécu l'échec de ce film historique colossal

En 2004, Hollywood avait les yeux tournés vers la vie d’Alexandre le Grand, mais l’un des projets les plus ambitieux sur le sujet a tourné au fiasco. Le film d’Oliver Stone, porté par Colin Farrell, Angelina Jolie et Anthony Hopkins, était censé marquer les esprits, mais a plutôt laissé…

Article original publié sur AlloCiné

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Ce soir sur Netflix : tous les enfants des années 90 ont grandi avec ce film, et c'est très injuste que plus personne n'en parle aujourd'hui

Envie d'une bonne tranche de rigolade en famille ? Alors Denis la Malice, hilarante comédie des années 90 aujourd'hui injustement oubliée, est faite pour vous ! Bonne nouvelle : ce long métrage idéal en cette période de fêtes de fin d'année, qui s'inscrit clairement dans la veine de Maman, j'ai r

Article original publié sur AlloCiné

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En Biélorussie, le pouvoir libère le prix Nobel de la paix Ales Bialiatski et l’opposante Maria Kolesnikova

La Biélorussie a libéré ce samedi 13 décembre le militant Ales Bialiatski, colauréat du prix Nobel de la paix 2022, et l'opposante Maria Kolesnikova, a annoncé l'ONG de défense des droits humains Viasna, après des pourparlers entre Minsk et Washington. Ces deux figures de l'opposition, détenues depuis plus de quatre ans dans ce pays d'Europe orientale allié à la Russie, font partie d'un groupe de 123 personnes, dont la libération a été annoncée par Minsk.

Le président bélarusse Alexandre Loukachenko a gracié "123 citoyens de différents pays", a indiqué sur Telegram le compte Poul Pervogo, affilié à la présidence, sans fournir leurs noms. Le compte précise que ces libérations s'inscrivent dans le cadre "d'accords conclus" avec Donald Trump impliquant notamment la levée par Washington, annoncée plus tôt samedi, de sanctions économiques américaines contre Minsk.

Parmi les personnes libérées figurent également d'autres militants des droits humains et journalistes, ainsi que Viktor Babariko, un ancien banquier devenu opposant qui avait tenté, avant son arrestation, de se présenter contre Alexandre Loukachenko lors de l'élection présidentielle contestée d'août 2020. Lui et Maria Kolesnikova, qui était l'une de ses collaboratrices, se trouvent actuellement en Ukraine, a affirmé leur groupe de soutien sur Telegram. L'ONG Viasna précise que 114 des personnes libérées ont été conduites en Ukraine, tandis qu'une autre partie est attendue à Vilnius, en Lituanie.

Prix Nobel en 2022

Agé de 63 ans, Ales Bialiatski a fondé en 1996 et animé pendant des années Viasna ("Printemps"), le principal groupe de défense des droits humains et source essentielle d'informations sur les répressions dans ce pays d'Europe orientale. Alors qu'il était en détention, le travail d'Ales Bialiatski lui avait pour sa part valu en 2022 le prix Nobel de la Paix, partagé avec l'ONG Memorial (Russie) et le Centre pour les libertés civiles (Ukraine). "Je lui ai parlé, il est en route pour la Lituanie, il se sent bien", a déclaré à l'AFP son épouse, Natalia Pintchouk.

Musicienne de formation, Maria Kolesnikova, 43 ans, a pour sa part été l'une des meneuses des manifestations massives contre la réélection jugée frauduleuse d'Alexandre Loukachenko, en 2020.

Tous deux avaient été arrêtés lors de la répression brutale de ce mouvement de protestation et condamné à de lourdes peines de prison. En septembre 2020, Maria Kolesnikova avait été enlevée par les services de sécurité bélarusses et conduite à la frontière ukrainienne pour être expulsée de la Biélorussie. Mais elle était parvenue à déchirer son passeport, ce qui avait rendu son expulsion légalement impossible et avait d'elle un symbole de la résistance anti-Loukachenko. Sa sœur, Tatiana Khomitch, a pu lui parler au téléphone. "Elle a remercié les Etats-Unis et les efforts du président Trump", a affirmé Tatiana Khomitch à l'AFP.

Pourparlers avec Washington

Ces libérations font suite à l'annonce par un émissaire américain, John Coale, en visite en Biélorussie, de la levée des sanctions des Etats-Unis sur le potassium, un composant utilisé pour la fabrication d'engrais et dont le Bélarus est un grand producteur. Ces derniers mois, Donald Trump a encouragé notamment la Biélorussie à libérer les centaines de prisonniers politiques que compte le pays et le président bélarusse, Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis plus de 30 ans, a gracié des dizaines de personnes.

En échange, Washington avait déjà partiellement levé les sanctions contre la compagnie aérienne bélarusse Belavia, lui permettant d'entretenir et d'acheter des pièces pour sa flotte, qui comprend des Boeing.

L'émissaire américain John Coale a affirmé samedi que la proximité entre Alexandre Loukachenko et son homologue russe Vladimir Poutine pourrait être utile dans la difficile médiation américaine en cours pour tenter de mettre fin à la guerre entre Kiev et Moscou. Alexandre Loukachenko "a une longue histoire avec le président Poutine et a la capacité de le conseiller. C'est très utile dans cette situation", a déclaré John Coale, cité par l'agence d'Etat bélarusse Belta.

Alexandre Loukachenko, 71 ans, a écrasé plusieurs mouvements de contestation, dont le plus important, en 2020 et 2021, l'avait sérieusement fragilisé, le poussant à appeler à l'aide Vladimir Poutine. Depuis, Minsk est beaucoup plus dépendant de la Russie, alors qu'auparavant Alexandre Loukachenko avait tenté de trouver un équilibre dans ses relations entre le Kremlin et l'Occident.

© afp.com/Ramil Sitdikov

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