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Donald Trump rend l'accès aux parcs nationaux gratuit le jour de son anniversaire

Aux États-Unis, l’entrée des parcs nationaux est gratuite plusieurs jours dans l’année. Ce sont généralement lors de jours fériés fédéraux ou de certaines commémorations officielles. Le service des parcs nationaux, géré par l’administration Trump, vient de modifier sa liste de journées proposant cette gratuité. Dès l’année prochaine, le jour de l’anniversaire de Donald Trump, c’est-à-dire le 14 juin, les parcs seront gratuits. Un remaniement qui provoque la colère de certains.

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Amour, gloire et beauté / Top models (spoiler) : Will en danger, il risque sa vie ! Les moments forts des épisodes du 8 au 12 décembre 2025 sur TF1 Séries Films

Pendant que Luna sort de prison et s'installe secrètement chez Bill, Fanny Greyson fait son retour chez Forrester Creations pour un contrat de parfum. De son côté, Steffy reçoit son amie Daphné Rose et elle a une idée derrière la tête dans les épisodes d'Amour, Gloire et Beauté à suivre du 8 au 12 décembre 2025 sur TF1 Séries Films.

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Netanyahu veut enclencher "très bientôt" la deuxième phase de l'accord de cessez-le-feu à Gaza

Benjamin Netanyahu annonce une transition "très bientôt" vers la deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza. Celle-ci inclut le désarmement du Hamas, l'arrivée d’une force internationale et le retrait de l'armée israélienne. Le Hamas doit toutefois restituer à Israël un dernier corps d'otage retenu à Gaza, conformément à la phase un de l'accord, a rappelé le Premier ministre israélien.

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A Tchernobyl, l’impact d’un drone russe compromet la sécurité du site nucléaire

Encore une mauvaise nouvelle pour l’Ukraine. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a indiqué que le bouclier de confinement recouvrant le réacteur accidenté de Tchernobyl, en Ukraine, ne remplit désormais plus pleinement sa fonction de protection contre les radiations. En février dernier, un drone explosif russe a touché le sarcophage, provoquant une brèche dans la structure d’acier censée isoler le site.

Achevé en 2019 dans le cadre d’un programme soutenu par l’Union européenne, le "New Safe Confinement" (également nommé l'Arche de Tchernobyl) venait coiffer le premier sarcophage en béton très dégradé, construit dans la précipitation après l’accident nucléaire du 26 avril 1986. Cet ouvrage de très haute technicité, qui avait nécessité un investissement de près de 1,5 milliard d’euros, avait été conçu pour durer un siècle. Longue de 257 mètres, haut de 108 mètres et pesant 36 000 tonnes — l’équivalent d’une centaine de Boeing 747 —, "cette arche devait résister à des conditions extrêmes : températures allant de – 43 °C à + 45 °C, vents violents comparables à ceux d’une tornade de catégorie 3 et séismes de magnitude 7", nous explique Vincent Houard, ingénieur nucléaire et membre de l’Observatoire Energie & Climat de l’Institut Sapiens.

Pensé pour garantir le confinement radioactif et permettre le démantèlement progressif du réacteur accidenté en toute sûreté, ce dôme métallique a été construit par le consortium Novarka (Bouygues Construction et Vinci Construction), puis lentement déplacé sur rails afin de recouvrir l’ancienne structure.

Des risques sécuritaires

Selon l’AIEA, le récent impact a provoqué des dommages compromettant l’intégrité de la structure. La mission d’inspection "a confirmé que la structure de protection avait perdu ses principales fonctions de sécurité, notamment sa capacité de confinement, mais a également constaté qu’il n’y avait pas de dommages permanents aux structures porteuses ou aux systèmes de surveillance", a informé le directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, dans un communiqué.

Concrètement, le sarcophage métallique présente désormais une ouverture, ce qui signifie qu’il n’est plus totalement étanche. "Cette perte d’étanchéité fait peser un risque de dispersion de poussières radioactives, même si aucun relâchement n’a été constaté à ce stade. Elle peut aussi permettre à l’eau de s’infiltrer à l’intérieur, notamment lors de fortes pluies, ce qui pourrait, à terme, endommager la structure et ses équipements", explique Vincent Houard.

"Impossible d’envisager le retrait de l’arche"

Rafael Grossi a indiqué que des réparations provisoires avaient déjà été réalisées, tout en soulignant qu’"une restauration complète reste indispensable pour prévenir toute dégradation supplémentaire et garantir la sûreté nucléaire à long terme". L’AIEA a précisé, dimanche 7 décembre, que le site entreprendrait des réparations temporaires supplémentaires pour soutenir le rétablissement de la fonction de confinement de l’arche protectrice en 2026, avec le soutien de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), "ouvrant la voie à une restauration complète une fois le conflit terminé" avec la Russie.

Pour Vincent Houard, l’option la plus simple serait de reboucher la brèche. Une "intervention délicate", qui nécessiterait le recours à des entreprises hautement spécialisées, capables d’opérer en environnement contaminé. En revanche, retirer l’arche n’est pas une option : "le risque d’émanations radioactives est trop élevé", précise l’ingénieur nucléaire. Le calendrier des travaux reste toutefois incertain. Leur lancement dépendra notamment des financements mobilisés. "Le projet s’annonce coûteux et pourrait s’étaler sur plusieurs années. En attendant, des inspecteurs sont mobilisés sur place afin de surveiller l’absence de fuite."

© afp.com/Handout

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Syrie : vers un retour des touristes dans la ville antique de Palmyre ?

Longtemps considérée comme l’un des joyaux archéologiques du Moyen-Orient, Palmyre a subi de lourdes destructions au cours du conflit syrien. Aujourd’hui, alors que certaines zones connaissent un relatif apaisement, la question d’un possible retour des touristes se pose. Les autorités locales affichent leur volonté de restaurer les monuments les plus emblématiques et de relancer l’activité culturelle.

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Après le brutal démantèlement de leur système d’aide au développement, les Etats-Unis redéfinissent leur stratégie de santé mondiale

Dans le cadre de sa nouvelle stratégie « L’Amérique d’abord », l’administration Trump privilégie désormais les accords bilatéraux avec les pays en demande d’aide. Elle vient ainsi de fournir des doses de l’antirétroviral lénacapavir à la Zambie et à l’Eswatini.

© IHSAAN HAFFEJEE/AFP

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Un an après la chute de Bachar Al-Assad, les langues déliées de l’enfer concentrationnaire syrien : « Je n’ai jamais raconté mon histoire, mais maintenant, on peut parler, non ? »

Un an après la chute d’Al-Assad, d’anciens prisonniers livrent au journaliste Arthur Sarradin leur parcours dans les geôles syriennes. Le photographe Edouard Elias a immortalisé ces prisons hantées par les tortures et les exécutions.

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Photo de la semaine : ce que vous voyez fait 50 microns… et a bluffé les scientifiques !

Des concours photo, vous l’avez compris, il y en a beaucoup. Ce que la Royal Society Publishing Photography Competition a de particulier, c’est qu’elle récompense des images de science. Et celle qui a été déclarée vainqueur de la compétition cette année mérite largement le titre de photo de la...

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