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Après le Rwanda, l'émir du Qatar en visite en République démocratique Congo

Après sa visite au Rwanda, l'émir du Qatar a atterri dans la capitale Kinshasa pour une brève escale. Si la venue du Qatar a pour objectif de booster les investissements dans le pays, la question sécuritaire de l’est congolais a aussi été au menu. Le Qatar sert de médiateur dans les négociations entre les rebelles du M23 et le gouvernement congolais.

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EN DIRECT, guerre en Ukraine : Donald Trump affirme qu’il « faudra bien » que Volodymyr Zelensky accepte le plan américano-russe

Le président ukrainien, qui estime que son pays vit l’un « des moments les plus difficiles de son histoire », a promis de proposer, avec les Européens, d’« autres options » avant le 27 novembre, date limite fixée par son homologue américain.

© Nina Liashonok / REUTERS

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Jair Bolsonaro

Jair Bolsonaro, président du Brésil de 2019 à 2022, est un ancien capitaine de l'armée brésilienne, membre du Parti social libéral. Il est connu pour sa politique nationaliste, conservatrice et populiste et pour ses commentaires controversés sur les minorités et le climat. En 2022, il perd l'élection présidentielle face à l'ancien président Lula. Ce dernier est investi en janvier 2023, en l'absence de Jair Bolsonaro, parti en Floride. Suivez les dernières actualités internationales sur BFMTV.

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Le Sénat s'oppose à la généralisation du Nutri-score

Les sénateurs ont rejeté vendredi une mesure du budget de la Sécurité sociale visant à rendre obligatoire l'affichage du Nutri-score sur les emballages des aliments, suivant l'avis du gouvernement qui la juge contraire aux normes européennes. Par 212 voix contre 117, la chambre haute s'est opposée à un article introduit à l'Assemblée nationale début novembre. La mesure proposait de généraliser le Nutri-score sur les emballages, cette échelle de notation des aliments pouvant aller de A à E.

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Présidentielle en République serbe de Bosnie: «Voter pour Karan c'est comme voter pour Dodik et sa politique»

Une élection présidentielle anticipée se tient ce week-end dans la République serbe de Bosnie, l'entité serbe de ce pays toujours divisé selon des lignes ethniques. Condamné et déclaré inéligible, l'ancien président nationaliste, Milorad Dodik, ne peut pas se présenter après 19 ans de pouvoir sans partage, mais son parti présente un candidat. L'entité serbe de Bosnie pourrait tourner la page du nationalisme lors de cette élection, dont le résultat s'annonce incertain, dans un pays ravagé par la corruption et les difficultés économiques

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