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INTERVIEW - Thimothé Poissonnet (La France a un incroyable talent) : « Je ne vais pas forcément prendre en considération les remarques de Sugar Sammy »
Dans le milieu du stand-up depuis dix ans, Thimothé Poissonnet a décidé de participer à La France a un incroyable talent sur M6 ce mardi 4 novembre 2025. Pour Toutelatele, l'humoriste revient sur son passage, son style d'humour séquentiel et ses ambitions dans l'émission.
Un phénomène rare observé en direct : des anneaux sont en train de naître autour d’un astre du Système solaire !

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Un si grand soleil : les résumés des épisodes jusqu'au 28 novembre 2025 avec Lucas face à sa descente aux enfers
Lucas se prend dans un cercle vicieux et Alix va essayer de l'en sortir dans la suite de la série Un si grand soleil sur l'antenne de France 3. Du lundi 10 au vendredi 28 novembre 2025, Kira pourrait bien tout remettre en question.
"Tu es arrogant" : le réalisateur d'Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban a failli refuser le film, mais il a été sèchement recadré par cette légende du cinéma
21 ans après sa sortie, difficile d'imaginer un autre réalisateur que le génial Alfonso Cuarón aux commandes d'Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban ! Après Chris Columbus, auteur des deux premiers volets, le metteur en scène mexicain a eu la lourde tâche de signer le 3ème opus des aventu…
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Lula: la COP à Belem sera "la meilleure de toutes"

Ils apparaissent seulement quelques minutes dans Retour vers le futur 3 : seuls les vrais fans de westerns savent qui sont ces trois hommes !
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Demain nous appartient : ce qui vous attend dans l'épisode 2068 du mercredi 5 novembre 2025 [SPOILERS]
Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous préférez ne rien savoir, ne lisez pas la suite.
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Donald Trump intensifie ses demandes d’enquêtes sur l’élection de 2020
Ces derniers jours, Donald Trump fait pression sur le ministère de la Justice. Selon The Washington Post, le président américain cherche à influencer l’institution pour qu’elle examine à nouveau les bulletins de vote de l’élection de 2020. Lors de récentes réunions privées, de déclarations publiques et de publications sur les réseaux sociaux, Donald Trump a réitéré ses exigences envers les membres de son administration, leur demandant de prouver l’existence de fraudes lors de sa défaite il y a cinq ans, rapporte le quotidien. Une défaite qu’il a toujours niée.
Le Colorado, le Missouri et la Géorgie visés
Obnubilé par cette question, le président américain a récemment embauché à la Maison-Blanche, Kurt Olsen, un avocat ayant travaillé sur la contestation des résultats de 2020. Tandis que, toujours selon le Washington Post, des responsables de son administration ont demandé à inspecter le matériel de vote au Colorado et au Missouri. D’autres cherchent par ailleurs à obtenir les bulletins de vote par correspondance d’Atlanta de 2020, année où Donald Trump est devenu le premier candidat républicain à la présidentielle à perdre la Géorgie depuis 1992. Donald Trump et certains de ses alliés, au sein et en dehors de son administration, persistent à dénoncer une fraude électorale massive en 2020, malgré les rejets répétés de leurs théories par les tribunaux. Ils affirment que la sécurité des élections futures ne pourra être garantie sans un bilan complet de celles de 2020.
Les enquêteurs ont innocenté le comté de Fulton (dont la capitale est Atlanta) de malveillance en 2020. Néanmoins, une majorité républicaine au conseil d’administration a voté pour rouvrir l’enquête l’année dernière, rappelle The Guardian. Cet été, le conseil d’administration a adopté une résolution demandant au ministère de la justice d’intervenir et de les aider à obtenir les documents, poursuit le journal britannique. Dans une lettre datée du jeudi 30 octobre, le procureur général adjoint du comté, Harmeet Dhillon, un allié de Donald Trump, a demandé une multitude de dossiers précédemment réclamés par la Commission électorale de l’Etat de Géorgie, les sommant de produire les dossiers dans les 15 jours, explique The Atlanta Journal Constitution. "La transparence semble avoir été frustrée à plusieurs reprises en Géorgie", a écrit Harmeet Dhillon, dans la lettre.
"Négationnistes électoraux"
Pour justifier sa demande, le ministère de la justice a cité une disposition de la loi sur les droits civils qui exige que les fonctionnaires électoraux conservent les dossiers électoraux et donne au procureur général le droit de les demander, indique The Guardian. Cette loi exige que les dossiers soient conservés pendant 22 mois après une élection fédérale… Une période largement écoulée depuis la course électorale de 2020.
Ces dernières semaines, les tensions se sont accrues entre l’administration Trump et les représentants de la justice. Les seconds estimant qu’il serait plus judicieux de consacrer leur temps à l’examen des listes électorales pour les élections futures, notamment de mi-mandat dans un an. Certains responsables souhaitent tourner la page de 2020 et éviter d’être qualifiés de "négationnistes électoraux", terme désignant ceux qui ont affirmé sans preuve que Donald Trump avait battu Joe Biden lors de l’élection de 2020, raconte The Washington Post.
En outre, selon plusieurs observateurs cités dans la presse américaine, ce regain d’intérêt pour 2020 intervient alors que Donald Trump commence à constater les effets de ses demandes de poursuites contre ses détracteurs, notamment l’ancien directeur du FBI, James B. Comey, et la procureure générale de New York, Letitia James. La semaine dernière, le ministère de la Justice a également suspendu deux procureurs qui avaient fait référence aux émeutes du 6 janvier 2021 perpétrées par une foule pro-Trump au Capitole, dans un document judiciaire relatif à la condamnation d’un participant gracié par Donald Trump et désormais poursuivi pour des infractions liées aux armes.

© afp.com/ANDREW CABALLERO-REYNOLDS
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Cécile Kohler et Jacques Paris, les deux Français retenus en Iran depuis mai 2022, libérés
Les deux Français Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus depuis trois ans et demi en Iran, accusés d'espionnage au profit des renseignements français et israélien et qui ont toujours clamé leur innocence, "sont sortis de la prison d'Evin et sont en route pour l'ambassade de France à Téhéran", a annoncé Emmanuel Macron sur X.
"Je me félicite de cette première étape. Le dialogue se poursuit pour permettre leur retour en France le plus rapidement possible. Nous y travaillons sans relâche et je tiens à remercier notre ambassade et tous les services de l’État pour leur mobilisation", indique encore le président évoquant un "soulagement immense".
Soulagement immense !
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 4, 2025
Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus depuis trois ans en Iran, sont sortis de la prison d'Evin et sont en route pour l’Ambassade de France à Téhéran.
Je me félicite de cette première étape. Le dialogue se poursuit…
Condamnés mi-octobre à respectivement 20 et 17 ans d'emprisonnement, pour espionnage au profit des renseignements français et israélien, Cécile Kohler et Jacques Paris, ont toujours clamé leur innocence. Ils étaient les deux derniers Français officiellement détenus en Iran.
Ils sont désormais "en sécurité" à la résidence de l'ambassadeur de France, à Téhéran, "dans l'attente de leur libération définitive", a indiqué sur X le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. "J’ai échangé avec leur famille et dépêché sur place une équipe qui les accompagnera personnellement, aux côtés des agents de l’ambassade, que je félicite pour leur mobilisation sans faille au service de nos deux compatriotes", a-t-il précisé.
Un "jour nouveau"
Les avocats des deux Français sortis de prison en Iran mardi ont salué un "jour nouveau" pour Cécile Kohler et Jacques Paris, "mettant fin à leur détention arbitraire qui a duré 1 277 jours".
"Nous veillerons à ce qu'un jour justice puisse être rendue" pour les deux Français "dont les droits ont été bafoués chaque jour depuis ce 7 mai 2022", ont déclaré maîtres Martin Pradel, Chirinne Ardakani, Emma Villard et Karine Rivoallan dans un communiqué transmis à l'AFP.
Plus de trois ans de détention
Professeure de lettres de 41 ans, et enseignant retraité de 72 ans, Cécile Kohler et Jacques Paris avaient été arrêtés le 7 mai 2022, au dernier jour d'un voyage touristique en Iran. Ils avaient été incarcérés dans la sinistre section 209, réservée aux prisonniers politiques, de la prison d'Evin de Téhéran, avant d'être transférés vers un autre centre de détention, en juin lors de la guerre des douze jours entre Israël et l'Iran. Mais leur nouvelle localisation n'avait jamais été rendue publique.
Lumière allumée 24 heures sur 24, 30 minutes de sortie deux ou trois fois par semaine, rares et courts appels sous haute surveillance à leurs proches, les deux Français, qui avaient été contraints à des "aveux forcés" diffusés sur la télévision d'Etat iranienne quelques mois après leur arrestation, n'ont reçu que quelques visites consulaires.
Le ministère français des Affaires étrangères n'avait eu de cesse de déplorer les conditions de détention "inhumaines", estimant qu'elles relevaient de "la torture" au point de déposer un recours contre la République islamique iranienne auprès de la Cour internationale de justice "pour violation du droit à la protection consulaire". Pendant plus de trois ans, le renseignement extérieur français (DGSE) a également oeuvré à leur libération.
Les arrestations de ressortissants français, une monnaie d'échange pour l'Iran
Depuis une dizaine d'années, l'Iran multiplie les arrestations de ressortissants occidentaux, notamment français, les accusant le plus souvent d'espionnage, afin de les utiliser comme monnaie d'échange pour relâcher des Iraniens emprisonnés dans des pays occidentaux ou afin d'obtenir des gages politiques. Au moins une vingtaine d'Occidentaux seraient encore détenus, selon des sources diplomatiques.
Dans le cas de Cécile Kohler et Jacques Paris, Téhéran avait rendu publique le 11 septembre la possibilité d'un accord de libération des deux Français en échange de Mahdieh Esfandiari, une Iranienne arrêtée en France en février pour avoir fait la promotion du terrorisme sur les réseaux sociaux. Celle-ci avait été libérée sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès prévu en janvier.

© afp.com/Martin LELIEVRE