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La GeForce RTX 5080 est déjà en vente
Un joueur fait parler de lui sur Reddit après avoir réussi à acquérir une GeForce RTX 5080 plus d'une semaine avant son lancement officiel.
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Attention pour les PC avec Windows 10
☕️ Réutilisation de bases de données (personnelles) : les rappels de la CNIL
Les données sont l’or noir des intelligences artificielles, qui en ont besoin en toujours plus grandes quantités. Elles étaient aussi au cœur des annonces ces derniers temps à cause des fuites très nombreuses en 2024. La CNIL a décidé de publier un rappel sur la réutilisation de bases de données et les vérifications nécessaires pour respecter la loi. Le but étant de vérifier que « leur constitution ou leur partage n’est pas manifestement illicite ».
La Commission distingue deux sources : les bases de données librement mises à disposition sur Internet (hors open data) et celles détenues par un tiers (data broker par exemple). Dans les deux cas, il faut vérifier que l’organisme ou la personne qui partage la base de données respecte la loi. Un exemple évident : « il est interdit de voler ou de diffuser des données volées ».
Mais le responsable du traitement doit aussi « s’assurer que sa constitution ou son partage n’est pas manifestement illicite (par exemple, il est interdit de réutiliser des données provenant d’une fuite de données) ». Si la base de données enfreint manifestement le RGPD, le responsable peut se rendre coupable de recel.
La CNIL rappelle les grandes lignes des obligations : « Le réutilisateur de bases de données doit procéder à des vérifications, mais sans nécessairement aller jusqu’à des vérifications approfondies sur le respect de l’ensemble des règles du RGPD ou d’autres règles juridiques applicables (droit d’auteur, données couvertes par le secret des affaires, etc.) par le tiers qui a constitué ou mis à disposition la base de données ».
La Commission détaille des points importants à vérifier : sources, origine, présence de données sensibles (qui nécessitent des vérifications supplémentaires), etc. Enfin, elle recommande de conclure un accord avec le détenteur initial.
L’année dernière, elle avait déjà mis en ligne des recommandations sur l’ouverture et réutilisation de données personnelles sur Internet.
Test : NVIDIA RTX 5090 Founders Edition
Après avoir été annoncée à l’occasion du CES 2025 par NVIDIA, nous avons réceptionné un exemplaire de la nouvelle NVIDIA RTX 5090 Founders Edition. Nous en profitons pour remercier NVIDIA d’avoir mis à notre disposition ce sample. Nous n’avons pas eu l’occasion de réceptionner de cartes partenaires RTX 5090, mais nous pouvons déjà vous dire […]
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Cyberpunk 2077, la mise à jour 2.21 déploie le DLSS 4
CD Projekt Red a publié la mise à jour 2.21 pour Cyberpunk 2077, introduisant la prise en charge de la technologie DLSS 4 de NVIDIA.
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Les Samsung Galaxy S25, S25+ et S25 Ultra font la part belle à l’IA
En 2025 ? Quelle surprise…
Samsung a dévoilé mercredi soir sa nouvelle ligne de smartphones haut de gamme, déclinée en trois modèles : les Galaxy S25, S25+ et S25 Ultra. Outre des améliorations sur le plan de la photo et des composants de dernière génération, c’est surtout par le logiciel que les nouveaux venus cherchent à séduire. L’IA constitue sans surprise le cœur de la promesse.
Des interactions intuitives, sans effort, grâce à une parfaite adéquation entre l’expérience logicielle et l’assemblage du matériel : telle est en substance la promesse – pas tout à fait inédite – formulée mercredi soir par Samsung. Le constructeur sud-coréen présentait en effet à San Diego son fer de lance en matière de smartphones haut de gamme : la série des Galaxy S25, pour l’instant déclinée en trois modèles.
De l’extérieur, des changements discrets
Au programme : trois smartphones – Galaxy S25, Galaxy S25+ et Galaxy S25 Ultra –, dont les lignes esthétiques restent globalement fidèles à celles de la génération précédente. Samsung parvient à gagner quelques points au niveau de l’épaisseur (7,2 mm contre 7,6 mm pour le S24), mais se montre conservateur au niveau des écrans, toujours à bords arrondis.
Le S25 reste ainsi sur une dalle 6,2 pouces full HD, tandis que le S25+ conserve son écran 6,7 pouces QHD. Le S25 Ultra gagne quant à lui 0,1 pouce de surface visible, à 6,9 pouces, toujours en QHD. Les trois modèles profitent d’un affichage dynamique jusqu’à 120 Hz. Samsung fait appel à un verre de protection Gorilla Glass Victus 2 sur les S25 et S25+. Le S25 Ultra reçoit quant à lui un nouveau verre de protection, le Corning Gorilla Armor 2, censé résister à des chutes allant jusqu’à 2,2 mètres et présenter de très bonnes propriétés anti-reflets.
Un SoC dernier cri
Sous le capot, les changements sont moins anecdotiques, avec l’introduction, sur les trois appareils, d’un SoC dernier cri, version légèrement personnalisée du Snapdragon 8 Elite présenté par Qualcomm en octobre dernier.
La plateforme, qui supplante donc les processeurs Exynos (Samsung), utilisés ponctuellement sur de précédentes générations de smartphones Galaxy, promet des performances en hausse significative (Qualcomm parle de 45 % de gains par rapport à la Snapdragon 8 Gen 3, et de la prise en charge de Vulkan ou du Ray Tracing sur la partie GPU). Accompagnée de 12 Go de mémoire vive au sein des S25, elle autorise également une meilleure gestion de l’alimentation électrique, et une connectivité conforme aux derniers standards en vigueur.
Outre leur prise en charge de la 5G, les trois Galaxy S25 affichent ainsi une compatibilité Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4, du fait de l’intégration, au sein du Snapdragon 8 Elite, du système FastConnect 7900. Samsung propose par ailleurs une charge à 25 W sur les S25 (batterie 4 000 mAh) et S25+ (4 900 mAh), qui monte à 45 W sur le S25 Ultra (5 000 mAh).
Côté photo, les Galaxy S25 et S25+ reprennent la formule basée sur trois capteurs arrière de 50, 12 et 10 Mpx avec zooms optiques de x2 et x3, contre 12 Mpx en façade. Le S25 Ultra dispose quant à lui de quatre capteurs arrière de 200, 50, 10 et 50 Mpx avec zooms optiques x2, x3, x5 et x10. Sur ce dernier, le changement le plus notable par rapport au S24 Ultra est donc le passage de l’ultra grand-angle de 12 à 50 Mpx. Samsung évoque également l’enregistrement en HDR 10 bits, désormais activé par défaut.
Android 15 et One UI 7
Sur le volet logiciel, Samsung capitalise au maximum sur ses partenariats avec Qualcomm et Google. Livrés sous Android 15 équipé de la surcouche maison One UI 7, les S25 se veulent ainsi, dans le discours de Samsung, la démonstration de la façon dont on peut placer l’IA au cœur d’un environnement mobile. Dans les faits, bon nombre des fonctionnalités présentées se retrouvent dans Gemini Live et les Pixel 9 de Google, même si Samsung enrobe différemment les différentes briques IA de son logiciel.
Le S25 intègrent notamment la recherche multimodale (voix, texte, image) héritée de la fonctionnalité Circle to Search de Google. Samsung y ajoute un « agent », présenté sous la forme d’une barre d’information, chargé de prédire les informations dont l’utilisateur aura besoin en fonction du contexte (agenda de la journée, météo, suggestions d’itinéraires, etc.), en plus bien sûr de répondre aux commandes formulées en langage naturel. « Demandez simplement une photo spécifique dans la Galerie Samsung pour la trouver de façon intuitive, ou ajustez la taille des polices d’affichage dans les Paramètres », illustre le constructeur.
L’IA s’invite également dans les applications de productivité (transcription automatique et résumé d’un appel) ou de loisir (IA générative pour la création de dessins ou la retouche photo).
Un « Personal Data Engine »
Afficher un résumé des informations de la journée à venir suppose bien sûr d’avoir analysé des contenus tels que l’agenda, les courriers électroniques ou les messages reçus. Sur ce point, Samsung ne s’étend pas beaucoup dans sa communication francophone. Le constructeur se révèle légèrement plus disert dans ses communiqués américains (voir note 6 en bas de page), évoquant un « Personal Data Engine » dont le fonctionnement peut être désactivé par l’utilisateur, et dont les capacités d’analyse ne porteraient que sur les applications Samsung natives.
Reste à voir le fonctionnement exact de ce moteur, notamment vis-à-vis des polémiques suscitées, dans l’univers PC, par la fonctionnalité Recall de Microsoft.
Côté sécurité, les S25 disposent toujours des outils de Samsung pour l’entreprise, à commencer par Knox Vault (gestion des accès). Ils s’ouvrent par ailleurs à la « cryptographie post-quantique ».
Sept ans de mise à jour
Samsung promet enfin pour la série Galaxy S25 un cycle garanti de « sept générations de mises à niveau du système d’exploitation et sept années de mises à jour de sécurité ». Le sud-coréen emboîte ainsi le pas à la démarche engagée par Google.
La disponibilité commerciale de ces trois nouveaux smartphones est fixée au 7 février prochain, dans une large variété de coloris et des options de stockage allant de 128 Go à 1 To (uniquement pour le S25 Ultra). Les prix sont similaires à ceux de la génération S24 au lancement. Comptez 899 euros pour un S25 de 128 Go, 1 169 euros pour un S25+ en 256 Go et 1 469 euros pour le S25 Ultra en 256 Go.
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Wine fête sa version 10 avec d’importantes nouveautés : ARM64EC, Wayland, HiDPI
Ce n'est toujours pas un émulateur
Wine 10 est arrivé le 21 janvier, avec à son bord une longue liste d’améliorations. Fruit d’un an de travail, elle introduit notamment le support complet de l’architecture ARM64EC, généralise la prise en charge de Wayland et améliore nettement la gestion du HiDPI.
Dans son annonce, l’équipe indique avoir réalisé 6 000 modifications dans Wine. La nouvelle version 10, qui marque une étape majeure sans être forcément plus importante que les précédentes, accumule les nouveautés pour améliorer le support des applications Windows sur Linux. Rappelons que Wine n’est pas un émulateur au sens strict – le mot « Wine » est un acronyme récursif signifiant « Wine is not an emulator ».
Grosses améliorations pour ARM64
L’apport le plus important est sans conteste le support complet d’ARM64EC (EC pour Emulation Compatible), signifiant une parité totale avec l’architecture ARM64. ARM64EC est une ABI (Application Binary Interface) développée par Microsoft pour permettre la compilation d’applications hybrides. Elle est proposée aux développeurs pour simplifier le portage des applications x86-64 vers ARM64, autorisant notamment les modifications incrémentielles. Lancée en 2021, ARM64EC est régulièrement mis en avant, notamment par Qualcomm lors de la GDC 2024, quand il était question de faire tourner les jeux sur ce qui allait être les PC Copilot+.
Comme l’indique l’équipe de Wine, les modules hybrides ARM64X sont donc pleinement supportés, autorisant le mélange de codes ARM64EC et ARM64 au sein d’un même binaire. Il est également possible de compiler Wine en ARM64X via l’option « –enable-archs=arm64ec,aarch64 ». Les développeurs indiquent qu’il faut utiliser une version expérimentale de la chaine LLVM, mais que la version 20 stable de celle-ci devrait pouvoir compiler Wine sans autre modification.
Autre conséquence, l’interface d’émulation x86-64 est présente, profitant justement d’ARM64EC pour exécuter tout le code Wine de manière native. Seul le code x86-64 des applications est émulé. L’équipe ajoute cependant que seule une taille de 4 ko pour les pages système est supportée, car il s’agit d’une spécification de l’ABI Windows. Sur les systèmes dont le noyau utilise des pages de 16 ou 64 ko, Wine ne fonctionnera pas.
Plus généralement, le support des plateformes ARM s’améliore avec la détection du processeur, la gestion des exceptions, ou encore le support de RPC/COM, de WIDL, de RTTI C++ et des exceptions C++.
Améliorations graphiques et intégration
Côté graphiques, il y a essentiellement deux améliorations. D’abord pour le HiDPI, mieux supporté dans Wine 10. Les fenêtres d’applications ne prenant pas en compte le contexte DPI sont désormais mises automatiquement à l’échelle, plutôt que de leur exposer des tailles de DPI dont elles ne feront rien. Des flags de compatibilité sont également présents pour remplacer ce support, que ce soit par application ou dans le préfixe.
Du neuf également pour Vulkan. Le pilote intégré prend en charge la version 1.4.303 de l’API graphique, lui apportant notamment le support des extensions vidéo. Outre le support de la liaison des polices dans GdiPlus, les fenêtres filles Vulkan disposent désormais d’un rendu supporté par X11. Il s’agit d’un alignement sur OpenGL, qui savait déjà le faire.
Concernant l’intégration, Wine 10 inclut une fonction très attendue, mais encore expérimentale : l’émulation du mode d’affichage. Il devient possible d’émuler complètement les changements de mode d’affichage, plutôt que de les modifier réellement. « Les fenêtres sont agrandies et mises à l’échelle si nécessaire pour s’adapter à l’affichage physique, comme si la résolution du moniteur avait été modifiée, mais aucun changement de mode n’est demandé, ce qui améliore l’expérience de l’utilisateur », peut-on lire dans l’annonce.
On note aussi l’apparition d’un nouveau applet desk.cpl. Elle peut servir à inspecter et modifier la configuration de l’affichage, pour changer la résolution du bureau virtuel ou pour contrôler les nouveaux paramètres d’affichage émulés.
Et Wayland ?
Et bien sûr, pas question de parler de l’aspect graphique sans évoquer Wayland. Wine 10 fait le grand saut, le nouveau pilote étant activé par défaut. L’équipe précise quand même que dans le cas où Wayland et X11 sont tous deux disponibles, x11 garde la priorité. Sur un nombre croissant de distributions où Wayland est activé par défaut et X11 supprimé, la question ne se posera pas.
Le support de Wayland s’étend également, avec la répétition automatique des touches, OpenGL et un positionnement correct des fenêtres contextuelles.
Wine 10 contient aussi une longue liste d’améliorations plus générales, comme des corrections sur la barre des tâches, sur la gestion de l’état des entrées/sorties asynchrones dans le nouveau mode WoW64 et sur le mode interprété de WIDL. Signalons aussi une hausse générale des performances et la suppression de plusieurs fonctionnalités considérées comme obsolètes dans Wine3D.
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Téléchargez les fonds d’écran officiels des Samsung Galaxy S25
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