Stockage pCloud : dernière chance pour profiter des super remises de Noël



Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Ce logiciel de monitoring n'est pas nouveau, il existe depuis... 2010 !
HWMonitor affiche des informations détaillées comme, entre autres, les tensions, les températures des composants ou encore les vitesses de rotation des ventilateurs.
Il est très utile si vous voulez identifier rapidement un composant qui chaufferait trop sur votre config.
Il permet même de connaître l'état d'usure de votre batterie !
Il est en anglais, mais facile à prendre en main, est compatible de Windows XP à Windows 11 et existe en version portable.
Il est proposé par un éditeur que vous connaissez déjà, CPUID, auteur de l'excellent CPU-Z.
Je vous ai parlé des nouveautés de ce logiciel pour la dernière fois en avril avec la version 1.57.
Ne voulant pas publier trop souvent, j'ai attendu que plusieurs versions sortent, je vous propose la toute dernière d'hier 26 décembre.
Cet article HWMonitor, le logiciel de monitoring est disponible en version 1.61 est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name
À l'époque de ma glorieuse jeunesse, je jouais à RoboCop sur NES et c'est vrai que je trouvais ça très cool ! Mais ce que je ne savais pas, c'est que la version arcade de Data East cachait un secret bien vicieux dans ses entrailles électroniques.
En 1988, Data East sort donc RoboCop en versio arcade et comme tous les éditeurs de l'époque, ils avaient une peur bleue des bootleggers asiatiques qui clonaient les bornes à tour de bras. Du coup, ils ont eu une idée de génie : planquer une puce HuC6280 dans le hardware. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est le processeur du PC Engine, le cousin japonais de la TurboGrafx-16, sauf que là, elle ne sert absolument pas à faire tourner le jeu.
Non non, cette puce est là uniquement pour emmerder le monde.
Le truc pas con (enfin, pas con pour l'époque), c'est que Data East a externalisé une partie des calculs de collision sur ce processeur secondaire. Du coup, sans la puce HuC6280, le jeu démarre mais les hitboxes sont complètement pétées et les ennemis deviennent invincibles. Faut s'imaginer RoboCop qui tire dans le vide pendant que les méchants lui marchent dessus tranquillement... C'est pas méga vendeur pour une borne à 3000 dollars.
Le problème, c'est qu'en 2025, ces puces HuC6280 commencent à lâcher et quand ça arrive, votre borne RoboCop devient un très joli meuble de 150 kilos.
Et c'est là qu'un développeur du nom de djh0ffman entre en scène. Le bougre s'est dit qu'au lieu de chercher des puces de remplacement introuvables, il allait tout simplement virer cette protection. Mais pour ça, il fallait d'abord comprendre ce que faisait exactement cette fichue puce.
Déjà, il fallait dumper le code du HuC6280. Pas si simple parce que Data East avait aussi obfusqué les tables de jump pour que personne ne puisse facilement lire le code. Du reverse engineering dans le reverse engineering, en quelque sorte.
Une fois le code extrait et désobfusqué, djh0ffman a alors découvert que la puce gérait principalement deux choses : les collisions entre les sprites et la gestion des dégâts. Le reste du jeu tournant sur le processeur principal, un Motorola 68000.
Du coup, la solution était claire. Il fallait porter tout ce code du HuC6280 vers le 68000. Facile à dire bien sûr, mais moins facile à faire quand on parle de deux architectures complètement différentes. Le HuC6280 est certes un dérivé du 6502, mais le 68000 c'est carrément une autre planète.
Mais après des heures de travail, djh0ffman a réussi à recréer toutes les routines de collision en assembleur 68000 et à les injecter dans la ROM originale. Le patch fait environ 2 Ko !! Et ça transforme n'importe quelle borne RoboCop avec une puce morte en machine parfaitement fonctionnelle.
Et le truc cool, c'est que son patch ne contourne pas vraiment la protection, mais la remplace. Le jeu fonctionne donc exactement comme l'original, avec les mêmes collisions, les mêmes dégâts, les mêmes hitboxes. C'est juste que maintenant, tout ça tourne sur le 68000 au lieu du HuC6280.
Et le plus marrant c'est que cette protection était considérée comme inviolable à l'époque. En effet, les bootleggers n'avaient jamais réussi à la craquer proprement, alors ils vendaient des copies avec des collisions approximatives bidouillées à l'arrache. C'est fou ^^ Il peut flex le garçon !
Bref, si vous avez une borne RoboCop arcade qui prend la poussière parce que la puce de protection a rendu l'âme, y'a maintenant un patch IPS disponible qui lui redonne vie. Et pour les curieux qui veulent comprendre comment fonctionnaient ces protections anti-copie des années 80, le write-up de djh0ffman est une mine d'or.

Depuis plus de 20 ans, Exult fait tourner Ultima VII sur Windows, macOS et Linux. C'est un moteur open source génial, mis à jour en mai dernier, qui nécessite les fichiers originaux du jeu et permet de finir The Black Gate et Serpent Isle sans souci. Alors pourquoi diable Anthony Salter a-t-il créé U7 Revisited , un autre moteur pour le même jeu ?
Hé bien parce qu'Exult et U7 Revisited n'ont pas du tout le même objectif.
Le truc que beaucoup ignorent, c'est qu'Ultima VII était techniquement un monde 3D coincé dans un moteur 2D. En 1992, chaque objet du jeu avait déjà une largeur, une profondeur et une hauteur, ce qui fait que ce monde était donc composé de blocs 3072x3072x16. Mais la technologie de l'époque ne permettait pas d'afficher tout ça en vraie 3D, du coup Origin a dû se contenter d'une vue fixe pseudo-isométrique.
Exult vise donc à reproduire cette expérience originale au plus près, tout en ajoutant quelques améliorations. C'est son but et c'est très bien comme ça.
U7 Revisited, lui, part d'un autre postulat qui est : Et si on montrait enfin ce monde 3D dans un vrai moteur 3D ?
Anthony Salter a donc développé son propre moteur pour présenter Britannia avec une caméra rotative, un peu comme Dungeon Keeper ou Grandia. Vous pouvez ainsi tourner autour des bâtiments, zoomer, regarder les choses sous différents angles.
Et ça, ça règle une vraie frustration du jeu original car pour ceux qui y ont joué, vous vous souvenez peut-être de ces moments bien relous où vous cherchiez désespérément un levier ou une clé cachée derrière un mur ? Origin utilisait souvent cette technique de planquer des objets en ne laissant dépasser qu'un ou deux pixels.
Hé bien avec une caméra rotative, fini ce genre de galère.
Côté contrôles, c'est du moderne : WASD pour bouger, Q et E pour la rotation, molette pour le zoom. Le projet est codé en C++ et Lua, et il y a même des touches de fonction (F1 à F11) pour interagir avec différents aspects du monde.
Le développement avance bien d'ailleurs et dans ses dernières updates d'août, Anthony a présenté le support widescreen, un meilleur éclairage et le drag-and-drop pour les objets.
Il existe également plein d'autres projets fans autour d'Ultima comme Nuvie qui recréé Ultima 6, Pentagram qui s'occupe d'Ultima VIII. La communauté Ultima adore refaire ses jeux préférés avec des outils modernes, c'est comme ça. Mais U7 Revisited a quand même cette approche unique avec cette vision 3D du monde.
Si vous voulez tester, il faut copier les fichiers du jeu original DOS dans le dossier /Data/u7 puis builder le projet via CMake ou Meson.
Merci à Joseph de m'avoir signalé ce projet.


La pénurie de DRAM s’invite dans le calendrier produits : hausses de prix, configurations « à RAM fournie par l’utilisateur » et, désormais, retards possibles chez les grands noms du PC et du mobile.
D’après Chosun Biz, des acteurs majeurs comme HP et Lenovo ont récemment sécurisé des accords avec des fournisseurs mémoire pour leurs prochains lancements. Malgré ces contrats, des sources industrielles estiment que la demande en DRAM reste supérieure à l’offre, ce qui pourrait provoquer des décalages dans le portable et le mobile. Un analyste cité résume la situation : « la demande dépasse toujours l’offre, des retards sont probables ».

Le marché en subit déjà les contrecoups : les prix ont grimpé chez Framework, jusqu’à environ 10 dollars par Go de capacité (environ 9,2 euros), et certains intégrateurs proposent désormais des configurations avec RAM apportée par le client. Côté smartphones, il semblerait que des modèles haut de gamme reviennent à 8 Go de RAM.
Selon le rapport, deux alternatives se dessinent pour le portable premium : une hausse de prix d’environ 30 % sur le segment haut de gamme, qui s’ajouterait à une augmentation déjà anticipée de 9 % à l’échelle de l’industrie, ou un redimensionnement des références premium. La réalité de ces scénarios devrait se préciser très vite, CES 2026 approchant avec son lot d’annonces attendues, notamment chez Lenovo côté gaming et Ryzen AI 400.
Source : TechPowerUp
Upscaling matériel, OLED tandem et miniLED dans une même gamme : LG officialise ses moniteurs UltraGear EVO AI, avec trois modèles pensés pour les joueurs exigeants. Cette annonce fait écho aux informations que nous évoquions le 20 décembre concernant un 39 pouces 5K2K OLED Tandem attendu pour 2026.
Le haut du panier se nomme UltraGear EVO 52G930B. Ce 52 pouces incurvé adopte un rayon de 1000R, une définition de 5120 x 2160 pixels, un rafraîchissement de 240 Hz et une large couverture colorimétrique. Format bureau géant pour usage PC, il cible le jeu très grand format tout en conservant une densité confortable.

La vedette reste toutefois l’UltraGear EVO AI 39GX950B. Cet ultrawide 21:9 avec courbure 1500R s’affiche en 5120 x 2160 à 165 Hz, ou en 2560 x 1080 à 330 Hz. Il annonce le DisplayHDR True Black 500 et surtout un upscaling accéléré par IA directement dans le moniteur, sans solliciter CPU ni GPU.

D’après LG, cet algorithme pilote aussi l’optimisation d’écran, l’audio spatial, les réglages d’affichage et des profils selon le genre de jeu. Le tout repose sur une dalle OLED à technologie RGB tandem de nouvelle génération.
Pour un format plus classique, LG aligne l’UltraGear EVO AI 27GM950B. Ce 27 pouces plat en 16:9 fait mieux que ses pairs sur plusieurs points : définition 5120 x 2880 à 165 Hz, ou 2560 x 1440 à 330 Hz, certification DisplayHDR 1000, pic de 1 250 nits et rétroéclairage miniLED à 2 304 zones de gradation locale. Il reprend l’upscaling IA embarqué et l’ensemble des optimisations des modèles ultralarges.

LG doit présenter officiellement ces trois écrans lors du CES 2026 la semaine prochaine. La marque souligne « l’upscaling IA natif au moniteur » comme axe majeur, une approche qui pourrait séduire les joueurs visant des fréquences élevées sans compromis sur la netteté.
Source : TechPowerUp
Acemagic Tank Centre débarque et cible deux publics précis avec une base commune éprouvée. La série conserve l’ADN du TANK 03 tout en musclant nettement le calcul pour le jeu, l’IA et la productivité multi-écrans.
Lancée aujourd’hui, la nouvelle gamme comprend les M1A PRO et M1A PRO+. Le premier vise les joueurs et développeurs avec un Intel Core i9-13900HK, annoncé comme capable d’encaisser des applications exigeantes, des jeux modernes et des environnements de développement. Le second s’adresse aux ingénieurs IA, chercheurs et pros du calcul avancé avec un AMD Ryzen AI Max+ 395, mis en avant pour son accélération IA et son efficacité pour les charges de prochaine génération.

Les deux modèles conservent le châssis et la signature visuelle du TANK 03, son éclairage RGB personnalisable et surtout la molette à trois modes qui a fait sa réputation. D’après Acemagic, cette commande permet d’ajuster instantanément le comportement entre Silent, Auto et Performance pour équilibrer acoustique et puissance. L’arrière diffère toutefois selon les versions, avec une connectique optimisée pour leurs usages respectifs.

Le TANK 03, lancé en octobre 2023, a marqué le segment des mini PC avec des configurations à GPU dédié et une maîtrise des performances. On y trouvait notamment des options Intel Core i9-12900H associées à des GeForce RTX, prouvant qu’un format compact pouvait répondre au jeu, à la création et aux charges pro. « le TANK 03 a établi une référence pour les mini PC hautes performances », rappelle la marque.

Tank Centre reprend ces atouts et renforce la partie thermique. Acemagic annonce un refroidissement revu avec de grands ventilateurs et plusieurs caloducs, pour tenir des charges soutenues sans effondrement des fréquences. Le sélecteur Silent, Auto ou Performance reste central pour adapter la machine à l’environnement et au type de tâche.
Côté disponibilité, le déploiement régional sera précisé ultérieurement. Le lancement officiel intervient avec un tarif early-bird à 2 499 $ aux États‑Unis et 2 299 € dans l’Union européenne. Acemagic partagera d’autres informations de lancement dans les prochaines semaines.
Source : TechPowerUp
Exynos 2600 : Samsung pousserait son GPU Xclipse 960 vers une architecture dérivée RDNA4, avec 8 WGP, un pic à 980 MHz et un gros accent sur l’IA. Selon The Elec, ce saut s’appuie sur MGFX4, une adaptation maison des blocs AMD pour mobile.
D’après The Elec, le GPU Xclipse 960 de l’Exynos 2600 reposerait sur « MGFX4 », évolution des IP graphiques AMD destinée aux AP mobiles. Le précédent Exynos 2500 embarquait un Xclipse 950 en MGFX3, lié à RDNA3. Précision importante : AMD n’a pas déployé RDNA4 en mobile ni en iGPU grand public, et les APU Zen6 semblent viser RDNA5. Il semblerait donc que « RDNA4 » signifie ici une base RDNA3 enrichie de fonctionnalités RDNA4, à la manière des intégrations sur mesure déjà vues chez Sony.

Sur sa page produit, Samsung annonce une « nouvelle architecture » pour le Xclipse 960, avec jusqu’à 2x de performances en calcul par rapport à la génération précédente. Le débit de ray tracing progresserait jusqu’à +50 %, et la puce ajoute Exynos Neural Super Sampling (ENSS) pour l’upscaling IA et la génération d’images. Un Samsung official indique à The Elec que la collaboration avec AMD se poursuit, rappelant que « le développement GPU comporte de nombreuses variables ».
Côté implémentation, The Elec évoque 8 workgroup processors (WGP) et une fréquence de pointe à 980 MHz. On reste sur le même décompte de WGP que le Xclipse 950, mais avec un léger recul face aux 999 MHz antérieurs, signe probable d’un gain d’IPC plutôt que d’une hausse de fréquence.
Selon des résultats Geekbench 6 cités pour une carte de test Exynos 2600, le GPU atteindrait environ 22 000 points en OpenCL et 22 800 en Vulkan. Le Qualcomm Adreno 840 se situerait autour de 23 900 et 27 600, soit un avantage de 10 % à 20 % sur ces mesures. À nuancer : les performances finales dépendront du design des appareils et de la tenue thermique.
Samsung et AMD collaborent depuis 2019. Le premier GPU issu de ce partenariat, le Xclipse 920, a été commercialisé avec l’Exynos 2200 en janvier 2022. The Elec rapporte que Samsung entend poursuivre ce travail commun, sans écarter l’existence de nombreuses inconnues pour ses plans GPU internes.
Lire aussi : Exynos 2600 : Samsung officialise en silence un SoC 2 nm GAA très ambitieux
Clair Obscur: Expedition 33 triomphe en conquérant les joueurs et en dominant les classements annuels, comme celui de TheGamer. Ce JRPG moderne puise manifestement dans l’héritage des titres japonais iconiques, avec une influence notable de la saga Final Fantasy. Les admirateurs du jeu de Sandfall Interactive se tournent ainsi vers ces classiques pour prolonger l’expérience. Parmi eux, Final ... Lire plus
L'article Fans de Clair Obscur: Expedition 33 plébiscitent Final Fantasy X comme référence incontournable est apparu en premier sur Fredzone.Bon, vous avez tous vu passer cette histoire des documents Epstein mal censurés, j'imagine ?
En effet, des journalistes ont réussi à récupérer une bonne partie des informations censées être masquées dans les fichiers judiciaires... ça peut impressionner mais n'allez pas croire que ce soit quelque chose de compliqué et ces techniques sont à la portée de n'importe qui.
C'est pourquoi aujourd'hui, j'vais pas vous parler du scandale (y'a assez de monde dessus), mais des techniques pour récupérer ce qui se cache derrière ces fameux rectangles noirs. Du pur OSINT appliqué au forensique documentaire.
Commençons par le plus basique et pourtant le plus courant : le bon vieux copier-coller. Ouais, je sais, ça paraît con dit comme ça, mais vous seriez surpris du nombre de documents "confidentiels" qui sont censurés en posant simplement un rectangle noir par-dessus le texte dans Word ou Adobe Acrobat. Le texte original pourtant est encore là, bien au chaud sous cette couche graphique. Il suffit donc de sélectionner la zone, un petit Ctrl+C, et hop, on colle dans un éditeur de texte. Boom, le texte "caché" apparaît en clair.
C'est d'ailleurs exactement ce qui s'est passé avec des documents du Pentagone en 2005, et plus récemment avec des fichiers judiciaires américains. Bizarrement, les gens confondent "masquer visuellement" et "supprimer", alors que c'est pas du tout la même chose ^^.
Pour vérifier si un PDF est vulnérable à cette technique, vous pouvez utiliser pdftotext (inclus dans poppler-utils sur Linux) :
pdftotext document_censure.pdf - | less
Si le texte sous les rectangles noirs apparaît, bingo. Vous pouvez aussi utiliser PyMuPDF en Python pour extraire le texte brut :
import fitz
doc = fitz.open("document.pdf")
for page in doc:
print(page.get_text())
Maintenant, passons aux documents scannés. Là c'est plus subtil parce que techniquement, y'a pas de "texte" à copier, juste une image. Sauf que les scanners et les logiciels de numérisation ajoutent souvent une couche OCR invisible par-dessus l'image. Cette couche contient le texte reconnu automatiquement, et elle peut inclure ce qui a été censuré AVANT le scan si le masquage était mal fait.
Mais même sans couche OCR, y'a des trucs à tenter. Si la censure a été faite avec un marqueur physique (genre un Sharpie sur le document papier avant scan), il est parfois possible de jouer avec l'exposition et le contraste de l'image pour faire ressortir le texte en dessous. Les marqueurs noirs ne sont pas toujours 100% opaques, surtout sur du papier fin.
Avec GIMP ou Photoshop, vous pouvez don extraire les pages du PDF en images (pdftoppm ou convert) puis jouer avec les niveaux, courbes et exposition, inverser les couleurs ou encore appliquer des filtres de détection de contours
Ça marche pas à tous les coups, mais quand ça marche, c'est magique ^^.
Maintenant, la technique qui a fait des ravages c'est l'exploitation des sauvegardes incrémentales. Car vous ne le savez peut-être pas mais les fichiers PDF disposent d'un système de sauvegarde qui ajoute les modifications à la fin du fichier plutôt que de réécrire le document entier. Chaque "version" est ainsi séparée par un marqueur %%EOF (End Of File).
Concrètement, si quelqu'un ouvre un PDF, ajoute des rectangles noirs de masquage, puis sauvegarde, l'ancienne version du document est souvent toujours là, juste avant le dernier %%EOF. C'est comme un système de versioning intégré, sauf que personne n'y pense jamais.
Pour exploiter ça, il faut extraire la version originale (avant la dernière modification) comme ceci :
head -c [offset_avant_dernier_EOF] document.pdf > version_originale.pdf
L'outil QPDF permet aussi d'analyser la structure interne :
qpdf --show-xref document.pdf
qpdf --json document.pdf | jq '.objects'
Et les métadonnées ?? Je vous en ai pas parlé encore mais un PDF c'est pas juste du contenu visible. C'est aussi une mine d'or d'informations cachées. Le nom de l'auteur, la date de création, le logiciel utilisé, l'historique des modifications, parfois même des commentaires ou des annotations invisibles.
Et pour cela, ExifTool est votre meilleur ami :
exiftool -a -u -g1 document.pdf
Vous pouvez aussi utiliser pdfinfo :
pdfinfo -meta document.pdf
Dans les documents judiciaires qui ont récemment fuité, les métadonnées ont révélé les noms des personnes qui avaient édité les fichiers, les dates exactes des modifications, et parfois des chemins de fichiers sur les serveurs internes... Oups.
Maintenant, la technique la plus vicieuse ça reste quand même l'analyse des positions de glyphes. En effet, des chercheurs ont publié un papier intitulé " Story Beyond the Eye " qui démontre qu'on peut parfois deviner le contenu masqué en analysant la largeur des zones masquées.
Le principe c'est que dans un PDF, chaque caractère a une largeur précise définie par sa police de caractère. Si vous savez quelle police est utilisée (et c'est souvent le cas, puisque les tribunaux américains adorent Times New Roman par exemple), vous pouvez calculer combien de caractères tiennent dans la zone noire. Et si vous avez du contexte (comme le début ou la fin d'une phrase), vous pouvez parfois deviner le mot exact.
Avec des polices à chasse fixe comme Courier, c'est encore plus facile puisque chaque caractère fait exactement la même largeur. Comptez alors les pixels, divisez par la largeur d'un caractère, vous avez le nombre de lettres.
Un outil qui facilite tout ça c'est X-Ray , développé par le Free Law Project qui est capable d'analyser les PDF et de détectre automatiquement les censures défectueuses.
Autre outil sympa que je vous conseille, c'est unredactor , qui tente de reconstruire automatiquement le texte sous les blocs de masquage en utilisant diverses heuristiques.
Ça c'est pour les PDF, mais pour les images PNG ou les captures d'écran censurées, y'a aussi des trucs à faire. Leurs métadonnées EXIF peuvent contenir des informations sur l'appareil, la géolocalisation, la date, mais surtout, si l'image a été éditée avec certains logiciels, des données résiduelles peuvent trainer.
La technique du "thumbnail" est par exemple particulièrement fourbe puisque certains logiciels génèrent une miniature de l'image AVANT les modifications et l'embarquent dans les métadonnées. Donc vous ouvrez la miniature, et vous voyez l'image originale non censurée. C'est arrivé plusieurs fois dans des affaires judiciaires. Voici comment l'extraire avec Exiftool :
exiftool -b -ThumbnailImage image_redactee.jpg > thumbnail.jpg
Pour les professionnels du forensique, y'a aussi la technique de l'analyse des données compressées. Comme les algorithmes JPEG et PNG ne sont pas parfaits, les zones éditées ont parfois des artefacts de compression différents du reste de l'image. Cela peut révéler où des modifications ont été faites.
Bon et maintenant que vous savez comment récupérer des infos censurées, parlons maintenant de comment BIEN censurer un document, histoire de pas vous planter.
En fait, la seule méthode vraiment sûre c'est de supprimer définitivement le contenu. Je répète : Ne masquez pas le contenu, supprimez le !
Adobe Acrobat Pro a par exemple une fonction "Redact" qui fait ça correctement car cette fonction supprime réellement le texte et les métadonnées associées.
Alternativement, vous pouvez aussi exporter le document en PDF (ça aplatit toutes les couches), utiliser des outils comme pdf-redact-tools qui suppriment vraiment le contenu, et le convertir en image puis le reconvertir en PDF (bourrin mais efficace)
Et SURTOUT, vérifiez toujours le résultat avec les techniques mentionnées plus haut avant de diffuser quoi que ce soit.
Voilà, vous avez maintenant un petit arsenal de techniques OSINT pour analyser des documents "confidentiels". Bien sûr, comme d'hab, utilisez ces connaissances de manière responsable et éthique car une fois encore, le but c'est de comprendre les failles pour mieux se protéger, et pas de violer la vie privée des gens.
Voilà... Et la prochaine fois que vous verrez un document officiel avec des gros rectangles noirs, vous saurez que c'est peut-être pas aussi opaque que ça en a l'air. Niark niark...

Une affection oculaire rare, nommée cataractes en arbre de Noël, produit un scintillement polychrome dans le cristallin, évoquant les guirlandes festives. Ces cristaux multicolores, visibles sous l’éclairage focal des ophtalmologistes, surprennent par leur beauté saisissante. Liée au vieillissement, elle résulte d’un excès de cystine favorisé par le calcium. Bien que généralement inoffensive pour la vision, elle ... Lire plus
L'article Cataractes en arbre de Noël illuminent les yeux d’un éclat féerique est apparu en premier sur Fredzone.Les spécialistes de la psychologie positive conseillent souvent des exercices structurés pour booster le bien-être, comme tenir un journal de gratitude ou accomplir des actes de gentillesse. Pourtant, une enquête récente révèle qu’ils appliquent rarement ces pratiques au quotidien. Leur secret réside dans un état d’esprit flexible, baptisé meliotropic wellbeing mindset, qui intègre naturellement le bonheur ... Lire plus
L'article Experts en psychologie positive privilégient un état d’esprit orienté bien-être est apparu en premier sur Fredzone.
Les rumeurs autour de la prochaine génération de GPU Radeon RDNA5 se sont accélérées ces derniers jours, évoquant un possible basculement de la production vers Samsung Foundry en 2 nm ou 4 nm. Une hypothèse rapidement réfutée par plusieurs leakers bien connus du secteur, à commencer par Kepler_L2, qui parle sans détour de « non-sens ». Selon lui, les puces RDNA5 seraient déjà « taped out » en N3P chez TSMC, avec une fenêtre de lancement désormais repoussée au milieu de l’année 2027.
À l’origine de la rumeur, une interprétation large de discussions industrielles suggérant qu’AMD pourrait confier certaines puces avancées à Samsung Electronics Foundry, en 2 nm ou en 4 nm. Une perspective jugée peu crédible pour les GPU haut de gamme par plusieurs observateurs. Kepler_L2 affirme au contraire que les GPU RDNA5 sont déjà engagés sur le procédé N3P de TSMC, une étape incompatible avec un changement de fondeur à ce stade.

Cette lecture est partagée par d’autres intervenants, qui rappellent qu’un « tape-out » verrouille une grande partie des choix technologiques, en particulier le nœud de gravure. En clair, si RDNA5 est bien déjà passé par cette étape en N3P, un détour par Samsung Foundry relèverait davantage de la spéculation que d’une réalité industrielle.
Interrogé sur le timing, Kepler_L2 évoque désormais une sortie au milieu de l’année 2027. Un délai cohérent avec un tape-out récent sur un procédé aussi avancé que le N3P, et surtout avec le silence prolongé d’AMD sur sa feuille de route Radeon.
Mid 2027
— Kepler (@Kepler_L2) December 25, 2025
Contrairement à la gamme EPYC, où AMD communique plusieurs générations à l’avance et a déjà confirmé des premiers wafers en 2 nm, la division GPU gaming reste extrêmement discrète. Les documents publics parlent de « GPU de nouvelle génération » orientés IA et ray tracing, sans jamais mentionner explicitement RDNA5 ni avancer de calendrier précis.
Ce contraste alimente l’idée que Radeon n’est pas pressé. Un lancement en 2026 aurait impliqué une montée en volume dans un contexte de tensions sur la mémoire et de coûts de production élevés, un scénario qui a déjà posé problème à AMD par le passé.
Un autre indice souvent cité est le partenariat renforcé entre AMD et Sony autour de « Project Amethyst ». Les deux acteurs ont évoqué l’introduction de Radiance Cores pour le ray tracing et le path tracing, de Neural Arrays pour les charges graphiques assistées par IA, ainsi que de nouvelles méthodes de compression destinées à réduire la pression sur la bande passante mémoire.

Ces briques technologiques sont généralement perçues comme transversales, destinées à irriguer à la fois les GPU desktop et les futurs SoC console. L’hypothèse dominante reste donc celle d’une convergence partielle entre RDNA5 côté PC et la prochaine génération de consoles, ce qui renforcerait encore l’idée d’un calendrier étalé.
Faute de communication officielle, les discussions autour de RDNA5 restent largement alimentées par les leakers. Le nom de famille interne « GFX13 » revient régulièrement, accompagné de plusieurs dies supposés, identifiés comme AT0, AT2, AT3 et AT4. Les fuites évoquent des configurations de Compute Units et de sous-systèmes mémoire variables, sans qu’aucune fiche technique crédible n’ait encore émergé.
Le support du HDMI 2.2 est également cité à plusieurs reprises, mais là encore, rien ne permet de distinguer ce qui relève de la feuille de route réelle et ce qui tient de l’anticipation. AMD a d’ailleurs montré sa prudence récemment en retirant toute mention de RDNA4 de sa présentation CES 2025, laissant peu d’espoir d’annonces concrètes sur RDNA5 au CES 2026.
Pris dans son ensemble, ce silence prolongé pourrait simplement traduire un objectif clair : viser mi-2027 plutôt que forcer un lancement en 2026 sous contraintes. Entre la montée en puissance des charges IA, la complexité croissante du ray tracing et les réalités économiques du moment, AMD semble privilégier le temps long.
Si l’on en croit ces éléments, RDNA5 serait moins une réponse immédiate à la concurrence qu’une génération pensée pour durer, quitte à laisser le terrain médiatique aux rumeurs pendant encore de longs mois. Une stratégie qui n’a rien d’inhabituel pour AMD, mais qui confirme que la prochaine grande étape Radeon ne se jouera pas avant plusieurs trimestres.
Source : X
Sapphire Technology officialise PhantomLink, une approche ciblée du cable management GPU destinée aux configurations haut de gamme, sans remettre en cause la compatibilité avec les plateformes existantes. Plutôt que d’adopter une conception à connecteurs entièrement déportés, le constructeur propose une solution intermédiaire combinant une carte mère X870E de conception classique et une carte graphique RX 9070 XT capable de recevoir son alimentation via un connecteur dédié sur le PCB.
Au cœur de PhantomLink se trouve le connecteur GC-HPWR, issu du standard BTF 2.5, qui permet à la carte graphique de s’alimenter directement depuis la carte mère. Ce principe ne supprime pas l’usage du 12V-2×6, mais en déplace l’implantation. Le câble d’alimentation est désormais branché sur la carte mère, qui redistribue ensuite l’énergie au GPU via le PCB, libérant ainsi la face avant de la configuration de tout câble apparent.
Pour rappel, cette approche du GC-HPWR a été initialement introduite et popularisée par ASUS dans le cadre de ses plateformes BTF. Avec PhantomLink, Sapphire reprend ce principe de routage d’alimentation GPU, sans adopter pour autant une architecture back-connect complète, privilégiant une intégration plus souple et progressive.
Le concept PhantomLink repose sur le standard BTF 2.5 et son connecteur GC-HPWR, mais il ne supprime pas l’utilisation du 12V-2×6. Le principe consiste à brancher le câble d’alimentation directement sur la carte mère, qui redistribue ensuite l’énergie à la carte graphique via le connecteur GC-HPWR. L’objectif est avant tout esthétique, en libérant la face avant de la configuration de tout câble visible, tout en conservant une implantation plus propre et plus intégrée.

Cette approche ne fait toutefois que déplacer la problématique liée au 12V-2×6, sans l’éliminer. La fragilité potentielle du connecteur et les risques thermiques associés ne disparaissent pas, mais sont désormais transférés du GPU vers la carte mère, puisque l’alimentation transite par le PCB de cette dernière avant d’atteindre la carte graphique.

PhantomLink conserve néanmoins une approche ouverte et modulaire. Les cartes graphiques compatibles disposent d’un connecteur GC-HPWR amovible, leur permettant de fonctionner aussi bien sur une carte mère BTF que sur une plateforme classique utilisant un branchement 12V-2×6 direct. Une compatibilité croisée qui évite tout verrouillage et laisse à l’utilisateur le choix de son architecture.
La NITRO+ X870EA PhantomLink marque l’entrée de Sapphire sur le segment des cartes mères X870E. Au format ATX, elle adopte une conception haut de gamme avec une alimentation 16+2+1 phases reposant sur des DrMOS de 90 A, annoncée pour encaisser plus de 250 W de charge processeur.

La prise en charge de la mémoire DDR5 s’étend jusqu’à 8400 MT/s et au-delà en overclocking via quatre emplacements DIMM. L’extension est assurée par trois ports PCIe pleine longueur, accompagnés de quatre emplacements M.2, dont deux compatibles PCIe 5.0.

La connectivité réseau est assurée par un contrôleur Ethernet 5 GbE et du Wi-Fi 7, tandis que l’IO arrière intègre deux ports USB4. En façade, un connecteur USB-C 20 Gb/s est également présent. Sapphire met aussi l’accent sur la praticité avec un afficheur de diagnostic et des boutons de contrôle intégrés. La carte mère conserve toutefois une implantation classique de ses connecteurs, et ne s’inscrit pas dans une architecture back-connect.

Son rôle dans l’écosystème PhantomLink se limite au routage de l’alimentation GPU via le GC-HPWR, sans refonte globale de la disposition des connecteurs. Deux variantes sont prévues, une version classique au coloris titane et une Polar Edition à la finition plus claire, pensée pour les configurations blanches.

En parallèle, Sapphire dévoile la première carte graphique AMD compatible BTF 2.5. La NITRO+ RX 9070 XT PhantomLink adopte un système d’alimentation hybride. Son connecteur PhantomLink peut être utilisé avec une carte mère compatible, mais il reste entièrement démontable afin de permettre l’utilisation d’un câble d’alimentation classique sur une plateforme standard.

La carte repose sur un système de refroidissement à trois ventilateurs et six caloducs. Le GPU est en contact avec un pad thermique à changement de phase Honeywell PTM7950, un choix de plus en plus fréquent sur les modèles haut de gamme.

La fréquence boost annoncée atteint 3060 MHz. Le backplate bénéficie d’un système de fixation magnétique pour un démontage rapide, tandis que les ventilateurs peuvent être retirés individuellement via un mécanisme à contact direct.

Là encore, deux déclinaisons sont prévues, une version sombre et une Polar Edition blanche, parfaitement assortie à la carte mère X870EA PhantomLink.

Avec PhantomLink, Sapphire ne cherche pas à reproduire une approche back-connect complète, mais à cibler un point précis du cable management : l’alimentation de la carte graphique. En combinant une carte mère X870E de conception classique et une RX 9070 XT capable de recevoir son alimentation via le GC-HPWR, le constructeur propose une solution intermédiaire qui améliore la lisibilité du montage sans imposer une refonte totale de la plateforme.

Cette approche ne marque donc pas une adoption pleine et entière du BTF, mais une intégration partielle et pragmatique de l’un de ses principes clés. Le 12V-2×6 reste bien présent, avec ses contraintes connues, simplement déplacées vers la carte mère. PhantomLink n’élimine pas le problème, il en modifie l’emplacement et les implications, ce qui mérite d’être pris en compte par les utilisateurs les plus exigeants.

Pour une première incursion sur le marché des cartes mères, Sapphire s’appuie néanmoins sur une base technique visiblement éprouvée. Le choix du GC-HPWR, la cohérence du routage et la maturité globale de la plateforme suggèrent un recours à un écosystème industriel déjà bien établi. PhantomLink s’affirme ainsi moins comme une rupture que comme une tentative mesurée de transposer, côté AMD, une approche déjà explorée par ASUS, en laissant à l’utilisateur la liberté d’adopter ou non ce compromis.
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Source : diy.pconline.com.cn
Ryzen 9 9950X3D2 en vue : le présumé double 3D V-Cache d’AMD apparaît sur Geekbench et PassMark, avec 16 cœurs et un boost qui grimpe jusqu’à 5,622 GHz selon les pages repérées. Au programme : une quantité de cache L3 jamais vue sur le segment grand public.
Selon ces entrées, le Ryzen 9 9950X3D2 embarque 16 cœurs et inaugurerait deux piles 3D V-Cache Gen2, une par CCD. Ce serait le premier processeur AMD livré avec du 3D V-Cache sur les deux chiplets, portant le total de cache L3 à 192 Mo (2 × 32 Mo + 2 × 64 Mo). Les pages listent un max boost à 5,622 GHz, et l’une d’elles mentionne une carte mère Galax B850M associée à 96 Go de DDR5 à 4800 MT/s sur deux modules.

Le listing PassMark évoque pour sa part un boost à 5,7 GHz et un TDP de 170 W. Un précédent bruit de couloir parlait de 200 W pour ce modèle, ce qui en ferait le plus élevé de la famille Ryzen 9000. Soit PassMark expose une donnée erronée, soit AMD aurait ajusté la fiche technique.

D’après la source, l’annonce conjointe des Ryzen 9000X3D serait toujours envisagée au CES 2026. Le 9850X3D apparaît déjà dans certaines listes de distribution, contrairement au 9950X3D2, encore absent. « il y a bien un 9950X3D2 avec 16 cœurs et 5,622 GHz de boost » précise la fuite.
Les deux entrées datent d’aujourd’hui. Elles laissent penser qu’AMD aurait envoyé des échantillons de test, ou que des partenaires cartes mères évaluent déjà les puces. Aucun tarif ni date de commercialisation finale pour le 9950X3D2 à ce stade. L’annonce au CES 2026 reste plausible, mais elle n’est pas confirmée par AMD.
Source: PassMark (via X86 is dead&back), Geekbench (via Olrak29)
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Certains pourraient trouver ce logiciel un peu gadget, mais pour d'autres ce sera une véritable madeleine de Proust !
Oui, j'entends souvent les internautes dire : c'était mieux avant !
Les barres des tâches étaient plus jolies (ça se discute...), plus intuitives (ça se discute pas...), plus pratiques et légères.
Je vous propose donc un logiciel gratuit qui existe en version portable et à installer qui vous fera remonter le temps en quelques secondes !
Je suis habituellement très méfiant en ce qui concerne ce type de programmes, il faut le dire, pas franchement indispensables.
Ils apportent souvent leurs lots de problèmes, rendent les Systèmes instables, Windows n'aime pas qu'on le modifie.
Mais là, je l'ai trituré dans tous les sens : RAS !
Après, il faut dire que le soft que je vous propose a déjà 5 ans d'existence et a reçu de nombreuses améliorations, la dernière version datant de ce mois d'octobre 2025.
Je vous propose une petite vidéo pour que vous puissiez vous rendre compte de son utilité... ou pas. 😁
Cet article [Vidéo] Un soft qui affiche les anciennes barres des tâches de Windows est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name
La série portée par Billy Bob Thornton continue de captiver son public sur Paramount+. Alors que les tensions s’intensifient autour des enjeux pétroliers texans, les spectateurs se préparent à découvrir la suite des péripéties de Tommy Norris et de son entourage. Le partenariat controversé entre M-Tex et Gallino (interprété par Andy Garcia) place le protagoniste ... Lire plus
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