Sélection accessoires : voici les 8 meilleures batteries nomades iPhone compatibles MagSafe



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Mon smartphone allait être obsolète en avril 2026. Mais les fonctions WI-FI et 4G ont brutalement cessé de fonctionner.
Mon choix s’est porté sur un fairphone 6.
Il s’agit d’un modèle plus respectueux de l’environnement et des travailleurs.
Il est possible d’y ajouter une carte micro SD (de plus en plus rare).
Ce téléphone est modulaire, il offre la possibilité de remplacer entre-autres soi-même : la batterie, l'écran, les appareils photo avant et arrière et le port USB-C de charge.
Cet article Fairphone 6 : mes premières impressions, par Philippe est apparu en premier sur votre site préféré www.sospc.name



La Mad Catz M.M.O. 7+ s’adresse clairement aux joueurs de MMO et de RPG qui recherchent un contrôle avancé et une personnalisation extrême. Héritière directe de la légendaire M.M.O. 7, cette version modernisée conserve l’ADN iconique de la gamme tout en intégrant des technologies actuelles, notamment la connectivité sans fil 2,4 GHz et un capteur optique de dernière génération.
Avec jusqu’à 21 entrées programmables et un bouton 5D innovant, la M.M.O. 7+ permet de gérer rotations, compétences et macros complexes sans quitter l’action. Le bouton dédié Mode Shift double instantanément le nombre de commandes disponibles, portant le total à 42 entrées accessibles en jeu.
Au cœur de l’expérience M.M.O. 7+ se trouve son bouton 5D multifonction, conçu pour offrir un contrôle intuitif et précis. Combiné au Mode Shift et aux cinq profils embarqués, il permet d’adapter la souris à chaque situation, que ce soit pour le PvE, le PvP ou les phases de farming intensif.

La molette de défilement horizontale facilite la gestion de l’inventaire, des raccourcis ou des barres d’actions secondaires, tandis que la mémoire intégrée permet de conserver profils, macros et réglages DPI directement dans la souris, sans dépendre d’un logiciel installé.
La M.M.O. 7+ embarque un capteur optique PixArt 3395 capable d’atteindre jusqu’à 26 000 DPI, garantissant un suivi ultra-précis et réactif. Quatre préréglages DPI peuvent être enregistrés et ajustés à la volée pour s’adapter instantanément aux différentes situations de jeu.

Les boutons principaux sont équipés d’interrupteurs mécaniques Kailh conçus pour résister à 80 millions de clics, assurant une longévité exceptionnelle et une sensation de clic nette et fiable, même après des années d’utilisation intensive.
Fidèle à la philosophie Mad Catz, la M.M.O. 7+ mise sur une ergonomie réellement personnalisable. Les repose-paumes interchangeables peuvent être réglés sur quatre positions différentes, tandis que le repose-pouce est ajustable latéralement, vers l’avant et vers l’arrière grâce à l’outil fourni.
Cette conception modulaire permet à la souris de s’adapter à pratiquement toutes les morphologies de main, offrant un confort durable lors de longues sessions de jeu et réduisant la fatigue sur la durée.
La souris propose un mode filaire pour une latence minimale et une sensation plus traditionnelle, ainsi qu’un mode sans fil 2,4 GHz pour une liberté totale de mouvement. En mode sans fil, la batterie lithium rechargeable assure jusqu’à 40 heures d’autonomie, permettant d’enchaîner de longues sessions sans interruption.

La transition entre les modes est simple et rapide, ce qui rend la M.M.O. 7+ aussi polyvalente qu’efficace, aussi bien sur un setup fixe que mobile.
La suite logicielle Mad Catz offre un contrôle complet sur tous les aspects de la souris. Les joueurs peuvent créer et éditer des macros complexes, remapper chaque bouton, ajuster précisément le DPI, gérer le verrouillage d’action et personnaliser l’éclairage RGB selon leurs préférences.

Cette approche logicielle centralisée permet de transformer la M.M.O. 7+ en un véritable centre de commande, parfaitement adapté aux besoins spécifiques de chaque joueur MMO ou RPG.
Un nom de dossier suffit à faire bouger la veille hardware : Ryzen AI 400 apparaît dans le package Chipset Software v7.10.02.711 d’AMD, avec un répertoire « pmf_ryzen_ai400series ». Un indice concret que la série mobile « Gorgon Point » entre en validation chez les OEM, d’après les observateurs.
La mention, dénichée dans le pilote de gestion PMF, s’ajoute à des signaux déjà repérés : des manifestes d’expédition à la mi-année et des diagnostics de benchmarks récents ont listé plusieurs APU « Gorgon Point », dont des Ryzen AI 9 HX 475/470 et un Ryzen AI 5 430 à 4 cœurs, selon les documents et résultats cités. TechPowerUp résume la tendance : « refreshed product lineup », attendu pour le prochain CES.
AMD Chipset Software 7.10.02.711https://t.co/xTxP5IEyRw
— westlake (@BuildLabEx) December 6, 2025
"pmf_ryzen_ai400series"
Il semblerait que cette génération conserve les blocs techniques introduits en 2024 : cœurs CPU Zen 5 + Zen 5c, iGPU RDNA 3.5 et NPU XDNA 2. Autrement dit, une mise à jour mesurée des Ryzen AI 300 « Strix Point », avec un redéploiement ciblé sur les PC portables et notebooks. Les sources industrielles anticipent une fenêtre de lancement alignée sur le salon de Las Vegas, avec des échantillons déjà en circulation pour validation.

D’après les informations disponibles, Ryzen AI 400 pousserait surtout l’intégration IA côté client, en capitalisant sur XDNA 2, tandis que le duo Zen 5/Zen 5c et l’iGPU RDNA 3.5 assureraient la continuité sur CPU et graphique intégré. Les premiers modèles repérés dans les bases de tests et documents logistiques laissent penser à une gamme étagée, du Ryzen AI 5 430 jusqu’aux Ryzen AI 9 HX 475/470.
AMD garderait ce rythme jusqu’à l’arrivée supposée de Zen 6 sur mobile, annoncée plus tard en 2026. Entre-temps, ces APU devraient alimenter une nouvelle vague de PC portables dits AI, avec des OEM déjà sur les rangs.
Source : TechPowerUp
Lords of the Fallen II entre enfin en scène. Premier aperçu de gameplay, bosses colossaux, et une sortie calée pour 2026 : CI Games pose les bases d’une suite plus nerveuse et plus cruelle.

Présentée aux Game Awards, la bande-annonce montre un soulslike radicalisé, porté par l’Unreal Engine 5 et une esthétique à double royaume fidèle à la série. Le jeu sortira en 2026 sur PlayStation 5, Xbox Series X|S et PC via l’Epic Games Store, avec liste de souhaits déjà ouverte. Le trailer, rythmé par une reprise de « It’s a Sin » par Ghost, met en avant un système de combat plus rapide et la désarticulation des ennemis grâce à un nouveau mécanisme de démembrement, ainsi que des exécutions inédites.

L’histoire reprend 1 000 ans après la chute du dieu sombre Adyr. Un dernier royaume résiste à l’invasion d’Umbral, le royaume des morts dirigé par un maître eldritch. En solo ou en coopération à progression partagée, avec un PvP optionnel, l’aventure promet davantage de types d’ennemis et des affrontements de boss plus spectaculaires.

Trois boss apparaissent déjà à l’écran : le Heartroot Warden cuirassé et sa grande épée enchaînée, le volant Koydreth frappant depuis un miroir gravé de runes, et Lingao the Souring Storm, dragon gigantesque maniant vent et foudre. D’après le directeur du jeu James Lowe, « nous avons hâte de voir la réaction à ce combat plus rapide et plus brutal ».
Pour patienter, CI Games diffuse la version 2.5, ultime mise à jour majeure du volet 2023. Au programme : refontes étendues des comportements d’ennemis et de boss en modes Legacy et Veteran, rendant les combats plus rapides, serrés et agressifs. Des exemples précis sont cités, comme des combos affinés et une variation accrue pour Pieta, ou un rythme resserré et moins d’interruptions pour le Congregator of Flesh. Les mini-boss accélèrent, se positionnent mieux, gèrent leurs délais avec plus d’intelligence, tandis que les ennemis standards gagnent un système de cooldown global, une récupération de sorts plus rapide et une portée d’attaque réduite.
Veteran Mode pousse l’exigence plus loin avec transitions accélérées, nouveaux patterns et agressivité renforcée pour de nombreux boss de Mournstead. Récompense à la clé pour les vainqueurs : la cuirasse Veteran of the Veil avec bonus unique de butin. Plusieurs armes de boss reçoivent aussi des animations d’attaque signature revisitées.
Cette 2.5 conclut plus de 70 mises à jour façonnées grâce aux retours de plus de 6 millions de joueurs. Le PDG Marek Tyminski résume l’approche studio : « nous écoutons activement notre communauté depuis le lancement ».
CI Games promet de nouveaux détails en 2026 avant le lancement mondial de Lords of the Fallen II. En attendant, une remise limitée de 50 % est proposée aux nouveaux joueurs de Lords of the Fallen (2023) sur PC (Steam et Epic Games Store), PlayStation 5 et Xbox Series X|S, soit 14,99 dollars, 14,99 euros ou 12,49 livres.
Source : CI Games
Terminator 2D NO FATE arrive partout et joue la carte arcade. Reef Entertainment confirme la disponibilité immédiate sur PS5, PS4, Nintendo Switch, Xbox Series X|S, Xbox One et PC via Steam et Epic Games Store. Développé par Bitmap Bureau, le studio promet un défilement latéral en 2D au rythme soutenu et un pixel art léché, le tout dans une expérience arcade complète.
Le nouveau trailer donne le ton : Sarah Connor et le T-800 s’échappent face au T-1000, présenté comme « l’un des tueurs les plus redoutables du cinéma », tandis que des missions Future War confient au joueur le contrôle de John Connor, chef de la Résistance, pour frapper Skynet au cœur de la Guerre contre les Machines. Le jeu mêle des séquences emblématiques de Terminator 2: Judgment Day avec des scènes inédites et plusieurs fins.

Selon l’éditeur, l’ensemble conserve la patte Bitmap Bureau, orientée gameplay à adrénaline et lisibilité arcade. L’univers est officiellement licencié, un point notable pour qui veut retrouver les repères de T2 sans compromis. Les versions PC sont disponibles sur Steam et Epic Games Store, avec pages dédiées déjà en ligne.

Bitmap Bureau promet une direction artistique en pixel art détaillé et des combats explosifs en side-scroller. Le studio met l’accent sur la variété des situations, entre fuite, affrontements et missions de guerre totale. D’après Reef Entertainment, le scénario original fait converger nostalgie et nouveautés, avec une conclusion laissée aux choix du joueur.

Dernier détail communiqué : des portages destinés à des plateformes rétro sont prévus, mais seront précisés ultérieurement. Aucun calendrier n’est donné pour l’instant.
Source : TechPowerUp
Le Zenbook Duo s’oriente vers une double batterie, et ASUS le montre sans détour dans un teaser de 22 secondes qui martèle « next level durability » et « next level power that lasts ».
La vidéo publiée par le compte global d’ASUS s’attarde sur des charnières renforcées avant d’afficher deux cellules lumineuses, l’une par moitié de châssis. Le rendu CGI laisse entendre une configuration à deux batteries embarquées, une approche déjà aperçue ailleurs : d’après Wccftech, le ThinkPad T580 15 pouces de Lenovo adopte un montage comparable, sans double écran, avec une autonomie annoncée de 27 heures.

ASUS confirme une présentation du Zenbook DUO nouvelle génération au CES 2026, lors d’un événement en ligne le 6 janvier à 9 h 00 (PST). Dans la description YouTube, la marque prévient : « A new chapter is unfolding. Are you ready to witness the future of ASUS Zenbook DUO ? », avant d’inviter à suivre le livestream #CES2026.

Côté base technique actuelle, le Zenbook DUO (UX8406) propose deux écrans OLED tactiles 14 pouces 3K à 120 Hz. La configuration la plus musclée s’appuie sur un Core Ultra 9 285H, APU « Arrow Lake-H », accompagné d’un iGPU Arc Graphics 140T (Xe-LPG+). Le millésime 2026 pourrait basculer sur du matériel de nouvelle génération : il semblerait que « Panther Lake-H » soit au programme, avec des fuites évoquant un Core Ultra X9 388H doté d’un iGPU 12 cœurs Xe3, plus à l’aise pour entraîner deux dalles haute définition et haut rafraîchissement.

Le court teaser laisse aussi entrevoir un clavier détachable redessiné : pavé tactile élargi, touches plus encastrées et profil aminci par rapport à l’accessoire actuel. Le tout s’inscrit dans une stratégie franche autour de l’endurance et de la robustesse, portée par cette possible architecture à deux batteries, réparties entre les deux moitiés de l’appareil.
Rendez-vous le 6 janvier pour les spécifications complètes et la confirmation de cette conception. ASUS renvoie vers son site dédié au CES pour suivre la diffusion.
Source : TechPowerUp
Lire aussi : ASUS rafle 15 Good Design Awards 2025 : la marque taïwanaise la plus primée
Monster Hunter Wilds PC passe à la vitesse supérieure. Capcom déploie des optimisations CPU/GPU avec la mise à jour 4 du 16 décembre 2025, puis enchaîne avec un patch exclusif Steam fin janvier 2026 et la version 1.041 en février. « Nous sommes engagés à améliorer stabilité et performances » affirme l’éditeur.
La Title Update 4 ajoute le Gogmazios, premier Dragon ancien de Wilds, élargit l’endgame avec les armes Gogma Artian et introduit des améliorations de stabilité/performance sur PS5, Xbox Series X|S et Steam. Côté technique, Capcom distribue les traitements lourds sur plusieurs frames pour les joueurs, monstres et interfaces (HUD, cartes), réduit le nombre d’effets simultanés, affine la détection de collisions pour Palico et Seikret, et optimise l’usage mémoire.

Des comparatifs internes entre TU3 et TU4 sur PC montrent, à paramètres identiques, des gains mesurés sur la configuration recommandée. Exemple Intel/NVIDIA : Core i5‑10400, GeForce RTX 2060 Super 8 Go, 1080p upscalé via DLSS Performance, réglages graphiques Medium. Exemple AMD/AMD : Ryzen 5 5600X, Radeon RX 6600 8 Go, 1080p upscalé via FSR Performance, Medium. Les tests, avec la génération d’images désactivée, s’appuient sur l’overlay Steam et restent indicatifs selon les PC.
Dans la zone Windward Plains, réputée gourmande lors des événements Inclemency, le framerate tournait autour de 40 FPS avant TU4 sur ces configs types. Capcom indique que la plupart des cas passent au‑dessus de 40 FPS après mise à jour, avec environ +5 % ou plus dans Scarlet Forest et Oilwell Basin. Les machines au minimum requis semblent moins profiter des hausses que celles au recommandé. Le contenu reste susceptible d’évoluer.
Autre changement : le benchmark Monster Hunter Wilds sera retiré de Steam après TU4, l’outil ne reflétant plus fidèlement les performances de la version commerciale.

Capcom prépare un patch ciblant les processus spécifiques à Steam et une révision des préréglages. Un nouvel onglet CPU arrive dans Options, avec des curseurs pour diminuer la charge processeur : Endemic Life Display Count, Players Displayed in Lobby, Small Monster Quality, Effect Quality, Animation Quality. Côté GPU, de nouvelles options comme Foliage Density et des niveaux pour le Volumetric Fog permettront d’ajuster précisément la charge selon la configuration et les préférences.

Le studio annonce aussi des optimisations de VRAM, une meilleure intégration du texture pack haute définition, une accélération du texture streaming et la réduction des attentes liées à la compilation des shaders au lancement. Sur certaines versions de pilotes graphiques et logiciels concurrents, des problèmes peuvent survenir : Capcom recommande de vérifier les configurations requises avant TU4.
En février 2026, la version 1.041 ajoutera Arch‑Tempered Arkveld et d’autres contenus, ainsi que de nouvelles optimisations. Au menu : poursuite des gains CPU/GPU et ajout de niveaux de qualité LOD au maillage polygonal pour réduire la charge en remplaçant les objets éloignés par des modèles plus légers. Les processus liés à la mémoire seront réexaminés pour dénicher d’autres marges.
Source : TechPowerUp
Lire aussi : Spécifications PC pour Monster Hunter Wilds : SSD requis, support DirectStorage recommandé
CORSAIR enrichit sa gamme d’écrans secondaires XENEON EDGE avec deux nouvelles finitions très attendues : Atomic Purple et White. Ces nouvelles versions conservent le format compact et polyvalent de l’écran tactile LCD 14,5 pouces tout en offrant davantage de liberté esthétique aux constructeurs, créateurs de contenu et passionnés de PC.

La version Atomic Purple adopte une finition translucide rétro, évoquant l’esthétique des périphériques iconiques des années 90, tout en ajoutant de la profondeur visuelle à la configuration. À l’opposé, la version blanche mise sur une apparence épurée et minimaliste, parfaitement adaptée aux setups modernes et aux stations de travail haut de gamme. Les deux coloris s’étendent également au support de bureau inclus afin de garantir une cohérence visuelle, que l’écran soit monté dans un boîtier ou posé sur un bureau.
Le XENEON EDGE repose sur une dalle AHVA de 14,5 pouces affichant une résolution native de 2560 × 720 pixels à 60 Hz. Ce format allongé est idéal pour afficher des widgets, des statistiques système ou des applications secondaires sans encombrer l’écran principal. Les larges angles de vision assurent une excellente lisibilité, quelle que soit la position de l’écran dans le boîtier ou sur le bureau.
L’écran tactile capacitif multipoint à cinq points permet une interaction fluide et intuitive, qu’il s’agisse de surveiller les températures CPU et GPU, de contrôler la lecture multimédia ou de gérer des outils de productivité. CORSAIR accompagne ces nouveautés d’une garantie étendue à trois ans et introduit une garantie zéro pixel mort sur l’ensemble de la gamme XENEON EDGE, renforçant la tranquillité d’esprit des utilisateurs.
XENEON EDGE s’intègre étroitement à l’écosystème logiciel CORSAIR. Il est compatible avec iCUE pour l’affichage de données système personnalisées, Virtual Stream Deck pour l’exécution rapide de commandes, ainsi qu’avec des outils tiers comme SimHub pour la télémétrie de simulation automobile. Les utilisateurs peuvent afficher en temps réel des informations telles que la météo, les calendriers, les notifications ou encore des dashboards de performance, le tout sur un écran dédié.

Sous Windows, l’écran est reconnu comme un second affichage entièrement fonctionnel, utilisable en orientation paysage ou portrait, avec prise en charge complète du tactile. Cette polyvalence en fait un atout aussi bien pour le gaming que pour le streaming ou les flux de travail créatifs.
CORSAIR mise sur une grande flexibilité d’installation. Le XENEON EDGE peut être monté à l’intérieur d’un boîtier via un support de ventilateur 360 mm, fixé à un panneau ou à toute surface métallique grâce aux aimants intégrés, ou simplement posé sur un bureau à l’aide du support fourni. Deux filetages standard 1/4″-20 assurent la compatibilité avec les bras Elgato Multi Mount et autres supports utilisés par les créateurs de contenu.
Côté connectique, l’écran dispose d’un port USB Type-C avec mode DisplayPort Alt ainsi que d’un port HDMI pleine taille, permettant une utilisation aussi bien avec une carte graphique de PC fixe qu’avec un ordinateur portable.
Les versions Atomic Purple et White de l’écran tactile LCD CORSAIR XENEON EDGE 14,5″ sont disponibles dès maintenant sur la boutique en ligne CORSAIR à 259,90 euros. La version blanche sera également distribuée via le réseau mondial de revendeurs agréés à partir du premier trimestre 2026 au même tarif.
Après avoir introduit le CL6600, un boîtier innovant doté d’un compartiment supérieur dédié au watercooling avec conduit d’air indépendant, DeepCool décline aujourd’hui ce concept sous une forme plus simple et plus accessible avec le DeepCool CL600.
En supprimant le module supérieur réservé au refroidissement liquide, DeepCool propose un boîtier entièrement pensé pour les configurations à refroidissement par air, tout en conservant l’esthétique et la qualité de fabrication qui ont fait le succès du modèle original.
Le DeepCool CL600 est désormais disponible sur le marché national en noir et blanc, avec un prix de départ fixé à 599 yuans.

L’abandon de la chambre supérieure dédiée au watercooling permet au DeepCool CL600 de réduire considérablement sa hauteur, passant de 533,5 mm sur le CL6600 à 422,5 mm. Malgré cette réduction, le boîtier conserve l’essentiel de son identité visuelle :
Le panneau supérieur, autrefois fermé pour créer un conduit d’air indépendant, adopte désormais une large surface en mesh, favorisant la ventilation naturelle du châssis.
Contrairement au CL6600, le DeepCool CL600 ne prend plus en charge l’installation de radiateurs de watercooling. Tous les emplacements sont réservés aux ventilateurs, ce qui en fait un partenaire naturel pour les refroidisseurs CPU à air hautes performances.
Les possibilités de ventilation sont généreuses :
Cette configuration favorise un flux d’air vertical efficace, parfaitement adapté aux configurations gaming ou professionnelles misant sur des ventirads imposants.
Malgré son positionnement tarifaire accessible, le DeepCool CL600 reste très polyvalent. Il prend en charge :
La connectique frontale comprend :
Des filtres à poussière sont présents à l’avant, en haut et en bas pour faciliter l’entretien.
Le DeepCool CL600 est désormais disponible :
Avec ce modèle, DeepCool propose une alternative plus compacte et plus simple au CL6600, idéale pour les utilisateurs souhaitant un boîtier élégant, bien ventilé et exclusivement orienté refroidissement par air, sans les contraintes du watercooling.
Amazon vient de lancer une nouvelle fonctionnalité dans son app Kindle iOS qui risque de faire grincer pas mal de dents du côté des auteurs et éditeurs. Ça s’appelle “Ask this Book” et c’est un chatbot IA intégré directement dans vos bouquins.
Le principe c’est de pouvoir poser des questions sur le livre que vous êtes en train de lire. Genre “c’est qui déjà ce personnage ?”, “il s’est passé quoi dans le chapitre 3 ?” ou “c’est quoi le thème principal ?”. Et l’IA vous répondra instantanément avec des réponses “sans spoilers” basées sur le contenu du livre.
Notez que les réponses de l’IA ne peuvent être ni copiées ni partagées, et seuls les acheteurs ou abonnés Kindle Unlimited y ont accès.
Bon, sur le papier, c’est plutôt pratique pour ceux qui comme moi, reprennent un bouquin après plusieurs semaines et qui ont oublié la moitié des personnages, sauf que voilà, y’a un gros problème.
Amazon a confirmé que cette fonctionnalité est activée par défaut et qu’il n’y a aucun moyen pour les auteurs ou les éditeurs de retirer leurs livres du truc. Et même si certains auteurs râlent, Amazon refuse de leur dire quoi que ce soit, aussi bien sur les conditions légales qui leur permettent de proposer ça ni au sujet des détails techniques sur comment ils empêchent les hallucinations de l’IA ou si les textes sont utilisés pour entraîner leurs modèles. Encore une fois, du grand art niveau transparence.
Du côté de l’industrie du livre, ça passe donc plutôt mal. Beaucoup de détenteurs de droits vont probablement considérer ça comme une œuvre dérivée non autorisée, voire une violation directe du copyright et ça tombe plutôt mal niveau timing, vu que récemment, plusieurs auteurs ont déjà attaqué des boîtes d’IA en justice pour avoir aspiré leurs textes sans permission.
Alors pour l’instant, la fonctionnalité n’existe que sur l’app Kindle iOS aux États-Unis mais Amazon a déjà annoncé vouloir l’étendre aux liseuses Kindle et à Android l’année prochaine et pour le monde entier.
Bref, Amazon continue de faire du Amazon… déployer d’abord, poser des questions jamais.

Vous avez toujours voulu créer des workflows d’agents IA mais vous avez la flemme de coder tout ça à la main ? Hé bien y’a un projet open source qui va vous faire plaisir. Ça s’appelle Sim Studio et c’est une plateforme qui permet de construire des workflows d’agents IA de manière visuelle, un peu comme sur Figma.
Le principe c’est d’avoir un canvas sur lequel vous glissez-déposez des blocs : des LLMs, des outils, des connexions à des services tiers comme Slack, Gmail, Supabase ou Pinecone. Vous reliez tout ça avec des flèches et hop, vous avez votre workflow qui tourne. Pas besoin d’écrire une seule ligne de code si vous voulez pas.
Et le truc sympa c’est qu’il y a un Copilot intégré qui peut générer des nœuds, corriger les erreurs et améliorer vos flows directement à partir de langage naturel. Vous lui décrivez ce que vous voulez et il vous pond les blocs correspondants. Pratique pour les feignasses comme moi.
Côté fonctionnalités, c’est plutôt complet. Vous pouvez connecter différents modèles (des LLMs hébergés mais aussi des modèles locaux), brancher des bases de données vectorielles pour que vos agents puissent répondre à des questions basées sur vos propres documents, et contrôler finement comment chaque outil est utilisé.
Et une fois votre workflow prêt, vous avez plusieurs options pour le déployer. Soit vous le déclenchez manuellement, soit vous le transformez en API, soit vous le programmez pour qu’il tourne périodiquement. Y’a même moyen de le faire réagir à des webhooks, genre quand vous recevez un message Slack, ou de le déployer comme un chatbot standalone.
Le projet est backé par Y Combinator et ils annoncent déjà plus de 60 000 développeurs qui utilisent la plateforme. De plus, c’est SOC2 et HIPAA compliant, donc niveau sécurité c’est du sérieux pour ceux qui bossent dans des environnements exigeants.
Niveau déploiement, bien sûr, vous avez le choix. Soit vous utilisez leur version cloud sur sim.ai , soit vous self-hostez le bazar avec Docker Compose ou Kubernetes. Pour les paranos qui veulent garder le contrôle total sur leurs données, c’est possible de tout faire tourner en local avec Ollama.
Pour l’installer en local, c’est assez simple. Vous pouvez lancer directement avec npx simstudio ou passer par Docker. Niveau technos, le projet utilise Next.js, PostgreSQL avec pgvector, et ReactFlow pour l’éditeur visuel.
Bref, si vous cherchez un outil pour bricoler des workflows d’agents IA sans vous prendre la tête avec du code, c’est open source et gratuit .
Merci à Letsar pour la découverte !

Vous pensiez que les technologies de surveillance chinoises étaient 100% chinoises ? Hé bien pas du tout. Une enquête passionnante d’AP vient de révéler que le gouvernement chinois utilise massivement des logiciels américains pour traquer ses propres citoyens, y compris ceux qui ont fui aux États-Unis.
L’histoire de Li Chuanliang est assez flippante. Cet ancien fonctionnaire chinois était en convalescence d’un cancer sur une île coréenne quand il a reçu un appel urgent lui disant de ne surtout pas rentrer en Chine. Quelques jours plus tard, un inconnu le prend en photo dans un café. Terrorisé à l’idée que la Corée du Sud le renvoie chez lui, Li s’enfuit aux États-Unis avec un visa touristique et demande l’asile.
Mais même là-bas, à New York, en Californie, au fin fond du désert texan, le gouvernement chinois a continué à le traquer. Ses communications ont été surveillées, ses biens saisis, ses déplacements suivis dans des bases de données policières. Et le pire, c’est que plus de 40 de ses proches ont été identifiés et détenus, y compris sa fille enceinte. Comment est-ce qu’ils ont fait ? Hé bien via différente méthodes, donc une qui consiste à remonter toutes les interactions humaines jusqu’aux chauffeurs de taxi grâce à la reconnaissance faciale.
Et c’est là que ça devient vraiment dingue car la techno utilisée pour contrôler les fonctionnaires chinois à l’étranger depuis une décennie vient en grande partie de la Silicon Valley. Des boîtes comme IBM, Oracle et Microsoft ont vendu leurs logiciels au Bureau d’Investigation des Crimes Économiques chinois.
IBM a notamment vendu son logiciel de surveillance i2 à cette division et des emails qui ont fuité montrent que ce même logiciel a été copié par Landasoft, un ancien partenaire d’IBM, puis revendu aux commissions disciplinaires chinoises. Le truc incluait des fonctions comme la “gestion des personnes associées” et le tracking des réservations d’hôtel.
Et les chiffres donnent le vertige car rien que l’année dernière, cette techno a permis d’identifier et de “punir” près de 900 000 fonctionnaires en Chine, soit presque 5 fois plus qu’en 2012. Et à l’international, plus de 14 000 personnes, dont environ 3 000 fonctionnaires, ont été ramenées de force en Chine depuis plus de 120 pays via les opérations “ Fox Hunt ” et “ Sky Net ”.
IBM a bien précisé qu’ils ont revendu cette division en 2022 et qu’ils ont des “processus robustes” pour garantir une utilisation responsable mais bon, oausi c’est un peu tard les gars.
Maintenant, pour Li, l’avenir est incertain car l’administration Trump a gelé toutes les demandes d’asile. Du coup, s’il ne rentre pas en Chine, il risque un procès par contumace et s’il est condamné et expulsé, c’est la prison à vie qui l’attend.
Bref, la prochaine fois qu’on vous parle de surveillance chinoise, n’oubliez pas d’où viennent les outils.

Vous bossez toute la journée sur ChatGPT ou Claude et vous commencez à trouver ça un peu tristounet ? Youpi, y’a une extension Chrome qui va égayer tout ça avec des petits animaux virtuels qui se baladent sur votre interface comme quand on était en 1999.
Ça s’appelle
GPTPets
et c’est le genre de truc complètement inutile donc forcément indispensable comme disait Jérôme Bonaldi. Le principe c’est d’avoir un petit compagnon animé qui vit sa vie sur la barre de saisie de votre IA préférée, genre un chat qui fait la sieste, un chien qui remue la queue, un panda qui mange du bambou, une brigitte qui insulte ses paires… bref vous voyez le genre.
L’extension propose 8 animaux différents avec des petites animations bien mignonnes et ça marche pas que sur ChatGPT, non non. Claude, Gemini, Grok… tous les grands noms de l’IA générative sont supportés, donc peu importe votre dealer habituel, vous pouvez avoir votre petit compagnon.
Le truc c’est que ça reste discret. Les bestioles se posent sur la barre d’input et font leur vie sans vous gêner. C’est juste là pour mettre un peu de vie dans ces interfaces qui sont quand même assez austères de base.
Derrière ce projet, y’a Tanmay Hinge, un artiste et développeur de jeux qui s’est dit que nos sessions de prompt méritaient un peu plus de fantaisie et après des heures passées à causer avec une IA, avoir un petit chat de soutien émotionnel pixelisé qui roupille à côté du curseur, ça fait du bien.
C’est gratuit, c’est léger, et ça s’installe en deux clics depuis le Chrome Web Store . Voilà, si vous cherchez à rendre vos sessions d’IA un poil plus sympathiques, c’est par ici que ça se passe .
Merci à Lorenper pour le partage !

Je ne connaissais pas le NanoKVM mais c’est un petit boîtier KVM chinois vendu entre 30 et 70€ qui permet de contrôler un PC à distance. Sauf qu’un chercheur en sécurité slovène a découvert qu’il embarquait un micro planqué capable d’enregistrer tout ce qui se dit autour. Ça craint !
En effet, Matej Kovačič a ouvert son NanoKVM et y a trouvé un minuscule composant de 2x1 mm dissimulé sous le connecteur. Un truc tellement petit qu’il faut une loupe ou un microscope pour le dessouder proprement. Et pourtant, ce micro MEMS est capable d’enregistrer de l’audio de “qualité surprenamment élevée” comme il le dit et le pire c’est que l’appareil est fourni avec tous les outils nécessaires (amixer, arecord) pour l’activer via SSH et même streamer le son en temps réel sur le réseau.
Alors comment c’est arrivé là ?
En fait le NanoKVM est basé sur un module LicheeRV Nano qui est prévu pour plein d’usages embarqués différents, dont certains nécessitent de l’audio. Quand Sipeed l’a transformé en KVM grand public, ils ont juste… gardé le micro. Sans le documenter. Sans le désactiver. Sympa hein ?
Et le chercheur a aussi trouvé que les premières versions arrivaient avec un mot de passe par défaut et SSH grand ouvert. L’interface web n’avait aucune protection CSRF, et la clé de chiffrement des mots de passe était codée en dur et identique sur TOUS les appareils vendus. En bonus, le bidule communiquait avec des serveurs chinois pour les mises à jour, sans aucune vérification d’intégrité du firmware téléchargé. Et cerise sur le gâteau, y’avait des outils de hacking préinstallés comme tcpdump et aircrack. Aïe aïe aïe…
Depuis la publication du rapport, Sipeed a quand même bougé et ils ont corrigé pas mal de failles, mis à jour la documentation pour mentionner (enfin) la présence du micro, et annoncé que les futures versions n’auraient plus ces composants audio. Les firmwares récents désactivent aussi les drivers correspondants.
Et comme le projet est à la base open source, des membres de la communauté ont commencé à porter dessus des distributions Linux alternatives (Debian, Ubuntu). Faut ouvrir le boîtier et reflasher la carte microSD, mais au moins vous savez exactement ce qui tourne dessus…
Bref, comme quoi ça vaut toujours le coup de démonter ses appareils et de jeter un œil à ce qu’il y a dedans. Merci à Letsar pour l’info !

Vous avez déjà essayé de faire du traitement vidéo dans le navigateur
Bienvenue en enfer ! Et dire que pendant 20 ans, la seule solution viable c’était de compiler FFmpeg en WebAssembly, attendre 10 secondes que 40 Mo de code se chargent, puis regarder votre RAM fondre comme neige au soleil.
Heureusement, MediaBunny débarque et compte bien changer les choses !
En effet, cette bibliothèque TypeScript vous permet de lire, écrire et convertir des fichiers vidéo et audio directement dans le navigateur. MP4, WebM, MKV, MP3, WAV, Ogg, FLAC, vous nommez simplement le format, et MediaBunny le gère. Et la bibliothèque ne pèse que 5 Ko en version minifiée. Ça semble peu mais en fait, au lieu d’essayer de porter un outil desktop vers le web, Vanilagy (le créateur) a construit MediaBunny from scratch pour exploiter ce que le navigateur savait déjà faire.
La clé, c’est donc l’API WebCodecs qui existe depuis Chrome 94 sorti en 2021, mais que presque personne n’utilise. Cette API donne accès direct à Javascript à l’accélération matérielle de votre GPU pour encoder et décoder la vidéo que ce soit du H.264, H.265, VP8, VP9 et tout ça en temps réel. Et MediaBunny se branche dessus et vous donne une interface propre pour manipuler vos médias.
Vous voulez extraire les métadonnées d’une vidéo MP4, convertir un WebM en MP4 ou encore extraire une piste audio d’une vidéo ? En 3 lignes de code c’est plié, et tout ça en local dans votre navigateur.
MediaBunny supporte plus de 25 codecs vidéo, audio et sous-titres. H.264, H.265, VP8, VP9, AV1 pour la vidéo. AAC, Opus, Vorbis, MP3, FLAC pour l’audio. WebVTT pour les sous-titres…etc.
Et l’outil étant pensé avec un design modulaire qui permet de faire du tree-shaking , vous pouvez embarquer uniquement le code dont vous avez besoin, ce qui allège encore plus le bouzin. MediaBunny est d’aillerus l’évolution technique de deux projets du même auteur : mp4-muxer et webm-muxer. Ces bibliothèques faisaient déjà du bon boulot pour écrire des vidéos MP4 et WebM côté client, mais MediaBunny va beaucoup plus loin en supportant la lecture, l’écriture et la conversion pour tous les formats courants.
Si ça vous chauffe, pour installer MediaBunny, c’est du classique :
npm install mediabunny
Et voici un exemple d’utilisation basique pour lire un fichier vidéo :
const input = new Input({
source: new UrlSource('./bigbuckbunny.mp4'),
formats: ALL_FORMATS, // .mp4, .webm, .wav, ...
});
const duration = await input.computeDuration();
const videoTrack = await input.getPrimaryVideoTrack();
const { displayWidth, displayHeight, rotation } = videoTrack;
const audioTrack = await input.getPrimaryAudioTrack();
const { sampleRate, numberOfChannels } = audioTrack;
// Get the frame halfway through the video
const sink = new VideoSampleSink(videoTrack);
const frame = await sink.getSample(duration / 2);
// Loop over all frames of the video
for await (const frame of sink.samples()) {
// ...
}
D’autres exemples sont disponibles ici.
Le code est dispo sur GitHub sous licence MPL-2.0, ce qui vous permet de l’utiliser dans des projets commerciaux sans problème et la documentation complète est sur mediabunny.dev avec des guides pour tous les cas d’usage.

Pendant que Burp Suite avale 500 Mo de RAM au démarrage, HTTP Breakout Proxy lui, tient dans un binaire de quelques Mo qui disparaît dès que vous fermez le terminal.
Alors HTTP Breakout Proxy c’est quoi ?
Hé bien les amis, c’est un proxy HTTP/HTTPS écrit en Go qui intercepte le trafic réseau en temps réel et vous propose une interface web pour analyser tout ce qui passe. Requêtes, réponses, headers, body, timing… Tout est capturé et affiché proprement dans votre navigateur.
Vous le lancez avec ./http-breakout-proxy, il écoute sur 127.0.0.1:8080, et vous ouvrez l’interface dans votre browser. Ensuite, si vous voulez débugger une API par exemple, vous lancez le proxy, vous configurez votre client HTTP pour passer par localhost:8080, et vous voyez tout passer en direct.
C’est vrai que Burp est devenu un monstre à tout faire avec scanner de vulnérabilités, fuzzer, crawler, extensions… Y’a aussi Charles Proxy que j’aime bien mais qui pèse dans les 100 Mo et nécessite une JVM complète. Et même mitmproxy , pourtant réputé léger, a accumulé tellement de fonctionnalités qu’il faut lire 50 pages de doc pour comprendre comment l’utiliser.
Avec HTTP Breakout Proxy, il y a moins de features c’est vrai mais ça va plus vite et c’est gratuit. Maintenant, au niveau technique, le projet utilise l’interception MITM classique. Vous installez le certificat racine fourni par le proxy, et il peut déchiffrer le trafic HTTPS qui passe par lui. Ensuite, l’interface web affiche tout en temps réel via Server-Sent Events. Vous avez du filtrage par regex, du color-coding configurable pour repérer visuellement les requêtes importantes, et même des charts Gantt pour visualiser le timing des connexions…etc.
Que demande le peuple ? Ah oui, y’a aussi l’export vers curl ou Python requests, ce qui est pratique quand vous voulez rejouer une requête dans un script. Et bien sûr la possibilité de mettre la capture en pause pour analyser tranquillement ce qui s’est passé.
Voilà, c’est minimaliste mais ça marche hyper bien et quand on est pas un pro de la sécurité, c’est bien d’avoir des outils de ce style pour explorer un truc vite fait. Et merci à Lorenper pour le partage !
