Gigabyte Radeon RX 9000 en promotion : la marque active un cashback européen qui abaisse le ticket d’entrée sur plusieurs modèles, avec une Radeon RX 9070 XT affichée à 549 € d’après les prix chez des revendeurs participants.
Gigabyte lance une opération de remboursement sur ses cartes graphiques AORUS et GAMING, mais aussi sur des cartes mères et moniteurs, avec un focus sur la série GigabyteRadeon RX 9000. La Radeon RX 9070 XT AORUS ELITE est éligible à 70 € de cashback. Les Radeon RX 9070 (XT) GAMING et GAMING ICE profitent de 60 €, tandis que la RX 9070 non-XT obtient 50 €. Côté Radeon RX 9060 XT, le remboursement dépend de la mémoire : jusqu’à 40 € pour les modèles 16 Go et 30 € pour les versions 8 Go.
D’après l’observation des tarifs chez des revendeurs participants, des cartes passent sous leur prix de lancement. Exemples mis en avant : les RX 9070 XT listées à 609 € se retrouvent techniquement à 549 € après cashback, soit 70 € de moins que le MSRP. La source prévient toutefois que « les taux de change ayant évolué depuis janvier, la comparaison n’est pas parfaite », même si le prix final reste inférieur au lancement.
Périmètre, dates et bundles
L’offre ne se limite pas aux GPU : des cartes mères et moniteurs Gigabyte entrent dans le périmètre. Mieux, des bundles chez certains revendeurs avec CPU, PSU ou watercooling AIO peuvent améliorer l’addition. La promotion est active du 8 décembre au 27 décembre en Europe, avec des conditions et une liste de revendeurs à vérifier sur la page dédiée.
Vous vous souvenez des cassettes audio ? Mais siiii, ces trucs de nous les vieux quand on était jeune (spoiler : je suis toujours jeune !). Il fallait même rembobiner avec un crayon quand le lecteur bouffait la bande !!
Hé bien des chercheurs chinois viennent de ressusciter ce format… mais version ADN. Et au lieu de stocker 90 minutes de musique, leur cassette peut théoriquement embarquer des quantités astronomiques de données.
L’équipe de Xingyu Jiang, ingénieur biomédical à la Southern University of Science and Technology de Shenzhen, a développé une bande pas comme les autres. Au lieu de la traditionnelle couche d’oxyde de fer, c’est de l’ADN synthétique qui est déposé sous forme de petits points microscopiques sur un film plastique flexible. Son prototype fait environ 5 mm de large sur 15 mètres de long et offre 545 400 emplacements adressables par kilomètre de bande. Côté capacité, on parle donc de
362 pétaoctets théoriques par kilomètre
, mais en conditions réelles, l’équipe a stocké 74,7 Go par kilomètre pour le moment.
Bon, comment ça marche ce bazar ? Les données numériques sont converties en séquences ADN en utilisant les 4 bases nucléotidiques (A, T, C, G) à la place des 0 et des 1 habituels. La bande contient ces centaines de milliers d’emplacements adressables, et un système de lecture optique basé sur des codes-barres peut scanner jusqu’à 1570 partitions par seconde. C’est pas mal pour un truc basé sur des molécules biologiques.
Le vrai avantage de l’ADN comme support de stockage, c’est sa densité de ouf. Selon les chercheurs, l’ADN offre une densité théorique d’environ 455 exaoctets par gramme. Toutes les informations numériques mondiales pourraient tenir dans un volume ridiculement petit.
Et côté durabilité, c’est encore plus dingue, car là où vos disques durs claquent au bout de 1 à 10 ans et où les bandes magnétiques doivent être remplacées tous les 7 à 10 ans, l’ADN protégé par un revêtement métallo-organique (appelé ZIF) peut conserver les données pendant plus de 345 ans à température ambiante (c’est 20°C).
Et si vous le stockez dans un environnement froid comme les montagnes de Changbai en Chine, c’est parti pour 20 000 ans de stockage OKLM. Vos arrière-arrière-arrière-petits-enfants pourront encore récupérer vos TikTok de vacances et autres backups de dickpics.
Le système permet aussi de récupérer des fichiers sans détruire les données sources. Les chercheurs ont testé 10 cycles de récupération sur une même partition et les données restent intègres. Mieux encore, on peut supprimer et redéposer de nouveaux fichiers sur les mêmes emplacements, tout cela grâce à un algorithme de correction d’erreurs (Reed-Solomon) qui permet de conserver une bonne fiabilité des données malgré les manipulations.
Pour l’instant, la technologie reste quand même hyper leeeeeeente. En mode continu, les chercheurs atteignent un débit théorique de 2,3 fichiers par seconde, mais ça reste très loin des performances des bandes LTO actuelles, et au niveau coût, c’est pas jojo non plus, car la synthèse d’ADN reste très coûteuse, même si les prix baissent. Bref, y’a encore du boulot.
L’objectif des chercheurs est donc très clair. Il s’agit de créer un support de stockage durable pendant des siècles et indépendant de l’obsolescence des technologies actuelles. Car ouais, en 2025 retrouver un fichier sur une disquette, c’est quasi mission impossible alors qu’avec l’ADN, le format de lecture (le séquençage) continuera d’exister tant que la biologie moléculaire existera.
Tout ça pour dire que même si on n’est pas près de stocker nos bibliothèques Steam sur une cassette ADN, pour tout ce qui est archivage à très long terme de données “froides”, ça a énormément de potentiel.
Vous perdez encore un temps fou à courir après les informations éparpillées entre des tableurs illisibles et des conversations Slack, au risque de faire dérailler vos livrables ? C’est le signe qu’il faut passer à la vitesse supérieure avec un logiciel gestion de projet capable de centraliser vos ressources et de fluidifier radicalement la collaboration […]
Personne ne s’en doutait, mais durant 3 ans, les communications entre la Terre et les sondes de la NASA étaient totalement vulnérables au piratage du moindre script kiddy ! Et personne n’était au courant évidemment, et aucun des multiples audits de code qui se sont succédé depuis 2022 n’avait mis à jour ce problème jusqu’à ce qu’une IA s’en mêle !
La faille découverte au bout de 4 jours d’analyse, se trouvait dans
CryptoLib
, une bibliothèque de chiffrement open source utilisée pour sécuriser les échanges entre les stations au sol et les satellites en orbite. Cette bibliothèque implémente le protocole SDLS-EP (Space Data Link Security Protocol - Extended Procedures) de la norme issue du
CCSDS
, qui est utilisé un peu partout dans le spatial, y compris pour des missions comme les rovers martiens ou le télescope James Webb.
Le souci donc c’est que ce code contenait une vulnérabilité d’injection de commande. En gros, des données non validées pouvaient être interpolées directement dans une commande shell et exécutées via system() sans aucune vérification. C’est le genre de faille basique qu’on apprend à éviter en première année de développement, sauf que là elle était planquée dans un code quand même bien critique…
C’est la
startup AISLE
, fondée par des anciens d’Anthropic, Avast et Rapid7, qui a été mandatée pour auditer le code et c’est comme ça que leur système de “cyber reasoning” basé sur l’IA s’est retrouvé à scanner la base de code. Résultat, une jolie faille débusquée par IA 3 ans après des dizaines d’audits et d’analyses humaines.
Bon, avant de paniquer sur une éventuelle chute de satellite en plein sur la tête de votre belle-mère, faut quand même nuancer un peu la chose… Pour exploiter cette faille, un attaquant aurait d’abord eu besoin d’un accès local au système, ce qui
réduit significativement la surface d’attaque selon les chercheurs
. Donc oui, j’ai abusé en intro avec mon histoire de script kiddy ^^ chè ! Mais quand même, on parle de satellites et de sondes spatiales qui valent des milliards de dollars donc si elle avait été exploitée, ça aurait fait mal à beaucoup de monde.
Et ce n’est pas la seule mauvaise nouvelle pour la sécurité spatiale cette année puisqu’en août dernier, 2 chercheurs allemands de VisionSpace Technologies, Milenko Starcik et Andrzej Olchawa, ont présenté, lors des confs Black Hat USA et DEF CON à Las Vegas,
pas moins de 37 vulnérabilités découvertes dans l’écosystème spatial
. Sans oublier Leon Juranic de ThreatLeap qui a trouvé
diverses failles plus tôt
dans l’année.
Lors d’une démo, ils ont montré qu’ils pouvaient envoyer une commande à un satellite pour activer ses propulseurs et modifier son orbite, sans que le changement de trajectoire apparaisse immédiatement sur l’écran du contrôleur au sol. Imaginez le bordel si quelqu’un faisait ça pour de vrai !!
CryptoLib elle-même était criblée de failles : 4 dans la version utilisée par la NASA, 7 dans le package standard dont 2 critiques. Et le système de contrôle de mission
Yamcs
développé par la société européenne Space Applications Services et utilisé notamment par Airbus présentait aussi 5 CVE permettant une prise de contrôle totale. Sans oublier OpenC3 Cosmos, un autre système utilisé pour les stations au sol, qui comptait à lui seul, 7 CVE incluant de l’exécution de code à distance.
Heureusement les amis, toutes ces horribles vulnérabilités ont été corrigées et la NASA prépare même
une mise à jour majeure du cFS pour bientôt
avec de meilleures fonctionnalités de sécurité, le support de l’IA et des capacités d’autonomie améliorées.
AISLE
affirme que leur outil peut examiner systématiquement
des bases de code entières
, signaler des patterns suspects et fonctionner en continu à mesure que le code évolue, bref, pour du code critique comme celui des systèmes spatiaux, c’est le top !
CORSAIR dévoile le FRAME 4000D LCD RS ARGB, une version enrichie de son boîtier mid-tower emblématique, désormais équipée d’un écran tactile XENEON EDGE 14,5 pouces entièrement opérationnel. Cette nouvelle édition améliore le flux d’air, la connectivité et la solidité structurelle, tout en confirmant l’approche modulaire de la plateforme FRAME.
En parallèle, CORSAIR lance des kits de montage LCD permettant d’ajouter l’écran XENEON EDGE sur les boîtiers FRAME 4000D et FRAME 5000D, offrant aux utilisateurs une mise à niveau élégante et durable.
Un écran tactile XENEON EDGE 14,5” taillé pour l’affichage système et multitâche
L’écran XENEON EDGE fournit une résolution de 2560×720, une dalle AHVA lumineuse, une visibilité large angle et un multi-touch à cinq points. Préinstallé et pré-câblé, il s’utilise immédiatement comme écran secondaire Windows ou tableau de bord temps réel via iCUE Widgets.
Grâce aux câbles HDMI ou DisplayPort fournis, l’écran se connecte directement au GPU. Il peut afficher des données système, des widgets, des conversations, un lecteur audio ou des outils d’IA, libérant l’affichage principal et optimisant le multitâche.
Un refroidissement amélioré grâce à quatre ventilateurs RS120 PWM ARGB
Cette version repensée inclut quatre ventilateurs RS120 PWM ARGB : trois à l’avant pour l’admission et un à l’arrière pour l’extraction. Le FRAME 4000D LCD RS ARGB dispose également d’un emplacement supplémentaire en bas et d’un filtre pleine longueur, garantissant un entretien facilité et une circulation d’air largement optimisée dès l’installation.
Une conception solide, un I/O modernisé et un espace interne optimisé
Le cadre en acier renforcé et le panneau latéral en verre trempé du FRAME 4000D LCD RS ARGB mettent en valeur les configurations les plus exigeantes. Le panneau avant modernisé embarque désormais trois ports USB-C, dont un port 20 Gb/s, pour accueillir les périphériques les plus récents sans adaptateur supplémentaire.
À l’intérieur, le boîtier prend en charge jusqu’à deux radiateurs 360 mm, 13 ventilateurs au total, les cartes graphiques de 430 mm, ainsi que les cartes mères à connecteurs inversés (ASUS BTF, MSI Project Zero, Gigabyte Project Stealth). Un bras anti-sag GPU est fourni pour stabiliser les cartes les plus imposantes.
Des kits LCD pour moderniser les FRAME 4000D et 5000D
Les kits LCD pour 4000D et 5000D comprennent un panneau en verre adapté et un support pour intégrer le XENEON EDGE. L’écran doit être acheté séparément. Cette mise à niveau reflète l’engagement de CORSAIR envers la modularité et la durabilité, permettant aux constructeurs de renouveler leur configuration sans remplacer leur boîtier.
Contenu des options : • FRAME 4000D LCD RS ARGB : boîtier + XENEON EDGE préinstallé • Kit LCD 4000D : support + panneau en verre (sans écran) • Kit LCD 5000D : support + panneau en verre (sans écran)
Disponibilité et garantie
Le FRAME 4000D LCD RS ARGB et les kits LCD sont disponibles sur la boutique CORSAIR et chez les distributeurs autorisés à 349,90 euros, 49,78 (Frame 4000D) et 62,23 euros (Frame 5000D) respectivement. Tous les produits bénéficient d’une garantie de deux ans.
Après le boîtier micro-ATX J1000 ARVB, Sharkoon dévoile le clavier SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2, une édition spéciale au design océanique, pensée pour apporter une touche fraîche et premium aux bureaux gaming. Avec ses keycaps PBT résistants, son tapis de souris assorti et sa structure 75 % compacte, le clavier vise autant l’esthétique que l’efficacité.
Un design océanique premium avec keycaps PBT durables
Le SGK50 S3 Ultimate Rev2 adopte des keycaps PBT en dye-sub (teinture sous PBT), particulièrement résistants à l’usure, aux UV et aux empreintes digitales. Le motif océanique affiche une finition mate durable, parfaite pour conserver la fraîcheur du setup sur le long terme. Sharkoon inclut également un tapis de souris assorti, offrant une cohérence visuelle immédiate.
Switches Sharkoon : une frappe linéaire fluide et réactive
Le clavier embarque des switches mécaniques Sharkoon linéaires, développés pour offrir une sensation de frappe fluide et linéaire. Ils conviennent tant aux joueurs rapides qu’aux utilisateurs cherchant une frappe agréable et régulière.
Hot-swap universel pour une personnalisation totale
Grâce à son PCB hot-swap, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 permet de remplacer les switches en un instant, sans soudure. Compatible avec la majorité des switches 3 pins et 5 pins, il offre une liberté totale pour ajuster la sensation de frappe à son style personnel.
Acoustique optimisée pour une frappe douce et harmonieuse
Sharkoon a porté une attention particulière au confort sonore. Le clavier intègre :
Une plaque interne en polycarbonate absorbant les vibrations,
Un double amortissement en silicone pour un son feutré,
Des stabilisateurs pré-lubrifiés.
Résultat : une acoustique douce, maîtrisée et premium, digne des claviers custom.
Un format compact 75 % pour maximiser l’espace
Avec une disposition 75 %, le SGK50 S3 Ultimate Rev2 conserve les touches essentielles tout en libérant de la place sur le bureau. Ce format compact met davantage en valeur le design océanique et offre plus d’espace pour les mouvements de souris.
Prix et disponibilité
Le Sharkoon SKILLER SGK50 S3 Ultimate Rev2 est déjà disponible au prix conseillé de 99,90 €.
Nous vous parlions hier du rappel du support rotatif Belkin Auto-Tracking Stand Pro with DockKit MMA008 en raison d'un défaut dans sa batterie lithium-ion pouvant provoquer un incendie. Dure loi des séries pour la marque américaine Belkin qui a également annoncé en ce début décembre un autre rappel ...
Après le pilote correctif 101.8331 pour Battlefield 6 destiné aux cartes graphiques Arc A/B Graphics et aux processeurs Core Ultra Series 1 et Series 2, Intel publie son second pilote graphique Intel Graphics Software (IGS) du mois de décembre si ce n'est que cette nouvelle version 101.7082 se desti...
Avec une première annonce au mois de mai dernier, l’entreprise américaine Proofpoint a finalisé le rachat d’Hornetsecurity pour 1,8 milliard de dollars, une opération validée par Bercy après un examen minutieux. Très attendue dans l’écosystème de la cybersécurité, cette acquisition pourrait tout changer pour les PME face à une pression croissante des cybermenaces… Un duo […]
Alors que l’entreprise a récemment communiqué sur des licenciements massifs, IBM poursuit sa stratégie d’expansion dans l’intelligence artificielle avec une nouvelle acquisition d’envergure… En effet, le groupe va racheter Confluent, spécialiste du streaming de données, pour 11 milliards de dollars. Un mouvement qui confirme l’ambition d’Arvind Krishna de faire des infrastructures de données un socle […]
Meta revient à la table des éditeurs avec une nouvelle série de partenariats destinés à améliorer la qualité et la fraîcheur des réponses de son assistant conversationnel. Une stratégie qui marque un tournant après des années de relations difficiles avec les médias… Meta AI mise sur du contenu en temps réel Selon les informations de […]
Le New York Times vient d’ouvrir un nouveau front judiciaire contre Perplexity, accusant la startup d’avoir bâti ses outils d’IA générative sur des millions d’articles copiés sans autorisation. Une affaire qui s’ajoute à une série de poursuites visant la jeune pousse, déjà au coeur des critiques de nombreux éditeurs, y compris au Japon… Un procès […]
Les utilisateurs européens de Facebook et d’Instagram vont bientôt accéder à des options publicitaires plus nuancées, à la suite d’un long bras de fer entre Meta et Bruxelles. Une évolution qui remet en question le fameux modèle qui consiste à consentir ou payer, très contesté depuis son introduction dans l’Union européenne… Une amende record qui […]
Depuis déjà plusieurs mois, les navigateurs IA séduisent de nombreux professionnels grâce à leurs capacités d’automatisation et de synthèse. Mais derrière ces fonctions séduisantes, Gartner tire aujourd’hui la sonnette d’alarme et invite les organisations à redoubler de vigilance… Des navigateurs trop bavards avec vos données Dans son dernier rapport, le cabinet d’analyse considère que des […]