↩ Accueil

Vue lecture

FlyOOBE - L'outil qui installe Windows 11 sur n'importe quel PC

Vous avez un PC qui tourne encore parfaitement sous Windows 10 mais Microsoft vous dit qu’il est comme vous, c’est à dire “trop vieux” pour Windows 11 ?

Et bien, bienvenue dans le club des 240 millions de machines destinées à la casse. Woohoo ! D’ailleurs selon cette étude , si on empilait tous ces PC les uns sur les autres, la pile ferait 600 kilomètres de plus que le diamètre de la Lune. Sympa pour la planète.

Bref, face à ce gâchis monumental programmé pour le 14 octobre de cette année, date de fin du support de Windows 10 , un développeur connu sous le pseudo Belim (builtbybel sur GitHub) a créé FlyOOBE (prononcez “fly-oh-bee”, comme une petite abeille qui buzz). C’est un outil qui fait exactement ce que Microsoft ne veut pas à savoir installer Windows 11 sur n’importe quel PC, même sans TPM 2.0, sans Secure Boot, et avec un processeur de 2010. Et en bonus, il vire tous les bloatwares au passage.

FlyOOBE, c’est l’évolution de Bloatynosy devenu Flyby11, dont je vous ai déjà parlé en long, en large et en travers. C’était un simple patcher qui avait déjà permis à des milliers d’utilisateurs de contourner les restrictions matérielles de Windows 11. Mais la version 2.2 qui vient de sortir va beaucoup plus loin car au lieu de simplement bypasser les vérifications de compatibilité, FlyOOBE vous permet de personnaliser complètement l’expérience d’install et de post-install de Windows 11.

Comme ça, fini les écrans de configuration à rallonge, les applications préinstallées dont tout le monde se fout, et les paramètres de confidentialité douteux activés par défaut.

Mais avant de rentrer dans le détail, pour comprendre pourquoi FlyOOBE existe, il faut revenir sur les exigences matérielles de Windows 11. Microsoft demande actuellement pour Windows 11, un processeur de 8e génération Intel ou 2e génération AMD Ryzen minimum, 4 Go de RAM (8 Go pour une expérience correcte), le TPM 2.0, l’UEFI avec Secure Boot activé, et j’en passe.

Vous l’avez déjà compris, ce sont des exigences qui excluent automatiquement des millions de PC parfaitement fonctionnels.

Bien sûr, tout comme Retailleau ou Darmanin, Microsoft n’a qu’un seul mot à la bouche pour justifier ce massacre informatique : La sécurité. Hé oui car le TPM 2.0 est censé protéger vos données sensibles, et le Secure Boot quant à lui empêche le démarrage de malwares au niveau du bootloader.

Noble intention, j’en conviens, sauf que dans les faits, ça ressemble surtout à de l’obsolescence programmée ++ imaginée pour booster les ventes de nouveaux PC. Plusieurs personnes parlent même d’une stratégie pour augmenter les ventes de Copilot+ PC , ces nouvelles machines avec NPU intégré capable de faire tourner de l’IA en local.

Alors oui, Microsoft propose bien des Extended Security Updates (ESU) pour 30 dollars par an après octobre 2025, mais c’est juste repousser le problème. Et pour les entreprises, ces tarifs grimpent à 61 $ la première année, 122 $ la deuxième, et 244 $ la troisième. Ils abusent pas un peu là quand même ? Donc autant dire que pour beaucoup de boites, ces vieux PC ce sera direction la déchetterie.

Du coup, le principe de FlyOOBE est très malin, je trouve car au lieu de modifier Windows 11 directement, il utilise une astuce découverte par la communauté il y a quelques temps. Il lance en fait l’installation en mode “Windows Server”, qui n’a pas les mêmes restrictions que la version client. Une fois l’installation terminée, vous vous retrouvez alors avec un Windows 11 parfaitement fonctionnel, mais rassurez vous, pas une version serveur.

Selon le développeur de FlyOOBE, la méthode utilise exactement le même contournement que celui documenté par Microsoft pour les environnements virtuels sauf qu’au lieu de l’appliquer à une VM, FlyOOBE l’applique à votre vraie machine. Et il a fait un boulot de dingue car tout le processus est automatisé… L’outil télécharge l’ISO de Windows 11 via le script Fido (développé par Pete Batard de Rufus ), applique les patchs nécessaires, et lance l’installation.

Pour ceux qui dormaient depuis 25 ans, OOBE signifie “Out-Of-Box Experience”. C’est cette série d’écrans à la con que vous voyez quand vous démarrez Windows pour la première fois : Création du compte, paramètres de confidentialité, connexion au Wi-Fi, tout ça. Microsoft en profite pour vous faire créer un compte Microsoft (obligatoire sur Windows 11 Home), activer la télémétrie, installer Office 365 en trial, et autres joyeusetés.

FlyOOBE vous permet donc de court-circuiter tout ça. Plus besoin de compte Microsoft, vous pouvez créer un compte local directement. Les paramètres de confidentialité sont configurés pour protéger vos données par défaut. Et surtout, l’outil peut automatiquement désinstaller toute une liste de bloatwares (traduction : logiciels à la con) comme Candy Crush, TikTok, les jeux Xbox que vous n’avez jamais demandés, Cortana, et même Teams si vous voulez.

Cette version 2.2 marque une vraie évolution puisque le développeur (qui avoue être “en guerre contre les choix de performance de Microsoft”) a bossé comme un fou pour transformer FlyOOBE en boite à outils pour Windows. Grâce à lui, on a maintenant une interface modernisée avec un mode compact élégant, des boutons qui passent en mode icônes seules quand ils sont actifs (comme les apps natives Windows 11, sauf que là ça marche bien). Le démarrage est plus rapide, la consommation mémoire réduite… Bref, c’est pas comme le menu Démarrer de Windows 11 ou l’Explorateur qui sont des monstres XAML/WinUI bourrés de bloat.

Le développeur a d’ailleurs un petit coup de gueule savoureux dans ses notes de version : “Peut-être qu’un jour Microsoft corrigera les vrais problèmes de performance au lieu d’ajouter un énième bouton Copilot lumineux. Honnêtement, ça fait mal de voir un OS qu’on a aimé être lentement ruiné par les mauvaises priorités.” On sent le mec qui en a ras-le-bol, et je le comprends…

FlyOOBE est donc passé d’un simple assistant OOBE à un véritable hub de contrôle Windows. Le moteur d’extensions a été complètement retravaillé, avec un système de catégories et de filtres. Certaines pages OOBE sont devenues de véritables mini-apps autonomes, comme Dumputer ou CoTweaker (des anciens outils standalone du même dev qui vivent maintenant leur meilleure vie à l’intérieur de FlyOOBE). Il y a aussi un nouveau tableau de bord Home qui catégorise et recommande intelligemment les options, un système de navigation avec historique complet (comme dans un navigateur), et un moniteur d’activité natif qui log les actions système en temps réel.

L’App Installer intégré propose aussi d’installer automatiquement des logiciels vraiment utiles tels que Firefox, VLC, 7-Zip, Notepad++, et autres essentiels. Pratique donc pour avoir une machine propre et fonctionnelle dès le départ, sans passer des heures à tout configurer manuellement.

Maintenant faut que je sois clair avec vous, utiliser FlyOOBE, c’est contourner les mesures de sécurité mises en place par Microsoft. Le développeur lui-même précise que les mises à jour futures ne sont pas garanties sur les machines “non supportées”. Donc si Microsoft décide de bloquer complètement les PC sans TPM 2.0 dans une future mise à jour, vous pourriez vous retrouver coincé.

Il y a aussi le cas du POPCNT, une instruction CPU que FlyOOBE ne peut pas contourner donc si votre processeur ne la supporte pas (généralement les CPU d’avant 2010), Windows 11 ne fonctionnera tout simplement pas, même avec FlyOOBE. L’outil intègre d’ailleurs un “compatibility checker” pour vérifier ce point avant l’installation.

Notez qu’ en février dernier, Microsoft Defender a commencé à flaguer Flyby11 comme “Win32/Patcher” , le classant comme application potentiellement indésirable. Le développeur a alors contacté Microsoft et la version actuelle n’est plus détectée, mais ça montre que Microsoft n’apprécie pas vraiment ce genre d’outils.

Maintenant pour utiliser FlyOOBE, pas besoin d’un tuto à rallonge car c’est ultra simple. Vous téléchargez l’exécutable depuis les releases GitHub , vous le lancez, et vous avez quatre options :

  1. Upgrade : Pour passer de Windows 10 à 11 sur une machine incompatible
  2. Install Only : Pour une installation propre avec personnalisation OOBE
  3. Experience : Pour configurer Windows après installation
  4. Apps : Pour gérer les bloatwares et installer des apps utiles

Si vous choisissez l’upgrade, FlyOOBE téléchargera automatiquement l’ISO de Windows 11, appliquera les patchs, et lancera le processus. Comptez alors environ 30 minutes à 1 heure selon votre machine et votre connexion internet. Rassurez-vous, l’outil gardera vos fichiers et tous vos programmes car c’est une vraie mise à niveau, et pas une réinstallation. L’Autopilot intégré a d’ailleurs été amélioré pour vous guider de manière encore plus autonome pendant l’installation.

Petite note pour ceux qui cherchaient le script ConsumerESU (pour les mises à jour de sécurité étendues) : il a temporairement disparu de GitHub, probablement un faux positif qui a fait suspendre le repo, comme c’est déjà arrivé au profil de Belim lui-même. Les joies de la modération automatique…

Maintenant, pour ceux qui veulent aller plus loin, il y a même des builds “Nightly” mis à jour régulièrement avec les dernières fonctionnalités expérimentales. L’ancien Flyby11 3.0 “Classic” existe toujours mais est désormais marqué comme deprecated, donc le dev recommande de passer à FlyOOBE. Notez aussi que FlyOOBE n’est pas le seul outil pour contourner les restrictions de Windows 11. Rufus permet aussi de créer une clé USB d’installation sans les checks TPM/Secure Boot . Il y a aussi les méthodes manuelles avec des modifications du registre pendant l’installation. Ou carrément passer à Linux, comme le suggèrent certains barbus qui veulent entrainer encore plus de monde dans leur galère… Roooh, ça va, je rigole !

Mais FlyOOBE c’est mon préféré parce qu’il a plusieurs avantages. D’abord, c’est tout-en-un : bypass les restrictions, personnalisation OOBE, et debloating. Ensuite, c’est portable (moins de 400 Ko !), donc pas besoin d’installation et surtout, c’est maintenu activement avec des mises à jour régulières pour s’adapter aux changements de Microsoft. Le dev mentionne d’ailleurs son autre projet CrapFixer , une sorte de CCleaner 2.0 de l’époque dorée de Windows XP, si vous êtes nostalgiques.

Alors Microsoft va-t-il bloquer définitivement FlyOOBE et les outils similaires ? C’est possible car ils ont déjà resserré la vis plusieurs fois, mais les devs trouvent toujours de nouvelles méthodes de contournement. Et c’est encore pire pour activer Windows…

Bref, si vous avez un PC sous Windows 10 qui ne passe pas les vérifications de compatibilité Windows 11, donnez une chance à FlyOOBE. Au pire, vous perdez une heure et au mieux, vous donnez une seconde vie à votre machine et vous évitez de participer à la montagne de déchets électroniques que ça va provoquer.

Et ça, c’est déjà une petite victoire.

Source

Article publié initialement le 4 septembre 2025. Mis à jour le 1 décembre 2025. Merci à Lorenper.

  •  

UnMarker - Les watermarks IA ne servent à rien

Vous vous souvenez quand les géants de la tech ont promis à la Maison Blanche qu’ils allaient marquer toutes les images générées par IA avec des filigranes invisibles pour lutter contre les deepfakes ? Hé bien, des chercheurs de l’Université de Waterloo au Canada viennent de démontrer que c’était du pipeau avec un outil de leur cru baptisé UnMarker qui supprime n’importe quel watermark IA en quelques minutes, sans même avoir besoin de savoir comment le filigrane a été créé.

Andre Kassis et Urs Hengartner , les deux chercheurs derrière ce projet, ont publié leurs travaux lors du 46ème symposium IEEE sur la sécurité et la vie privée en mai 2025 et leurs résultats sont assez dévastateurs pour l’industrie.

En effet, ils ont testé leur attaque contre à peu près tous les systèmes de watermarking existants : Yu1, Yu2, HiDDeN, PTW, StegaStamp, TRW, Stable Signature… Et le meilleur taux de détection après passage dans UnMarker qu’ils ont obtenu c’est 43%. Et en dessous de 50%, c’est considéré comme inutile statistiquement parlant.

Ils ont aussi testé le tout nouveau, tout beau SynthID de Google, que Mountain View présente comme LA solution miracle. Et résultat le taux de détection est passe de 100% à environ 21% donc autant vous dire que c’est complètement pété.

Alors comment ça marche ce truc ?

Hé bien l’astuce d’UnMarker, c’est d’exploiter une faille fondamentale que tous les systèmes de watermarking partagent. Comme l’explique Kassis avec une analogie plutôt parlante, “Si vous gribouillez l’adresse sur une lettre, le facteur ne pourra plus la livrer.” et comme tous ces systèmes doivent stocker leur watermark dans les variations spectrales des pixels, UnMarker cible précisément ce canal pour le perturber, sans créer d’artefacts visuels. L’image reste ainsi identique à l’œil nu, mais le filigrane invisible est devenu illisible.

Unmarker.it est donc une version côté client de leur outil , qui tourne entièrement dans votre navigateur. Vous déposez une image, vous la “secouez, remuez et écrasez” comme ils disent, et hop, plus de watermark ! Par contre, si le watermark est aussi visuel comme la petite étoile de Gemini, pensez à mettre un petit coup de pinceau dessus pour la cacher.

Et c’est là que ça devient vraiment inquiétant pour la lutte contre les deepfakes car toute la stratégie des gouvernements et des plateformes repose sur l’idée qu’on peut marquer les contenus IA pour les identifier automatiquement. Donc si n’importe quel clampin peut supprimer ces marqueurs en quelques clics, tout le système s’effondre. Les chercheurs sont d’ailleurs assez cash dans leur conclusion, je cite : “Nos résultats montrent que le watermarking n’est pas une défense viable contre les deepfakes, et nous exhortons la communauté à explorer des alternatives.

Voilà, si vous pensiez que les watermarks invisibles allaient nous sauver de la désinformation par l’IA, vous vous mettez le doigt dans l’œil !

  •  

Lossless Scaling - Doublez le framerate de votre Steam Deck avec ce plugin Decky

Si vous avez un Steam Deck et que vous rêvez de fluidité visuelle digne d’un écran 120 Hz alors que votre jeu tourne péniblement à 40 FPS, il faut absolument que vous testiez Lossless Scaling qui vient officiellement de débarquer sur le Decky Store .

Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, Lossless Scaling c’est un logiciel Windows hyper populaire qui permet de générer des frames artificielles entre les vraies images de votre jeu. En gros, si votre jeu tourne à 30 FPS, le logiciel va créer des images intermédiaires pour donner l’impression d’avoir du 60 FPS. C’est pas de la magie noire, c’est de l’interpolation de frames, et ça marche plutôt bien quand c’est correctement implémenté.

Le truc, c’est que jusqu’à maintenant c’était réservé aux joueurs Windows, et vous, pauvres utilisateurs de Steam Deck, vous êtiez condamnés à regarder votre cousin PCiste consanguin profiter de la fluidité de ses jeux pendant que vous, vous vous tapiez des 30 FPS saccadés sur Elden Ring.

Hé bien aujourd’hui, c’est terminé, grâce au travail de PancakeTAS qui a porté la technologie sous Linux et de xXJSONDeruloXx qui a créé ce plugin Decky appelé “ lsfg-vk ”.

L’installation est devenue ultra simple maintenant que c’est dans le store officiel Decky… Suffit de chercher “Decky LSFG-VK”, vous l’installez, et vous suivez les instructions. Bon par contre, petit détail important, il vous faut quand même avoir acheté Lossless Scaling sur Steam (Ouin). C’est pas gratuit, mais à moins de 8 euros en période de soldes, ça reste très accessible pour ce que ça apporte. Et puis ça vous fait une idée cadeau de plus pour Noyël !

Côté résultats, c’est assez impressionnant sur les jeux qui tournent de façon stable. Si vous avez un titre qui tourne à 40 FPS constants, vous allez pouvoir simuler du 80 FPS et l’œil s’y laissera prendre. Par contre, et c’est là que ça se corse, il faut que le framerate de base soit stable. Sur des jeux gourmands comme Dying Light: The Beast où le framerate fait du yoyo, vous allez vous retrouver avec des stutters pas très agréables.

L’interpolation n’aime pas quand le framerate source fait n’importe quoi et d’ailleurs, comparé au FSR Frame Gen d’AMD qui est intégré directement dans certains jeux, ce plugin Lossless Scaling aura l’avantage de tourner de façon plus fiable avec des visuels plus fluides et moins d’input lag.

Attention quand même, l’input lag reste le talon d’Achille de toute technologie de génération de frames donc si vous jouez à des jeux compétitifs où chaque milliseconde compte, passez votre chemin, mais pour un bon vieux RPG solo ou un jeu d’aventure, c’est très appréciable.

Voilà, si vous voulez donner un coup de boost visuel à votre Steam Deck sans attendre que les développeurs intègrent nativement le frame generation dans leurs jeux, foncez sur le Decky Store chercher LSFG-VK. C’est la solution la plus simple pour profiter de cette techno qui était jusqu’ici réservée aux joueurs Windows.

Et un grand merci Noah de SteamdeckHQ pour l’info !

  •  

Retro-eXo - Plus de 10 000 jeux DOS et Windows prets à jouer !

Si vous êtes du genre à avoir une petite larme à l’œil (snif) quand vous repensez aux jeux DOS, Windows 3.1 ou Windows 95 de votre jeunesse, l’ami Lorenper a trouvé un projet de préservation vidéoludique absolument incroyable.

Retro-eXo c’est LE projet d’une seule personne qui a constitué des collections massives de jeux rétro, tous préconfigurés et prêts à être jouer, couvrant pratiquement toutes les plateformes PC des années 80-90-2000.

Le projet a commencé en 2007 et la philosophie est simple : “Preservation through Playability” in english, donc autrement dit, ça sert à rien d’archiver des jeux si personne ne peut y jouer. Du coup, chaque collection est livrée avec les émulateurs préconfigurés, les métadonnées, les pochettes, les manuels et tout ce qu’il faut pour lancer n’importe quel titre en un clic.

Voici donc ce que propose le site :

eXoDOS v6 : La grosse collection DOS avec 7 666 jeux , tous les classiques de l’époque PC Booter et MS-DOS. Le torrent complet fait 638 Go, mais y’a aussi une version Lite de 5 Go qui télécharge les jeux à la demande. Et en bonus, un pack média de 220 Go avec des magazines, des bandes son et des guides de stratégie d’époque.

eXoWin3x v2 : 1 138 jeux Windows 3.x de l’époque où Windows était juste une interface graphique par dessus DOS. Ça tourne via DOSBox avec des VHD préconfigurés. La v3 est prévue pour 2025.

eXoWin9x Vol.1 : 662 jeux Windows 95/98 de la période 1994-1996 (j’en ai parlé dans un autre article). Le système de VHD différentiels permet de faire tenir tout ça dans 262 Go au lieu de plusieurs téraoctets. Les volumes suivants arrivent bientôt avec les années 1997-2000.

eXoScummVM : 671 jeux point-and-click compatibles ScummVM, avec plusieurs variations par plateforme. Le torrent fait 253 Go et inclut tous les classiques LucasArts, Sierra et compagnie.

eXoDREAMM v3 : 46 jeux utilisant le moteur DREAMM , un émulateur spécialisé pour les jeux LucasArts.

Retro Learning Pack : 667 titres éducatifs compilés depuis eXoDOS et eXoWin3x, pour ceux qui veulent faire découvrir Math Blaster ou Reader Rabbit à leurs gamins.

Chaque collection utilise LaunchBox comme frontend, avec des vidéos de preview de 30 secondes pour chaque jeu, des options de configuration unifiées (fullscreen, ratio d’aspect, shaders CRT…), et même du support multijoueur automatisé via IPX pour les jeux en réseau. Le tout est portable et ne modifie rien sur votre système hôte.

Si vous creusez un peu sur le site, vous découvrirez aussi des packs contenant toutes les créations de la démoscene de 1987 à 1998, des jeux et des logiciels pour la série des Apple II (+ GS), un pack spécialisé dans tout ce qui est titres de fictions interactives de 1974 jusqu’au milieu des années 80. C’est incroyable !

Le travail de préservation est impressionnant et l’équipe cherche encore les versions originales sur média physique plutôt que des rips de scene, et documente tout sur un wiki dédié . Y’a aussi un Discord actif et un GitHub pour signaler les bugs ou soumettre des jeux manquants.

Si vous voulez faire tourner tout ce petit monde sous Linux, sachez qu’il y a aussi un pack de patchs, afin de faire tourner les différents projets EXO sur votre OS préféré .

Voilà, si vous voulez vous monter une bibliothèque rétro complète sans passer des semaines à configurer des émulateurs, foncez sur Retro-eXo . C’est gratuit, c’est téléchargeable en torrent, et c’est probablement le projet de préservation PC gaming le plus ambitieux qui existe !

  •  

Furnace - Le tracker qui transforme votre PC en console 8 bits musicale

Si vous avez grandi avec les bips et les blops des consoles 8 bits et que vous avez toujours rêvé de composer vos propres musiques façon NES, Game Boy ou Mega Drive, pas besoin d’investir dans un Ableton Live ou un FL Studio à whatmille boules car je vous ai trouvé un truc qui va vous permettre de composer de la musique 8 bit comme un chef !

Ça s’appelle Furnace et c’est un tracker de chiptune open source qui émule plus de 60 puces sonores différentes et vous fera peut-être regretter de pas avoir appris le solfège quand vous étiez plus jeune..

Alors pour ceux qui ne connaissent pas, un tracker c’est un logiciel de composition musicale où on empile des notes et des patterns les uns sur les autres, un peu comme dans les jeux de rythme (Guitar Hero ?), sauf que là c’est vous qui créez la musique. Et Furnace, c’est probablement le plus gros tracker multi-système jamais créé avec plus de 200 configurations prêtes à l’emploi dispo.

Le truc vraiment cool, c’est que ce logiciel utilise des cœurs d’émulation de qualité comme Nuked, MAME, SameBoy ou encore reSID pour reproduire fidèlement le son du hardware original. Donc que vous vouliez le son crunchy du Commodore 64, les nappes FM de la Mega Drive ou les samples de l’Amiga, tout y est émulé avec une précision quasi parfaite !

Côté puces supportées, y’a vraiment de quoi faire… La famille Yamaha FM au complet (YM2151, YM2612, YM2413, l’OPL3…), les puces Nintendo (NES, SNES, Game Boy), le mythique SID du C64, les puces d’arcade Neo Geo et CPS-1, et même des trucs plus exotiques comme l’Atari 2600 ou le Vectrex. En tout, le tracker gère jusqu’à 32 puces simultanées soit 128 canaux au total… De quoi composer une symphonie 8 bits de compétition.

L’interface est entièrement modulable et vous pouvez arranger les fenêtres comme bon vous semble. Y’a même un oscilloscope par canal avec centrage de la forme d’onde pour les perfectionnistes et si vous utilisiez DefleMask avant, bonne nouvelle puisque Furnace charge et sauvegarde les fichiers .dmf et .dmw donc vous pouvez migrer tranquillou.

Pour l’export, c’est pas mal non plus puisque vous pouvez sortir vos compos en WAV (par puce ou par canal), en VGM, en ZSM pour le Commander X16, et même directement en ROM Atari 2600 ou 400/800. Hé oui, vous pouvez littéralement mettre votre musique sur une vraie cartouche si ça vous éclate, les nerdzzzz.

Le projet tourne sous licence GPL, donc c’est gratuit et open source et il est dispo pour Windows, macOS (Intel et Apple Silicon), Linux et FreeBSD.

Voilà, si vous avez la fibre chiptune et que vous cherchez un outil complet pour composer de la musique rétro, foncez tester Furnace . Peut-être que ça vous permettra enfin de créer la bande son du jeu vidéo de vos rêves !!!

  •  

SponsorBlock – Gérez les sponsors YouTube à votre façon

Ce matin, vous vous êtes levé, motivé, vous vous êtes posé sur l’ordinateur, très concentré, pour vous lancer dans la réparation de votre aspirateur robot qui fait encore des siennes. Vous lancez le tutoriel YouTube et au bout de 3 minutes, d’un seul coup le mec pose son tournevis et se met à vous parler de sa gourde magique sponsorisée durant 90 longues secondes.

Grmpfff… Bon, après on va pas se mentir, les sponsors, c’est ce qui permet aux créateurs de vivre de leur passion et de continuer à produire du contenu gratuit dont vous vous goinfrez comme des petits cochons grassouillets. C’est le deal. Mais parfois, quand on est pressé ou qu’on enchaîne les tutos, on aimerait bien pouvoir zapper ces passages pour y revenir plus tard évidemment (ou pas ^^).

C’est là qu’intervient SponsorBlock, une extension open source qui permet de sauter automatiquement les segments sponsorisés dans les vidéos YouTube. Le principe : quand quelqu’un identifie un passage pub dans une vidéo, il le signale via l’extension, et ensuite tous les autres utilisateurs peuvent choisir de sauter automatiquement ce passage. C’est du crowdsourcing, et plus de 13 millions de personnes utilisent l’extension .

Bien sûr, si vous utilisez ce genre d’outil et que vous appréciez vraiment un créateur, pensez à le soutenir autrement. Que ce soit via un like, un partage, un abonnement à son Patreon, ou tout simplement en désactivant l’extension sur ses vidéos. Les sponsors, c’est souvent ce qui leur permet de bouffer et de continuer à créer du contenu de qualité. Cet outil est pratique, mais il ne faut pas oublier qu’il y a des humains derrière les vidéos.

Ceci étant dit, l’extension ne se limite pas qu’aux sponsors. Vous pouvez aussi la configurer pour sauter les intros interminables, les outros avec les rappels d’abonnement, ou même les passages non-musicaux dans les clips. L’extension affiche des segments colorés sur la timeline YouTube : du jaune pour les sponsors, du vert pour les intros, du bleu pour les outros, violet pour l’auto-promo, rose pour les intermissions… Vous choisissez ce que vous voulez skipper et ce que vous gardez.

Niveau stats, les utilisateurs ont soumis plus de 17 millions de segments et il y a un système de votes qui permet d’évaluer la qualité des signalements, donc les segments mal identifiés finissent par disparaître.

L’extension est dispo sur tous les navigateurs classiques : Chrome, Firefox, Edge, Safari, Opera… Et si vous êtes sur mobile, y’a des solutions aussi. Par exemple sous Android, des apps comme ReVanced intègrent SponsorBlock nativement. Sur iOS, y’a une app dédiée pour Safari. Enfin, pour les plus geeks d’entre vous, des ports existent pour MPV, Kodi, les TV connectées, Android TV, et même Chromecast.

Côté vie privée, la base de données est publique et n’importe qui peut la télécharger ou l’auditer. Le développeur principal, Ajay Ramachandran, a même mis en place un système de requête qui préserve la vie privée, donc l’extension ne sait pas quelle vidéo vous regardez quand elle interroge le serveur.

Voilà, si vous passez beaucoup de temps sur YouTube et que vous cherchez à optimiser votre temps de visionnage, SponsorBlock peut vous intéresser. C’est gratuit et open source.

  •  

DirPrintOK 7.48

Utilitaire léger, gratuit, portable et en français permettant de lister, d'enregistrer et d'imprimer le contenu et l'arborescence d'un dossier ou d'un lecteur...
  •  

OpenAI dévoile les usages qui dominent réellement sur ChatGPT

L’anniversaire de ChatGPT offre à OpenAI l’occasion de publier une série de données qui décrivent les pratiques des utilisateurs depuis trois ans. L’entreprise lève enfin le voile sur les actions les plus courantes, ce qui éclaire la manière dont l’outil s’est installé dans les routines numériques. L’analyse montre une préférence surprenante pour certaines fonctions, tandis ... Lire plus

L'article OpenAI dévoile les usages qui dominent réellement sur ChatGPT est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

DeepCool CL6600 : un boîtier innovant avec AIO 360 mm intégré et architecture « Hyper-Split »

DeepCool officialise le CL6600, un boîtier unique que nous avions aperçu au COMPUTEX cette année. Sa particularité est d’intégrer directement un système de refroidissement liquide AIO avec un radiateur de 360 mm logé dans une chambre supérieure dédiée, isolée du reste des composants pour maximiser les performances thermiques. Cette approche élimine les contraintes habituelles du placement du radiateur et améliore la dissipation en séparant physiquement la source de chaleur du système de refroidissement.

deepcool CL6600

Architecture « Hyper-Split » : séparation totale des zones de chaleur

Deepcool CL6600 gauche
Deepcool CL6600 trois quarts

Le DeepCool CL6600 adopte une conception interne baptisée Hyper-Split, une organisation qui distingue les compartiments CPU, GPU et alimentation pour réduire la chaleur cumulative. Cette segmentation permet un refroidissement plus ciblé, un flux d’air mieux canalisé et une meilleure stabilité thermique sur les configurations hautes performances. Les versions sans AIO, les CL600 et CL600 WH, sortent simultanément pour offrir une alternative plus classique.

Une capacité de refroidissement exceptionnelle

Le boîtier peut accueillir une ventilation très complète, avec notamment :

  • Avant : 2 × 140 mm,
  • Haut : 3 × 120 mm / 2 × 140 mm (emplacement du radiateur 360 mm intégré),
  • Arrière : 1 × 120 mm / 1 × 140 mm,
  • Bas : 2 × 120 mm (fournis : 2 ventilateurs ARGB à pales inversées).

Grâce au radiateur AIO préinstallé et aux multiples emplacements, le CL6600 peut gérer même les CPU les plus exigeants sans compromis.

Deepcool CL6600 façade

Format ATX avec compatibilité connecteurs arrière

Le DeepCool CL6600 prend en charge :

  • ATX / Micro-ATX / Mini-ITX,
  • Cartes mères à connecteurs arrière (type ASUS BTF / MSI Project Zero / Gigabyte Stealth).

Ses dimensions de 235 × 457,5 × 533,5 mm et son poids de 11,82 kg en font un boîtier robuste et spacieux malgré une organisation interne compartimentée.

Côté compatibilité :

  • Hauteur ventirad : 175 mm,
  • GPU : 413 mm (ou 388 mm avec ventilateurs avant),
  • Alimentation : 160 mm.
Deepcool CL6600 chambre principale
Deepcool CL6600 chambre secondaire

Stockage et modularité

Le DeepCool CL6600 permet :

  • 2 × SSD 2,5″ + 1 × emplacement supplémentaire,
  • 2 × HDD 3,5″ + 1 × emplacement hybride,
  • 7 slots d’extension pour cartes PCIe.

Un ensemble complet qui convient autant aux builds gaming qu’aux stations de travail.

Date de sortie, couleurs et garantie

Le DeepCool CL6600 sera disponible le 5 décembre, en noir et blanc avec une garantie de 1 an pour le boîtier et 5 ans pour l’AIO intégré. Les prix ne sont pas encore connus.

  •  

L’intelligence artificielle prolonge artificiellement l’agonie du charbon aux États-Unis

Le rêve futuriste d’une ère dominée par l’intelligence artificielle repose paradoxalement sur des sources énergétiques d’hier, notamment le charbon. Selon un rapport de Politico basé sur une étude du think tank Frontier Group, les projets de fermeture de trente unités de production au charbon ont été reportés pour alimenter les centres de données voraces en ... Lire plus

L'article L’intelligence artificielle prolonge artificiellement l’agonie du charbon aux États-Unis est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Metroid Prime 4 domine les classements Switch 2 malgré l’absence flagrante de promotion

Plus tôt ce mois-ci, plusieurs observateurs rapportaient que le marketing pour Metroid Prime 4: Beyond accusait un retard considérable par rapport aux autres lancements phares de la Switch 2 comme Donkey Kong Bananza et Kirby Air Riders, avec une présence quasi-inexistante sur les réseaux sociaux et même sur l’application actualités officielle de Nintendo. La franchise ... Lire plus

L'article Metroid Prime 4 domine les classements Switch 2 malgré l’absence flagrante de promotion est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Avengers: Endgame a supprimé le moment le plus bouleversant du MCU, mais Doomsday pourrait le ressusciter

Avengers: Endgame représente indéniablement le film le plus émotionnel de l’univers cinématographique Marvel. L’intrigue suit les héros tentant de surmonter les pertes dévastatrices d’Infinity War, Captain America animant des groupes de soutien tandis que Thor sombre dans l’apitoiement à New Asgard. Malgré une conclusion déchirante où Tony Stark sacrifie sa vie et Steve Rogers retourne ... Lire plus

L'article Avengers: Endgame a supprimé le moment le plus bouleversant du MCU, mais Doomsday pourrait le ressusciter est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

L’engouement pour les robots humanoïdes inquiète officiellement Pékin

La frénésie mondiale autour des robots humanoïdes pourrait-elle nuire à l’économie chinoise ? Le gouvernement de Pékin semble le penser. Jeudi dernier, la Commission nationale du développement et de la réforme (NDRC), organe central de planification économique chinois sans équivalent occidental, a publié une déclaration inhabituelle concernant la prolifération de robots humanoïdes dans le pays. ... Lire plus

L'article L’engouement pour les robots humanoïdes inquiète officiellement Pékin est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Les cas de vomissements sévères liés au cannabis augmentent aux États-Unis…

Bien que le cannabis présente des bénéfices récréatifs et thérapeutiques reconnus, chaque substance psychoactive comporte des risques potentiels. Une étude récente de l’Université de l’Illinois à Chicago révèle une augmentation préoccupante des visites aux urgences pour syndrome d’hyperémèse cannabinoïde (SHC), affection caractérisée par des épisodes violents et douloureux de vomissements. Les chercheurs ont analysé les ... Lire plus

L'article Les cas de vomissements sévères liés au cannabis augmentent aux États-Unis… est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Angel’s Egg incarne quarante ans après sa capacité unique à émouvoir sans dialogue

Dans un monde où les créateurs célébrés puisent régulièrement leur inspiration chez Mœbius et Giger, Angel’s Egg de Mamoru Oshii s’inscrit naturellement dans le second courant. Pourtant, l’œuvre transcende mystérieusement toutes ses influences pour acquérir le statut de classique culte de l’animation vidéo originale, un type de production que l’industrie ne reverra probablement jamais. Quarante ... Lire plus

L'article Angel’s Egg incarne quarante ans après sa capacité unique à émouvoir sans dialogue est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Un anime Godzilla inédit transforme un adolescent en monstre légendaire

L’univers cinématographique de Godzilla s’apprête à accueillir une nouvelle déclinaison audacieuse. Outre les projets attendus comme Minus Zero et Godzilla x Kong: Supernova, Toho vient d’annoncer lors de l’Anime Festival Asia Singapore 2025 une série animée révolutionnaire : pour la première fois en plus de soixante-dix ans d’histoire, le Roi des Monstres incarnera un adolescent ... Lire plus

L'article Un anime Godzilla inédit transforme un adolescent en monstre légendaire est apparu en premier sur Fredzone.
  •  

Test – Aspirateur balai Tineco Pure One A90S

Que vaut l’aspirateur balai Tineco Pure One A90S ?

Le Tineco Pure One A90S a été officiellement annoncé le 7 novembre dernier. Le modèle avait également été aperçu plus tôt dans l’année lors de l’IFA 2025 à Berlin, où la marque avait présenté ses nouveautés en matière d’aspiration intelligente. Cette double présence — salon technologique majeur et annonce officielle — a marqué l’arrivée du A90S comme l’un des aspirateurs balais les plus innovants de la nouvelle génération.

Officiellement disponible à la vente, vous le retrouverez à l’heure où ses lignes sont écrites en promotion au prix de 599 €. En temps normal, il est affiché à 699 €. Place au test !

 

Unboxing

Ici, nous aurons très vite fait le tour de notre première paetie. Nous retrouverons à gauche et à droite le nom de la marque, celui du modèle, et la mention « Cordless Stick Vaccum Cleaner », tandis qu’à l’avant, nous aurons la même chose avec cette fois, un dessin dudit modèle du jour. On regrettera tout de même deux petites poignées pour porter le tout car c’est tout de même assez lourd.

Tineco Pure One A90S

 

Caractéristiques techniques

Marque Tineco
Caractéristique spéciale Aspiration puissante de 270AW, brosse maîtresse 3DSense, conception ZeroTangle, jusqu’à 105 min d’autonomie, système SmartLift
Type de filtre Filtre HEPA
Composants inclus Buse FlexiSoft, mini brosse motorisée, Outil 2-en-1 pour fentes et dépoussiérage, support de charge et de rangement
Sans fil ? Oui
Puissance 650 Watts
Facteur de forme Bâton
Couleur Gris Gunmetal
Nom de modèle Pure One A90S
Dimensions du produit 37L x 29,5l x 122,5H centimètres

Fonctionnalités

  • Aspiration puissante de 270AW : cet aspirateur sans fil puissant capture rapidement la poussière, les débris et les poils d’animaux, assurant un nettoyage en profondeur.
  • Brosse 3DSense Master : cet aspirateur balai sans fil allie DustSense, EdgeSense et la détection du type de sol pour offrir une efficacité de nettoyage de nouvelle génération.
  • Système SmartLift : grâce à son réglage au niveau du sol, son interrupteur côté manche et sa détection automatique, le nouveau système de tineco aspirateur sans fil gère sans effort les débris plus volumineux sans obstruction – sans se pencher.
  • Éclairage LED vert amélioré : le phare grand-angle de 150° de cet aspirateur balai illumine une plus grande surface et révèle clairement les particules de poussière jusqu’à 0,02 mm.
  • Autonomie ultra-longue : notre modèle du jour dispose d’une autonomie ultra-longue, jusqu’à 105 minutes (mode éco avec brosse 2-en-1 pour les fissures) pour un nettoyage complet de la maison sans interruption.

Contenu

  • Aspirateur balais Pure One A90S
  • Buse FlexiSoft,
  • Mini brosse motorisée,
  • Outil 2-en-1 pour fentes et dépoussiérage,
  • Support de charge et de rangement

Tineco Pure One A90S

 

Test

Tineco est devenu en quelques années l’un des acteurs incontournables du nettoyage dit smart. D’ailleurs, vous pouvez retrouver tous nos tests de la marque ici. Avec le Pure One A90S, la marque revient avec un aspirateur balai plus ambitieux, plus autonome et plus polyvalent, pensé pour simplifier le ménage sans sacrifier la performance. Sur le papier, c’est un modèle qui se place clairement dans le haut de gamme. Mais comme toujours chez Vonguru, on a voulu vérifier s’il tient réellement ses promesses.

Sans surprise, Tineco continue d’affiner son identité. Le Pure One A90S reprend les lignes élégantes et modernes des modèles de la marque, avec un châssis gris métallisé, un écran circulaire parfaitement intégré dans la poignée, et une impression générale de produit bien fini. L’appareil est agréable à manipuler : équilibré, pas trop lourd, et surtout très maniable, ce qui est crucial lorsque l’on passe des sols durs aux plafonds en quelques instants. Les multiples accessoires fournis confirment la volonté de polyvalence de la marque pour son nouveau modèle : brosse motorisée, suceur long, embout textiles, mini-brosse anti-acariens… tout y est, et rien ne fait cheap. Oui, tout respire la qualité.

Tineco Pure One A90S Tineco Pure One A90S

Ce qui fait la force des aspirateurs Tineco, c’est le système iLoop, capable d’analyser en temps réel la quantité de saleté pour ajuster automatiquement la puissance. Sur le A90S, cette technologie est encore plus réactive et mieux calibrée. Dans la pratique, on ne se soucie plus du mode manuel : sur carrelage, il reste discret et économise la batterie et sur tapis ou lors d’un amas de miettes, il envoie beaucoup plus fort, instantanément.

Tineco Pure One A90S

L’écran LED, qui change de couleur selon la quantité de saleté détectée, n’est pas qu’un gadget : il permet d’identifier les zones encore sales et de savoir quand insister. En mode Auto, le Tineco Pure One A90S dépasse facilement les 50 minutes d’utilisation, ce qui est largement suffisant pour un appartement ou une petite maison. Le système iLoop optimise tellement la consommation que l’on n’a quasiment jamais à utiliser le mode Max.

Tineco Pure One A90S

Le changement de batterie, ultra simple, permet même de doubler l’autonomie si l’on investit dans une seconde batterie. Le bac à poussière se vide très facilement, sans projections, et le système de filtration HEPA se démonte en quelques secondes. On apprécie la brosse anti-emmêlement, particulièrement efficace : nettement moins de cheveux enroulés, ce qui est un confort au quotidien.

Tineco Pure One A90S

Les LEDs vertes grand-angle de 150° révèlent clairement les particules de poussière et à chaque passage je me fais la même réflexion : « Mon dieu mais comment ça peut être sale à ce point ?? ». En sachant que je passe l’aspirateur plusieurs fois par jour…. Ces LEDs sont un must have, comme sur notre Dreame H15 Mix, et on adore. 

On regrettera cependant la taille du bac, que l’on aura à vider assez régulièrement et la base murale qui me semble tout de même un peu perfectible. Sur les aspirateurs balai puissants, le bruit est souvent le point faible. Ici, Tineco surprend agréablement : même lors des pics de puissance, l’aspirateur reste raisonnablement silencieux. En mode Auto, il devient même discret. On appréciera également son manche pliable, très pratique pour passer sous certains meubles difficiles d’accès.

Conclusion

Le Pure One A90S est un aspirateur-balai premium qui assume pleinement son statut. Il offre une très bonne puissance, une aspiration intelligemment optimisée, une autonomie solide et un confort d’utilisation qui fait vraiment la différence à l’utilisations. Quelques détails comme la taille du bac ou la base murale perfectible peuvent encore être améliorés, mais l’ensemble est cohérent, moderne et très efficace.

Au final, le Tineco Pure One A90S est un excellent choix pour ceux qui veulent un aspirateur intelligent, et réellement performant au quotidien. Cependant, son prix n’est clairement pas à la portée de toutes les bourses. Pour rappel, vous le retrouverez à l’heure où ses lignes sont écrites en promotion au prix de 599 €. En temps normal, il est affiché à 699 €.

Argent Award Vonguru

Test – Aspirateur balai Tineco Pure One A90S a lire sur Vonguru.

  •  

[MAJ] La Sapphire RX 9070 XT Pulse descend à 583€ pour le Black Month 2025

Alerte deal exceptionnel : La Sapphire RX 9070 XT Pulse, élue meilleur rapport qualité/prix dans notre classement détaillé des RX 9070 XT, descend à 583€ grâce à un code promo de -76€ !

Pourquoi c’est un excellent deal ?

La Sapphire RX 9070 XT Pulse est notre choix #1 rapport qualité/prix dans notre test comparatif des 5 meilleures RX 9070 XT. À 583€, elle devient la carte la moins chère du marché tout en offrant :

  • ✅ 123 FPS en 1440p (moyenne AAA)
  • ✅ Silence remarquable : 57°C en charge
  • ✅ Format compact : 32,2 cm (compatible ITX)
  • ✅ Légère : seulement 1227g
sapphire pulse rx 9070 xt promo

Comparatif Prix Black Friday – RX 9070 XT

ModèlePrix habituelPrix Black Friday
Sapphire Pulse 💰730€583 €
XFX Mercury OC831€709 €
ASRock Taichi OC 🏆805€719 €
Sapphire Nitro+807€704 €
ASUS TUF Gaming822€759 €

Notre avis

Le deal à ne pas manquer : La Sapphire Pulse à 583€ devient imbattable. Pour moins de 600€, vous obtenez une carte capable de faire tourner tous les jeux AAA en 1440p avec plus de 120 FPS.

Alternative premium : La ASRock Taichi OC (-132€) offre de meilleures performances et un design original pour ceux qui ont un budget légèrement supérieur.

Pour comparer les performances, niveaux sonores, températures et choisir le modèle qui vous convient, consultez notre guide complet des meilleures RX 9070 XT.

  •  

QK65 MK3 : Qwertykeys ouvre les précommandes de son clavier mécanique rétro avec écran et mini‑jeux

Qwertykeys revient sur le devant de la scène avec le QK65 MK3, un clavier 65 % au style rétro déjà aperçu lors d’une fuite le mois dernier. Il combine écran intégré, mini-jeux et nombreuses options de personnalisation, et est désormais proposé en précommande.

QK65 MK3 : un 65 % rétro, sans F-row ni pavé num, mais avec écran et VIA

Proposé en kit barebone dès 199 dollars, le QK65 MK3 inclut le châssis, le PCB avec l’écran et son matériel associé, la plaque au choix ainsi que les stabilisateurs. Qwertykeys ajoute une offre intéressante : l’achat d’un set de keycaps à 14 dollars donne droit à un pack gratuit de 70 switches Rye, un bonus rarement vu à ce niveau de prix.

Clavier mécanique QK65 MK3 Qwertykeys rétro avec écran OLED intégré et touches personnalisables, mini-jeux, switches mécaniques

Le format 65 % conserve les flèches mais fait l’impasse sur la rangée de fonctions, le pavé numérique et le bloc navigation. Côté finitions, cinq coloris inspirés du rétro sont annoncés : Eclipse Grey, Retro White, Pink, Green en peinture spray, et Basalt Grey en anodisation.

Clavier mécanique QK65 MK3 Qwertykeys rétro avec écran OLED intégré, touches mécaniques, rétroéclairage RGB et mini‑jeux

Trois types de plaques sont disponibles pour varier la frappe et l’acoustique : aluminium, polypropylène et FR4.

QK65 Mk3 retro 01

L’écran embarqué ne se contente pas d’afficher l’heure. Il peut lire des animations personnalisées, réagir à la frappe avec un chat ou un chien animé, ou héberger un mini‑jeu de dactylo baptisé « Animal Supermarket ».

QK65 Mk3 retro 03

Il sert aussi de tableau de bord système pour la batterie, la connectivité, le mode OS ou encore l’état du Caps Lock. Deux molettes discrètes en partie supérieure droite gèrent justement les modes OS et de connexion.

Connectivité, autonomie et options de PCB

La connectivité s’appuie sur le Bluetooth et le 2,4 GHz, alimentés par deux batteries de 3 100 mAh. Aucune durée d’autonomie officielle n’est avancée, mais la capacité est élevée pour un clavier sous QMK. Le châssis en aluminium CNC accueille au choix un PCB hot‑swap 1,2 mm avec flex‑cuts, ou un PCB hot‑swap 1,6 mm sans flex‑cuts, en 6,25u ou 7u pour la barre d’espace. Les dispositions ISO ne sont proposées qu’avec la barre d’espace 7u.

QK65 Mk3 retro 02

Le clavier est entièrement paramétrable via un fork personnalisé de VIA, adapté pour l’écran : macros, remappage complet et éclairage RGB touche par touche sont de la partie. Qwertykeys résume l’esprit du produit en misant sur des « fonctionnalités rétro ludiques » et une personnalisation avancée, d’après la fiche de lancement.

Source : TechPowerUp

  •  

ASRock préparerait des Mini PC DeskSlim en B760 et X600, format sous 5 L

ASRock s’apprêterait à lancer une nouvelle famille de Mini PC DeskSlim, avec des variantes Intel B760 et AMD X600, qui viendront épauler les DeskMeet, DeskMini et Jupiter déjà au catalogue.

DeskSlim : châssis compact, options Intel et AMD

D’après une fiche technique apparue en ligne et partagée par le leaker momomo_us, ASRock aurait un modèle DeskSlim B760 basé sur la plateforme LGA 1700, compatible avec les processeurs Intel Core de 12e à 14e génération. Le tout tiendrait dans un boîtier compact de moins de 5 litres. En face, il existerait des variantes X600 sur socket AM5 capables d’accueillir des Ryzen séries 7000, 8000 et 9000. Le positionnement exact n’est pas officialisé, mais il semblerait que ces machines soient proposées en barebone.

asrock deskslim mini pc sous 5 l en intel b760 et amd x600 g 2

Cartes graphiques low profile et alimentation externe

Selon le document, les DeskSlim accepteraient des cartes graphiques au format low profile double slot jusqu’à 200 mm de longueur. Côté alimentation, un bloc externe de 240 W serait fourni, avec une option 330 W plus musclée. De quoi envisager des configurations compactes mais polyvalentes. VideoCardz anticipe une communication officielle très prochainement, avec des fiches produits mises en ligne dans la foulée.

asrock deskslim mini pc sous 5 l en intel b760 et amd x600 g 3

Points clés : châssis sous 5 L, Intel B760 LGA 1700 (Core 12e à 14e) et AMD X600 AM5 (Ryzen 7000/8000/9000), GPU low profile jusqu’à 200 mm, alimentation 240 W fournie, 330 W en option. Comme le résume la fuite, ces DeskSlim arriveraient « en parallèle des gammes DeskMeet, DeskMini et Jupiter », sans remplacer l’existant.

Sources: momomo_us TweetVideoCardzRobotdyn

  •  

Ubisoft recrute pour un projet non annoncé : un nouvel épisode de The Crew avec IA en vue

Un simple recrutement ravive les braises : Ubisoft Ivory Tower cherche un Senior Level Designer pour un projet non annoncé, et la mention « AI Level Design » suffirait à relancer la machine The Crew.

Un nouvel épisode de The Crew en préparation ?

L’offre publiée par Ubisoft pour son studio lyonnais précise une expérience en level design AAA, avec préférence pour des profils familiers de la conception de niveaux impliquant l’IA.

De quoi nourrir l’idée, selon la communauté, qu’un nouveau The Crew pourrait intégrer des systèmes génératifs dans la création ou l’animation de son monde ouvert. Rappelons que The Crew 2 misait sur l’exploration à grande échelle ; il semblerait qu’Ubisoft cherche à renforcer le réalisme via des comportements dynamiques, en écho à son récent système de PNJ assistés par IA et contrôle vocal, présenté comme visant à rendre les interactions plus naturelles.

Video Thumbnail: The Crew Motorfest: Launch Gameplay Trailer | Opening Night Live

Ce n’est pas la première apparition de ce « prochain The Crew ». Des fuites antérieures, attribuées à l’insider Tom Henderson, affirmaient qu’un troisième opus principal avait été validé dès mai 2025. Rien d’officiel pour l’heure, mais la concordance entre les rumeurs et la nouvelle fiche de poste crédibilise la piste, au moins sur l’orientation technologique.

IA au cœur du design, méfiance dans la communauté

La référence explicite à l’« AI Level Design » inquiète une partie des joueurs, certains redoutant un usage de l’IA générative trop intrusif. Le contexte ne joue pas en faveur de la franchise : la fermeture des serveurs du premier The Crew, rendant le jeu injouable, a contribué à la montée du mouvement « Stop Killing Games », et entamé la confiance envers l’éditeur. D’après les réactions relevées, des joueurs annoncent déjà qu’ils passeront leur tour si l’IA devient l’argument principal du projet.

Reste à voir comment Ubisoft articulera cette brique technologique. Si l’IA vient enrichir la densité urbaine, la circulation ou les comportements des PNJ, elle pourrait soutenir l’ambition d’un monde plus crédible. À défaut d’annonce officielle, prudence : les indices s’additionnent, mais rien ne confirme la portée exacte de l’IA dans ce possible nouveau The Crew.

Lire également : Ubisoft Teammates : un FPS expérimental propulsé par IA générative et commandes vocales

Source : TechPowerUp

  •  

Howard 2.15

Utilitaire gratuit et en français qui se niche dans la zone de notification et qui vous informe automatiquement à l’arrivée d’un nouvel e-mail dans votre messagerie en ligne : Outlook.com, Hotmail.com, Yahoo, Gmail...
  •