La PS5 a droit à une promo inédite de 180 euros au Black Friday






Ce tutoriel explique comment installer et configurer Tinyauth, un outil open source pour ajouter une page d'authentification aux apps web via Traefik.
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Dans Windows 11 Insider Preview Build 26220.7271, Microsoft a ajouté le préchargement pour l'Explorateur de fichiers et le menu contextuel a été modifié.
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Le protocole ARP pour "Address Resolution Protocol" est lié aux notions d'adresses MAC et d'adresses IP. Il joue un rôle important sur un réseau informatique.
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Windows Server 2025 est la dernière version de Windows Server à intégrer WINS, car les composants WINS seront supprimés à partir de la prochaine version.
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Un employé de CrowdStrike a été licencié après avoir partagé des captures d’écran des systèmes internes avec les pirates de Scattered Lapsus$ Hunters.
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Le CXL Consortium passe la surmultipliée avec CXL 4.0 et vise clairement les charges IA et HPC : la nouvelle spécification double le débit et muscle la connectivité mémoire cohérente des data centers.

Le standard Compute Express Link franchit une étape majeure avec un débit porté à 128 GT/s sans latence ajoutée. D’après l’organisme, ce bond de bande passante accélère directement les échanges entre dispositifs CXL et conserve les optimisations de protocole introduites en 3.x via le format de flit 256 octets. Derek Rohde, président du consortium et ingénieur principal chez Nvidia, résume l’enjeu : « la sortie de CXL 4.0 fixe un nouveau cap pour la connectivité mémoire cohérente ».
Au chapitre des nouveautés techniques, CXL 4.0 introduit le mode x2 natif afin d’augmenter le fan-out au niveau plateforme, et autorise jusqu’à quatre retimers pour étendre la portée des canaux. La spécification inaugure aussi la capacité de ports groupés : il devient possible d’agréger des ports entre l’hôte et des accélérateurs CXL de type 1/2 pour accroître le débit de la liaison.
Le volet fiabilité n’est pas oublié avec des améliorations RAS mémoire, destinées à mieux tracer les erreurs et rationaliser la maintenance. Comme attendu, la rétrocompatibilité est totale avec CXL 3.x, 2.0, 1.1 et 1.0, de quoi faciliter les déploiements progressifs dans les baies existantes.

Le consortium prévoit des démonstrations au CXL Pavilion (stand 817) lors de Supercomputing 2025, du 16 au 21 novembre à St. Louis. Une session « Birds of a Feather » abordera l’exploitation du pooling et du partage de mémoire CXL pour les charges IA et HPC, mardi 18 novembre de 12 h 15 à 13 h 15, heure du Pacifique.
Pour aller plus loin, une présentation en ligne gratuite est programmée le jeudi 4 décembre à 8 h, heure du Pacifique, afin de détailler les nouveautés de CXL 4.0.
Source : TechPowerUp
Amazon accélère sur le ciel bas-orbital avec Leo Ultra, une antenne professionnelle annoncée à 1 Gb/s en téléchargement, tandis qu’un préprogramme pour clients entreprises démarre avant un lancement commercial plus large prévu en 2026.
Le réseau LEO d’Amazon, ex‑Project Kuiper, franchit une étape avec plus de 150 satellites déjà en place et l’ouverture d’un essai entreprise réservé. Pièce maîtresse, Leo Ultra se présente comme un terminal à panneau plat de type phased‑array, sans pièces mobiles, capable d’atteindre jusqu’à 1 Gb/s en téléchargement et 400 Mb/s en envoi. Le constructeur met en avant une électronique sur mesure, avec silicium et traitement RF maison, pour réduire la latence et assurer un fonctionnement en full‑duplex. Le châssis est annoncé robuste, prêt pour des conditions météo difficiles.

Deux autres niveaux de service compléteront l’offre. Leo Nano, avec une antenne compacte de 7 pouces, vise jusqu’à 100 Mb/s en download. Leo Pro, basé sur une antenne standard de 11 pouces, annonce jusqu’à 400 Mb/s. Amazon cible les organisations opérant hors des zones desservies par le terrestre : industriel, gouvernemental, chantiers et sites isolés. Le service promet des outils de gestion réseau, un chiffrement de bout en bout et un support prioritaire.
Particularité notable, le réseau peut s’intégrer directement aux environnements cloud et privés, sans transiter par l’internet public. Deux options sont détaillées : Direct to AWS, qui relie les charges de travail via Transit Gateway ou Direct Connect Gateway depuis la console Leo, et Private Network Interconnect, qui permet aux clients et opérateurs d’acheminer le trafic vers leurs réseaux cœurs ou datacenters via de grands sites de colocation, pour un déploiement plus rapide que des circuits privés traditionnels.
Amazon résume ainsi son approche du privé‑à‑privé : « Direct to AWS (D2A) » et « Private Network Interconnect (PNI) » ouvrent la voie à des liaisons dédiées, alignées sur les besoins des environnements critiques et distribués.
Source : TechPowerUp
Intel préparerait un saut majeur côté IA sur desktop : d’après un nouveau leak, Core Ultra 400 « Nova Lake-S » passerait à un NPU6 autour de 74 TOPS, soit plus de cinq fois la cadence d’Arrow Lake.
Le Leaker Jaykihn avance que les CPU desktop Nova Lake-S combineraient un iGPU Xe3-LPG à deux cœurs et un bloc NPU6. Cela recoupe des éléments graphiques évoqués la semaine dernière et apporte un premier cadrage clair côté NPU pour la série desktop.
Selon ces informations, Intel réutiliserait l’architecture Xe3-LPG prévue pour Panther Lake et Wildcat Lake, plutôt que le cœur Xe3P de la gamme data center Crescent Island. Jaykihn précise la variante « 2x Xe3 » et parle d’un « déclassement » face aux quatre cœurs iGPU sur certaines générations desktop actuelles, même s’il faut rappeler que Xe3-LPG avec XMX devrait rester beaucoup plus rapide que Xe-LPG présent sur Arrow Lake.

C’est surtout le NPU qui marquerait la rupture. Arrow Lake et Arrow Lake Refresh s’appuient sur NPU3, annoncé autour de 13 TOPS INT8 sur desktop. Jaykihn indique que Nova Lake-S passerait directement à NPU6, en sautant NPU5.

La cible évoquée avoisinerait 74 TOPS, soit environ 5,6 fois le débit brut d’Arrow Lake-S. « Nova Lake-S passe à NPU6 » résume le leaker, une bascule qui alignerait le desktop sur la même génération que le mobile, et non plus avec un cycle de retard.
NVL-S ships with NPU6 at 74 TOPS, a three-generation uplift from the 13 TOPS of ARL-S.
— Jaykihn (@jaykihn0) November 24, 2025
The iGPU is comprised of 2 Xe3-LPG cores, a regression in core count from the 4 in ARL-S.
La trajectoire récente côté IA client chez Intel s’accélère. Meteor Lake a introduit NPU3 jusqu’à 11,5 TOPS en mobile, Arrow Lake a repris ce bloc à fréquence plus élevée pour atteindre environ 13 TOPS sur desktop. Le tout récent Panther Lake doit embarquer NPU5 jusqu’à 50 TOPS, un léger mieux par rapport à NPU4 de Lunar Lake, Intel soulignant que cette 5e génération privilégie le TOPS/zone et l’optimisation pour de nouveaux workloads.


Si Nova Lake-S adopte bien NPU6 avec un objectif d’environ 74 TOPS et l’iGPU Xe3-LPG, il semblerait que la prochaine plateforme desktop rejoigne directement la génération NPU du mobile. Reste à voir si Intel officialisera rapidement ces choix techniques sur Nova Lake-S et comment se positionnera l’iGPU 2x Xe3 face aux configurations à 4 cœurs des séries actuelles.
Source : VideoCardz




Trois slots PCIe 5.0, un BIOS 64 Mo et un duo 10 GbE + 5 GbE : la MSI MEG X870E ACE MAX se profile comme le rafraîchissement ambitieux de la plateforme X870E d’AMD, juste sous la GODLIKE.
La fiche technique complète, apparue en Chine, détaille une carte « Refresh » AM5 avec trois emplacements d’extension PCIe 5.0 (x16, x8, x4) et deux M.2 PCIe 5.0 x4, épaulés par trois slots PCIe 4.0 x4 et quatre ports SATA III. Côté alimentation, on trouve un étage de puissance 18+2+1 en SPS DrMOS. La mémoire passe par quatre emplacements DDR5 UDIMM avec prise en charge de l’overclocking jusqu’à 8400+ MT/s.
Le panneau arrière aligne deux USB4 40 Gbit/s en Type‑C, un point notable sur ce segment. Pour le réseau, MSI combine 10 GbE (Marvell AQC) et 5 GbE (Realtek), plus un module Wi‑Fi 7 320 MHz. L’audio s’appuie sur une carte son USB et une puce ESS DAC. Il faut dire que l’ensemble vise un usage haut de gamme, même si la carte reste sous la GODLIKE dans la hiérarchie MSI.

Petite subtilité : les CPU AM5 exposent jusqu’à 24 lignes PCIe 5.0, alors que cette configuration en exigerait au moins 28, sans compter le contrôleur USB4 ASM4242. La carte recourt donc au multiplexage de lignes PCIe pour partager la bande passante entre certains liens Gen5 et périphériques. Rien d’étonnant sur une telle densité d’E/S.
MSI met en avant un BIOS de 64 Mo sur ses séries MAX et EVO, déjà visible sur certaines MAG Tomahawk tandis que les EVO arrivent. Le constructeur relie cette capacité supplémentaire à des « mises à niveau de CPU de niveau supérieur », une formulation qui laisse entendre un support de futurs processeurs sans citer directement les Ryzen 10000. D’après les communications estivales de MSI, l’espace accru sert à loger des fonctions firmware, dont des pilotes réseau intégrés pour une mise en ligne immédiate.

MSI rejoint ainsi GIGABYTE, dont quelques modèles X870 et B850 exploitent aussi un ROM de 64 Mo pour un « Driver BIOS » stockant Wi‑Fi et pilotes réseau. Comme le résume le positionnement de MSI, le ROM élargi doit à la fois héberger ces pilotes et laisser de la marge pour le support multi‑générations des CPU AM5. Reste à voir si les utilisateurs privilégieront l’ergonomie des pilotes embarqués ou l’assurance d’une compatibilité CPU étendue.
À noter enfin une précision de contexte publiée par VideoCardz : « le ROM plus grand doit servir deux rôles à la fois », confirmant l’orientation pratique de ce choix de BIOS.
Source : VideoCardz