Ce serait cool si on pouvait réunir les Avengers des LLMs pour les faire bosser ensemble sur de la recherche de faille de sécurité ? OpenAI, Anthropic, X.AI et Meta ensemble contre les forces du mal, c’est maintenant possible avec
Deep Eye
, un super scanner de vulnérabilités qui transforme les quatre IA rivales en équipe de pentesteurs. Vous allez voir, c’est assez génial !
Deep Eye, c’est donc un outil Python open source qui scanne les sites web et les API pour trouver des vulnérabilités. SQL injection, XSS, command injection, SSRF, path traversal, authentication bypass, au total y’a plus de 45 méthodes d’attaque automatisées. Vous lui indiquez une URL, et il teste tout en switchant entre les services d’IA selon le contexte.
Dans le contexte d’un pentest légitime, Deep Eye a même trouvé comment parler aux IA pour qu’elles acceptent de pondre du code un peu sensible. Et ça tombe bien car chaque IA a ses forces et ses faiblesses. GPT-4 par exemple excelle sur les payloads créatifs et les contournements de filtres. Claude lui est plus méthodique, et capable de mieux analyser le contexte et de génèrer des attaques adaptées au framework détecté. LLAMA en local quand à lui est rapide et ne coûte rien en appels API. Et Grok ? Bah il a le mérite d’être dispo même s’il est loin d’être le meilleur.
Deep Eye en tout cas est capable des les utiliser toutes selon la situation. Pour l’installer, ça se passe en 3 commandes :
Vous installez ça comme ceci :
git clone https://github.com/zakirkun/deep-eye.git
cd deep-eye
Puis sous Windows :
cd scripts
./install.ps1
Ou sous macOS / Linux :
chmod +x scripts/install.sh
cd scripts
./install.sh
Ensuite, vous n’avez plus qu’à configurer vos clés API dans config/config.yaml puis à le lancer comme ceci avec Python :
python deep_eye.py -u https://example.com
Et c’est parti pour le scan ! Il commencera par de la reconnaissance passive, énumèrera les DNS, découvrira les sous-domaines, testera les fameuses 45 méthodes d’attaque, génèrera les payloads avec les IA, et vous sortira un rapport incroyable (ou pas) en PDF, HTML ou JSON.
Bien sûr, Deep Eye est conçu pour des tests de sécurité autorisés uniquement donc utilisez le uniquement sur vos propres systèmes, ou sur des systèmes pour lesquels vous avez une autorisation d’agir écrite car vous le savez, scanner un site sans permission, c’est illégal !!!
Bref, ça ne remplace pas encore de vrais pentesters mais ça peut permettre de faire un peu d’analyse en amont histoire de voir où on met les pieds.
Utiliser un VPN solide, en 2025, n’est plus l’apanage de l’admin-parano ou du téléchargeur du dimanche. Avec l’explosion de la surveillance commerciale, la multiplication des tentatives de phishing, sans oublier la géographie des contenus online toujours plus segmentée, le VPN relève désormais du kit de survie numérique. Et je ne parle pas d’un kit d’urgence à la con tout pourrit en mode gouvernement français 2025. Surfshark, dans ce paysage saturé, a tiré son épingle du jeu en multipliant les fonctionnalités de protection tout en accélérant la connectivité et en simplifiant l’accès à l’anonymat. Le tout en restant l’un des moins chers du marché.
Les grandes forces de Surfshark VPN
Puisqu’il faut toujours rappeler les bases pour savoir de quoi l’on parle, voici en quelques points :
Chiffrement de niveau militaire (AES-256, ChaCha20) pour assurer la confidentialité totale : vos données restent incompréhensibles sans la clé, même en cas d’interception.
Kill Switch : internet coupé automatiquement si le VPN décroche. Pas de fuites accidentelles, on évite d’aller placarder involontairement l’IP ou les habitudes de navigation.
Mode Camouflage : même votre FAI ne sait pas ce que vous faites avec votre VPN, utile face à la censure et dans certains pays restrictifs.
Connexion illimitée sur tous les appareils ; pas de limite familière à 5 ou 7 slots, tout le foyer peut se connecter sans surcoût.
No Log, audit indépendant, CleanWeb, split tunneling, MultiHop, etc. — liste longue comme le bras, aucune collecte d’activité persistante vérifiée par des audits externes ; Surfshark ajoute même des outils pour gérer l’identité en ligne (
Alternative ID
) ou supprimer ses traces sur le web (Incogni).
L’initiative VPN Trust Initiative (VTI) : redéfinir la confiance
Protéger les données, c’est bien ; prouver qu’on le fait, c’est mieux ! Les scandales récurrents dans l’industrie du VPN (fuites, ventes de logs) ont mené à la création de la VPN Trust Initiative. Cette alliance des principaux fournisseurs (
dont Surfshark
, NordVPN, ExpressVPN, etc.) vise à poser des normes techniques et éthiques claires autour de 5 piliers : sécurité, confidentialité, pratiques publicitaires, transparence et responsabilité sociale.
Pour les utilisateurs, le label VPN Trust Seal fonctionne comme un repère : il atteste qu’un service respecte une charte, limite les logs à l’indispensable, utilise du chiffrement sérieux, ne fait pas de promesses mensongères et agit dans l’intérêt de l’utilisateur. Cette labellisation favorise la confiance, démystifie l’industrie, et pousse tous les acteurs vers une transparence attendue.
Sous prétexte de protéger la sécurité ou l’ordre public, de nombreux gouvernements pressent pour créer des portes dérobées ou affaiblir le chiffrement — et ça, Surfshark, épaulé par la VTI, s’y oppose frontalement. Pour eux, brider le chiffrement (au profit d’un accès simplifié pour les autorités), c’est ouvrir grand la porte aux cybercriminels, mettre en danger la vie privée de tous, et piétiner la sécurité même des États et entreprises.
La défense de l’AES-256 et du chiffrement de bout en bout n’a donc rien d’une posture marketing, c’est la garantie minimale contre l’interception de masse et le piratage industriel. Sans chiffrement fort, VPN ou pas, nul n’est à l’abri de la compromission de ses données bancaires, médicales ou stratégiques.
Le futur des VPN, entre IA et résistance au quantique
Seulement, le secteur VPN ne s’arrête pas à la stricte confidentialité du surf. Face à l’avènement de l’internet quantique, des IA prédictives, et d’une segmentation toujours plus poussée des usages, Surfshark imagine déjà la suite : chiffrement post-quantique, routage dynamique et IA anti-censure sont sur la feuille de route. L’objectif : un service adaptatif, capable de rester invisible même sous surveillance avancée, tout en conservant le confort utilisateur (débits constants, streaming instantané…). À eux de nous montrer qu’il ne s’agit pas que de buzzwords, mais qu’il y a quelque chose derrière.
On assiste à l’émergence de « super VPN » capables de mixer anonymat, suppression d’empreinte numérique et gestion automatisée d’identités virtuelles. Chez Surfshark, le réseau Nexus (routage dynamique) ou la toute nouvelle
solution FastTrack
posent déjà les premiers jalons d’une défense active, plutôt que réactive.
En somme, un VPN n’est plus juste un « tunnel chiffré », mais la pierre angulaire d’une vie numérique digne de ce nom. Et autant qu’elle soit guidée par des standards de confiance stricts, un refus catégorique des compromissions sur le chiffrement, et une vision claire du futur de la confidentialité. VTI, audits, innovations : à l’ère des menaces structurelles et de la surveillance tous azimuts, ce sont ces signaux qu’il faut traquer, bien plus qu’un effet d’annonce ou une promo temporaire.
Et vous pouvez avoir tout ça durant** 27 mois (abo 2 ans + 3 mois gratuits) pour moins de 65€ TTC** ! Presque 2026 et vous pouvez encore disposer d’un VPN parmi les meilleurs pour moins de 2.4€/mois. Avec toujours la garantie satisfait ou remboursé sur 30 jours et la possibilité de payer en cryptomonnaies pour un peu plus d’anonymat (un peu j’ai dit, ne vous emballez pas trop).
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Quand ASUS sort une carte mère « Apex » dédiée à AMD, ce n’est pas juste un choix d’ingénierie. C’est un virage stratégique, presque une confession silencieuse : après huit longues années de fidélité exclusive à Intel, le géant taïwanais se résout à suivre la réalité du marché. Car aujourd’hui, ce n’est plus AMD qui court après Intel. C’est l’inverse.
Cette fameuse ROG Crosshair X870E Apex, c’est bien plus qu’un produit haut de gamme : c’est le drapeau planté au sommet d’un nouveau royaume. Il suffit de regarder les troupes qui l’entourent pour comprendre. MSI, ASRock, Gigabyte… Tous les gros calibres dégainent leurs vaisseaux amiraux sur socket AM5 : MEG X870E Godlike, Taichi OCF, X870 AORUS TACHYON… Autant de noms autrefois réservés au camp bleu, et qui basculent désormais dans le rouge.
Ce transfert d’allégeance n’a rien de sentimental. Il est froid, calculé, guidé par les courbes de ventes. Quand la balance du marché penche de 9:1 pour Intel à 2:1 en faveur d’AMD, il ne faut pas être devin pour comprendre où l’industrie met ses jetons. Les Ryzen explosent les compteurs, pendant que les Core Ultra patinent. Alors les fabricants suivent la musique. Et celle-ci joue désormais en rouge.
Il faut dire qu’AMD ne leur laisse pas beaucoup de choix. Pendant qu’Intel tâtonne avec ses Core Ultra 200S et ses performances en demi-teinte, AMD aligne les bons coups : Ryzen 9000 à 7,5 GHz, technologie X3D toujours aussi redoutable, et surtout, un sérieux coup de boost côté overclocking.
Proposée à 669 €, cette Apex ne fait pas dans la demi-mesure. Deux slots mémoire ultra-courts pour optimiser les signaux, VRM 18+2+2 phases calibré pour les séances à -196°C, un ventilateur mémoire inclus pour garder les barrettes au frais, et ce sens du détail chirurgical qui fait la réputation des Apex.
Aujourd’hui, pour qui veut une machine sans compromis, la réponse ne vient plus automatiquement d’Intel. AMD est devenu la nouvelle référence. Une position qu’on n’aurait jamais imaginée dix ans plus tôt, mais que même les plus fidèles constructeurs doivent désormais reconnaître. Alors, cette Crosshair X870E Apex est-elle le fer de lance d’une ère AMD triomphante ? ASUS a-t-il eu raison de miser sur le rouge, enfin ? Réponse dans notre test complet, benchmarks à l’appui.
Unboxing de la ROG Crosshair X870E Apex
ASUS soigne toujours la première impression, et cette Crosshair X870E Apex ne déroge pas à la règle. La boîte reprend l’ADN visuel de la gamme ROG : fond noir mat, touches rouges, logo Republic of Gamers en surimpression et, surtout, un énorme marquage X870E en orange métallisé qui attire instantanément l’œil.
Au dos de l’emballage, le constructeur détaille les principales caractéristiques de la carte mère à grands renforts de visuels techniques : support PCIe 5.0, gestion avancée de la mémoire DDR5, kit de refroidissement additionnel… Tout est pensé pour que l’acheteur sache exactement dans quelle catégorie haut de gamme il met les pieds.
Une fois le coffret ouvert, la présentation est impeccable. La carte mère trône au premier plan, protégée par un calage rigide, tandis que les accessoires sont soigneusement rangés dans des compartiments dédiés. Un packaging qui respire autant la qualité que le souci du détail.
ASUS n’a pas lésiné sur le bundle de l’Apex. Certes, on n’atteint pas le niveau pharaonique de la X870E Extreme, mais l’approche est différente : moins de gadgets, plus d’outils concrets.
Dans le détail, on retrouve :
ROG DIMM.2 avec dissipateur thermique
1 module DIMM.2 habillé d’un radiateur métallique,
1 pad thermique supplémentaire,
2 kits de vis pour SSD M.2.
Kit de refroidissement additionnel
1 ventilateur mémoire ROG (Memory Fan Kit), livré dans son carénage dédié.
Accessoires pratiques
1 antenne WiFi Q-Antenna pour une meilleure réception sans fil,
1 Q-connector pour simplifier le câblage du panneau avant,
3 kits M.2 Q-Slide pour un montage rapide,
3 packs de pads en caoutchouc pour SSD M.2.
Goodies ROG
1 planche de stickers ROG,
1 carte de remerciement personnalisée,
1 décapsuleur en métal siglé ROG.
Support logiciel et documentation
1 clé USB regroupant pilotes et utilitaires,
1 guide de démarrage rapide.
Un lot généreux, qui illustre bien la philosophie d’ASUS : donner au joueur et à l’overclocker tout ce qu’il faut pour monter une configuration haut de gamme dans les meilleures conditions, tout en y ajoutant la petite touche ROG qui renforce le sentiment d’appartenance à une communauté.
Spécifications Asus ROG Crosshair X870E Apex
Composant
Spécifications
Support CPU
AMD Socket AM5 Ryzen 7000, 9000
Conception d’Alimentation
Alimentation CPU : 18 phases
Alimentation SOC : 2 phases
Alimentation MISC : 2 phases
Chipset
AMD X870E
Graphiques Intégrés
Pris en charge :
1x HDMI
2x DisplayPort via USB-C
Mémoire
2x DIMM, Support jusqu’à 128 GB
2x Single Rank DDR5-9600 (OC)
BIOS
256 Mbit AMI UEFI
Slots d’Extension
2x PCIe Gen 5 x16 slot (x16, x8/x8, x8/x4/x4)
1x PCIe Gen 4 x4 slot
1x PCIe Gen 3 x1 slot
Stockage
4x SATA 6 Gb/s
1x Slim SAS PCIe Gen 4 (x4)
3x M.2 (PCIe Gen 5 x4)
2x M.2 (PCIe Gen 4 x4) (via DIMM.2)
Réseau
1x Realtek RTL8126 5 Gbps Ethernet
1x MediaTek MT7927 Wi-Fi 7
Ports Arrière
Bouton BIOS Flashback
Bouton CMOS Clear
1x 5 Gbps Ethernet
1x port HDMI
2x USB4 40 Gbps (Type-C)
5x USB 3.2 Gen 2 10 Gbps (Type-A)
1x USB 3.2 Gen 2 10 Gbps (Type-C)
2x USB 3.0 (Type-A)
1x port combo PS/2
2x connecteurs d’antenne Wi-Fi
2x prises audio
1x port Optical S/PDIF Out
Audio
1x Codec Realtek ALC4082
Connecteurs Ventilateur/Thermistance
9x 4-pin / 3 (deux via DIMM.2)
Format
Format ATX 12.0 x 9.6 pouces / 30.5 x 24.4 cm
Fonctionnalités Exclusives
M.2 Q-Latch
M.2 Q-Release
M.2 Q-Slide
Q-Antenna
ROG Q-DIMM.2
PCIe Slot Q-Release Slim
Design et présentation générale de la ROG Crosshair X870E Apex
La ROG Crosshair X870E Apex pose immédiatement le ton : un design noir profond ponctué d’accents métalliques et de sérigraphies argentées, fidèle à l’ADN Republic of Gamers.
Sur la face avant, les lignes tranchées et les découpes diagonales donnent une impression de puissance brute, tandis que des inserts RGB subtilement intégrés viennent réveiller l’ensemble sans tomber dans l’excès.
Le haut du PCB est dominé par un imposant système de refroidissement en L, couvrant les étages d’alimentation. Les ailettes sont soigneusement usinées avec des découpes horizontales et obliques pour maximiser la dissipation thermique, et un caloduc interne relie les différents blocs afin d’équilibrer la chaleur sur toute la surface.
À l’arrière, la carte est entièrement protégée par une backplate métallique, une prémiere sur une carte APEX récente. Non seulement elle rigidifie la structure, mais elle participe aussi à la gestion thermique grâce à des pads thermiques placés stratégiquement derrière les zones les plus sollicitées : VRM, contrôleur réseau et chipset.
L’ensemble est marqué d’un large lettrage APEX et de l’œil ROG en surimpression, preuve que l’esthétique n’est jamais négligée chez ASUS. En clair, la carte impose immédiatement sa personnalité : robuste, pensée pour l’overclocking et taillée pour les configurations extrêmes.
Chipset X870E & Socket AM5
Au cœur de la ROG Crosshair X870E Apex, on retrouve le socket AM5, dernière génération de plateforme AMD. Conçu pour durer, il est prêt à accueillir aussi bien les processeurs Ryzen 7000, que les Ryzen 8000 et Ryzen 9000, dont le très attendu Ryzen 9 9950X3D.
Avec ce socket, ASUS assure un support matériel à la pointe : compatibilité native avec la mémoire DDR5, gestion complète de l’overclocking et prise en charge du PCIe 5.0 sur tous les points stratégiques du système (GPU et stockage). Une base solide qui prépare la carte à évoluer avec les générations de CPU à venir.
L’interconnexion avec le double chipset X870E se fait via un bus PCIe 4.0, garantissant une bande passante massive pour alimenter toutes les lignes d’extension et périphériques.
En clair, l’Apex n’est pas une simple carte mère taillée pour l’immédiat : elle s’inscrit dans la durée, en offrant une compatibilité étendue et des marges de manœuvre pour les passionnés comme pour les overclockers.
pour découvrir en détail les spécifications des chipsets AMD sur socket AM5, comprendre leurs différences concrètes et choisir le modèle le plus adapté à votre configuration, consultez notre guide complet !
BIOS : une boîte à outils pour les passionnés
L’UEFI de la Crosshair X870E Apex reste fidèle au style ROG : une interface rouge et noire, désormais en haute définition, qui regroupe tous les réglages imaginables pour les amateurs d’overclocking.
Le menu Extreme Tweaker concentre l’essentiel : réglages de fréquences et de tensions, avec la possibilité de gérer le CPU en global ou par CCX. On y retrouve le Dynamic OC Switcher, qui bascule automatiquement entre un profil all-core et les fréquences boost via PBO, ainsi que des outils pratiques comme le réglage de cTDP ou la limitation thermique à 70, 80 ou 90 °C.
La mémoire profite d’un traitement tout aussi poussé : support EXPO, XMP et profils ASUS AEMP, gestion fine des timings, choix du ratio IMC (1:1 ou 1:2), et même des profils pré-optimisés selon les puces DRAM. Le BIOS propose aussi le DOCP Tweaked et le DOCP on the fly, permettant d’ajuster en direct la fréquence depuis Windows via logiciel.
Pour l’alimentation, le sous-menu Digi+ VRM offre une granularité complète : gestion de l’anti-vdroop, des seuils de courant et des réponses dynamiques des étages d’alimentation. Le Tweaker’s Paradise regroupe les options les plus pointues, tandis que la fonction Core Flex introduit la possibilité de définir ses propres règles de comportement en fonction de la température, du courant ou de la tension avec des presets spécifiques pour les processeurs X3D orientés gaming.
Les menus Advanced et Monitor complètent l’ensemble avec l’accès aux paramètres PBO, PBS, CBS natifs d’AMD, aux réglages des périphériques intégrés (PCIe, SATA, audio, réseau) et à la personnalisation complète des ventilateurs via Q-Fan, y compris l’arrêt total en mode DC.
Enfin, le menu Tools rassemble les utilitaires pratiques : EZ Flash 3 pour mettre à jour le BIOS, l’outil SPD pour la mémoire, la sauvegarde jusqu’à 8 profils utilisateur exportables sur clé USB, et désormais le Q-Dashboard, qui affiche en temps réel l’état des composants détectés et permet de basculer directement vers leurs réglages.
En résumé, le BIOS de l’Apex reste une référence : complet, dense, parfois complexe, mais pensé pour offrir un contrôle total aux utilisateurs avertis.
Alimentation, VRMS, PCB et Refroidissement
Côté alimentation, ASUS n’a pas fait dans la demi-mesure. La carte adopte un VRM robuste en configuration 18+2+2 phases :
18 phases principales dédiées au CPU, chacune équipée de MOSFET SiC850A 110A pour une gestion optimale de la puissance,
2 phases SOC pour l’alimentation du contrôleur intégré,
2 phases supplémentaires (Misc) dédiées aux autres composants de la carte, gérées par des MOSFET SiC629 50A,
Le tout orchestré par un contrôleur VRM custom ASP2205, épaulé par un RT3672JE pour la gestion secondaire.
L’ensemble est alimenté par deux connecteurs 8 pins renforcés, assurant une réserve d’énergie suffisante pour les overclockings les plus extrêmes et garantissant une tension stable même sous les charges les plus importantes.
Refroidissement L-shaped et gestion thermique
Le refroidissement est assuré par deux imposants radiateurs en forme de L, reliés entre eux par un heatpipe afin d’équilibrer la charge thermique.
Les ailettes sont usinées avec des découpes horizontales et obliques pour maximiser la surface d’échange, tandis qu’une partie du volume intègre un diffuseur translucide laissant passer l’éclairage RGB.
La grande nouveauté par rapport aux générations Apex précédentes est l’ajout d’une backplate métallique. Celle-ci ne se limite pas à rigidifier le PCB : elle est équipée de pads thermiques derrière les banques de VRM, contribuant activement à dissiper la chaleur.
Contrairement à la Crosshair Extreme, les chipsets n’y sont pas couverts, mais la conception permet tout de même d’abaisser sensiblement la température globale des étages d’alimentation.
Performances thermiques
En charge lourde avec un Ryzen 9 9950X3D à fréquence poussée, les VRM plafonnent à 63°C après 30 minutes d’OCCT, une valeur qui témoigne de l’efficacité du système malgré un TDP conséquent et des conditons defvavorable ( sans ventilation boitier).
À titre de comparaison, certaines cartes testées avec un Ryzen 9 9900X moins gourmand affichaient des températures équivalentes, preuve que l’Apex gère parfaitement les contraintes.
ASMedia ASM4242 USB4
Sous le carénage I/O, ASUS a intégré un dissipateur dédié au contrôleur ASMedia ASM4242, chargé des deux ports USB4. Ce chip est certifié Thunderbolt 4, mais ASUS communique uniquement sur l’USB4. Une nuance de présentation, car dans les faits, il offre la même compatibilité, avec support du DisplayPort 1.4a et des débits jusqu’à 40 Gbps.
PCIe 5.0 : un slot x16 optimisé pour les records
La ROG Crosshair X870E Apex intègre deux slots PCIe 5.0 x16 renforcés, dotés du système Q-Release Slim qui facilite le retrait des cartes graphiques sans bouton. Asus a également supprimé le cerclage métallique susceptible d’abîmer les GPU lors de l’insertion. Un détail, certes, mais qui compte.
Comme toujours avec la gamme Apex, la philosophie est claire : privilégier la performance en mono GPU plutôt que la multiplication des cartes.
Au dos, quatre circuits redriver Phison PS7101 améliorent la compatibilité de la transmission de signaux à haute vitesse entre le CPU et les périphériques PCIe 5.0.
Phison PS7101
Avec les processeurs Ryzen 9000 et 7000, plusieurs configurations sont possibles :
en mode standard, le slot principal fonctionne en x16 plein,
utilisé avec le second, ils passent en x8/x8,
si l’on active uniquement le slot M.2_2 (sans M.2_3), le premier slot tombe à x8, et le second est désactivé,
si l’on active uniquement M.2_3 (sans M.2_2), le premier passe en x8, le second en x4,
enfin, avec M.2_2 et M.2_3 activés simultanément, le premier reste en x8, mais le second est désactivé.
Avec les processeurs Ryzen 8000, la situation change : les deux slots descendent en PCIe 4.0, et seul le premier est actif en x8 maximum, le second étant désactivé. Quant aux modèles plus accessibles (8500, 8300), ils limitent encore davantage le premier slot à x4 seulement, avec toujours un second slot désactivé.
Le chipset X870E ajoute deux slots supplémentaires pour accueillir des cartes d’extension secondaires (réseau, carte son, etc.). :
1 x PCIe 4.0 x4,
1 x PCIe 3.0 x1,
En clair, la Crosshair X870E Apex met tout en œuvre pour maximiser la bande passante avec les CPU haut de gamme, mais elle impose aussi des compromis dès qu’on exploite certains emplacements M.2. Comme toujours avec l’APEX, l’approche est radicale : un GPU, un CPU, et la stabilité avant tout.
Mémoire DDR5 : l’APEX pousse encore plus loin
La philosophie APEX ne change pas : seulement deux emplacements DIMM, mais optimisés à l’extrême. Ce choix volontaire réduit les interférences et garantit une intégrité du signal bien supérieure aux cartes quatre slots, ouvrant la voie à des fréquences DDR5 élevées. ASUS annonce un support jusqu’à 128 Go de mémoire DDR5 (ECC et non-ECC, unbuffered), en double canal, avec compatibilité EXPO et AEMP.
Côté vitesses, tout dépend du processeur utilisé :
jusqu’à 8200+ MT/s (OC) avec les Ryzen 9000,
jusqu’à 9600+ MT/s (OC) avec les Ryzen 8000,
et jusqu’à 8000+ MT/s (OC) avec les Ryzen 7000.
Ces chiffres montrent bien que l’IMC (Integrated Memory Controller) reste un facteur clé : la carte fournit l’environnement idéal, mais c’est le CPU qui dicte les limites. Aujourd’hui encore, les records DDR5 sur plateforme AMD sont atteints avec les Ryzen 8000, et non les Ryzen 9000.
Pour maximiser la stabilité, ASUS fournit un ventilateur mémoire ROG spécifique. Installé sur le radiateur du chipset et du premier slot M.2, ce module de 60 mm souffle directement sur les barrettes.
À 2000 tr/min, il offre un gain thermique appréciable sans bruit perceptible, de quoi sécuriser les sessions d’overclocking intensif.
En clair, la Crosshair X870E APEX ne se contente pas d’annoncer des chiffres spectaculaires : elle propose une conception mémoire optimisée et des outils de refroidissement dédiés, capables de repousser les limites tant que le processeur suit.
Stockage : 5 x M.2, 4 SATA, RAID complet
La ROG Crosshair X870E Apex supporte un total de 5 emplacements M.2 et 4 ports SATA 6 Gb/s, avec une gestion RAID via AMD RAIDXpert2.
ROG Crosshair X870E Apex : 4 ports SATA 6 Gb/s
Emplacements M.2 avec Ryzen 9000 & 7000
M.2_1 : PCIe 5.0 x4 (2242/2260/2280)
M.2_2 : PCIe 5.0 x4 (2242/2260/2280)
M.2_3 : PCIe 5.0 x4 (2242/2260/2280)
DIMM.2_1 : PCIe 4.0 x4 (2230 à 22110)
DIMM.2_2 : PCIe 4.0 x4 (2230 à 22110)
Crosshair X870E Apex 3 SSD PCIe Gen5
Cette configuration permet de combiner jusqu’à 3 SSD PCIe Gen5, mais leur activation a un impact sur la répartition des lignes PCIe. Utiliser M.2_2 ou M.2_3 force le premier slot graphique à fonctionner en x8, et active/désactive le second slot selon la configuration. Avec les deux emplacements utilisés simultanément, le GPU reste limité à x8 et le second slot PCIe est désactivé. En pratique, cela ne pénalise pas vraiment une carte graphique moderne, mais réduit fortement la flexibilité pour ceux qui comptent exploiter le second slot pour d’autres cartes d’extension.
Emplacements M.2 avec Ryzen 8000
M.2_1 : PCIe 4.0 x4
M.2_2 : désactivé
M.2_3 : désactivé
DIMM.2_1 et DIMM.2_2 : PCIe 4.0 x4
On se limite donc à 3 SSD PCIe 4.0, ce qui illustre bien que le potentiel de stockage dépend directement du CPU installé.
RAID supporté
Ryzen 9000 : RAID 0/1/5/10
Ryzen 8000 : RAID 0/1
Ryzen 7000 : RAID 0/1/10
Gestion thermique et accessibilité
Les slots M.2 du PCB bénéficient de dissipateurs massifs. Celui du premier slot est tool-free, refroidissant les SSD double face par pads thermiques recto-verso.
Les deux autres Gen5, en bas du PCB, partagent un radiateur vissé avec pads thermiques recto-verso, imposant le retrait de la carte graphique pour accéder aux SSD.
Les emplacements M.2 profitent des innovations Q-Design qui simplifient grandement la vie. Le M.2 Q-Release permet de retirer facilement un dissipateur sans outil, le M.2 Q-Slide facilite l’installation du SSD en le maintenant d’un simple clip, et le nouveau M.2 Q-Latch remplace définitivement la vis traditionnelle par un système de verrouillage rapide. Des détails qui, dans la pratique, font gagner du temps et évitent les manipulations délicates, surtout lorsqu’on multiplie les SSD Gen5.
Le module ROG DIMM.2 est plus simple que celui livré avec la Crosshair Extreme : dissipateur vissé et non tool-free, mais toujours deux headers thermiques. Son avantage est d’être facile d’accès et idéalement positionné pour profiter du flux d’air du ventilateur mémoire, réduisant la température des SSD d’environ 10°C.
En résumé, la Crosshair X870E Apex propose un stockage d’exception avec jusqu’à 5 SSD M.2, dont 3 en PCIe Gen5, mais il faudra tenir compte des limitations liées au processeur et aux slots PCIe.
USB4 : un arsenal généreux
La ROG Crosshair X870E Apex propose une connectique USB parmi les plus complètes du marché. À l’arrière, on compte 10 ports :
2 x USB4 40 Gbps (Type-C), offrant aussi la prise en charge de la sortie vidéo DisplayPort 1.4a jusqu’en 4K 60 Hz (fonction dépendante du processeur),
6 x USB 3.2 Gen2 10 Gbps (5 x Type-A + 1 x Type-C),
2 x USB 3.2 Gen1 5 Gbps (Type-A).
En interne, la carte met à disposition jusqu’à 10 ports supplémentaires via ses headers :
1 x USB 3.2 Gen2x2 20 Gbps Type-C avec prise en charge du Power Delivery jusqu’à 60 W (20V/3A, PPS 3.3–21V/3A) et QC4+,
1 x USB 3.2 Gen2x2 20 Gbps Type-C supplémentaire,
2 headers USB 3.2 Gen1 5 Gbps (jusqu’à 4 ports),
2 headers USB 2.0 (jusqu’à 4 ports).
Pour sécuriser l’alimentation du port USB-C avant haute puissance, ASUS a prévu un connecteur PCIe 8 pins dédié. Au total, la carte peut donc proposer 20 ports USB, dont plusieurs en très haut débit, tout en assurant une polyvalence rare avec ses ports USB4 capables de gérer vidéo et données.
Overclocking : un PCB pensé pour les extrêmes
L’Apex a toujours été la vitrine d’ASUS pour l’overclocking, et cette X870E ne déroge pas à la règle. Le PCB concentre une batterie d’outils matériels qui transforment chaque session de tuning en terrain de jeu contrôlé.
On retrouve bien sûr le bouton Start pour alimenter la carte directement sur un banc de test, mais aussi le FlexKey, configurable dans le BIOS : par défaut en Reset, il peut être affecté à une autre tâche selon les besoins. Le Safe Boot évite la corvée du Clear CMOS en redémarrant avec des paramètres stables, même si la configuration BIOS est instable. À l’inverse, le ReTry Button force un redémarrage immédiat en cas de gel complet, une fonction précieuse en bench sous froid où chaque seconde compte.
Le switch BIOS permet de jongler entre deux profils : un réglé pour l’OC extrême, l’autre calibré pour un usage quotidien. Les modes Slow et LN2 sont aussi présents : le premier limite volontairement le CPU au boot pour stabiliser un démarrage capricieux, le second débloque les profils spécifiques aux températures négatives.
À cela s’ajoute la partie Extreme Engine Digi+, avec ses selfs en alliage MicroFine et condensateurs SMD, conçus pour encaisser des contraintes électriques extrêmes sans flancher. ASUS montre clairement ici qu’elle n’a pas seulement pensé à la puissance brute, mais aussi à la stabilité sous des conditions limites.
ASUS n’oublie pas non plus le diagnostic, avec les LED Q-Code et Q-LED qui signalent en clair l’étape où le système bloque, et les sondes ProbeIt qui autorisent des mesures de tension au multimètre. Autant de fonctions qui, combinées, permettent d’aller chercher les limites d’un processeur sans perdre du temps en manipulations fastidieuses.
En clair, si beaucoup de cartes X870E se contentent d’annoncer une alimentation musclée, l’Apex fournit aussi les outils et les accessoires pour exploiter réellement le potentiel du silicium. Le revers de la médaille ? Tout cela ne parle qu’à une minorité : les overclockers qui savent utiliser ProbeIt ou Slow Mode. Pour un joueur ou un créateur, cet arsenal restera largement sous-exploité.
Réseau : Ethernet 5G, Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4
Contrairement à la Crosshair Extreme qui intègre un contrôleur 10G, l’APEX se contente d’un Realtek RTL8126 5G Ethernet. Pour la grande majorité des utilisateurs, cette vitesse reste largement suffisante, et le compromis permet de contenir le prix face à l’Extreme.
Côté sans-fil, ASUS équipe la carte d’un module MediaTek MT7927, compatible Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4. L’APEX est livrée avec la nouvelle antenne ROG Q-Antenna, plus simple à installer et offrant une réception améliorée.
Le module est lui-même posé sur un dissipateur métallique avec pad thermique, garantissant sa stabilité même en usage intensif.
Audio et I/O : la signature ROG haut de gamme
ASUS confie la partie sonore de la Crosshair X870E Apex au codec ROG SupremeFX ALC4080, capable de gérer un son 7.1 Surround en haute définition. La solution prend en charge l’impédance des sorties casque avant et arrière, le jack-detection, le multi-streaming, ainsi que le retasking du port micro avant. Les performances sont au rendez-vous, avec une restitution en 120 dB SNR en lecture stéréo et 110 dB SNR en enregistrement, jusqu’en 32-bit / 384 kHz sur la sortie casque frontale.
Pour renforcer ce codec, ASUS ajoute un ampli Savitech SV3H712, des condensateurs audio premium et un blindage SupremeFX Shielding qui isole la section sonore du reste du PCB afin de réduire les interférences. Les sorties arrière profitent de connecteurs plaqués or pour limiter l’oxydation, complétées par un port optique S/PDIF pour les utilisateurs équipés en home-cinéma.
En pratique, le rendu sonore se veut clair et puissant, mais ASUS rappelle une limite importante : la sortie Line Out arrière ne prend pas en charge l’audio spatial. Pour en bénéficier, il faudra connecter un casque sur la sortie frontale HD Audio de votre boîtier, ou utiliser un DAC/solution USB externe.
Avec cette combinaison, codec ALC4080, ampli Savitech et isolation SupremeFX, l’APEX se positionne comme une solution audio solide pour un usage gaming et multimédia haut de gamme, tout en laissant la place à des solutions externes pour les audiophiles exigeants.
Armoury Crate
Pas d’écran LCD embarqué ici : l’Apex reste une carte mère pure et dure, sans artifice visuel. La partie logicielle repose donc sur Armoury Crate, qui centralise la gestion du RGB (Aura Sync, Aura Creator) et le contrôle des ventilateurs via Fan Xpert 4 et AI Cooling II.
ASUS fournit aussi quelques outils maison (TurboV Core, GameFirst, USB Wattage Watcher) et un an d’AIDA64 Extreme pour le monitoring avancé.
Test ROG Crosshair X870E Apex avec Ryzen 9 9950X3D
Windows 11 24H2 installé sur SSD WD Black S850X 1 To
Boîtier Kompcase Magnus II
Fréquences boost observées
La ROG Crosshair X870E Apex permet au Ryzen 9 9950X3D d’exploiter pleinement ses capacités, tout en préservant la stabilité thermique propre à cette série.
En test monocœur sous Cinebench R23, le coeur le plus performant atteint 5690 MHz, une valeur conforme aux limites fixées par AMD pour les modèles X3D, qui privilégient l’efficacité énergétique au détriment d’un léger surplus de fréquence.
En charge multicœur, la fréquence se stabilise autour de 4800 MHz, avec une consommation relevée à 200 W en mode auto.
Cinebench R23
Sous Cinebench R23, le Ryzen 9 9950X3D monté sur la ROG Crosshair X870E Apex affiche un score multicœur de 41 761 points et un score monocœur de 2115 points.
Performances SSD PCIe 5.0
Nous avons testé deux emplacements M.2 PCIe 5.0 sur la ROG Crosshair X870E Apex : le slot principal tool-free et le second slot équipé de la plaque vissée. À notre surprise, c’est cette dernière qui a offert les meilleures performances thermiques, malgré une conception plus simple.
Sous CrystalDiskMark 8.0, le MP700 PRO SE a atteint jusqu’à 14 393 Mo/s en lecture et 12 875 Mo/s en écriture sur le dissipateur vissé, contre 14 416 / 12 825 Mo/s sur le dissipateur tool-free. La différence reste minime en pratique, mais les températures parlent d’elles-mêmes : 69 °C pour la plaque vissée contre 75 °C pour le modèle tool-free, après plusieurs boucles de test consécutives.
Cette variation s’explique probablement par la pression de contact plus homogène qu’assure la fixation mécanique. Le système tool-free, plus pratique, maintient le SSD de manière efficace, mais la pression exercée sur le pad thermique reste légèrement inférieure, ce qui peut réduire la qualité du transfert de chaleur. Dans les deux cas, aucun throttling n’a été observé, preuve de la maîtrise thermique d’ASUS sur les SSD PCIe 5.0 haut de gamme.
À titre de comparaison, le même SSD installé sur la MSI MEG X870E Godlike a enregistré 10 478 Mo/s en écriture et une température de 80 °C, malgré le refroidissement M.2 Shield Frozr. Cette différence d’environ 2 000 Mo/s en écriture illustre l’efficacité du système thermique mieux calibré de l’Apex.
AIDA64 : Cache & Mémoire DDR5
Avec le Ryzen 9 9950X3D et un kit DDR5-6000 CL30, la ROG Crosshair X870E Apex affiche sous AIDA64 des débits de 77 017 MB/s en lecture, 81 239 MB/s en écriture et 71 846 MB/s en copie, pour une latence mesurée à 79,4 ns.
Les résultats sont cohérents avec la moyenne observée sur d’autres cartes X870E testées avec la même mémoire, sans être exceptionnels ni en retrait.
Overclocking mémoire DDR5
En overclocking mémoire, nous avons atteint une fréquence stable de DDR5-8000 CL34 sur la ROG Crosshair X870E Apex, avec des timings 34-48-48-38 CR1 validés sous AIDA64 et ZenTimings. Les débits mesurés atteignent 95 177 MB/s en lecture, 102 140 MB/s en écriture et 90 904 MB/s en copie, pour une latence de 68,3 ns, soit un net avantage par rapport au profil 6000 EXPO de base.
À cette fréquence, le ratio mémoire est en 1:2 (MCLK = 4000 MHz / UCLK = 2000 MHz), ce qui correspond au fonctionnement typique des processeurs Ryzen 9000 au-delà de DDR5-6400. La stabilité reste excellente, mais nous n’avons pas pu dépasser DDR5-8000, malgré des tensions de 1,55 V (DRAM) et 1,25 V (SOC).
Comme souvent sur les processeurs Ryzen 9000, la limite d’overclocking mémoire se situe généralement autour de 8600 MHz, une vitesse qui correspond surtout aux kits non binaires (2 x 24 Go) basés sur des puces M-die (3 Go par puce). La carte mère n’est donc pas seule en cause : la stabilité dépend également du CPU et du type de mémoire utilisé.
Avec un overclocking automatique via PBO activé dans le BIOS, le score multicœur est monté à 44 500 points, soit un gain d’environ 6,5 %.
L’amélioration reste modérée mais parfaitement respectable, surtout avec un CPU X3D et les contraintes thermiques qu’impose cette architecture. Il faut également rappeler que, dans ce type de scénario, même un AIO atteint rapidement ses limites, la densité thermique du die et le cache limitant la dissipation efficace de la chaleur malgré une consommation contenue.
Notre Verdict sur la ROG Crosshair X870E Apex
[Test] ASUS ROG Crosshair X870E Apex : l’overclocking extrême arrive enfin chez AMD
Conclusion
La ROG Crosshair X870E Apex marque un tournant important pour ASUS. Après des années de fidélité quasi exclusive à Intel, la marque consacre enfin une véritable Apex au socket AM5, reconnaissant par là la maturité technologique et la domination actuelle d’AMD sur le segment haut de gamme. Il ne s’agit pas d’une simple adaptation, mais d’une conception repensée en profondeur, bâtie autour des spécificités des Ryzen 9000 et des contraintes thermiques du cache 3D.
C’est d’ailleurs la première Apex à intégrer une backplate métallique complète, un ajout qui renforce la rigidité du PCB et améliore la dissipation thermique sur les zones les plus sollicitées. Ce choix d’ingénierie, rare sur une carte orientée overclocking, montre qu’ASUS a voulu concilier robustesse mécanique et stabilité électrique, deux éléments essentiels pour les sessions de test les plus extrêmes.
La Crosshair X870E Apex n’a cependant rien d’une carte pour le grand public. Son positionnement, son prix et sa philosophie la destinent à des utilisateurs avertis, passionnés d’optimisation et d’overclocking avancé. Dans 90 % des configurations gaming ou créatives classiques, des modèles X870E plus abordables feront tout aussi bien. Mais pour ceux qui veulent aller au-delà, repousser les limites du silicium, ajuster chaque tension, chaque ratio ou timing mémoire, l’Apex se présente comme un véritable outil de précision.
Elle n’oublie pourtant rien sur le plan pratique : connectique complète, stockage PCIe 5.0, Wi-Fi 7, codec audio ALC4082, et une interface BIOS toujours aussi exhaustive. Sa valeur ne se mesure donc pas uniquement à ses performances brutes, mais à sa cohérence d’ensemble, capable de soutenir les configurations les plus exigeantes tout en servant de plateforme de test de référence.
Dans un usage standard, elle pourra sembler démesurée ou sans intérêt particulier. Mais dans les mains d’un overclockeur, elle devient un instrument redoutable, capable d’atteindre des fréquences mémoire au-delà de 8000 MHz et de tenir des records mondiaux sous froid extrême.
Proposée à 669 €, la ROG Crosshair X870E Apex s’inscrit dans la lignée de ses prédécesseurs : une carte d’exception réservée à une minorité, mais qui confirme, une fois encore, la maîtrise d’ASUS dans l’art de concevoir des plateformes taillées pour l’extrême. Une carte sans compromis, au caractère bien trempé, et qui pour nous s’impose clairement comme un véritable Coup de Cœur.
Qualité / Finition
9.5
Capacité d'Overcloking
9.5
Refroidissement actif & passif
9.5
Connectivité
8.5
Capacité de stockage
8.5
Prix
7.5
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Excellente qualité de fabrication avec backplate intégrale et VRM 18+2+2 phases.
Stabilité exemplaire avec les Ryzen 9000, même en charge prolongée.
Très bon potentiel d’overclocking mémoire DDR5
Dissipation thermique efficace sur les SSD PCIe 5.0 et les étages d’alimentation.
Quand une entreprise dispose d’un volume important de contacts, elle fait face à deux défis majeurs. Vous les connaissez certainement. Il y a d’abord la quantité d’informations à gérer. Ensuite vient la question de la qualité de ces données. Avec HubSpot, l’enjeu n’est plus simplement de stocker les contacts mais de les enrichir automatiquement, de […]
La GeForce RTX 5060 Ti 16 Go séduit les joueurs, au point que NVIDIA pousse désormais ses partenaires à revoir leurs plans pour la version 8 Go.
NVIDIA privilégie la RTX 5060 Ti 16 Go face à une 8 Go boudée
D’après Board Channels, NVIDIA aurait demandé à ses partenaires AIC de prioriser la production de la RTX 5060 Ti 16 Go, reléguant la 8 Go au second plan. Un choix qui suit la tendance du marché : les joueurs de ce segment veulent davantage de VRAM pour tenir la durée, alors que les jeux modernes consomment de plus en plus de mémoire vidéo.
Il faut dire que les chiffres parlent. Il y a près de quatre mois, un grand détaillant allemand, Mindfactory.de, montrait un écart abyssal entre les deux modèles : la 16 Go se serait vendue plus de 16 fois mieux que la 8 Go, soit un différentiel d’environ 1 600 %. « même avec une bonne disponibilité des deux SKUs, les joueurs ont systématiquement choisi la 16 Go », rappelait le relevé cité par TechPowerUp.
Côté tarif, l’écart reste mesuré : environ 50 € (prix MSRP). Beaucoup de joueurs acceptent ce surcoût pour doubler la VRAM, d’autant que les technologies récentes, comme le path tracing, tirent pleinement parti d’une mémoire plus généreuse.
Un signal pour la suite du milieu de gamme
Selon TechPowerUp, la focalisation de NVIDIA sur les modèles mieux dotés en VRAM pourrait annoncer, à terme, la disparition d’options 8 Go dans cette tranche de prix. En parallèle, la 16 Go devrait mieux conserver sa valeur à la revente, sur eBay par exemple. Reste à voir si la concurrence emboîtera le pas et si l’ensemble du milieu de gamme basculera durablement vers 16 Go comme nouveau standard.
Que valent les écouteurs Aurvana Ace 3 de Creative?
Creative lance de façon très régulière de nouveaux modèles sur le marché et cette fois, nous a gentiment fait parvenir ses nouveaux écouteurs haut de gamme, j’ai nommé les Aurvana Ace 3. Nous avons d’ailleurs pu tester la V2 juste ici en mars 2024.
Voyons ensemble ce qu’ils valent et quelles sont les améliorations qui ont été apportées. Vous les retrouverez au prix de 149,99 € directement sur le site de la marque. Place au test !
Unboxing
Cette fois, pas de touche orange à laquelle la marque Creative nous a habitué depuis quelques années. Ici, on retrouvera sur la face avant un visuel des écouteurs à peine sortie de leur boîte de rechargement, un rappel de la marque et du modèle juste en dessous. Simple, élégant, efficace. À gauche, nous retrouverons quelques mentions légales en plusieurs langues tandis qu’à droite, nous aurons un visuel des écouteurs en utilisations et un rappel des divers technologies qu’ils renferment.
Sur le dessus, le contenu de la boîte y sera dessiné et pour finir, à l’arrière, les principales caractéristiques techniques et un rappel des applications dédiées.
Caractéristiques techniques
Caractéristique
Technologie audio principale
xMEMS (double driver) + transducteur dynamique 10 mm
Codecs audio pris en charge
LDAC + aptX Lossless (via Snapdragon Sound)
Connectivité
Bluetooth 5.4
Annulation de bruit active (ANC)
Système hybride adaptatif
Mode ambient
Oui
Résistance à l’eau / sueur
IPX5
Autonomie annoncée
7 heures par charge + ~26 heures (ou 28 h selon source) avec le boîtier
Nombre de micros / appels
Six micros annoncés pour des appels clairs
Détection usage (play/pause auto)
Oui, détection intelligente de retrait / remise d’écouteurs
Fonctionnalités
Système à double transducteur hybride – un driver xMEMS (semi-conducteur) + un driver dynamique de 10 mm pour conjuguer précision des aigus et puissance des basses.
Support audio haut-de-gamme et sans perte – compatibilité avec Qualcomm Snapdragon Sound, codec aptX Lossless et LDAC.
Connectivité Bluetooth 5.4 – prise en charge du standard LE Audio et de la technologie Auracast pour le partage audio et la diffusion sur plusieurs appareils.
Technologie de personnalisation sonore Mimi Hearing Technologies (Mimi Sound Personalization) – un test auditif génère un profil et le son s’adapte en temps réel selon votre oreille.
Annulation active du bruit (ANC) de type « hybride adaptatif » – l’ANC s’ajuste selon l’environnement, mais également le mode « Ambient » (bruit extérieur) pour rester conscient de ce qui se passe autour.
Détection de port (« Wear Detect ») – la lecture met en pause automatiquement quand vous retirez un écouteur, et reprend quand vous le remettez.
Contrôles tactiles – pour lecture/pause, appels, assistant vocal etc.
Mode mono – possibilité d’utiliser un seul écouteur pour un usage plus flexible.
Résistance à l’eau et à la transpiration – certification IPX5 pour les écouteurs (leur usage lors d’activités sportives ou sous pluie légère).
Autonomie annoncée – jusqu’à 7 heures d’écoute avec une seule charge des écouteurs, et jusqu’à 26 heures combinées avec le boîtier. Recharge par USB-C et charge sans fil compatible.
Application dédiée (Creative App) – permettant profil auditif, mise à jour firmware, réglages audio personnalisés.
Embouts de différentes tailles – (XS, S, M, L, XL) pour adapter le confort et l’isolation.
Contenu
1 x Creative Aurvana Ace 3
1 x Boîtier de recharge USB-C
1 x Câble de recharge USB-C
1 x Paire d’embouts en silicone (XS), (S), (M), (L) et (XL)
1 x Guide de démarrage rapide
1 x Pochette de transport
Test
Creative revient sur le devant de la scène avec une nouvelle génération d’écouteurs intra-auriculaires : les Aurvana Ace 3. Après le joli succès des Aurvana Ace et Ace 2, la marque singapourienne semble vouloir affirmer un peu plus son savoir-faire audio, entre innovation technique et sensibilité musicale. Commençons par le design, ici épuré, fonctionnel, sans extravagance. Les Aurvana Ace 3 s’inscrivent dans la continuité visuelle des Ace anciennes génération, avec ce boîtier légèrement ovoïde, au couvercle un peu transparent et au logo gravé en relief.
Le boîtier s’ouvre avec une résistance bien calibrée – plus ferme que sur les modèles précédents si ma mémoire est bonne– et les écouteurs s’en extraient aisément, sans craindre de les faire tomber. Ils tiennent bien dans l’oreille, grâce à un format semi-ergonomique qui épouse naturellement le pavillon sans créer de pression. Le port reste confortable même après plusieurs heures, un point sur lequel Creative a nettement progressé.
Côté fabrication, on retrouve un assemblage propre, des finitions précises et une texture douce qui ne garde pas trop les traces de doigts, mais un peu quand même. Les écouteurs sont certifiés IPX5, donc capables de résister à la transpiration ou à une pluie fine – un vrai plus pour une utilisation nomade ou sportive.
Grande nouveauté de cette génération, la technologie Mimi personnalise le son selon votre audition. Après un court test, les écouteurs adaptent la restitution en temps réel à votre sensibilité, ajustant subtilement les aigus, médiums et graves.
Le résultat est bluffant : chaque écoute devient unique, naturelle et parfaitement équilibrée. Les voix gagnent en clarté, les instruments respirent mieux, et l’on découvre à quel point un son « fait pour soi » peut transformer l’expérience d’écoute.
L’annulation de bruit active a toujours été le point faible des modèles Aurvana. Sur cette version, Creative introduit une ANC hybride adaptative, capable d’ajuster automatiquement son intensité selon l’environnement. Dans les faits, cela fonctionne plutôt bien pour les sons continus – le vrombissement d’un bus, le souffle d’une climatisation – mais reste limité face aux bruits soudains ou aux voix.
Ce n’est pas un défaut rédhibitoire, le but est plutôt d’isoler suffisamment pour profiter pleinement de la musique sans se couper totalement du monde. Le mode « transparence », lui, m’a laissé plus perplexe : il amplifie les sons ambiants de façon naturelle, utile pour une balade urbaine ou un trajet à vélo. En courant par exemple, une voiture a réussi à me surprendre, en passant de pas de bruit de moteur à un bruit assourdissant tout d’un coup. Petit moment panique. On notera également la possibilité de basculer très vite d’un mode à l’autre via un simple geste tactile, ce qui rend l’usage fluide et intuitif.
Le passage au Bluetooth 5.4 se ressent immédiatement. L’appairage est quasi instantané, la stabilité irréprochable, même à plusieurs mètres du smartphone. Les codecs LDAC et aptX Lossless sont évidemment de la partie, garantissant une restitution sans perte si vous disposez d’un appareil compatible.
Pour les appels, les six microphones assurent une captation claire et un traitement efficace du bruit environnant. Même en extérieur, la voix reste nette.
L’autonomie annoncée est de 7 heures d’écoute par charge, avec environ 26 heures supplémentaires grâce au boîtier. En pratique, avec l’ANC actif et un volume autour de 70 %, on se situe plutôt entre 4 et 5 heures – ce qui reste dans la moyenne haute du segment. Le boîtier se recharge en USB-C, et la charge sans fil est toujours de la partie.
Parlons rapidement des deux applications : Creative App et Super SXFI. La première permet de tout personnaliser : son, commandes tactiles, ANC, détection de port ou encore mises à jour. C’est aussi elle qui intègre la technologie Mimi Sound Personalization, capable d’adapter le son à votre audition après un court test. Simple, fluide et efficace, l’application transforme les écouteurs en un produit vraiment sur mesure, où chaque réglage s’ajuste à vos préférences et à votre manière d’écouter.
L’application Super X-Fi quant à elle permet de reproduire un son 3D immersif fidèle à la spatialisation d’un home cinéma. Elle donne la possibilité de calibrer l’écoute selon la forme de votre tête et de vos oreilles, d’ajuster les profils audio, et de gérer les réglages des écouteurs.
Pour terminer, comparons nos Aurvana Ace 3 au modèle sorti l’année dernier, ce qui nous permettra au passage de résumer un peu notre test. Notre modèle du jour apporte plusieurs améliorations par rapport aux Ace 2. Leur son est plus riche et détaillé grâce au double transducteur hybride (xMEMS + dynamique 10 mm). La grande nouveauté est la personnalisation sonore Mimi, qui ajuste le son selon votre audition, absente sur les Ace 2. L’ANC est plus précise et adaptative, la connectivité passe au Bluetooth 5.4 avec support LE Audio et Auracast, et l’autonomie atteint jusqu’à 7 h par charge et 26 h avec le boîtier. Les Ace 3 ajoutent également 6 microphones et une résistance IPX5, offrant ainsi une expérience plus complète et moderne pour un prix similaire.
Conclusion
Les Creative Aurvana Ace 3 marquent une évolution pour la marque. Ce ne sont pas des écouteurs révolutionnaires, mais des compagnons bien aboutis et polyvalent. Creative a trouvé ici un équilibre entre innovation et technique.
De plus, la personnalisation sonore rend les écoutes uniques. On rappellera cependant pour nous leur faiblesse, un ANC perfectible et une autonomie un peu en deçà des espérances, mais rien qui ne gâche réellement l’expérience.
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