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Subarr - Le chaînon manquant entre YouTube et votre serveur multimédia
Ça y est, c’est la rentrée et votre YouTubeur préféré a sorti 15 vidéos pendant vos vacances… Ouin !!! va tout falloir rattraper ! Ou pire, le gars a supprimé ses anciennes vidéos sans prévenir ! Heureusement, c’est le genre de problème que Subarr vient résoudre, et de manière plutôt chouette, vous allez voir.
L’idée derrière Subarr, c’est en fait de transposer la philosophie de Sonarr (qui automatise le téléchargement de séries TV) au monde chaotique de YouTube. Le développeur Derek Antrican a d’ailleurs tellement poussé le concept qu’il a même repris l’interface utilisateur de Sonarr pour que les habitués s’y retrouvent immédiatement. Et après avoir hésité avec le nom “YouTubarr”, il a même opté pour “Subarr”, un clin d’œil aux flux RSS sur lesquels repose tout le système.
Le principe est donc très simple puisqu’au lieu de scraper YouTube comme un bourrin (ce qui vous vaudrait un ban rapide), Subarr utilise les flux RSS officiels que YouTube met à disposition pour chaque playlist et chaîne. Ces flux sont limités aux 15 derniers items, mais Subarr construit sa propre base de données au fil du temps, en gardant une trace de tout ce qui passe. Une fois qu’une nouvelle vidéo est détectée, vous pouvez alors déclencher n’importe quelle action comme envoyer une notification Discord, lancer yt-dlp pour télécharger la vidéo, ou même exécuter un script custom de votre création.

Contrairement à des solutions comme TubeArchivist qui nécessite 4GB de RAM minimum, Subarr est très léger et peut tourner tranquillement sur un Raspberry Pi avec quelques centaines de MB. Le développeur insiste d’ailleurs sur ce point : Il l’a voulu volontairement minimaliste ! Pas de gestion de métadonnées complexes, pas d’interface de lecture intégrée, juste de la surveillance et du déclenchement d’actions.
L’installation se fait en trois commandes :
git clone https://github.com/derekantrican/subarr.git
cd subarr
npm install && npm run start-server
Boom, vous avez votre instance qui tourne sur le port 3000. Par contre, attention, il n’y a aucune authentification intégrée, donc si vous l’exposez sur internet, pensez à mettre un reverse proxy avec auth devant, ou utilisez quelque chose comme Cloudflare Tunnel.
Certains l’utilisent pour archiver automatiquement les chaînes de vulgarisation scientifique avant qu’elles ne disparaissent. D’autres s’en servent pour créer leur propre bibliothèque de tutoriels techniques hors ligne. Et puis il y a ceux qui veulent juste être sûrs de ne jamais rater un épisode de leur podcast vidéo favori, même quand ils partent en vadrouille sans connexion.
Le projet a quand même ses limites, qu’il faut garder en tête. D’abord, si Subarr est down pendant que 20 vidéos sont publiées sur une chaîne, vous allez en louper 5 (rappelez-vous, les flux RSS sont limités à 15 items). Ensuite, c’est vraiment conçu pour du monitoring de nouveautés, pas pour aspirer l’intégralité d’une chaîne existante. Pour ça, yt-dlp en ligne de commande reste plus adapté.

Voilà, entre ArchiveBox qui archive tout le web, les diverses interfaces web pour yt-dlp, et maintenant Subarr qui fait le pont avec l’univers *arr, on a vraiment l’embarras du choix maintenant pour construire son propre “Netflix personnel” alimenté par YouTube.
Et pour ceux qui veulent aller plus loin, il est possible de synchroniser Subarr avec ytsubs.app pour importer automatiquement toutes vos souscriptions YouTube. Vous pouvez aussi utiliser des regex pour filtrer le contenu (pratique pour exclure les Shorts ou les vidéos sponsorisées), et même chaîner plusieurs post-processeurs pour créer des workflows complexes.
Au final, Subarr c’est top pour les accros au self-hosting qui souhaitent reprendre le contrôle sur leur consommation de contenu sans dépendre du bon vouloir de l’algorithme YouTube ou de la stabilité des serveurs de Google. Avec cet outil, vos vidéos préférées seront toujours chez vous, sur votre NAS, accessibles même quand internet flanche.
Merci à Letsar pour le partage.
Transformer un Raspberry Pi Pico à 4€ en outil de récupération de mots de passe WiFi
Quatre euros, c’est le prix d’un café dans certains endroits, mais c’est aussi le coût d’un Raspberry Pi Pico capable d’extraire tous les mots de passe WiFi stockés sur un ordinateur en moins de 15 secondes.
Hé oui car pendant que les entreprises investissent des millions dans la cybersécurité, un petit projet GitHub nous rappelle que les vulnérabilités les plus dangereuses restent souvent les plus simples.
Ce type d’attaque par injection de touches proposé par ce projet atteint quand même 94,28% de taux de réussite, selon cette étude publiée sur ResearchGate . En gros, vous branchez ce qui ressemble à une clé USB innocente, et en quelques secondes, l’appareil simule un clavier qui tape plus de 1000 mots par minute. Y’a aucune alerte antivirus, aucun avertissement de sécurité… Pour le système, c’est juste un clavier qui tape très, très vite.
Ce projet WiFi-password-stealer d’AleksaMCode transforme donc cette théorie en un outil accessible. Son créateur a en effet développé ce système pendant l’été 2022, initialement pour démontrer les capacités d’un Rubber Ducky à petit prix et aujourd’hui, avec la dernière version de CircuitPython, la configuration ne prend plus que 5 minutes.
Concrètement, l’attaque fonctionne en exploitant la confiance aveugle que nos systèmes accordent aux périphériques USB. Sous Windows, le dispositif utilise PowerShell pour extraire les identifiants WiFi stockés, puis les envoie par email via SMTP. Sous Linux, c’est encore plus direct puisque les mots de passe sont copiés depuis /etc/NetworkManager/system-connections/ directement sur une clé USB. Le script grep avec des expressions régulières positives lookbehind ((?<=ssid=).*
et (?<=psk=).*
) fait tout le travail d’extraction.
Pour rendre l’appareil plus discret, il suffit de connecter un fil entre les pins GPIO15 et GND et le Pico disparaît alors complètement de l’explorateur de fichiers, ne laissant aucune trace visible de sa présence. Un autre câble entre GPIO5 et GND permet également de basculer entre plusieurs payloads selon la cible. Ces petits détails transforment alors un simple microcontrôleur en outil d’infiltration redoutable.
Le plus inquiétant ? +80% des utilisateurs réutilisent le même mot de passe selon les données collectées lors de ces attaques. Un seul ordinateur compromis peut donc ouvrir les portes de dizaines de comptes. Faut pas oublier que la majorité des gestionnaires de réseaux sous Linux stockent ces informations en clair dans des fichiers .ini, ce qui rend l’extraction hyper simple pour qui a les bonnes permissions.
Face à ces menaces, les défenses existent mais restent sous-utilisées. Désactiver les ports USB sur les machines sensibles reste la protection la plus efficace et les solutions EDR (Endpoint Detection and Response) peuvent aussi détecter les patterns d’injection de touches suspectes… Mais combien d’entreprises les ont vraiment configurées correctement ? Il y a aussi des adaptateurs USB “préservatifs” qui bloquent les données tout en permettant de charger les appareils, mais qui les utilise vraiment ?
Alors, paranoia ou prudence légitime ? En tout cas, la prochaine fois que vous verrez une clé USB abandonnée dans un parking ou qu’un collègue vous demandera de “juste brancher ça deux secondes”, vous y penserez peut-être à deux fois.
Pourquoi et comment supprimer vos données personnelles d'Internet ?
530 millions d’euros . C’est l’amende que TikTok vient de se prendre dans la tronche pour avoir transféré illégalement des données d’utilisateurs européens vers la Chine. Et vous savez quoi ? C’est juste la partie émergée de l’iceberg. Une étude récente d’Incogni sur 400 apps populaires révèle un truc complètement dingue : les applications étrangères collectent en moyenne 3 fois plus de données personnelles que leurs homologues européennes.
Faites le test maintenant : tapez votre nom complet sur Google. Allez-y, je vous attends…
Alors ? Adresse, numéro de téléphone, historique professionnel, peut-être même des photos que vous pensiez privées ? C’est flippant, non ? Moi, j’ai trouvé mon adresse complète sur 12 sites différents, mon numéro de téléphone sur 8, et même mon salaire estimé sur 3 sites de data brokers. Non, je déconne, c’est pas vrai parce que j’utilise Incogni !!
C’est Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) qui arrive en tête avec 29 types de données collectées. TikTok les suit de près avec 26 types de données. Et pendant ce temps, Signal se contente de… 3 types de données. Vous ne voyez pas un problème ?
Le pire dans tout ça, c’est que vos infos ne restent pas gentiment stockées dans ces apps. Non, elles sont revendues à des data brokers, ces entreprises de l’ombre qui compilent des profils détaillés sur vous et les vendent au plus offrant. On parle quand même d’un business à 434 milliards de dollars en 2025 . Vos habitudes, vos déplacements, vos achats, tout y passe…

⚠️ Chaque jour que vous attendez, c’est :
- 10 nouveaux data brokers qui récupèrent vos infos
- Des milliers de requêtes sur votre profil
- Votre vie privée vendue au plus offrant
Et le pire c’est que une fois vos données dans la nature, c’est exponentiellement plus dur de les récupérer. C’est comme essayer de remettre du dentifrice dans le tube.
Alors certes, le RGPD nous protège un peu en Europe avec le fameux “droit à l’oubli” . Mais entre nous, qui a le temps d’envoyer des demandes de suppression à des centaines de data brokers ? Surtout que ces parasites recollectent immédiatement vos données dès que vous avez le dos tourné.
La bonne nouvelle ? On peut se défendre !!
D’abord, un petit audit s’impose. Comme je vous le demandais en intro, tapez votre nom ou votre adresse sur Google et notez tous les sites qui affichent vos infos personnelles. Ensuite, direction vos comptes de réseaux sociaux pour tout passer en privé et désactiver la personnalisation publicitaire. Facebook propose même une option pour supprimer définitivement votre compte via Paramètres > Centre des comptes > Détails personnels > Propriété et contrôle du compte.
Pour Google, utilisez leur outil de suppression dédié . Il suffit de collecter les liens problématiques et de suivre les instructions. C’est relativement simple et ça marche plutôt bien pour les résultats de recherche.
Mais le vrai combat, c’est contre les data brokers. En Californie, le DELETE Act qui entre en vigueur en 2026 permettra de soumettre une demande unique de suppression à tous les courtiers enregistrés. Génial pour les Californiens, mais nous en Europe, on fait comment ?
C’est là qu’ Incogni entre en jeu 🛡️
Pour une dizaine d’euros par mois, ils s’occupent de contacter les data brokers à votre place et de faire supprimer vos données. Le service scanne en permanence des centaines de bases de données et envoie automatiquement les demandes de suppression.
Mon expérience personnelle, c’est qu’en 3 années de bons et loyaux services, ils avaient déjà supprimé mes infos de 232 data brokers différents. 232 ! Et moi qui pensais faire attention…

Mon dashboard Incogni après 3 ans : 244 demandes envoyées, 232 suppressions confirmées
Et je ne suis pas le seul convaincu car plus de 100 000 personnes utilisent déjà Incogni en Europe. Et les résultats parlent d’eux-mêmes car en moyenne, 95% des demandes de suppression aboutissent.
L’étude d’Incogni montre aussi un truc flippant : les apps de shopping sont les pires en termes de collecte de données. Aliexpress et Temu aspirent littéralement tout ce qu’ils peuvent et les apps de fitness et de santé mentale ne sont pas mieux, puisqu’elles vendent allègrement vos données les plus intimes.
Pour les vieux comptes que vous n’utilisez plus, pensez aussi à faire le ménage. Checkez par exemple votre gestionnaire de mots de passe et cherchez dans vos emails les mots-clés comme “bienvenue”, “inscription”, “compte créé”. Vous allez halluciner du nombre de services où vous êtes inscrit sans même vous en souvenir.

On peut suivre dans le détail chaque requête
Un dernier conseil, méfiez-vous particulièrement des apps gratuites et encore plus si elles ne sont pas européennes. Cette autre étude montre en effet que 88% des apps américaines et 92% des apps chinoises partagent vos données avec des tiers , contre seulement 54% pour les apps européennes. Si c’est gratuit, c’est vous le produit, comme on dit.
Sachez qu’effacer complètement sa présence en ligne est quasi impossible aujourd’hui mais avec un peu de méthode et les bons outils comme Incogni, on peut drastiquement réduire notre empreinte numérique. Entre les amendes records contre TikTok et Meta, et les nouvelles lois comme le DELETE Act, les choses bougent enfin dans le bon sens.
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Franchement, à un peu moins de 6 € HT / mois avec le code KORBEN55 , c’est moins cher qu’un sandwich. Et entre nous, qu’est-ce qui est le plus important, votre prochain sandwich ou votre vie privée ?
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Huion Inspiroy Frego M : la tablette graphique abordable qui séduit aussi sous Linux
Un article signé GOODTECH.info
🚀 Pas besoin d’un iPad ou d'une tablette Android pour dessiner : cette tablette graphique Huion fait le job, même sous Linux.
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Don't Sleep 9.79
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Quatruel de 4 cartes graphiques autour des 300 € pour jouer en FHD : qui gagne ?
Il y a quelques semaines, Érix le gaulois vous proposait le test de la RTX 5050, avec une quantité folle de cartes graphiques couvrant plusieurs générations, depuis la RX 6600 à la RX 9060 XT, de l'Arc A750 à l'Arc B580, de la RTX 3050 à la RTX 5060 Ti. Les cartes disposant de versions à 8 et 16 Go...
[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ?
Lancée il y a quelques mois, la ASRock Arc B580 Challenger OC fait partie des premières déclinaisons personnalisées du GPU Intel BMG-G21, basé sur l’architecture Xe2 Battlemage. Avec ce modèle, ASRock vise clairement le cœur du segment milieu de gamme, en proposant une carte équipée de 12 Go de mémoire GDDR6 sur bus 192-bit, un refroidissement maison soigné et un léger overclock d’usine.
Positionnée face aux incontournables RTX 4060 et RX 7600, cette Arc B580 Challenger OC mise sur un rapport performances/prix agressif et des fonctionnalités modernes comme le ray tracing matériel ou le support de XeSS 2. Nous avons enfin pu mettre la main sur ce modèle pour un test complet : l’occasion de vérifier si cette version signée ASRock tient ses promesses face à une concurrence qui, sur ce segment tarifaire, manque encore de références vraiment convaincantes.
À 292 € seulement, cette carte pourrait bien représenter le point d’entrée idéal pour se lancer dans le gaming, sans subir les tarifs stratosphériques des modèles NVIDIA ou AMD. Découvrons-la ensemble.
Emballage et contenu
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 14 asrock arc b580 challenger oc box 01](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/asrock-arc-b580-challenger-oc-box-01-1024x576.jpg?x83804)
ASRock livre sa Arc B580 Challenger OC dans un packaging sobre mais efficace. Sur la face avant, la carte est mise en avant aux côtés des principales fonctionnalités : prise en charge du ray tracing matériel, compatibilité XeSS 2 et moteurs XMX pour l’accélération IA. La mention « OC Edition » rappelle la présence d’un overclock d’usine.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 15 asrock arc b580 challenger oc box 02](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/asrock-arc-b580-challenger-oc-box-02-1024x576.jpg?x83804)
À l’arrière, on retrouve un descriptif plus complet, mettant en avant le design à double ventilateur, la backplate métallique, l’indicateur LED intégré et l’utilisation de ventilateurs axiaux optimisés. Les caractéristiques techniques sont clairement listées, avec notamment les 12 Go de mémoire GDDR6 et les quatre sorties vidéo (3 × DisplayPort 2.1 et 1 × HDMI 2.1a).
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 16 asrock arc b580 challenger oc box bundle](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/asrock-arc-b580-challenger-oc-box-bundle-1024x576.jpg?x83804)
Le bundle se limite à l’essentiel : un guide d’installation rapide. Pas de câble ni d’accessoires supplémentaires, ASRock reste minimaliste sur cette gamme pour contenir le prix.
Architecture et nouveautés
L’Arc B580 repose sur la nouvelle architecture Xe2 Battlemage, introduite avec le GPU BMG-G21.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 17 intel arc Battlemage BMG G21 01](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2024/12/intel-arc-Battlemage-BMG-G21_01-1024x576.jpg?x83804)
Elle apporte de nombreuses améliorations face à la génération précédente (Alchemist), que ce soit sur le ray tracing, le moteur de géométrie ou encore la prise en charge de XeSS 2 et ses déclinaisons (Super Resolution, Frame Generation, Low Latency).

Pour éviter de répéter ici tous les détails techniques, nous vous invitons à consulter notre article dédié au lancement de l’Arc B580, où nous revenons en profondeur sur l’architecture Xe2 Battlemage et ses nouveautés :
Caractéristiques de l’ASRock Arc B580 Challenger 12GB OC
Carte graphique Intel Arc B-Series — Gaming 1440p
Processeur Graphique
Mémoire
Affichage & APIs
Connecteurs
Dimensions & Accessoires
La B580 Challenger 12GB OC en détail
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 18 ASRock Arc B580 Challenger OC vue de face](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-01-1024x768.jpg?x83804)
La ASRock Arc B580 Challenger OC adopte un design compact avec un PCB raccourci et un système de refroidissement à deux ventilateurs.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 19 test asrock arc b580 challenger oc 04](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-04-1024x768.jpg?x83804)
Le design reste discret, dominé par un carénage noir rehaussé de touches blanches et brillantes sur la partie inférieure, ainsi que d’une bande rétroéclairée en haut du ventilateur de gauche qui vient compléter l’esthétique.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 20 ASRock Arc B580 Challenger OC effet RGB](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-05-1024x576.jpg?x83804)
La carte occupe deux slots et affiche des dimensions de 249 × 132 × 41 mm pour un poids de 720 g, ce qui la rend relativement facile à intégrer dans la plupart des configurations.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 21 ASRock Arc B580 Challenger OC vue sur backplate](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-02-1024x768.jpg?x83804)
À l’arrière, on retrouve une backplate métallique qui assure à la fois la rigidité et une meilleure dissipation thermique. ASRock a prévu une ouverture au niveau du PCB pour favoriser la circulation de l’air, un détail bienvenu sur une carte orientée efficacité.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 22 asrock arc b580 challenger vue sur sorties vidéos : trois sorties DisplayPort 2.1 et un port HDMI 2.1a](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-06-1024x768.jpg?x83804)
Côté connectique, la Challenger OC offre trois sorties DisplayPort 2.1 et un port HDMI 2.1a. L’un des DisplayPort supporte le mode UHBR13.5, capable de monter jusqu’à 4K à 360 Hz, tandis que les deux autres se limitent à UHBR10 (4K à 240 Hz). La compatibilité avec les dernières normes d’encodage et de décodage est complète, avec notamment l’AV1 en 8, 10 et même 12 bits, aussi bien en lecture qu’en enregistrement.
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 23 asrock arc b580 challenger vue sur le connecteur 8 broches](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/08/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-03-1024x576.jpg?x83804)
Pour l’alimentation, un unique connecteur 8 broches suffit, épaulé par le slot PCIe. La consommation maximale annoncée est de 225 W, ce qui place cette carte dans la lignée des autres modèles milieu de gamme.
Configuration de test
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 24 test asrock arc b580 challenger oc config](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/09/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-config-1024x768.jpg?x83804)
Pour nos tests, nous avons opté pour la config suivante :
- Carte mère : ASUS ROG X870E Apex
- CPU : AMD Ryzen 7 9800X3D
- RAM : 32 Go DDR5 Corsair Dominator (6000 MHz CL30, AMD EXPO)
- Refroidissement : AIO Corsair iCUE LINK H170i RGB 420mm
- Stockage : SSD PCIe 5.0 Corsair MP700 PRO SE 2 To
- Alimentation : TT PF1 1000W
![[Test] ASRock Arc B580 Challenger OC : Une alternative efficace aux RTX 5060 et RX 9060 XT ? 25 test asrock arc b580 challenger oc gpu z](https://pausehardware.com/wp-content/uploads/2025/09/test-asrock-arc-b580-challenger-oc-gpu-z-1024x1024.jpg?x83804)
Driver 32.0.101.7028 – Windows 11 64
Tests de performances en jeu : Rastérisation
ASRock Arc B580 Challenger OC – Rastérisation
4K / 1440p / 1080p — Tri dynamique par FPS
Mastodon 4.4 : la grosse mise à jour de l’été qu’il ne fallait pas manquer
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La Fintech Open Source Foundation (FINOS), branche des services financiers de la Linux Foundation, a annoncé un renouvellement important de sa gouvernance. Bhupesh Vora, de RBC Marchés des capitaux, devient président du conseil d’administration, tandis que Sitija Sarkar, de BlackRock, […]
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AMD se renforce dans le cloud, l’IA et le quantique grâce à l’open source
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