XPG lance la série MARS 980 Gen 5 SSD jusqu’à 4 To et 14 000 Mo/s en lecture séquentielle

Le e-ink, ou e-paper, n'est pas une technologie nouvelle. Nous avons déjà eu l'occasion de publier des articles sur le sujet dans le magazine. Le e-paper commence à se diffuser par des procédés de fabrication fiables et plus faciles d'accès.
Le e-paper consomme peu et reste dans un état figé ce qui lui permet de garder le dernier affichage même quand il n'est pas alimenté. Ces caractéristiques permettent de l'utiliser dans des objets contraints et surtout les solutions flexibles économisent de la place.
Cette approche autorise des formats de la taille d'un ongle à une affichage beaucoup plus grand comme de la signalétique. Ynvisible, un fabricant européen, cible le commerce, la santé, l'industrie, la logistique. Dans les magasins, ces solutions remplacent les étiquettes imprimées ou même les blocs de prix en rayon car ils utilisent souvent des écrans e-ink rigidesencombrants.
Ces e-paper flexibles sont imprimés par couche sur des "rotatives" capables d'imprimer des centaines de displays à la fois. Ce e-paper est un empilement de couches pour l'affichage et les parties conductrices pour assurer son contrôle. Autres avantages : on peut l'adapter à des formes rondes, il ne casse pas et il peut prendre la forme que l'on veut, et adapter le design selon l'usage. Contrairement au e-ink classique, l'affichage n'est pas stable dans le temps. Il est résilient jusqu'à 15 minutes.
Ynvisible précise que son e-paper n'est pas un e-ink "standard" même si les principes restent identiques. Le constructeur utilise des matériaux électrochromes et s'appuie sur les segments d'affichage et non sur des pixels comme le e-ink classique (basé sur l'électrophorétique). Le e-paper électrochrome utilise le champ électrique pour modifier l'apparence, l'opacité, etc. Quand un courant passe, une réaction chimique se fait et altère l'apparence. Typiquement, un voltage de 1,5 volt suffit. Plus les segments sont grands, plus le rafraîchissement est long.
Le kit d'Ynvisible permet de démarrer en douceur avec cette technique. Il comprend plusieurs e-papers et 2 cartes dont un contrôleur que l'on relie facilement à un ESP ou un Arduino. Il fonctionne en I2C. Une librairie Arduino est disponible.
Site : https://www.ynvisible.com/
OpenAI vient d’annoncer qu’ils allaient ajouter une fonctionnalité shopping à ChatGPT, pour permettre aux utilisateurs de comparer et d’acheter des produits directement depuis l’interface. Une annonce qui place encore plus clairement OpenAI en compétition directe avec Google et Amazon, toujours dans l’idée de réinventer la recherche en ligne.
ChatGPT se lance dans la course au shopping en ligne
ChatGPT propose donc désormais à certains de ses utilisateurs une fonctionnalité inédite : rechercher et acheter des produits sans quitter l’application. Annoncée officiellement par OpenAI, cette nouveauté concerne d’abord quelques catégories comme l’électronique, la mode, la beauté et les articles pour la maison. L’objectif est clair : capter davantage de temps d’utilisation et bousculer les géants historiques de la recherche et de l’e-commerce.
Pour construire des applications Python avec des interfaces graphiques, il existe plusieurs solutions dont le framework multiplateforme Kivy. Il utilise des widgets pour coder des apps UI complexes. On peut utiliser de nombreux objets : textes, listes, fenêtres, menus, onglets, radians, etc. Il fonctionne sur Linux, macOS, BSD, Windows, iOS, Android, etc. Pour faciliter la manipulation des éléments, le framework utilise un langage spécifique pour séparer la logique applicative et l'interface.
Kivy définit donc une librairie de widgets, chaque widget est vu comme une classe Python que l'on implémente, par exemple :
class ButtonApp -> pour un bouton
class SpinnerApp -> pour un menu type spinner
Comme toujours, il faut importer dans son code Python, le module : import kivy. Chaque widget est importé avec from kivy.uix.[nom du widget]
La version 2.3.1 est la dernière disponible. Elle fixe de nombreux bugs et le framework supporte les dernières versions de Python 3.x. Elle retire le support de Windows 32 bits et de Python 3.7. Il faut minimum Python 3.8.
A découvrir :https://kivy.org/