Et si votre prochain boîtier PC était un four à micro-ondes ? L’équipe derrière SignalRGB a poussé le délire jusqu’au bout en installant un véritable PC de jeu dans la carcasse d’un appareil de cuisine, vitrine technique pour son logiciel de contrôle RGB.
Un four qui joue, un setup qui s’illumine
Le châssis n’est autre que l’enveloppe du micro-ondes. Dans la porte, un moniteur pleinement fonctionnel prend place et remplace la vitre. En haut à droite, là où se trouvait l’afficheur d’origine, un écran LCD sur mesure a été intégré. À l’emplacement du pavé numérique, on retrouve un Elgato Stream Deck, pratique pour piloter scènes et macros. L’intérieur est nappé de bandes RGB et d’éclairages de composants, tous orchestrés via l’application gratuite SignalRGB. Clin d’œil amusant : le plateau tournant en verre sert de support, donnant l’illusion que le hardware « tourne » lorsque la machine « chauffe ».
D’après SignalRGB, la configuration sous le capot n’a rien d’une maquette minimaliste. Tout, y compris l’écran LCD custom, passe par le même logiciel, compatible avec une large palette de périphériques et composants, sans verrouillage de marque. « Une seule appli pour tout synchroniser », assure l’équipe, ce qui résume bien l’objectif du mod.
Showcase technique et lot unique
Le PC micro-ondes n’est pas destiné à la vente. Il faut dire que le projet sert avant tout de démonstrateur pour l’écosystème SignalRGB. En revanche, il sera offert via un tirage au sort, transformant ce mod RGB très poussé en pièce unique à gagner. Reste à voir si le futur propriétaire acceptera de poser sa tour… dans la cuisine.
GameSir s’associe à Marvel pour dévoiler la Nova 2 Lite Iron Man Limited Edition, une manette exclusive inspirée de l’armure emblématique de Tony Stark. Basée sur la Nova 2 Lite, cette édition spéciale incarne la fusion entre ingénierie de pointe et design iconique, rendant hommage à l’esthétique rouge et or caractéristique d’Iron Man. Chaque détail, des accents métalliques texturés aux lignes d’armure gravées, évoque la puissance et l’élégance du héros légendaire.
Précision et vitesse de réaction
Conçue pour les joueurs exigeants, la Nova 2 Lite Iron Man Edition offre une réactivité instantanée grâce à un taux d’interrogation de 1000 Hz et des entrées à très faible latence. Développée en collaboration avec XiaoHai, champion reconnu de jeux de combat, elle intègre un D-pad circulaire mécanique offrant une précision directionnelle exceptionnelle sur tous les axes, idéale pour les combos techniques et les mouvements rapides.
Technologie à effet Hall et fiabilité durable
La manette embarque les sticks analogiques à effet Hall signés GameSir, garantissant une absence totale de dérive et une fluidité de mouvement constante. Les gâchettes analogiques bénéficient également de cette technologie, combinée à des arrêts de course à deux niveaux, permettant de choisir entre une course courte pour le tir rapide ou une course longue pour une précision progressive, un atout majeur pour s’adapter à tous les styles de jeu.
Personnalisation et contrôle total
Deux boutons arrière programmables permettent d’attribuer des actions uniques ou des macros complexes pour un gameplay sur mesure. Grâce à l’application GameSir (mobile) et au logiciel GameSir Connect (PC), les joueurs peuvent ajuster la sensibilité des sticks, configurer les gâchettes, modifier les vibrations ou mettre à jour le firmware sans interrompre leur session de jeu.
Une pièce de collection pour les fans de Marvel
Au-delà de ses performances, la Nova 2 Lite Iron Man Edition se distingue comme un objet collector premium. Son design rouge métallisé rehaussé d’or et son logo Iron Man stylisé en font un objet de collection unique pour les fans de super-héros et de gaming.
Prix et disponibilité
La GameSir Nova 2 Lite Iron Man Limited Edition est dès à présent disponible sur la boutique officielle GameSir au prix de £28.00 GBP.
AGON by AOC introduit la technologie QD-OLED dans sa gamme AOC GAMING avec deux modèles de 27 pouces : le Q27G4ZDR et le Q27G4SDR. Ces écrans de 26,5 pouces (67,3 cm) combinent résolution QHD (2560 x 1440), taux de rafraîchissement jusqu’à 360 Hz et temps de réponse GtG ultra-rapide de 0,03 ms, le tout à un prix grand public. Ils adoptent le design minimaliste de la série G4, alliant élégance et ergonomie pour s’intégrer dans toutes les configurations.
Des performances OLED haut de gamme
Les deux modèles partagent les atouts clés des écrans OLED haut de gamme :
Contraste quasi infini (1,5 M:1),
Couverture sRGB de 147,6 % et DCI-P3 de 99,1 %,
Affichage 10 bits pour 1,07 milliard de couleurs,
Profondeur HDR avec des noirs véritables et des dégradés précis.
Le Q27G4ZDR prend en charge le HDR10, tandis que le Q27G4SDR bénéficie de la certification VESA DisplayHDR True Black 400, offrant une luminosité maximale jusqu’à 1000 nits (APL 3 %) pour des scènes plus profondes et contrastées.
Réactivité et fluidité inégalées
Les deux modèles exploitent la technologie Adaptive-Sync et sont compatibles NVIDIA G-SYNC, assurant une fluidité parfaite sans tearing ni stuttering. Le Q27G4ZDR affiche un taux de rafraîchissement de 240 Hz, équilibrant fidélité visuelle et performance, tandis que le Q27G4SDR pousse jusqu’à 360 Hz, destiné aux compétiteurs recherchant l’avantage ultime. Grâce à leur temps de réponse de 0,03 ms GtG, les mouvements restent nets, sans flou ni rémanence.
Une garantie OLED rassurante
Comme tous les modèles OLED d’AGON by AOC, les Q27G4ZDR et Q27G4SDR bénéficient d’une garantie de 3 ans couvrant également le risque de burn-in, gage de la confiance de la marque dans la fiabilité de la technologie QD-OLED.
HDR et immersion visuelle
Le Q27G4ZDR atteint une luminosité de 400 nits (APL 10 %) et une restitution HDR équilibrée, tandis que le Q27G4SDR offre des hauts niveaux de luminance et une précision accrue dans les zones sombres, renforçant l’immersion dans les jeux AAA, FPS ou de simulation.
Connectivité et fonctions gaming complètes
Les deux moniteurs disposent d’une connectique moderne et polyvalente :
2 ports HDMI 2.1,
1 port DisplayPort 1.4,
Hub USB 3.2 avec ports de charge rapide.
Compatibles QHD @ 120 Hz pour PlayStation 5 et Xbox Series X|S, ils sont prêts pour le jeu sur PC comme sur console.
Côté fonctionnalités gaming, on retrouve :
Shadow Control pour plus de clarté dans les zones sombres,
Game Color pour ajuster la saturation à la volée,
Low Input Lag pour une réactivité immédiate,
Modes de jeu personnalisables selon le genre,
Protection visuelle avec filtres anti-scintillement et lumière bleue réduite.
Ergonomie et design G4
Les deux écrans reprennent la philosophie G4 : des lignes épurées, une base stable et ajustable, et un pied ergonomique permettant réglage en hauteur (130 mm), inclinaison, rotation et pivot. Leur design sans bord sur trois côtés maximise la surface d’affichage pour les configurations multi-écrans, tandis que le revêtement noir mat texturé confère un style discret et professionnel.
Le logiciel AOC G-Menu permet de personnaliser les profils d’affichage et les paramètres de jeu, et les fonctions PiP/PbP facilitent le multitâche. Chaque moniteur est livré avec des câbles HDMI et DisplayPort de 1,8 mètre.
Prix et disponibilité
Les moniteurs AOC GAMING Q27G4ZDR et Q27G4SDR seront disponibles mi-novembre 2025 aux prix publics conseillés suivants :
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Après la souris SKILLER SGM30W, Sharkoon dévoile deux nouveaux boîtiers haut de gamme, l’ELITE SHARK CA500 et son homologue compact CM100. Tous deux partagent une face avant et un panneau latéral en verre trempé sans rupture, offrant une vue panoramique à 270° sur le matériel. Conçus pour les passionnés de hardware et de refroidissement, ils allient esthétique, performance et modularité dans un design sobre et premium.
ELITE SHARK CA500 : le grand format sans compromis
Pensé pour les configurations puissantes, le CA500 s’impose comme un boîtier ATX spacieux et optimisé pour le flux d’air. Malgré sa large surface vitrée, la prise d’air latérale et les quatre ventilateurs ARGB de 120 mm préinstallés assurent un refroidissement efficace et silencieux. Un hub PWM et ARGB à cinq ports est intégré, permettant un contrôle centralisé de l’éclairage et de la ventilation.
Refroidissement liquide et compatibilité étendue
Le CA500 est idéal pour les amateurs de watercooling, pouvant accueillir deux radiateurs simultanément. Compatible avec les cartes mères ATX BTF, il permet une gestion des câbles dissimulée pour un montage propre et ordonné. L’espace intérieur accueille :
Des cartes graphiques jusqu’à 437 mm,
Des refroidisseurs CPU jusqu’à 176 mm de hauteur,
Et des alimentations jusqu’à 265 mm.
Côté stockage, il peut loger deux disques durs 3,5″ ou six SSD 2,5″, assurant une grande flexibilité pour les configurations riches en données.
ELITE SHARK CM100 : la version microATX au format compact
Le CM100 transpose le design du CA500 dans un format microATX plus compact, sans renoncer aux performances. On retrouve la face avant et le côté en verre trempé, ainsi que les quatre ventilateurs préinstallés et la possibilité d’installer deux radiateurs. Il reprend également la compatibilité avec les cartes mères BTF, la prise d’air latérale optimisée et les connexions modernes pour un setup minimaliste mais performant.
Une série conçue pour les passionnés de hardware
Avec leurs surfaces vitrées continues, leurs performances thermiques optimisées et leur compatibilité étendue, les ELITE SHARK CA500 et CM100 offrent un équilibre rare entre esthétique et efficacité. Que vous montiez un PC de jeu haut de gamme ou une station compacte, ces boîtiers placent vos composants au centre de l’attention.
Prix et disponibilité
Les deux modèles sont disponibles dès maintenant :
ELITE SHARK CA500 : 149,90 €
ELITE SHARK CM100 : 129,90 €
Ils sont distribués via le réseau de revendeurs Sharkoon agréés en Europe.
Avec la série Dark Power 14, be quiet! met à jour l’une de ses gammes les plus emblématiques, destinée aux configurations haut de gamme et aux utilisateurs exigeants. Trois puissances sont proposées : 850, 1000 et 1200 W, toutes orientées vers le silence, le rendement et la fiabilité. Le modèle 1000 W que nous testons aujourd’hui se positionne comme une alternative sérieuse pour les PC équipés de cartes graphiques de dernière génération, où stabilité et efficacité sont primordiales.
Sous sa coque ajourée, on retrouve une architecture de conversion avancée mêlant Full Bridge, LLC et rectification synchrone, avec des composants de qualité, dont des condensateurs japonais capables de résister à 105 °C. La certification 80 PLUS Titanium vient valider un rendement énergétique supérieur à 95 %, promesse d’un fonctionnement plus propre et de températures maîtrisées.
be quiet! introduit également un double système de contrôle : un premier dédié au refroidissement, permettant de choisir entre un mode actif constant ou semi-passif, et un second lié à l’alimentation des rails 12 V, offrant la possibilité de basculer du mode multi-rail vers un rail unique pour les amateurs d’overclocking. Le ventilateur Silent Wings intégré, monté au cœur du dissipateur, vise à combiner silence et longévité en limitant les vibrations et la consommation.
Compatible ATX 3.1 et PCIe 5.1, la Dark Power 14 adopte la connectique 12V-2×6 tout en conservant plusieurs câbles PCIe 6+2 broches pour assurer une compatibilité totale avec les GPU récents. L’ensemble est livré avec un câblage modulaire intégralement gainé et des protections électriques complètes, comme on s’y attend sur un bloc de cette catégorie.
Avec un tarif fixé à 274,90 € pour la version 1000 W, la Dark Power 14 se présente comme l’évolution naturelle de la Dark Power 13, avec une attention renforcée sur la flexibilité, l’efficacité thermique et la compatibilité des nouvelles normes. Elle vient toutefois se confronter à une concurrence interne directe : la Pure Power 13 M 1000 W, déjà certifiée ATX 3.1 et PCIe 5.1, proposée à un tarif plus accessible et saluée pour son excellent rapport performance/prix. Reste donc à voir si cette Dark Power 14 parvient à justifier sa position plus premium par une exécution encore plus maîtrisée, notamment sur les plans acoustique et électrique.
Emballage et contenu de la Dark Power 14
La Dark Power 14 arrive dans un emballage sobre, fidèle à la charte habtiuelle de la marque allemande.
Sur la face avant, le bloc est présenté en pleine vue, accompagné des mentions 80 PLUS Titanium et ATX 3.1. À l’arrière, be quiet! détaille les spécifications électriques et les principales certifications, ainsi que la compatibilité PCIe 5.1, preuve que la série a été pensée pour les configurations modernes à fortes exigences énergétiques.
À l’ouverture, l’ensemble inspire immédiatement le sérieux. Le bloc d’alimentation est parfaitement calé dans une mousse dense, tandis qu’une boîte annexe renferme les accessoires. La présentation est ordonnée et soignée, sans excès.
Le bundle comprend un câble secteur épais, un jeu de vis de fixation, des attaches pour la gestion des câbles, le manuel utilisateur et les câbles modulaires, que nous détaillerons plus loin, sont soigneusement regroupés dans une pochette dédiée.
Rien de superflu donc, mais tout ce qu’il faut pour une installation propre et conforme à ce qu’on attend d’un bloc haut de gamme.
Design et présentation générale
Visuellement, la Dark Power 14 reprend presque à l’identique le châssis de la Dark Power 13, avec ses flancs en aluminium anodisé et son lettrage argenté « be quiet! DARK POWER ». L’ensemble affiche toujours cette allure industrielle élégante propre à la série, sobre mais immédiatement reconnaissable. Le bloc conserve une finition noire mate, un usinage précis et une impression de densité dès la prise en main.
La grande différence se situe à l’arrière : la grille en nid d’abeilles typique de la marque intègre désormais deux boutons physiques. Le premier, marqué OCK, permet d’activer le mode mono-rail ou multi-rails selon les besoins en overclocking.
Le second, inédit sur cette série, correspond au mode 0 dB, qui autorise un fonctionnement semi-passif en charge légère, laissant le ventilateur totalement à l’arrêt tant que la température reste maîtrisée. Cette évolution distingue clairement la Dark Power 14 de la précédente génération, jusque-là limitée à un mode de ventilation constant.
Le reste du châssis reste fidèle aux standards de la marque. Sur le dessus, on retrouve une large grille fine laissant apparaître le ventilateur Silent Wings 135 mm, intégré directement au dissipateur pour limiter les vibrations.
Les faces latérales reprennent la signature visuelle de la gamme, tandis que la connectique modulaire en façade reste complète, avec les ports CPU, PCIe, SATA et les nouveaux connecteurs 12V-2×6 conformes à la norme ATX 3.1 / PCIe 5.1.
Avec ses matériaux premium, sa structure rigide et son assemblage méticuleux, la Dark Power 14 conserve le niveau de finition attendu sur cette série. Les quelques ajustements introduits ici, notamment les deux boutons de contrôle physiques, renforcent à la fois la praticité et la modernité du bloc, sans bouleverser l’ADN visuel établi par be quiet!.
Câblage et connectique de la be quiet! Dark Power 14
La Dark Power 14 1000W reprend un câblage modulaire complet, comme sur la génération précédente. Tous les faisceaux sont réalisés en cuivre étamé et revêtus d’une gaine tressée noire uniforme. L’ensemble est fonctionnel, mais le rendu manque un peu de finesse face à certaines alimentations concurrentes qui misent sur des câbles plats ou des peignes d’organisation intégrés.
Le faisceau principal ATX 24 broches (600 mm) utilise un calibre mixte 16–18 AWG, tandis que les deux câbles CPU (8 pins et 4+4 pins, 700 mm) reposent sur du 16 AWG pour assurer la stabilité sous charge. Quatre câbles PCIe 6+2 broches de 750 mm sont fournis, accompagnés d’un câble 12V-2×6 (12+4 pins) de 600 mm conforme à la norme ATX 3.1 / PCIe 5.1, pour les cartes graphiques de dernière génération.
Côté périphériques, trois faisceaux SATA sont inclus : deux câbles à quatre connecteurs (600 + 155 + 155 + 155 mm), un câble à trois connecteurs (600 + 155 + 155 mm) et un câble mixte SATA/Molex (605 + 155 mm, puis 155 + 150 mm pour les Molex). Le cordon secteur de 1,38 m complète l’ensemble.
La conception reste solide, mais les câbles paraissent légèrement rigides, ce qui peut compliquer la mise en place dans les boîtiers compacts. L’absence de peignes de maintien accentue cette impression, notamment sur les faisceaux PCIe. be quiet! conserve ici un choix traditionnel, orienté robustesse et isolation, mais qui gagnerait à évoluer vers une présentation plus souple et raffinée à l’image de certaines références récentes.
Alimentation, plateforme interne et composants
Sous son châssis sobre, la be quiet! Dark Power 14 1000W repose sur une plateforme CWT (Channel Well Technology), un partenaire de longue date reconnu pour ses conceptions haut de gamme. On retrouve ici une architecture Full Bridge LLC avec PFC sans pont (Bridgeless PFC) et conversion DC-to-DC pour les rails mineurs. Le circuit imprimé est double face, favorisant la dissipation thermique et la fiabilité des soudures.
Étape primaire
L’étage de filtrage transitoire comprend six condensateurs Y, deux condensateurs X, deux selfs CM et un varistor MOV assurant la protection contre les surtensions. La gestion de l’appel de courant est confiée à une NTC thermistor SCK-0510 de 5 Ω à 25 °C, associée à un relais pour court-circuiter la résistance une fois la charge stabilisée.
La section PFC s’appuie sur deux MOSFETs Infineon IPA60R099P7 (650 V, 20 A @ 100 °C, Rds(on) 0,099 Ω), épaulés par une diode Infineon IDH10G65C6 de 10 A à 650 V. L’alimentation principale est assurée par quatre MOSFETs Alpha & Omega AOTF29S50 (600 V, 18 A, Rds(on) 0,15 Ω).
Les condensateurs principaux sont deux modèles Nippon Chemi-Con KMR de 420 V / 560 µF, soit 1120 µF combinés, prévus pour 2000 h à 105 °C. Le contrôle PFC est confié au duo Champion CM6500UNX et Sync Power SPN5003, tandis que la commande résonante LLC repose sur le Champion CM6901T2X. Deux drivers Novosense NSI6602BD assurent la commutation rapide des MOSFETs.
Étape secondaire
Côté secondaire, la conversion du +12 V repose sur six MOSFETs Infineon BSC010N04LS (40 V, 206 A, Rds(on) 1 mΩ), garantissant un excellent rendement et une chauffe contenue. Les rails 5 V et 3,3 V utilisent des convertisseurs DC-DC basés sur quatre UBIQ QN3107M6N pilotés par un contrôleur UPI-Semi uP3861P.
Le filtrage repose sur un ensemble de condensateurs électrolytiques et polymères : Nichicon HD(M), Rubycon YXJ, YXS, YXM et HE(M), associés à 23 condensateurs polymères Nippon Chemi-Con et 19 FPCAP, garantissant une ondulation minimale et une stabilité durable.
La supervision générale est confiée au contrôleur Weltrend WT7518, chargé des protections OVP, UVP, OCP et PG. Le contrôle du ventilateur est assuré par un microcontrôleur Nuvoton MS51FB9AE.
Le ventilateur maison BQ SIW4-13525-MF (135 mm, 12 V, 0,4 A) adopte un roulement hydrodynamique (Fluid Dynamic Bearing) et un moteur à six pôles, caractéristique des Silent Wings, assurant un fonctionnement durable et silencieux.
Circuit 5VSB
Enfin, le circuit de veille 5VSB repose sur un MOSFET Dongke DK5V45R10V associé à un contrôleur On-Bright OB2365T.
L’ensemble forme une plateforme techniquement aboutie, optimisée pour le rendement et la durabilité, dans la lignée des meilleurs blocs Titanium récents. Le choix de composants haut de gamme, associés à un design interne rigoureux, confirme la volonté de be quiet! d’assurer une efficacité et une stabilité exemplaires, y compris sur des charges soutenues.
Performances électriques de la Dark Power 14 1000W
Testée par Cybenetics sous tension de 115 V et 230 V, la Dark Power 14 1000W obtient la double certification Titanium pour le rendement et A++ pour le niveau acoustique. Ces résultats confirment l’efficacité et la discrétion du bloc, mesurées à environ 93,5 % de rendement moyen et 10,4 dBA en fonctionnement typique.
Le rendement reste élevé sur l’ensemble de la plage de charge, dépassant 95 % entre 40 et 60 % de charge, et ne chutant qu’à 92 % à pleine puissance. La consommation en veille est particulièrement faible avec 0,14 W, validant la conformité ErP Lot 3/6 et la compatibilité ALPM (Alternative Low Power Mode).
La régulation des tensions se maintient dans des marges exemplaires : 0,65 % sur le 12 V, 0,42 % sur le 5 V et 0,7 % sur le 3,3 V, tandis que les ondulations mesurées par Cybenetics restent inférieures à 21 mV sur le 12 V, un excellent résultat pour un bloc de cette puissance.
Les protections ont toutes été validées, avec une coupure OCP à 150 % sur le rail 12 V et une OPP déclenchée à environ 125 % de la puissance nominale. Le hold-up time de 17 ms et le signal PWR_OK à 14,9 ms répondent aux standards ATX.
Le ventilateur Silent Wings 135 mm reste inaudible jusqu’à 60 % de charge et ne dépasse pas 33 dBA à pleine puissance, confirmant la note acoustique A++. Le courant d’appel (inrush current) atteint 110 A, typique pour une unité Titanium de 1000 W dotée de gros condensateurs.
En résumé, la Dark Power 14 1000W affiche un comportement électrique exemplaire, une stabilité irréprochable et un silence remarquable, plaçant ce modèle parmi les références techniques les plus abouties de sa catégorie.
[Test] be quiet! Dark Power 14 1000W : silence, puissance et rendement au sommet
Conclusion
La Dark Power 14 confirme le savoir-faire de be quiet! dans le segment des alimentations haut de gamme. Cette évolution conserve les fondamentaux de la série tout en y ajoutant des ajustements pertinents. La double commande, ventilation semi-passive et bascule mono/multi-rail, apporte une réelle souplesse d’usage, tandis que la compatibilité ATX 3.1 et PCIe 5.1 prépare le bloc à plusieurs générations de configurations.
Sur le plan technique, la plateforme CWT utilisée ici fait preuve d’un équilibre remarquable entre rendement, stabilité et maîtrise thermique. Les composants choisis sont irréprochables, et les résultats Cybenetics confirment une excellente efficacité énergétique assortie d’un niveau acoustique parmi les plus bas de sa catégorie. L’intégration du ventilateur Silent Wings 135 mm reste un atout majeur : sa gestion progressive assure un silence quasi total jusqu’à des charges importantes.
On pourra toutefois relever quelques limites. Les câbles tressés, bien que robustes, manquent de souplesse face à certaines alimentations concurrentes proposant des faisceaux plats plus faciles à manipuler dans les espaces restreints. Le tarif, supérieur à 270 €, place également ce modèle dans une niche premium où la concurrence directe, notamment Seasonic ou Corsair, propose des alternatives parfois mieux équipées sur le plan ergonomique.
En définitive, la Dark Power 14 1000W s’impose comme une alimentation exemplaire par sa conception, son efficacité et son silence. Elle s’adresse clairement aux utilisateurs exigeants cherchant un bloc fiable, durable et prêt pour les prochaines générations de cartes graphiques, tout en acceptant de payer un surcoût justifié par une exécution sans faille.
Bon, si vous me lisez depuis loooongtemps, vous connaissez forcément le risque que représentent les métadonnées contenues dans les images que vous partagez en ligne. Oui, je parle bien des fameux EXIFs qui contiennent aussi bien le modèle d’appareil photo utilisé, l’heure précise à la seconde près où vous avez pris le cliché, les réglages de l’objectif, parfois même l’altitude, et surtout les coordonnées GPS exactes de l’endroit où vous étiez.
Et toutes ces données, si vous mettez vos photos en ligne par exemple, chez Google ou Apple, et bien eux les récupèrent et les utilisent. C’est dommage, surtout que ce sont des données qui sont quand même utiles pour peu qu’on garde ça en local sur sa machine.
Alors que faire ?
Hé bien, il existe un logiciel open source sous licence MIT qui s’appelle
ChronoFrame
. C’est une galerie photo que vous pouvez héberger vous-même, qui va parser automatiquement toutes les données exif de vos clichés, extraire la géolocalisation, faire du reverse géocoding pour identifier le lieu exact et afficher tout ça sur une espèce de carte interactive sur laquelle vous pouvez naviguer pour revoir vos souvenirs de voyage.
En gros c’est comme Google Photo sauf que c’est vous qui gérez vos données et vous contrôlez qui accède à quoi.
L’intérêt de ChronoFrame, c’est qu’il rend visible l’invisible. Vous uploadez une image, ChronoFrame lit les métadonnées, extrait les coordonnées GPS si elles existent, et lance un appel à l’API
Mapbox
ou
MapLibre
pour faire du reverse geocoding. Ça, ça veut dire transformer des coordonnées GPS (48.8584, 2.2945) en adresse lisible (“Tour Eiffel, Paris, France”).
Et surtout, ChronoFrame supporte les Live Photos d’Apple ET les Motion Photos de Google. La génération de miniatures, quand à elle, utilise
ThumbHash
, un algorithme de placeholder ultra-compact créé par Evan Wallace (cofondateur de Figma). Ainsi au lieu de générer plusieurs tailles de miniatures (100x100, 200x200, 400x400…etc), ThumbHash encode une version floue de l’image dans moins de 100 bytes et comme ça, les vignettes se chargent instantanément, et l’affichage est ensuite progressif (flou -> net) jusqu’à ce que l’image full résolution arrive.
L’interface est bien sûr responsive, supporte le touch et la navigation par gestes, et donne une expérience proche d’une app native. Pour la déployer, vous devez créer un fichier .env avec vos variables d’environnement (email admin, mot de passe, provider de stockage, token Mapbox…etc), vous lancez docker pull ghcr.io/hoshinosuzumi/chronoframe:latest, et hop, ça tourne direct.
Le
guide de démarrage
détaille tout le process et ça vous prendra 5 minutes chrono.
Une fois lancé, vous accédez à l’interface web, vous vous loggez avec votre email/password (ou via GitHub OAuth si configuré), vous allez dans /dashboard, et vous uploadez vos photos.
Voilà, j’ai trouvé ça cool parce que reprendre le contrôle de ses photos, ça veut pas forcément dire supprimer les métadonnées comme je l’ai souvent conseillé. Ça peut aussi vouloir dire décider de qui a accès à ces métadonnées. Car ça reste des informations précieuses et c’est quand même dommage de s’en priver donc autant héberger soi-même ses photos, comme ça vous pouvez les exploiter comme bon vous semble.
Notez que ChronoFrame ne vous aidera pas à supprimer vos EXIFs, mais il existe des outils pour faire ça comme
ExifTool
ou
mat2
. Vous pouvez aussi scripter ça avant d’uploader quoique ce soit sur les réseaux sociaux mais la plupart des gens ne le font pas parce qu’ils ne savent même pas que les données sont là. Je sais aussi que des sites comme X.com retirent certaines des méta données avant de diffuser votre photo publiquement mais ça ne veut pas dire qu’eux ne les exploitent pas en amont pour vous balancer de la pub par exemple…
Voilà, si vous voulez voir ce que ça donne, il y a un
site de démo
où vous pouvez voir l’interface en action !
Faire tourner un modèle de langage européen sur votre machine sans avoir besoin d’un serveur surpuissant branché sur une centrale nucléaire, c’est maintenant possible, les amis ! Hé oui,
EuroLLM
vient de prouver qu’on pouvait faire tourner un modèle à 9 milliards de paramètres dans un peu moins de 6 GB de RAM sur un simple laptop.
Une seule commande
Ollama
, et c’est parti mon kiki !!!
Bien sûr, il est encore loin des gros modèles proprio comme GPT-5 mais c’est le enfin le premier LLM européen que VOUS pouvez faire tourner en local. C’est respectueux de votre vie privée, des droits d’auteurs et c’est gratuit !
EuroLLM-9B
, le modèle de base, a été entraîné sur 4 trillions de tokens avec le supercalculateur
MareNostrum 5
à Barcelone (400 GPUs Nvidia H100) et l’architecture utilise du Grouped Query Attention, RoPE, SwiGLU et RMSNorm, comme tout LLM moderne qui se respecte.
Mais il existe d’autres versions comme EuroLLM-1.7B pour smartphones et bientôt EuroLLM-22B pour plus de puissance, ainsi qu’une version vision-language (EuroVLM-9B) et un modèle Mixture-of-Experts (EuroMoE-2.6B).
Et surtout c’est sous licence Apache 2.0. Donc l’usage commercial est autorisé, vous pouvez le fine-tuner sur vos données, et les modifications sont libres, sans redevance à payer. Ce n’est pas la première fois qu’il y a des LLM européens mais ils étaient soit sous licence trop restrictives ou un peu trop lourd pour être utilisé localement par les gens normaux comme vous et moi.
ollama run hf.co/bartowski/EuroLLM-9B-Instruct-GGUF
Ollama télécharge le modèle en version GGUF (format optimisé CPU/GPU), et vous pouvez commencer à discuter. Il existe aussi une version pré-packagée alibayram/erurollm-9b-instruct (attention, erurollm avec un “u”), quantized en Q4_K_M pour réduire la taille à 5,6 GB.
Si vous préférez Python et Hugging Face Transformers :
from transformers import AutoTokenizer, AutoModelForCausalLM
model_name = "utter-project/EuroLLM-9B-Instruct"
tokenizer = AutoTokenizer.from_pretrained(model_name)
model = AutoModelForCausalLM.from_pretrained(model_name)
inputs = tokenizer("Explique-moi ce qu'est un LLM en français simple", return_tensors="pt")
outputs = model.generate(**inputs, max_length=200)
print(tokenizer.decode(outputs[0]))
Une fois téléchargé, le modèle reste en cache local. Vous pouvez alors l’utiliser offline, sans connexion internet. Et pour les machines avec moins de RAM, la version 1.7B tourne même sur des Raspberry Pi :
ollama run cas/eurollm-1.7b-instruct-q8
Alors pourquoi c’est important ?
EuroLLM ouvre l’IA européenne à des cas d’usage impossibles avec des API cloud. Par exemple une administration publique ne peut pas envoyer ses documents dans le cloud d’OpenAI… ce serait tout livrer aux américains. Elle peut donc fine-tuner EuroLLM localement. Un journaliste en zone sensible sans connexion fiable peut aussi embarquer le modèle sur son ordi portable. Même un chercheur qui manipule des données médicales confidentielles peut le faire en toute confiance avec EuroLLM puisque tout reste sur sa machine.
C’est cool quand même que l’Europe nous file un modèle gratuit qu’on peut installer chez soi et utiliser sans limite. Après c’est vrai que EuroLLM ne bat pas GPT-4 (pas encore) mais il est suffisamment bon pour 80% des cas d’utilisation réels tels que des résumés, de la traduction, des questions-réponses simples, de la génération de code basique.
La roadmap prévoit d’ajouter de la vision et de la voix aux modèles. D’ailleurs, comme je vous le disais, EuroVLM-9B est déjà en preview sur
Hugging Face
, ce qui ouvre la voie à de l’OCR multilingue, de l’analyse de documents visuels, ou encore à la création d’assistants vocaux dans n’importe quelle langue…
Voilà j’ai trouvé ça cool à tester et un grand merci à
Letsar
pour le partage !
Merci à vous de suivre le flux Rss de www.sospc.name.
Je ne le répète souvent, il ne faut pas utiliser le désinstallateur natif de l'éditeur d'un logiciel.
Oui, la très grande majorité des désinstallateurs automatiques sont feignants, ils laissent de nombreux résidus.
S'il n'y avait qu'un problèmes de place - je veux dire par là que tous ces oublis finissent au fil des ans par occuper de la place - ce ne serait pas un gros problème.
Là où cela se corse, c'est que ces restes peuvent dans certains cas parasiter la réinstallation du logiciel éponyme voire même d'autres logiciels !
Vous l'avez compris, il vaut mieux faire le ménage à fond de son Système.
Je vais ai présenté par le passé Revo Uninstaller et IOBIT Uninstaller, je vous propose de découvrir une alternative avec une licence à vie offerte.
Qui n’a jamais ressenti un petit frisson en se connectant à un Wi-Fi public ? Entre la parano légitime et le ras-le-bol du pistage permanent, la frontière est mince. Pourtant, la plupart d’entre vous s’en remettent encore souvent au hasard, à défaut de solutions simples… ou abordables. En creusant un peu, Surfshark VPN s’impose aujourd’hui comme LA réponse à cette anxiété numérique, avec une conception faite pour disparaître complètement derrière votre usage quotidien, que vous soyez néophyte ou vieux barbu du net.
Oubliez le cliché du VPN qui rame
C’est terminé l’époque où activer un VPN c’était un peu comme brancher la PlayStation sur une ligne RTC : Surfshark a choisi de miser sur le muscle technique, pas la poudre aux yeux. Non content d’être passé d’un parc de 3200 machines à plus de 4500, les serveurs 100 Gb/s déployés depuis quelques semaines sur leurs hubs principaux ne sont pas qu’un chiffre choc pour faire joli dans les benchmarks. Résultat ? Que vous streamiez en 4K, télétravailliez avec dix onglets ouverts, ou téléchargiez à la volée depuis un aéroport à l’autre bout du monde, le débit tient la route. On oublie presque qu’il y a un VPN en route.
Mieux : la connexion simultanée illimitée et multiplateforme (macOS, iOS, Windows, Android …) met fin aux petites querelles de famille pour savoir qui a droit à sa session sécurisée. Tablette, box TV, ordi pro, téléphone, console… tout le monde roule en Surfshark, dans la foulée, sans coût caché ni micro-gestion.
La vraie force réside dans cette sensation de légèreté. On décolle pour l’étranger ? Netflix, Prime, chaînes nationales, tout redevient disponible comme si vous n’aviez pas quitté le salon. Surfshark gère les géorestrictions comme VPN Messi Lionel Messi évite les défenseurs adverses. Gauche-droite, tir au but (enfin un truc comme ça, vous savez que moi et le foot …). Plus besoin de jongler avec des extensions louches ou de jouer au chat et à la souris avec les catalogues internationaux.
L’appli, agréable à utiliser, ne pollue pas l’écran de pop-ups ou de réglages abracadabrants : trois clics, et la sécurité devient presque invisible. Besoin d’une couche supplémentaire ? Mode camouflage, MultiHop : activable en deux secondes pour ajouter de l’opacité selon le contexte, ou contourner les réseaux d’entreprise/fac/campus un peu trop curieux.
Sécurité de bout en bout… même quand tout part en vrille
Ce qui marque surtout, c’est l’effort pour ne jamais exploiter vos données : politique no-log auditée régulièrement par des organismes indépendants (encore récemment, le dernier audit date de juin), serveurs en RAM pure,
fonctionnalité CleanWeb
intégré pour bloquer pubs et malwares, etc. Et une volonté affichée de ne rien laisser trainer, surtout pas sous la pression d’on ne sait quelle demande tierce. Même si le serveur plante ou redémarre, aucune donnée ne reste stockée. Lorsque le VPN décroche (coupure Wi-Fi, extinction PC…) le Kill Switch fait le ménage en fermant tous les robinets, impossible de lâcher accidentellement votre IP ou vos habitudes de surf dans la jungle d’internet.
Marre de voir votre boîte mail infectée après chaque inscription banale ? Surfshark propose l’
Alternative ID
, un générateur d’identités temporaires pour s’inscrire aux sites en limitant le spam et le pistage. Couplé à CleanWeb, c’est la fin des bannières intrusives, redirections foireuses et tentatives d’hameçonnage. Naviguer sur le web redevient aussi paisible que de lire un bouquin chez soi.
Le prix chute, la sécurité s’universalise
Black Friday ou non, l’offre du moment ne souffre aucune concurrence : moins de 2 € HT par mois sur 2 ans, et trois mois gratuits pour compléter la panoplie (soit 64.48€ TTC pour 27 mois). Pas d’options indispensables planquées dans des add-ons premium, pas de pièges à la reconduction tacite. Au contraire puisque l’abonnement ne fait qu’ajouter des options : ad-blocker, IP rotative, bypasser …
Un VPN ne doit plus être vécu comme une rustine de geek, mais comme le socle totalement transparent de votre vie connectée. Surfshark n’essaie pas de réinventer la roue : il la fait simplement tourner à pleine vitesse, sans bruit, partout, tout le temps et pour une fois, c’est le prix qui s’adapte à la vraie vie, pas l’inverse. Pour ceux qui veulent tenter sans risque, c’est la promesse d’une sécurité totale, même en mobilité ou sur les réseaux publics, et sans jamais rogner sur le débit ni votre compte bancaire.
Et ce qui fait vraiment la différence à mes yeux, c’est la boulimie d’activité du VPN. Rien qu’en 2025, on lui doit les nouvelles technologies Everlink et FastTrack, un bloqueur de contenu web, le lancement de la VPN Trust Initiative, la mise en place de serveurs DNS publics (utilisables par tout le monde, pas seulement les abonnés), des tonnes d’améliorations de fonctionnalités existantes, etc. Plus, comme je le disais plus haut, le passage de ses serveurs du standard 10Gb/s à 100Gb/s. Bref ils bougent tout le temps et ça, c’est plutôt un gage de confiance.
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