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Ici tout commence : Vic en danger de mort à cause de Doria ? "Elle est dans le déni par rapport à sa méthode...", selon Lou Ladegaillerie

Vic se met de plus en plus en danger dans Ici tout commenceDans l’épisode du mardi 29 avril 2025 du feuilleton de TF1, le personnage incarné par Lou Ladegaillerie décide de prendre une décision radicale pour soigner son cancer du sein. La jeune femme préfère en effet écouter encore Doria (A

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"Voilà ce qui va se passer" : il y a 33 ans, Quentin Tarantino s'est totalement trompé au sujet de son deuxième film

Aussi étonnant que cela puisse paraître, Quentin Tarantino n'était pas très confiant à propos de son avenir après avoir réalisé son premier film, Reservoir Dogs. En 1992, son oeuvre a été encensée par la critique et le public a littéralement adoré la proposition du cinéaste, le propulsant…

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Dwayne Johnson méconnaissable et en route vers son meilleur rôle ? Découvrez la bande-annonce de Smashing Machine

Quatre ans après la sortie du Jungle Cruise de Disney, Dwayne Johnson et Emily Blunt font de nouveau équipe. Pas pour les besoins d'une suite mais un tout autre projet, hébergé par le très hype studio A24, mis en scène par Benny Safdie (Good Time, Uncut Gems) et inspiré d'une histoire v…

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"Jean Gabin me terrorise" : ce grand comédien se souviendra toujours de sa rencontre avec la légende du cinéma français il y a 49 ans

Jean Rochefort, disparu en 2017 à l'âge de 87 ans, est une légende du cinéma français. L'acteur a joué avec les plus grands, de Jean-Pierre Marielle à Valérie Lemercier en passant par Claude Brasseur, Jean-Paul Belmondo ou Philippe Noiret.

Aussi talentueux et confiant qu'il puisse être,…

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Thunderbolts* : que vaut la nouvelle équipe Marvel ?

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Une fausse bande de losers à la tête de Thunderbolts*

Après Black Widow (2021) et la série Hawkeye (2021), Florence Pugh reprend son rôle de Yelena Belova dans Thunderbolts*, la nouvelle production Marvel, qui fait suite au décevant Captain America: Brave New World, sorti lui en salles en début d’année. Dans cette nouvelle aventure super-héroïque, Yelena tient le rôle principal et apparaît en tueuse désabusée. Chargée de régler les sales affaires de Valentina de Fontaine (Julia Louis-Dreyfus, excellente), elle se retrouve confrontée à d’autres anti-héros déjà introduits à l’écran : Ghost (Hannah John-Kamen), Taskmaster (Olga Kurylenko) et John Walker (Wyatt Russell). Réunis d’abord pour s’entre-tuer, ils devront s’allier pour faire tomber Valentina qui, de son côté, tente de mener à bien un projet secret.

Thunderbolts* ©Marvel
Thunderbolts* ©Marvel

Thunderbolts* n’a de cesse de rappeler à quel point les membres de cette équipe sont des ratés incapables de travailler ensemble. Pourtant, à aucun moment le spectateur ne se laisse berner. Notamment, car le scénario ne prend pas la peine de laisser place au doute. Le film Marvel de Jake Schreier pioche un peu dans l’excellent The Suicide Squad (2021), mais se repose trop souvent sur des gags lourdingues (David Harbour est insupportable en Red Guardian). Ici et là, le long-métrage laisse entrevoir un certain potentiel dramatique autour de questions familiales, sauf que Thunderbolts* reste en surface, voire y répond de manière sarcastique.

Il n’y a qu’à voir Yelena faire part de sa solitude, avant que Walker ne moque sa psychologie de comptoir. Par la suite, c’est à nouveau avec beaucoup de sérieux que Yelena discute de ses émotions avec son père, avant de procéder à une sorte de thérapie de groupe accélérée pour faire face à un grand danger. De la même manière, le passé violent de chacun est grandement mis en avant dans Thunderbolts*, mais cette idée globale s’accompagne des remarques sarcastiques de Yelena sur la jeunesse difficile de tout le monde. Et c'était compter sur le manque total de respect dans le traitement d'un personnage, tandis que l'héroïne sera la seule à faire preuve d'un peu d'empathie à son égard. Difficile alors de comprendre sur quel pied danser. Thunderbolts* se veut tantôt sombre, violent, touchant, ou même politique, tantôt divertissant et enfantin. Malheureusement, la combinaison de tout cela ne prend pas cette fois-ci.

Une antagoniste qui sauve la face

Si scénaristiquement Thunderbolts* est limité (le film est construit autour de deux grands moments), il ne parvient pas non plus à emporter visuellement. Par exemple, un réel problème de montage est à noter lors du premier affrontement entre les protagonistes, entre-coupé par un gala de bienfaisance organisé par Valentina. Les autres séquences d’action ne sont pas plus excitantes à regarder. On peut toujours se réjouir de ne pas être épuisé par une débauche d’effets numériques et un montage ultra-saccadé. Mais en n'ayant aussi peu à proposer en termes de mise en scène, la dernière production Marvel provoque, au mieux, un ennui poli. Reste uniquement en tête une séquence du dernier acte, cette traversée de Yelena à travers les traumas d’un nouveau personnage, comme un passage d'un cauchemar à un autre.

Thunderbolts* ©Marvel
Thunderbolts* ©Marvel

On a finalement plus de plaisir à voir Julia Louis-Dreyfus en femme de pouvoir impitoyable qu’à regarder les galipettes des super-héros. Menacée par une enquête d'un sénateur, Valentina fait tout pour cacher ses sombres secrets et trouve toujours un moyen de rebondir. C’est ce qui rend ce personnage assez jouissif, parfois même amusant. Par contre, de là découle une réelle interrogation sur le message que peut véhiculer Thunderbolts*. Bucky (Sebastian Stan) préférant la manière forte aux rapports juridiques - il chie (presque littéralement) dessus -, il décide de reprendre du service pour rendre justice lui-même. Oubliez la paperasse, place à l'action. Alors que Donald Trump s'est fait remarquer en licenciant à tour de bras des postes gouvernementaux qu’il jugeait inutiles, voilà qui est un peu maladroit du côté de Marvel.

Thunderbolts* de Jake Schreier, en salles le 30 avril 2025. Ci-dessus la bande-annonce.

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On en sait plus sur le film de Gérard Jugnot inspiré de l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès

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Un homme ordinaire au centre d’une erreur judiciaire

Réalisé par Gérard Jugnot, Mauvaise pioche est actuellement en tournage dans le sud de la France. Le film suit Serge Martin, un retraité paisible arrêté à tort et confondu avec “l’homme le plus recherché de France”. Très vite, il devient la cible des médias et se retrouve pris dans un engrenage dont il tente de s’extraire.

Gérard Jugnot incarne le rôle principal et signe également la réalisation. Il est entouré d’un casting étoffé : Philippe Lacheau, Thierry Lhermitte, Jean-Pierre Darroussin, Michèle Laroque, Zabou Breitman, François Morel. Le scénario est coécrit avec Frédéric Hazan et Serge Lamadie. La production est assurée par M.E.S. Productions, en partenariat avec OCS, Netflix, Ciné+ et TF1 Productions. Le tournage se déroule jusqu’au 16 mai. Pan Distribution assurera la sortie en salles.

Une première photo du film a été dévoilée :

Mauvaise pioche
Mauvaise pioche © Jean-Marie Leroy © Pan Distribution

Une fiction inspirée d’un emballement médiatique réel

Si Mauvaise pioche ne cite pas explicitement Xavier Dupont de Ligonnès, le film semble directement inspiré d’un fait divers survenu en octobre 2019. Ce jour-là, un retraité français est interpellé à l’aéroport de Glasgow par les autorités britanniques, à la demande de la police française. Il est identifié comme Xavier Dupont de Ligonnès, suspect principal dans l’assassinat de sa femme et de ses quatre enfants à Nantes en 2011, et introuvable depuis.

L’information fait immédiatement la une des médias, en France comme à l’étranger. Les chaînes d’information en continu évoquent une arrestation historique. Certains titres annoncent même son extradition imminente. Mais dès le lendemain, tout s’effondre : l’analyse ADN contredit l’identification. L’homme arrêté, qui n’avait jamais changé de nom, n’était en réalité qu’un retraité sans lien avec l’affaire, victime d’une ressemblance physique et d’un contrôle hasardeux.

Cette erreur spectaculaire, rendue publique avant même d’être confirmée, a soulevé de nombreuses critiques. Sur la précipitation des annonces, la gestion de l’information judiciaire, mais aussi sur l’impact personnel pour l’homme concerné, resté marqué par l’exposition subie.

C’est ce type de dérapage que semble explorer Mauvaise pioche, en y injectant une dimension comique et satirique.

Ça n'est pas la première fois que le cinéma français s'inspire de l'affaire de la "fausse arrestation" de XDDL. L'année dernière, le film Les Pistolets en plastique de Jean-Christophe Meurisse évoquait déjà cette affaire.

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Fabien Roussel : Son terrible lapsus sur France 2

Fabien Roussel était l'invité des 4 Vérités , le rendez-vous politique de Télématin sur France 2 ce lundi 28 avril 2025. Au cours de l'interview menée par Julien Arnaud, le secrétaire national du Parti Communiste Français a commis un terrible lapsus…

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13 jours, 13 nuits : une bande-annonce intense pour le nouveau film de Martin Bourboulon

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Martin Bourboulon passe au thriller historique avec 13 jours 13 nuits

Martin Bourboulon poursuit son exploration des genres. Après ses comédies Papa ou Maman et Papa ou Maman 2, son biopic Eiffel et son diptyque d’aventure Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan et Milady, il dévoilera cette année un thriller, inspiré par des faits réels. Il s’agira d’une adaptation du livre autobiographique de Mohamed Bida 13 jours 13 nuits dans l’enfer de Kaboul.

13 jours 13 nuits débute le 15 août 2021, lorsque les talibans s’emparent du pouvoir en Afghanistan. Le chaos fait alors irruption dans le pays, et alors que de nombreuses ambassades ferment leurs portes, celle de la France reste ouverte. Chargé d’en assurer la sécurité avec ses hommes, le commandant Bida décide alors de négocier avec les talibans avec l’aide d’une humanitaire franco-afghane, Eva, afin d’organiser une évacuation jusqu’à l’aéroport. Le temps jouant contre eux, ils doivent réussir l’évacuation avant qu’il ne soit trop tard.

Une plongée d’une tension extrême dans l’enfer de Kaboul

Pathé a mis en ligne la bande-annonce de 13 jours 13 nuits. D’après les images dévoilées, Martin Bourboulon a voulu essayer de retranscrire la tension extrême vécue par tous ceux qui ont cherché à quitter la ville tombée sous l’emprise des talibans au moment de la chute de Kaboul.

On peut également voir dans ces images la lutte du commandant Bida pour sauver les membres de l’ambassade de France, mais aussi les Afghans qui tentent de quitter le pays pour échapper au régime des talibans. Des images qui annoncent un film choc, puissant et émouvant.

Roschdy Zem et Lyna Khoudri en têtes d’affiche

Martin Bourboulon a confié le rôle de Mohamed Bida à Roschdy Zem. Le cinéaste a aussi une nouvelle fois retrouvé son actrice fétiche : Lyna Khoudri. Apparue dans les deux films Les Trois Mousquetaires ainsi que la série Carême, elle a cette fois prêté ses traits à Eva. Le scénariste et réalisateur français a aussi dirigé Sidse Babett Knudsen, également au générique de son nouveau film.

13 jours 13 nuits sortira cet été. Il aura une petite particularité puisqu’il n’arrivera pas dans les salles un mercredi, mais plutôt un vendredi. Il sera à découvrir à partir du 27 juin.

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Ses films sont considérés comme des chefs-d'œuvre et on connaît la date de sortie de son nouveau long métrage ambitieux

La Traversée du temps, Summer Wars, Les Enfants loups, Le Garçon et la Bête, Miraï, ma petite sœur, Belle… Tous ces chefs-d’œuvre animés ont un point commun : ils ont été réalisés par Mamoru Hosoda.

Le réalisateur japonais s’apprête une nouvelle fois à nous faire vibrer avec Scarlet,…

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Après Top Gun Maverick, ce réalisateur va raviver l'une des séries les plus célèbres de tous les temps

La série Miami Vice est bientôt de retour au cinéma. Adapté une première fois par Michael Mann en 2006, avec Colin Farrell et Jamie Foxx, le programme emblématique des années quatre-vingt fait l'objet d'un remake sur le grand écran avec Joseph Kosinski, réalisateur de Top Gun Maverick, aux…

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Bande-annonce : cette comédie romantique irrésistible avec Baptiste Lecaplain, coup de coeur à l'Alpe d'Huez, se dévoile

C'est une comédie romantique pleine de charme, qui arrivera au cinéma en 2025. Sa bande-annonce vient d'être dévoilée. Rendez-vous dans les salles le 18 juin 2025 dans les salles de cinéma pour découvrir le film.

Depuis l'Alpe d'Huez, ce film fait partie des grandes attentes côté comédies frança…

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L'équipe des Trois mousquetaires s'empare d'une histoire vraie méconnue ! Découvrez la bande-annonce

Attendu pour la fin juin, 13 jours, 13 nuits est l'un des films français les plus ambitieux de l'année mais aussi l'un des plus surprenants puisqu'il s'intéresse à une histoire peu connue du grand public : l'exfiltration de citoyens afghans réalisée en août 2021 par le commandant Mohamed Bida.

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Après l'un des plus gros succès de 2025, ce réalisateur va ressusciter la meilleure série de science-fiction des années 90

Ryan Coogler est sur un petit nuage en ce moment. Son thriller horrifique Sinners fait sensation au cinéma, en réalisant un record pour son second week-end. Mais le réalisateur ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Depuis 2023, son nom est associé à un projet de reboot de X-Files, la sér…

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“Si je n’ai ni ma place dans le cinéma français, ni dans le cinéma indien, je vais créer la mienne avec ce film" : rencontre avec le réalisateur de Little Jaffna

En 2016, Lawrence Valin intègre le programme La Résidence de La Fémis, où il réalise le court métrage Little Jaffna, récompensé par le Prix Canal+ au Festival de Clermont-Ferrand. Grâce au soutien de la Fondation Gan, il développe ce projet en un premier long métrage, dans lequel il int…

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C'est l'un des romans français les plus lus au monde : Pierre Lottin sera aussi au casting de cette adaptation très attendue !

Le casting de l'adaptation du roman d'Albert Camus L'Étranger par François Ozon continue de s'étoffer. Après Benjamin Voisin dans le rôle de Meursault, héros de ce chef-d'œuvre de la littérature française, et Rebecca Marder qui tiendra le rôle principal féminin, ScreenDaily révèle le c…

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Demain nous appartient : "Je ne sais pas si Marianne est prête à céder"... Luce Mouchel se confie sur l'avenir amoureux de son personnage

Après avoir pleuré la mort de son mari, Marianne (Luce Mouchel) s’est peu à peu réconciliée avec la vie et avec l’idée de l’amour dans Demain nous appartient.

Plus ouverte aux rencontres, le docteur Delcourt s’était même laissée courtiser par deux prétendants : Alain (Christian Vadim) et Séba…

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Il a attiré plus de 1 million de spectateurs en France : le réalisateur de Conclave recrute Brad Pitt pour son prochain film

Succès surprise de la fin d'année dernière, le film Conclave est de nouveau dans l'actualité (et vient de ressortir dans certaines salles de cinéma) à l'occasion du conclave qui débutera le 7 mai prochain au Vatican suite à la mort du Pape François. 

Voyage à travers l'Europe

Et si vous faites par…

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Netflix : sorti il y a 30 ans, ce thriller machiavélique va vous retourner le cerveau

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Un jeu d’apparences au cœur d’un procès explosif

Peur primale démarre comme un polar judiciaire classique. Richard Gere incarne Martin Vail, avocat star de Chicago, flamboyant et cynique, qui accepte de défendre un jeune homme de 19 ans, accusé d’avoir assassiné un archevêque dans des circonstances particulièrement sanglantes. L’accusé, Aaron, timide et bègue, est retrouvé couvert de sang près du corps. Tout l’accuse.

Mais très vite, le film prend un virage plus trouble. La défense s’oriente vers une hypothèse psychiatrique : Aaron souffrirait d’un trouble dissociatif de l’identité. Derrière sa façade fragile se cacherait une autre personnalité, violente, incontrôlable. Ce jeu d’équilibre entre vérité, manipulation et mise en scène fait progressivement basculer le film du simple procès au véritable piège psychologique.

Réalisé par Gregory Hoblit, Peur primale repose sur une tension dramatique constante et une narration classique mais redoutablement efficace. Le film n’accumule pas les effets, mais fait confiance à ses personnages pour instiller le doute à chaque scène.

Edward Norton : révélation brutale d’un monstre ordinaire

Ce qui a fait la force du film en 1996, et ce qui continue de le rendre percutant aujourd’hui, tient en un mot : Edward Norton. Inconnu à l’époque, il livre ici une performance sidérante, entre vulnérabilité et menace latente. Il n’a que 26 ans lors du tournage, mais capte toute l’attention dès sa première apparition. Sa capacité à incarner un personnage à deux visages en a fait l’une des entrées en scène les plus marquantes du cinéma des années 90.

Le twist final, encore aujourd’hui cité parmi les plus efficaces du genre, redonne à tout le film une relecture glaçante. Sans en dévoiler le contenu, il suffit de dire qu’il rebat totalement les cartes morales et psychologiques posées jusque-là. Ce n’est pas seulement un renversement narratif : c’est une claque, sèche et brutale, qui change la nature même de ce qu’on vient de regarder.

Trente ans plus tard, Peur primale n’a pas perdu de son tranchant. À une époque où les thrillers semblent souvent étouffés par la surenchère ou l’esbroufe, ce film rappelle qu’un bon scénario, deux acteurs solides, et une direction précise peuvent suffire à retourner un spectateur.

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