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"Ne mentez pas, vous l'avez tous fait !" : Robert De Niro célébré par Leonardo DiCaprio pour sa Palme d'honneur à Cannes 2025

Après Meryl Streep et George Lucas l'année dernière, c'est l’acteur, réalisateur et producteur américain Robert De Niro qui reçoit une Palme d’or d’honneur pour l’ensemble de sa carrière, lors de la cérémonie d’ouverture de la 78e édition du Festival de Cannes.

Quatorze ans après avoir été…

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Koh-Lanta : la finale change de jour sur TF1

Les fans de Koh-Lanta ne pourront pas suivre de nouveaux rebondissements ce mardi 13 mai 2025. Emmanuel Macron investit le prime de TF1, décalant le programmation du jeu emblématique de la chaîne privée depuis plus de deux décénies.

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"Pour un acteur, la prise de parole est souvent sacrificielle" : le discours fort et engagé de Laurent Lafitte en ouverture de Cannes 2025

Coup d'envoi pour le 78ème Festival de Cannes ! La cérémonie d'ouverture présidée par Laurent Lafitte a lancé le célèbre festival, où projections, masterclass et autres rencontres du cinéma vont se dérouler durant une quinzaine de jours.

Le 24 mai prochain, le Jury présidé par Juliette Binoche rem…

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"Un plaisir coupable pour les cinéphiles" : Gilles Lellouche et Laetitia Casta seront dans une comédie policière "intelligente" et pleine de références

Vingt ans après Ma vie en l’air, le cinéaste Rémi Bezançon (Le Premier Jour du reste de ta vie) retrouve Gilles Lellouche pour Bazaar, un film qui vient d'être annoncé lors du Marché du film qui se déroule en parallèle du Festival de Cannes.

Gilles Lellouche partage l’affiche avec Laetitia

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"Je pense que je l'ai vu environ 70 fois" : il y a 20 ans, John Krasinski était un grand fan de ce célèbre film des années 2000, dans lequel jouait sa future épouse

Réalisé en 2006 par David Frankel, notamment porté par une Meryl Streep au sommet de son art, Le Diable s'habille en Prada est très rapidement devenu un petit classique de la comédie américaine. On y suivait une jeune journaliste (interprétée par Anne Hathaway) engagée pour seconder une tyr…

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Léa Seydoux et Niels Schneider seront dans un film de science-fiction intrigant réalisé par un grand nom du cinéma français

Léa Seydoux et Niels Schneider se donneront la réplique dans un film français de science-fiction qui s'annonce très intrigant. Il s'agit de L'Inconnue, troisième réalisation d'Arthur Harari après Diamant noir et Onoda.

Jusqu'ici, on savait que le film serait "un "mélange de chronique u…

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Le Domaine : Félix Lefebvre et Lola Le Lann, beaux et désabusés dans ce polar noir

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Un conte noir sur la jeunesse perdue

Après La Troisième guerre (2021) - avec Anthony Bajon, Karim Leklou et Leïla Bekhti -, Giovanni Aloi poursuit son exploration d’une jeunesse solitaire et sans repères. Cette fois, il le fait au travers d’un polar teinté d’onirisme et de noirceur. Dans Le Domaine, il met en scène Damien (Félix Lefebvre), un étudiant fauché de Saint-Nazaire qui travaille pour un petit truand.

Passé de serveur à livreur, chauffeur ou encore barman, Damien va devenir l’homme à tout faire d’un relais de chasse servant de façade à des activités illégales : jeux d’argent, prostitution, et des parties de paintball sordides où des jeunes filles en robes blanches servent de cibles vivantes. Parmi elles, Célia (Lola Le Lann), ancienne étudiante devenue camgirl, qui accepte de se “faire de l’argent facile” sans illusion.

Le Domaine ©Capricci
Le Domaine ©Capricci

Le Domaine aurait pu tomber dans le cliché du preux chevalier sauvant la jeune fille perdue. Il n’en est rien. Giovanni Aloi préfère la cruauté au romantisme. Damien n’est ni héros ni voyou : juste un garçon figé, pris dans une spirale qu’il ne contrôle pas. Et Célia, loin d’être une victime passive, choisit cette vie sans se justifier, affirmant une forme d’indépendance lucide. Deux personnages tragiques qui rêvent de liberté mais piégés dans cet univers sombre mis en scène avec une vraie force esthétique par Giovanni Aloi.

Plongée dans Le Domaine avec Félix Lefebvre et Lola Le Lann

Avant toute chose, je dois dire que je vous trouve très beaux dans le film. Tous les deux. On sent que la caméra de Giovanni Aloi cherche à vous mettre en valeur et à créer une esthétique particulière autour de vous.

-Lola Le Lann : C’est vrai que Giovanni nous a très bien filmés. Pour mon personnage, j’ai trouvé qu’il en faisait une figure un peu mythologique. C’est quelque chose que j’ai remarqué après coup en regardant le film. Sur le tournage, je voyais qu'il prenait beaucoup de temps pour faire ses plans mais je n'avais pas conscience d’à quel point on pouvait être pris en compte esthétiquement.

-Félix Lefebvre : Même dans la recherche des costumes, Giovanni voulait créer des personnages un peu iconiques. D’ailleurs pour la préparation il m’a demandé de regarder Le Samouraï (1967) avec Alain Delon. Donc on est vraiment dans une recherche esthétique qui change de ce qu’on peut voir dans certains films français. Des films que j'aime par ailleurs, mais qui montrent des personnages avec les yeux rouges, le nez qui coule, ce genre de choses… Cette approche de Giovanni va avec ce que raconte le film. Il est question des mémoires d'un jeune homme. Et avec le principe du souvenir cela fait qu’on est dans une idéalisation du passé.

Tu parlais d’idéalisation, et c’est vrai car le film montre les souvenirs de Damien. Mais il y a aussi une idéalisation du cinéma par Giovanni Aloi, à travers ses références. Tu citais Le Samouraï de Jean-Pierre Melville, mais on pense aussi à Pierrot le Fou (1965) de Godard…

-Lola Le Lann : Oui, quand ton personnage se fait tirer dessus au paintball et se retrouve avec l’œil bleu…

-Félix Lefebvre : Ah c’est vrai… Mais pour revenir sur la question de la beauté, je ne m'en suis pas spécialement rendu compte pendant le tournage. Ce n'est pas le genre de choses auxquelles je pense en général. C'était la belle surprise en voyant le film. Par contre, il faut donner aussi du crédit à Martin Rit, le directeur de la photographie, qui a permis d’avoir cette image et cet éclairage.

Dans Le Domaine, tu passes d’un garçon innocent à quelqu’un de beaucoup plus sombre. On ne te reconnaît même pas tout de suite au début. Est-ce que tu avais envie, consciemment, de montrer une autre facette de toi ?

-Félix Lefebvre : François Ozon m'a dit une phrase qui m'a marquée : « Quand on est acteur, il faut avoir conscience de ce qu'on dégage naturellement et de ce qu'on est, sinon on peut nager à contre-courant et essayer de faire semblant, et ça se sent ». J'avais conscience qu'au vu des films que j'avais fait, je pouvais dégager quelque chose d'assez pur. Ce qui m'a plu dans ce personnage de Damien c’est qu’il y avait des axes que je n'avais pas pu explorer encore, et que j’allais surtout devoir travailler cette deuxième partie. Trouver comment dégager autre chose, tirer quelque chose de plus sombre par rapport à la première partie du film.

Le Domaine ©Capricci
Le Domaine ©Capricci

Cela donne un personnage qui combine deux états psychologiques. Par exemple après avoir bien agi, il dit cette phrase : « Ça ne sert à rien d’être gentil ». Tu le vois comme quelqu’un de fracturé ?

-Félix Lefebvre : C’est un personnage rempli de rêves, ou en tout cas d'envies de rêver, qui ensuite fait face à la déception. Cette phrase, c'est quelque chose qui peut résonner avec moi, avec mes envies en tant qu'acteur, de ce que j'ai envie de faire aujourd'hui… Quand on est jeune on ne veut pas être mis dans une case, et moi, forcément on m'a rarement attribué un rôle de fripouille. Mais pour revenir sur Damien, je pense qu’il a ce côté jeune qui rêve d’être un personnage sorti d’un film de Scorsese, parce que c’est hyper sexy. Du moins quand on est jeune. On veut être par exemple Al Pacino dans Scarface (1983), ou d’autres du même genre.

Célia est vue à travers les yeux de Damien. On la découvre par fragments, comme une image qu’il reconstruit. Lola, comment as-tu travaillé ce décalage, ce regard extérieur sur elle ?

-Lola Le Lann : Quand on a commencé à filmer des scènes où je devais regarder directement la caméra, comme si la caméra était le regard de Damien, je me suis penchée sur cette question. Ça m’a permis de donner à Célia encore plus de distance. C’est une fille qui ne veut jamais se confier, ne veut pas qu’on sache où elle habite, ne demande rien à personne, reste en retrait et isolée… D'une certaine manière, elle est un peu anesthésiée et dans une certaine désillusion. Je la vois très mélancolique, mais sans aucune violence. Ça m'intéressait cette figure stoïque.

C'est vraiment scandaleux d’entendre ça !

Lola, on t’a souvent vue dans des rôles plus doux ou vulnérables. Célia, elle, est beaucoup plus opaque, stoïque. Comment l’as-tu abordée ?

-Lola Le Lann : Au début je dégageais quelque chose de très candide. Je pense à Bluebird (2019) où je joue une fille complètement perdue et victime. Récemment pour une série j’ai eu un rôle totalement à l’opposé, de femme manipulatrice. Mais pour Le Domaine, je dirais que Célia est une victime, comme l’est tout le monde dans cette histoire. Cependant, elle garde un certain stoïcisme par rapport aux événements. J’ai pensé à des femmes comme ma grand-mère qui ont vécu des choses difficiles mais qui ont toujours porté une dignité et ne se sont jamais vraiment confiées.

Il y a plusieurs scènes où vous vous exprimez uniquement par le corps : le karaoké, le piano, la danse nocturne… Ce sont des moments forts, presque suspendus. Comment les avez-vous vécus ?

-Félix Lefebvre : Alors attendez, parce que la scène où je chante, il faut savoir une chose. Pour ma défense, ils ont mis une tonalité au piano sur laquelle j’ai chanté. Mais je crois qu’après ils ont changé de tonalité dans la bande-son, ce qui fait que je ne chante pas une note juste. Le pire, c’est que mon père est musicien et j'ai fait de la musique depuis que je suis enfant, donc là c'est vraiment scandaleux d’entendre ça ! (rire)

J’en ai parlé avec Giovanni en disant qu’il y a forcément des prises où je suis juste. J’ai proposé qu’on refasse ça en post-synchro. Mais pour lui, c’est justement ce qui est bien. Ça va avec le personnage, qui à ce moment est un peu ivre. Et puis, c'est aussi un moment où Damien n’est pas totalement lui-même, donc forcément sa façon de s’exprimer sonne faux. En tout cas, voilà mon excuse pour les oreilles des spectateurs. (rires)

-Lola Le Lann : Pour ce qui est du piano, c’est une scène qu’on a ajoutée pendant le tournage. L’endroit où on a tourné, il y avait un super piano à cuve en plein milieu du salon. Giovanni savait que j'avais fait le conservatoire en piano du début à la fin donc il a commencé à imaginer des nouveaux tableaux esthétiques autour de ça. On a cherché ensemble quoi jouer. Il m'a montré un concerto pour violoncelle, sublime, mais qui aurait été très différent en l’adaptant au piano. Finalement je lui ai proposé le mouvement Adagio d'un concerto de Jean-Sébastien Bach, en Ré mineur. Il a été validé une semaine avant de tourner. Donc j’ai dû trouver un piano à Saint-Nazaire pour travailler la partition pendant le week-end.

-Félix Lefebvre : Pour la danse, c'était particulier aussi parce qu’on devait danser sans chorégraphie et sans musique. C'était une sorte d'expérience de performance d'art contemporain qui était assez intéressante, avec un décor fou, une lumière violette, à 4h du matin… J'aime bien danser en général parce qu'il y a quelque chose de purement physique, on sort de toute psychologie, il n'y a que le corps et on ressent beaucoup plus de chose. Il fallait être naturel et instinctif, c’était vraiment bien à faire.

Giovanni dit qu’il connaît beaucoup de gens dans la vingtaine qui sont un peu perdus, désabusés, sans repères — et qu’il a voulu représenter ça à travers vos personnages. Est-ce que c’est quelque chose qui vous parle, dans vos vies ou autour de vous ?

-Félix Lefebvre : Ça m’a frappé moi aussi depuis quelques années de voir des proches comme ça. Leurs études se terminent, et ils ont des grosses remises en question au moment d’entrer dans la vie professionnelle. Du coup ils enchaînent les stages, ils veulent retarder le moment où il faudra se dire : « Voilà, c’est ça ma vie ». C'est ça qui fait peur je pense, de se dire qu’à partir du moment où on prend une décision, on a l'impression de définir ce qu’on va être. C'est là où Le Domaine peut résonner avec un grand nombre de personnes. Des jeunes perdus comme des gens qui ont eu cette sensation avant. Damien est tragique parce qu’il a l'impression de ne pas vivre à la hauteur de ce qu'on nous vend quand on grandit. On a des rêves qui sont démesurés et après il y a le raccrochement à la réalité, et on se dit que finalement le temps des rêves est passé, maintenant c’est le temps de la réalité, et ça fait peur.

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Teen Wolf, Demain nous appartient, Chicago Fire... Le Festival de Monte-Carlo 2025 dévoile ses invités et son programme

Du 13 au 17 juin, la Principauté de Monaco accueillera l’un des événements les plus prestigieux du petit écran : le Festival de Télévision de Monte-Carlo. Une fois encore, les plus grandes stars du monde entier fouleront le célèbre tapis rouge du Grimaldi Forum pour célébrer les séries,…

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"Un thriller à la manière du Fugitif avec Harrison Ford" : après Monte-Cristo, cette ambitieuse adaptation littéraire française va être abordée de façon inattendue et moderne

Après les succès d'adaptations d'Alexandre Dumas (Le Comte de Monte-Cristo, Les Trois Mousquetaires), c'est au tour du romancier Victor Hugo d'être à nouveau prisé par le cinéma français.

Deux projets d'envergure autour des Misérables ont été lancé. Celui sous la houlette de Fred Cavayé se d&

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Avec une perte de 144 millions de dollars, ce film tant attendu a été le plus gros échec ciné de l'année 2024

Dans un rituel quasi immuable, la période de fin d'année -voire le début de l'année suivante- est traditionnellement celle des bilans. Côté cinéma, c'est bien entendu l'occasion de passer en revue les succès comme les échecs.

Mais on peut aussi faire le choix de se donner un peu de temps (et de recu…

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Elle envoie des SMS à Tom Cruise et a ses propres figurines Marvel : la Française Pom Klementieff est l'invitée de Grand Ecran pour Mission : Impossible !

Avec Omar Sy, Camille Cottin et Tahar Rahim, elle fait partie des nouveaux Frenchies qui comptent à Hollywood. En douze ans, Pom Klementieff a su faire son chemin sur les plateaux américains, d'abord chez Spike Lee (Oldboy, 2013), puis chez Marvel où elle rejoint Les Gardiens de la Galaxie dan…

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Premières photos Les Maîtres de l'Univers : les héros de la saga fantastique culte des années 80 se dévoilent sur le tournage

Bonne nouvelle pour les nostalgiques des années quatre-vingt : la nouvelle adaptation cinématographique des Maîtres de l'Univers est actuellement en tournage à Londres et les premières photos donnent un aperçu de Musclor - interprété par Nicholas Galitzine - et Teela - jouée par Camila Mendes,…

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Alien : on sait enfin quand la très attendue série sera dévoilée

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Alien : Earth : a enfin une date de sortie

La franchise Alien a signé un retour en fanfare l’année dernière. La pause de sept ans qu’elle avait prise suite à la sortie de Covenant s’est terminée lorsque Romulus a été dévoilé. Ce retour a été triomphant. Car le film de Fede Álvarez a enthousiasmé à la fois le public et la critique.

Mais un autre projet au sein de l’univers lancé en 1979 se prépare depuis un long moment. En décembre 2020, nous vous rapportions qu’une série Alien était en développement. Signée Noah Hawley et intitulée Earth, elle aura donc fait patienter les fans pendant près de cinq ans. Mais on sait enfin quand on pourra la découvrir.

Rendez-vous cet été

Par l’intermédiaire de Variety, nous apprenons que Alien : Earth commencera sa diffusion cet été. Les deux premiers épisodes du show seront mis en ligne sur Disney+ le 12 août. Un nouvel épisode suivra ensuite chaque mardi, jusqu’au huitième et dernier le 23 septembre.

Comme le nom de la série l’indique, l’intrigue de la célèbre franchise d’horreur sera déplacée sur notre planète dans Alien : Earth. Le show s’intéressera à une jeune femme du nom de Wendy et à un groupe de soldats qui font une découverte les confrontant à la plus grande menace de la planète suite au crash d’un mystérieux vaisseau spatial de recherche.

20th Century Studios veut faire un nouveau film

L’idée de centrer l’histoire de la série Alien sur Terre devrait donc permettre de dévoiler des idées nouvelles au sein de la franchise. Parmi le casting des nouveaux venus au sein de cet univers, Sydney Chandler a été choisie pour porter la série en y incarnant Wendy. Alex Lawther, Timothy Olyphant, Essie Davis, Lily Newmark et Kit Young sont également à l’affiche du show.

Après la sortie de Earth, de nouvelles histoires appartenant à l’univers Alien devraient nous être racontées. Le succès de Romulus va devrait notamment permettre à la franchise de se poursuivre sur grand écran. En octobre dernier, le patron de 20th Century Studios a révélé que le studio comptait d’ores-et-déjà développer un nouveau film. Fede Álvarez, choisi pour être de retour derrière la caméra, en a dit un peu plus sur ce nouveau projet en janvier dernier.

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François Civil + Karim Leklou : après Bac Nord et L’Amour ouf, les 2 acteurs se retrouveront chez le réalisateur d'Hippocrate

Après les succès des Trois Mousquetaires et de L’Amour ouf, François Civil ne compte pas prendre de pause dans sa carrière ! Il a déjà mis en boîte Une affaire, le prochain film d’Arnaud Desplechin dans lequel il incarne un virtuose du piano, et a été annoncé la semaine dernière au cas…

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Plus belle la vie : après avoir découvert la vérité sur sa demi-sœur, Steve va-t-il enfin croire ses proches ?

Il y a quelques semaines dans Plus belle la vie, encore plus belle, Steve (Florian Abboud) a dû faire face au retour de son père biologique Sébastien (Bertrand Suarez). Si le jeune adolescent s’est immédiatement pris d’affection pour lui, son entourage a immédiatement eu des doutes sur s…

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