Bouygues Telecom dévoile Smart Change pour changer de smartphone

Bouygues Telecom introduit une offre Smart Change avec la promesse séduisante d'un smartphone neuf chaque année à prix cassé. Elle repose sur un crédit sur 36 mois.
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Oracle n’a pour l’instant rien annoncé, mais de nombreux indices concordants soulignent que la firme de Larry Ellison s’est engagée dans un plan de restructuration significatif. Les témoignages d’employés aux accès révoqués dans l’heure affluent du monde entier.
La rentrée de septembre occasionne chez les employés d’Oracle un petit jeu dont ils se seraient sans doute bien passé : devinez combien de personnes seront licenciées ces prochains jours ?
Pour ce faire, certains s’appuient sur le Slack interne de l’entreprise, et notamment son canal oracle-news, dont le nombre de participants est censé illustrer, en temps réel ou presque, l’effectif global de l’entreprise. À en croire les commentaires publiés par certains pseudonymes sur Reddit, cet indicateur traduirait entre 3 000 et 4 000 départs entre le vendredi 29 août et le mercredi 3 septembre.
Sur Reddit toujours, les témoignages anonymes affluent, illustrant à la fois la façon dont les employés concernés ont appris leur licenciement, et le régime d’indemnités prévu par l’entreprise. Ils vont également dans le sens d’une restructuration globale de l’entreprise, sans que le phénomène ne soit cantonné à un secteur d’activités particulier ou à une zone géographique.
À ce stade, rien n’a été confirmé, mais ces internautes qui affirment travailler chez Oracle parlent de postes supprimés du Mexique aux Philippines, en passant par l’Inde, où l’entreprise dispose d’équipes importantes. Enfin, des licenciements sont évoqués au Canada et aux États-Unis, où l’entreprise a certaines obligations d’information à respecter.
Oracle, qui compte environ 3 900 employés dans la région de Seattle, y avait déjà supprimé 161 postes en août. L’entreprise y a déclaré mardi 101 licenciements supplémentaires, signale la presse locale. Même son de cloche à Kansas City, où la télévision locale rapporte que des suppressions de poste ont été annoncées mardi, notamment au sein des équipes issues du rapprochement entre Oracle et Cerner dans le domaine de la santé.
Nouvelles coupes également en Californie, où la réglementation locale exige une déclaration préalable auprès du California Employment Development Department. Trois enregistrements y ont été déposés mardi 2 septembre par Oracle : obtenus par The Register, ils confirment quelque 300 suppressions de poste au travers des différents campus locaux de l’éditeur, programmées entre septembre et novembre. Là aussi, le mouvement fait suite à une première vague initiée en août, déjà sur plusieurs centaines de postes.
D’après les témoignages (toujours anonymes et donc sujets à caution) publiés sur Reddit, les licenciements se font de façon expéditive : un email informe le collaborateur d’un point individuel avec son manager, celui-ci déroule un script pendant une quinzaine de minutes, puis la personne est remerciée et ses accès sont révoqués dans la foulée.
Alors que des licenciements interviennent depuis plusieurs mois chez Oracle, la direction de l’entreprise n’a toujours pas pris la parole en public sur le sujet et son site corporate évoque toujours un effectif de 160 000 collaborateurs, comme en début d’année. Tout juste trouve-t-on une allusion à des charges exceptionnelles liées à des frais de restructuration dans ses résultats financiers.
Larry Ellison attend-il d’avoir mené sa restructuration à bien pour livrer un bilan chiffré global, à l’instar de son homologue Marc Benioff qui, chez Salesforce, vient d’annoncer que le recours à l’IA avait permis de réduire de 4000 personnes les effectifs du service client ?
S’il ne fait guère de doute que l’avènement de l’IA joue un rôle dans la stratégie RH d’Oracle, est-ce d’ailleurs uniquement dans une optique de remplacement de collaborateurs humains ? Ou la restructuration pourrait-elle intervenir comme une mesure de compensation face aux colossales dépenses d’investissement prévues par le groupe en infrastructures informatiques ?
La question ne manquera pas de se poser le 9 septembre prochain, date à laquelle Oracle publiera les résultats du premier trimestre de son exercice fiscal 2026. En attendant, Larry Ellison peut se targuer d’avoir su prendre la vague de l’IA qui porte les grands acteurs du secteur de la tech en bourse : son entreprise a atteint un plus haut historique cet été, avec une action tutoyant les 250 dollars en juillet, et le consensus fait état de prévisions optimistes pour le trimestre en cours.
Les licenciements concomitants (et peut-être consécutifs) à la vague de l’IA ne concernent pas qu’Oracle, loin s’en faut. Outre Salesforce, Cisco et Microsoft mènent également des plans de réduction d’effectifs. Chez ce dernier, 10 % des équipes françaises seraient ainsi sur le départ.
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La justice étasunienne met un frein à la politique de Donald Trump attaquant les universités. Il avait en effet confisqué 2,2 milliards de dollars de subventions fédérales à Harvard pour lui imposer de supprimer tous les programmes et initiatives en faveur de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, et en s’appuyant sur la lutte contre l’antisémitisme comme prétexte.
« Tous les gels et résiliations de financement à Harvard effectués conformément aux ordonnances de gel et aux lettres de résiliation à compter du 14 avril 2025 sont annulés et ignorés », a décidé la juge Allison D. Burroughs dans un jugement rendu ce mercredi 3 septembre. Les décisions que Donald Trump a prises pour punir financièrement l’université d’Harvard sont donc jugées illégales.
Dès les premiers mois de son mandat, le président étasunien avait fait pression sur plusieurs universités pour qu’elles abandonnent leurs programmes en faveur de la diversité, de l’équité et de l’inclusion (DEI) et en s’appuyant sur des accusations d’antisémitisme visant le mouvement étudiant pro-palestinien.
Columbia a été l’une des premières universités à courber l’échine dès mars 2025, comme l’expliquait le Guardian. En juillet, elle avait accepté un accord imposé par l’administration Trump : suite à des accusations selon lesquelles elle n’aurait pas protégé ses étudiants juifs, l’université a accepté de lui payer 200 millions de dollars et d’arrêter ses programmes DEI.
Du côté de l’Université de Californie, c’est 1 milliard de dollars que réclame l’administration Trump après les manifestations pro-palestiniennes de 2024.
Les attaques des républicains contre ces programmes ne datent pas du second mandat de Donald Trump. Ainsi, la Cour suprême, à majorité conservatrice, a rendu en 2023 un avis qui épinglait la politique d’admission de l’université d’Harvard comme de la « discrimination positive raciale ».
Les répercussions de ces attaques dépassent les seuls campus étasuniens. Les programmes DEI (diversité, équité et inclusion) sont des politiques extrêmement ciblées par le régime trumpiste et les républicains. Ainsi, depuis janvier, les géants de la tech ont tous rapidement abandonné ce genre de politiques d’inclusion, et de nombreuses administrations sont elles aussi affectées, au point de voir certains mots censurés.
Si Columbia a décidé de ne pas se battre, Harvard a voulu aller en justice en s’appuyant notamment sur les compétences de ses chercheurs en droit.
« Les lois qui ont été promulguées pour mettre fin à certaines formes de discrimination servent aujourd’hui d’armes dans la guerre menée par le gouvernement contre l’enseignement supérieur, car les efforts passés visant à protéger les droits constitutionnels – liberté d’expression, initiatives en faveur de la diversité et de l’équité, et protection des personnes transgenres – sont eux-mêmes présentés comme des formes de discrimination », expliquait Jeannie Suk Gersen, enseignante à l’école de droit de l’université d’Harvard, dans le New Yorker.
Dans sa décision [PDF], la juge Allison D. Burroughs leur donne raison : « l’examen du dossier administratif ne permet guère de conclure autrement que les accusés ont utilisé l’antisémitisme comme écran de fumée pour mener une attaque ciblée et motivée par des considérations idéologiques contre les meilleures universités du pays, et ce d’une manière qui enfreint l’APA [ndlr : Administrative Procedure Act], le premier amendement et le titre VI [ndlr: Title VI of the Civil Rights Act of 1964] ».
« La décision confirme les droits procéduraux et ceux garantis par le Premier amendement dont jouit Harvard, et valide nos arguments en faveur de la liberté académique de l’université, de la recherche scientifique critique et des principes fondamentaux de l’enseignement supérieur américain », a réagi le président de l’Université d’Harvard, Alan M. Garber, souhaitant en même temps une bonne rentrée à toute la communauté de son université.
Quant à l’accusation d’antisémitisme, le Boston Globe a révélé que l’un des avocats de l’administration Trump dans cette affaire a, lorsqu’il était étudiant, rendu un devoir pour un cours de latin rédigé du point de vue d’Adolf Hitler.
Si cette université est allée en justice contre les décisions de coupes budgétaires unilatérales de Donald Trump, elle a cependant quand même amendé sa politique sur la diversité, équité et inclusion. L’université a, par exemple, récemment fermé les sites de son Centre pour les femmes et de son Bureau pour la vie étudiante LGBTQ pour ouvrir un « Bureau de la culture et la communauté académiques ».
De plus, l’administration Trump peut encore contester la décision de la juge Allison D. Burroughs devant la Cour suprême. Si c’est le cas, peut-être qu’Harvard considérera la proposition faite par un chercheur en économie norvégien : Nathan Warren affirmait cet été dans le journal économique de son pays Dagens Næringsliv : « La Norvège pourrait acheter l’ensemble de la Harvard Corporation [l’organisation à but non lucratif qui gère Harvard] et la transférer en Norvège. Le moment est certainement propice pour l’obtenir à un bon prix. La Norvège dispose des fonds nécessaires et sa culture correspond parfaitement à celle de Harvard ».
Il y a plus de 10 ans, la première version du Dolby Vision proposait un ensemble de technologies pour le HDR, avec notamment des couleurs sur 12 bits (au lieu des 10 bits classiques du HDR10) et des métadonnées dynamiques. Dolby Laboratories annonce la version 2 de cette norme, avec un « moteur d’image repensé et encore plus puissant ».
Parmi les nouveautés, Dolby Vision 2 propose Authentic Motion : un outil de contrôle des mouvements pour améliorer la fluidité et éviter les saccades. Signalons aussi Content Intelligence qui permet « d’optimiser automatiquement votre téléviseur pour offrir une image plus captivante en fonction de ce que vous regardez et de l’endroit où vous regardez ».
Vous n’y couperez pas : « grâce aux capacités d’IA, Dolby Vision 2 s’adaptera intelligemment ». Dans Content Intelligence, il y a Precision Black pour améliorer la lisibilité dans les scènes sombres, Light Sense pour ajuster l’image à la lumière ambiante (déjà proposée avec Dolby Vision IQ), et enfin des améliorations spécifiques pour les contenus sportifs et les jeux.
« Les téléviseurs d’aujourd’hui sont plus lumineux avec plus de couleurs que jamais. Grâce au mappage des tons bidirectionnel, les créateurs disposent désormais de nouvelles commandes qui leur permettent d’en tirer le meilleur parti. Cela permet aux téléviseurs haute performance d’offrir une luminosité plus élevée, un contraste plus net et des couleurs plus profondes tout en préservant la vision créative de l’artiste ». Bref, c’est beaucoup mieux, pour résumer.
Dolby Vision 2 sera disponible en version classique, mais aussi avec une variante plus haut de gamme Max avec « des fonctionnalités premium supplémentaires conçues pour utiliser toutes les capacités de ces écrans ». Lesquels ? Mystère et boule de gomme.
Hisense répond déjà présent et des téléviseurs haut de gamme (RGB-MiniLED) seront les premiers à prendre en charge Dolby Vision 2. Du côté des contenus, CANAL+ « a également annoncé son engagement à soutenir Dolby Vision 2 ».
Un jury fédéral a ordonné à Google de verser 425 millions de dollars pour avoir collecté les données de millions d’utilisateurs ayant désactivé une fonction de suivi dans leur compte Google, violant ainsi leurs droits à la vie privée. Un non-respect de la vie privée des utilisateurs Le …
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