Liquid Glass est le nouveau langage visuel d'iOS 26, une réinterprétation des surfaces translucides typiques de l'interface Apple. Cet effet crée une sensation de verre liquide, avec des dégradés subtils et des transparences dynamiques qui réagissent à la lumière et au contenu en dessous. Ce n'est pas seulement esthétique : il améliore la lisibilité et attire l'attention sur ce qui compte vraiment à l'écran. Dans la bêta 3, Apple a introduit une version plus plate et plus opaque de l'effet, réduisant l'intensité des flous et des reflets. Ce choix a été mal accueilli, notamment parce qu'il ternissait l'identité visuelle de la nouvelle interface. Avec iOS 26 bêta 4 , Apple a fait marche arrière sur certains de ces changements, rétablissant une profondeur et une luminosité accrues , conformément au concept initial. Ceci, toutefois, pourrait se faire au profit d'une lisibilité réduite. Apple expérimenterait encore différentes itérations pour trouver le juste équilibre entre impact visuel et lisibilité. Certains éléments, comme le flou dynamique basé sur la lumière ambiante, sont encore en phase de test et pourraient évoluer dans les prochaines versions bêta. Liquid Glass représente l'une des évolutions les plus évidentes de l'interface iOS ces dernières années , marquant un retour aux transparences sophistiquées d'iOS 7, mais avec une approche plus mature et cohérente avec le matériel actuel. (Lire la suite)

Sony a commencé à tester un nouveau mode d'économie d'énergie pour les consoles PlayStation 5, permettant aux jeux de fonctionner avec une consommation d'énergie réduite. Cette fonctionnalité fait partie d'une nouvelle version bêta de la mise à jour système PS5 dévoilée aujourd'hui. Cette mise à jour permettra également de connecter la manette DualSense à plusieurs appareils simultanément. Ce mode réduit les performances des jeux au profit de l'économie d'énergie, et semble parfaitement adapté à la console portable PlayStation, dont on parle tant. Comme l'explique Shuzo Kikuchi, vice-président de la gestion des produits chez Sony Interactive Entertainment, cette fonctionnalité n'est pas disponible pendant la phase de test bêta, mais après sa sortie officielle, les jeux PS5 compatibles pourront fonctionner dans un mode moins gourmand en ressources si l'utilisateur active manuellement l'option correspondante. Selon Kikuchi, l'entreprise dévoilera la liste des jeux compatibles et les informations précises sur l'impact sur les performances à l'approche du lancement de la fonctionnalité. Cette initiative est conforme aux engagements environnementaux de Sony, mais elle signale également aux développeurs qu'ils pourraient être amenés à adapter leurs jeux à différents modes à l'avenir, surtout si l'entreprise prépare effectivement une console portable compatible avec les jeux PS5. Microsoft a déjà adopté une approche similaire, encourageant les développeurs à créer différents modes pour les jeux de la Xbox Series S. Cependant, cette initiative n'a pas été appréciée par les développeurs. (Lire la suite)

Microsoft a dévoilé aujourd'hui une nouvelle version du Surface Laptop compatible 5G. L'appareil sera commercialisé à partir du 26 août à un prix de départ de 1 800 $. Ce nouveau produit est basé sur le processeur Intel Core Ultra de deuxième génération et est équipé d'un processeur neuronal intégré donnant accès aux fonctionnalités d'IA avancées Copilot Plus de Microsoft. Extérieurement, le Surface Laptop 5G ne diffère guère du modèle Surface Laptop 7 actuel avec son écran de 13,8 pouces. Cependant, à l'intérieur, des modifications importantes ont été apportées : un modem 5G et la prise en charge des cartes nano SIM physiques et eSIM ont été ajoutés. La configuration de base comprendra un processeur Intel Core Ultra 5, 16 Go de RAM et un disque dur de 256 Go. La version haut de gamme, proposée à 2 700 $, sera équipée d'une puce Core Ultra 7, de 32 Go de RAM et de 1 To de stockage interne. Toutes les versions seront disponibles dans la couleur emblématique Platinum Silver. Microsoft souligne que l'installation d'un modem ne se limite pas à cela. L'ordinateur portable est équipé d'un système d'antennes spécialement conçu pour des scénarios d'utilisation réels, qui s'adapte en permanence à l'environnement. Au total, l'appareil est équipé de six antennes qui s'ajustent automatiquement en fonction de la position de l'ordinateur portable et de son utilisation. Pour mettre en œuvre cette technologie, un nouveau matériau était nécessaire, capable de transmettre les signaux radio sans perte de qualité, tout en offrant robustesse, légèreté et une esthétique haut de gamme. (Lire la suite)

Selon un nouveau rapport des analystes de TrendForce, le marché mondial des smartphones pliables progresse à un rythme modéré. Les principaux obstacles à leur adoption généralisée restent les mêmes : des doutes sur la fiabilité, un pli visible sur l'écran et, bien sûr, un prix élevé. On prévoit qu'environ 19,8 millions d'appareils pliables seront vendus en 2025, ce qui représentera environ 1,6 % du marché mondial des smartphones. La part était à peu près la même l'année dernière. Samsung reste leader sur ce segment, mais l'écart avec ses concurrents se réduit rapidement. La part de marché de l'entreprise, qui était de 45,2 % l'année dernière, devrait tomber à 35,4 % cette année. Huawei se rapproche de Samsung, sa part ne diminuant que légèrement, passant de 35,2 % à 34,2 %. L'écart entre les deux entreprises sera donc légèrement supérieur à un point de pourcentage. Face à la lutte acharnée entre les leaders, d'autres fabricants gagnent également du terrain. Ainsi, Honor verra sa part de marché passer de 6 % à 9,1 %, et Motorola de 5,5 % à 7,6 %. La part combinée des marques Oppo et Vivo devrait atteindre 8,5 %. Xiaomi affiche également une croissance soutenue, passant de 3 % à 5,1 %. TrendForce prévoit un développement stable, quoique lent, du segment des smartphones pliables. Cependant, l'arrivée d'Apple sur ce segment pourrait bouleverser la donne. Selon certaines rumeurs, cela pourrait se produire dès l'année prochaine : Apple aurait déjà commandé des écrans pliables à Samsung Display. Mais ce ne sont que des rumeurs pour l'instant. (Lire la suite)

Les spécifications DDR6 ont été officiellement approuvées par le JEDEC en 2024, et depuis, plusieurs fabricants ont commencé à développer des modules de nouvelle génération. Bien que la DDR6 soit encore loin d'être largement disponible dans les systèmes grand public, le CTEE rapporte que la demande croissante en calcul haute performance pousse les fabricants de DRAM à accélérer leurs travaux. Selon la publication, tous les principaux acteurs du marché, tels que Samsung, Micron et SK Hynix, ont intensifié leurs efforts de développement de la DDR6. Si tout se déroule comme prévu, la phase de test et de validation de la plateforme de la norme sera achevée d'ici 2026, et les premiers serveurs compatibles DDR6 apparaîtront en 2027. Il semblerait également qu'AMD, Intel et même NVIDIA collaborent déjà avec les fabricants de mémoire pour mettre en œuvre la nouvelle norme au plus vite. Concernant les caractéristiques de la DDR6, le taux de transfert de données de base sera de 8 800 MT/s, soit 83 % plus rapide que celui de la DDR5, dont le point de départ était de 4 800 MT/s. Il est à noter que 8 800 MT/s est déjà considéré comme une vitesse élevée, même pour les modules DDR5 haut de gamme, et la DDR6 démarre à ce niveau. La bande passante maximale de la DDR6 peut atteindre 17 600 MT/s, soit 70 à 80 % de plus que les modules DDR5 les plus rapides à ce jour. La nouvelle architecture mémoire subira également des modifications : au lieu de 2 canaux de 32 bits comme en DDR5, la DDR6 passera à une configuration de 4 canaux de 24 bits. Cela devrait accroître l'efficacité et les performances des accès mémoire multithread. (Lire la suite)

Depuis des années, Samsung et LG parviennent à honorer les commandes d'écrans d'iPhone d'Apple de manière fiable, tandis que le chinois BOE rencontre régulièrement des problèmes de production et de contrôle qualité, ce qui le rend rarement considéré comme un fournisseur principal. Mais avec l'imposition potentielle par les États-Unis d'un droit de douane de 25 % sur l'iPhone 17 si les appareils sont fabriqués à l'étranger, Apple cherche apparemment une troisième option dans sa chaîne d'approvisionnement. Le problème est que BOE ne peut pas encore fournir la moitié du volume de Samsung et LG, soit environ 112 millions d'écrans OLED par an. Alors que BOE pourrait théoriquement produire jusqu'à 100 millions de panneaux OLED pour l'iPhone chaque année, les dernières données montrent que seules 11 des 26 lignes de production de l'entreprise sont opérationnelles. Selon DealSite, chaque ligne peut produire 350 000 panneaux par mois. Ainsi, en 2025, BOE devrait fournir à Apple environ 45 millions de panneaux OLED LTPO. La raison exacte reste inconnue. Cependant, cela est probablement dû aux normes de qualité strictes d'Apple. BOE pourrait réduire intentionnellement sa production afin de réduire les défauts et ainsi minimiser les pertes. À titre de comparaison, Samsung livrerait 70 millions d'écrans et LG 42 millions supplémentaires, pour un total de 112 millions. Cette commande est tout simplement colossale et reflète le potentiel de ventes du fabricant pour l'année en cours. (Lire la suite)

Le très apprécié Assassin's Creed Shadows pourrait bien faire une apparition surprise sur la future Nintendo Switch 2. Des indices, glanés lors d'une récente conférence financière d'Ubisoft, combinés à une classification PEGI, renforcent cette hypothèse. Malgré les déclarations évasives des dirigeants, les éléments semblent converger vers l'arrivée de ce titre majeur sur la nouvelle console de Nintendo, marquant un tournant pour la franchise et pour les capacités de la machine.

Avec mes grandes oreilles, au loin j'entends les abeilles

Amazon se prépare à conclure l’acquisition de la startup californienne, inventrice d’un bracelet connecté à un système d’IA générative et capable d’écouter l’ensemble des conversations de celui qui le porte. Baptisé Bee, ce bracelet dans lequel a investi Xavier Niel est l’une des incarnations de cette nouvelle famille d’objets connectés censés servir d’assistants quotidiens.

Promis, Bee va améliorer votre vie quotidienne… pour peu que vous ayez beaucoup d’interactions vocales avec d’autres humains ! Ce bracelet, affiché en précommande à 49 dollars et livré, pour l’instant, exclusivement aux États-Unis, se propose en effet d’écouter l’ensemble de vos conversations du jour à l’aide d’un micro embarqué.

L’objectif est de pouvoir ensuite les passer au crible d’une intelligence artificielle générative, et ainsi vous permettre de consulter la synthèse d’une réunion, rechercher une information précise évoquée par un interlocuteur, ou tout simplement vous souvenir des « moments importants » de votre vie.

Un micro au poignet branché sur un service d’IA

D’après la startup Bee AI, qui envisage d’associer son bracelet à un abonnement payant, facturé 12 dollars par mois, les modèles d’IA distribués au travers de sa plateforme pourront apprendre des conversations et des habitudes de son utilisateur pour gagner, au fur et à mesure, en pertinence. Au point de passer progressivement d’une écoute passive à des fonctionnalités plus interactives, comme la suggestion de tâches, le rappel de rendez-vous, etc.

« Pour nous servir pleinement, l’IA doit vivre à nos côtés, s’inspirant non seulement des commandes, mais aussi de la texture de nos vies : nos relations, nos émotions et nos aspirations. Ce n’est qu’en s’immergeant dans nos vies que l’IA peut véritablement comprendre qui nous sommes et ce qui compte le plus », précise la startup sur son site.

La promesse vous parait orwellienne ? Bee, fondée en 2022 par deux anciens d’une application de chat vidéo, Squad, rachetée par Twitter, y voit les prémices d’un service capable aussi d’interagir avec votre boîte mail, votre agenda ou votre carnet d’adresses. Bref, un majordome IA, caché dans un bracelet qui, pour l’instant, fait surtout penser visuellement aux trackers d’activités premier prix.

L’appareil, dépourvu d’écran, embarque deux microphones, dispose d’un dispositif de filtration de bruit pour améliorer la capture des voix, et dispose d’un simple bouton qui permet de déclencher ou d’interrompre les enregistrements. Doté d’un simple connecteur USB type-C, il offrirait jusqu’à sept jours ou 160 heures d’autonomie. Bee AI prévoit par ailleurs de déployer son service sur Apple Watch via une application dédiée, et propose déjà une avant-première de sa future application Android.

Pour l’instant, Bee indique à Wired exploiter une combinaison de modèles sur étagère, dont ChatGPT et Gemini, avec une inférence réalisée à distance, dans le cloud, les capacités du bracelet ne permettant pas à ce stade un traitement local.

Sur son site, Bee AI revendique le soutien financier de trois investisseurs : le fonds Exor de la famille Agnelli (Fiat), la société de capital-risque américaine Greycroft et un certain Xavier Niel, cité nommément bien que la participation ait vraisemblablement été réalisée via son fonds Kima Ventures.

Bee bientôt reconfiguré aux couleurs d’Alexa ?

Bee AI n’a pas réellement fait sa preuve de marché, mais la startup a déjà attiré l’intention d’un poids lourd. Maria de Lourdes Zollo, cofondatrice de Bee AI, a en effet annoncé mardi 22 juillet que son entreprise allait passer dans le giron d’Amazon :

« Lorsque nous avons lancé Bee, nous imaginions un monde où l’IA serait véritablement personnelle, où votre vie serait comprise et enrichie par une technologie qui apprend avec vous. Ce qui a commencé comme un rêve avec une équipe et une communauté incroyables trouve désormais un nouveau foyer chez Amazon. »

Le géant du e-commerce n’a de son côté pas communiqué officiellement, mais une porte-parole de l’entreprise confirme le rachat à The Verge, et en profite pour rassurer : « Nous concevons nos produits pour protéger la confidentialité et la sécurité de nos clients et pour leur permettre de contrôler facilement leur expérience — et cette approche s’applique bien sûr à Bee ».

Qu’adviendra-t-il de Bee chez Amazon ? La marque risque logiquement de disparaître, puisqu’Amazon englobe ses produits et travaux liés à l’IA générative sous l’ombrelle Alexa. En février dernier, la firme de Jeff Bezos avait présenté la dernière version en date de son IA, baptisée Alexa+ :

« Elle vous divertit, vous aide à apprendre, vous permet de rester organisé, résume des sujets complexes et peut discuter de pratiquement tout. Alexa+ peut gérer et protéger votre maison, effectuer des réservations, vous aider à suivre, découvrir et apprécier de nouveaux artistes. Alexa+ peut également vous aider à rechercher, trouver ou acheter presque n’importe quel article en ligne, ainsi que vous faire des suggestions utiles en fonction de vos intérêts. »

Déjà distribuée sur les appareils Amazon (tablettes, applications mobiles, enceintes domestiques, etc.), Alexa+ pourrait logiquement trouver son chemin vers le bracelet conçu par Bee AI.

Des grandes oreilles encore bien imparfaites

Le lancement en Europe d’un tel appareil serait probablement scruté de près par les défenseurs d’un respect strict de la vie privée, au regard notamment de textes comme le RGPD. En attendant, le bracelet de Bee AI livre des résultats contrastés, témoignent outre-Atlantique plusieurs journalistes de la presse tech, qui ont eu l’occasion de le tester pendant quelques semaines. Soit parce que l’appareil ne distingue pas toujours bien les voix, cherche à résumer la radio ou la TV qui tourne en fond, et produit un certain nombre de contre sens ou d’approximations. Soit parce qu’il résume des moments personnels, et élabore des suggestions qui n’ont pas toujours lieu d’être…

Dans son retour d’expérience, The Verge note toutefois que le bracelet Bee est de loin le plus abordable des appareils qui surfent sur cette idée d’une écoute permanente destinée à nourrir une IA personnelle. Ce point n’a probablement pas échappé à Amazon, qui envisage souvent ses appareils hardware comme des leviers d’acquisition pour ses services sur abonnement.

Reste à savoir si le marché est prêt ? Jusqu’ici, plusieurs startups se sont positionnées sur le segment des appareils connectés dopés à l’IA, avec parfois des échecs retentissants. L’AI Pin, sorte de broche connectée censée remplacer à terme le smartphone de l’utilisateur, a par exemple atteint des records de valorisation, avant que ses actifs ne soient finalement rachetés par HP pour une fraction des fonds levés suite à un lancement calamiteux. D’autres creusent ce filon d’un appareil connecté à une IA, mais avec une approche plus spécialisée, comme Plaud AI qui commercialise des accessoires dédiés à la prise de notes.

Sony adopte une nouvelle stratégie pour limiter son impact environnemental, et prévoit d’introduire un mode d’économie d’énergie sur la PlayStation 5, visant à réduire la consommation électrique lors des sessions de jeu.

L’article PlayStation 5 : une mise à jour pour consommer moins d’énergie est apparu en premier sur Toms Guide.

Sony a annoncé une nouvelle version bêta de sa mise à jour système pour la PS5 . Celle-ci promet des améliorations techniques pour l'utilisation des manettes de la marque, ainsi qu'un mode économie d'énergie. L'accent est mis sur une fonctionnalité de compatibilité étendue qui permettra aux manettes DualSense et DualSense Edge d'être appairées avec jusqu'à quatre appareils simultanément, comme une PS5, un PC, un smartphone ou une tablette. Le passage d'un appareil à l'autre s'effectue par combinaisons de boutons directement sur la manette, sans nécessiter de jumelage Bluetooth répété. Sony souhaite rendre le jeu multiplateforme plus pratique. Parallèlement, Sony prépare un mode économie d'énergie pour certains jeux. Cette nouvelle option vise à contribuer à la réduction de la consommation d'énergie dans le cadre du programme environnemental « Road to Zero » et peut être activée en option dans le menu de la PS5. Cependant, cette fonctionnalité n'est pas encore disponible pendant la phase bêta actuelle. Elle sera ajoutée ultérieurement lors d'une mise à jour régulière. La version bêta est d'ores et déjà disponible pour certains utilisateurs dans certaines régions. Sony souligne que certaines fonctionnalités individuelles peuvent être modifiées ou supprimées avant le lancement mondial. (Lire la suite)

Des chansons générées par l'intelligence artificielle apparaissent sur les profils officiels d'artistes décédés, sans aucune autorisation. Un phénomène observé sur Spotify.

Si le premier volet de Choice of Life était une sorte de galop d'essai, le second une bonne histoire interactive, le troisième - Choice of Life: Wild Islands - renforce toutes les caractéristiques qui ont fait la popularité de la série. Son style visuel agréable nous plonge dans l'atmosphère de l'époque et du lieu de l'action. L'intrigue est véritablement non linéaire, où les choix du joueur comptent vraiment, et où quelques étapes apparemment anodines peuvent mener l'intrigue dans une direction totalement inattendue. C'est un humour sain et non vulgaire, tant oublié de nos jours, grâce auquel le jeu peut être joué avec des enfants. Et, cerise sur le gâteau, le jeu contient d'élégantes références à la culture populaire, à la musique et aux œuvres contemporaines. Hélas, tout ce beau discours rencontre un écueil de poids : Le jeu n'a toujours pas été traduit en français (il y a pourtant l'allemand et l'espagnol proposés) et ce semble manquement fera éloigner de nombreux joueurs de cette production indépendante. On ne s'étendra pas sur l'intrigue, qui est d'abord simple et claire. Vous incarnez un marin ordinaire, embarqué par hasard sur un navire voguant vers l'inconnu, à l'ère des découvertes géographiques et de la colonisation. Le personnage principal n'a pas vraiment d'histoire, ce qui vous permet de vous immerger pleinement dans l'instant présent, sans être distrait par un passé inconnu. Mais suite à un tourbillon d'événements, le navire n'atteint pas sa destination et nous nous retrouvons seuls sur une île tropicale pleine de secrets et de mystères. Malgré une certaine habitude et une aptitude à survivre, les aventures ne s'arrêtent pas là et le joueur se retrouve involontairement à la croisée de deux mondes, dans l'esprit de cette époque, où chaque camp a ses propres objectifs, valeurs et aspirations. (Lire la suite)

Waze s'apprête à modifier l'affichage des avertissements routiers , en combinant plusieurs événements rapprochés en une seule notification . L'objectif est de rendre la conduite moins fragmentée en évitant une avalanche d'alertes lors des passages dans des zones particulièrement difficiles. Un exemple concret : si un nid-de-poule, une voiture à l'arrêt et un chantier sont détectés sur un court segment , au lieu de trois avertissements distincts, un seul message récapitulatif apparaîtra, avec la possibilité de voir tous les détails en appuyant sur l'icône . Le changement a été confirmé par un porte-parole de Waze en mai 2025 , mais il n'est pas encore actif. Aucun calendrier officiel n'a été annoncé, même si l'introduction pourrait avoir lieu prochainement . Google vise à réduire les distractions au volant tout en conservant des informations complètes. Le système continuera de s'appuyer sur les rapports de la communauté, mais sera plus simple et moins intrusif. (Lire la suite)

Palmer Luckey, créateur de l’Oculus Rift, sonde l’opinion sur la possibilité d’un ordinateur fabriqué entièrement aux États-Unis. Lors d’un récent sondage, plus de 63% des participants sont prêts à débourser 20% de plus pour un tel produit, soulevant des questions pertinentes sur la fabrication locale. Palmer Luckey, le créateur de l’Oculus Rift et co-fondateur de […]

L'administrateur russophone d'un des plus influents forums cybercriminels mondiaux, XSS.is, vient d'être arrêté. L'opération est le fruit d'une enquête franco-ukrainienne de longue haleine.

“Le cerveau de la personne moyenne semble avoir vieilli de 5,5 mois supplémentaires pour chaque année passée durant la pandémie”, explique le Dr Maxime Taquet, chercheur en psychiatrie et épidémiologie à l’Université d’Oxford, spécialiste des effets neurologiques du COVID. Ce n’est pas une métaphore : pendant la pandémie, nos cerveaux ont effectiveme...

Le tout nouveau smartphone pliable Samsung Galaxy Z Fold 7 est impressionnant de solidité. Car il continue à fonctionner après avoir été plié des centaines de milliers de fois  !

[Deal du jour] Le FineTrack Slim Smart Finder de Ugrren est une balise Bluetooth en forme de carte. Plus pratique et moins cher, c'est une excellente alternative aux traceurs d'Apple.

Sauf coup de théâtre, une mission spatiale particulière partira du centre spatial guyanais le 26 juillet 2025. À bord, deux projets, dont l'un intéresse notamment l'armée française.

À peine ouvert à Hollywood, le Tesla Diner pourrait déjà s'exporter ailleurs dans le monde. D'après un média chinois, c'est près de la Gigafactory de Shanghai que le restaurant d'Elon Musk devrait également voir le jour.

Une rumeur évoque la compromission de millions de sonnettes connectées Ring, prétendument survenue le 28 mai 2025. Des captures d'écran, montrant des connexions d'appareils inconnus, toutes datées de ce jour précis, ont déferlé sur TikTok et Reddit. Une vague d'inquiétude a alors submergé de nombreux utilisateurs. Face à la rapidité de cette propagation, Ring, filiale d'Amazon, s'est vue contrainte de réagir. Mais alors, simple incident technique ou cyberattaque avérée ? Les explications de l'entreprise visent à apaiser les esprits, même si un certain scepticisme persiste au sein d'une partie du public.

La Nintendo Switch 2 s’impose comme la console la plus rapidement vendue de l’histoire du marché vidéo ludique américain. Avec 1,6 million d’unités écoulées selon Mat Piscatella, directeur exécutif de Circana, elle dépasse largement l’ancien record détenu par la PlayStation 4, qui avait vendu 1,1 million d’unités lors de son lancement. Depuis sa sortie le […]

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La fille de la famille Addams va bientôt réapparaître pour une saison 2, sur Netflix. Date de sortie, casting, intrigue... Voici tout ce que l'on sait sur ce retour très attendu de Mercredi (ou Wednesday), toujours dirigée par Tim Burton.