Rockstar Games nous annonce le déploiement d'un patch 1.71 pour son jeu Grand Theft Auto V Version améliorée, avec de très, très nombreux apports et corrections !
De nouvelles options sont disponibles dans les réglages liés au Ray Tracing et plus de 100 corrections de bugs sont indiquées. Le téléchargement vous sera proposé à l'ouverture de votre launcher, sauf réglage contraire de votre compte, la liste complète des correctifs se trouvent ici. […]
Une nouvelle guerre froide technologique a commencé. Un rapport de la société Recorded Future révèle que la Chine investit massivement dans l'intelligence artificielle pour ses services secrets et son armée. L'objectif : analyser, anticiper et planifier des opérations militaires. Les États-Unis, loin d'être en reste, développent aussi leurs propres outils dans cette course à la suprématie informationnelle.
Si vous vous demandiez combien de jeux tournant autour du thème de la pêche (le sport, pas le fruit) sont disponibles sur Steam, voilà une bonne occasion de se faire une idée : le festival des jeux de pêche est ouvert, et la liste est longue !
Comme nous n'y connaissons rien, nous ne conseillerons que DREDGE et DAVE THE DIVER... En revanche, pensez à récupérer les trucs inutiles gratuits ici pour votre profil.
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Après une RTX 5090 ROG Astral Dhahab Edition, ASUS nous prépare une RTX 5080 ROG Astral Dhahab Edition Duabi Style pas assez cher mon fils.
Dans les faits, la version RTX 5080 est la même que la version RTX 5090, sauf que nous n'avons pas la même puce. Cette carte ne devrait pas réellement être disponible chez nous, pas plus que la version 5090 tout du moins. […]
Vous le savez, la RTX 5090 n'a pas le droit de cité en Chine, car cette dernière est trop puissante et les restrictions américaines sur l'IA ont fait que la carte a été bannie. Alors, NVIDIA a lancé la RTX 5090 D, une carte similaire à la RTX 5090, donc avec GB202-250, conte un GB202-300, mais quand même avec 21760 Cuda Cores et 32 Go de mémoire GDDR7 512 bits. La carte était réellement tout pareil, mais nous avions des restrictions sur les performances en calcul et en IA.
Mais voilà, cette RTX 5090 D n'a plus le droit de cité non plus en Chine, donc NVIDIA va lancer un autre modèle, la RTX 5090 DD. Et vous allez le voir, cette fois ce n'est pas la même carte. […]
Opera GX s'associe à CD PROJEKT RED pour sortir une version exclusive du navigateur à l'occasion du 10e anniversaire de The Witcher 3et#8239;: Wild Hunt.et#8239;Cette version propose un hub au thème de The Witcher et un mod permettant de personnaliser l'apparence et les sons du navigateur. L'univers de The Witcher 3 est également intégré directement dans Opera GX, offrant aux fans un point d'accès vers l'univers du jeu pendant leur navigation.
Le hub The Witcher, visible depuis la page d'accueil de GX Corner, permet aux fans de plonger dans le monde de Geralt de Riv et de retrouver en un seul endroit tout le contenu lié à The Witcher 3et#8239;: Wild Hunt. Des bandes-son officielles aux guides et actualités, en passant par les mods de la communauté et les outils interactifs, le hub rassemble du contenu essentiel, permettant aux fans de rester connectés au jeu dès qu'ils sont en ligne.
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Un nouveau driver est disponible chez NVIDIA, le GeForce Game Ready 576.80 WHQL, outre la signature numérique, on nous promet le support du DLSS 4 dans les jeux FBC: Firebreak et REMATCH, ainsi que le support du path tracing dans le jeu DOOM: The Dark Ages.
Le téléchargement est possible ici. […]
Microsoft vient donc de confirmer le développement de la prochaine génération de consoles Xbox et officialise un partenariat stratégique sur plusieurs années avec AMD. C'est Sarah Bond, présidente de la division Xbox, qui a dévoilé l'information dans une vidéo d'une minute publiée sur YouTube et que vous pouvez retrouver dans notre actualité. Elle y annonce une ambition claire : une expérience Xbox qui dépasse les limites du matériel et d'un seul store : "Il s'agit de créer une plateforme de jeu qui vous suit partout, pour que vous puissiez profiter de vos jeux préférés sur tous vos appareils, où que vous soyez, une expérience Xbox qui ne se limite ni à un seul magasin, ni à un seul appareil". Nous avons envie de dire un PC qui est disponible partout en gros .
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Développé par Seashell Studio, Mostroscopy est un jeu de combat 1 contre 1 dans le style de « Tekken » mais avec un budget beaucoup plus faible et axé sur la mise à l'écran d'une série de monstres et d'atmosphères folkloriques mexicaines entre l'horreur des années 50 et la Lucha Libre. Le jeu donne un impact immédiat et visuel absolument distinctif et extravagant. Parmi les premières choses que l'on voit, à savoir le menu principal, il est clair où le titre veut nous emmener : dans le temps et d'une manière excessivement nostalgique et rétro. Dans le détail, l'ensemble de l'œuvre s'inspire de choses qui vont bien au-delà du film de série B mais qui, malgré tout, restent connus des amateurs du genre. Mais pas seulement cela, aux monstres de toutes sortes, pour une raison inexplicable autre que celle liée au folklore susmentionné, s'ajoutent une série de lutteurs masqués en plein style Lucha Libre . Non seulement cela, certains combattants sont eux-mêmes des monstres, comme la « femme vampire » qui, en plus d’être masquée, combat également en bikini… mais ce sont des détails. Voulant mieux explorer les types de monstres qui sont le véritable cœur battant du titre, nous avons une sorte de « parodie » extravagante de toutes les créatures les plus célèbres. Il y a une sorte de monstre de Frankenstein sauf qu'il a une bouche sur le ventre et un seul œil géant positionné sur sa poitrine... il y a aussi une louve- garou avec un nom mignon, une certaine « Kitty ». Et que dire de l'homme-poisson qui parle en vers qui sont à leur tour transcrits avec des symboles indéchiffrables ? Il y a aussi un robot gigantesque et quadrangulaire qui se bat avec des mouvements absurdes et en utilisant trop sa « porte » de type réfrigérateur. En bref, la liste est vaste, variée et véritablement amusante à découvrir dans toute sa nature bizarre et difficile à prévoir. (Lire la suite)
Sony travaillerait sur une version portable de la PlayStation 6. Selon les informations du célèbre leaker Kepler, le système sur puce (SoC) de la nouvelle plateforme serait fabriqué selon un procédé avancé de gravure en 3 nanomètres et consommerait 15 watts. Techniquement, le modèle portable serait doté de 16 Go de RAM – similaire à la PS5 – mais avec une puissance de traitement nettement supérieure et davantage d'unités de calcul (UC) basées sur la future architecture RDNA 5 d'AMD. Une unité de cache L2 de 4 Mo et 16 Mo de mémoire MALL sont également en discussion ; des composants absents de la PS5 actuelle et de son modèle Pro. Cependant, l'utilisation de RAM LPDDR6 n'est pas encore considérée comme prête pour la commercialisation, selon la source. Un mode basse consommation récemment divulgué pour la PS5 vise à simuler spécifiquement les performances réduites de la future console portable, notamment en divisant par deux la bande passante mémoire. Cela pourrait aider les développeurs à porter leurs futurs jeux sur la nouvelle console plus rapidement et plus efficacement. De plus, Sony envisagerait d'utiliser un upscaling basé sur l'IA pour obtenir une qualité d'image élevée malgré un matériel compact. AMD fournirait les technologies correspondantes en exclusivité pour cet appareil. Une annonce officielle est encore attendue, mais de plus en plus d'indices suggèrent que Sony se concentre sur des solutions hybrides entre console fixe et jeu mobile. (Lire la suite)
Selon les médias taïwanais, l'usine TSMC d'Arizona a produit son premier volume commercial de puces pour Apple, NVIDIA et AMD. L'usine, entrée en service fin 2018, produit initialement des puces utilisant la technologie N4. Il s'agit notamment des premiers lots d'accélérateurs graphiques NVIDIA Blackwell pour l'intelligence artificielle, basés sur la technologie 4NP modifiée. Ces puces ont déjà été renvoyées à Taïwan pour être conditionnées. Bien que l'usine américaine de TSMC en Arizona soit capable de produire des semi-conducteurs avancés utilisant la technologie N4 incluse, le conditionnement, étape finale et critique de la production, est toujours réalisé exclusivement à Taïwan. Le conditionnement reste un goulot d'étranglement dans toute la chaîne d'approvisionnement des puces d'IA. TSMC prévoit d'augmenter sa capacité de conditionnement de 75 000 à 115 000 unités cette année, selon le rapport publié aujourd'hui. Cependant, tout cela est réalisé à Taïwan, ce qui signifie que les puces doivent être expédiées depuis les États-Unis, puis réexpédiées une fois prêtes. C'est une opération assez coûteuse, compte tenu des distances à parcourir et de la fragilité du produit. En revanche, cela confère à l'entreprise une certaine indépendance, car sa division américaine peut désormais fabriquer des puces grâce à une technologie de fabrication relativement moderne, un atout inédit. La question est de savoir combien coûte l'expédition aller-retour des puces, un coût qui augmente généralement considérablement le prix du produit. (Lire la suite)
Apple Intelligence est dans l'impasse depuis son annonce. Malgré l'attente d'innovations fonctionnelles majeures lors de la WWDC 2025, l'entreprise s'est limitée à une mise à jour visuelle de l'interface avec Liquid Glass, ce qui a déçu de nombreux utilisateurs. Certes, Apple a enfin ouvert la plateforme aux développeurs tiers, mais cela ne suffit pas : elle est encore loin de concurrencer pleinement OpenAI ou Google. De plus, l'analyste Daniel Ives estime que les 12 prochains mois seront déterminants pour le développement d'Apple Intelligence. Selon lui, Apple a enfin défini son approche de l'IA, en se concentrant sur l'écosystème des développeurs, ce qui peut jouer un rôle décisif dans la croissance future de la plateforme. Il souligne également qu'Apple Intelligence sera au cœur de l'attention des investisseurs l'année prochaine, ce qui signifie que l'entreprise n'a quasiment plus de temps à perdre : elle doit afficher de réels progrès. Apple devrait intensifier ses acquisitions d'entreprises d'IA pour rattraper ses concurrents. L'entreprise a déjà racheté de petites start-up spécialisées dans l'IA, mais la plupart de ces opérations n'ont pas donné de résultats visibles ; les technologies se sont souvent révélées très spécialisées, voire totalement absentes des produits. Apple a désormais besoin d'une solution plus vaste et plus significative, faute de quoi la plateforme restera dans l'ombre. En pratique, Apple accuse un net retard sur Google, OpenAI et peut-être même Samsung, notamment sur les fonctions d'IA utilisateur. (Lire la suite)
La rétrocompatibilité de la Nintendo Switch 2 s'est avérée encore meilleure que prévu avant la sortie de la console. De nombreux jeux de la Switch originale sont désormais nettement plus stables et performants. Un test récent publié par la chaîne Modern Vintage Gamer en témoigne : Ni No Kuni 2: Revenant Kingdom, The Wonderful 101 Remastered, Darksiders 3, Resident Evil 5, Fire Emblem Warriors: Three Hopes et d'autres titres ont considérablement amélioré leurs performances sur la nouvelle console. Nombre de ces titres peinaient auparavant à maintenir une fréquence d'images stable et à atteindre 60 images par seconde, mais la Switch 2 y parvient sans problème, même sans mises à jour spécifiques. Cela confirme la haute qualité de la rétrocompatibilité matérielle. Bien que la Switch 2 n'offre pas d'innovations radicales par rapport au premier modèle, contrairement à la tradition Nintendo des générations précédentes, la console est néanmoins perçue comme une avancée majeure. Après tout, le nouveau produit bénéficie d'un écran plus grand et plus clair, d'un design plus abouti, de la prise en charge de la 4K en mode station d'accueil et de nombreux autres avantages. (Lire la suite)
De nouveaux détails concernant les processeurs Intel Nova Lake-S pour PC de bureau ont été dévoilés aujourd'hui, notamment concernant la configuration mémoire des nouvelles puces et les voies PCIe. Jaykihn, une source interne, a publié des informations sur les spécifications PCIe et USB de la plateforme Nova Lake-S. D'après ces informations, le système sera équipé de 48 voies PCIe, dont 24 voies PCIe 5.0 directement connectées au processeur, 4 voies PCIe 5.0 au bus DMI, et 8 voies PCIe 5.0 et 16 voies PCIe 4.0 via le chipset. De plus, la nouvelle plateforme prendra en charge 8 ports SATA III, jusqu'à 14 ports USB 2.0, 10 ports USB 3.2 à 5 Gbit/s, 10 ports USB 3.2 à 10 Gbit/s et 5 ports USB 3.2 à 20 Gbit/s. Il est également confirmé que le nombre de voies PCIe 5.0 augmentera à 36. Comme auparavant, 4 d'entre elles sont réservées au DMI, mais les 32 restantes peuvent être utilisées pour les cartes vidéo (x16) et les SSD NVMe (x4, x8 et autres configurations).
Cela signifie que la plateforme pourra prendre en charge, par exemple, deux cartes graphiques x16 complètes ou une carte x16 et plusieurs SSD haute vitesse. La prise en charge de la RAM a également connu d'importants progrès. Si la fréquence native d'Arrow Lake-S était de DDR5-6400 (bien que certaines cartes permettent un overclocking à 9000 MT/s et plus), Nova Lake-S prendra en charge la DDR5-8000 MT/s avec les paramètres standard. Cette augmentation significative témoigne d'un contrôleur mémoire repensé. L'utilisation de modules overclockeurs ou de CUDIMM permettra d'atteindre des vitesses supérieures à 10 000 MT/s, un résultat tout aussi impressionnant. (Lire la suite)
Vous regardez les mAh en premier ? Vous faites comme tout le monde, et c'est exactement le piège dans lequel tombent 90 % des acheteurs. Voici pourquoi cette habitude peut vous coûter cher.
Le chiffrement de bout en bout n’a jamais eu autant d’ennemis déclarés. Dans son rapport IOCTA 2025, Europol s’en prend une nouvelle fois aux messageries sécurisées, mais appelle aussi à un renforcement de la surveillance des métadonnées. Une approche qui fait craindre une remise en cause profonde du droit à la vie privée en ligne.
Tout commence par une simple phrase. « Bonjour, vous êtes en contact avec le service d’accueil virtuel de la mairie de Meudon, comment puis-je vous aider aujourd’hui ? » La voix masculine est chaleureuse, presque naturelle. Comme des milliers de Français chaque jour, et 50% de la population de l’Hexagone chaque année (selon l’observatoire des service...
Une équipe s’est chargée de décortiquer un prototype de Steam Deck acheté sur eBay pour la modique somme de $3000. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’entre ce prototype et la version de série proposée dans le commerce, de nombreux changements ont été faits… Notamment au niveau de la configuration. Initialement, Valve prévoyait l’adoption […]
La marque suisse Maxon présente une nouvelle génération de moteur central pour vélos électriques urbains et VTT, le Maxon AIR S, doté d’un couple de 90 Nm pour un poids contenu de 2 kg.
Microsoft a annoncé un plan hardware ambitieux pour le futur de son écosystème Xbox. Sans surprise, la multinationale continuera de collaborer avec AMD et promet toujours plus d'ouverture.
Le gendarme des télécoms vient de mettre en ligne son projet de recommandation sur l’interopérabilité et la portabilité des services cloud. Il s’agit de définir les « bonnes pratiques » pour faciliter le changement de fournisseurs.
La loi SREN (Sécuriser et réguler l’espace numérique), promulguée en avril 2024, confie deux nouvelles missions à l’Arcep, le régulateur des télécoms : « la régulation des services cloud et la régulation des intermédiaires de données ». L’Autorité explique que sa mission est notamment « de préciser les règles et les modalités de mise en œuvre des exigences essentielles d’interopérabilité, de portabilité et d’ouverture des API » pour les services de cloud.
Après avoir lancé une consultation publique fin 2024, l’Arcep s’appuie sur la vingtaine de retours pour avancer dans ces travaux. Elle vient de passer une nouvelle étape avec la présentation de son projet de recommandation relative à « l’interopérabilité et à la portabilité des services d’informatique en nuage ». Il est soumis à consultation jusqu’au 18 juillet 2025 à 18 h.
Des données et informations dans un « format lisible par ordinateur »
Premier point, qui ne surprendra personne : « les acteurs ont majoritairement reconnu l’intérêt de rendre disponibles des informations comparables ». Certains mettent néanmoins en garde contre « une harmonisation trop stricte du format de diffusion de ces informations, susceptible de générer des lourdeurs excessives en particulier pour des fournisseurs de petite taille ». Se dirige-t-on vers la concrétisation d’un espoir que nous soulevions il y a déjà cinq ans : une fiche d’information standardisée du cloud ? À l’instar de ce qui existe pour les forfaits mobiles ou les banques, cela permet de facilement comparer les offres.
Justement, « afin de faciliter la comparaison entre les services cloud », l’Arcep dresse la liste des informations que les hébergeurs doivent transmettre et le format à utiliser, avec « un ordonnancement uniforme ». L’Autorité propose ainsi que les principales informations soient à la fois disponibles dans un format libre (page web, PDF…), et dans un « format lisible par ordinateur (JSON par exemple) ».
Concernant les informations à proposer aux clients, l’Arcep propose la liste suivante :
données (brutes ou dérivées) et actifs numériques ;
procédures pour initier une migration depuis et vers le service cloud ;
méthodes de migration disponibles (upload, API, expédition de disques) et recommandées en fonction du volume, avec les protections (chiffrement), restrictions et limitations connues ;
comment garantir la sécurité des données lors du transfert (authentification, confidentialité…) ;
procédures pour tester la migration ;
processus pour garantir l’intégrité des données et la continuité de service pendant la migration ;
processus de résiliation après une migration ;
outils de supervision disponibles et coûts associés ;
formats disponibles, recommandés ou utilisés et documentation associée (migration et multi-cloud) ;
documentation des API pour la portabilité et l’interopérabilité ;
description des dépendances nécessaires à l’export des données ;
délais de migration et durée de transfert des données.
L’Arcep demande aux acteurs du marché si les informations proposées couvrent « les besoins des clients pour comprendre les modalités de portabilité et d’interopérabilité d’un service cloud ». Le cas échéant, de lister les éléments de la liste à modifier.
Une bonne pratique à mettre en place : OpenAPI
Le règlement sur les données prévoit aussi que les fournisseurs de cloud proposent « des interfaces ouvertes à disposition de leurs clients » pour faciliter le changement de fournisseur et l’interopérabilité. « Ces interfaces permettent de garantir que les informations utilisées entre deux systèmes cloud sont renseignées selon des formats interprétables, à l’aide de protocoles partagés et que les systèmes soient interconnectés par des réseaux pour pouvoir les échanger », rappelle le régulateur.
Sans surprise, les retours de l’année dernière reconnaissaient unanimement l’intérêt d’avoir des « API disponibles, stables et documentées ». Certains en ont profité pour glisser à l’oreille de l’Arcep la spécification OpenAPI, qui repose sur « standards et des spécifications de l’Internet Engineering Task Force (IETF) ».
Pour l’Arcep, c’est une « une bonne pratique » à promouvoir. Elle demande donc aux fournisseurs d’adopter « la version la plus récente de la spécification OpenAPI pour la description et la documentation de leurs API ». Dans son projet de recommandation, l’Autorité demande aux fournisseurs si l’adoption généralisée de la spécification OpenAPI est souhaitable.
Prévenir un an en avance les mises à jour qui cassent la rétrocompatibilité
Sur les API toujours, des retours revenaient sur un point important : les mises à jour « soudaines et trop fréquentes de certaines API clés », surtout lorsqu’elles cassent la rétrocompatibilité. La conséquence ? Cela peut « limiter la capacité des fournisseurs tiers à garantir la compatibilité de leurs services, et in fine leur interopérabilité ».
Les contributeurs proposaient des délais de préavis de trois et douze mois en cas de mises à jour non rétrocompatibles. L’Arcep part sur le délai le plus long et demandent aux fournisseurs d’informer leurs clients « par l’intermédiaire de message d’avertissement douze mois au minimum » avant la mise en place d’une mise à jour non rétrocompatible. L’Autorité attend des retours sur ce point.
Une fois la consultation publique terminée, l’Arcep décidera de ses recommandations finales et publiera (dans un souci de transparence) les retours qu’elle aura reçus, « à l’exclusion des éléments d’information couverts par le secret des affaires ».
Il ne s’agit dans tous les cas que de recommandations, comme l’Autorité le reconnait elle-même : « plutôt que d’adopter des règles contraignantes qui ne s’appliqueraient que pour une durée limitée, en raison de l’entrée en application prochaine du règlement sur les données, et uniquement aux fournisseurs de services cloud établis en France, l’Arcep estime plus approprié de définir des bonnes pratiques à destination de l’ensemble des fournisseurs de services cloud ».
Alors que le conflit entre Israël et l'Iran plonge la région dans une nouvelle ère d'incertitude, une bataille parallèle, celle de l'information, vient de connaître un tournant spectaculaire. Face aux restrictions d'Internet imposées par le régime iranien, Elon Musk a décidé d'activer son réseau satellitaire Starlink au-dessus du pays.
Rejoignez-nous de 17 à 19h, un mercredi sur deux, pour l’émission UNLOCK produite par Frandroid et Numerama ! Actus tech, interviews, astuces et analyses… On se retrouve en direct sur Twitch ou en rediffusion sur YouTube !
Le PDG d’Amazon Andy Jassy a déclaré que les progrès de l’intelligence artificielle permettraient à l’entreprise de réduire ses effectifs dans les prochaines années.
« Le déploiement de l’IA générative et des agents devrait modifier la façon dont nous travaillons, écrit-il dans une note envoyée aux employés de l’entreprise. Nous aurons besoin de moins de personnes pour effectuer certaines des tâches actuelles, et de plus de personnes pour effectuer d’autres types de tâches. »
Le dirigeant souligne qu’Amazon construit ou a déjà déployé plus de 1 000 services d’IA générative, une « petite fraction » de ce que l’entreprise prévoit de lancer à terme.
Depuis 2022, l’entreprise a licencié 27 000 personnes dans divers services. Andy Jassy ne donne pas d’échéance précise dans ce cas-ci, mais il prévient que le nouveau solde devrait se révéler négatif.
« Il est difficile de savoir exactement où cela nous mènera au fil du temps, mais dans les prochaines années, nous prévoyons que notre effectif total se réduira à mesure que nous réaliserons des gains d’efficacité grâce à l’utilisation intensive de l’IA dans toute l’entreprise ».
Ses propos rejoignent ceux d’autres dirigeants d’entreprises dans les derniers mois, dont ceux du patron de Shopify ou de celui de Duolingo.
Alors que les ventes de voitures électriques sont en-dessous des attentes, Audi prend une décision de taille. La marque allemande a choisi de ne pas arrêter totalement les autos thermiques, contrairement à ce qui était prévu.
The e-tron GT quattro not only embodies Audi’s Gran Turismo philosophy with its long-distance capabilities, but also with its striking design language. The background shown is AI-generated.
Audi A6 Avant e-tron // Source : Tibo pour Audi France
Audi A6 Avant e-tron // Source : Tibo pour Audi France
Intel a récemment présenté son nouveau processus 18A, qui remplacera l’ancien processus 3. Cette avancée promet d’améliorer à la fois les performances et l’efficacité énergétique des puces. Le Nouveau Processus 18A d’Intel : Performances et Efficacité Renouvelées Lors du Symposium 2025 sur la technologie et les circuits VLSI, Intel a mis en avant les caractéristiques […]
Oui, le remake de Prince of Persia : Les Sables du Temps est toujours en développement. Face au long silence radio et à l'inquiétude des fans, Ubisoft Montréal a publié un message rassurant sur les réseaux sociaux, confirmant que le projet avance. La sortie est toujours officieusement calée pour l'année 2026.
Alors que Tesla croit dur comme fer aux caméras, la marque en a installé une nouvelle sur ses Model S et Model X améliorés. De quoi rendre la conduite autonome encore plus efficace sur ces deux voitures électriques.
La Maison-Blanche a une nouvelle fois repoussé l'échéance pour la vente de TikTok, accordant un sursis de 90 jours à l'application chinoise. Cette décision prolonge une saga complexe où s'entremêlent tensions géopolitiques et intérêts commerciaux, laissant 170 millions d'utilisateurs américains dans l'incertitude.
Du côté de Xigmatek, nous retiendrons l’annonce d’un nouveau kit watercooling tout-en-un avec le Connect Pro 360. Cette nouvelle référence se dote d’un écran imposant de 7″ affichant une grosse résolution. Ce dernier est totalement amovible et pourra donc servir d’affichage secondaire. Connect Pro 360 : encore un AIO avec écran sur le marché… Avec ce nouvel […]
En 2024 et 2025, Tesla devait redresser la barre. Mais à deux semaines de clôturer son trimestre, le géant de l’électrique se retrouve dans une position peu enviable : plus de stocks qu’il ne peut en écouler, des parkings loués en urgence à travers le pays, et des ventes qui reculent presque partout. Même aux États-Unis, dernier bastion encore debout...
Dans une enquête auprès de 7 000 personnes, trois associations constatent l’augmentation des discours de haine sur les réseaux de Meta. En parallèle, les internautes les plus à risque d’être visés expriment une peur croissante de s’exprimer sur ces réseaux sociaux.
Début janvier, Meta a modifié sa politique de modération sur Facebook, Instagram et Threads pour aller dans la droite ligne idéologique du nouveau président américain et de sa vision de la liberté d’expression. Ce faisant, l’entreprise a fait voler sa modération en éclat. En parallèle, les nouvelles conditions d’utilisation de Facebook permettent, par exemple, aux utilisateurs américains d’utiliser certaines insultes envers les femmes, les gays et les trans.
Six mois après, trois associations (UltraViolet, GLAAD et All Out) ont voulu constater les conséquences de ces changements. Elles ont interrogé environ 7 000 utilisatrices et utilisateurs actifs de 86 pays pour faire un bilan. Résultat [PDF], pour 72 % de ces personnes, les contenus problématiques ont augmenté (34 % augmenté, 38% augmenté significativement).
Une bonne partie du panel fait partie de ce que Meta appelle elle-même les « groupes à caractéristiques protégées », ce qui inclut notamment les personnes régulièrement ciblées pour leur race supposée, leur ethnie, leur nationalité, leur situation de handicap, leur religion, leur caste (dans les systèmes politiques dans lesquels elles existent), leur orientation sexuelle, leur sexe, leur identité de genre ou leur maladie grave (ce qui recoupe beaucoup des critères en fonction desquels la discrimination est interdite en France). Les associations se sont effectivement concentrées sur les personnes les plus susceptibles d’être visées par ces cyberviolences.
L’enquête se veut multilingue et le questionnaire a été distribué en anglais, mais aussi en portugais, espagnol, allemand, italien et en français. Mais la plupart des personnes qui ont répondu (5 278) l’ont fait en anglais. La moyenne d’âge est de 50,5 ans et plus de la moitié était des utilisateurs de Facebook, plus d’un tiers d’Instagram et 11 % de Threads.
92 % de personnes préoccupées
La plupart de ces personnes se disent « très préoccupées » par l’augmentation des contenus violents sur les plateformes de Meta, plus de deux tiers. Et un quart « préoccupées ».
Les attaques contre ces personnes ont notamment ciblé leur orientation sexuelle, leur genre, leur race supposée ou leur ethnie :
Les personnes interrogées (rappelons qu’elles font majoritairement partie des « groupes à caractéristiques protégées ») se sentent pour plus des deux tiers particulièrement vulnérables face aux changements effectués par Meta :
Et elles ont, en majorité, le sentiment d’avoir perdu de la liberté d’expression puisque trois quarts d’entre elles se sentent moins en sécurité pour s’exprimer sur les plateformes de Meta :
Une augmentation des violences sexuelles ou liées au genre
23 % de ces personnes ont subi directement des violences sexuelles ou liées au genre depuis janvier dernier. En bonne partie, cela fait référence à du stalking et du harcèlement. Plus de 500 d’entre elles ont reçu des photos ou vidéos sans leur consentement et plus de 250 ont été victimes de deepfakes pornographiques. D’autres violences comme les sextortions (menace de publier des photos ou des vidéos sexuelles ou dénudées de la personne) ou les diffusions non consenties d’images intimes.
« Je vois rarement les posts de mes amis maintenant – mon fil d’actualité est rempli d’images obscènes manipulées, de publicités commerciales et de commentaires transphobes, sexistes et violents, même sous des vidéos de chatons. Les menaces de mort ne sont pas supprimées, même lorsqu’elles sont signalées », témoigne une de ces personnes citée par l’association GLAAD (Gay & Lesbian Alliance Against Defamation).
Celle-ci explique que cette enquête est importante, car elle contredit ce que l’entreprise affirme dans ces rapports trimestriels : « Dans son dernier rapport publié le mois dernier, la société a déclaré que, de janvier à avril 2025, « les contenus violents sont restés largement inchangés pour la plupart des domaines problématiques » », explique l’association.
« Mais il est important de noter que ces chiffres sont basés uniquement sur des données internes et restent opaques à tout examen extérieur. Notre enquête se concentre sur les expériences vécues par les utilisateurs eux-mêmes, révélant que l’affaiblissement des politiques n’a pas conduit, comme le prétend Meta, à « plus d’expression et moins d’erreurs », mais plutôt à un environnement plus hostile pour ceux qui sont déjà les plus vulnérables », ajoute-t-elle.
Les trois associations commanditaires demandent à Meta de mettre en place une commission indépendante sur les conséquences des changements mis en place en janvier, de remettre en place des protections robustes contre les discours de haine ainsi que son système de fact-checking pré-existant et enfin de plus impliquer les acteurs de la société civile dans ses délibérations politiques futures.
Comme l’explique l’AFP, l’entreprise de Mark Zuckerberg a refusé de commenter l’enquête.
La mise à jour vers Android 16 a provoqué quelques soucis de navigation pour plusieurs utilisateurs et utilisatrices. Heureusement, un correctif devrait être déployé très bientôt.