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Les futurs iPhones seront dotés d'une nouvelle technologie d'affichage.

Les experts estiment que la technologie HMO (High Mobility Oxide) pourrait constituer la prochaine avancée majeure en matière d'affichage pour les futurs iPhones. Selon un rapport récent, Apple travaille sur un nouveau type de dalle qui permettra non seulement de réduire la consommation d'énergie, mais aussi les coûts de production. La technologie HMO accroît la mobilité des électrons par rapport à la technologie actuelle des transistors à couches minces d'oxyde (TFT), ce qui explique les avantages escomptés pour les appareils mobiles. Les TFT sont composés de couches de différents matériaux qui contrôlent les pixels en régulant le flux de courant électrique. La nouvelle technologie HMO augmentera ce courant, éliminant ainsi les limitations des dalles TFT à oxyde, accélérant le traitement du signal électrique et réduisant la consommation d'énergie. De plus, l'un des principaux avantages de la technologie HMO réside dans son coût de production inférieur : la production en série nécessite moins d'équipements et d'étapes que les écrans LTPO. La question qui se pose désormais est de savoir quand Apple pourra intégrer cette technologie à l'iPhone. L'entreprise a déposé un brevet pour la technologie LTPO en 2014, puis l'a utilisée dans l'Apple Watch Series 4 en 2018, et enfin dans les iPhone 14 Pro et iPhone 14 Pro Max en 2022. Ainsi, huit années se sont écoulées entre le dépôt du brevet et la mise en œuvre, et il faudra probablement un délai similaire pour l'arrivée de la technologie HMO, à moins qu'Apple n'accélère le processus. Il s'agit néanmoins d'un progrès technologique considérable. (Lire la suite)
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Test OnePlus 15 : le smartphone qui ouvre un nouveau chapitre

OnePlus 15 14

Après le OnePlus 13, place au...OnePlus 15 ! Le saut d'un numéro marque une nouvelle étape dans la lignée des smartphones de référence du fabricant. Le nouveau modèle inaugure un nouveau design, abandonne les anciens partenariats mais conserve une fiche technique relevée et y ajoute ses propres innovations. Le OnePlus 15 est-il toujours un modèle à suivre ?

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La RTX 5070 Ti tombe à $730 aux US, quid de la France ?

Directions les États-Unis avec une nouvelle promotion signée Newegg. Effectivement, en cumulant coupon de remise et promotion ponctuelle, la carte est accessible à un prix de $730 environ. Ce qu’il est important de noter ici, c’est que la carte passe sous son prix de vente conseillé qui est de $749 officiellement en Amérique. La RTX […]

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Le OnePlus 15 se lance en fanfare, et il coûte moins cher que son prédécesseur !

Annonce et sortie se font dans la foulée cette année chez OnePlus, qui multiplie toutefois les teasings depuis ces dernières semaines. Quelques jours après la commercialisation du OPPO Find X9 Pro, son cousin le OnePlus 15 s'avance avec une fiche technique absolument flamboyante… et un prix plus doux que le précédent modèle !

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☕️ Clés d’accès : Windows 11 s’ouvre aux gestionnaires de mots de passe

Les mises à jour de sécurité de novembre pour Windows 11 ont doté le système d’une capacité promise il y a quelques mois : permettre aux gestionnaires de mots de passe de s’intégrer totalement dans le système, avec gestion complète des clés d’accès (passkeys). Une intégration qui rappelle celle des mêmes gestionnaires sur Android et iOS.

C’est désormais le cas pour deux d’entre eux, 1Password et BitWarden. Pour le premier, il suffit de récupérer la dernière mise à jour de l’application. Après quoi, on se rend dans les Paramètres de Windows, puis dans Comptes > Clés d’accès > Options avancées. Là, il suffira d’activer le réglage correspondant au gestionnaire.

Pour BitWarden, la manipulation est la même, mais il faut pour l’instant passer par une version bêta de l’application de bureau disponible sur GitHub. Passer uniquement par l’extension pour navigateur n’est pas suffisant, car elle n’agit que dans le contexte du navigateur. Le lien donné par BitWarden dans son billet ne fonctionne cependant pas à l’heure où nous écrivons ces lignes.

L’intégration native a deux avantages. Le principal est que si le système veut stocker une clé d’accès, par exemple parce qu’une application en fait la demande, il interrogera le gestionnaire défini par défaut et pas le composant interne de Microsoft. L’autre est justement la disponibilité des clés d’accès dans tout le système, y compris dans les logiciels tiers et Windows Hello. Le gestionnaire de Microsoft, intégré notamment à Edge, reste disponible, mais devient un citoyen comme un autre au pays de Windows.

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Microsoft impose l'IA dans Windows : les utilisateurs furieux !

Copilot Microsoft 365

Pavan Davuluri, patron de Windows, a confirmé l'évolution de l'OS en "OS agentique" piloté par l'intelligence artificielle. L'annonce, faite avant Microsoft Ignite, a provoqué une déferlante de critiques. Les utilisateurs rejettent massivement cette vision et réclament à Microsoft de se concentrer sur la stabilité et les bugs de Windows 11.

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Six mois après son démantèlement, DanaBot reprend du service sur Windows

Mis à mal par l’opération Endgame au printemps, DanaBot n’avait plus donné signe de vie depuis. L’accalmie aura été de courte durée, une nouvelle variante circulant depuis peu, appuyée par une infrastructure entièrement reconstruite et par des flux financiers bien identifiés.

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Valve revient sur le marché des consoles de salon avec sa Steam Machine et un casque VR

Around the World
Valve revient sur le marché des consoles de salon avec sa Steam Machine et un casque VR

Plus de dix ans après sa précédente tentative, Valve retente sa chance sur le marché des consoles de salon avec une nouvelle Steam Machine, un casque VR et une manette revisitée. Cette fois cependant, l’entreprise a des arguments autrement convaincants, en tout cas sur le papier.

Steam Machine

Le cœur de la nouvelle offre matérielle est la Steam Machine. C’est l’équivalent du Steam Deck pour le salon, avec un matériel plus adapté. La Steam Machine est ainsi présentée comme six fois plus puissante que la console portable.

Le cœur de la nouvelle bête est un processeur AMD doté de six cœurs Zen 4 pouvant grimper jusqu’à 4,8 GHz (TDP de 30 W), épaulé par 16 Go de DDR5. Côté graphique, on trouve un GPU AMD RDNA 3 « Navi 33 » équipé de 8 Go de mémoire GDDR6 (TDP de 110 W). Selon The Verge qui était présent à l’évènement de lancement, ce GPU se rapproche des Radeon RX 7600 et 7700, dont la puissance théorique est équivalente ou supérieure à ce que peut fournir une PS5 Pro.

Côté performances, nos confrères disent avoir vu fonctionner le benchmark intégré à Cyberpunk 2077 à une moyenne de 65 images par seconde sur un téléviseur 4K, avec réglages ray tracing positionnés en moyen. Il ne s’agissait cependant pas d’une définition native de l’image, mais d’un 1080p mis à l’échelle via le FSR 3.0 d’AMD. Avec une 4K native, la moyenne était de 24 i/s, mais The Verge fait remarquer que les autres consoles n’utilisent généralement pas non plus la 4K native avec les jeux exigeants.

L’ensemble est intégré dans un boitier cubique de 160 mm d’arête dont l’alimentation est interne. Le refroidissement est assuré par un vaste radiateur à ailettes, des caloducs et un ventilateur de 120 mm dont les pales ont été travaillées pour le silence, selon Valve. En plus du SSD fourni (de 512 Go ou 2 To), la machine contient une baie M2 2280 qui peut accueillir les SSD de taille standard et les modèles plus petits M2 2230 (utilisés notamment par le Steam Deck).

La Steam Machine, qui joue la carte de la sobriété, dispose en outre d’une façade interchangeable. Elle permet de faire varier le style de la console, avec du bois ou autre matériau. The Verge a pu également observer un panneau avec écran e-paper intégré pour afficher des informations sur le fonctionnement de la machine. Ces panneaux s’enlèvent et s’installent via un support magnétique. Valve a indiqué que les fichiers CAO correspondants seraient fournis pour que tout le monde puisse imprimer et/ou fabriquer ses propres panneaux. La personnalisation s’étend à la barre lumineuse sur la façade avant, qui permet d’afficher des informations comme la progression d’un téléchargement. La couleur et l’animation peuvent être changées, et il sera possible de l’éteindre complètement.

La console sera mise en vente début 2026, en deux versions, avec 512 Go ou 2 To de stockage. Elle sera vendue avec ou sans la nouvelle manette, mais Valve n’a pas encore communiqué sur les prix. On retrouvera dans tous les cas deux sorties vidéo (HDMI 2.0 et DisplayPort 1.4), quatre ports USB-A (deux USB 2 et deux USB 3), un port USB-C 10 Gbit/s, un port Ethernet Gigabit, du Wi-Fi 6E (en 2×2) et du Bluetooth 5.3. Sans surprise, la Steam Machine fonctionnera sur SteamOS (basée sur Arch avec KDE Plasma), qui accompagne déjà le Steam Deck.

Signalons enfin que la console peut être aussi bien utilisée au salon avec une manette que sur un bureau avec un clavier et une souris.

Des arguments nettement plus convaincants qu’il y a dix ans

La Steam Machine pourrait rencontrer le succès, là où la précédente tentative de Valve a échoué dans les grandes largeurs. D’une part parce que Valve sera l’unique distributeur de la Steam Machine, alors que la précédente version était davantage un modèle que tous les constructeurs pouvaient reproduire, avec de grands écarts dans les configurations et l’expérience. D’autre part car le contexte a grandement évolué.

On parle bien désormais de Linux comme d’une plateforme de jeu plus que crédible. Valve est pour beaucoup dans cette évolution grâce au Steam Deck, dont le succès incontestable repose sur Proton. Cette couche d’émulation, basée sur Wine, a largement contribué à lubrifier toute la mécanique nécessaire à l’exécution des jeux Windows sur système Linux, avec le plus souvent des performances équivalentes, voire supérieures. Certaines distributions, dont GLF OS, capitalisent sur ce succès croissant.

Steam est aujourd’hui de loin la plus grosse boutique en ligne de jeux vidéo, avec environ 100 000 titres référencés. Beaucoup peuvent être joués sur le Steam Deck, mais la Steam Machine, beaucoup plus puissante, déverrouille presque tout le reste du catalogue. Les 16 Go pourraient se révéler un peu justes dans les prochaines années, mais le vrai cheval de bataille sera le support des jeux par Proton. Le site ProtonDB permet d’ailleurs de suivre le niveau de prise en charge pour chaque titre.

Steam Frame, le nouveau casque VR

Valve retente également sa chance dans le domaine de la réalité virtuelle avec le Steam Frame, qui doit faire oublier le précédent casque, l’Index. Pesant 440 g (contre 809 g pour l’Index), il dispose de deux modes de fonctionnement : soit indépendant, grâce à sa puce Arm et son stockage intégrés (un port microSD est aussi présent), soit comme un écran déporté en exploitant un dongle 6 GHz à brancher sur le PC de jeu (ou la Steam Machine, bien sûr).

L’idée de Valve est simple avec le casque : tous les jeux de votre bibliothèque Steam doivent être jouables sur le Frame, sans fil. The Verge, qui l’a également testé, évoque un très bon confort, avec notamment « un coussin facial particulièrement moelleux et soyeux », ainsi qu’une bonne répartition du poids, la batterie étant placée à l’arrière de la tête.

La solution de Valve est assez originale pour faire fonctionner les jeux. La puce embarquée est en effet un Snapdragon 8 Gen 3, ce qui nécessite une grosse adaptation pour faire tourner des jeux développés pour x86. Un émulateur, nommé Fex, s’occupe ainsi des adaptations en temps réel, mais nos confrères pointent des « accrocs » dans les jeux, dont Hades II et Hollow Knight Silksong.

Valve s’est montrée proactive sur le sujet, indiquant qu’il sera possible de télécharger des versions préconverties du code, de la même manière que le Steam Deck permet de télécharger des shaders précalculés. De manière générale, nos confrères n’ont pas été impressionnés par les performances, mais Valve a évoqué des bugs et promis des optimisations à venir au cours des prochains mois.

La partie matérielle n’est pas non plus la meilleure de sa catégorie, loin de là. Les deux écrans sont de type LCD, avec des définitions de 2160 x 2160. Le passthrough est monochrome, quand le Meta Quest 3D, vendu 300 dollars, dispose d’un passthrough couleur. Pas un problème selon Valve cependant, le Frame ayant été pensé pour le jeu, le passthrough des caméras extérieures n’est là que pour assurer un positionnement. La sangle intègre également deux haut-parleurs de chaque côté, afin d’annuler les vibrations qu’ils engendrent.

À noter que Valve a indiqué à Gamers Nexus que le Frame serait capable de charger les fichiers APK des applications Android, ce qui devrait lui ouvrir de plus amples capacités. Sans surprise, l’autonomie dépendra de l’utilisation. La batterie fournie permet de délivrer 21,6 Wh, soit environ la moitié du Steam Deck. Il sera cependant possible de brancher n’importe quelle batterie d’au moins 45 W via un port USB-C.

Comme pour la Steam Machine, le Steam Frame sera lancé début 2026, sans plus de précisions pour le moment. Le tarif n’a pas non plus été donné.

Le Steam Controller fait peau neuve

En 2013, Valve avait également lancé une manette. Le pari était alors osé, car en lieu et place des contrôles habituels, le Steam Controller proposait deux pads circulaires tactiles. Le stick analogique et les quatre boutons étaient disposés en-dessous et très rapprochés. Aucune croix directionnelle sur cette première manette. L’ensemble fournissait une expérience très différente de ce que l’on pouvait trouver (et que l’on trouve encore) sur les manettes de PlayStation et Xbox.

Entre temps, Valve a cependant lancé son Steam Deck et le travail réalisé sur la console a servi de base pour une nouvelle version de la manette. Les contrôles ressemblent beaucoup plus à ce que l’on trouve ailleurs, avec la croix et les quatre boutons sur les bords, deux sticks analogiques plus centrés, ainsi que deux zones tactiles carrées sur le bas de la manette.

Sur son site, Valve décrit ses sticks comme magnétiques, avec « sensation améliorée, une meilleure réactivité et une fiabilité à long terme ». Les vibrations sont présentées comme « haute définition », avec retour haptique « précis et immersif ». Le nouveau Steam Controller dispose également d’une visée gyroscopique à la demande : si l’on appuie sur les poignées situées sous la manette de chaque côté, on active la visée, qui se coupe quand on relâche la pression. Les pavés tactiles sont décrits comme particulièrement précis, au point de pouvoir être utilisés dans les FPS.

La manette est prévue pour fonctionner partout où Steam est installé, des ordinateurs classiques à la Steam Machine, en passant par le Steam Frame et le Steam Deck. La manette, elle aussi lancée début 2026 (aucun tarif annoncé), sera entièrement personnalisable et présentera deux boutons pour les fonctions maison : un bouton Steam qui sert d’accès à la bibliothèque et de bouton marche/arrêt, et un accès rapide pour les accès aux notifications, contacts, discussions et autres.

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Apple lance l'identification numérique : reconnaissance faciale au lieu de carte d'identité.

Apple a lancé une phase de test d'une fonctionnalité qui pourrait révolutionner l'identité numérique. Ce nouveau service d'identité numérique, intégré à l'application Wallet, transforme l'iPhone et l'Apple Watch en une pièce d'identité électronique. Les utilisateurs pourront ainsi confirmer leur identité, leur âge et leurs informations d'identification sans avoir à fournir de documents physiques. Pour l'instant, l'identité numérique est uniquement disponible aux États-Unis et sert à l'enregistrement en avion. L'Administration de la sécurité des transports (TSA) a commencé à déployer le système dans plus de 250 aéroports à travers le pays. Les passagers peuvent approcher leur iPhone ou leur Apple Watch du lecteur pour confirmer leur identité et passer le contrôle de sécurité sans avoir à présenter de pièce d'identité physique. La procédure d'enregistrement est simple et précise. Les utilisateurs scannent la page de données de leur passeport, la puce biométrique est lue et un court test de reconnaissance faciale est effectué en tournant la tête ou en fermant les yeux. Après vérification, la pièce d'identité est transférée dans leur portefeuille numérique et est immédiatement utilisable. L'entreprise n'entend pas limiter ses fonctionnalités aux aéroports. L'identité numérique vise à devenir un outil universel de vérification d'identité dans les applications, les magasins et les institutions. Apple prévoit d'intégrer la vérification de l'âge dans les points de vente d'alcool, les agences de location de voitures et lors de la connexion aux services numériques nécessitant une identification de l'utilisateur. L'identité numérique vient compléter le programme existant « ID dans Wallet », qui permet aux résidents de certains États américains (Arizona, Colorado, Hawaï, Ohio et Géorgie) d'enregistrer leur permis de conduire et leur carte d'identité dans l'application Wallet. Cette nouvelle fonctionnalité vise à unifier ces solutions et à jeter les bases d'un système d'identité numérique national. L'introduction de l'identité numérique par Apple s'inscrit dans la tendance mondiale à la mise en place de systèmes d'identification numérique. L'Europe dispose actuellement d'eIDAS 2.0, qui oblige les États membres de l'UE à émettre un portefeuille d'identité européen commun. Ce système permettra aux citoyens de se connecter aux services publics et privés de toute l'UE à l'aide d'un seul et même identifiant. La Commission européenne a déjà adopté les normes techniques et annoncé le lancement du système dans les prochaines années. (Lire la suite)
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