Apple justifie l'augmentation de la consommation d'énergie après la mise à jour de l'iPhone
iOS 26 est arrivé, et la perte d'autonomie de votre iPhone vous a peut-être surpris(e). Apple vient de présenter une explication officielle.[Plus]
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Le lanceur Tianlong-3, nouvelle fusée réutilisable chinoise, vient de franchir un test décisif de poussée et cherche à devenir un équivalent du lanceur Falcon 9 de SpaceX.
Quelques heures avant l’arrivée de Donald Trump à Londres mardi, OpenAI, NVIDIA, Microsoft et Google ont annoncé des projets d’investissements liés à l’IA au Royaume-Uni, pour une enveloppe globale de l’ordre de 44 milliards de livres. Entre promesses de retombées économiques et entente diplomatique, tous promettent un « Tech prosperity deal » aux vertus transatlantiques.
Accueilli en visite d’État par le roi Charles à Windsor mercredi, Donald Trump n’est pas venu les mains vides. La veille, quelques heures avant l’arrivée du président des États-Unis sur le sol britannique, plusieurs grands noms de la tech US ont formulé des promesses d’investissements significatifs autour de l’IA. Leurs discours respectifs convergent tous dans la même direction : ces dizaines de milliards de dollars, majoritairement consacrés à des infrastructures de calcul informatique, doivent contribuer à faire du Royaume-Uni une « superpuissance de l’IA ».
La palme de l’investissement revient à Microsoft, qui annonce son intention de déployer une enveloppe globale de 30 milliards de dollars entre 2025 et 2028, dont 15 milliards de dollars dédiés spécifiquement à des projets d’infrastructure cloud et IA. Cette somme doit notamment financer la construction d’un supercalculateur doté de 23 000 GPU NVIDIA, en collaboration avec Nscale, le poids lourd britannique des datacenters.
« Cet investissement vise non seulement à répondre à la demande des clients, mais aussi à renforcer les liens économiques bénéfiques des deux côtés de l’Atlantique. Il marque également une avancée significative dans le partenariat technologique entre le Royaume-Uni et les États-Unis, démontrant à quel point une collaboration étroite favorise les progrès dans le cadre des plans d’action pour l’IA du président Donald Trump et du Premier ministre Keir Starmer. », vante Microsoft dans un communiqué qui donne le ton.
Quid des autres 15 milliards promis ? Sur ce volet, Microsoft se montre plus flou, expliquant que cette autre moitié de son investissement doit soutenir l’ensemble de ses projets et opérations outre-Manche, de la recherche de pointe aux forces commerciales, en passant par le développement de jeux vidéo ou le support client. Quel impact ces investissements programmés auront-ils sur l’effectif de l’éditeur au Royaume-Uni, de l’ordre de 6 000 personnes aujourd’hui, alors que l’éditeur multiplie les tours de vis et se prépare par exemple à se séparer de 10 % de ses équipes en France ?
OpenAI se joint au mouvement, avec l’annonce d’un projet Stargate UK qui doit, selon les termes d’un communiqué, permettre au Royaume-Uni de se doter d’une infrastructure IA souveraine, là aussi au service de l’économie nationale. « Stargate UK garantit que les modèles d’IA de pointe d’OpenAI peuvent fonctionner sur la puissance de calcul locale au Royaume-Uni, pour le Royaume-Uni, en particulier pour les cas d’utilisation spécialisés où la juridiction est importante », avance la firme dirigée par Sam Altman.
L’annonce d’OpenAI était attendue : l’entreprise avait en effet déjà signé un accord préalable (memorandum of understanding, ou MoU) avec le gouvernement britannique en juillet dernier, dans le cadre de sa stratégie OpenAI for Countries. Dévoilée en mai dernier, cette dernière ambitionne pour mémoire de négocier de gré à gré la création d’au moins dix grands projets d’infrastructure avec des États dans le monde, avant de continuer à essaimer plus largement. Pour ce faire, OpenAI navigue dans la roue de Donald Trump, comme ici au Royaume-Uni, ou plus tôt dans l’année aux Émirats arabes unis.
À ce stade, OpenAI n’avance aucune enveloppe chiffrée pour ce Stargate UK, mais l’éditeur de ChatGPT évoque le déploiement, en local, de 8 000 GPU d’ici la fin du premier trimestre 2026, avec la possibilité de monter à 31 000 GPU au fil du temps, tous fournis par NVIDIA. Comme Microsoft, OpenAI s’appuiera sur Nscale pour opérer ces infrastructures.
Chez Google (dont la filiale DeepMind est née en Angleterre) on promet 5 milliards de livres (6,82 milliards de dollars ou 5,76 milliards d’euros) sur deux ans en direction du Royaume-Uni, mais sans détailler comment cette enveloppe se ventile entre le nouveau datacenter de la firme (déjà construit donc, et inauguré mardi) à Waltham Cross, Hertfordshire, et ses futures activités dans le pays. Google ne tarit en revanche pas de chiffres sur les bénéfices attendus suite à ces investissements : son action aurait ainsi le potentiel de créer plus de 8 000 emplois et d’ajouter 400 milliards de livres au PIB britannique à l’horizon 2030…
Coreweave, concurrent américain de Nscale, avance lui aussi ses pions : mardi, il a indiqué son intention d’augmenter ses investissements sur le sol de la Couronne britannique. Alors qu’il envisageait initialement une enveloppe d’1 milliard de livres (1,15 milliard d’euros ou 1,36 milliard de dollars), annoncée en mai 2024, l’opérateur spécialisé dans le cloud et l’IA monte à 2,5 milliards de dollars, et ne cache pas son ambition de trouver les clients de ses futures infrastructures au sein du secteur public et des institutions de recherche du pays.
L’opérateur avance avec d’autant plus d’aisance qu’il bénéficie depuis peu d’un accord de distribution privilégié avec NVIDIA : annoncé en début de semaine, il offre à Coreweave des garanties de rachat à hauteur de 6,3 milliards de dollars si ses approvisionnements en GPU NVIDIA ne trouvaient pas de débouchés auprès des clients finaux.
Principal fournisseur de ces différents marchés, NVIDIA ne cache pas son enthousiasme et salue dûment l’action du président Trump : sa visite d’État se traduirait en effet par un déploiement de l’ordre de 120 000 GPU Blackwell Ultra. Les perspectives s’annoncent d’autant plus radieuses que NVIDIA profite de l’occasion pour renforcer ses liens avec Nscale qui devrait, selon les termes du même communiqué, contribuer à distribuer et déployer quelque 300 000 Blackwell Ultra à l’échelle mondiale.
Si la « diplomatie de l’IA » semble ici se concentrer sur le Royaume-Uni, son action se poursuit en effet plus discrètement en Norvège, où Microsoft et Nscale, associé au géant local Aker, ont révélé mercredi avoir signé un accord d’investissement conjoint portant sur 6,2 milliards de dollars d’infrastructures basées à Narvik, dans le nord du pays, à proximité d’importants foyers de production d’énergie renouvelable.
Là aussi, les géants américains de la tech avancent leurs pions de concert : cette offensive en direction des fjords norvégiens suit de quelques semaines celle d’OpenAI qui avait déjà proclamé, fin juillet, la création d’un Stargate norvégien incarné par un datacenter à 100 000 GPU fournis par NVIDIA… avec, là aussi, le concours de Nscale et d’Aker.
Ni la Norvège, ni le Royaume-Uni n’ont communiqué publiquement sur les conditions fiscales et les éventuelles subventions ou crédits d’impôts associés à ce déluge programmé d’investissements. Outre-Manche, ces promesses d’investissement sont assorties de quelques contreparties, dont la plus importante, d’un point de vue économique, réside sans doute dans l’abandon de l’idée de droits de douane nuls sur les importants états-uniennes d’acier et de produits sidérurgiques britanniques. Reste à savoir si le versement de cette manne sera aussi conditionné à d’autres engagements, liés par exemple à la taxation des géants du numérique…
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Des groupes russes, chinois et pro-iraniens participent activement à amplifier la circulation de désinformation, des théories du complot ou de récits décrivant les États-Unis comme violents, polarisés et dysfonctionnels.
Dans leur arsenal : de faux comptes de réseaux sociaux, des bots numériques, mais aussi des comptes influents comme celui de l’ultranationaliste russe Alexander Dugin, qui décrit la mort de Charlie Kirk comme un potentiel déclencheur de la « guerre civile qui vient ».
Chercheur à l’Institute for Strategic Dialogue, Joseph Bondir explique à AP que ces acteurs malveillants ne créent pas tellement de nouveaux récits, mais « choisissent des acteurs domestiques et les amplifient ».
Selon leur origine géographique, chaque groupe choisit les propos qui l’intéressent. La désinformation chinoise se focalise ainsi sur la nature violente du décès de Kirk, décrivant les États-Unis comme un pays d’extrémistes politiques et de violents détenteurs d’armes.
Les groupes pro-iraniens, eux, utilisent l’événement pour attaquer Israël, affirmant que l’état hébreu a fomenté l’assassinat et piégé le tueur – une thèse qui a trouvé un réel écho dans les groupes de suprémacistes blancs et antisémites des États-Unis.
Si ce type de pratiques n’est pas neuve, elles compliquent d’autant la possibilité de ramener le calme.
Iran, Chine et Russie ont tous nié avoir soumis la population des États-Unis à un feu de désinformation.
Nouveau processeur à rejoindre le catalogue d’AMD : le Ryzen 5 5600F. Ce nouveau modèle se destine donc à la plateforme AM4 laquelle a été lancée quelque part en 2017 ! Avec ce nouveau modèle, la marque propose un CPU exploitant une configuration similaire à celle d’un Ryzen 5 5600, mais avec des fréquences plus basses. […]
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Après les FL12, place aux FL14 ! DeepCool ne change pas sa recette et propose des ventilateurs de 140 mm avec pas moins de 42 diodes afin de proposer un éclairage éclatant. Mais pas trop, car la lumière est simplement sur le tour du cadre avec un effet très réussi, plus sous forme d'anneau. Avec autant de diodes, on profite surtout de transitions très douces entre les couleurs, et c'est déjà pas mal. Comme pour les modèles en 120 mm, les FL14 se déclinent en reverse pour ceux qui ne veulent pas voir le stator selon le sens de l'installation, et les packs de trois sont toujours de la partie. […]
Lire la suiteEn introduction de sa conférence Connect 2025, Meta a présenté les Ray-Ban Display, ses premières lunettes intelligentes équipées d’un écran monoculaire inséré dans le verre droit. Proposées dès le 30 septembre aux États-Unis au prix de 799 dollars, ces lunettes connectées utilisent un affichage 600×600 pixels, avec une …
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Entre deux boitiers Sonata et P180, Antec a sorti quelques boitiers fort originaux, comme le Skeleton. Un style un peu organique qui se retrouve aujourd'hui dans les Skeleton 240 et Skeleton 360, de nouveaux kits watercooling AIO qui avancent un design sympathique avec juste ce qu'il faut de courbes pour ne pas trop en faire. Et la surprise est que l'orientation est plutôt entrée de gamme, avec un tarif de moins de 100 U+20AC pour le modèle en 360 mm, qui a aussi la bonne idée de se décliner en blanc quand le 240 mm reste au noir. En attendant une série spéciale anthracite comme à l'époque du boitier ? […]
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