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Batteries lithium-ion : le danger invisible qui dort chez vous

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Avec 19 appareils par foyer en moyenne, les batteries lithium-ion sont partout. Pourtant, 84% des Français admettent des comportements à risque, comme charger un appareil sous un oreiller. Le risque d'emballement thermique, un incendie brutal et difficile à éteindre, est réel.

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Amazon déclare la guerre au streaming illégal sur ses Fire TV

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Par :Sirius
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Amazon change radicalement de stratégie et s'attaque de front au piratage. Les appareils Fire TV vont désormais détecter et bloquer activement les applications de streaming illégal et d'IPTV, en collaboration avec les géants du divertissement. Fini le Far West numérique sur votre téléviseur, la chasse aux pirates est officiellement ouverte.

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L’univers pourrait déjà « ralentir » : une étude coréenne questionne la théorie de l’expansion accélérée

Une nouvelle recherche publiée dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society remet en cause l’idée selon laquelle l’Univers serait en expansion accélérée constante. Selon l’équipe de l’université de Yonsei dirigée par le professeur Young‑Wook Lee, « l’Univers est déjà entré dans une phase d’expansion ralentie à l’époque …

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IKEA lance 21 produits Matter pour démocratiser la domotique

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IKEA passe à l'offensive sur la domotique. Le géant suédois annonce 21 nouveaux produits (éclairage, capteurs, prises) compatibles avec la norme Matter over Thread. L'objectif est de simplifier l'expérience et de casser les prix (dès 3£). Le hub Dirigera est aussi mis à jour pour devenir un contrôleur Matter complet. Arrivée prévue en janvier.

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Meta tirerait 10% de ses revenus d’arnaques et de publicités frauduleuses

Cui bono
Meta tirerait 10% de ses revenus d’arnaques et de publicités frauduleuses

Des documents internes à Meta révèlent que le groupe de Mark Zuckerberg prévoit de générer 10 % de son chiffre d’affaires annuel, soit environ 16 milliards de dollars, à partir de publicités enfreignant ses conditions d’utilisation. Plutôt que de bannir les fraudeurs, Meta préfère leur facturer un supplément, dopant ainsi d’autant ses propres revenus.

En 2019, le producteur et milliardaire John de Mol attaquait Facebook en justice en raison de publicités contrefaisant son image au profit d’arnaques à la crypto. Six ans plus tard, Facebook et sa maison-mère Meta feraient-ils preuve de laxisme en matière de publicité trompeuse ?

La question se pose de façon légitime. Bien que le phénomène soit dénoncé depuis des années, des internautes se plaignent encore régulièrement d’avoir été confrontés à des réclames qui usurpent l’identité d’une personnalité célèbre, ou à de soi-disant promotions qui renvoient vers des arnaques.

Si Meta laisse faire, c’est peut-être parce que le groupe y trouve un intérêt. Une longue enquête de Reuters, publiée jeudi 6 novembre, lève en effet une partie du voile sur la façon dont l’entreprise appréhende le phénomène.

À qui profite le crime ?

D’après des documents internes à Meta, consultés par l’agence de presse, l’impact de ces publicités frauduleuses serait mesuré avec précision. Fin 2024, le groupe estimait ainsi, d’après Reuters, diffuser de l’ordre de 15 milliards de publicités frauduleuses par jour. Cette portion considérée comme « à haut risque » (car présentant des signes évidents de fraude) de l’inventaire publicitaire aurait représenté un chiffre d’affaires d’environ 7 milliards de dollars sur l’année 2024.

D’autres documents internes consultés par Reuters laissent penser que Meta estimait, en interne, que les publicités frauduleuses dans leur ensemble pourraient représenter quelque 10 % de son chiffre d’affaires annuel, soit 16 milliards de dollars, puisque l’entreprise affirme avoir réalisé 164,5 milliards de dollars en 2024. Et ce alors que l’entreprise affirme lutter avec la plus grande diligence contre le scam, et se targue de protéger toujours mieux ses utilisateurs contre les arnaques en ligne.

« Une grande partie de la fraude provenait de spécialistes du marketing dont le comportement était suffisamment suspect pour être signalé par les systèmes d’alerte internes de Meta. Cependant, l’entreprise n’interdit les annonceurs que si ses systèmes automatisés prédisent avec au moins 95 % de certitude qu’ils commettent une fraude, selon les documents. Si l’entreprise est moins certaine, mais estime néanmoins que l’annonceur est un escroc potentiel, Meta lui applique des tarifs publicitaires plus élevés à titre de sanction, d’après ces mêmes documents », décrit ainsi Reuters.

À défaut de bloquer les contrevenants, Meta tenterait donc de les dissuader en augmentant ses tarifs, dopant dans le même temps ses propres revenus liés à l’activité de ces derniers.

Meta minimise le phénomène

Meta n’a pas pris la parole publiquement au sujet de cette enquête, mais l’un de ses porte-paroles, Andy Stone, a répondu à Reuters, alléguant d’une vision tronquée et erronée de la réalité. Les chiffres avancés par l’agence de presse couvriraient ainsi un inventaire incluant également des publicités légitimes, note-t-il, sans préciser la ventilation.

« Cette évaluation a été réalisée pour valider nos investissements prévus en matière d’intégrité – notamment dans la lutte contre les fraudes et les escroqueries – ce que nous avons fait, déclare le porte-parole à Reuters. Nous luttons activement contre la fraude et les escroqueries, car les utilisateurs de nos plateformes ne veulent pas de ce type de contenu, les annonceurs légitimes n’en veulent pas non plus, et nous non plus. »

L’agence de presse note de son côté que si des documents internes soulignent bien une intention de renforcer la lutte contre le scam en 2025, ils interrogent dans le même temps l’impact négatif que cette action risque d’avoir sur l’activité publicitaire du groupe.

De la même façon, d’autres documents montrent que les cadres de Meta ont tenté de soupeser le rapport bénéfice-risque vis-à-vis des possibles sanctions réglementaires. Avec une balance qui penche clairement du côté de la publicité frauduleuse.

« La Compagnie estime que le chiffre d’affaires généré par les publicités enfreignant nos conditions d’utilisation qui présentent le plus haut niveau de risque représentent à peu près 3,5 milliards de dollars (pour le S2 2024). Il s’agit probablement de l’ordre de grandeur maximal du coût de tout accord réglementaire concernant les publicités frauduleuses », remarque ainsi un rapport interne reproduit par Reuters. Une autre analyse interne, datée d’avril 2025, souligne quant à elle qu’il est « plus facile de faire de la publicité pour des arnaques sur les plateformes de Meta que sur Google ».

Cette approche cynique du phénomène aiguillonnera-t-elle les autorités compétentes sur les questions publicitaires, aux États-Unis ou en Europe ? La Commission européenne s’inquiétait fin octobre de ce que Meta ne respecte pas les obligations de transparence prévues dans le cadre du règlement sur les services numériques (DSA).

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Windows 11 a un menu contextuel confus et Microsoft va le corriger

Le menu contextuel de Windows 11 disponible avec un clic droit, qui se veut encombré et mal conçu selon les cas, devrait enfin connaître une vraie amélioration. Après plusieurs années de critiques d’utilisateurs et d’échecs partiels de simplification, Microsoft semble déterminé à réparer ce qui est devenu l’un …

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Test de la JBL Boombox 4 : la meilleure des Boombox

JBL Boombox 4

Référence incontestée des grosses enceintes Bluetooth portables, la JBL Boombox semblait difficile à améliorer. Pourtant, JBL relève le défi avec une quatrième génération qui affine sa formule sans la dénaturer. Nous l'avons testée.
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