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Si je vous disais que vous pouviez créer un monde virtuel juste en le décrivant avec des mots ? Oui, c’est désormais possible grâce à l’intelligence artificielle et à des outils comme Stable Diffusion. Combinée à la réalité étendue (XR), cette technologie permet de transformer des idées en images… en temps réel. Des applications comme SmallflyVRChat rendent cette magie accessible à tous. Une nouvelle façon de vivre le numérique est en train de naître ! Voici plus d’informations à connaître sur le sujet.

Quand l’intelligence artificielle rencontre la réalité étendue

IA générative et XR : Une convergence technologique explosive

L’intelligence artificielle (IA) et la réalité étendue (XR) sont deux technologies qui transforment rapidement notre manière d’interagir avec le numérique. L’IA, en particulier les modèles génératifs comme Stable Diffusion, permet de créer des images, vidéos ou environnements à partir de simples descriptions textuelles. De son côté, la XR regroupe la réalité virtuelle (VR), la réalité augmentée (AR) et la réalité mixte (MR). Elle offre ainsi des expériences immersives où le virtuel et le réel se mélangent.

Quand ces deux univers se rencontrent, ils ouvrent la porte à des expériences inédites ! Imaginez pouvoir générer et modifier en temps réel un décor virtuel dans lequel vous évoluez, sans passer par des logiciels complexes ou de longues heures de modélisation. C’est cette fusion qui révolutionne la création numérique, avec un potentiel immense pour le divertissement, le travail collaboratif, l’éducation, ou même la socialisation.

Cette convergence accélère la démocratisation de la création numérique immersive. Les artistes, développeurs, et même les utilisateurs lambda peuvent désormais façonner leur univers virtuel. Il leur suffit de générer des textures, objets ou décors via l’IA, et les intégrer immédiatement dans un espace XR. Cela repousse les limites de l’imagination et de la créativité. En même temps, cela réduit considérablement les coûts et délais de production.

Pourquoi Stable Diffusion révolutionne la création en réalité virtuelle

Stable Diffusion est un modèle d’intelligence artificielle capable de générer des images de haute qualité à partir de simples phrases descriptives. Dans le contexte de la réalité virtuelle, cette technologie change la donne. Au lieu de devoir concevoir manuellement chaque élément d’un monde virtuel, les utilisateurs peuvent désormais créer des décors, objets et textures instantanément, simplement par la description de ce qu’ils imaginent.

Cette rapidité et cette simplicité offrent une liberté créative inédite. Les environnements VR deviennent plus riches, variés et personnalisés, adaptés aux envies de chacun. De plus, Stable Diffusion permet une itération rapide : il suffit d’ajuster la description pour modifier un élément ou créer une nouvelle ambiance. Ainsi, la création virtuelle devient plus intuitive, accessible, et immersive, ce qui renforce l’expérience utilisateur.

Stable Diffusion : Transformer l’imaginaire en environnements VR dynamiques

Du texte à la texture : Comment l’IA redéfinit le contenu XR

Créer du contenu pour la réalité étendue ne demande plus des heures de modélisation ou de programmation avec Stable Diffusion. Il suffit de décrire ce que l’on souhaite voir, un arbre majestueux, une ville futuriste ou une ambiance mystique, et l’IA génère instantanément des textures et images correspondantes. Ces éléments peuvent ensuite être intégrés directement dans un environnement XR, pour un rendu visuel riche et détaillé.

Cette approche transforme la manière dont les mondes virtuels sont conçus. Elle permet une personnalisation poussée et une créativité sans limite, où l’utilisateur peut adapter et modifier son espace en temps réel. Cette fluidité rend les expériences XR plus vivantes, interactives et surtout, plus accessibles à tous, même sans compétences techniques.

Visualisation instantanée : Le pouvoir du temps réel avec Stable Diffusion

Parmi les plus grands atouts de Stable Diffusion dans la XR, il y a sa capacité à générer du contenu quasiment en temps réel. Cela signifie que les modifications apportées à un environnement virtuel apparaissent instantanément. Cela offre une expérience fluide et immersive. Que ce soit pour ajuster un décor, ajouter un nouvel objet, ou changer l’ambiance, l’utilisateur voit immédiatement le résultat.

Cette rapidité ouvre la voie à une créativité sans interruption, où l’imagination dicte directement l’évolution du monde virtuel. Les expériences sociales, artistiques ou professionnelles bénéficient ainsi d’une adaptabilité exceptionnelle. Elles transforment chaque interaction en une opportunité de création partagée et spontanée.

Vers une XR plus fluide, plus créative, plus accessible

Grâce à l’intégration de Stable Diffusion, la réalité étendue devient plus intuitive et inclusive. Fini les longues heures de modélisation ou les connaissances techniques complexes : chacun peut désormais créer et personnaliser son univers virtuel avec simplement quelques mots. Cette fluidité encourage la créativité spontanée, et en même temps, elle rend la XR accessible à un public beaucoup plus large.

De plus, cette méthode facilite la collaboration en temps réel. Elle permet à plusieurs utilisateurs de co-créer et d’interagir dans des espaces dynamiques, évolutifs et toujours renouvelés. La XR devient ainsi un véritable terrain de jeu et d’expression pour tous, ce qui démocratise l’expérience immersive.

SmallflyVRChat : L’exemple d’une Social VR dopée à l’IA

Qu’est-ce que SmallflyVRChat ?

SmallflyVRChat est une application de réalité virtuelle sociale qui illustre parfaitement comment Stable Diffusion peut transformer l’expérience utilisateur. Dans cet environnement immersif, les utilisateurs peuvent non seulement rencontrer d’autres personnes en VR, mais aussi créer et personnaliser leurs espaces virtuels en temps réel, grâce à la puissance de l’intelligence artificielle.

Il s’agit, en effet, d’une plateforme de réalité virtuelle sociale où des utilisateurs du monde entier peuvent se rencontrer, communiquer, et explorer ensemble des environnements immersifs. Ce qui la distingue, c’est son intégration innovante de l’intelligence artificielle générative, notamment Stable Diffusion, pour créer et modifier des mondes virtuels en temps réel. Plutôt que de se contenter de visiter des espaces préconçus, les utilisateurs deviennent de véritables créateurs, façonnant leur univers à mesure de leurs envies.

Utiliser Stable Diffusion pour générer des mondes personnalisés dans la VR

Grâce à Stable Diffusion, SmallflyVRChat permet aux utilisateurs de transformer des descriptions textuelles en environnements virtuels détaillés et personnalisés. Il suffit, par exemple, de taper simplement « une plage tropicale au coucher du soleil » pour que l’IA génère instantanément un décor immersif correspondant à cette scène. Cette fonctionnalité révolutionne l’expérience sociale en VR, car elle donne à chacun la possibilité de façonner son cadre de rencontre sans effort technique.

Cela favorise une créativité débridée et une immersion plus profonde, où chaque utilisateur peut explorer ou inviter ses amis dans des mondes uniques, façonnés par l’imagination collective.

Créer, modifier, expérimenter : Le rôle central de l’utilisateur

Dans SmallflyVRChat, l’utilisateur devient un acteur clé du monde virtuel. Plus qu’un simple visiteur, il peut créer, modifier et expérimenter son environnement à volonté. Grâce à l’interface intuitive couplée à Stable Diffusion, il suffit de décrire ses envies pour voir apparaître instantanément de nouveaux objets, paysages ou ambiances.

Cette liberté d’expression donne naissance à des espaces toujours renouvelés, où la collaboration et l’échange prennent une dimension nouvelle. Chacun peut co-créer avec d’autres utilisateurs, tester et ajuster les créations en temps réel, pour rendre chaque rencontre unique et pleine de surprises.

Impacts, usages et limites de cette nouvelle ère immersive

Nouvelles formes de collaboration, de design et de socialisation

Avec l’IA générative intégrée à la XR, la collaboration devient plus fluide et créative. Les équipes peuvent concevoir ensemble des espaces virtuels, ajuster instantanément leurs idées, et co-créer des environnements personnalisés sans barrières techniques. Cela révolutionne aussi la socialisation grâce à des lieux virtuels toujours renouvelés, où les interactions se font dans des décors adaptés aux envies et aux contextes.

Enjeux techniques : Performance, latence, compatibilité

L’intégration de Stable Diffusion en temps réel dans des environnements XR pose des défis techniques importants. La génération instantanée d’images haute résolution demande une puissance de calcul conséquente, ce qui peut entraîner des problèmes de latence et ralentir l’expérience immersive. Pour garantir fluidité et réactivité, les plateformes doivent optimiser leurs algorithmes et parfois recourir à des serveurs puissants en cloud.

Par ailleurs, la compatibilité avec différents casques VR, appareils AR et systèmes d’exploitation reste un enjeu important pour toucher un large public. Trouver le bon équilibre entre qualité visuelle, performance et accessibilité est donc un défi constant.

Éthique, hallucinations IA et sécurité dans les environnements générés

L’usage de l’IA générative dans la XR soulève aussi des questions éthiques. Les modèles comme Stable Diffusion peuvent parfois produire des contenus imprévus ou inappropriés, appelés « hallucinations ». Cela pose un défi pour garantir un environnement sûr, respectueux et adapté à tous les utilisateurs.

De plus, la création libre d’espaces virtuels pose des questions de modération, de protection des données personnelles, et de prévention des abus. Les plateformes doivent donc mettre en place des garde-fous technologiques et des règles claires pour assurer une expérience immersive responsable et sécurisée.

Vers un futur XR piloté par l’imagination humaine et l’intelligence artificielle

Le rôle de l’utilisateur-créateur dans l’écosystème XR de demain

Dans le futur de la XR, chaque utilisateur deviendra un véritable créateur. Grâce aux outils d’IA générative comme Stable Diffusion, la frontière entre consommateur et créateur s’estompe. Chacun pourra façonner son univers virtuel selon ses envies, sans barrières techniques.

Cette démocratisation de la création encouragera l’émergence de communautés actives où les idées circuleront librement. Ils donneront naissance à des mondes toujours plus diversifiés, riches et collaboratifs. L’utilisateur ne sera plus seulement spectateur, mais un acteur clé de l’expérience immersive.

IA + XR + social : Vers une fusion totale des mondes numériques ?

L’alliance entre intelligence artificielle, réalité étendue et dimensions sociales ouvre la voie à une fusion sans précédent des mondes numériques. Des plateformes comme SmallflyVRChat montrent déjà comment ces technologies créent des espaces virtuels où interactions humaines, créativité et immersion se mêlent parfaitement.

Cet article Stable Diffusion transforme le monde réel… en temps réel ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

La technologie a considérablement réduit la frontière entre le virtuel, le numérique et le réel. Du divertissement au travail en passant par nos achats, toutes nos activités ont désormais un côté virtuel. Pourtant, on n’a pas tous des solutions pour protéger nos biens ou même notre identité dans ce monde. La blockchain peut fournir des solutions. La façon de fonctionner de cette technologie la rend idéale pour établir la confiance et protéger la propriété dans le monde virtuel.

Qu’est-ce que la blockchain ?

D’un point de vue purement technique, la blockchain est un registre numérique. Elle enregistre des données dans une chaîne de blocs de façon sécurisée et cryptée. Chaque bloc contient une liste de transactions ou d’actions.

Une fois ajouté, un bloc ne peut plus être modifié. Chaque participant au réseau blockchain possède une copie de ce registre, ce qui le rend transparent et difficile à falsifier. La blockchain utilise un système décentralisé. Cela signifie qu’aucune autorité unique ne la contrôle. Les utilisateurs du réseau valident les transactions dans un processus appelé « consensus ».

Cette technologie est devenue célèbre grâce aux crypto-monnaies comme le Bitcoin, la crypto la plus chère du monde. Elle abrite aussi la crypto la moins chère, celle que les investisseurs recherchent pour faire du profit une fois que son prix aura augmenté. Mais il n’y a pas que la finance qui utilise la blockchain. La réalité virtuelle (RV) et les jeux vidéo s’y mettent également.

Comment fonctionne la blockchain ?

Lorsqu’une transaction est effectuée, elle est envoyée à un réseau d’ordinateurs, appelés « nœuds ». Ces nœuds vérifient la transaction selon des règles définies par le système. Une fois vérifiées, les transactions sont regroupées dans un bloc. Ce bloc est ensuite relié au précédent, créant ainsi une chaîne. Chaque nouveau bloc renforce la sécurité du système.

La blockchain utilise des algorithmes cryptographiques. Ceux-ci protègent les données et garantissent que personne ne puisse modifier secrètement les enregistrements. Puisque tout le monde peut consulter le registre, il est quasiment impossible de tricher. Dans les mondes virtuels, cela signifie que chaque propriété, avatar et actif peut être enregistré en toute sécurité. La propriété peut être tracée et vérifiée à tout moment.

Les actifs numériques dans les mondes virtuels

Les mondes virtuels possèdent leur propre économie. Les participants peuvent acheter, vendre et échanger des objets. Il peut s’agir de terrains virtuels, de vêtements pour avatars ou d’objets rares en jeu. Avant la blockchain, la propriété de ces éléments était complexe. Les développeurs de jeux contrôlaient souvent les actifs. Si un développeur décidait d’arrêter le jeu, les utilisateurs pouvaient tout perdre.

Il y avait également des problèmes de confiance. Les joueurs n’avaient aucun moyen simple de prouver qu’ils possédaient un actif numérique. Échanger des objets entre différents jeux ou plateformes était quasiment impossible. La blockchain résout ce problème en créant des registres de propriété numériques. Grâce aux jetons non fongibles (NFT), les participants à un monde virtuel peuvent prouver la propriété d’un bien numérique. Chaque NFT peut représenter un terrain virtuel, le costume d’un avatar ou une arme dans un jeu. Cela donne aux utilisateurs un contrôle total sur leurs biens numériques.

Vérification des identités et des biens

Dans les espaces virtuels, l’identité est importante. Les utilisateurs créent des avatars pour se représenter. Ils gèrent également des propriétés virtuelles et rejoignent des communautés. La blockchain ajoute un système d’identité sécurisé à ces mondes. Des identifiants numériques peuvent être créés sur une blockchain, prouvant ainsi à qui appartient quoi. Ces identifiants peuvent aussi contenir des scores de réputation ou des informations d’identification.

Par exemple, l’identifiant d’un utilisateur peut suivre son historique dans un jeu de réalité virtuelle. Il peut enregistrer ses réussites, ses biens ou son statut social. Toutes ces données sont sécurisées et infalsifiables.

Contrôle réel sur les économies virtuelles

Les économies du monde réel reconnaissent déjà le potentiel de la blockchain. Dans les mondes virtuels, les joueurs échangent des objets, des terrains et des services. Certains disposent même de monnaies numériques. Sans blockchain, ces économies sont limitées. Les développeurs de jeux peuvent modifier les règles ou bannir des utilisateurs. Les actifs n’ont souvent aucune valeur en dehors du jeu.

La blockchain offre aux utilisateurs un véritable contrôle. Les actifs et les monnaies étant enregistrés dans un registre public, ils peuvent être échangés partout. Une épée d’un jeu peut être vendue contre des crypto-monnaies ou échangée contre un avatar rare dans un autre monde.

Cette liberté crée de nouvelles opportunités, permettant à chacun de gagner de l’argent grâce à ses activités virtuelles. Les artistes peuvent vendre leurs œuvres numériques dans des galeries de réalité virtuelle. Les joueurs peuvent louer des terrains virtuels pour des événements ou des publicités. Des entreprises entières peuvent exister dans ces mondes, puisque la blockchain garantit l’équité et la transparence de ces activités.

Protéger la propriété numérique

L’un des principaux avantages de la blockchain est qu’elle empêche les modifications non autorisées. Une fois une transaction ajoutée, elle est permanente. Personne ne peut la supprimer ou la modifier. Ceci en fait une technologie idéale pour gérer la propriété numérique et éviter les fraudes. Les terrains, les personnages, les diplômes et objets de collection virtuels ne peuvent être ni volés ni dupliqués. Les joueurs n’ont pas besoin de compter sur les éditeurs de jeux pour protéger leurs actifs.

Transparence et fair-play

La confiance est un enjeu majeur dans les jeux en ligne et les plateformes virtuelles. Les utilisateurs craignent souvent la tricherie ou des politiques injustes. La blockchain apporte plus de transparence. Chaque transaction, vente ou création d’actif est enregistrée. Les joueurs peuvent consulter la blockchain pour connaître la rareté d’un objet ou savoir à qui il appartenait auparavant.

Cela empêche également les développeurs de jeux de créer secrètement des objets rares. La blockchain étant publique, chaque nouvel actif doit être enregistré et visible. Cela renforce la confiance entre les joueurs et les développeurs et crée des conditions de jeu équitables pour tous dans le monde virtuel.

Compatibilité multiplateforme

La blockchain n’est pas liée à une seule plateforme. Elle est donc idéale pour connecter différents mondes virtuels. Un NFT créé dans un jeu VR peut être utilisé dans un autre. Une monnaie numérique gagnée dans un monde imaginaire peut être dépensée dans une salle de concert virtuelle. C’était presque impossible avant la blockchain.

La compatibilité multiplateforme ouvre de nouvelles opportunités. Les utilisateurs peuvent créer des identités en ligne unifiées. Les ressources gagnent en valeur lorsqu’elles peuvent voyager entre les mondes. Les développeurs peuvent également collaborer en créant des ponts reliant différents espaces de réalité virtuelle grâce à des ressources partagées.

Gouvernance axée sur la communauté

De nombreux projets blockchain utilisent une gouvernance décentralisée. Cela signifie que les utilisateurs peuvent voter sur les décisions importantes. Dans un monde virtuel, cela pourrait couvrir tout, des modifications de règles aux nouvelles fonctionnalités. Les joueurs détenant certains jetons ou NFT pourraient obtenir des droits de vote. Ce système permet aux utilisateurs de participer à l’évolution de leurs mondes favoris. Il rend également les plateformes plus démocratiques et conviviales.

Exemples de mondes virtuels Blockchain

Plusieurs projets utilisent déjà la blockchain dans des environnements virtuels :

• Decentraland : une plateforme VR où les utilisateurs achètent, vendent et construisent sur des terrains virtuels.
• The Sandbox : un monde de jeu où les joueurs créent, échangent et monétisent des actifs.
• Somnium Space : un métavers VR ouvert utilisant la blockchain pour la propriété foncière et les actifs.

Ces mondes utilisent la blockchain pour sécuriser les transactions et protéger la propriété numérique. Ils permettent la propriété réelle et connectent les économies grâce aux crypto-monnaies.

Cet article Confiance et propriété dans les univers virtuels : Les solutions apportées par la blockchain a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Le Meta Quest 4 se profile à l’horizon ! Sera-t-il à la hauteur de ses prédécesseurs, et peut-il relancer à lui seul le marché de la réalité virtuelle ? Découvrez toutes les nouveautés attendues pour ce nouveau casque VR, ainsi que sa date de sortie et son prix probables !

Avec plus d’un million de ventes selon les estimations des analystes, le Meta Quest 3 domine largement le marché de la réalité virtuelle.

Lancé en octobre 2023, ce casque VR tout-en-un est très populaire, au même titre que le Quest 2 avant lui qui s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires selon une fuite d’informations datée du mois de mars.

Même si Meta ne communique pas officiellement les chiffres de ventes de ses casques, il est donc clair que la gamme Quest surpasse largement l’Apple Vision Pro en termes de popularité.

Toutefois, la firme de Mark Zuckerberg peut-elle conserver son leadership sur le long terme ? Est-il encore possible pour elle de se renouveler, et de prolonger son succès à l’heure où le marché de la réalité virtuelle bat de l’aile ?

Tout semble dépendre d’une seule et unique question : que nous réserve le futur Meta Quest 4 ? C’est ce que vous allez découvrir à travers ce dossier complet, qui fait le point sur toutes les rumeurs et informations disponibles à l’heure actuelle !

Deux versions différentes dès le lancement

Le lancement du Meta Quest 4, initialement prévu pour 2026, est désormais repoussé à 2027. Ce décalage a été confirmé par plusieurs fuites récentes et rapports d’analystes spécialisés dans l’industrie de la réalité virtuelle. Il est donc peu probable que ce casque soit disponible avant 2027, bien que des rumeurs évoquent une version plus accessible (le Quest 4 Lite) lancée avant la fin de 2026. Deux modèles distincts seront commercialisés : le Meta Quest 4 standard, nommé Pismo Low, et une version plus haut de gamme, appelée Meta Quest 4S ou Pismo High.

Cette double offre vise à répondre à des besoins variés, avec un modèle accessible à un prix compétitif, tandis que l’autre propose des fonctionnalités avancées et un design premium. Cette approche permet à Meta de conserver sa position dominante sur le marché VR tout en séduisant un public plus large. Cette dualité devrait également permettre à Meta de mieux contrôler les coûts tout en introduisant des innovations technologiques adaptées à chaque segment.

🔮 Meta plans two Quest 4 models for 2026 (standard and premium) and Quest Pro 2 for 2027, per The Information.

🕹️ Quest 4: Pismo Low & Pismo High.
📈 Quest Pro 2: Codec avatars, higher resolution, rear battery.#Meta #Quest4 #QuestPro2 #VR #TechNews pic.twitter.com/7C1haOGWSP — Dmitri Lapchinski (@VisualUniVRs)

?ref_src=twsrc%5Etfw">August 5, 2024

Le retour en force du suivi oculaire ?

Souvenez-vous : lors du lancement du Vision Pro, Mark Zuckerberg s’en était directement pris à Apple via une vidéo publiée sur Instagram. Il avait énuméré plusieurs points sur lesquels le Quest 3 se révèle meilleur.

Il avait certes admis que le système de suivi oculaire du Vision Pro est « vraiment sympa », mais soulignait que le Quest Pro avait proposé des capteurs de eye-tracking en premier et que Meta comptait bien les « faire revenir dans le futur ».

On peut donc être quasiment certain que le Quest Pro 2 proposera une telle fonctionnalité. En revanche, c’est beaucoup moins sûr pour le Quest 4 compte tenu des contraintes de coût liées à cette technologie.

Néanmoins, cette absence est l’un des plus gros points faibles du Quest 3. On espère donc que ce manque sera comblé avec le Quest 4.

https://www.youtube.com/watch?v=0C5ER-mQ4nA

Sur le Vision Pro, Apple utilise le suivi oculaire pour détecter ce que vous regardez et améliorer les contrôles par suivi des mains. De leur côté, le Quest Pro et le PSVR 2 s’en servent pour le rendu fovéal.

Cette technique permet de concentrer les détails graphiques sur ce que vous regardez, afin d’améliorer la qualité visuelle sans pour autant mettre trop de pression sur le GPU.

En outre, Sony utilise aussi les caméras pour vérifier si la distance interpupillaire du PSVR correspond à celle de vos yeux. Ce n’est pas le cas du Quest 3 qui se contente de mesurer cette distance avec une règle et ne pas détecter un mauvais réglage.

En raison de la rivalité entre Meta et Apple, on peut s’attendre à ce que le Quest 4 incorpore des caméras de suivi oculaire malgré son prix abordable afin de ne pas se faire dépasser par le Vision Pro et son successeur attendu pour 2026.

Un casque VR connecté à votre cerveau

Toujours dans sa vidéo critiquant l’Apple Vision Pro, Mark Zuckerberg avait affirmé que le suivi des yeux et des mains n’est « pas un système de contrôle parfait ».

Selon lui, pour plus de précision, il est nécessaire d’utiliser soit un clavier… soit une interface neuronale.

Un peu plus tard, lors d’une interview dans un podcast, il a développé ce point en expliquant que Meta a créé un bracelet d’électromyographie (EMG) capable d’interpréter les signaux du système nerveux de votre cerveau à votre main.

Le but ? Permettre un meilleur contrôle gestuel dans la VR. D’après Zuckerberg, « vous serez capable d’écrire ou de contrôler quelque chose juste en pensant à la façon dont vous voulez bouger votre main ».

Déjà à l’époque, il affirmait que cette technologie est « pratiquement prête pour le produit » et qu’elle sera incorporée dans les casques Meta d’ici quelques années.

Il est donc tout à fait possible que le Quest 4, attendu pour 2026, intègre cette technologie. À l’aide d’un simple bracelet vendu avec le casque, vous pourriez être capable d’interagir avec la VR par la pensée !

Ceci permettrait d’écrire ou de naviguer dans le menu en toute simplicité, voire même de contrôler votre personnage dans les jeux vidéo. Il s’agirait d’un grand pas en avant pour la réalité virtuelle !

Un tel bracelet pourrait aussi être équipé de capteur de rythme cardiaque, afin de vous accompagner dans les jeux de sport comme il en existe déjà un grand nombre sur Quest 2 et 3.

Une sangle Elite native

L’une des principales différences entre le Quest 2 et le Quest 3 était la sangle en tissu repensée, afin de mieux équilibrer le poids du casque.

Toutefois, cette sangle fait mal aux oreilles et n’est pas assez stable pour les applications les plus intenses comme les jeux de sport.

Pour davantage de confort, il fallait investir dans une sangle Elite vendue séparément pour 80 dollars (ou dans les alternatives proposées par des tiers).

On peut espérer que le Quest 4 propose nativement une sangle solide, à la manière des casques VR haut de gamme disponibles sur le marché ! Cela risquerait toutefois d’impacter le prix que Meta cherche à garder bas.

Un écran proche du Vision Pro

Par rapport au Quest 2, le Quest 3 offre une définition accrue de 30% pour un total de 2064×2208 pixels par œil. Cela équivaut à 1218 pixels par pouce, soit 445 de plus que le Quest 2 et 418 de plus que le PSVR 2.

Toutefois, depuis lors, le Vision Pro a pris la tête de la course avec 3386 pixels par pouce. On peut donc s’attendre à ce que le Quest 4 comble cet écart avec une définition similaire.

Une autre question qui se pose est celle du type d’écran. Le Quest 2 et le Quest 3 étaient munis d’un écran LCD, mais le Quest Pro est doté d’un écran QLED. Ses concurrents utilisent l’OLED et le Micro LED.

 

Speculation:

Oculus Quest 1 -> Meta Quest 2 = ~+53% Resolution
Meta Quest 2 -> Meta Quest 3 = ~+30% Resolution
Meta Quest 3 -> Meta Quest 4 = ~+34% Resolution https://t.co/a0MRP8FFhi pic.twitter.com/JbjTaeC5hZ — Luna (@Lunayian)

?ref_src=twsrc%5Etfw">July 22, 2024

Le LCD est plus abordable, et permet de garder les prix bas, mais demande davantage d’énergie et ses contrastes sont de moins bonne qualité.

L’OLED quant à lui propose des couleurs riches et des noirs profonds, tout en économisant de l’énergie grâce à l’absence de rétroéclairage.

Néanmoins, cette technologie a aussi des inconvénients comme l’effet mura ou la modulation de largeur d’impulsion qui peut faire mal aux yeux. Ils peuvent aussi s’user au fil du temps, et coûtent plus cher à fabriquer. Il est donc difficile de prédire quelle technologie Meta choisira pour le Quest 4 !

Un casque VR Cloud Gaming sans composants internes ?

Sur console et PC, de plus en plus de joueurs jouent en Cloud Gaming avec des services comme Nvidia GeForce, Amazon Luna ou Xbox Game Pass. Ceci permet de jouer sans utiliser les ressources de la machine, telles que son GPU et son CPU.

En effet, le jeu tourne sur les serveurs Cloud du fournisseur de services et l’image est retransmise sur l’écran du joueur en temps réel via le streaming.

Cette technologie pourrait donc être très utile pour repousser les limites techniques des casques VR et permettre un format plus compact.

Les utilisateurs de casques mobiles comme le Quest pourraient s’adonner à des jeux VR de qualité PC, tout en profitant d’une liberté de mouvement totale. Malheureusement, aucun appareil ne propose cette technologie à l’heure actuelle.

Néanmoins, une fuite d’informations a révélé que Meta travaille sur un tel projet. Avant même le lancement du Quest 3, l’analyste spécialisé dans la VR Brad Lynch a dévoilé d’étonnantes informations.

Une source anonyme lui a confié l’existence du Project Razor : un partenariat entre Meta et différents fournisseurs d’accès internet comme Verizon et AT&T pour améliorer la connectivité et « préparer l’internet » au métavers.

Par ailleurs, le document FCC que Quest 3 suggère que Meta a évalué les capacités 5G des casques de la génération actuelle. La puce Snapdragon XR2 Gen 2 pourrait en effet facilement prendre en charge la 5G.

Toutefois, aucune annonce n’a été faite concernant la compatibilité du Quest 3 avec la 5G. On peut en déduire qu’il reste du travail à effectuer ou que Meta a décidé de ne pas l’implémenter pour le moment.

On peut espérer que le Quest 4 apporte enfin la possibilité de jouer en Cloud Gaming. Cependant, cette technologie est encore loin d’être infaillible.

On déplore souvent des soucis de latence, même avec une connexion très rapide. Dans la VR, cela serait encore plus problématique, car les joueurs risqueraient d’avoir la nausée.

Il ne faut donc pas s’attendre à un casque dépourvu de composants internes et permettant uniquement de jouer via cette méthode. D’autant que beaucoup de régions n’ont pas encore accès à la fibre optique ou à la 5G !

Les lentilles à focale variable

Actuellement, les lentilles VR ont un point focal fixe. Les développeurs doivent prendre cette contrainte en compte pour choisir comment disposer le texte et les éléments de leurs jeux et applications.

Lors de la conférence SIGGRAPH 2023, Meta a présenté son prototype Butterscotch Varifocal : « le premier prototype de casque à atteindre la focale variable avec une résolution rétinienne d’environ 60 pixels par degré, ce qui est suffisant pour une acuité visuelle de 20/20 ».

À titre de comparaison, l’Apple Vision Pro se contente de 34 pixels par degré. Avec de telles lentilles à focale variable, le meilleur casque VR est capable de faire une mise au point électronique sur des objets, qu’ils soient proches ou loin de l’utilisateur dans le monde virtuel.

Une telle innovation changerait totalement la façon dont les développeurs conçoivent leurs jeux, en supprimant les restrictions visuelles qui provoquent souvent des effets de flou dans la VR.

Toutefois, il est peu probable que cette technologie soit incorporée dans le Quest 4 ou tout autre casque grand public à court terme.

Le prototype du SIGGRAPH avait un champ de vision minuscule de seulement 50 degrés, soit moins que la moitié des 110 degrés du Quest 3. Il était également cher et encombrant.

Malgré tout, compte tenu des milliards investis par le Reality Labs de Meta dans cette technologie, on peut espérer que le Quest 4 se rapproche de cette avancée majeure !

Un autre prototype présenté par Meta est le Holocake 2. Ses lentilles représentent la prochaine étape après les lentilles « pancake » du Quest 3.

Sa couche holographique additionnelle supprime le besoin de lentilles convexes ou concaves, et pourrait donc permettre au Quest 4 d’être beaucoup plus fin et léger.

L’éternel dilemme entre démocratisation et progrès technique

Malgré le lancement du Quest 3, les consommateurs ont continué d’acheter le Quest 2 en raison de son prix plus abordable.

Si le Quest 4 offre trop d’améliorations, il est peu probable que son prix reste à la portée du plus grand nombre.

On peut donc s’attendre à ce que Meta limite l’évolution technologique de ce prochain casque, même si la puce Snapdragon XR2 Gen 3 améliorera très certainement les performances.

Il est aussi fort probable que Meta dévoile de nouvelles fonctionnalités pour son OS Horizon, dont hériteront ensuite d’autres casques VR puisque ce système d’exploitation est désormais open source.

Stratégiquement parlant, la meilleure piste à suivre pour Meta semble être de commercialiser deux versions du Quest 4 : l’une à prix abordable avec un écran LCD, une sangle en tissu et une autonomie légère, l’autre plus onéreuse et de meilleure qualité.

Date de sortie : pas avant 2026 ?

Si l’on se base sur les précédents lancements de la gamme Meta Quest, il est peu probable que le Quest 4 soit lancé avant 2026.

En effet, trois ans ont séparé la sortie de l’Oculus Quest 2 et du Meta Quest 3. De plus, une récente fuite d’information suggère une fenêtre de lancement aux alentours de 2026.

Néanmoins, le Quest 2 est sorti 17 mois après le Quest 1. Il est donc possible que le quatrième modèle soit disponible plus tôt que prévu…

Quoi qu’il en soit, il faudra patienter encore quelques mois pour mettre la main sur ce casque qui devrait marquer le prochain cap de la VR !

D’ici là, on peut s’attendre au lancement d’un Quest 3 Lite plus abordable que le Quest 3 et destiné aux gamers à budget serré pour la fin 2024.

À l’inverse, les rumeurs évoquent aussi un Quest Pro 2 conçu pour les utilisateurs les plus exigeants et attendu pour 2025…

Les attentes des utilisateurs pour le Meta Quest 4

Les attentes des utilisateurs pour le Meta Quest 4 sont élevées, surtout après le succès des générations précédentes de casques de réalité virtuelle. Les consommateurs espèrent une amélioration significative des performances, notamment grâce à un processeur plus puissant qui permettra une expérience de jeu plus fluide et immersive.

Les utilisateurs sont également en quête de graphismes de meilleure qualité, avec des résolutions plus élevées et un rendu visuel plus réaliste. Ceci, afin de plonger encore plus dans les environnements virtuels. L’autonomie de la batterie est un autre point crucial ; les joueurs souhaitent pouvoir profiter de longues sessions sans avoir à recharger fréquemment leur appareil.

De plus, le confort du casque est indispensable, et les utilisateurs espèrent un design ergonomique qui réduit la fatigue lors d’utilisations prolongées. Les attentes incluent également de nouvelles fonctionnalités sociales et interactives. Le but étant de permettre un partage des expériences avec d’autres utilisateurs de manière plus intuitive.

Enfin, la compatibilité avec un plus grand nombre d’applications et de jeux, ainsi que des options de personnalisation, sont des éléments clés. Ceux-ci pourraient déterminer le succès de ce nouvel appareil sur le marché. Les utilisateurs sont donc impatients de découvrir comment Meta répondra à ces besoins.

Et vous, qu’attendez-vous du Quest 4 ? Êtes-vous impatient de pouvoir mettre la main sur ce futur casque VR ? Partagez vos attentes et vos prédictions en commentaire !

FAQ

Cet article Meta Quest 4 : puissance, prix, date… tout sur le prochain casque du géant de la VR ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Si vous êtes un passionné de VR, il est certain que vous avez déjà entendu parler du prochain lancement du casque VR de Valve. Il se dit que ce nouvel appareil deviendra incontournable sur PC. Mais à quoi ressemble-t-il ? Quelles sont ses fonctionnalités ? Quand sera-t-il disponible et à quel prix ? On vous dévoile tout ce que l’on sait sur ce fameux gadget à venir.

Après plusieurs années d’absence depuis la sortie du très populaire Valve Index en 2019, Valve semble enfin prêt à revenir sur le marché de la réalité virtuelle. Cette entreprise serait sur le point de lancer un tout nouveau casque. Les spéculations vont bon train, alimentées par divers indices et murmures qui circulent dans la communauté. Valve garde encore le silence, mais les rumeurs sur Deckard sont partout depuis un moment. Sans plus attendre, nous vous dévoilons tout ce que l’on sait sur ce casque, qui est le plus attendu des casques VR cette année.

Le Valve Deckard, un casque VR autonome ?

Oui, Valve travaillerait actuellement sur un nouveau casque VR autonome. Ce serait le successeur du Valve Index, qui a conquis le cœur d’innombrable joueurs. Le gadget à venir serait appelé temporairement « Deckard ». Il permettrait de se lancer dans des expériences VR sans nécessiter de câbles ni de connexion à un ordinateur, un peu comme d’autres casques autonomes comme le Meta Quest. Plus de fils qui se prennent dans vos pieds pendant que vous partez à la chasse aux dragons dans un monde virtuel ou quand vous partez en mission à travers un univers de science-fiction.

Les rumeurs autour du casque autonome Valve Deckard ont pris de l’ampleur après la fuite des premières images du prototype en 2022. On a alors découvert un casque qui ressemble à son prédécesseur, le Valve Index. Il arborait une large visière, qui rappelle celle des lunettes de ski, et un arceau solide avec des molettes de réglage.

Des infos sur la fiche technique officielle ?

D’après les investigations de Brad Lynch dans le code de Valve, il semblerait que le Deckard soit conçu pour fonctionner avec une architecture ARM. Un prototype en cours de développement, qualifié de « preuve de concept » (POC-F), intégrerait un processeur Snapdragon 8 Gen 3. Comme vous le savez, ce modèle récent de Qualcomm équipe également des smartphones premium.

Le prototype du Valve Deckard, avec ses écrans LCD 2K, promet une image claire et nette grâce à une résolution de 2160 x 2560 pixels par œil. Ce chiffre place le casque dans une gamme de qualité similaire à celle du Meta Quest 3, qui atteint 2064×2208 pixels.

C’est déjà très bon, mais il faut bien admettre qu’il reste loin des 3660×3200 pixels du Vision Pro d’Apple, qui brille par sa qualité d’image exceptionnelle.

Ce qui distingue réellement l’Apple Vision Pro, c’est son écran micro-OLED. En comparaison, la clarté du Deckard semble un peu pâle. L’écart est particulièrement visible pour ceux qui recherchent une expérience visuelle ultra haut de gamme.

Un casque VR avec suivi complet, est-ce possible ?

Selon Brad Lynch, le prototype de casque VR Deckard proposerait un suivi complet : manettes, casque, et même visage (mais attention, ces spécifications ne sont pas gravées dans le marbre, donc ce n’est peut-être pas le produit final).

Hormis cela, Deckard pourrait bien jouer dans la cour des grands puisqu’il embarquerait des technologies avancées. En effet, il serait capable de diffuser des jeux PC VR sans fil, d’analyser les mouvements des yeux et d’afficher l’environnement réel en réalité augmentée.

À la différence de l’Index, Deckard miserait sur un suivi inside-out pour capturer les mouvements du haut du corps. Cette technologie supprimerait la nécessité d’investir dans des stations de base onéreuses. De plus, elle offrirait un suivi précis des gestes.

On peut supposer que Valve conservera des éléments appréciés de l’Index, comme le suivi et les caméras intégrées.

Des détails sur les contrôleurs du Deckard ?

Après avoir examiné des informations qui proviennent de diverses sources, des indices sur les manettes du casque VR Deckard ont commencé à émerger. Pour contrôler les actions dans les jeux VR, l’appareil utiliserait des manettes appelées « Roy ». Celles-ci ont été mentionnées dans des documents qui sont liés à SteamVR.

Ces manettes seraient très adaptées pour les jeux en réalité virtuelle. Et pour cause, elles auraient un D-pad. Cette croix directionnelle permet de diriger ou de naviguer dans un jeu (haut, bas, gauche, droite). En outre, elles auraient des gâchettes, qui servent à déclencher des actions dans les jeux, comme tirer ou effectuer une action spéciale. Enfin, elles présenteraient des sticks analogiques. Des aperçus des contrôleurs Roy ont été repérés dans les fichiers du pilote SteamVR, ce qui a montré des caractéristiques de leur conception.

Le dernier modèle des contrôleurs Roy présente un design simplifié, sans anneau, et ressemble de près aux manettes des casques Meta Quest Pro, Meta Quest 3 et Meta Quest 3S. Cette décision suit les orientations actuelles du marché.

A titre d’information, le casque, surnommé Deckard et ses contrôleurs Roy, tirent certainement leur nom du film culte Blade Runner (1982). Dans ce classique cyberpunk, Deckard est un ancien chasseur de réplicants, tandis que Roy est un réplicant rebelle en quête de sens. C’est une référence parfaite pour un casque qui semble prêt à bousculer les codes de la réalité virtuelle.

Sur quel système Deckard le Valve Deckard fonctionnera-t-il ?

Il semblerait que le Valve Deckard soit un casque VR qui ne rigole pas. Il serait propulsé par SteamOS, le même système qui fait briller le Steam Deck, cette petite console portable adorée des gamers. Mais il y a encore mieux : cet appareil pourrait transformer vos jeux 2D en de vraies expériences immersives, comme si vous y étiez. Vous savez, ces jeux que vous jouez sur votre écran normal ? Avec Deckard, ils deviendront des aventures sur un immense écran virtuel.

Un casque haut de gamme, mais à quel prix ?

Les rumeurs suggèrent que le prix du casque VR « Deckard » de Valve dépasserait les 1200 dollars (1141 euros selon les murmures). Le tarif de cet appareil reste dans la même fourchette que celui de l’Index au moment de son lancement. C’est un modèle haut de gamme, rien à voir avec les options plus accessibles comme le Meta Quest 3S.

Mais Gabe Follower, un connaisseur de l’écosystème Valve, affirme que, même avec son prix actuel, le casque serait vendu à perte. « Valve souhaite offrir à l’utilisateur la meilleure expérience possible sans réduire les coûts. » a-t-il affirmé. En outre, il a déclaré que Valve s’apprête à sortir des jeux ou des démos « déjà finalisés » spécialement pour Deckard.

La grande question qui se pose est : le matériel sera-t-il à la hauteur de son prix ? Avec ce tarif, le casque devra impressionner. S’il veut s’imposer dans l’univers compétitif de la réalité virtuelle, il devra être performant.

Mais il aura aussi l’obligation d’offrir des fonctionnalités qui surpassent celles des autres casques déjà bien installés sur le marché. Valve a donc du pain sur la planche pour faire de ce nouveau casque un incontournable.

Quand sortira le casque Deckard de Valve ?

La date de sortie du Valve Deckard reste un mystère soigneusement entretenu par l’entreprise. Si certaines fuites évoquent un lancement en novembre 2025, d’autres voix plus prudentes estiment que le casque pourrait ne pas arriver avant début 2026. Ce flou alimente toutes les spéculations autour de ce futur casque VR qui fait tant parler de lui.

Valve, fidèle à ses habitudes, garde le silence tout en affinant chaque détail de son produit. Aucun communiqué officiel ne confirme à ce jour une date précise, mais des éléments crédibles laissent penser que la firme vise une période stratégique en fin d’année pour capter l’attention du grand public. Si un report devait survenir, ce serait probablement pour peaufiner le rendu final, à la hauteur des exigences de la communauté VR.

Entre les promesses technologiques et l’attente suscitée, le Valve Deckard s’impose déjà comme le prochain grand tournant de la réalité virtuelle sur PC. Sa sortie, attendue avec impatience, pourrait bien redéfinir les standards du marché. En attendant, les passionnés devront faire preuve d’un peu plus de patience avant de découvrir ce que Valve a réellement concocté.

Un nouveau jeu Half-Life verra-t-il le jour avec la sortie de Valve Deckard ?

Il est bon de rappeler que lorsque Valve a lancé son premier casque VR, le Valve Index, ils ont aussi sorti le jeu VR Half-Life : Alyx. Ce titre a aidé à attirer les joueurs et à montrer les capacités du casque VR. Valve pourrait-il faire la même chose avec le Deckard en sortant un autre jeu de la série Half-Life ? Cette hypothèse n’est pas à écarter.

Cependant, si c’est bien le cas, il est possible que Valve veuille d’abord se concentrer sur la création et la sortie du casque Deckard. Cela pourrait signifier que le jeu sur lequel il travaille peut-être en secret, soit retardé, et ne soit pas lancé en même temps que le casque.

Valve est sans doute l’un des grands maîtres du jeu en réalité virtuelle. Grâce à Steam VR et à des titres comme Half-Life Alyx, qui est toujours un modèle de référence pour les jeux VR sur PC, l’entreprise a accumulé une belle expérience. C’est pourquoi nos attentes sont particulièrement élevées pour le futur casque Deckard.

On espère que bientôt, toutes nos questions trouveront enfin réponse, et qu’on pourra découvrir ce que Valve nous réserve avec ce nouveau bijou technologique.

FAQ

Cet article Le futur casque VR Deckard de Valve : Voici tout ce que l’on sait a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Au fil des années, la franchise Resident Evil a toujours su nous impressionner avec ses jeux d’horreur à l’atmosphère terrifiante et ses armées de zombies implacables. Nous avons dévoré chaque opus de la série. Mais certains, en particulier ceux en VR, nous ont émerveillés. Découvrez les meilleurs titres VR de cette saga légendaire (Attention spoilers à l’horizon !).

Resident Evil est l’une des franchises les plus influentes de l’industrie du jeu vidéo. Depuis sa création en 1996, elle a squatté tous les supports possibles : jeux vidéo, films, séries, bouquins et même des trucs auxquels on n’aurait jamais pensé. Beaucoup de fans de réalité virtuelle se sont laissé captiver par ses jeux en VR et cela ne nous surprend pas. Ces jeux incluent toujours ce qui fait un bon jeu en VR : immersif, stressant, flippant, et réactif. Voici, selon nous, les meilleurs jeux VR Resident Evil.

Resident Evil 7 VR: Biohazard, le meilleur des meilleurs selon les joueurs

Presque tous les joueurs s’accordent à dire que Resident Evil 7 est le jeu le plus riche en contenu de toute la saga. On apprécie le septième parce qu’il est le premier jeu principal en vue à la première personne. Il redonne aussi à la franchise son ADN de survival horror, loin des excès d’action des autres épisodes. C’est une plongée dans l’horreur pure et l’ambiance vous met mal à l’aise à chaque coin de porte. Ce jeu ne vous laisse pas de répit… et croyez-nous, vous allez suer à grosses gouttes !

Dans Resident Evil 7 VR, Ethan reçoit un appel choquant : sa femme Mia, portée disparue depuis trois ans et présumée morte, serait toujours en vie. Poussé par l’espoir et l’amour, il se rend en Louisiane, pour comprendre ce qui se cache derrière ce mystérieux appel. Mais quand il pénètre dans une vieille maison glauque, les choses deviennent vraiment flippantes. Grâce à ses graphismes détaillés et sa vue à la première personne, le jeu vous enveloppe dans une réalité VR où la tension est aussi palpable que l’immersion.

Ce jeu est sorti le 24 janvier 2017. Disponible sur PS4 (avec compatibilité PS VR), Xbox One et PC, il vous emmène dans un univers terrifiant. Vous seul, en tant que joueur, devez survivre. La durée de vie varie : comptez environ 15 heures pour le finir en mode classique, mais si vous optez pour l’expérience en VR, vous allez passer de 25 à 30 heures dans un environnement encore plus angoissant. Notons aussi que ce titre a reçu plusieurs prix dont le Prix d’Excellence pour le Japan Game Awards 2017 et le Meilleur jeu VR au Golden Joystick Awards 2017.

Nous vous invitons à consulter l’un de nos articles pour avoir notre avis détaillé sur le jeu.

Resident Evil 4 VR, le must-have pour les possesseurs de Meta Quest 2

Resident Evil 4 a traversé les âges sans jamais perdre de sa grandeur, quel que soit le support ou la version. Mais en 2021, il a frappé un grand coup avec une version VR exclusive pour Meta Quest 2. Cette réinvention est un vrai tour de force et redonne un nouveau souffle à ce classique. On pensait tout savoir, mais là, on a été bluffé.

Le grand avantage ici, c’est la liberté de mouvement. On peut se déplacer, viser, esquiver, tirer et soigner en même temps. Le tout avec une agilité qui change tout. Fini le contrôle rigide d’avant, place à l’action en temps réel. Et le mieux, c’est que chaque geste, de recharger l’arme à jeter une grenade, est à la fois réaliste et immersif. C’est une expérience qui pousse le classique à un tout autre niveau. Les duels contre les boss sont bien plus impressionnants. Voir ces géants de près, lever la tête pour les affronter, c’est carrément une expérience hallucinante.

Ici, plutôt que de regarder Leon S. Kennedy sauver la fille du président, vous allez vivre l’aventure en VR, c’est-à-dire prendre réellement sa place. Vous allez devoir explorer des villages isolés, faire face à des créatures terrifiantes et tenter de déjouer les mystères d’un culte maléfique.

Avec des graphismes refaits pour la VR, vous êtes collé à l’action, à la première personne. La durée de Resident Evil 4 VR dépend de votre rythme, mais en moyenne, vous mettrez 15 heures pour terminer le jeu.

Resident Evil 8 Village, l’un des joyaux de la VR dans l’univers Resident Evil

Quelques années après les horreurs de Resident Evil 7, RE8 commence sur une note plus tranquille, avec Ethan Winters, Mia et leur enfant, enfin loin de leur passé traumatisant. Mais bien sûr, le calme ne dure pas longtemps, et une nouvelle tragédie vient perturber leur nouvelle vie paisible.

L’atmosphère du jeu est un vrai coup de maître. On a ici un univers sombre et gothique, avec des châteaux imposants, des villages déserts et des forêts inquiétantes. L’histoire se tisse parfaitement dans ce décor lugubre. L’attention aux détails est incroyable et on ne sait jamais vraiment ce qui nous attend, ce qui est un vrai régal pour les amateurs de frissons.

Resident Evil 8: Village nous a présenté des personnages mémorables. Impossible de passer à côté de Lady Dimitrescu, la géante vampirique qui est devenue une icône, aussi redoutable que fascinante. Et elle n’est pas seule ! Heisenberg, Moreau, et Beneviento ajoutent chacun leur touche unique au jeu, et ont des personnalités et des motivations bien marquées. Ces figures ne font pas qu’occuper l’espace, elles donnent vraiment du piquant à l’histoire et nous tiennent en haleine jusqu’au bout.

Le jeu a récolté des critiques très positives, avec des notes élevées partout, ce qui prouve sa qualité indéniable. Quant à la liste Platine de Capcom, elle montre qu’en fin 2024, Resident Evil Village se portait à merveille avec 10,9 millions d’exemplaires vendus. En parallèle, cette même année, Resident Evil 7: Biohazard a grimpé à 14,4 millions, soit 400 000 de plus que la dernière fois.

Resident Evil 2 Remake VR, un mod non officiel mais très apprécié

Même si ce n’est pas un mod officiel soutenu par Capcom, le mod Resident Evil 2 Remake VR a su séduire les joueurs. Le titre a reçu des critiques plutôt enthousiastes. Créé par le modder Praydog, ce portage VR pour PC vous propose de l’action en vue à la première personne. Mais qu’est-ce qui rend cette version si spéciale ?

Eh bien, ce mod apporte une sacrée dose d’immersion. On peut désormais viser et tirer avec les mains. Grâce à la prise en charge des contrôleurs de mouvement, l’expérience est « vraiment dingue ». En prime, Praydog a réglé la collision des armes pour qu’on puisse, par exemple, lancer des couteaux de façon hyper réaliste.

Les couloirs du RPD, déjà étroits et angoissants, deviennent presque suffocants quand on se retrouve à les arpenter en réalité virtuelle. L’ambiance se fait de plus en plus oppressante. Mais le vrai cauchemar, c’est M. X. Ce terrifiant personnage qui rôde dans les couloirs, sa démarche lourde et ses bruits de pas qui résonnent à travers les murs. En VR, son approche devient presque terrifiante.

Alors, pour profiter de cette expérience, il faut bien sûr posséder les versions originales des jeux. Le mod est compatible avec les casques VR pour PC, mais attention, il faut un ordinateur costaud pour que tout tourne sans accroc.

Resident Evil 3 Remake VR (mod PC)

Tout comme Resident Evil 2 Remake VR, le jeu Resident Evil 3 Remake 3 n’est pas un mod officiel. Et c’est le même talentueux modder Praydog qui l’a créé. Dans ce mod, vous vous retrouvez ddans la peau de Jill Valentine, en plein chaos à Raccoon City. La ville est dévastée par le virus T, et votre but ? Vous échappez, évidemment. Mais c’est sans compter sur Némésis, une bête monstrueuse créée par Umbrella qui vous colle aux basques.

Ce mod Resident Evil 3 VR pour PC, c’est tout un trip. En mode VR, on devient acteur : viser, tirer, et même lancer des couteaux ou des grenades à la main, tout est possible. Par exemple, plutôt que de cliquer sur un bouton pour lancer une grenade, on la prend physiquement et on la jette.

On se sent vraiment dans la peau de Jill, prêt à fuir ou à affronter Némésis. On y est vraiment, en pleine panique. C’est bien plus intéressant que dans la version classique où l’on appuie simplement sur une touche pour tirer. Vous pouvez jouer avec ce mod sur différents casques VR, y compris le Meta Quest 2, grâce à des solutions comme Air Link ou Virtual Desktop.

Si on se met à réfléchir à tout ça, on se dit que la réalité virtuelle a vraiment su redonner un second souffle à cette franchise. Entre les remakes, les mods et les nouvelles versions, il semble que Resident Evil n’ait pas fini de nous faire sursauter. Et vous, ça vous dirait d’aller retrouver Némésis en VR ?

Cet article Les meilleurs jeux de la franchise Resident Evil en réalité virtuelle (VR) a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Une édition Xbox du Quest 3S aurait fuité. Et selon les bruits de couloir, il ne faudra pas attendre longtemps : sortie prévue ce mardi. Alors, à quoi ce casque ressemble-t-il ? Lisez ici tous les détails.

Microsoft poursuit son grand plan : étendre l’univers Xbox bien au-delà de la console. Fini le temps des exclus à tout prix, l’heure est à l’omniprésence. Après avoir mis un pied dans le jeu nomade avec ASUS, Microsoft se tourne désormais vers les horizons virtuels. Une nouvelle tentative pour imposer la marque Xbox… même là où on ne l’attendait pas forcément.

En effet, une version Xbox du Meta Quest 3S a visiblement décidé de se montrer avant l’heure et il semble qu’elle va arriver très vite. En effet, elle serait attendue dès mardi 24 juin.

Ce pack spécial Xbox-Quest 3S ne vient pas les mains vides : casque VR, manette Xbox, sangle Elite et 3 mois de Game Pass pour piocher dans les jeux en nuage. Niveau fiche technique, pas de surprise, c’est le même que le Quest 3S classique, avec 128 Go de stockage. Le tout pour 399 dollars.

Aucune info concrète pour l’instant sur ce qui rendra ce modèle plus intéressant que le précédent. Mais ce casque devrait sans surprise donner accès à Steam, Quest Link et au xCloud, comme son prédécesseur. Et ce serait le moment parfait pour Microsoft de glisser quelques jeux VR dans le Game Pass.

Le Meta Quest 3S s’habille en Xbox, mais garde les pieds sur terre

Pas de malentendu : ce casque ne lance pas les jeux Xbox tout seul. Il faut passer par le cloud, donc avoir un abonnement Game Pass Ultimate. En clair, c’est la même formule que sur le Quest 3. Les réseaux sociaux ont été les premiers à dévoiler un Meta Quest 3S tout noir, orné de logos Xbox bien visibles. La version Xbox du Quest 3S cible surtout les fans de la console verte qui veulent découvrir la VR.

Microsoft a longtemps boudé la réalité virtuelle, mais visiblement, Phil Spencer, le patron de la division Xbox chez Microsoft, a trouvé le bon plan : y mettre un pied sans plonger complètement. Pas besoin de se voiler la face, Microsoft joue malin. Pourquoi dépenser des fortunes en casque VR quand Meta gère déjà ça ? Reste à voir si ce duo va vraiment booster les jeux VR Xbox ou si c’est juste pour faire joli dans leur vitrine.

Cet article Surprise ! La Quest 3S Xbox fuite avant l’heure ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Après plusieurs mois de rumeurs et un teasing lancé ces derniers jours, Meta a levé le voile ce vendredi sur les Oakley Meta HSTN. Il s’agit de ses nouvelles lunettes connectées, conçues avec Oakley.

Les lunettes Oakley Meta HSTN adoptent un style urbain, loin de l’esthétique sportive attendue. Plus fashion urbaine que tracker sportif, elles renoncent aux fonctions bien-être. En réalité, elles ont les mêmes usages que les Ray-Ban Meta, dans une autre monture.

Les Oakley Meta HSTN reprennent la base technique des Ray-Ban connectées, mais avec quelques améliorations. Elles ont une caméra, des micros, et des haut-parleurs discrets. Reliées à un mobile, elles servent à écouter et à décrocher sans effort.

En outre, vos Oakley Meta HSTN ont un assistant Meta AI malin qui répond à vos questions sportives : « Dois-je changer de tactique ? » ou « La mer est-elle prête pour un bon surf? ». L’assistant peut même analyser ce que vous voyez ou traduire en temps réel.

La nouveauté majeure se trouve dans la caméra, qui filme désormais en très haute définition 3K, bien meilleure que la version précédente en 1080p. En plus, ces lunettes sont désormais protégées contre les projections d’eau grâce à une certification IPX4.

Les Oakley Meta HSTN durent environ 8 heures en utilisation classique. En mode veille, l’autonomie atteint presque 19 heures grâce à une batterie plus performante.

Sportifs, choisissez parmi six styles de lunettes connectées Oakley dès 439 €

La gamme Oakley Meta HSTN propose six styles de montures et verres, tous compatibles avec des verres correcteurs, à partir de 439 euros. Parmi eux : Warm Grey avec verres Prizm Ruby, Black avec Prizm Black, Brown Smoke avec Prizm Deep-Water, ainsi que des versions avec verres Transitions ou non teintés. A titre d’informations, les verres Prizm d’Oakley boostent les couleurs et les contrastes des lunettes, selon où vous êtes.

Ces lunettes seront lancées dans une quinzaine de pays, dont la France. Ce nouveau partenariat se joue donc surtout sur le design. En s’associant à Oakley, Meta vise clairement les sportifs. Le choix de Kylian Mbappé et Patrick Mahomes comme ambassadeurs le confirme. Meta suit une stratégie claire : après le succès « cool » avec Ray-Ban, place à une cible sportive avec Oakley et des fonctions utiles.

Ils construisent doucement un empire de la « tech à porter ». Pas de révolution, juste des améliorations bien pensées. Pendant ce temps, Apple reste silencieux. Et vous, vous préférez cette version sport ou la version mode des Ray-Ban ?

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Les jeux de survie continuent de captiver un public toujours plus large grâce à leurs défis intenses et leurs univers immersifs. Ils offrent une expérience unique où l’ingéniosité, la stratégie et la réactivité sont indispensables pour rester en vie dans des conditions extrêmes. De l’exploration de terres hostiles à la gestion des ressources limitées, chaque ... Lire la suite

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Avec les nouvelles mesures françaises, TuKif et plusieurs autres plateformes X sont désormais bloqués pour les utilisateurs en France. Cette censure vise à empêcher les mineurs d’accéder à du contenu adulte, mais elle prive aussi les majeurs d’un accès direct. Pas de panique : grâce à des solutions techniques fiables, il est possible de contourner ces blocages en toute confidentialité, sans compromettre votre sécurité numérique. On vous explique la marche à suivre.

Depuis plusieurs mois, la France durcit le ton contre les sites pour adultes. TuKif, Xhamster et d’autres poids lourds du X se retrouvent rayés de la carte numérique hexagonale. Pourquoi ? Parce qu’ils ne respectent pas les nouvelles exigences de l’Arcom : mettre en place un contrôle d’âge “suffisamment strict”.

En clair : il ne suffit plus de cliquer sur « J’ai plus de 18 ans ». Désormais, l’Arcom exige des preuves d’identité, parfois même biométriques. Ces contraintes ne sont pas encore totalement en place…mais les sanctions, elles, sont déjà tombées. Et sans prévenir, ce sont tous les internautes – même majeurs – qui se retrouvent bloqués.

Mais il existe un moyen simple, rapide et totalement légal de reprendre le contrôle : le VPN. Et pas n’importe lequel. En 2025, NordVPN s’impose comme l’arme ultime pour contourner cette censure.

Pourquoi Tukif est-il bloqué ?

Depuis fin 2024, une décision de la Cour d’appel de Paris ordonne aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) de bloquer l’accès à plusieurs sites X, dont Tukif, faute de vérification fiable de l’âge des visiteurs. L’Arcom exige désormais un véritable contrôle d’identité (pièce officielle, selfie biométrique, etc.) pour éviter l’exposition des mineurs à des contenus pour adultes.

Mais les plateformes rechignent à imposer un tel flicage numérique. En attendant, les FAI français exécutent l’ordre de justice en bloquant le site via les DNS. Concrètement, llorsque vous tapez « Tukif.com », votre FAI vous redirige vers une adresse IP morte pour rendre l’accès impossible.

Résultat : les adultes aussi sont pénalisés. Peu importe que vous soyez majeur et vacciné, vous êtes mis dans le même panier que les mineurs. 

TuKif bloqué ? Voici comment reprendre le contrôle, sans laisser de trace

Dans un web devenu terrain de contrôle, TuKif s’est retrouvé blacklisté comme tant d’autres. Non pas parce qu’il est illégal, mais parce qu’il refuse d’imposer à ses utilisateurs une vérification d’identité poussée. Résultat : interdit d’accès depuis la France, via blocage DNS appliqué par les FAI. Pour les mineurs ? Oui. Mais les adultes majeurs et responsables trinquent aussi, sans distinction.

Face à cette censure massive et silencieuse, un outil s’impose comme solution évidente : le VPN. Sa promesse ? Contourner les géo-restrictions, mais aussi de protéger intégralement vos données.

Et dans cette bataille, NordVPN s’impose. Plus de 7 400 serveurs dans 118 pays pour se connecter virtuellement à l’étranger, retrouver TuKif librement, sans ralentissement, ni surveillance. Mais ce n’est que le début. Avec son Anti-Menaces Pro, le VPN panaméen bloque les pubs, les traqueurs et les logiciels malveillants avant même qu’ils ne chargent. Son Réseau Mesh privé permet de collaborer ou de partager à distance, en toute confidentialité. Le Dark Web Monitoring vous alerte si vos identifiants sont compromis. Et pour les plus discrets ? L’IP dédiée garantit une navigation stable, sans risque de blacklist.

Le tout, via une interface ultra-simple, sur jusqu’à 10 appareils simultanés. PC, mobile, navigateur ou TV : aucun angle mort.

Cet article Débloquer TuKif en France : La méthode imparable pour reprendre le contrôle a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

La censure s’abat sans prévenir : iciporno, parmi d’autres sites pour adultes, est désormais bloqué en France. Derrière cette interdiction, une bataille sans merci pour protéger les mineurs. Mais pour les internautes adultes, une issue existe. Voici ce qu’il faut savoir pour y accéder, sans filtre.

Il n’y a pas eu d’annonce officielle, pas de message d’alerte en rouge clignotant. Un jour, iciporno était là. Le lendemain, plus rien. Juste une erreur de chargement, un vide numérique. Derrière ce silence brutal, un signal clair : la France a lancé l’offensive. Dans sa ligne de mire, plusieurs sites X, accusés de ne pas en faire assez pour empêcher les mineurs d’y accéder. 

Mais dans cette croisade, tout le monde trinque, même les adultes parfaitement conscients de ce qu’ils regardent. Alors on fait quoi ? On s’incline face à la censure ? On accepte que des FAI filtrent nos accès comme s’ils savaient mieux que nous ce qu’on peut voir ou pas ? Non. On vous dévoile comment reprendre la main, contourner les blocages et surfer sans entraves.

Le blocage des sites porno : une nouvelle ère sous haute surveillance

La France ne rigole plus. Depuis peu, la justice a décidé de couper l’accès à certains sites pornographiques, iciporno en tête, tant que ces plateformes ne prouvent pas qu’elles peuvent vérifier rigoureusement l’âge de leurs visiteurs. La raison ? Protéger les mineurs. La loi ne se contente plus de simples cases à cocher affirmant la majorité. Non, désormais, c’est du lourd : vérifications biométriques, envois de pièces d’identité, analyses par intelligence artificielle, tout est passé au peigne fin. 

Ce contrôle drastique, imposé par la Cour d’appel, vise à fermer le robinet aux adolescents toujours plus jeunes, exposés à des contenus qui peuvent leur causer des dégâts irréversibles. Et pendant que les sites tâtonnent pour se conformer à ces normes très strictes, les fournisseurs d’accès Internet (FAI) français sont chargés de verrouiller l’accès à iciporno. 

Une mesure radicale qui impacte aussi les adultes responsables, condamnés à subir une censure de masse. La vraie question reste : jusqu’où cette guerre technologique ira-t-elle ?

VPN : la clé pour réinventer votre liberté numérique

Face à ce mur imposé, il existe une faille qu’aucune justice, aucun FAI ne peut fermer : le VPN. Ce petit bijou technologique n’est pas seulement un outil pour la sécurité, c’est une porte dérobée vers le web sans frontières. Un VPN masque votre adresse IP, brouille vos pistes et vous transporte, virtuellement, dans un autre pays où iciporno n’est pas bloqué.

Mais pourquoi se contenter d’un simple accès débloqué ? Avec un VPN de premier ordre comme NordVPN, c’est bien plus que cela. On parle de vitesse fulgurante, de connexion stable, d’un réseau gigantesque de 7 400 serveurs répartis dans 118 pays. Un véritable empire numérique à votre service. Que vous soyez sur PC, smartphone ou même Smart TV, un clic suffit pour échapper à la censure.

Et au-delà de l’accès, pensez au catalogue illimité : débloquer iciporno avec le VPN panaméen, c’est aussi accéder à des contenus exclusifs réservés à d’autres régions du monde, souvent à des tarifs bien plus abordables. C’est votre liberté retrouvée, votre intimité protégée, et surtout, un contrôle total sur ce que vous regardez.

NordVPN ne se contente pas d’être efficace, il est aussi un gage de confiance. Son chiffrement « grade militaire » garde vos données inviolables. 

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Disco Elysium, le RPG acclamé par la critique, s’apprête à conquérir le marché mobile. Avec une offre partiellement gratuite, cette adaptation promet de séduire une nouvelle génération de joueurs. L’annonce de la date de sortie a suscité un engouement considérable au sein de la communauté gaming. Les développeurs ont travaillé minutieusement pour adapter le gameplay ... Lire la suite

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Et si vous pouviez accéder à une expérience en réalité augmentée sans rien installer, directement depuis votre navigateur ? C’est justement la promesse de la WebAR, une technologie en pleine explosion qui révolutionne notre manière d’interagir avec le web. Plus accessible, plus légère, et terriblement efficace, elle séduit aussi bien les marques que les utilisateurs. Vous voulez en savoir plus ? Je vous invite à découvrir comment la WebAR transforme l’expérience digitale et pourquoi elle s’impose comme l’avenir de la réalité augmentée.

La réalité augmentée entre dans une nouvelle ère et elle n’a plus besoin d’application. Avec la WebAR, votre simple navigateur devient une porte vers des expériences immersives bluffantes. Plus de téléchargements, plus de barrières : la RA devient instantanée, accessible à tous, partout. Une révolution silencieuse est en marche, et elle redéfinit les codes du web moderne.

WebAR : De quoi parle-t-on exactement ?

Une définition simple de la WebAR

La WebAR, ou Web-based Augmented Reality, désigne la réalité augmentée accessible directement depuis un navigateur web. Elle fonctionne sans besoin de télécharger une application mobile dédiée. Grâce à cette technologie, il suffit de scanner un QR code ou de cliquer sur un lien pour vivre une expérience immersive. Elle superpose du contenu virtuel (3D, animations, textes interactifs…) sur le monde réel, en temps réel, via la caméra de votre smartphone ou de votre ordinateur.

Différence entre WebAR et AR traditionnelle

Contrairement à la RA classique qui repose sur des applications spécifiques (comme IKEA Place ou Pokémon Go), la WebAR fonctionne sans friction. Pas de téléchargement = moins de barrières pour l’utilisateur.

Elle est plus rapide à déployer, plus légère, et idéale pour les campagnes marketing ou les expériences ponctuelles. Toutefois, elle peut avoir des performances légèrement inférieures ou moins de fonctionnalités avancées que les applications natives, selon les cas d’usage.

Pourquoi la WebAR séduit les marques et les créateurs ?

La WebAR attire car elle combine accessibilité, viralité et rapidité de déploiement. Une marque peut lancer une expérience immersive accessible en un clic depuis une publicité, un packaging ou un réseau social. C’est un levier puissant pour augmenter l’engagement utilisateur, améliorer l’expérience client et créer des campagnes virales à fort impact. Pour les créateurs, c’est aussi un nouvel espace de narration visuelle, libre, interactif et ouvert.

Comment fonctionne la WebAR ?

Les technologies derrière : WebXR, AR.js, 8thWall, et plus encore

La WebAR repose sur un ensemble de technologies web avancées qui rendent possible l’immersion sans application dédiée. Au cœur de ce système, on trouve WebXR, une API standardisée par le W3C. Elle permet aux navigateurs modernes d’accéder aux capteurs des appareils comme la caméra, le gyroscope ou le GPS pour créer des expériences en réalité augmentée ou virtuelle.

Par ailleurs, des frameworks comme AR.js, 8thWall ou ZapWorks combinent HTML, JavaScript et bibliothèques 3D telles que three.js pour simplifier le développement et offrir des expériences immersives fluides. Ainsi, il devient possible d’exécuter ces expériences directement dans des navigateurs comme Chrome, Safari ou Firefox, sans avoir besoin d’installer quoi que ce soit.

Ce que permet la WebAR aujourd’hui (et ce qui reste à venir)

Actuellement, la WebAR offre la possibilité d’afficher des objets 3D intégrés dans l’environnement réel. Ces objets sont ancrés spatialement pour une interaction naturelle. Elle offre également des capacités de reconnaissance d’images ou de surfaces. Cela ouvre la porte à des usages variés, allant des filtres interactifs aux mini-jeux en passant par des expériences éducatives enrichies.

L’intégration de sons et d’interactions tactiles ou vocales renforce encore plus l’immersion. L’avenir s’annonce prometteur, avec des améliorations attendues en fluidité, en qualité de reconnaissance environnementale et en interaction, notamment grâce aux avancées de l’intelligence artificielle.

Les limites actuelles de la WebAR : Performances, compatibilité, UX

Il faut noter que la WebAR connaît encore quelques limites. La compatibilité varie selon les navigateurs. Au fait, certains dispositifs n’offrent pas encore un support complet, ce qui peut restreindre l’expérience utilisateur. De plus, les performances restent parfois limitées sur les appareils d’entrée de gamme.

Et l’accès aux fonctionnalités avancées comme le suivi corporel ou la reconnaissance faciale sophistiquée est encore restreint. Néanmoins, avec les mises à jour constantes des navigateurs et l’évolution des technologies, ces obstacles tendent à s’estomper rapidement. Aujourd’hui, la WebAR est déjà suffisamment mature pour proposer des expériences engageantes et accessibles.

WebAR en action : Des exemples concrets et inspirants

De la publicité et marketing immersif

La WebAR n’est plus une technologie du futur, elle s’invite déjà dans notre quotidien à travers des cas d’usage très variés. Dans le domaine du marketing, elle permet de créer des campagnes publicitaires immersives qui captent l’attention du consommateur autrement qu’avec des formats classiques. Imaginez scanner un packaging et voir apparaître un produit en 3D, ou encore vivre une animation interactive directement sur une affiche publicitaire.

Des essayages virtuels et visualisation produit

Dans l’e-commerce, la WebAR révolutionne l’expérience d’achat par la possibilité d’essayer virtuellement des vêtements, des accessoires ou même de visualiser un meuble dans son propre salon, sans quitter son navigateur. Cela améliore considérablement la confiance des clients et réduit les retours produits.

La WebAR hors du commerce

Mais la WebAR ne se limite pas au commerce. Dans l’éducation, elle propose des contenus pédagogiques interactifs qui rendent l’apprentissage plus vivant. Dans le tourisme ou l’événementiel, elle enrichit la découverte avec des guides augmentés ou des expériences immersives lors de festivals ou salons.

Pourquoi la WebAR change la donne pour les utilisateurs ?

Une expérience immersive sans télécharger d’application

La WebAR révolutionne l’expérience utilisateur en raison du fait qu’elle supprime les obstacles traditionnels liés à la réalité augmentée. Fini les téléchargements fastidieux d’applications, la WebAR s’ouvre instantanément via un simple lien ou QR code. Elle offre ainsi une accessibilité sans précédent. Cette simplicité transforme la manière dont les utilisateurs interagissent avec le contenu immersif, et rend la RA plus naturelle et spontanée.

Une accessibilité multiplateforme (mobile, desktop, casque)

De plus, la WebAR est conçue pour fonctionner sur une large gamme d’appareils, qu’il s’agisse de smartphones, tablettes, ordinateurs ou même casques compatibles. Cela en fait une technologie véritablement multiplateforme. Elle profite également des avancées constantes des navigateurs web pour améliorer la fluidité et la qualité des expériences. Ainsi, cette technologie  rapproche toujours plus la réalité virtuelle du monde réel.

Cette démocratisation de la réalité augmentée via le web ouvre la porte à une interaction plus riche, plus directe et plus engageante. Elle transforme la navigation en un véritable voyage immersif.

Intégrer la WebAR : Est-ce compliqué pour les créateurs de contenu ?

Des outils simples pour débuter sans coder

Intégrer la WebAR dans un projet peut sembler complexe, mais de nombreux outils simplifient grandement cette étape, même pour les novices. Pour les débutants, des plateformes comme ZapWorks ou 8thWall proposent des interfaces intuitives. Grâce à ces plateformes, il est possible de créer des expériences sans coder, avec des modèles préconçus et des éditeurs visuels. Cela ouvre la porte à une création rapide et accessible.

Des frameworks pour développeurs avancés

Pour les développeurs plus expérimentés, il existe des frameworks et bibliothèques puissants comme AR.js ou A-Frame. Ceux-ci s’appuient sur des langages web standards tels que JavaScript et WebGL. Ces outils fournissent une grande flexibilité pour concevoir des expériences sur mesure, complexes et hautement interactives.

Quelques bonnes pratiques UX pour une WebAR réussie

Enfin, il est important de garder à l’esprit quelques bonnes pratiques UX. Vous pouvez notamment optimiser la fluidité, simplifier les interactions et assurer une compatibilité maximale afin de garantir une expérience utilisateur réussie et engageante.

WebAR et avenir du web : Quels enjeux à surveiller ?

Vers un web plus immersif et interactif

La WebAR s’inscrit dans une tendance plus large vers un web toujours plus immersif et interactif, où les frontières entre réel et virtuel s’estompent. Cette évolution promet d’enrichir nos échanges numériques et de créer des expériences plus intuitives et captivantes. Cependant, cette révolution soulève aussi des questions importantes.

Vie privée, données, éthique et réalité augmentée

La protection de la vie privée et la gestion des données personnelles prennent une place centrale. C’est notamment le cas lorsque la réalité augmentée collecte des informations sur l’environnement ou les comportements des utilisateurs. De plus, l’éthique autour des contenus augmentés, leur véracité, leur impact social devient un sujet important à anticiper.

L’avenir de la WebAR : Tendances et prédictions

Enfin, les innovations technologiques continueront de repousser les limites de la WebAR, avec des expériences toujours plus sophistiquées à l’horizon. Suivre ces tendances est essentiel pour tirer parti de cette technologie et en même temps répondre aux défis qu’elle pose.

Pourquoi adopter la WebAR dès maintenant ?

La WebAR offre une opportunité unique de rendre la réalité augmentée accessible, rapide et sans contraintes techniques. Grâce à la suppression de la nécessité d’installer une application, elle ouvre la voie à une interaction immédiate et fluide entre les utilisateurs et le contenu immersif. Pour les marques et créateurs, c’est un moyen puissant d’engager leurs audiences avec des expériences innovantes, virales et mémorables.

Avec des technologies en constante amélioration et un écosystème de plus en plus mature, la WebAR s’impose comme un levier incontournable du web de demain. Saisir cette tendance dès aujourd’hui, c’est prendre une longueur d’avance dans la manière de communiquer, vendre ou éduquer à l’ère du numérique immersif.

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Vous êtes passionné par Date Everything et en quête du mystérieux Seigneur des Ombres ? Cet article vous dévoilera toutes les étapes pour le trouver parmi les 97 dateables disponibles. Plongez dans une aventure romantique unique où chaque interaction compte. Découvrez les astuces essentielles pour localiser ce personnage énigmatique et engager une connexion profonde. Grâce ... Lire la suite

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Envie d’un jeu qui stimule autant l’esprit que les sens ? Les sex games interactifs transforment chaque clic en décision sensuelle. Oubliez les contenus figés : ces expériences répondent à vos choix. Voici les 7 plateformes qu’on a testées et qui sortent vraiment du lot.

Pourquoi se contenter de regarder quand on peut participer ? Les sex games ne sont plus de simples vidéos animées : ils intègrent aujourd’hui des mécaniques de jeu poussées, des univers graphiques variés et des scénarios personnalisés. Que ce soit pour vivre une romance torride ou explorer ses fantasmes, les plateformes actuelles rivalisent d’originalité.

Mais toutes ne se valent pas. Certaines se contentent de jolis décors sans réelle interaction. D’autres vont plus loin avec des choix narratifs, des dialogues vivants et un vrai gameplay. Pour y voir plus clair, nous avons testé une sélection de sex games interactifs, en analysant leur qualité, leur rythme et surtout, leur capacité à impliquer le joueur.

Notre méthodologie de classement

Chaque sex game testé a été expérimenté comme un vrai joueur : sans raccourci, sans script, avec une volonté d’explorer les possibilités offertes par la plateforme. Nous avons volontairement adopté des profils variés (romantique, dominant, curieux, joueur) pour observer les variations de réaction et la richesse de l’interaction. Notre grille d’analyse repose sur sept critères précis :

• Interactivité réelle : Les choix du joueur changent-ils concrètement la scène ?
• Qualité graphique : L’esthétique est-elle soignée, fluide, attrayante ?
• Écriture des dialogues : Les échanges sont-ils crédibles, excitants, bien construits ?
• Variété des scénarios : Y a-t-il plusieurs intrigues ou types de relations possibles ?
• Ergonomie : L’interface est-elle intuitive, agréable à utiliser ?
• Accès gratuit vs payant : Jusqu’où peut-on aller sans abonnement ?
• Accessibilité linguistique : Le jeu est-il disponible en français ou en anglais seulement ?

Chaque plateforme a été notée selon son équilibre entre immersion, plaisir et liberté. Seules les expériences jugées vraiment engageantes figurent dans notre sélection.

FAQ

Qu’est-ce qu’un sex game interactif ?

C’est un jeu érotique où chaque choix influence l’histoire, les scènes et les personnages rencontrés. L’expérience devient plus intense grâce à l’interaction directe et à une progression personnalisée du scénario.

Est-ce vraiment excitant ou juste marketing ?

Certains sex games sont mal conçus, mais d’autres proposent des intrigues prenantes et scènes bien rythmées. Quand le gameplay suit, l’excitation vient naturellement, sans se limiter à de simples animations provocantes.

Est-ce que c’est légal d’y jouer ?

Oui, tant que vous êtes majeur et que le site respecte les lois de votre pays. La plupart des plateformes connues respectent les règles, mais mieux vaut toujours vérifier les mentions légales.

Est-ce que je dois payer pour profiter pleinement ?

La majorité propose une version gratuite, mais les contenus les plus osés restent souvent payants.
Cela dépend de vos envies : on peut jouer longtemps sans payer, ou débloquer plus rapidement.

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Un nouveau mod pour Baldur’s Gate 3 vient bouleverser l’expérience des joueurs en rendant le mode honneur encore plus ardu. Cette innovation promet de repousser les limites de la difficulté, attirant les amateurs de défis intenses. Les fans de Larian Studios seront ravis de découvrir comment ce mod transforme le gameplay. Dans cet article, nous ... Lire la suite

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Imaginez pouvoir recréer le monde réel en 3D avec une précision folle… et tout ça en quelques secondes ! C’est exactement ce que permet cette nouvelle techno qui affole les chercheurs et les studios d’animation : le Gaussian Splatting. Derrière ce nom étrange se cache une méthode ultra-rapide pour générer des images 3D réalistes à partir de simples vidéos. Je vous propose de découvrir comment quelques « taches floues » peuvent révolutionner la 3D.

Gaussian Splatting, c’est quoi exactement ?

Une approche révolutionnaire de la 3D

Le Gaussian Splatting, malgré son nom un peu barbare, est en réalité une méthode assez intuitive pour représenter des scènes en 3D. Contrairement aux approches classiques, il n’utilise ni maillages, ni voxels et encore moins réseaux de neurones complexes comme dans les NeRFs (Neural Radiance Fields). Cette technique repose sur une idée simple : modéliser l’espace 3D à l’aide de petites « taches » floues appelées gaussiennes.

Chaque point dans une scène est représenté non pas comme un simple pixel ou un voxel rigide, mais comme une gaussienne 3D. C’est une sorte de nuage de probabilité qui possède une position, une taille, une orientation, et même une couleur. Imaginez peindre une image 3D non pas avec des cubes, mais avec des pinceaux qui diffusent de la couleur de façon floue et naturelle. Le rendu obtenu est incroyablement fluide, sans artefacts de maillage, et bien plus proche de la réalité visuelle.

Pourquoi ça fait tant de bruit dans la tech ?

Ce qui rend le Gaussian Splatting si révolutionnaire, c’est surtout sa vitesse. Là où les NeRFs mettaient plusieurs minutes, voire des heures, pour générer un rendu d’image 3D, le Gaussian Splatting permet une visualisation en temps réel, sans passer par des réseaux de neurones volumineux. C’est donc une méthode à la fois plus légère, plus rapide, et étonnamment précise.

Ajoutez à cela qu’elle fonctionne très bien à partir de simples vidéos (prises avec un smartphone, par exemple), et vous obtenez une technologie accessible, flexible et puissante. Pas étonnant qu’elle soit en train de bouleverser des domaines comme la réalité augmentée, les effets spéciaux ou encore la cartographie 3D.

Comment ça marche sous le capot ?

Des points… flous mais puissants

Le secret du Gaussian Splatting demeure dans sa manière unique de représenter chaque élément de la scène 3D. Plutôt que de modéliser des formes solides ou des volumes précis, on utilise des gaussiennes, des petites taches floues en trois dimensions qui s’étalent un peu dans l’espace. Chaque gaussienne a une position précise, mais aussi une forme et une orientation, ce qui lui permet de capturer la texture et la profondeur de la scène.

Imaginez ces gaussiennes comme des gouttes de peinture légèrement diffuses, qui, assemblées, recréent une image réaliste. Lorsqu’on regarde la scène depuis n’importe quel angle, ces taches se superposent et s’éclairent de manière naturelle. Elles produisent un rendu hyperfluide et sans les défauts habituels des maillages ou des voxels.

Le pipeline de rendu expliqué simplement

Pour simplifier, imaginez qu’on commence par filmer ou prendre des photos d’une scène sous plusieurs angles avec une caméra ordinaire. Ensuite, grâce à des techniques de vision par ordinateur, on identifie les positions précises des différents points dans l’espace.

Ces points sont alors transformés en gaussiennes : des petites taches floues dont la taille, la forme et la couleur sont ajustées pour correspondre au mieux aux images capturées. Enfin, lors de la visualisation, ces gaussiennes sont projetées sur l’écran, où elles s’assemblent pour former l’image finale que vous voyez, et ce, sous n’importe quel angle avec une fluidité impressionnante.

Ce que Gaussian Splatting change vraiment

Vitesse, qualité, simplicité : Le trio gagnant

Le Gaussian Splatting bouleverse le monde du rendu 3D grâce à un cocktail gagnant : rapidité, réalisme et simplicité. Si les méthodes traditionnelles comme les NeRFs demandaient des heures de calcul pour afficher une seule image, cette technique offre une fluidité quasi instantanée qui permet de naviguer dans une scène 3D en temps réel.

Cette rapidité ne sacrifie pas la qualité ! Les images obtenues sont très proches de la réalité, avec des textures fines et un rendu des lumières plus naturel que jamais. Et le meilleur dans tout ça, c’est que la méthode est étonnamment simple à mettre en place, sans nécessiter des infrastructures lourdes ni des réseaux neuronaux gigantesques.

En temps réel, et pour de vrai cette fois

Ce qui impressionne le plus avec le Gaussian Splatting, c’est sa capacité à fonctionner en vrai temps réel. Vous pouvez tourner autour d’un objet, zoomer, ou changer la lumière et voir tout s’adapter immédiatement, sans temps de latence ni artefacts gênants. Cette interactivité ouvre la porte à des usages pratiques jusque-là limités par la lenteur du rendu 3D, comme les jeux vidéo ultra-réalistes, les visites virtuelles immersives, ou encore la réalité augmentée sur smartphone. Bref, c’est une vraie révolution pour tous ceux qui rêvent d’une 3D fluide et accessible.

Et côté pratique, on fait comment ?

Les outils pour s’y mettre

S’initier au Gaussian Splatting n’a jamais été aussi simple grâce à une belle panoplie d’outils open source. Plusieurs projets disponibles sur GitHub proposent des implémentations prêtes à l’emploi, souvent basées sur des frameworks populaires comme PyTorch ou TensorFlow.

Parmi les plus connus, on trouve des outils issus des laboratoires de recherche de Google ou d’équipes universitaire. Ils mettent à disposition des scripts pour la reconstruction 3D et le rendu en temps réel. Ces outils facilitent grandement la création de scènes à partir de simples vidéos ou photos, sans exiger de compétences pointues en programmation ou en infographie.

De la capture à l’image finale : Tutoriel express

Concrètement, pour créer un rendu 3D avec le Gaussian Splatting, vous commencez par filmer votre scène avec un smartphone. Il faudra en multiplier les angles (pensez à faire un petit tour autour de votre sujet). Ensuite, vous importez ces images dans un logiciel compatible, qui va analyser les données pour extraire les points 3D.

Le logiciel va alors convertir ces points en gaussiennes optimisées. Il va ajuster leur forme et leur couleur pour restituer fidèlement la scène. En quelques minutes, vous obtenez un modèle 3D que vous pouvez explorer librement, tourner dans tous les sens et même intégrer dans des applications de réalité augmentée ou virtuelle.

Les cas d’usage du gaussing splatting qui font rêver

Jeux vidéo, AR/VR et métavers

Le Gaussian Splatting est en train de devenir un allié de choix pour les développeurs de jeux vidéo et les créateurs d’expériences en réalité augmentée (AR) et virtuelle (VR). Grâce à sa capacité à produire des rendus ultra-réalistes en temps réel, il permet d’intégrer des environnements et des personnages très détaillés sans alourdir les performances. Dans les métavers, où l’immersion est clé, cette technologie facilite la création de mondes riches et dynamiques. Elle offre aux utilisateurs une expérience fluide et visuellement bluffante.

Archéologie, cinéma, et même Google Maps ?

Au-delà du divertissement, le Gaussian Splatting trouve aussi sa place dans des domaines plus inattendus. En archéologie, il sert à reconstruire des sites anciens en 3D à partir de photographies/ Il fournit ainsi une nouvelle manière d’explorer le passé.

Dans le cinéma, cette méthode accélère la création d’effets spéciaux photoréalistes, et réduit les temps de production. Et pour des services comme Google Maps ou Street View, elle pourrait améliorer la qualité et la fluidité des vues en 3D pour rendre la navigation plus immersive.

Et après ? L’avenir du rendu 3D

Les pistes de recherche qui s’ouvrent

Le Gaussian Splatting n’en est aujourd’hui qu’à ses débuts, mais les chercheurs explorent déjà plusieurs voies pour le rendre encore plus puissant. On imagine, par exemple, des combinaisons avec des réseaux de neurones plus complexes pour améliorer la compréhension des scènes ou des textures, ou encore l’intégration avec des techniques de diffusion pour un rendu encore plus réaliste. L’objectif est de pousser la qualité visuelle toujours plus loin tout en conservant cette rapidité d’exécution qui fait sa force.

Les limites à ne pas oublier

Cependant, tout n’est pas parfait ! Le Gaussian Splatting demande encore une quantité importante de données pour produire des rendus de qualité. Cela peut compliquer la modélisation de scènes très vastes ou dynamiques. De plus, certaines textures fines ou effets de transparence restent difficiles à représenter parfaitement. Enfin, même si le rendu est rapide, l’optimisation initiale des gaussiennes peut prendre un peu de temps, surtout pour des scènes très détaillées.

Je réponds à vos questions sur le Gaussian Splatting

Qu’est-ce que le Gaussian Splatting en quelques mots ?

Le Gaussian Splatting est une technique de rendu 3D qui utilise des « taches floues » appelées gaussiennes pour créer des images réalistes et fluides en temps réel, à partir de simples vidéos ou photos.

En quoi le Gaussian Splatting est-il meilleur que les méthodes classiques comme NeRF ?

Il est beaucoup plus rapide et léger, ce qui offre la possibilité d’un rendu interactif instantané sans sacrifier la qualité visuelle. Il ne nécessite pas non plus de lourds réseaux neuronaux, ce qui le rend plus accessible.

Est-ce que je peux utiliser le Gaussian Splatting avec un smartphone ?

Oui ! Vous pouvez capturer votre scène avec un smartphone, puis utiliser des outils compatibles pour créer un rendu 3D en Gaussian Splatting, accessible même sans compétences avancées.

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Alors voilà, Meta se lance dans une nouvelle aventure avec… Prada ! Après les lunettes Ray-Ban et les Oakley, la marque tech est en partenariat avec la célèbre maison de mode italienne. Ensemble, ils vont concevoir des lunettes intelligentes avec de l’IA. Pour le moment, aucune indice sur le date de lancement de ce produit.

Meta cherche à tout prix à diversifier son offre en touchant différents publics. Selon CNBC, il serait actuellement en train de concocter  des lunettes intelligentes IA avec Prada. Cela signifie que le géant élargit sa technologie à d’autres grandes marques de mode. N’oublions pas qu’il est déjà en partenariat avec EssilorLuxottica.

Meta développe sa collaboration avec EssilorLuxottica, qui a aussi une licence avec Prada pour produire des lunettes. Prada n’est pas sous son contrôle, mais le contrat a été prolongé jusqu’en 2036. Grâce à cette alliance, la société-mère de Facebook a l’opportunité de travailler avec une marque de luxe et ajoute du prestige à ses projets de lunettes intelligentes.

Les lunettes Prada sont toujours en phase de développement. Mais un ancien de Meta a suggéré que les styles à branches épaisses seraient idéaux pour intégrer l’IA de Meta. Les lunettes de soleil Prada, avec leurs montures épaisses et leur prix qui fait tourner la tête, sont pile ce qu’il faut pour Meta. Une batterie plus grosse, des fonctions dernier cri… Cette collaboration pourrait être un terrain de jeu pour des lunettes intelligentes stylées.

Les fonctionnalités à attendre des lunettes intelligentes Prada de Meta

A part les lunettes Prada, Meta a annoncé une collaboration avec Oakley pour des lunettes intelligentes qui arrivent bientôt. Ces gadgets, taillés pour les sportifs, seraient plus solides et adaptés aux conditions météo.

Comme les Ray-Ban, ces Oakley Meta auront de nombreuses capacités. En les portant, vous pouvez regarder des vidéos en direct, passer des appels, envoyer des textos, prendre des photos et écouter de la musique. Mais là où ça se distingue, c’est avec la caméra centrale.

Les lunettes intelligentes Meta les plus récentes présentent des fonctionnalités comme la traduction de langues, la capture de photos et vidéos et bien sûr, de la musique dans les oreilles. En revanche, Meta reste fidèle à des designs comme les Wayfarer et Skyler. On a des verres adaptables à vos besoins, qu’ils soient polarisés, solaires ou même prescrits.

On verra certainement des fonctionnalités comparables dans les collaborations Meta avec Oakley et Prada.

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Marre du stress, des scores et des explosions ? Puzzling Places vous embarque pour un voyage zen en VR où le seul objectif, c’est de reconstruire le monde… pièce par pièce. Ici, pas de panique : juste vous, des lieux incroyables en 3D, et le plaisir d’assembler dans le calme. C’est beau, immersif, étonnamment relaxant, et totalement addictif. Enfilez votre casque, attrapez une pièce… le monde vous attend.

Une pièce à la fois : Bienvenue dans Puzzling Places

Assembler des lieux du monde réel en 3D

Et si on vous disait qu’un puzzle pouvait vous faire voyager au cœur d’un monastère arménien, d’un village japonais ou d’une cathédrale gothique, le tout sans quitter votre salon ? Puzzling Places n’est pas un simple jeu de puzzle ! C’est une expérience méditative en réalité virtuelle qui marie détente, exploration et fascination architecturale. Oubliez les coins de table encombrés et les pièces perdues sous le canapé. Ici, tout se passe en apesanteur, dans un espace 3D où chaque fragment de lieu reprend vie entre vos mains.

Un jeu VR qui casse les codes du puzzle classique

Sorti sur casques VR comme le Meta Quest ou le PSVR, Puzzling Places a su se faire une place unique dans l’univers du jeu vidéo. Pas de score, pas d’ennemis, pas de stress, juste vous, des morceaux d’endroits incroyables, et le plaisir de les assembler avec une précision presque méditative. Que vous soyez accro aux puzzles, fan de voyages ou simplement en quête d’un moment de calme numérique, ce jeu a peut-être bien quelque chose à vous offrir.

Faites le tour du monde sans passeport

Des lieux emblématiques reconstitués en puzzle

Parmi les plus gros atouts de Puzzling Places, il y a sa capacité à transformer chaque puzzle en véritable voyage. Chaque scène que vous assemblez est un lieu réel, numérisé en photogrammétrie. Il s’agit d’une technique qui permet de capturer avec une précision bluffante les moindres détails architecturaux, textures et ambiances. Ainsi, ce n’est pas juste une image plate que vous assemblez, mais un modèle 3D ultra réaliste, avec de la profondeur, du relief, et surtout… de la personnalité.

Entre architecture, culture et curiosité

Un monastère millénaire en Arménie ? Une ruelle pavée dans le sud de la France ? Une façade de théâtre abandonné ? Oui, Puzzling Places vous emmène là où vous ne pensiez même pas aller. Et à chaque pièce assemblée, le lieu prend forme sous vos yeux, murs, toits, escaliers, vitraux… comme si vous reconstruisiez un monde perdu, pièce par pièce.

Au-delà de l’aspect purement visuel, chaque lieu raconte quelque chose. L’environnement sonore, souvent basé sur des sons enregistrés sur place, renforce ce sentiment d’immersion. On entend les oiseaux chanter, le vent souffler dans les arbres ou l’écho discret d’une nef vide. C’est subtil, mais terriblement efficace pour vous transporter ailleurs.

Zen attitude garantie : Quand immersion rime avec relaxation

Une bande-son qui vous chuchote à l’oreille

Oubliez les jeux qui vous crient dessus, les interfaces surchargées ou les défis qui vous font transpirer. Puzzling Places joue dans une toute autre catégorie : celle des jeux où l’on respire, où le temps ralentit, et où le cerveau entre doucement en mode zen. Ce n’est pas juste un puzzle, c’est une forme de méditation en réalité virtuelle, une sorte de spa mental, si l’on ose.

L’un des secrets de cette atmosphère apaisante ? Le design sonore. Chaque puzzle est accompagné d’une ambiance 3D subtilement travaillée : un léger souffle de vent, le chant lointain d’un oiseau, l’écho d’une pièce vide… C’est discret, mais immersif au possible. On n’écoute pas vraiment, on s’imprègne. Le son semble respirer avec le lieu, et vous avec lui.

Une VR douce pour l’âme (et les yeux)

Et puis il y a la VR. Parce que tenir une pièce de puzzle dans ses mains, la faire tourner doucement, l’observer sous tous les angles avant de la placer avec un clic parfaitement satisfaisant… ça n’a rien à voir avec un jeu sur écran plat. Le geste devient intuitif, presque instinctif. Et à mesure que le puzzle prend forme, le sentiment d’accomplissement est immédiat, mais sans stress. Pas de chrono, pas de score, juste vous et l’espace que vous reconstruisez.

C’est un jeu parfait pour déconnecter. Pas dans le sens « passer le temps », mais plutôt « reprendre le contrôle du temps ». Une parenthèse où l’on se concentre sans pression, où l’on explore sans urgence. Bref, Puzzling Places est autant une expérience de jeu qu’un outil de relaxation.

Des puzzles pour tous les niveaux

Du mini-challenge au casse-tête de 400 pièces

Que vous soyez du genre à trier vos pièces par couleur pendant deux heures ou à vous jeter dans le tas sans plan de bataille, Puzzling Places a pensé à vous. L’un des gros points forts du jeu, c’est sa modularité. Vous choisissez la complexité de votre puzzle avant même de commencer. 25 pièces pour une petite session chill ? 100 pour un bon challenge ? 400 pour les vrais stratèges du dimanche ? À vous de doser !

Et contrairement aux puzzles classiques où tout se ressemble (coucou les ciels bleu uni), ici chaque pièce a une forme unique et un détail architectural propre : une poutre tordue, un bout de mur avec graffiti, un coin de fenêtre en pierre sculptée. Et donc, même les puzzles les plus complexes restent engageants, jamais frustrants.

Options et personnalisation pour une session sur-mesure

Côté confort de jeu, tout est pensé pour que la prise en main soit fluide. Vous pouvez zoomer, pivoter les pièces dans tous les sens, les « aimanter » au bon endroit (avec une petite vibration haptique très satisfaisante), ou même activer une aide visuelle si vous bloquez un peu. Et le tout sans jamais avoir l’impression qu’on vous prend par la main.

Bonus sympa : certains puzzles sont découpés en « zones », un peu comme des étapes de reconstruction, ce qui rend le tout plus lisible. On a presque l’impression de restaurer un vieux bâtiment avec patience et respect, pièce après pièce. Que vous soyez novice en VR, fan de puzzle IRL ou simple curieux, Puzzling Places s’adapte à votre rythme… et à votre humeur.

Où, quand, comment y jouer ?

Sur quels casques VR le jeu est dispo ?

La bonne nouvelle, c’est que Puzzling Places n’est pas réservé aux experts de la VR. Il est dispo sur plusieurs casques, avec une ergonomie pensée pour être accessible à tous. Que vous ayez un Meta Quest 2, un PSVR, ou même un casque PC VR (comme l’Index ou le Valve), vous pouvez vous lancer dans l’aventure sans galérer.

Une prise en main qui ne fait pas mal à la tête

L’interface est claire et simple, avec des menus en VR qui flottent devant vous sans jamais gêner la vue. Pour attraper une pièce, il suffit de tendre la main, un geste naturel, qui ne demande pas des heures d’apprentissage. Les commandes répondent au doigt et à l’œil, sans latence, ce qui est essentiel pour ne pas casser cette sensation d’immersion douce.

En termes d’installation, le jeu est léger et se lance rapidement. Parfait pour une session de 20-30 minutes après le boulot, ou pour une escapade plus longue le week-end. Et grâce à sa progression sauvegardée automatiquement, vous pouvez reprendre votre puzzle exactement là où vous l’avez laissé, sans souci. Bref, pas besoin d’être un as de la techno pour profiter de Puzzling Places. Même si c’est votre première expérience en VR, vous allez vite comprendre le principe et vous sentir à l’aise.

Ce qu’on adore… et ce qu’on attend encore

Les pépites du jeu

Comme dans toute expérience, Puzzling Places a ses petites pépites… et ses coins un peu moins polis. Côté positif, le jeu brille par son ambiance unique : la qualité des lieux modélisés est bluffante, chaque puzzle est un vrai petit bijou d’architecture. La sensation de tenir et manipuler ces pièces en VR est d’une fluidité remarquable, ce qui rend l’expérience vraiment agréable et addictive.

On aime aussi l’absence totale de pression : pas de score, pas de timer, pas de fail, juste du plaisir pur, à son rythme. C’est une vraie bouffée d’air frais dans un monde vidéoludique souvent trop speed ou compétitif. En plus, la bande-son immersive ajoute une dimension presque spirituelle à l’expérience, on se sent apaisé à chaque session.

Les petits défauts qui mériteraient une update

Côté améliorations, on aimerait voir un peu plus de diversité dans les environnements. Même si les lieux proposés sont déjà superbes, le jeu gagnerait à proposer davantage de puzzles et d’ambiances pour varier les plaisirs. Quelques options supplémentaires pour personnaliser l’expérience (comme des filtres visuels, ou des musiques alternatives) seraient aussi un plus. Enfin, à mon avis, une fonction « mode photo » ou « capture 3D » serait un vrai plus pour immortaliser leurs œuvres une fois terminées.

Cet article Focus sur Puzzling Places, le puzzle VR qui vous fait voyager a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Parmi les Pokémon Shiny, Dracaufeu est le plus recherché par les joueurs. En fait, il s’agit de l’un des Pokémons de type vol et feu de la première génération.

Quelles sont ses spécificités ? Quelles sont ses caractéristiques et ses techniques ? Comment l’attraper ? Pourquoi est-il si spécial pour les joueurs ? Lisez ce guide pour en savoir plus sur Dracaufeu Shiny.

Dracaufeu Shiny : son aspect

Shiny Firecracker représente le 6e pokémon de type vol et feu. Il ressemble à un dragon. En réalité, il s’agit d’une évolution de Salamèche. Celui-ci possède 2 ailes qui lui permettent de voler jusqu’à 1400 mètres de haut. La partie extérieure de ses ailes est orange tandis que l’intérieur est bleu.

À l’arrière de son crâne se trouvent deux crêtes. Les membres supérieurs de Dracaufeu Shiny sont petits et courts. Cependant, il possède une longue queue qui lui permet de se tenir debout. De plus, ce Pokémon possède 3 griffes sur chaque patte.

Dracaufeu Shiny : les changements au fil des temps

Dracaufeu Shiny a subi quelques changements de design au fil du temps. Cela a commencé après la deuxième génération de Pokémon. Dans ce contexte, la couleur du Dracaufeu Shiny est devenue plus sombre avec un mélange de noir et de gris.

Son attitude

Dracaufeu Shiny est un Pokémon noble. Cette caractéristique s’explique par le fait qu’il n’attaque jamais un Pokémon plus faible que lui. En fait, il est toujours à la recherche d’un adversaire potentiel. Lorsque ce Pokémon se sent malheureux ou lors d’un duel difficile, la flamme qu’il crache devient blanc-bleu. Cette dernière peut faire fondre n’importe quel élément.

Dracaufeu Shiny : caractéristiques et techniques

Le Dracaufeu Shiny possède des capacités exceptionnelles pouvant infliger des dommages dans un large périmètre.

Attaques apprises par Dracaufeu Shiny

Rebondifeu

Le Dracaufeu Shiny est capable de cracher une flamme qui parvient à brûler son adversaire.

Danse Flammes

Cela fait référence à la création d’un vortex de feu qui a pour effet de ralentir son adversaire.

Lance-Flammes

Il crache une flamme encore plus intense pour brûler son rival.

Poing Feu

Ce Pokémon peut attaquer son ennemi depuis le ciel en utilisant un poing enflammé.

Déflagration

Ce pokémon parvient à cracher une flamme très intense. Cette dernière ralentit son adversaire, et inflige d’extrêmes dégâts.

Boutefeu

Il s’agit d’une attaque offensive avec 100% de précision et 120 points en puissance. Enveloppé de flamme, le Dracaufeu Shiny fonce droit sur son adversaire en le projetant vers l’arrière. Boutefeu dispose 10 pourcent de chance de brûler l’ennemi. Toutefois, il convient de noter que cette attaque blesse également le lanceur.

Atterrissage brutal

Cette technique projette le rival vers le haut pour ensuite atterrir brutalement sur le sol. Cela inflige d’importants dégâts pour l’adversaire.

Grimace

Ce Pokémon peut faire une grimace qui traumatise son adversaire. Par conséquent, cela réduit considérablement la vitesse de ce dernier.

Griffe

Cette attaque consiste à lacérer son ennemi avec ses griffes afin d’infliger des dégâts.

Dracogriffe

Le lanceur utilise ses grandes griffes aiguisées pour lacérer son adversaire.

Brouillard

La dispersion de nuage de fumée diminue la précision de l’ennemi.

Build d’objets possible

Pierrallégée : cela intensifie la rapidité du Pokémon tout en infligeant plus de dégât à son adversaire. La vélocité s’accroît encore hors combat.

Lentilscope : augmente la possibilité de faire un coup critique avec des dégâts plus importants.

Bandeau muscle : amplifie la vitesse du pokémon lors des attaques basiques.

Bouton fuite : permet de se téléporter instantanément vers un autre endroit.

Dracaufeu Shiny : un Pokémon emblématique dès  son  lancement

Dracaufeu Shiny Firecracker fut la carte à collectionner la plus recherchée lors de sa sortie en 2000. Ceci en raison du fait qu’elle était la première carte à offrir une attaque principale de 100 points. De plus, Pétard Brillant représente l’évolution de Salamech. Salamech faisait partie des 3 premiers Pokémon du premier volet de la franchise. D’ailleurs, ce Pokémon apparaît sur la cartouche et la couverture de la version rouge.

Comment attraper un Dracaufeu Shiny ?

Dracaufeu Shiny fait partie des Pokémon extrêmement rares. Il se distingue par sa couleur inhabituelle. Cette créature constitue un véritable trésor, notamment dans Pokémon Go et dans les jeux de rôle.

Pour être précis, la probabilité de le trouver s’élève à 1 sur 450. Bien que ce soit peu, il est possible de le capturer. Pour ce faire, il faut se rendre dans un nid de Pokémon et commencer un combat contre toute forme de vie. Pour augmenter les chances de l’attraper dans Pokémon Go, il faut collecter des récompenses lors des tâches de recherche ou de participer à des raids ou des rencontres avec des boss sauvages. En outre, il est recommandé de participer à des recherches spéciales ou à des événements limités.

Ensuite, une fois que vous êtes en face d’un Dracaufeu Shiny, vous devez avoir une bonne stratégie d’attaque pour l’empêcher de s’échapper. De fait, vous devez utiliser toutes vos Hyper Balls pour maximiser votre taux de capture.

La capture d’un Dracaufeu Shiny peut prendre plusieurs heures toutefois le fait d’en avoir une dans le Pokédex augmente sa valeur.

Où peut-on le trouver ?

On peut rencontrer un Dracaufeu Shiny partout dans la nature.

• Cependant, ce Pokémon de type feu peut être capturé dans des endroits secs comme les fermes et les déserts.

• On peut également le trouver dans les villes et les parcs.

• En outre, le fait d’attraper un Salamech Shiny permet d’obtenir Dracaufeu Shiny. Toutefois, cette tâche peut prendre plusieurs heures. Pour l’attraper, voici quelques conseils à suivre.

Sachez qu’un Salamech, en tant que Pokémon de type Feu, a un taux d’apparition plus élevé lors des journées claires et ensoleillées. Durant ces moments, il apparaît plus souvent dans la nature. Sans oublier que cette créature peut être rencontrée occasionnellement lors de raids. Elle peut aussi être une récompense de recherche.

Le Salamech a également un taux d’apparition plus élevé dans les villes et les zones résidentielles, ainsi que dans les régions au climat sec et aride. Pour augmenter la fréquence d’apparition, vous avez besoin des appâts de la boutique Pokemon Go près des Pokéstops.

Si le salamèche rencontré est brillant, une icône en forme de cercle lumineux apparaîtra en haut à droite de sa fiche d’information sur l’écran de combat.

Le prix des cartes Dracaufeu Shiny

La plupart des collectionneurs sont disposés à consacrer une somme importante pour acheter des cartes Pokémon Dracaufeu Shiny ? En fait, combien coûtent-elles réellement ? En fait, elles peuvent coûter plusieurs centaines, voire des milliers, de dollars aux enchères. Elles sont même plus chères que les cartes emblématiques de Pikachu, comme vous pouvez le constater.

Les raisons ?

Pour une question de nostalgie et de frustration. En fait, les jeunes garçons qui n’ont pas pu obtenir ces cartes Dracaufeu Shiny pendant leur enfance les achètent aujourd’hui à un prix élevé. 

Selon Price Pokémon, la frustration de ne pas avoir la carte entre les mains à ce moment-là pousse certaines personnes à dépenser une fortune pour l’acquérir ».

En outre, le rappeur Logic a annoncé que pouvoir profiter de quelque chose que j’aime depuis l’enfance est comme acheter un morceau de quelque chose que je ne pourrais jamais avoir.

Par ailleurs, d’autres facteurs expliquent pourquoi le prix de cette carte est si élevé. Notamment :

• Le bon état de ces cartes. Son état, abîmé ou non, peut affecter considérablement sa valeur.
• Est-ce que la carte est holographique ? Le prix des cartes holographiques est plus élevé.
• À quelle série appartient-elle ? Les cartes des anciens jeux sont en général plus coûteuses.

Les meilleures stratégies pour entraîner et combattre avec Dracaufeu Shiny

Pour entraîner Dracaufeu Shiny efficacement, il est primordial de maximiser son potentiel. Pour ce faire, privilégiez les attaques de type Feu et Vol, telles que « Danse-Flamme » et « Aéropique », qui exploitent ses meilleures statistiques. Utiliser des objets comme la Ceinture Force ou le Restes peut également renforcer sa durabilité en combat. N’oubliez pas de le faire évoluer au niveau 36 pour qu’il atteigne son plein potentiel en tant que Dracaufeu.

En ce qui concerne les combats, vous devez analyser les types adverses. Dracaufeu est vulnérable aux attaques de type Roche, Électrique et Eau, donc il est préférable d’éviter ces confrontations directes. En revanche, il excelle contre les Pokémon de type Plante, Insecte, et Fée. Pour maximiser son efficacité, envisagez d’utiliser des mouvements de soutien, comme « Clonage », pour éviter les attaques adverses tout en infligeant des dégâts.

Enfin, restez attentif à la méta actuelle et adaptez votre équipe en conséquence. Cela peut faire toute la différence. Avec ces stratégies, Dracaufeu Shiny peut briller sur le terrain de combat. Ce qui fait de lui un atout précieux dans votre équipe.

Dracaufeu Shiny, symbolisme et popularité

Dracaufeu et son shiny continuent d’incarner des valeurs de force, de croissance et de mystère en 2025. Ce qui  attire de nouveaux fans tout en gardant l’attention des anciens. Sa combinaison d’attrait esthétique et de gameplay solide garantit qu’il restera un pilier de l’univers Pokémon pour les années à venir.

Effectivement, Dracaufeu est souvent perçu comme un symbole de force. Son design de dragon et sa capacité à cracher des flammes en font un Pokémon redoutable. Cela attire de nombreux joueurs cherchant une représentation de la puissance dans leur équipe.

Ensuite, en tant que forme évoluée de Draco (Charmander), Dracaufeu représente la progression et la maturation. Cela fait écho au parcours de nombreux joueurs qui commencent avec un Pokémon faible et le développent jusqu’à atteindre des niveaux élevés. Cela-dit, Dracaufeu a une aura de mystère, souvent associé à des légendes dans l’univers Pokémon. Sa rareté en tant que Pokémon Shiny accentue ce côté légendaire. De ce fait, chaque rencontre devient plus spéciale.

En termes de popularité, Dracaufeu a également eu un impact significatif sur la culture pop. Comme nous le savons tous, il apparaît dans divers médias au-delà de Pokémon. Cela inclut des memes, des œuvres d’art et même des références dans d’autres jeux vidéo.

Dracaufeu Ex brille enfin dans Pokémon TCG Pocket en 2025 - juin 2025

L’extension Réjouissances Rayonnantes a fait son entrée officielle dans Pokémon TCG Pocket depuis le 27 mars. Cette mise à jour apporte aux joueurs la carte la plus convoitée en 2025 : un Dracaufeu EX dans sa forme shiny, qui représente l’apogée de la collection pour de nombreux dresseurs.

The Pokémon Company a annoncé cette nouvelle extension quelques jours avant son lancement, suite au succès de Lumière Triomphale déployée le mois précédent. Bien que Réjouissances Rayonnantes n’introduise pas de mécaniques stratégiques révolutionnaires, elle enrichit considérablement le catalogue de cartes disponibles dans le jeu mobile.

Ce nouveau Booster appartient à la catégorie des extensions « à thème », avec un focus particulier sur les Pokémon shiny. Ces créatures exceptionnelles se distinguent par leurs colorations alternatives qui diffèrent de leurs versions standard. La rareté de ces Pokémon aux teintes uniques ajoute une dimension supplémentaire à l’attrait collectionnable du jeu.

Dracaufeu, l’imposant dragon de feu et l’une des figures emblématiques de la franchise, occupe le devant de la scène dans cette extension. Sa version EX shiny combine la puissance intrinsèque des cartes EX avec l’esthétique distinctive et prisée des Pokémon chromatiques. Pour les collectionneurs comme pour les joueurs compétitifs, cette carte représente un trésor inestimable dans l’univers de Pokémon TCG Pocket.

Cet article Dracaufeu Shiny : qui est ce Pokémon et comment l’attraper ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Les GAFAM se révèlent être au centre de toute activité numérique avec tous les avantages qu’il offre à ses utilisateurs. Il présente toutefois une face cachée qui, heureusement, peut être remédiée.

Les GAFAM profite bien à l’ensemble de la population mondiale, notamment dans les recherches et l’interaction avec le reste du monde. Dans cet article, vous allez découvrir le fonctionnement des GAFAM, les avantages et les inconvénients liés à leur utilisation. Nous ne manquerons pas de vous proposer des mesures alternatives pour que vous puissiez profiter d’internet sans que vos informations personnelles ne soient collectées à votre insu.

GAFAM : qu’est-ce que c’est ?

GAFAM est l’appellation qui englobe les géants américains de la technologie. Il s’agit de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.

Ces cinq sociétés ne sont pas uniquement les plus utilisées, ce sont aussi les plus cotées en bourse aux Etats-Unis. En effet, la capitalisation boursière pour les GAFAM s’élève à 4,5 milliards de dollars et ils sont tous côtés en NSADAQ.

Ici, on parle surtout de l’emprise de ces géants sur l’ensemble des secteurs d’activités en général. Les GAFAM à lui seul possède une mainmise sur la quasi-totalité des secteurs. Il possède même une grande influence sur le plan politique.

Plus connu pour sa grande capacité à collecter des données, les GAFAM semblent supplanter les gouvernements, même les plus puissants. D’où sa domination actuelle.

Ces géants de la technologie dominent par le numérique

Très récemment, le site de streaming Netflix est monté en puissance et a trouvé une place au sein de l’oligopole de la technologie.

Aussi, un nouvel acronyme, le FAANG, qui englobe Facebook, Apple, Amazon et Google, est né. Dans ce nouvel acronyme, Microsoft a cédé sa place à Netflix.

Netflix appartient cependant à un autre secteur, les services aux consommateurs. Une précision s’impose, Amazon, même avec son service de streaming Amazon Prime Vidéo, œuvre surtout dans le secteur du Cloud Computing et de l’e-commerce.

A côté du FAANG, un autre acronyme, le NATU : Netflix, Airbnb, Tesla et Uber, a gagné en popularité.

En Chine, on rencontre des firmes qui connaissent le même succès que les GAFAM, on parle du BATX : Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi.

Comment les GAFAM ont-ils conquis le monde ?

Le succès des GAFAM se traduit par la somme colossale qu’il représente, rien qu’en matière de cotation en bourse. Mais si cela est possible, c’est surtout grâce à l’acquisition de plusieurs sociétés, des startups notamment.

Voici quelques-unes de ces acquisitions qui ont fait les GAFAM ce qu’il est aujourd’hui :

Google

En 2005, Google a aussi acheté Android avec son système d’exploitation mobile pour 50 millions de dollars.

Google à lui seul a acquis plus d’une trentaine de sociétés d’IA, en l’occurrence DeepMind, en 2014 contre 625 millions de dollars. Dans le secteur du Cloud Computing, il a acheté Alooma, Looker, Elastifile et CloudSimple en une année.

Si Google se trouve à la tête de la cartographie numérique, c’est surtout grâce à l’acquisition de son principal concurrent Waze, en 2013. Sans parler de l’ensemble des outils inclus dans Google Drive qui résultent presque tous d’acquisitions.

Quant à YouTube, Google l’a acheté pour 1,6 milliard de dollars et ses revenus publicitaires résultent d’une acquisition d’une startup, Doubleclick.

Apple

Apple a acquis des entreprises spécialisées dans l’automatisation des logiciels et les assistants virtuels. À cet effet, la firme a acquis Siri en 2010. Le programme a été initié par le ministère de la Défense.

En moins d’une décennie, Apple a englouti 14 entreprises spécialisées dans l’IA, la reconnaissance faciale et le Machine Learning. L’acquisition de certaines sociétés proposant des services connexes fait également partie de sa politique d’expansion.

Par exemple, Apple a racheté Beats en 2014 pour une valeur totale de 3 milliards de dollars. Cela lui a permis de développer Apple Music, actuellement plus utilisé dans le secteur du streaming musical. Une telle acquisition a permis à ce géant de concurrencer Spotify.

En 2019, Apple a enregistré plus de 20 achats d’entreprises.

Facebook

Quant à Facebook (nouvellement Meta), ses débuts ont même commencé par le rachat de la société AboutFace dont le nom de domaine était « facebook.com ». Après cette acquisition, ce nom n’a pas changé et est devenu le réseau social le plus utilisé au monde. 

Avec les 19 milliards de dollars que Marc Zuckerberg a dépensé pour acheter WhatsApp, Facebook a fait les plus grosses dépenses en matière d’acquisitions. Facebook a également entrepris d’autres achats comme celui d’Instagram en 2012 pour un milliard de dollars.

Snapchat est également dans son viseur bien que son fondateur, Evan Spiegel, ait refusé de le lui vendre pour 3 milliards de dollars. Les revenus publicitaires de Facebook résultent de deux achats, Atlas en 2013 et LiveRail en 2014. 

La firme s’est également lancée sur le marché de la réalité virtuelle après l’acquisition d’Oculus (Meta actuellement) pour 2 milliards de dollars en 2014.

Amazon

Son histoire a commencé avec l’ouverture d’une librairie en ligne. Aujourd’hui, Amazon développe la plus grande plateforme d’achat qui rassemble des acheteurs du monde entier. L’acquisition de diverses entreprises du secteur, Zappos en l’occurrence, en est la première cause, mais pas seulement.

Amazon a conquis le secteur de l’alimentation en acquérant Whole Foods Market. L’achat a été réalisé avec 13,7 milliards de dollars. Si la firme a du succès dans le secteur de l’IoT grâce aux rachats d’entreprises de sécurité domestique et de routeurs. AWS, la branche de l’industrie du cloud d’Amazon résulte d’une série d’achats de startups. AWS a désormais atteint son apogée au niveau mondial.

Microsoft

Pour Microsoft, les plus connues des acquisitions sont celles de Skype et Bing.

Skype était, au départ, un service de messagerie instantané qui a réuni des millions d’utilisateurs. Il a été acheté par Microsoft, sans doute pour concurrencer Facebook Messenger et Google HangOut.

Aujourd’hui, Bing est devenu le moteur de recherche par défaut de Microsoft Bing. C’est ainsi le principal concurrent de Google. DuckDuckGo ou Dogpile ne possèdent qu’une faible part du marché.

Ce que les GAFAM savent de nous 

Avec autant de violations de la vie privée, la plupart des internautes se demandent ce que les autres géants de la technologie savent vraiment sur eux.

Le site Security Baron a examiné les politiques de confidentialité des GAFAM, dont Facebook, Google, Apple, Twitter, Amazon et Microsoft. Il a créé une infographie pratique montrant les types de données que chacune de ces entreprises admet collecter. En fait, pour ces dernières, les données sont de l’argent.

Facebook se révèle être la plus gourmande en données. En effet, ce réseau social collecte diverses informations que ce soit sur le travail, les salaires, l’origine ethnique, les croyances religieuses. Il recueille également les données sur les publicités que l’utilisateur consulte, le numéro de téléphone de ce dernier, son adresse électronique, sa localisation voire le type d’appareil dont il se sert.

En revanche, Twitter est « relativement passif » en ce qui concerne la collecte de données. Le service de microblogging ne recense pas le nom, le sexe ou la date de naissance des utilisateurs. Toutefois, il enregistre leur numéro de téléphone, leur adresse électronique, leur fuseau horaire, les vidéos qu’ils regardent.

De leur côté, Google et Microsoft constituent les deux principaux acteurs de la collecte de données. Avec Cortana qui écoute et Gmail qui surveille tous les courriels, l’omniprésence de ces deux entreprises leur donne accès à une énorme quantité d’informations personnelles.

Une mainmise sur tous les secteurs

La plupart des révolutions politiques naissent de discussions sur Facebook et Twitter. Le printemps arabe, entre autres. Récemment, l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, se retrouvait censuré des réseaux sociaux.

Puis, avec la crise sanitaire du covid -19, la distanciation sociale a amplifié le succès des GAFAM.

Facebook fait désormais figure de principal moyen de rencontre avec la famille. YouTube connaît son plus grand succès avec des millions d’abonnés qui y vont pour se divertir. Quant à la livraison d’articles, elle se fait facilement via Amazon.

Bien sûr, la majorité des appareils fonctionnant sous Windows, macOS, Android ou iOS.

Avec toutes les données collectées, ces géants connaissent le moindre mouvement et même les intentions les plus minimes. Ils peuvent les utiliser à des fins publicitaires ou pour influencer votre comportement d’achat.

De là à dire que les GAFAM sont devenus une arme redoutable pour prendre le pouvoir et que la crise du covid -19 n’a fait qu’accentuer sa domination.

La bataille des GAFAM pour le métavers

La bataille entre Apple et Facebook se poursuit dans le métavers. Mark Zuckerberg prend aujourd’hui la tête de la bataille pour le métavers parce qu’il est déterminé à empêcher Apple de dominer l’après-smartphone. Selon la Silicon Valley, cette révolution sera un mélange de casques et de lunettes, d’applications de réalité mixte et de présence à distance.

Meta, anciennement connu sous le nom de Facebook, investit désormais massivement dans toutes sortes de matériels. Il s’agit d’appareils de réalité virtuelle, de réalité augmentée, de systèmes pour la maison intelligente et autres. Parmi les leaders de la GAFAM capables d’intégrer véritablement le métavers, Apple se distingue par sa capacité à initier les consommateurs sceptiques à de nouvelles méthodes informatiques. Apple s’apprête à prendre la tête du mouvement vers le métavers avec son propre appareil AR portable à la fin de l’année prochaine.

Si la migration vers le métavers a été lente, elle s’accélère. Parmi les concurrents de la GAFAM sur la piste de la virtualisation de tous se trouvent également Alphabet. Ce dernier intègre désormais la réalité augmentée dans son moteur de recherche Google. Amazon a également commencé à inclure des affichages de produits en AR dans certaines de ses offres de commerce électronique.

Comment se prémunir contre l’emprise des GAFAM sur le net ?

Sans conteste, cette oligopole ne va pas cesser d’étendre son empire. Il y a toutefois des alternatives afin d’y remédier.

L’idéal c’est de laisser de côté tous les produits des GAFAM afin d’éviter que vos échanges électroniques et vos conversations ne soient pas surveillés. Protonmail ou Tutanota offrent des services de messagerie cryptés.

Les outils de cryptage PGP permettent aussi de chiffrer vos conversations.

Pour sécuriser vos conversations via les messageries instantanées, utilisez plutôt Signal et optez pour Gab ou Parler à la place de Twitter et Facebook.

Quant au streaming vidéo, il est conseillé d’utiliser Odysee ou Rumble. Vimeo peut aussi héberger vos vidéos au lieu de YouTube.

Enfin, pour vos achats, privilégiez le commerce local. Non seulement les produits sont frais mais vous contribuez aussi au développement de l’économie locale. Tout cela en échappant à l’emprise des GAFAM.

L’Union Européenne face aux GAFAM

Ces géants américains de la technologie sont aussi sujets à controverse au sein de l’Union Européenne. Cette dernière s’oppose en particulier à l’utilisation du Big Data par les GAFAM en vue de renforcer leur pouvoir sur le marché mondial.

Pourquoi et comment l’Union Européenne s’oppose aux GAFAM ?

L’Union Européenne condamne la façon dont les GAFAM accaparent les marchés mondiaux. Raison pour laquelle ce vieux continent a intenté plusieurs procès contre les firmes du GAFAM.

L’Union Européenne a ainsi gagné au procès contre Microsoft pour des pratiques anticoncurrentielles. Ce dernier a été condamné à une peine d’amende de 2,2 milliards d’euros.

Le vieux continent a réprimandé Google pour avoir utilisé des informations personnelles à des fins commerciales. Google a été condamné à une peine d’amende de 50 millions d’euros.

Les amendes infligées à Google s’élèvent à 10 milliards de dollars depuis 2010 pour 3 procès différents.

Amazon est aujourd’hui mal-vu en Europe en raison de sa politique de restriction géographique et revendique l’uniformisation des produits dans tout le continent.

Quelle politique anti-GAFAM l’Union Européenne adopte-t-elle ?

Depuis 2020, l’Union Européenne envisage de concurrencer les GAFAM. Pour commencer, celle-ci va créer un « marché unique européen des données » qu’elle pense pouvoir mettre en place d’ici 2030.

Cette politique vise à faire circuler librement les données dans toute l’étendue de l’Europe. Ce qui va faciliter l’exploitation de ces données par toutes les entreprises et créer des géants européens de la technologie tout en assurant une concurrence saine.

Avec l’initiative « Open Data », l’Union Européenne envisage la réutilisation des données de grande valeur.

L’Europe va également établir une nouvelle infrastructure cloud qui prendra en charge cette phase de réutilisation en investissant 4 à 6 milliards d’euros.

Pour ce qui est de l’IA, 20 milliards d’euros par an vont être investis pour la décennie à venir à cette fin, tout en respectant l’éthique humaine et l’impartialité.

L’authentification biométrique reste encore loin d’être approuvée au sein du vieux continent.

Peut-on faire vaciller les GAFAM ? 

Le succès de GAFAM est si grand que certains pensent qu’il est impossible de l’arrêter. Or, ces géants sont menacés par des concurrents chevronnés et présentent leurs propres vulnérabilités.

Par exemple, Google a été le premier et le seul moteur de recherche à atteindre une échelle massive. Cependant, il a accumulé une longue liste d’échecs, du smartphone Nexus aux Google Glass. Ses tentatives visant à défier les autres géants de la technologie ont échoué ou ont pris beaucoup de retard. Google+ n’a été qu’un défi éphémère pour Facebook, et Google Cloud reste loin derrière Azure de Microsoft dans la lutte contre Amazon Web Services. 

Facebook, Méta, l’entreprise bénéficie du fait d’être le plus grand réseau social du monde, et a, pour la plupart, investi judicieusement en interne. Mais l’entreprise fait l’objet de critiques croissantes pour avoir contribué à la diffusion de fausses informations et de contenus haineux en ligne. Elle pourrait ainsi perdre sa crédibilité auprès des utilisateurs, des annonceurs et de la nouvelle génération de réseaux sociaux.

Amazon doit faire face non seulement à des opérateurs historiques établis, mais aussi à des start-ups ciblées, comme les producteurs de produits de consommation directe. Le commerce de détail reste un secteur difficile et très concurrentiel, avec des avantages durables limités.

Les GAFAM et les enjeux environnementaux

Les géants de la technologie jouent un rôle crucial dans l’impact environnemental global en raison de leur taille et de leurs opérations à grande échelle. Bien que ces entreprises aient initié des efforts significatifs pour réduire leur empreinte carbone, plusieurs défis restent à relever.

Google s’est engagé à fonctionner entièrement avec de l’énergie renouvelable, atteignant cet objectif pour ses opérations en 2017. Apple, quant à lui, utilise déjà 100 % d’énergie renouvelable pour ses installations mondiales et pousse ses fournisseurs à adopter des pratiques similaires. Microsoft a annoncé son ambition de devenir « carbone négatif » d’ici 2030, un objectif ambitieux qui inclut la suppression de tout le carbone que l’entreprise a émis depuis sa création en 1975​.

Amazon, malgré ses initiatives comme le « Climate Pledge », fait face à des critiques pour l’empreinte carbone de son vaste réseau logistique et ses centres de données énergivores. Facebook (Meta) a également investi dans les énergies renouvelables, mais la consommation énergétique de ses centres de données et ses infrastructures reste une préoccupation majeure.

En somme, bien que les GAFAM aient pris des mesures pour atténuer leur impact environnemental, l’ampleur de leurs opérations présente des défis continus en matière de durabilité. Une vigilance accrue et des innovations constantes sont nécessaires pour aligner leurs pratiques commerciales avec les objectifs environnementaux mondiaux​​.

À quels défis les GAFAM font-ils face en 2025 ?

L’Union Européenne, avec le Digital Markets Act et le Digital Services Act, impose des contraintes significatives sur leurs pratiques commerciales en 2025. Ces régulations forcent les entreprises à repenser fondamentalement leur approche de la gestion des données utilisateurs et de la concurrence.

par ailleurs, la question de la protection de la vie privée devient de plus en plus centrale en ce début de l’année 2025. Apple, Google et Meta doivent constamment adapter leurs modèles publicitaires face aux demandes grandissantes de transparence et de contrôle des utilisateurs sur leurs données personnelles. Cette évolution impacte directement leurs revenus publicitaires et nécessite le développement de nouvelles solutions respectueuses de la vie privée.

De son côté, l’intelligence artificielle représente à la fois une opportunité et un défi majeur. Microsoft et Google investissent massivement dans ce domaine, mais doivent gérer les préoccupations éthiques et les risques associés au développement de l’IA. La course à l’innovation dans ce secteur intensifie également la concurrence pour les talents et les ressources.

En outre, les centres de données massifs des GAFAM sont scrutés pour leur impact écologique. Ils sont en effet amenés à accélérer leur transition vers des énergies renouvelables et à développer des solutions plus écologiques. Toutefois, la rétention des talents devient de plus en plus complexe.

 

FAQ

Cet article GAFAM : Tout ce que vous devez savoir a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

IMAX est mondialement reconnu pour ses écrans gigantesques, mais cette technologie révolutionnaire ne se limite pas à cela. Dans cet article, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur IMAX : son origine, ses caractéristiques uniques et les avantages qu’elle offre aux cinéphiles.

IMAX, un terme qui peut paraître étrange, représente un grand changement technologique dans le monde de la cinématographie. En effet, IMAX permet de passer un bon moment entre collègues, entre amis ou en famille devant l’écran. Quels avantages procure-t-il pour les cinéphiles ? Comment faire un film en IMAX ? Mais aussi, comment a-t-il vu le jour ? C’est ce qu’on va développer dans les quelques lignes suivantes.

IMAX : qu’est-ce que c’est ?

On attribue souvent le nom au format de films ou à l’expérience de les regarder. Cependant, IMAX est une firme à part entière qui travaille dans le domaine de la cinématographie. Il dispose d’une gamme de produits dont des caméras haute résolution, des formats de films, de projecteurs et de cinémas.

En plus de la taille de l’écran et de l’auditorium, IMAX utilise, en général, des haut-parleurs derrière l’écran. Les sièges des stades sont aussi ajustés pour que les spectateurs puissent être directement face à l’écran, peu importe leur emplacement dans la salle. C’est comme jouer à un jeu VR, en quelque sorte. Par ailleurs, lMAX mise sur la qualité des images. Les impressions physiques de films 70 mm le rendent encore plus particulier.

La firme se distingue notamment par ses lourdes caméras bruyantes d’une centaine de kilos et son énorme stock de films et de projecteurs. Les écrans sont d’une hauteur plus conséquente disposant de plusieurs étages. Si les films ordinaires traversent la caméra de manière verticale, ceux d’IMAX le font de façon horizontale, avec une résolution de 12k.

Pour la petite histoire

IMAX est née de l’esprit de cinéastes canadiens visionnaires : Graeme Ferguson, Roman Kroitor, Robert Keer et l’ingénieur William Shaw. Leur collaboration a donné naissance à une nouvelle façon de produire et de projeter des films. Initialement appelée « Multiscreen Corporation », l’entreprise a adopté le nom IMAX après avoir réalisé son premier film, Tiger Child, présenté lors de l’Expo ’70 à Osaka, Japon.

Un chemin semé d’embûches

La production a commencé avec un seul projecteur et une seule caméra. La société a pu produire des courts métrages. « Tiger Child », le tout premier film IMAX a été projeté au Japon lors de l’Expo ’70 à Osaka. Quelques années plus tard, la société a développé son propre théâtre IMAX, à Washington.

Les théâtres IMAX ont commencé à avoir leur indépendance avec leur écran géant d’une taille moyenne de 22 x 16 mètres. Les films IMAX 70 mm sont plus connus sous le nom de 15/70 en raison des 15 perforations en haut et en bas de la bande.

La société a débuté dans les films documentaires, de nature informative et éducative. La présentation en 3D offre plus d’immersion au public. Cependant, ces types de films n’ont permis que la projection en salle.

Une popularité plus dure à gagner

IMAX a commencé à réaliser des longs métrages dans les années 1990. Elle a également entamé un virage puisque la plupart des films produits étaient de nature divertissante. On peut citer « Stones at the Max » en 1991 et « T-Rex : Back to the Createceous » en 1998. Néanmoins, les films documentaires n’étaient pas écartés ; « Michael Jordan to the Max » en est le témoin vivant en 2000.

Le plus grand défi auquel IMAX a été confronté est « Fantasia 2000 ». Heureusement, les problèmes ont pu être résolus avec la création du DMR ou Digital Media Remastering, où les films non IMAX étaient remastérisés pour s’adapter aux écrans IMAX.

Bon nombre de films non IMAX ont pu rejoindre les écrans IMAX après DMR (Apollo 13 – 1995 et Star Wars : Episode II – Attack of the clones – 2002). À côté de cela, la société a commencé à percer le marché du tournage avec des caméras IMAX 70 mm. Tel est, par exemple, le cas de « The Dark Knight », qui a été le premier film tourné en partie avec des caméras IMAX.

Un succès qui prend son envol

IMAX a sorti un nouveau système de projecteur numérique en 2008. Cela a donné un nouveau format d’image 1.90:1, avec lequel on peut regarder des films 2D ou 3D en cinéma. Ces multiplexes ont fait le grand succès d’IMAX dans le monde entier.

Par ailleurs, les premiers appareils photo numériques d’IMAX ont vu le jour quelques années plus tard. Ceux-ci ont permis de montrer les films sous format numérique complet, même si la qualité n’était pas 12k. Ces appareils photo numériques d’IMAX devenaient de plus en plus courants, notamment dans la réalisation des films Marvel.

« Avengers : Infinity Wars » et « Avengers : Endgame » ont été entièrement tournés avec l’appareil photo Arri Alexa IMAX. En plus de cela, certains cinéastes, dont Christopher Nolan, ont aussi permis le succès de la marque. Celui-ci a, en effet, tourné la majeure partie de « Dunkerque » avec l’appareil photo numérique IMAX.

Ce qui a fait des films IMAX les préférés des spectateurs

Si la société a connu un succès dans le monde de la cinématographie, c’est qu’elle offre une multitude d’avantages :

La forme

Pour commencer, IMAX offre un écran extra-large, en forme de dôme circulaire qui peut couvrir la totalité du théâtre. Un écran IMAX est six fois plus grand qu’un écran de cinéma ordinaire. On a ainsi l’impression d’être dans le film. La société dispose également d’autres écrans de forme carrée.

Ensuite, les films IMAX ont un format tout à fait différent des films standard. En général, un film possède un format 35 mm ou 70 mm. Le format de film IMAX est de 15/70 mm, signifiant 15 perforations en haut et en bas. Ses films sont 10 fois plus grands que les films ordinaires.

En outre, les salles de cinéma IMAX optent pour l’utilisation des lasers de haute puissance avec deux projecteurs numériques 4K propriétaires. Ce qui permet un éclairage total de l’écran géant et donc, des images plus nettes et plus vives.

La qualité

On peut affirmer qu’en plus de l’image, la qualité du son est également un élément sur lequel IMAX mise beaucoup. En effet, elle possède un haut-parleur numérique breveté qui est totalement immersif. Avec ses 12,1 canaux de 15 000 watts, la fréquence est plus large. À cela s’ajoute la géométrie du théâtre pour offrir un son de bonne qualité.

En plus de cela, IMAX offre des avantages notoires face à ses multiples concurrents. La largeur de l’écran, la disposition des sièges et la qualité du son en sont les principaux critères.

Pour terminer, on ne peut pas ignorer la remastérisation numérique qui a permis le succès d’IMAX au début du 21^e siècle. La majorité des films IMAX subissent un DMR dans le but d’offrir une expérience totalement immersive avec des images améliorées.

Comment faire un film IMAX ?

On se contente souvent de regarder les films IMAX avec leurs détails surprenants. Mais qu’est-ce qui se cache derrière ces images ? Tour d’horizon sur comment faire un film IMAX.

Une réalisation qui nécessite des équipements hors norme

La réalisation d’un film IMAX est beaucoup plus complexe et plus coûteuse qu’il n’y paraît. Il y a d’abord la caméra IMAX qui pèse 109 kg, pratiquement 6 fois la taille d’une caméra ordinaire. Celle-ci requiert ainsi l’utilisation d’équipements spéciaux pour la supporter et assurer son déplacement.

Par ailleurs, il faut admettre que les films IMAX sont d’une taille plus impressionnante. Cependant, une caméra IMAX ne peut contenir qu’une bobine de 3 minutes. Recharger une telle bobine peut ainsi prendre jusqu’à une vingtaine de minutes. Et puisque tout repose sur les détails, il faut aussi une prise de vue parfaite.

En dehors de ce qui est dit, il faut souligner qu’une caméra IMAX est très bruyante. On a l’impression d’être avec des bûcherons au bon milieu de la forêt en train de couper des troncs d’arbres avec une tronçonneuse.

IMAX : un coût qui en vaut le coup ?

Entre le tournage plus chronophage que celui des films standards et les matériels de taille gigantesque, un film IMAX n’est pas moins coûteux. Si on prend l’exemple des caméras 3D IMAX, il n’y en a que 2 dans le monde. Une panne peut ainsi occasionner 100 000 $ par jour de dépenses supplémentaires.

Et ce n’est pas tout, l’étude de faisabilité, avant même de commencer le tournage, fait naître des dépenses en temps et en argent. Par exemple, les réalisateurs ont mis 5 mois avant de commencer le tournage du film « T-REX » . Après cela, ils ont mis 40 jours pour tourner et plus d’un an pour terminer le film.

La production a dépensé 4 téraoctets de données, rien que pour les effets CG et les dinosaures. La production du film a ainsi coûté entre 3 et 8 millions de dollars pour la version 2D contre 8 à 15 millions pour la version 3D. Un tel coût a toutefois permis aux spectateurs de vivre une belle expérience de l’époque jurassique.

Le cinéma IMAX : des mondes de pixels aux planètes extraterrestres à découvrir en 2025

Le très attendu film « Minecraft » adapte enfin l’univers cubique du jeu vidéo phénomène sur grand écran. Cette production transforme l’esthétique pixelisée caractéristique du jeu en une expérience cinématographique spectaculaire. Le réalisateur Jared Hess et la star Jason Momoa invitent les spectateurs à découvrir une aventure épique qui respecte l’essence du jeu tout en le réinvente pour le médium cinématographique. Les environnements familiers du jeu prennent une dimension nouvelle lorsqu’ils s’étendent sur l’imposant IMAX cinéma.

« Avatar 3 » constitue l’autre événement majeur de cette année cinématographique. James Cameron poursuit son exploration de la planète Pandora avec ce troisième volet intitulé « Avatar: The Seed Bearer ». Le cinéaste repousse encore les limites de la technologie pour immerger les spectateurs dans des écosystèmes inédits de Pandora. Les séquences sous-marines, filmées avec des caméras spécialement conçues pour capturer la beauté des océans extraterrestres, bénéficient particulièrement du format IMAX en 2025. L’immersion sensorielle atteint des sommets inégalés grâce au son spatial et aux effets visuels projetés sur ces écrans géants.

D’autres productions comme « Mission: Impossible 8 » avec Tom Cruise et « Black Panther 3 » complètent cette programmation exceptionnelle. Ces films incluent des séquences spécifiquement conçues pour le format IMAX afin d’amplifier l’impact des moments spectaculaires et d’offrir aux spectateurs une expérience impossible à reproduire sur les écrans domestiques.

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Il n’y a rien de mieux que de regarder nos films préférés sur le casque moderne Meta Quest, mais pour en profiter pleinement, il faut prendre le temps de choisir les applications utilisées. Parmi les incontournables figurent Neflix, YouTube VR, Bigscreen. Découvrons de plus près leur potentiel.

Envie de satisfaire vos envies cinématographiques ? Regarder des films sur le Meta Quest est sans doute la meilleure façon de le faire. Ceux qui ont déjà essayé vous le diront : ce n’est pas qu’une simple séance devant un écran. L’expérience en vaut vraiment la peine, car le Meta Quest peut transformer une chambre en salle de cinéma virtuelle. L’immersion est totale et unique. Plus besoin de se déplacer ou de se battre pour la télécommande. Pour en profiter pleinement, voici une sélection des meilleures applications pour regarder des films sur votre Meta Quest.

Le streaming en grand format sur Meta Quest, grâce à Netflix

Netflix, c’est la star du streaming, parfait pour se poser devant ses films et séries préférés. Avec un casque VR comme le Meta Quest Pro, fini l’écran tout rikiki, place à une immense toile virtuelle rien que pour soi. On pourrait presque se croire dans un salon design ou perché au bord d’une falaise, prêt à regarder son show. Et dès que ça commence, tout autour s’éteint comme par magie, pour que rien ne vienne gâcher le spectacle.

Netflix est accessible directement via le navigateur Meta Quest sur plusieurs casques, notamment le Meta Quest 2, le Meta Quest Pro, le Quest 3 et le Quest 3S. Une fois connecté, il est possible de naviguer facilement parmi des rangées de séries et de films. Ces rangées correspondent à différentes catégories, comme les comédies ou les drames, et elles sont adaptées en fonction des contenus déjà regardés.

La qualité d’image est au rendez-vous avec du streaming en haute définition, jusqu’en 1080p, pour profiter pleinement des programmes. Pour se connecter à Netflix sur Meta Quest, il suffit d’ouvrir l’application navigateur dans le menu des applications, de taper « netflix.com » dans la barre de recherche, puis de choisir l’option « Se connecter ».

L’application native Netflix a été retirée du Meta Quest Store en juillet 2024. Actuellement, pour regarder Netflix en VR sur un casque Meta Quest, il est nécessaire d’utiliser le navigateur intégré du casque.

YouTube VR, le meilleur spot pour films gratuits et vidéo 360°

YouTube VR est parfait pour profiter de films gratuits, de bandes-annonces, et même de contenus immersifs en 360°. La première chose à faire est d’accéder au Meta Quest Store et d’installer l’application. Une fois lancée depuis la bibliothèque, il est possible de se connecter avec son compte Google afin d’accéder à ses abonnements et playlists.

La recherche de vidéos se fait facilement grâce au clavier virtuel ou à la commande vocale. Ensuite, il ne reste plus qu’à s’installer confortablement et à profiter du spectacle, que ce soit en mode salle de cinéma ou en mode vidéo 360°, quand ce dernier est disponible. C’est une manière simple et agréable de découvrir du contenu varié directement dans son casque VR.

Notons que YouTube VR, c’est tout simplement YouTube revisité pour la réalité virtuelle. L’appli n’a rien de très sophistiqué comparé à d’autres, mais elle a l’avantage d’être gratuite et d’ouvrir la porte à une énorme quantité de vidéos. En plus, il est facile de changer l’ambiance autour de soi en choisissant un décor sombre, clair ou même mixte. Et pour partager l’expérience, il est aussi possible de mater des vidéos en même temps que ses amis connectés sur Meta Quest.

Cette application officielle de YouTube en réalité virtuelle est gratuite et disponible sur le Meta Quest Store.

Du film en solo ou en groupe, Bigscreen s’adapte à tous les envies

Bigscreen vous propose une expérience cinéma unique à domicile et c’est l’appli gratuite parfaite pour visionner des films en solo ou en groupe. Oubliez les petites télévisions, ici, c’est un écran de 30 mètres de haut qui vous attend ! Installez-vous confortablement et choisissez l’ambiance qui vous plaît : du cinéma drive-in pour un côté rétro, une salle moderne, un retour dans les années 80, ou carrément une projection en apesanteur dans l’espace.

Après l’avoir téléchargée depuis le store Meta Quest, il suffit de créer un compte ou de se connecter. Ensuite, on choisit son cinéma, privé pour soi ou ouvert pour rencontrer d’autres spectateurs. On peut regarder des vidéos gratuites, louer des films, ou même balancer ses propres vidéos. En bonus, il est possible de partager son écran d’ordinateur ou de rejoindre des événements avec d’autres utilisateurs.

Les utilisateurs de Bigscreen partagent des avis enthousiastes. Sur steamcommunity, un utilisateur avoue que depuis qu’il utilise Bigscreen, il n’a presque plus besoin de sa télévision, sauf pour les événements sportifs. Sur reddit, un autre raconte son expérience incroyable de regarder Dune en 3D dans une salle virtuelle.

Regarder vos séries et films en VR avec Meta Quest TV

Meta Quest TV vient déjà intégrée aux casques Meta Quest, avec un accès gratuit dès la première utilisation, sans téléchargement nécessaire. Elle offre une large sélection de contenus. Vidéos, animations en 180° et 360°, chaînes TV populaires, tout y est. Avec cette appli, on a droit à un univers de contenus immersifs, et on a la possibilité de suivre ses chaînes préférées pour ne rien manquer.

L’accès est très simple : il suffit de lancer l’application depuis le menu universel du casque. Pas besoin de téléchargements supplémentaires, tout est intégré. Meta Quest TV propose aussi une expérience sociale, où il est possible de regarder des vidéos en groupe dans un environnement virtuel. En revanche, pour ceux qui préfèrent la tranquillité, il existe également un mode privé, où l’on peut se retrouver dans un espace virtuel pour regarder ses contenus seul.

De plus, Meta Quest TV facilite l’accès aux applications TV et de divertissement autonomes, et notifie l’utilisateur de la disponibilité de nouveaux contenus. Pour consulter ses vidéos et photos enregistrées sur le casque, il suffit de se rendre dans la bibliothèque et de sélectionner l’option dédiée aux médias personnels.

Skybox VR, le lecteur VR ultime pour regarder vos films sur Meta Quest

Skybox, c’est une appli payante, mais elle en vaut vraiment la peine. L’un de ses gros points forts, c’est qu’elle vous permet d’accéder facilement à votre réseau domestique pour lire tous vos fichiers médias. Peu importe le format – 2D, 3D, UHD, 4K ou même 8K – Skybox lit tout avec une fluidité impressionnante, sans jamais broncher. Elle prend aussi en charge les vidéos à 180° et 360°. Elle est donc adaptée à tous vos formats et vos envies d’affichage.

Le gros bémol, c’est que Skybox VR ne fonctionne pas comme un service de streaming. Autrement dit, pour visionner des films, il faut déjà avoir les fichiers sur votre appareil, ce qui peut compliquer les choses pour certains.

Du cinéma à la maison, mais en mieux avec Spatial TV

Avant tout, il faut savoir que l’application Spatial TV est payante, tout comme Skybox VR. Sur le Meta Quest Store, elle est proposée au prix de 9,99 $. L’achat se justifie pleinement, tant l’application déborde de fonctionnalités séduisantes. Parmi les plus impressionnants, on retrouve son éclairage ambiant incroyable qui transforme instantanément l’environnement en véritable salle de cinéma. Un simple geste pour tamiser la lumière et voilà, on se retrouve dans une atmosphère immersive.

La résolution de 3840 x 2160 pixels par œil garantit des images ultra-nettes. L’application est compatible avec des services populaires comme YouTube, Disney+, HBO Max, Hulu, Apple TV+, et bien d’autres encore. Un navigateur web inclus permet de visionner sans limite toutes les vidéos en ligne, directement depuis le casque.

Choisissez bien votre application !

Choisir une application pour visionner des films sur le Meta Quest, cela ne se fait pas à la légère. La qualité vidéo compte est extrêmement importante. Une bonne appli doit présenter une image nette, idéalement en 1080p ou plus.

Au sujet du catalogue, mieux vaut une appli qui regorge une variété de contenus. Cela inclut les films récents, les classiques, les documentaires, et même les vidéos en 360°. Les fonctionnalités sociales sont un plus : pouvoir inviter des amis à regarder ensemble, discuter en live ou échanger en temps réel, cela change tout. Et bien entendu, une interface claire est importante pour ne pas se perdre dans les menus.

Bigscreen transforme les soirées entre amis en ciné-salons virtuels : on y loue des films, partage des vidéos YouTube en groupe, et on y vit des moments en direct comme des décollages spatiaux. Si l’envie est de se détendre en solo avec une série, Netflix VR est l’option idéale. Il est alors recommandé d’utiliser le navigateur Meta Quest pour un streaming en 1080p. Pour explorer des vidéos en 360° ou en 3D, YouTube VR est parfait, avec sa fonction de co-visionnage pour partager l’expérience avec des amis.

En revanche, si vous en avez les moyens, vous pouvez vous tourner vers des applis comme Skybox VR et Spatial TV.

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De nouvelles rumeurs sur la disponibilité du Project Moohan ! Le casque XR Android de Samsung sortira en Corée du Sud le 13 octobre, selon NewsPim. Mais l’appareil arrivera dans d’autres pays de manière progressive.

L’entreprise Samsung a multiplié les présentations de son casque Android XR lors d’événements comme le lancement du Galaxy S25. Grâce à plusieurs démonstrations en direct, on a pu mieux découvrir le produit. Bien qu’il ait été annoncé pour une sortie « plus tard dans l’année », sans date précise, on commence enfin à avoir des infos plus concrètes sur sa disponibilité.

Samsung serait presque prêt à lancer son casque, qui porte le nom de code « Project Infinite ». D’après NewsPim, les précommandes devraient débuter lors de l’événement Samsung Unpacked en Corée du Sud, prévu pour le 29 septembre.

Quelqu’un qui suit de près les actualités de Samsung a suggéré que le casque sera lancé en juillet, lors d’un événement annuel organisé par l’entreprise. Mais le rapport de NewsPim précise que, lors de cet événement de juillet, Samsung ne lancera pas le casque XR. Ils montreraient juste à quoi l’appareil  pourrait ressembler et susciter ainsi l’intérêt. Mais le lancement officiel du produit n’aurait pas eu lieu à ce moment-là.

Samsung XR : le nouveau rival du Vision Pro avec Android XR et IA Gemini

Le casque XR Android de Samsung est présenté comme le premier grand rival de l’Apple Vision Pro. Ils ont l’air de se ressembler en termes de forme, d’apparence et de fonctionnalités. La principale différence ? Le casque de Samsung va utiliser un logiciel Android XR, qui est basé sur Android. Ce logiciel Android XR sera axé sur la réalité augmentée. L’IA Gemini sera également intégrée pour rendre cette expérience encore plus personnalisée.

La firme de Cupertino, avec son fameux Vision Pro, s’intéresse aussi à la réalité augmentée. Mais leur système utilise un logiciel différent, le visionOS 26. La marque à la pomme a commencé à explorer cette technologie, mais à sa manière. Toutefois, l’IA dans le casque de Samsung sera plus performante et plus intelligente.

Le casque XR Android de Samsung serait équipé d’une puce puissante, la XR2+ 2e génération, développée par Qualcomm. Il se dit aussi que le casque serait équipé d’écrans micro-OLED Sony 4K. Ces écrans auraient une résolution de 3 552 x 3 840 pixels, avec une luminosité de 1 000 nits, même à faible puissance.

En somme, bien que le casque XR de Samsung soit encore très attendu, il est agréable de voir que la disponibilité se précise et que l’attente pourrait bientôt toucher à sa fin.

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Les amateurs de Fantasy Life i ont de quoi se réjouir avec l’annonce d’un nouveau contenu téléchargeable gratuit. Ce DLC promet d’enrichir l’expérience de jeu en introduisant un monde ouvert de type roguelike. Les développeurs de Level-5 continuent de surprendre leur communauté en offrant des mises à jour innovantes. Les joueurs pourront explorer de nouvelles ... Lire la suite

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Meta, l’entreprise derrière Facebook et Instagram, continue de nous surprendre. Très bientôt, elle permettra de créer des mondes en réalité virtuelle (VR) dans Horizon Worlds… mais pas de n’importe quelle manière ! Grâce à l’outil « Environment Generation », il suffira de décrire son idée par écrit, et l’intelligence artificielle (IA) se chargera du reste.

Pour rappel, Horizon Worlds, c’est un monde virtuel en 3D de Meta, où les gens peuvent créer et explorer des espaces en réalité virtuelle. On peut y trouver tout un environnement virtuel, comme une île, une ville, une pièce.

Dans peu de temps, il suffira d’écrire ce qu’on imagine, et l’IA de Meta fera apparaître un monde complet dans Horizon Worlds. Aujourd’hui, pour effectuer cette tâche, il faut passer par de nombreuses démarches. Il faut recourir à l’éditeur intégré, importer ses propres ressources, écrire du code et construire l’environnement à la main.

Mais grâce à la future nouvelle fonctionnalité, appelée « Environment Generation », la création de mondes dans Horizon Worlds sera beaucoup plus facile. Il n’y aura plus qu’à choisir un thème, puis de laisser l’IA générer le monde à partir d’une phrase ou de paramètres plus précis. De plus, il ne sera pas nécessaire d’avoir des compétences techniques. Notons que Meta a déjà annoncé cette fonctionnalité en mai.

Meta a partagé une petite vidéo de quelques secondes pour nous donner un avant-goût de ce qui arrive. Si tout se passe comme prévu, fabriquer des mondes en réalité virtuelle deviendra un jeu d’enfant.

Horizon Worlds : Environment Generation n’emballe pas tout le monde

Certes, la possibilité de créer des mondes rapidement grâce à l’outil « Environment Generation » est attrayante. Mais certains redoutent que cela dévalorise le travail créatif. On pense que la plateforme deviendra trop encombrée de contenus qui ne seront ni marquants ni vraiment uniques.

Sur UploadVR, certains utilisateurs se demandent si le plaisir et l’orgueil de créer un espace unique n’est pas sacrifié au profit de la simplicité et de la rapidité. C’est une crainte que de nombreux créateurs ont vis-à-vis de l’IA en général : qu’elle réduise la véritable valeur de la création personnelle.

Outre cela, Meta semble davantage se concentrer sur des fonctionnalités à la mode, comme la génération de mondes par IA, plutôt que sur des problèmes plus profonds comme l’engagement des utilisateurs, la stabilité de la plateforme, ou la qualité des interactions sociales.

L’introduction de l’IA peut sembler davantage une réponse à la demande croissante d’outils puissants. Mais ce n’est pas forcément ce que cherchent les utilisateurs qui veulent des expériences plus humaines et moins automatisées.

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La réalité virtuelle s’impose en 2025 comme une révolution technologique majeure, bouleversant à la fois nos modes de vie et d’apprentissage. Cette année marque une accélération fulgurante des innovations, mêlant hardware ultra-performant et intelligence artificielle poussée. Des casques comme Oculus, HTC Vive ou Microsoft Mixed Reality repoussent les limites de l’immersion avec un hyper-réalisme saisissant. ... Lire la suite

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Le jeu de réalité virtuelle le plus déjanté du moment vient d’ouvrir la porte aux parties à plusieurs. I Am Cat propose désormais un mode multijoueur délirant. Ce mode transforme chaque session en véritable carnaval félin à partager entre amis.

I Am Cat place chaque joueur dans la peau d’un chat incontrôlable, dans une maison qu’il faut mettre sens dessus dessous. Avec cette mise à jour multijoueur, jusqu’à 20 participants peuvent désormais se déplacer, bondir et semer la pagaille simultanément. Le système de locomotion reste physique, à la manière de Gorilla Tag afin de garantir des moments absurdes et imprévisibles.

La nouvelle map embarque tous ces chats dans une ambiance corsaire : plusieurs bateaux volants, reliés entre eux, constituent une immense aire de jeu suspendue. Entre les batailles de boules de neige et les duels armés dans les cales, le mode multijoueur d’I Am Cat pousse encore plus loin la folie collective. Le développeur a même inclus une cuisine interactive et un piano géant pour compléter les activités.

Cosmétiques inédits et contenu en approche

La mise à jour ajoute de nouveaux cosmétiques à débloquer via des achats intégrés. Chapeaux ridicules, motifs originaux et accessoires loufoques permettent de personnaliser votre chat selon votre humeur. I Am Cat ne se contente pas de son succès : l’équipe de New Folder Games prévoit déjà l’arrivée d’autres ajouts dans les prochains mois.

Disponible sur Steam et Quest, I Am Cat passe un cap important avec ce mode multijoueur. La mise à jour transforme le concept d’anarchie féline en expérience sociale unique. Regrouper vingt chats sur un navire pirate en VR n’a jamais été aussi cohérent… ni aussi hilarant.

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Des scènes torrides se jouent chaque nuit dans des mondes virtuels où rien n’est vraiment sous surveillance. Derrière les sourires animés de VRChat porn, une autre réalité s’organise : celle du sexe clandestin en réalité virtuelle.

Le terme VRChat porn connaît une croissance significative. Les recherches en lien avec l’ERP (erotic role play) et les serveurs privés explosent sur Reddit et Discord. Parallèlement, VRChat reste avant tout une plateforme sociale immersive et non un site pornographique. Ce contraste alimente un véritable paradoxe : le voyeurisme virtuel se développe à chaque mise à jour. Dans le même temps, le marché du VR porn explose aussi, avec des plateformes dédiées bien plus explicites. Pourtant, VRChat conserve la posture d’un réseau social expérientiel.

VRChat et le contenu adulte : ce qu’il faut comprendre

VRChat est une plateforme sociale immersive où les utilisateurs créent des avatars et explorent des mondes en VR. Officiellement, la plateforme interdit tout contenu sexuel explicite, surtout dans les instances publiques, conformément aux règles de communauté.

Pourtant, le phénomène “VRChat porn” s’installe dans l’ombre, porté par une communauté active qui exploite les failles du système. Ces pratiques se déroulent dans des espaces privés, à l’abri des contrôles, via des moyens détournés et souvent discrets.

Des avatars sexualisés (souvent moddés)

Certains modifient leurs avatars pour les rendre ultra sexualisés, avec anatomies détaillées, vêtements suggestifs ou animations suggestives. Les créateurs modèlent ces avatars en dehors de VRChat grâce à des outils comme Unity ou Blender. Ils les partagent ensuite sur Discord, Patreon ou des forums spécialisés. On y trouve des modèles inspirés du hentai, du furry ou du BDSM.

Ces personnages ne sont jamais accessibles publiquement sur la plateforme, mais circulent librement en privé, à destination d’usages érotiques explicites.

Des mondes privés NSFW

Des mondes virtuels entiers sont créés pour accueillir des scènes sexuelles : love hotels, clubs libertins, donjons. On y accède sur invitation, souvent via des serveurs Discord fermés. Ces environnements intègrent lumières, sons, mobilier interactif et parfois même scripts érotiques.

Ces maps ne sont pas modérées tant qu’elles restent privées, ce qui favorise un écosystème parallèle, où le “VRChat porn” prospère en dehors des radars officiels.

Les coulisses : serveurs privés & Discord

Une grande partie de ces pratiques se structure via des serveurs Discord privés, avec canaux ERP dédiés. On y organise des rendez-vous ERP, dans des mondes spécifiques, selon des règles internes (âge, consentement) et parfois en échange de dons ou abonnements.

Ces communautés restent souvent fermées, gérées par des bots, mais assurent un minimum de vérification, comme l’âge via Discord NSFW. Cependant, la modération reste opérationnelle uniquement grâce aux membres eux-mêmes.

Risques à connaître

Même si le “VRChat porn” se développe discrètement, il reste exposé à plusieurs dangers concrets. La plateforme n’assure ni contrôle strict, ni encadrement officiel sur ces pratiques privées.

Aucune modération officielle

Les équipes de VRChat ne modèrent pas les mondes privés ni les échanges entre adultes. Les utilisateurs peuvent donc croiser des contenus choquants ou tomber sur des scènes illégales. Certains serveurs n’imposent aucun filtre d’âge ni vérification sérieuse d’identité. Des mineurs réussissent parfois à s’infiltrer, malgré les règles affichées. Des captures d’écran circulent ensuite sur Reddit, et exposent des scènes qui n’auraient jamais dû exister dans un espace social ouvert.

Pas de garantie de sécurité technique

Les utilisateurs installent souvent des mods ou des avatars via des liens externes non vérifiés. Ces fichiers peuvent contenir des scripts malveillants ou voler des informations sensibles. Certains participants enregistrent les sessions sans consentement et diffusent ces scènes ailleurs. D’autres manipulent les avatars à distance à l’aide d’exploits ou de failles logicielles. Contrairement aux sites de free porn VR bien encadrés, VRChat ne propose aucune vérification. La moindre interaction privée peut alors se transformer en intrusion ou en fuite incontrôlée.

Pour une vraie expérience VR adulte : privilégiez les plateformes dédiées

Les plateformes spécialisées en VR pour adultes offrent une expérience immersive, sûre et légale, sans les zones grises de VRChat. Elles proposent un contenu haut de gamme, réalisé par des studios professionnels avec un vrai savoir-faire dans la VR. Le rendu est visuel et sonore de qualité, jusqu’à 8K, avec parfois des interactions haptique via teledildonics.

Vous bénéficiez d’une interface dédiée, d’un streaming optimisé, d’un encadrement légal clair et de mises à jour régulières. Pour les amateurs exigeants, ces solutions représentent une alternative bien plus rassurante.

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Depuis sa sortie, Microsoft Flight Simulator 2024 poursuit son évolution, notamment sur le terrain de la réalité virtuelle. Si la compatibilité VR PC est pleinement assurée, c’est surtout l’arrivée du rendu fovéal qui marque une avancée notable pour les utilisateurs de casques haut de gamme. Toutefois, à ce jour, le rendu fovéal dynamique basé sur ... Lire la suite

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Le succès fulgurant de Fantasy Life i : La Voleuse de Temps ne cesse de surprendre les joueurs du monde entier. Avec un million d’exemplaires écoulés, Level-5 continue d’enrichir l’expérience de jeu. Cette nouvelle extension gratuite promet d’apporter un souffle nouveau au jeu. Les fans peuvent s’attendre à un mode de jeu innovant et captivant. ... Lire la suite

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Pour célébrer son 30e anniversaire, le parc espagnol PortAventura World frappe fort avec une innovation technologique inédite dans l’univers des parcs à thème. Depuis le 28 mai, les visiteurs peuvent découvrir une version en réalité mixte de l’attraction El Diablo – Tren de la Mina, une montagne russe en bois devenue le terrain d’expérimentation d’une ... Lire la suite

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À l’heure actuelle, il n’est plus forcément nécessaire de savoir coder pour créer une application ou un site Web. Avec le développement de l’Intelligence Artificielle (IA), notamment les outils no-code, la création digitale connaît une véritable révolution en 2025.

Ces builders automatisés ne cessent de gagner en rapidité, en performance et en simplicité. Ils séduisent désormais aussi bien les freelances, les PME que les créateurs de contenus. En bref, toutes les personnes qui souhaitent lancer un projet sans avoir un développeur. 

Le secteur connaît une telle effervescence que le marché des plateformes no code devrait atteindre 187 milliards de dollars d’ici 2030. 

Dans cet article, nous vous proposons un tour d’horizon des 3 meilleurs builders IA no-code du moment.  Découvrez leurs atouts, leurs limites, à qui ils s’adressent et bien plus encore.

Pourquoi les AI builders séduisent en 2025

Le succès des builders IA no-code a une explication simple : ils répondent à une tendance de fond. À savoir : rendre la création digitale accessible au plus grand nombre de personnes. En 2025, il n’est plus nécessaire de savoir coder pour pouvoir créer votre propre site web ou votre application fonctionnelle.  Les builders IA no-code possèdent une interface simple à prendre en main, et une assistance IA, qui vous guident dans la création de votre projet.

Les avantages de ces outils sont variés : gain de temps non négligeable, réduction des coûts, design responsive généré automatiquement mais aussi une création en autonomie totale pour les non connaisseurs. Que ce soit pour créer un portfolio, lancer une boutique ou créer une landing page, vous obtenez un résultat digne d’un professionnel en seulement quelques clics.

Selon une publication de Gartner, on peut s’attendre à ce que 70 % des nouvelles applications créées en 2025 utilisent le no-code ou le low code. Les builders IA représentent donc des outils indispensables pour tous ceux qui souhaitent rester pertinent face à la montée de l’IA. Ils permettent entre autres de démocratiser le développement tout en replaçant l’expérience utilisateur au cœur du processus de création. 

Comparatif des 3 meilleurs builders IA

Les outils builders IA sont nombreux. Parmi tous les outils disponibles, 3 builders IA no-code se distinguent en 2025. Notamment pour leur simplicité, leur efficacité et leur adaptabilité. Découvrez un comparatif détaillé de leurs fonctionnalités, de leurs atouts et de leurs limites. 

Hostinger Horizons

Hostinger Horizons est un outil tout-en-un qui allie hébergement Web (il est intégré à Hostinger) et création de site avec assistance IA. Cette solution a été conçue aussi bien pour les entrepreneurs, les freelances que pour les débutants. Grâce à cet outil, il est possible de lancer un site professionnel en seulement quelques minutes, et ce, sans aucune compétence technique requise.

Pour ce faire, il vous suffit de vous rendre sur la page d’accueil et de répondre à quelques questions en rapport avec votre activité, vos préférences visuelles ou encore vos objectifs. Toutes ces informations vont être analysées par l’Intelligence Artificielle, qui se chargera du reste.

Vous obtiendrez un design responsive et adapté à tous les types d’écrans. L’outil comprend également une palette d’options de personnalisation. Si ces options sont suffisamment simples pour rester accessibles à tous, elles sont flexibles afin de créer le résultat que vous avez en tête.

Avec Hostinger Horizons, la création d’un site web professionnel n’a jamais été aussi intuitive. Si vous voulez vous concentrer uniquement sur le contenu, sans avoir à perdre du temps avec le côté technique, alors cet outil vous sera grandement utile.

Le plus grand avantage de cet outil est sans conteste son environnement centralisé. En un seul endroit vous trouverez la gestion du domaine, l’hébergement et la création du site. Ce qui est idéal pour une gestion et un suivi simplifiés. Les utilisateurs avancés pourraient regretter certaines limites en termes d’export de code ou de personnalisation.

Avantages	Inconvénients
intégré à l’hébergement Hostinger	absence d’export code complet
interface simple à prendre en main	moins adapté pour les projets complexes
design responsive généré automatiquement	moins de contrôle que sur d’autres CMS
parfait pour les débutants et les indépendants

Lovable.dev

Le builder IA Lovable.dev se démarque par sa capacité à concevoir des applications avec une approche UI-first, c’est-à-dire centrée dès le début sur l’expérience visuelle. C’est une solution qui convient particulièrement aux designers et aux développeurs no-code de niveau intermédiaire.

Contrairement à d’autres builders IA, Lovable.dev permet d’exporter le code. Il offre donc une plus grande flexibilité si vous souhaitez intégrer des stacks personnalisés. Ce builder présente un bon compromis entre la personnalisation visuelle et le contrôle du code. Mais il peut être un peu complexe pour les débutants. Son interface peut paraître brute, cependant elle permet une personnalisation poussée.

Avantages	Inconvénients
export de code possible	prise en moins plus difficile
parfait pour les designers et développeurs no-code	nécessite un certain niveau d’expérience technique
équilibre entre code et personnalisation visuelle

Bolt.new

Il s’agit d’un builder IA ultra rapide, qui a été pensé pour créer des sites Web en seulement quelques minutes. Son approche est principalement axée sur l’efficacité et la simplicité.

C’est une option idéale si vous souhaitez procéder à une création de site rapide et sans aucun tracas, tout en conservant un aspect professionnel. Ce builder IA est adapté aux projets personnels et aux petites entreprises.

S’il est d’une simplicité enfantine à utiliser, il reste plus limité en termes de personnalisation par rapport aux deux outils précédents. 

Avantages	Inconvénients
création ultra-rapide de sites	personnalisation plus limitée
interface simple à prendre en main	flexibilité restreinte pour les utilisateurs avancés
idéal pour les projets personnels et les petites entreprises	convient moins à des projets complexes ou sur mesure

Lequel choisir ?

Il peut être difficile de savoir quel builder IA no-code choisir en 2025. En effet, chaque option a ses avantages et ses inconvénients. Cependant, après avoir testé ces différents builders, notre préférence va à Hostinger Horizons. 

Le fait qu’il soit intégré à l’hébergement Hostinger est un atout considérable et cela en dit long sur sa qualité et sa fiabilité. C’est aussi un outil simple à prendre en main avec des prix intéressants.

C’est le meilleur outil pour les petites entreprises et les projets personnels. En seulement quelques clics, vous pourrez obtenir un résultat d’une qualité exceptionnelle.

En résumé

Que vous soyez créateur de contenu indépendant, une startup ou une PME, les builders IA peuvent vous être d’un grand secours. Avec des outils comme Hostinger Horizons, Lovable.dev ou encore Bolt.new, vous pouvez en quelques minutes donner vie à vos idées sans avoir de connaissances en code. 

Chaque outil à ses spécificités : la simplicité de l’outil Hostinger Horizons est particulièrement adaptée aux débutants, Lovable.dev convient davantage aux designers intermédiaires (notamment grâce à sa personnalisation poussée). Enfin, Bolt.new est idéal pour des créations rapides. 

Pour choisir le bon outil, vous devez donc prendre le temps d’analyser vos besoins ainsi que vos objectifs.

Cet article Les 3 meilleurs builders IA no-code en 2025 (+ avantages et inconvénients) a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.